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her

cheveux noirs - grands cils - yeux noisette - débardeur blanc - short en jean noir
- chemise rouge et noire - écouteurs blancs dans la poche - une pochette en
pendouille

uma
pierrot
tempus vernum
moment cute
MAelk

17 novembre 15:00

________________________

L'atmosphère de la salle était éthérée, et le visages de ses deux occupants


imprimés de manque de sommeil, contrairement à leur nouvelle jeune compagne fraîche
et souriante.

« Appelez-moi Uma »

« – Uma, comme Uma Thurman?, demanda MAelk en changeant de position.


– Uma comme “nation” en crépusculien.
– C'est quoi ça? un pays?
– d'où t'es tombée, petite ?
– on a le même âge, Mlle MAelk.

Elle leva la main en signe d'excuse.


– Tu pose tes questions d'une façon et d'un ton enfantin.
– C'est pas grave.

Elle la regardait dans les yeux. Son sourire n'a pas quitté son visage.

– Je viens du monde de la guerre.


– Ça ne me dit rien. C'est où ?
– Je ne sais pas.
– Pierrot, tu peux chercher ?

Réveillé pour la nième fois d'une interminable rêverie, il cligna des yeux une
douzaine de fois avant de répondre d'une voix fluette empreinte de toux :

– ça va prendre du temps.
– Si Requiem était là, c'aurait été plus facile.

– Il cherche où ?
– Dans sa tête.

– il a un endroit dans sa tête qu'il appelle le Mind Labyrinthe. Il y stocke toutes


les informations et souvenirs de façon ordonnée. Avec cette technique il est sûr de
ne jamais rien oublier.
– Monsieur Pierrot est bizarre.
– On dit aussi qu'il vit dans sa tête avec son imagination, vu qu'il a été
longtemps seul.
– Et qu'est-ce qu'il fait ?
– Il collectionne ses essais écrits depuis le collège, les admire et les
perfectionne.
– Il est fou ce Pierrot.

– Pierrot Le Fou était déjà pris.


– C'est plutôt Pierrot le narcissique.
– Je préfère perfectionniste.

– Moi aussi j'ai plusieurs noms. Chacun m'appelait comme il veut. Weena, Taka no
ko, Novy, Ohkō,... mais je préfère Uma. Nation.... C'est mon père qui me l'a donné.

– Vous avez un surnom, Mlle MAelk?

– Disons qu'ici, il faut s'estimer heureux d'avoir un prénom. Le mien c'est Requiem
qui me l'a donné. Je ne sais pas ce que ça veut dire, c'est son algorithme qui a
donné cet enchaînement de lettres. Avant j'avais un prénom commun et un nom
générique, le même que tout le monde dans cet orphelinat d'où je viens.

– C'est quoi un orphelinat ?


– un endroit où on garde des enfants sans parents.

"ah"

– et c'est quoi un algorithme ?


– C'est le mode de fonctionnement et de pensée des appareils informatiques.

– Requiem était un androïde. Un humain fait de bout de métal et de peau synthétique


avec un ordinateur dans la tête branché à des câbles d'énergie.
– C'est ton amie?
– Oui.
– Et où est-elle?
– Morte. Mais faut plutôt dire désactivée.
– Pourquoi ?
– C'était son utilité. Des Reines-androides il y en a toujours eu. Personne ne fais
la différence entre eux, mais moi je n'oublie pas Requiem.

– T'as rien compris hein?

Cet univers, l'Axe centrale, est commandé par des androïdes depuis toujours. Elles
reçoivent des informations directement de User, comme ça il est sûr que cet univers
principal ne lui échappe pas. Mais a mesure que le temps passe, leurs pièces
vieillissent, leurs systèmes devient précaire, et elles développent une espèce de
facette humaine émotionnelle. Quand c'est le cas, elle sone débranchées et
remplacées.

– et les gens ne disent rien?


– Ils se contentent de crier : « La reine est morte! Vive la reine!».

"ah"

– Mais Requiem était un cas à part. Avant d'être d'ici, c'était une forme de vie
consciente. Elle s'est développée dans l'ordinateur de User sous le nom de
Bug#19A37C. User a appréciée son côté intelligent et compréhensif, tellement qu'il
lui a laissé le contrôle de son ordinateur, donné un nom, un corps, et une utilité.
Naquit Requiem, implantée il y a 50 ans, qui a régné plus que toute autre, bien
qu'étant la créature la plus angélique de tout l'univers.

Dès le départ, elle était douée d'une empathie et d'une gentillesse sans borne.
elle aimait tout le monde et souriait tout le temps. Elle était savante et réglait
les problèmes de la meilleure façon possible. Personne ne regrettait son règne
pacifique. Oui, ça ressemble à une utopie idyllique, mais c'était le cas.

– C'était vraiment le pays de Bisounours.

– Il y a un "mais" c'est ça ?
– Pourquoi il y a toujours un mais?

Le temps passa, et elle oublia l'existence de User, se passa de ses consignes et se


plongea entièrement dans son rôle de chef d'état. Le mec devait être jaloux....

elle regarda Pierrot.

– très jaloux même, que plus personne, même pas ses petites créations, ne se
souciaient de lui, surtout celle qui lui a à un moment donné un peu d'intérêt.
Vu qu'elle était parfaite et irréprochable, il n'avait pas de raison de la
supprimer, il envoya un danger pour détruire sa chère ville.

– Le mec est allé cherché le pire, mais même une armée de morts commandée par un
seigneur des enfers ne peut pas venir à bout de moi et mon armée.
– et après on me reproche de flatter ton égo.
– Je suis orgueilleuse, pas égocentrique. Nuance.

– Tu as une armée?
– non. je suis le commandant de l'armée de Requiem, après elle évidemment.

– La petite troupe des enfers est décimée, mais le portail vers l'enfer était
encore ouvert et laissait entrer tout et n'importe quoi de l'au-delà. C'est alors
qu'un inconnu ferme le portail après y avoir été demander à quelques potes à lui
comment la refermer.

– laisse-moi dorer la légende et tais-toi. Bref, la ville fut à moitié détruite, le


peuple demanda changement, et Requiem, stoïque et juste jusqu'au boit, se tint
responsable de tous les dégâts, s'assit sur son trône câblée, et court-circuit.

Mais bizarrement après tout ce bordel, User n'a plus vraiment envie de ses univers,
alors il a allumé le mode : fin du monde, et regarde tout ce beau petit monde
disparaître petit à petit.

– Requiem c'était une très belle personne. Elle méritait mieux que de se sacrifier
pour rien.

– C'est pour ça que c'est si.... dangereux par ici? A cause de User?
– Oui.

pierrot était réveille et la regardait tristement.

– Alors?
– hein? oui, je l'ai trouvé. Univers n° 235R. A quelques étages en haut. d'ailleurs
comment est-tu arrivé ici?

– il y a un puit qu'on appelle le gouffre des mondes. j'ai sauté et je suis tombée
ici devant cette tour. J'ai vu qu'il était écrit "Here The Unique : Safe in here"
du coup j'ai frappé.

– Pourquoi? c'est si mal chez toi?


– Je veux plus y vivre.
– Si mal que ça?
[ A suivre ]
-------------------------_--------
– Je ne veux juste pas y retourner.
– Attends, tu t'es enfuie de chez toi? en te jettant dans un puit? Pourquoi tu as
fais ça?
– La vie est difficile là bas.

Je viens d'une île qui est proche de la grande Astrée, un peu le centre du monde.
Mon père m'avait procréé seul, et m'a apparis les bases dans le peu de temps qu'il
a vécu. ensuute j'ai grandi seule, puis un jour, le gouverneur a trouvé bon de
s'attirer les grâces de la sphère en lui donnant les rebelles et les enfants de
rebelles qui se cachent sur l'île pour faire bonne impression et obtenir quelques
grâces. mon père était l'un d'eux alors on s'est pris à moi et je me suis enfuie.

puis j'ai travaillé de pays en pays et rencontré des gens et vu des choses...

elle fit une pause. le sourire avait disparu.

... puis je suis tombée sur une petite île cachée tout en bas, près de la mer, où
un gars qui s'appelle Hy-Kaïa, qui est un être bizarre qui ramasse les informations
depuis la nuit des temps. il m'a expliqué tout dur la boîte qui n'existe pas, le
monstre de fer qui se nourrit de désolation qui pousse tout le monde à faire la
guerre, la procréation par embryon pour tuer les faibles, le cannibalisme et la
déshumanisation de la sphère, et plein d'autres choses. puis sur Dawallon il y
avait karasny qui n'était pas mort et qui me dit que c'est un cadavre sauvé au
dernier moment par un sérum qui a fuité depuis Astrée.

Puis c'est devenu n'importe quoi. Hy kaia me confie un enfant puis m'enferme sur
l'ile. Une nouvelle guerre éclate et c'était bien la dernière, karasny tue la bête
de fer et périt avec, et le monde se transforme. il ne reste maintenant partout que
des enfants orphelins et estropiés comme moi que je dois garder sur Dawallon, et
Hy-kaïa qui ne me lâche plus. je n'ai pas aimé mentir à ses enfants comme quoi
c'est la fin du monde et qu'ils sont les choisis pour créer le paradis sur terre.

son visage prit une coloration noire effrayante. dans un effort, elle releva la
tête et sourit.

du coup, je me suis jetée dans le puit.

MAelk mit sa main sur don épaule.


- je n'ai pas compris grand chose, mais t'as pas eu une vie facile ça c'est sûr.
- c'est tes dessins que tu as brûlé?
- o..oui, mais il y en a encore une poignée là. j'en ait trop.

elle saisit un dossier au hasard, et l'ouvrit.

- ça c'est quoi ?
- c'est un gros poisson.
- c'est amusant. il ressemble à celui dont j'ai rêvé. il attaquait une île pour
protéger me reste du monde de son agressivité. puis une pourfendeuse a trouvé un
artefact et l'a tué. le a tribu s'est alors répandue dans le monde et ont massacré
tout le monde, jusqu'à ce sue cette même pourfendeuse interdit le génocide de ce
qui reste. elle finit tuée dans son sommeil.

– Pourquoi est-ce que tout le monde n'a que des histoires qui finissent mal à
raconter?
– T'as quelque chose de gai à nous dire?
– Non. mais j'ai quelque chose d'intéressant.
– ah, l'enfer, parle-nous-en tiens.

- askip il a fait un aller retour en enfer.


- et alors?
- il est intact.
- c'est quoi l'enfer?
_______________________

- je t'en prie, fais-toi plaisir.

- d'ailleurs je la connais pas. t'étais pas un clandestin indésirable avant que


requiem te laisse entrer.
- si. je viens d'ailleurs.

J'ai grandi dans la ....., mais il était clair que je n'étais pas de là. Mon
tuteur, monsieur Ladelier était marchand. Il m'envoya dès un très jeune âge au
pensionnat, où il me somma de devenir juge ou écrivain. mais j'étais plus porté sur
la bagarre qu'autre chose, comme tous les jeunes de mon époque, je faisais de
l'escrime et les duels après les cours dans une place déserte ne manquaient pas. en
somme, j'étais un sale gosse. J'étais retourné en mauvais garnement à mon tuteur
qui m'emmena avec lui dans un des multiples voyages a travers le monde. Un jour, il
fut tué par un cambrioleur qui en avait après une épée ancestrale qu'il possédait
et qu'il m'avait confié un peu plus tôt. J'allais donc voir son commanditaire, un
chef reclus dans ses terres au fin fond de la forêt de..... là on me demande bien
gentiment de donner mon sabre qui appartient à ce domaine et qui sans lui la
malédiction s'abat sur le domaine. Mon tuteur n'est pas un voleur, alors je refuse
tant qu'il n'avoue pas la vérité. on me renvoie, et j'entends dire dans les
couloirs par des servantes que que la dame du seigneur a reconnu son enfant
abandonné et qu'elle se sent coupable de tout. en fait j'étais l'enfant de ces
gens, mais vu qu'à ma naissance, j'étais trop pâle, les cheveux blancs et je
n'avais pas crié, la sage-femme m'a déclarée mort.

- c'est vrai que t'as les cheveux blancs ?

il montra les quelques mèches blanches qui sortaient de son front.

- les poils de vieillesse croissent à partir des tempes.


- c'est vrai. et ton bras droit qui marche pas, il est aussi maudit?
- non. c'est juste une bagarre contre un mec trop grand.

silence.

- je continue?

- la dame m'a alors laissé près d'une statue avec le sabre en offrande parce
qu'apparemment les femmes sont superstitieuses, et mon tuteur qui s'était perdu par
là m'a retrouvé.

- coup classique depuis l'antiquité.


- j'avoue.

- bin voyons, Blanche-Neige, continue.

soupir.

- et vus que les hommes sont tout aussi superstitieux, le seigneur a envoyé
chercher le sabre après qu'on lui a dit que le perdre portait malheur et ne l'a pas
trouvé. Et cette personne l'a cherché partout dans le monde depuis 20 ans parce que
les hommes ont des convictions. les wagons de mon passé étant recollé, je leur dis
de se débrouiller et m'en allais. Mais pas de chance la forêt était infesté de
monstres qui cherchaient le sabre. pas de chance je tombe pile sur celui qui en
veut au domaine et je me le mets à dos. je fuis vers le pays d'à côté, mais pas de
chance, il me suis toujours.

– Cool. vous avez air bien par ici vous. partout ailleurs c'est le chaos.
– et ceci est un homéotheleute. attends, d'où vous sortez ?
– pourquoi vous flottez?
– pourquoi ça sent la fraise?
– c'est pas la fraise.
– hé pas de ça chez moi.
ouvrez les fenêtres

ptn

– sérieux le bouddha vous êtes qui?


– On m'appelle Le gardien du temps...
– C'est très original.
– Et c'est une antiphrase.
– ...Mais je m'appelle en vrai Shiroo Haiko.
– Blanc l'enfant des cendres. C'est pas un peu paradoxal?
– C'est bien une oxymore.
– Et si vous arrêtez deux secondes avec les figures de style?

– tiens on dirait le sosie de M'sieur Pierrot non?


– c'est peut-être son double maléfique.
– J'ai l'air si méchant ? je suis juste un gardien qu'on a mit a un poste pas
terrible. c'est chiant le temps à surveiller, surtout ses connards qui se croient
supérieurs aux autres et qui veulent retourner changer le passé ou découvrir le
futur. c'est ce genre de cas que je dois gérer, et il y en tellement..

– Vous quel est votre nom?



________
- course poursuite magique.
- elles étaient quatre.
- l'ogre et les dix enfants.
- le seigneur chauve-souris.
- maelk
- tempus verum
- la fin de shot
- no man's land
- l'histoire dans l'histoire
- user

DECEMENT-C19A3F (à prononcer Déss-Mént)

Owner avant d'avoir créer n'importe quoi il avait un ordi vieux comme le monde :
DECEMENT-C19A3F. On avait l'impression qu'il vivait et répondait à son maître mais
avec le temps l'ordi commença à s'endommager donc owner très triste transféra son
cœur d'ordinateur dans un androide parfait qu'il appela requiem. Requiem est
chargée de garder l'aquilibre du monde de son trône et qu'elle ne doit pas quitter.
On m'appelle reine du haos car le chaos c'est le monde où elle est, et elle se
croit immortelle car tout le monde le dit (légende) et qu'elle communique avec
l'être d'au dessus (owner). Elle a deux serviteurs : MAelk la chef militaire son
amie qu'elle prend de haut, et Pierrot son garde du corps sage qu'elle aime
ignorer. Un jour, une menace arrive et elle se lève pour la combattre, mais owner
l'en empêche et lui Révèle sa véritable identité : un androïde conçu pour tenir le
monde en laisse, et ce mal est trop grand pour elle. Les gens se désintéressent
d'elles et paniquent. Le mal va détruire le monde, owner va le refaire avec requiem
dedans et dit que ça a déjà arrivé et qu'elle ne doit pas s'en faire. Mais elle
refuse et s'en va rencontrer le monstre. Elle le touche, et là toute la positivité
qu'elle avait en elle s'oppose à la négativité absolue du monstre. Explosion
minime. Et tombe ce qu'il reste de requiem, sa carte mère. Owner fabrique une
Requiem identique, tout va bien qui finit bien, MAelk et Pierrot récupèrent la
carte mère et fin.

-----------------------

C'était un jour comme les autres, dans ce sous-sol qui me servais de foyer. Ce
n'est pas une cave abandonnée par les hommes et le temps, ni les oubliettes d'un
château au passé sombre. C'était mon sous-sol chaleureux et lumineux le jour, froid
et mystérieux la nuit.

Allongée sur le sol glacial, je pense déjà à me relever. Les yeux fermés, j'essaye
d'oublier ma douleur, mes entrailles déchirées, mes jambes paralysées, la fièvre et
la nausée qui en découle. Je dois bouger maintenant, sinon le pire arrive. Je
soupire, et mon haleine brûlante se perdit dans la froideur de la pièce.
Toujours en position foetale, je me levai sur les coudes, et transférais mon corps
trop lourd de côté, sur le tas de couverture qui me sert de gîte. C'est à ce moment
qu'on entra :

« – Il est neuf heures passées, pourquoi tu ne te lève pas?


– Excuse-moi, je.... Je suis malade.
– Encore? Et c'est quelle maladie cette fois?
– C'est... Un mal de fille. »

Mon grand-père s'en alla sans répondre par l'ouverture sans porte. Il revint juste
pour poser quelques herbes près de moi, et disparut en silence. Aujourd'hui encore,
il devra s'occuper seul des champs : il sera seul, ce sera triste.

J'avalais la poignée de plantes avec un verre d'eau et retomba dans mon inertie.
Aujourd'hui encore je ne pourrais pas sortir l'aider à chasser les petits dragons,
ni me rendre dans le coin de la tour, là ou tous les secrets se réunissent et
s'entremêlent dans le tas de vieux grimoires et de poussière.

Je me trainais jusqu'à la petite lucarne pour admirer le paysage éclairé par un


radieux soleil matinal. Devant le chateau en ruine dans lequel mon grand-père et
moi habitions s'étends un bout de terre qu'on a cultivé ensemble. Transformé
maintenant en un beau champ vert que la puit se chargeait d'arroser chaque nuit,
les épis de blé languissaient sous le soleil, attendant la chaleur de l'été pour
finalement dorer.

Et plus loin, sur une île proche, reliée à la nôtre par un escalier de pierres, se
dressait La Tour. Cette tour interdite que je n'avais pas le droit d'approcher,
silencieuse et confidente. Elle gardait tous mes secrets. Des fois, j'avais même
l'impression qu'elle me parlait, qu'elle répondait à mes chuchotements avec de
vagues murmures. On dira que c'étaient des courants d'air, peut-être, mais il y
avait quelque chose de magique qui courait dans ces murailles en ruine.

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