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"La Métamorphose" de Franz Kafka. C'est l'une de ses œuvres les plus célèbres.

Publiée en 1915, cette nouvelle raconte l'histoire de Gregor Samsa, un homme


qui se réveille un matin transformé en un insecte géant. L'histoire explore les
thèmes de l'aliénation, de l'isolement et de la déshumanisation, et elle est
souvent interprétée comme une allégorie de la condition humaine.

"La Métamorphose" est un exemple emblématique de la littérature du XXe


siècle et de l'existentialisme, un mouvement philosophique qui met l'accent sur
l'absurdité de l'existence humaine. L'œuvre de Kafka a influencé de nombreux
écrivains et penseurs et continue d'être étudiée et analysée de nos jours. Je me
demande si Jean Fontaine a été aussi influencé.
Grete :
 "Il faut se débarrasser de cette chose."
 "Ce n'est plus Gregor, il faut que nous nous en rendions compte."
 "Nous ne pouvons pas continuer à le nourrir. Il faut que ça cesse."
 "Nous devons nous débarrasser de lui."

Le père : "Laisse-moi faire, femme."


 "Calme-toi, nous allons trouver une solution."

Le directeur :
 "Pourquoi n'est-il pas encore là ?"
 "Ce n'est pas acceptable, même en cas de maladie."
 "Nous attendons des résultats de nos employés."
 "Nous avons besoin de tout le monde ici."
 "Nous ne pouvons pas nous permettre de garder un employé inutile."
 "Nous devons trouver un remplaçant immédiatement."

Locataire 1 : "Il faudrait vraiment faire quelque chose. Cet animal est en train
de nous détruire."
Grete : "Mais ce n'est pas un animal, c'est Gregor."
 Mère - "Oh mon Dieu ! Comment devrais-je le supporter ?"
 Mère - "Il faut que nous prenions soin de lui. Il est notre fils."
 Mère - "Que va-t-il advenir de nous ?"
 Mère - "Je ne peux pas supporter cette vue de lui."
 Mère - "Gregor, peux-tu comprendre ce que je dis ?"
 Mère - "Gregor, reste calme."

Mère – Grégoire il est 7h moins le quart. Tu ne devrais pas prendre le train ?


Que lui arrive-t-il ?
MR Le Gérant – Monsieur, Madame mes respects…
Mère, père – Bonjour Mr Le Gérant.
MR Le Gérant – Veuillez m’excuser mon intervention. Mon directeur m’a
chargé d’informer par quelle raison Mr Samsa est absent ce matin. Il a raté son
train !
Père – Grégoire Mr Le Gérant vient de demander pourquoi tu n’es pas parti
pour prendre le train ? Quelle réponse devons-nous répondre avec ta mère ? Il
est là personnellement. Alors, ouvre d’abord ! Grégoire ouvre la porte ! Tu as
entendu ? Grégoire ?
MR Le Gérant – Bonjour Mr Samsa.
Mère – Mon fils est malade, croyez-moi MR Le Gérant. Comment va-t-il
manquer le train sans cela. Ce garçon n’a que son commerce dans la tête. Je ne
fais même du mauvais sang à voir qu'il ne sort jamais après souper. Qu'auriez-
vous dit qu'il vient de passer huit jours ici et qu’il est resté tous les soirs à la
maison. Ils s'installent devant la table il reste là sans rien dire, à lire le journal
ou à étudier ces indicateurs. Sa plus grande débauche c’est de fabriquer des
babioles. Dernièrement il a travaillé un petit cadre pour encadrer une gravure,
en deux trois séances étaient finis est jolie comme tout. Vous verrez ça dans sa
chambre, vous en serez étonné MR Le Gérant dès que Grégoire ouvrira vous
pourrez regarder. D'ailleurs je suis bien contente que vous ayez eu l'idée de
venir, sans vous, nous n'aurions jamais pu décider Grégoire ouvrir sa chambre
dont ce garçon est têtu. Il est sûrement malade bien qu'il n'ait pas pu se lever
ce matin.
MR Le Gérant - Depuis en effet madame expliquer la chose autrement,
espérons que ce ne sera rien de grave. Cependant il me faut dire que nous
autres commerçants devront souvent par bonheur ou par malheur comme
vous voudrez, faire passer les affaires avant nos petits malaises.
Père –Voyons Grégoire, Mr le gérant t’attend.
MR Le Gérant – Mr Samsa, que se passe-t-il ? ce n'est pas dans votre intérêt de
rester à la maison quand vous êtes malade. Vos collègues s'inquiètentv et vous
plongez infinitivement vos parents dans l’angoisse ! Ce n'est pas acceptable,
même en cas de maladie. Nous attendons des résultats de nos employés. Nous
avons besoin de tout le monde au travail. Nous ne pouvons pas nous permettre
de garder un employé inutile. Nous devons trouver un remplaçant
immédiatement. Vous entendez ?
Mère - il est parti.
Père - Comment cela a-t-il pu arriver ? Je ne comprends rien à tout cela.
et je ne m'attendais seul jeu d'une façon apparition et le jeu vous préparer
sérieusement degrés pour un garçon rendu là que je viens à vous pour vous
donner des airs de pouvoir étonné avec ça dans ce jeu le directeur de parents
sont composés de l'interpellation vous êtes allusion aux Antilles j'ai engagé ma
parole d'honneur salle avec là encore je suis dans le jeu constaté notre
mémoire je suis comme ça je en principe la secrétaire venant ici je pars en
sachant que ces derniers temps nous a pas donné satisfaction pourquoi je veux
bien me placer son départ environ 20 heures face à une saison en cela il
faudrait publie
On écoute la chambre derrière la porte.
MR Le Gérant – Avez-vous compris un seul mot de son histoire j'espère tout
même qu'il ne se permet pas de se moquer de nous.

Mère – Oh mon dieu mon dieu, il est surement malade, Grete va chercher un
médecin immédiatement pour ton frère, vite, vite ma petite fille un médecin !

MR Le Gérant – Écoutez, il ouvre la porte. (Il recule avec la peur) Oh !


Mère – Au secoure ! A l’aide ! A l’aide !
Père chasse Grégoire avec son journal et avec coup de pied - Sortez d'ici,
monstre ! Je vais te donner quelque chose à te souvenir ! Attendez Mr Le
Gérant, vous ne partez pas tout de suite, attendez !

Musique….

Grete - Gregor ? As-tu besoin de quelque chose ?


Sœur - il faut bien qu'il soit quelque part voyons, il ne s'est pourtant pas
envolé, ah sous le canapé ! non il faut que je m'en reviens. Tiens, il n'a pas
touché au lait il faut que je lui apporte autre chose.

Mère – Greg, je t’admire. Qu’est qu’on deviendra sans toi ? Tu as un courage et


une autorité ! Tu as bien changé ! Toi avant que tu ne t’occupais de rien ! Dans
quel état le trouves-tu ? Est-ce qu’il mange toujours bien ? Est-ce qu’il n y a pas
un léger mieux à constater ? Je voudrais bien le voir.

Grete- Non-maman, absolument pas ! hier encore Je l’ai surpris dans le fauteuil
près de la fenetre, je n’ai pas pu résister, c’était horrible !Il ne change pas, non,
il ne change pas !

Mère – Laisse-moi voir Grégoire ! c’est mon pauvre fils malheureux ! Tu ne


comprends pas qu’il faut que je le voie !
Grete – Alors, Attends maman ! je vais entrer la première et puis tu va peut-
être pouvoir m’aider car je n’ose pas le demander à papa. Depuis quelques
temps, Grégoire a pris l’habitude de se promener dans tous les sens.

Mère – Comment dans tous les sens ?

Grete – Eh bien oui ! sur le mur, sur le plafond. Il doit faire cela la nuit. Le matin
je trouve des traces de son passages.

Mère – Sur le plafond ! La trace de son passage !

Grete – Alors j’ai imaginé de lui faciliter ses promenades. On pourrait


disparaitre les meubles les plus gênant surtout le bahut et le bureau par
exemple.

Mère – Ah oui ! Bon puisque tu le penses ainsi je veux t’aider.


Grete – Attends j’entre la première. On va ouvrir la porte à double battant. Ça
va maman, il est sous le canapé, tu peux venir. On ne le voit pas. Il y a même un
grand drap blanc sous le canapé.
Mère – Non Grete, fais attention, tu vas te faire mal. Laisse-moi t’aider, ce
meuble est trop lourd. Je crains qu’on n’ait pas fini avant l’arrivée de ton père
et si on laisse au milieu de la chambre, il ne bouge pas le passage dans tous les
sens. Et puis je ne sais pas si c’est Grégoire sera satisfait de la disparition de son
mobilier. Ces murs vite me serrent le cœur. Il se sentira peut-être délaissé dans
sa chambre vide. Il va penser que nous renonçons l’espoir de le voir guérir que
nous l’abandonnons.je crois que le mieux serait de conserver la chambre
exactement comme autrefois pour que Grégoire ne trouve aucun changement
quand il reviendra, qu’il oublie plus facilement.
Grete – Pourquoi parles-tu si bas ?
Mère – Ah je ne sais pas pourtant je sais bien que Grégoire ne peut pas
comprendre ce que J`ai dit.
Grete – Non, non, je ne suis pas de ton avis. Grégoire a besoin de beaucoup
d’espace pour ses promenades et n`utilise jamais les meubles. Je veux tout
sortir sauf le canapé.
Mère – Bon, bon.
Grete – Eh bien à qui le tour maintenant ? Attends maman, nous ferions sans
doute mieux de retourner un moment dans la salle à manger.
Mère – Oh mon dieu ! là sur le mur !
Grete – Grégoire ! notre mère s’est évanouie !
Grete – Évidemment la bonne a encore barricadé dans sa cuisine. C’est
toujours moi qui dois ouvrir ! Ah c’est toi papa.
Père – Mais qu’est-ce que tu a Grete, que s’est-il passé ?
Grete – Maman s’est évanouie, Grégoire est sorti dans sa chambre.
Père – Ah je m’y attendais. Jamais cesser de prévenir, les femmes ne veulent
rien entendre ! Ah te voilà Grégoire ! Allez va-t’en !
Mère – Tu l’as blessé oh non non !
La bonne – Voyez moi ce monstre moche, allez ici, vieux cracha !
Le locataire – Mr Samsa ! Nous attendons des explications ! Je vous annonce en
présence de la situation infecte qui règne dans cette famille et qui déshonore
ce lieu. Je vous informe mon congé immédiat, naturellement vous ne toucherez
pas à un sou pour le temps que j’ai habité chez vous. Je me demande même si
je ne dois pas exiger un dédommagement qui serait facile à motivé, croyez-moi.
C’est une question que je vais mettre à l’étude.

Grete – Mes chers parents, cette situation ne peux pas durer. Si vous ne vous
en rendez pas compte moi je le sens ! Je ne veux pas prononcer le nom de mon
frère en parlant du monstre qu’il y a ici. Je vous dirais donc simplement, il faut
chercher à le débarrasser de ça ! Nous avons fait tout ce qui était humainement
possible pour le soigner, le supporter. Je crois que personne ne pourra nous
adresser le moindre reproche !
Père – Tu as cent fois raison.
Grete – Il faut chercher à nous en débarrasser, il finira par nous conduire à la
tombe et sans tarder. Quand on a un travail comme le nôtre toute la journée
on ne veut pas supporter par-dessus le marché ce supplice perpétuel en
rentrant chez soi. Moi je suis à bout !
Père – Ma petite que devons-nous faire ? S’il nous comprenait…
Grete – Mais c’est impossible.
Père – Si nous comprenait peut-être que y aurait-il moyen de s’entendre avec
lui. Mais dans ces conditions …
Grete – Qu’il aille au diable c’est la seule solution papa ! Tu n’as que détacher
d’idée que c’est Grégoire. Nous avons fait cela trop longtemps et c’est là tout
autre monde. Regarde papa le voilà qu’il recommence.
Père – Va-t’en !
Grete – Ferme la porte !
La bonne – Venez donc voir, il est crevé ! il est là, dur comme un statut !

Mère – Que dites-vous ? Mort ?


La bonne – Et comment !
Père – Eh bien nous pouvons remercier dieu !
Grete – Voyez comme il était maigre, il y avait si longtemps qu’il ne mangeait
plus rien. Sa pitance sorte de la chambre exactement comme elle y entrer.
Mère – Allons Grete, ne restons pas là. Viens avec nous dans notre chambre.

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