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Mère : (en criant) Assez de traîner ! J’ai besoin de cet argent tout de suite !

C’est votre
devoir de garder cette maison !

Fils 1 : (chuchotant) Mais maman, nous sommes fatigués. Nous avons besoin de repos, j’ai
travaillé toute la journée.

Mère : (en colère) Je m’en fiche ! Je me fiche de ce que tu penses ! J’ai besoin de cet argent
maintenant !

(À ce moment-là, on entend un coup à la porte)

Assistante sociale : (voix calme) Bonjour, je suis des services sociaux. J’ai reçu des rapports
inquiétants sur le travail de votre fils. J’ai besoin de parler à vous et à l’enfant.

Mère : (en criant) Non ! Non Tu n’as pas le droit d’entrer ici ! Sors de chez moi !

Assistante sociale : (en restant calme) Madame, je veux juste m’assurer que votre famille
est en sécurité. S’il vous plaît laissez-moi entrer pour parler.

Mère : (en criant) Non ! Vous n’avez pas le droit d’entrer ici ! Sortez de chez moi !

Assistante sociale : (en restant calme) Madame, je veux juste m’assurer que votre famille
est en sécurité. S’il vous plaît, laissez-moi entrer pour parler.

Mère : (en criant encore plus fort) Ne me dites pas ce que je dois faire ! C’est la faute de cet
enfant ! C’est la faute de cet enfant S’ils n’étaient pas si inutiles, nous ne serions pas dans
cette situation !

Fils 1 : (en pleurant) Maman, je suis désolé ! Désolé Je suis vraiment désolé! (La cloche
sonne et des voix extérieures sont entendues.)

Police : (avec une voix autoritaire) Ouvrez la porte immédiatement. Nous avons un mandat
de perquisition et d’arrestation.

(Alors que la porte s’ouvre, la police entre rapidement.)

Police : (s’adressant à la mère) Madame, vous êtes en état d’arrestation pour exploitation
par le travail des enfants et maltraitance physique des enfants. Vous avez le droit de garder
le silence et de demander un avocat.

Assistante sociale : (rassurant les enfants) Nous allons vous emmener dans un endroit sûr
où vous pourrez récupérer le soutien dont vous avez besoin.

Fils 1 : (avec des larmes dans les yeux) Ne voulez-vous vraiment pas revenir au travail?

Travailleur social : (souriant) Non, pas. Vous pouvez maintenant être un enfant et recevoir
l’attention et les soins que vous méritez. Nous allons vous aider à reconstruire votre vie.

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