Vous êtes sur la page 1sur 9

NOTICE D’EMPLOI D’AUTOCAD

Rédigé par P.Courbon (Version de janvier 2005 complétée le 24.09.2006)

1 FORMAT
Quand on commence un dossier, entrer dans « format » pour s’assurer que le type de ligne,
etc… correspondent bien à ce que l’on désire.

1.2 Unités et sens de rotation.


Entrer là encore dans « Format » Î « contrôle des unités » pour s’assurer des unités
employées, ainsi que le sens de rotation (sens horaire).

2 LES COUCHES (ou calques)


C’est le principal problème à se mettre en tête pour acquérir les automatismes. Chaque type
d’objet peut être représenté sur une couche différente. Quand on vide un théodolite
électronique par l’intermédiaire de Covadis ou d’un autre système, la représentation
graphique des points, leur numéro et leur altitude sont automatiquement importées sur trois
couches différentes. Si on introduit les points à la main, il ne faut pas oublier de faire la même
chose.
Avant de commencer un dessin, il faut s’assurer qu’on a bien créé les couches nécessaires au
projet (une couche pour les murs, une pour les trottoirs, une pour les réseaux d’eau potable,
etc…). La création ou l’appel des couches se fait par les icônes idoines de la barre d’outils.
2.1 Transfert de couche
Quand on a créé un objet sur une mauvaise couche et qu’on veut le transférer sur la bonne
couche, deux solutions :
-Créer un nouveau calque
-Entourer et sélectionner l’objet ou le groupe d’objets
-Dans la liste des couches, sélectionner celle de destination

-Créer un nouveau calque


-Sélectionner l’objet ou l’ensemble d’objets
-Clic droitÎpropriétésÎsélectionner le calque
2.2 Gel et verrouillage des couches
Une couche peut être gelée, c’est-à-dire qu’elle n’apparaîtra pas sur l’écran ou qu’elle ne sera
pas imprimée. L’icône « calques » ouvre une BD « gestionnaire des calques », il y a un soleil
pour « geler », c’est-à-dire ne pas afficher un ou des calques qu’on ne veut pas imprimer ou
pour alléger l’écran. Il y a un cadenas pour « verrouiller » un calque, c’est-à-dire ne pas
sélectionner ni modifier les objets qu’il contient.

3 TRACE DES LIGNES


On peut lier des points par des droites par deux moyens : la ligne qui permet autant de
segments de droites qu’on le veut, mais, chaque segment est indépendant des autres quand on
veut l’effacer ; la polyligne qui crée des segments tous dépendants les uns des autres : quand
on efface un segment, les autres segments de la polyligne sont effacés. Les polylignes sont
utiles quand on veut entourer une zone à tramer, mais dans ce cas, il vaut mieux éviter les
polylignes trop longues.
3.2 Types de lignes et tireté
Quand on crée un calque, sur la ligne de ce calque créé, il faut cliquer sous « type de ligne ».
Une BD « choix du type de ligne » apparaît Î »charger », apparaît alors un choix de lignes
et de lignes tiretées où il faut bleuir et entrer l’une après l’autre celles que l’on désire. Dans la

Page 1 sur 9
barre d’outils haute, apparaît le signe des lignes, il faut choisir celle que l’on veut avant de
tracer une droite. Si on veut transformer une droite continue en droite tireté, il faut cliquer la
droite, puis aller chercher le nouveau style dans la barre d’outils. Attention pour les tiretés, il
faut aller dans « format », « type de lignes ». Le facteur d’échelle global devra être choisi
correctement pour que la ligne apparaisse en tireté (en général très inférieur à 1).

3.3 Eclatement d’une polyligne


On peut être amené à ne plus vouloir d’une polyligne quand on veut en effacer un seul
segment. Il faut alors sélectionner la polyligne et passer par l’icône « pétard » de la barre
d’outils.

3.4 Lignes courbes


Pour tracer une ligne courbe, on peut passer par la fonction « Spline » de la barre d’outils ou
« lisser » une polyligne existante. Pour lisser une polyligne, « modification »Î »objet »Î
« polyligne » ; le curseur devient un petit carré avec lequel il faut cliquer la polyligne qui
devient pointillée, Taper L dans la barre de commande (en bas) et « entrer », la polyligne est
lissée. Cette fonction permet de tracer un arc de cercle passant par trois points, icône BOaussi.

3.5 Cercles
On peut tracer un cercle en passant par l’icône « cercle » de la barre d’outils. Ensuite, on peut
tracer le cercle librement à partir d’un centre que l’on choisi En passant par la barre de
commande, on peut spécifier un rayon ou trois points par lesquels passera le cercle.

4 CREATION D’UN POINT


Il faut passer par l’icône « point » de la barre d’outils. Quand on bouge le curseur, ses
coordonnées apparaissent au bas de la barre de commande, quand on atteint les coordonnées
où on veut créer un point : « Enter ». On peut aussi taper les coordonnées X et Y (séparées par
une virgule) sur la barre de commande, « Enter », le point est créé à l’endroit adéquat.

4.1 Symbole du point


Par défaut, un point est représenté par un petit point blanc sur l’écran. Si on veut qu’il soit
représenté par une croix, « Format »Î »Style de point »Î une BD apparaît où on peut
choisir le style de point ainsi que sa taille.

4.2 Fonction Accrobaj


La fonction accrobaj, accessible au bas de la barre de commande a pour objet d’accrocher une
droite à un point, dès qu’on s’approche de ce point, quand on fait une jonction.
L’inconvénient est qu’on ne peut créer un nouveau point avec le curseur, trop proche d’un
point existant, car à ce moment il est « absorbé ». Soit, il faut créer le point en introduisant ses
X et Y, ou alors, il faut annuler « accrobaj » par un double-clic ou encore agrandir l’image
pour que les points soient suffisamment éloignés sur l’écran.

5 LES TRAMES
Avant de remplir un espace par une trame, il faut s’assurer que l’espace est bien fermé, c.a.d
que la polyligne entourant l’espace à tramer se « mord bien la queue » au point de départ. Il
risque aussi de se produire des problèmes si la polyligne entourant la zone à tramer comporte
trop de points (voir Nota 3).
Dans la barre d’outils se trouve le signe « hachures » Î une BD « hachures de
contour »s’ouvre. Il faut choisir le numéro du motif, un témoin représentant le motif apparaît,
il faut ensuite choisir l’angle et l’échelle.Cliquer sur sélectionner les objets, cliquer la ligne

Page 2 sur 9
entourant la surface avec le petit carré qui a remplacé le curseur. Le contour se met en tireté
(si ce n’est pas le cas, revoir la polyligne) et la BD réapparaît. Î »aperçu ». Si la trame
convient, « Enter ». La BD revient ÎOK.
NOTA : 1) Si on a une polyligne non éclatée, on peut cliquer l’objet lui-même (icône
« sélectionner les objets »). Si la polyligne est éclatée ou si plusieurs tronçons de polylignes
entourent la surface, il faut cliquer à l’intérieur de la polyligne (icône « choisir les points »)
dans la BD des trames.
2) Quand il y a des îlots dans une surface à tramer, ils sont épargnés automatiquement
par la fonction « choisir les points ». Si on veut qu’ils soient tramés cliquer « ôter les îlots ».
3) Si la surface à tramer comporte trop de cotés, le tramage ne fonctionne pas. Il faut
alors scinder la partie à tramer en plusieurs lots, quitte à effacer les traites de séparation ou à
traiter « trame » et « contours de trame sur deux couches différentes.

6 LES OBJETS

6.1 Couleur des objets


La couleur peut-être définie lors de la création du calque correspondant à l’objet. Elle est
dessinée automatiquement lorsqu’on appelle le calque. Cependant, on peut choisir plusieurs
couleurs sur le même calque. Il suffit de cliquer la case « □ du calque »sur la barre supérieure
d’outils et de choisir la couleur désirée.

6.2 Effacer des objets


Si l’objet est simple, il suffit de le cliquer-droit, il devient tireté Îsup
S’il s’agit d’un groupe d’objets important. En partant de la gauche vers la droite avec le
curseur, on crée un rectangle en trait continu. Îsup n’efface que ce qui est intégralement
dans le rectangle.
En partant de la droite vers la gauche, on crée un rectangle en tireté qui efface tout l’objet,
même s’il n’est pas au complet dans le rectangle.

6.3 Modifier des objets


De nombreuses modifications d’objets peuvent être envisagées, soit par Ϋ modification »,
Î «objet », choisir l’objet demandé. Si c’est une polyligne, le curseur se transforme en
poignée (□), cliquer l’objet et suivre les instructions données par la barre de commande en en
tapant la première lettre (E pour épaissir) et « enter » à bon escient.
Soit en choisissant une icône de la barre d’outils.
- « déplacer » : le curseur devient un petit carré, cliquer l’objet, « enter », le déplacer. Si
on veut recommencer, recliquer immédiatement sur « enter ».
- « copier des objets » : après avoir cliqué l’icône, cliquer l’objet, « enter ». La poignée
devient une petite croix, déplacer l’objet.
- « Copie multiple », faire comme précédemment, mais avant de déplacer l’objet, taper
M sur la barre de commande, puis « enter ». On peut alors copier l’objet autant de fois
que l’on veut.
- « miroir », permet de recopier un objet symétriquement. La procédure apparaît sur la
barre de commande.
- « coupure », quand on veut enlever un segment à une droite, même procédure que
précédemment, mais il faudra désactiver accrobaj pour choisir la coupure où on veut.
- « prolonger ou « ajuster » une droite permet d’ajuster l’intersection d’une droite et
d’une demi-droite sans bavure ou manque. Pour prolonger, cliquer la droite et
« enter », puis cliquer la demi-droite et enter, la jonction se fait. Pour ajuster, cliquer la
droite et « enter », puis cliquer la demi-droite du coté qui déborde et « enter ».

Page 3 sur 9
- « décaler », sert à tracer une droite parallèle, pour construire un mur. Après avoir
cliqué l’icône, introduire la valeur de décalage dans la barre de commande, « entrez »,
cliquer la droite puis le coté du décalage, la droite parallèle est tracée.
- « rotation », cliquer l’objet et suivre les instructions de la barre de commande.

7. BLOCS
Un bloc est un ensemble d’objets réunis pour n’en former qu’un seul (un réverbère est un
segment, plus un arc, plus un rond…) et qui est mémorisé sous forme d’un dossier. On peut le
rappeler pour l’insérer dans un dessin en cours. Passer par insertion Î BD « insérer », ce qui
permettra soit, d’insérer des blocs, soit des modèles de dessin venant de fichiers externes.

7.1 Insérer un bloc


Au cours d’un dessin on peut vouloir insérer un bloc dans ce dessin, un arbre prédessiné ou un
réverbère par exemple. « insertion » Î « bloc », BD « Insérer » Î « parcourir » pour
rechercher le dossier où sont les blocs. Si on veut placer, agrandir, étirer librement le bloc
avec le curseur, cliquer « spécifier à l’écran » sur les trois cases correspondantes. Après
« OK », on amène l’objet à l’endroit voulu et en gardant le clic appuyé, suivant le sens de
déplacement de la souris, on agrandi l’objet, l’étire et on le penche.
Sinon, il faudra taper les coordonnées XYZ du point d’insertion, les échelles en XYZ et
l’angle si on veut que le bloc soit parallèle à une ligne existante.

7.2 Création d’un bloc


On peut vouloir créer un bloc que l’on pourra utiliser à la demande. On peut passer
par »fichier » Î « récupérer » Î « coller en tant que bloc » (à expérimenter). Ou encore,
enregistrer ce bloc sous un dossier que l’on viendra récupérer par « insertion » Î « référence
externe » (à expérimenter). On encore, dans un dessin en cours on veut recopier plusieurs fois
un motif que l’on vient de dessiner : « édition » Î « copier » et après avoir entouré ou cliqué
ce motif « édition » Î « coller en tant que bloc ».

8 REFERENCES EXTERNES

On peut être amené à importer sur le dossier en cours un autre dossier partiel ou
complémentaire. « insertion » Î « gestion référence externe » Î « attacher » ÎBD
« sélectionner fichier de référence » où l’on choisi le fichier à importer et « ouvrir ». Une BD
« référence externe », identique à celle de l’insertion du bloc apparaît, il faut décocher « point
d’insertion à spécifier à l’écran. Î OK. Le dossier importé apparaît alors sur l’écran avec le
dossier en cours. Si l’origine et le système de coordonnées sont identiques, ilfaut
enlever »spécifier à l’écran,échelle 1.0 par défaut et rotation ».

Mais, il faut confirmer cette insertion pour qu’elle réapparaisse quand on réouvrira le dossier.

Retourner à insertion et gestion des références externes. Il faut sélectionner le fichier qu’on
vient de charger Î « ajouter ». Apparaît une BD « ajouter Xrefs » Î cliquer insérer Î OK.

Cependant, il faudra utiliser le pétard pour désolidariser tous les points du dossier importé qui
est assimilé à un bloc.

9 CHANGEMENT DE SYSTEME DE COORDONNEES ET D’ECHELLE

9.1 Importation d’un dossier de coordonnées différentes

Page 4 sur 9
Quand on a importé une référence externe qui n’est pas dans le même système de
coordonnées, avant de l’éclater et si les coordonnées ne sont pas trop éloignées, on peut faire
un déplacement puis une rotation avec les deux icônes correspondantes de la barre d’outils. Si
son échelle est différente, on peut passer par l’icône « Echelle » de la barre d’outils et par la
barre de commande pour la procédure à suivre (objet, point de base, facteur d’échelle).

9.2 SCU (système coordonnées utilisateur)


Si les deux systèmes de coordonnées sont très différents (local Î UTM), on peut passer par
les SCU « outils » et nouveau SCU. Après avoir noté les ΔX et ΔY d’un point de base, passer
par « SCU origine » et introduire à la barre de commande –ΔX et –ΔY. Vérifier que les
nouvelles coordonnées sont bonnes. Après avoir calculé sur deux points A et B la rotation à
effectuer, repasser par nouveau SCU et introduire l’angle dans la rotation en Z, la rotation se
faisant autour de l’axe des Z. Vérifier que le point B a les bonnes coordonnées.

9.3 CHANGER L’ORIENTATION DESSIN SANS CHANGER LES COORDONNEES.

Tracer une ligne correspondant à l'horizontale recherchée (cette ligne apparaîtra


horizontalement sur le dessin final)
Taper la commande UCSFOLLOW, entrer la valeur 1
MenuÎOutilsÎNouveau SCUÎObjet
Cliquer la ligne définie en 1
Taper la commande UCSFOLLOW, taper la valeur 0
MenusÎOutilsÎNouveau SCUÎGénéral

10 ECRITURES

Avant de vouloir commencer à écrire, il faut définir le style et la grandeur des textes.
« Format » Î « style de texte » apparaît une BD où il faut définir le nom de la police, son
style, la hauteur, les effets sur les lettres.
Pour écrire : « dessin » Î « texte » Î « ligne » Î le curseur devient une croix et suivre les
instructions de la barre de commande. On amène le curseur à l’endroit où doit débuter le
texte, clic, on spécifie l’angle de rotation (0 pour écriture horizontale, 90 pour verticale
montante) « enter », on écrit le texte et deux fois enter pour terminer. Si on veut redémarrer,
retaper sur enter.

10.1 Modification d’une écriture


On n’est pas obligé d’effacer une écriture pour corriger une faute ou apporter une
modification . Il faut cliquer l’icône « éditer le texte » qui comporte la lettre A et un crayon.
Le curseur se transforme en □ (appelé poignée). Cliquer le texte à modifier. Une BD « éditer
le texte » apparaît où on peut apporter les modifications.

Ou encore, double-clic sur une écriture, une BD apparaît où l’on peut apporter la
modification.

Si on veut changer la taille d’une écriture existante, passer par modifier Î texte Î Echelle

10.2 Modification de la taille des matricules ou altitudes après importation


Cliquer droit l’écriture à modifier Î sélection rapide. Sélectionner le type d’objet (texte), le
calque qui contient les écritures et la valeur correspondante, OK ; recliquer droit l’écriture Î

Page 5 sur 9
propriétés, modifier la taille de l’écriture, OK, les écritures seront modifiées sur tout le
dossier. Si échec du reclic, on peut aussi passer par « modifications »et « propriétés ».

10.3 Modification de la police de l’écriture.


Problème quand on veut changer seulement une police, celle du titre par exemple. Dans
format, « style de texte » il faut introduire le nom du nouveau style que l’on peut trouver dans
la ligne inférieure à « police ». Sinon, tous les textes risquent d’être changés.

10.4 Modification par « propriété ».


On peut modifier les caractéristique des objets en cliquant sur les objet, puis en cliquant
« propriétés » dans « modifications ». Une BD permet de choisir les caractéristiques. Si les
caractéristiques de l’écriture n’apparaissent pas dans la BD, cliquer-gauche l’écriture pour les
faire apparaître.

11 ZOOM ET RECHERCHE IMAGE SUR ECRAN NOIR


La fonction Zoom est très importante pour agrandir ou réduire le dessin à l’écran. Elle peut
être obtenue de plusieurs manières.
- En tournant la molette centrale de la souris.
- En cliquant l’icône de Zoom dynamique (temps réel) +/-
- En cliquant l’icône de Zoom fenêtre, on trace un rectangle autour de la zone à agrandir
- En tapant Z dans la barre de commande et « enter », suivre les instructions de la barre.
NOTA : - quand on fait ‘Z, on ne supprime pas une application en cours.
- il arrive parfois que le déplacement avec la main bloque contre la limite de l’écran. Il
faut faire Z(zoom)Î « enter », « ET » (étendu) Î « enter » pour sortir du cadre.
- Il arrive que l’écran reste noir parce que le dessin s’est perdu quelque part à
l’extérieur. Il faut aller passer par « affichage » Î « vue aérienne » pour le
retrouver.

12 CARROYAGE
On peut faire apparaître un carroyage par la touche « grille » sous la barre de commande et
choisir l’écartement de ce carroyage par la barre de commande. On peut changer les petits
points en croisillons en passant par propriétés ou Format ( ?), soit en dessinant un croisillon et
en le polycopiant.

13 FONCTION F2
Au cours d’un travail, taper sur F2 affiche un tableau où apparaissent toutes les instructions
données à la barre de commande ainsi que tous les textes écrits dans le dessin.

14 IMPRESSION
Plusieurs méthodes peuvent être envisagées pour imprimer.
a) La plus simple consiste à passer par l’onglet « Présentation » au bas du dessin, le cliquer
droit . Apparaît une BD « configuration du tracé ». Avec l’onglet « périphérique de traçage,
on choisit l’imprimante. OK, le dessin apparaît sur une feuille. Sur la BD, choisir l’onglet de
mise en page. Pour l’échelle, 1mm pour une unité correspond au 1/1.000, on ne peut
descendre en dessous, il faudra attendre la phase ultérieure pour mettre la bonne échelle. OK.
On revient à une image de la feuille de papier avec un petit rectangle vert sur le coin gauche.

Pour pouvoir manœuvrer ce rectangle, cliquer la « fenêtre pleine » qui correspond à la


deuxième icône supérieure à gauche. Le rectangle passe au centre de la feuille où on peut le
manœuvrer en déplacement ou en agrandissement. Si on veut que le dessin soit à une échelle

Page 6 sur 9
déterminée, il faut remonter sur la barre supérieure, à droite des icônes « fenêtres ». 1 :1
correspond à 1/1.000, 1 :0.5 à 1/500, etc…(ne pas oublier 1 :) et « enter », puis sélectionner
la fenêtre sur la feuille. Quand l’échelle a été prise en compte, le dessin sur la feuille se met
automatiquement à l’échelle et on peut le faire riper pour arriver à cadrer la zone désirée.

NOTA : Il faut cliquer sur la barre basse « objet » ou « papier », suivant que l’on veut agir
sur l’objet (déplacement ou agrandissement) ou le papier (marge).

Clic droit sur présentation et « imprimer ».


Pour revenir à l’image sur l’écran, cliquer sur « objet ».
b) Le covadis 2000 associé à mon logiciel autocad, semble avoir quelques ratés et ne
fonctionne pas avec la méthode précédente. On peut alors passer par « fichier » Î
« imprimer ». Apparaît alors une BD. Par l’onglet « Périphérique », on choisit l’imprimante
de sortie, la disposition, le format papier. On passe ensuite à l’onglet « Paramètres du tracé ».
On peut alors, soit définir l’échelle (1mm pour1 Î 1/1.000, 1mm pour 2 Î 2.000, 1mm pour
0,5 Î 1/500). On va ensuite à « aperçu total ». Si le dessin dépasse le format de la feuille, on
va alors à « fenêtre » et on entoure la zone à imprimer, contrôle sur « aperçu total ».
L’impression sortira alors à une échelle quelconque, ce qui nécessite une échelle graphique
sur le dessin. On peut aussi envisager d’imprimer sur plusieurs feuilles en combinant
« fenêtre » et « échelle ».

15 REGENERATION
Il arrive qu’un calque ou qu’un dossier n’apparaisse plus sur l’écran quand on l’appelle ou
encore que son dessin soit altéré. Taper REGEN sur la barre de commande (régénération du
dessin) pour rétablir le document.
15b REGLAGE DE LA BARRE DE COMMANDE
Elle a pu être déréglée par une fausse manœuvre du curseur. OutilsÎOptionsÎonglet
affichage, mettre 3 lignes.

16 IMPORTATION D’UN FICHIER DE POINTS PAR COVADIS (15.02.2006)


Voir la Notice Covadis figurant dans le fichier

17 IMPORTATION FICHIER DE POINTS THEODOLITE AVEC LEICA SURVEY


OFFICE, SANS COVADIS (Etienne Lena) (15.02.2006)
Il sera donc nécessaire d’observer en XYZ et non en coordonnées polaires.
Démarrer comme indiqué dans la « notice COVADIS ». Quand les données ont été transférées
au dossier voulu, choisir le format IDEX > création d’un fichier *.idx
Fermer la fenêtre « transfert de données » et ouvrir « éditeur de coordonnées ». Ouvrir le
fichier *.idx créé précédemment et copier-coller les valeurs dans un tableau excel.
- Mettre impérativement les données en forme comme suit : X, Y, Z en majuscules, les
coordonnées doivent avoir le même nombre de décimales, la colonne des numéros de point
doit être formatée pour que ces numéros aient toujours le même nombre de caractères (2, 3, 4
ou 5). Pour cela, dans excel « format » > « cellule », BD onglet « nombre » > « texte » >OK.
Faire ensuite le ménage, il se peut que les coordonnées des stations soient erronées.
- Sauver ensuite le fichier au format *.txt (tabulation), dans un dossier le plus haut possible
dans l’arborescence.
- Ouvrir autocad > « outils » > « AutoLISP » > « charger », dans la boite de dialogue, aller sur
EXCEL_Autocad, sélectionner le fichier « CHARGE (x).LSP ou (x) correspond au nombre
de caractères des numéros de points, > « charge ». Revoir chemin, comme en 18-4).

Page 7 sur 9
- Autocad crée des calques pour les points, numéro et altitude. L’applicatif supprime les
virgules des coordonnées, aussi, l’échelle du dessin est multipliée par le nombre de chiffres
après la virgule. Voir en 9 comment rétablir l’échelle.

Pour avoir accès à toute la procédure et aux fichiers de calcul à charger, aller dans « Mes
documents »Î »Topo » Î « Excel-Autoc-Lena ».

18 IMPORTATION D’UN FICHIER DE POINTS THEODOLITE(Thomas Arnoux)


(15.02.2006)
Cette méthode est à utiliser quand on n’a pas « Leica Survey Office » ni « Covadis » pour
importer les points issus des observations au théodolite en mode XYZ et non polaire.
Après avoir branché le théodolite sur le PC, on peut passer par les fonctions de son
ordinateur :
Ordinateur : « démarrer » Î « programmes » Î « accessoires » Î « communications » Î
« hyperterminal » Î « aa.ht » ou leica, apparaît une BD »hyperterminal » Î « transfert » Î
« capturer le texte », apparaît la BD « capturer le texte », choisir le nom de fichier créé pour et
Î « démarrer ». L’ordinateur se met alors en attente du réglage du théodolite, variable
suivant les modèles.

1) Créer un fichier de points au format texte (txt) dans un éditeur de texte (notepad par
exemple)
Le format doit être le suivant
NumXabscisseYordonnéeZaltitude Æ 1X123.234Y453.366Z567.567
2X657.454Y986.465Z675.456
etc…
Il n’y a pas de restriction concernant le nombre de chiffres avant ou après la virgule,
seules les lettres X, Y et Z doivent séparer les coordonnées.
Malheureusement, la mise en forme doit être faite à la main.

2) Ouvrir Autocad, menu Outils Æ AutoLISP Æ Charger. Dans la boite de dialogue,


sélectionner le fichier « charge_pts.lsp » fourni par thomas Arnoux.

3) Sur la ligne de commande Autocad, taper l’instruction pts pour lancer la fonction de
chargement des points.

4) Sur la ligne de commande Autocad, saisir le chemin et le nom du fichier de points


(exemple c:/topo.txt) puis valider. Ne fonctionne pas !

5) Les points sont chargés. Le fichier est chargé sur trois couches : une pour les points, une
pour leur numéro, une pour leur altitude.

19 IMPORTATION D’UN FICHIER DE POINTS EXCEL SANS COVADIS


(15.02.2006)
On peut importer un fichier de points excel, à condition de le convertir en fichier texte et de
procéder comme en 18-1). Une application « générateur_B_pts » existe dans le dossier
« excel-autocad-arnoux », lui-même situé dans le dossier « topo » de ce portable.
Il faut suivre ensuite la même procédure qu’en 18. Opération effectuée avec succès en
septembre 2006 à partir d’un fichier excel tapé par moi-même.

20 IMPORTATION D’UN FICHIER EXCEL SUR COVADIS (mis à jour le 24.09.2006)

Page 8 sur 9
Si on a un tachéomètre optique et qu’on a calculé les points sur Excel, on peut importer le
fichier des points N°, X, Y, Z sur Covadis.

Le fichier Excel devra être converti en fichier texte (séparateur/tabulateur), après avoir
transformé les virgules en points et supprimé la ligne où figurent les titres de colonnes (voir
notice Excel).
Ouvrir Covadis 2DÎPts topoÎChargements semis, apparaît une boîte de dialogue qui
indique : choix du fichier, choix du format ( txt avec séparateur), définition du point topo qui
donne accès à une BD secondaire avec paramétrage des points. Le semis importé est réparti
en trois calques : topoalt(altitude), topojis(points) et topomat (numéro pt ou matricule)
Décomposition du bloc de points : L’ensemble point-altiude-matricule forme un bloc. Si on
efface un élément, les autres le sont aussi. Pour les dissocier : Covadis2DÎpoints topoÎ
décomposition points blocs. Dans la BD, choisir le bloc à décomposer et le mode (manuel,
tous les blocs, etc…). Expérimenté avec succès le 24.09.2006.

21 CHANGER L’ORIENTATION DU DESSIN SANS CHANGER LES


COORDONNEES.

Tracer une ligne correspondant à l'horizontale recherchée (cette ligne apparaîtra


horizontalement sur le dessin final)
Taper la commande UCSFOLLOW, entrer la valeur 1
MenuÎOutilsÎNouveau SCUÎObjet
Cliquer la ligne définie en 1
Taper la commande UCSFOLLOW, taper la valeur 0
MenusÎOutilsÎNouveau SCUÎGénéral

LEVER DE FACADE, AUTOCAD OVERLAY

3D L’icône représentant un cube (accessible par « affichage »Î »barre d’outils »Î »vue »)


Permet de voir le lever de face, de dessus, etc…Une icône voisine permet de changer à
volonté le point de vue. Un inconvénient, les écritures ne suivent pas la rotation et peuvent
devenir illisibles.

Deux logiciels permettent de compléter Autocad pour le lever de façade :


Autocad Overlay qui permet de redresser les photos numériques et de les adapter au semis de
points pris au laser sur la façade. Lors de son installation, l’option « autocad overlay »
s’insère automatiquement dans autocad. « Image »Î »insert image », l’image apparaît.
« image »Î »correlate »Î »match », caler l’image sur deux points (rotation et mise à
l’échelle).
Revenir à « correlate »Î »Rubbersheet » apparaît une BD « Set control point »Î »add »,
faire alors correspondre les points image avec les points semis. Un degré polynomial apparaît
en fonction du nombre de points de calage. Prendre un degré moitié de celui affiché. Dans la
BD, exporter sous un nouveau numéro pour sauvegarder, ce qui évite de tout recommencer
s’il y a erreur de manipulation.

Page 9 sur 9

Vous aimerez peut-être aussi