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P

R
O
G
R
A
M
M
E

© reproduction interdite
P
R SOMMAIRE
O
Protéger à Prévenir
G
Examen
R Faire alerter à Informer
A Secourir
M
M La victime saigne abondamment
La victime s’étouffe
E
La victime se plaint de sensations pénibles et/ou présente des signes
anormaux
La victime se plaint de brûlures
La victime se plaint d’une douleur empêchant certains mouvements
La victime se plaint d’une plaie qui ne saigne pas abondamment
La victime ne répond pas, elle respire
La victime ne répond pas, elle ne respire pas

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P
R
PRÉSENTATION DE LA
O
G
FORMATION SST
R
A
Formation initiale durée de 12h00 hors temps de pause en
M contrôle continu
M
A l’issue de la formation certificat SST
E

1er recyclage : 12 mois qui suivent la formation initiale

Après le premier recyclage, la périodicité des suivants est


fixée à 24 mois

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François Dupont

René Durand

CREFOPS Sud-Ouest
31.12.2036
st
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O
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m
CR he 0
c 15
8 33

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P
R
O OBJECTIF GÉNÉRAL DE LA
G FORMATION SST
R
A
M
M A l’issue de cette formation vous serez capable de mettre en

E œuvre des techniques et des gestes élémentaires de


secourisme pour maintenir en vie une victime jusqu’à
l’arrivée des secours spécialisés

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R
É
G
L
E CODE DU TRAVAIL
M
E
N FORMATION SECOURISME
T
A
T
I
O
N
Article Article
R 241-39 R 241- 40
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PLAN D’INTERVENTION S.S.T.
EXAMINER ALERTER à
INFORMER
IR à
EV ER
PR EG
EN

R
RI
OT

U
CO
PR

SE

MOINS DE TROIS MINUTES POUR AGIR


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PLAN D’INTERVENTION S.S.T.

MOINS DE TROIS MINUTES POUR AGIR


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Fin du
diaporama
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R
É
G Article R 241-39
L
E
Dans chaque atelier où sont effectués des travaux
M
E dangereux, dans chaque chantier occupant vingt personnes
N au moins pendant plus de quinze jours où sont effectués
T des travaux dangereux, un membre du personnel doit avoir
A reçu obligatoirement l’instruction nécessaire pour donner
T
les premiers secours en cas d’urgence.
I
O Les salariés ainsi formés ne peuvent être considérés

N comme tenant lieu d’infirmières ou infirmiers prévus à


l’article R 241-35

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R

Article R 241-40
É
G
L
E
M
Lorsque l’activité d’une entreprise ou d’un établissement
E
N comporte un travail de jour et de nuit et en l’absence

T d’infirmières ou d’infirmiers, ou lorsque leur nombre,


A calculé conformément aux dispositions de l’article R 241-
T 35, ne permet pas d’assurer une présence permanente de
I ce personnel, l’employeur prend, après avis du médecin
O
du travail, les dispositions nécessaires pour assurer les
N
premiers secours aux accidentés et aux malades.

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P
R
PROTEGER à PREVENIR
O
T
Qui?
E
G
Pourquoi?
E Comment?
R
DÉFINITION :

C’est reconnaître, sans s’exposer soi-même, les risques


persistants qui menacent la victime de l’accident et les
autres personnes exposées.


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P
R ANALYSE D’UNE SITUATION
O
T
E ACCIDENT
G
E
R
J’évalue la présence

1
de dangers pour:
le sauveteur,
la victime
les tiers

2
Je repère les
personnes exposées
aux dangers
identifiés

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L’Accident
travaille à
proximité
de pièces
nues sous
tension Tableau
contact avec électrique
pièces nues
sous tension
Victime

Électrisation

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Le processus d’apparition du dommage
Situation
dangereuse
Danger
Évènement
dangereux

Personne

Dommage = Lésion

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Processus d’apparition du
dommage

Zone dangereuse

Personne Situation
Danger
dangereuse
Zone de présence

Événement
dangereux
Dommage = Lésion GRAVITE

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La situation de l’accident

Zone dangereuse

Victime Danger

Situation
dangereuse

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P
R
LES RISQUES PERSISTANTS
O
T
E
G
Risques Risques
E électriques
mécaniques
R

Risques d’incendie Risques d’atmosphère


et/ou d’explosion toxique

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P
R
LES RISQUES MECANIQUES
O
T
E
Chutes de plain-pied
G
E Chutes de hauteur
R Écrasement

Brûlures

Coupures

Choc

etc.…


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P
R
O LES RISQUES ÉLECTRIQUES
T
E
G Court-circuit
E
Sur-tension
R
Arc électrique

etc…


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P

LES RISQUES D’INCENDIE


R
O
T ET/OU D’EXPLOSION
E
G
E
Origine du feu
R
Gaz

etc…


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P
R
O LES RISQUES D’ASPHYXIE
T
E
G
E
Produits chimiques
R Échappement

Fumée

etc…


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P
R PEUT-ON SUPPRIMER LE
O RISQUE ?
T
E
G
E Si oui le faire ou le faire faire

R
Stopper la source du problème


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P
R BALISAGE
O
T
E Balisage de la zone de façon visible avec tous les moyens
G possibles:
E
Personnes
R
Chaises

Tables

Cône de chantier ou ruban

etc…


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P
R DÉGAGEMENTS D’URGENCE
O
T
E
G
Traction par les chevilles
E
R

Traction par les poignets


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E
X EXAMINER
A
M
I
DÉFINITION :
N
E
R C’est rechercher les signes qui indiquent que la vie
de la victime est menacée.


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E
X LE TRIANGLE DE LA VIE
A
M
I
N
E
R

SA
GN

N
O2
SA

G
SANG


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E
X LE BILAN
A
M
I
Recherche de saignements abondants éventuels
N
Recherche des signes d’étouffement
E
Recherche de la conscience par questions et ordres simples
R
Mettre la victime sur le dos si elle est inconsciente

Libération des voies aériennes : col, cravate, ceinture puis bascule


prudente de la tête.

Ventilation : joue, oreille, yeux (JOY) 10 sec


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E
X
VICTIME
A SUR LE VENTRE
M
I
N
E
R


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E
X
LVA
A Libération des Voies Aériennes
M
I
N
E Langue
Fosses nasales
R
Luette

Épiglotte

Trachée

Œsophage


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© reproduction interdite
E
X J.O.Y (Joue, oreille, yeux)
A
M 10 sec
I
N
E
R


© reproduction interdite
A
L LE MESSAGE D’ALERTE
E
R
N° Téléphone
T
E Nature du problème

R Risques

Localisation

Nombre de victimes

Description de l’état de chaque victime

Premières mesures prises et gestes effectués

Répondre aux questions de l’opérateur

i Consignes


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A
L CONSIGNES POUR LE TÉMOIN
E
R
T Faire répéter le message
E Ne jamais raccrocher le premier
R
(vous pouvez raccrochez)

Rendre compte

Accueillir les secours


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A
L ALERTE AUX POPULATIONS
E
R LA SIRÈNE DIFFUSE UN SIGNAL PROLONGÉ, MODULÉ DE TROIS
T FOIS UNE MINUTE QUARANTE ET UNE SECONDES AVEC UN
INTERVALLE DE CINQ SECONDES.
E
5 secondes 5 secondes
R

1’41’’ 1’41’’ 1’41’’

LORSQUE LE DANGER EST ÉCARTÉ, LA SIRÈNE DIFFUSE UN


SIGNAL SONORE CONTINU DE 30 SECONDES.

30 secondes


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A
L OUI NON
E
R
T
E
R


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A
L NUMÉROS D’URGENCE
E
R 18 POMPIERS

T
E 17 POLICE /
GENDARMERIE
R

15 SAMU * SMUR *

* Service d’aide médicale d’urgence


* Service mobile d’urgence et de réanimation

112 N° EUROPÉEN

115 SAMU SOCIAL


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A
L QUE FAIRE?
E
R
Le protocole est établi dans l’entreprise
T
Accueil
E
Standard
R
Poste de sécurité
Ou autres

Le protocole n’est pas établi dans l’entreprise


Protocole par défaut
18 incendie
15 urgence médicale


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S
E LA VICTIME SAIGNE
C
ABONDAMMENT
O
U
R
I Appui manuel Point de compression
R a distance
ou tampon relais

Les cas Le garrot


particuliers


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S
E LA VICTIME SAIGNE
C
ABONDAMMENT
O
U
R
I
R

Appui manuel Les cas


ou tampon relais particuliers


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S
E L’ APPUI MANUEL OU POSE
C D’UN TAMPON RELAIS
O
U
Repérer l’origine du saignement;
R Examiner l’état de la plaie;
I Se protéger la main à condition de ne pas retarder le délai
R d’intervention.

Arrêter l’hémorragie immédiatement en comprimant directement


l’endroit qui saigne avec la paume de la main.

Allonger la victime en position horizontale.

Faire alerter ou alerter.

Pose d’un tampon relais puis un autre si besoin pour alerter.

Action complémentaire


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SANS ARRÊTER LE
S
E
C SAIGNEMENT
O
U
R
3 MIN
I
R
COMPRESSION MANUELLE ET/OU TAMPONS RELAIS

1 COMPRIMER L’ENDROIT QUI SAIGNE

2 ALLONGER HORIZONTALEMENT


FAIRE UN TAMPON RELAIS
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S
E ARRET D’UN SAIGNEMENT
C AVEC UN CORPS ETRANGER
O
U
R
I Examiner l’état de la plaie
R Ne pas enlever le corps étranger

Suivre les consignes du centre 15

Action complémentaire


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S
E ACTIONS COMPLÉMENTAIRES
C
O
U
Peut se faire aider par un témoin ou la victime
R
Couvrir pour conserver la chaleur (sauf la plaie)
I
R Réconforter la victime pour apprécier sa conscience.

Contrôler le geste technique et surveiller la plaie en


permanence.

Si le tampon relais n’arrête pas totalement le saignement, le


compléter par la pose d’un second


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S
E
C
LES CAS PARTICULIERS
O
Comprimer la narine tête
La victime saigne du nez.
U en avant pendant 10’

R La victime vomit ou Mettre au repos.


crache du sang. Alerter les secours
I
Autres hémorragies. médicalisés.
R


© reproduction interdite
© reproduction interdite
© reproduction interdite
S
E LA VICTIME S’ETOUFFE
C
O
U
R Obstruction
I partielle
R

Obstruction Adulte et Nourrisson


totale enfant + 1


© reproduction interdite
S
E LA VICTIME S’ETOUFFE
C
O
U
R Obstruction
I partielle
R

Obstruction Obstruction Nourrisson


totale adulte totale enfant


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S
OBSTRUCTION TOTALE OU
E
C PARTIELLE DES VOIES
O AERIENNES
U
R
I Est-ce que tu t’étouffes ?
R

üObstruction partielle
üObstruction totale


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S
OBSTRUCTION PARTIELLE
E
C
DES VOIES AERIENNES
O
U
R
Position de repos
I
R Encourager la victime à tousser
Demander un avis médical centre 15
Surveillance attentive de la respiration


© reproduction interdite
S
OBSTRUCTION TOTALE DES
E
C
VOIES AERIENNES (ADULTES)
O
U
R
I
R

üDonner 5 claques dans le dos


üSi inefficace : 5 compressions abdominales (HEIMLICH)
üAction complémentaire


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S
OBSTRUCTION TOTALE DES
E
C
VOIES AERIENNES(ENFANT)
O
U
R
I üDonner 5 claques dans le dos
R La technique peut être améliorée en basculant à plat
ventre sur les genoux du secouriste
üSi inefficace : 5 compressions abdominales (HEIMLICH)
üAction complémentaire


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S
E DÉSOBSTRUCTION CHEZ
C NOURRISSON
O
U
R
I
R

Donner 5 claques dans le dos.


Si inefficace : 5 compressions sternales
Action complémentaire


© reproduction interdite
S
E
ACTIONS COMPLÉMENTAIRES
C
O
U
R
Faire alerter les secours d’urgence
I
Contrôler les signes d’efficacité
R
Arrêter les manœuvres dès que la désobstruction est obtenue

Couvrir et mettre en position de repos si désobstruction

Réconforter la victime

Si la victime obstruée devient inconsciente: pratiquer la RCP


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© reproduction interdite
S
E
C
O Le secouriste pose des
U
questions, la victime répond
R
I
aux questions du secouriste.
R

On en déduit que la victime est


consciente


© reproduction interdite
S
E
C
O Le secouriste pose des
U
questions, la victime ne répond
R
I
pas.
R

On en déduit que la victime


n’est pas consciente


© reproduction interdite
S
E
C
O
U
R LA VICTIME SE PLAINT DE
I
SENSATIONS PÉNIBLES ET/OU
R
PRÉSENTE DES SIGNES
ANORMAUX


© reproduction interdite
S
E
C
O
U
R LA VICTIME SE PLAINT DE
I
SENSATIONS PÉNIBLES ET/OU
R
PRÉSENTE DES SIGNES
ANORMAUX


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S
E RECONNAÎTRE LES SIGNES
C
D’UN MALAISE
O
U Apprécier la présence et l’état des fonctions vitales.
R
Mettre au repos
I
Écouter, Questionner
R
Observer

Apprécier l’état de la victime en vue de prendre un avis


médical

Action complémentaire


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S
E
C QUESTIONS
O
U
R
I 1. Depuis combien de temps dure ce malaise ?

R 2. Avez-vous déjà présenté ce type de malaise ?

3. Avez-vous des médicaments ?

4. Avez-vous été gravement malade ou récemment


hospitalisé ?


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S
E
C OBSERVER
O
U
R
I 1. Signes cutanés (pâleurs, sueurs)

R 2. Troubles du comportement

3. Paralysie (membres ou visage)

4. Troubles digestifs visibles (vomissements)

5. Troubles de la parole

6. Agitation

7. Pâleur


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S
E ACTIONS COMPLÉMENTAIRES
C
Lui conseiller de s’allonger ou respecter la position où
O
elle se sent le mieux.
U
R Couvrir pour conserver la chaleur

I Réconforter la victime pour apprécier sa conscience.


R Aider la victime, à sa demande, à prendre son
médicament ou un sucre.

Etre discret dans la transmission des informations.


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S
E
C
O
U
R
I
R

© reproduction interdite
S
E LA VICTIME SE PLAINT DE
C BRÛLURES
O
U
R
I
R Brûlures Brûlures
thermiques chimiques

Cas particuliers


© reproduction interdite
S
E LES BRÛLURES THERMIQUES
C
O Brûlures provoquées par le feu, la chaleur ou le froid.

U Arroser pour éteindre et refroidir à faible pression

R jusqu’à l’obtention d’un avis médical

I Retirer les vêtements le plus possible, sans ôter ceux qui

R adhérent à la peau.
Action complémentaire


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S
E LES BRÛLURES CHIMIQUES
C
O
U Brûlures provoquées par contact avec un produit

R corrosif ou irritant.

I Enlever les vêtements du haut vers le bas.

R Arroser pour rincer en diluant un maximum de produit.


Rincer jusqu’à l’arrivée des secours.
Faire piétiner sous la douche.
Action complémentaire


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S
E LES CAS PARTICULIERS
C
Brûlures d’origine électrique.
O § Mettre la victime au repos
§ Avis médical indispensable
U
§ Suivre les conseils des secours
R
I
Brûlures internes par inhalation ou ingestion de substance
R
corrosive ou irritante.
§ Placer la victime en position demi-assise (difficultés
respiratoires)
§ Avis médical indispensable
§ Surveiller la victime et garder l’emballage
§ Suivre les conseils des secours.


© reproduction interdite
S
E ACTIONS COMPLÉMENTAIRES
C
O
U
Alerter les secours
R
I Après arrosage, sauf gêne respiratoire, allonger la victime

R sur la région non brûlée

Surveiller la victime, de manière continue, toutes les deux


minutes au moins


© reproduction interdite
© reproduction interdite
S
E
C
O
U
R
I
R

© reproduction interdite
S
E
LA VICTIME SE PLAINT D’UNE
C DOULEUR EMPÊCHANT
O CERTAINS MOUVEMENTS
U
R
I
R

Membres Dos, nuque et tête


© reproduction interdite
S
E MEMBRE SUPERIEUR OU
C INFERIEUR
O
U
Déterminer le siège possible de la fracture ou de
R
l’atteinte articulaire.
I
Respecter la position prise par la victime.
R
Éviter toute manipulation intempestive.

Action complémentaire


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S
E DOS, NUQUE ET/OU TETE
C
O Respecter la position prise par la victime.
U Éviter toute manipulation intempestive.
R
Alerter
I
Immobiliser la tête dans la position où elle se trouve
R
Action complémentaire


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S
E
C
ACTIONS COMPLÉMENTAIRES
O
U
Couvrir pour conserver la chaleur avec une couverture,
R
des vêtements de travail ou autres, principalement le haut
I
du corps. Ne pas recouvrir la supposée fracture.
R
Surveiller la victime afin de repérer une éventuelle
aggravation de son état.

Réconforter la victime en lui parlant.


© reproduction interdite
© reproduction interdite
S
E LA VICTIME SE PLAINT D’UNE
C PLAIE QUI NE SAIGNE PAS
O
U
ABONDAMMENT
R
I
R

Plaies graves Plaies simples

Section de membre


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S
E LA VICTIME SE PLAINT D’UNE
C PLAIE QUI NE SAIGNE PAS
O
U
ABONDAMMENT
R
I
R

Plaies graves Plaies simples

Section de membre


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S
E PLAIES GRAVES
C
O
Identifier la gravité de la plaie
U
Mettre la victime en position d’attente
R
Si corps étranger , ne jamais le retirer
I
Alerter les secours
R
Protéger la victime du froid

Action complémentaire

Plaie à l’abdomen Plaie au thorax


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S
E
C
PLAIE À L’ABDOMEN
O
U
R
I
R


© reproduction interdite
© reproduction interdite
PLAIE AU THORAX


© reproduction interdite
© reproduction interdite
S
E SECTION DE MEMBRE
C
O
U
R Récupérer le segment sectionné.

I Le placer dans un sac plastique.

R Le déposer dans un autre sac contenant des glaçons


ou de l’eau fraiche (inférieure à 15°C)
Intercaler un linge entre le sac et les glaçons

Action complémentaire


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S
E PLAIES SIMPLES
C
O Nettoyer avec un antiseptique non coloré.
U Nettoyage de l’intérieur vers l’extérieur.
R Protéger la plaie avec un pansement.
I
Action complémentaire
R


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S
E
C ACTION COMPLÉMENTAIRE
O
U
R
I
S’assurer que la victime est à jour dans sa vaccination
R
contre le tétanos


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© reproduction interdite
S
E
C
O
U
R
I
R

© reproduction interdite
S
E LA VICTIME NE RÉPOND
C
O
PAS, ELLE RESPIRE
U
R
I
R
Mettre la
victime sur le
côté

Cas particuliers

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S
E VICTIME SUR LE DOS
C
O
U Quelle que soit l’origine de l’accident
R
mise en P.L.S (position latérale de
sécurité).
I
Ouvrir la bouche sans mobiliser la tête
R
Action complémentaire


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S
E CAS PARTICULIERS
C
O
U
Pour la femme enceinte faire la P.L.S toujours du côté
R gauche de la victime.
I Pour les nourrissons et enfants mettre sur le côté
R Convulsions : Attendre la fin , si elle ventile P.L.S.
Pour la victime avec une fracture faire la P.L.S du côté
blessé
Action complémentaire


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S
E ACTIONS COMPLÉMENTAIRES
C
O
U
R
I Couvrir pour conserver la chaleur
R
principalement le haut du corps.
Placer en permanence une main sur le
ventre de la victime pour la surveillance.

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S
E
C
O
U
R
I
R

© reproduction interdite
S
E
LA VICTIME NE RÉPOND PAS,
C ELLE NE RESPIRE PAS
O
U
R
I B.A.B OU
D.A.E
R B.A.B ET NEZ

R.C.P R.C.P R.C.P


ADULTE ENFANT NOURRISSON


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S
E
REANIMATION CARDIO-
C PULMONAIRE CHEZ L’ADULTE
O
(R.C.P)
U
R
Faire alerter et réclamer un DAE
I
Allonger la victime sur le dos et sur un plan dur.
R
30 compressions sternales et 2 insufflations.

Effectuer une poussée verticale de 4 à 5 cm.

La fréquence instantanée des compressions doit être de 100/mn.

Pose d’un DAE.

Cas particuliers


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S
E
COMPRESSION / INSUFFLATION
C
O
U
R
I
R

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S
E
COMPRESSION / INSUFFLATION
C
O
U
R
I
R
La compression doit être égale au relâchement
30 massages 2 insufflations 30 massages

1 2 3 29 30 1 2 3 29 30

et et et et et et et et et et


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S
REANIMATION CARDIO-
E
C
PULMONAIRE CHEZ L’ENFANT 1
O à 8 ans (R.C.P)
U
Faire alerter et réclamer un DAE
R
Allonger la victime sur le dos sur un plan dur.
I
5 insufflations.
R
30 compressions sternales et 2 insufflations.

Effectuer une poussée verticale de 1/3 de l’épaisseur du thorax avec un


seul bras.

La fréquence instantanée des compressions doit être de 100/mn.

Effectuer 5 cycles de RCP avant la pose d’un DAE.


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S
E
COMPRESSION / INSUFFLATION
C
O
U
R
I
R
La compression doit être égale au relâchement


© reproduction interdite
S
E
C INSUFFLATIONS EFFICACES
O
U
R
I
R


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S
REANIMATION CARDIO-
E
C
PULMONAIRE CHEZ LE
O NOURRISSON - 1an (R.C.P)
U
R Faire alerter.

I INTERDICTION D’UTILISER UN DAE.

R Allonger la victime sur le dos sur un plan dur.

5 insufflations.

30 compressions sternales et 2 insufflations.

Effectuer une poussée verticale de 1/3 de l’épaisseur du thorax


avec deux doigts.

La fréquence instantanée des compressions doit être de 100/mn


© reproduction interdite
S
E
COMPRESSION / INSUFFLATION
C
O
U
R
I
R
La compression doit être égale au relâchement


© reproduction interdite
S
E
C
DAE adulte et enfant
O Mettre le défibrillateur en marche (selon l’appareil).
U Suivre les indications vocales ou/et visuelles de l’appareil.
R Dénuder ou couper les vêtements.

I Poser les électrodes sur le thorax nu et sec de la victime.

R Le DAE lance l’analyse, ne pas toucher la victime.

Si le DAE annonce un choc, se tenir à distance de la victime.

Laisser le DAE déclencher le choc électrique ou appuyer sur le bouton


« choc ».

Débuter ou reprendre sans délais les manœuvres de RCP.

En aucun cas, ne retirer les électrodes de la poitrine ou/et éteindre le


DAE.

Cas particuliers


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Prise en charge de l’arrêt circulatoire chez
l’adulte

ØExaminer
ØInconscience
ØAbsence Médicalisation
de ventilation
Alerte des
15 / 18 secours

Mise en Mise en
Place du Œuvre
R.C.P. D.A.E.
D.A.E

© reproduction interdite
S
E
C CAS PARTICULIERS
O
U Retirer le timbre autocollant médicamenteux.
R
Présence d’un boitier sous la clavicule droite : déplacer
I
l’électrode.
R
Sur une surface métallique : déplacer la victime.

Victime sur un sol mouillé : la déplacer et sécher son torse.

DAE interdit pour les nourrissons.


© reproduction interdite
S
E
C CAS PARTICULIERS
O
U
R
Absence de témoin (Adulte, enfant et nourrisson)
I
R La poitrine ne se soulève pas


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