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Exercice I :
Répondre aux questions suivantes en explicitant les réponses :
1- Qu’est-ce qu’un conducteur ?
2- Expliquer pourquoi le champ (E⃗) à l’intérieur d’un conducteur en équilibre est nul.
3- Pourquoi les surfaces d’un conducteur en équilibre peuvent être assimilées à des surfaces équipotentielles ?
4- Pourquoi est-on en sécurité dans une automobile durant un violent orage ?
5- Que se produit-il lorsque qu’un marcheur se déplace sous des lignes à haute tension ? Représenter les lignes
équipotentielles dans la région où se trouve le marcheur.
Réponse exercice 1 :
1. Un conducteur est un matériau qui possède des électrons libres. Ces charges, si elles sont soumises à l’action
d’un champ électrique extérieur faible, peuvent se déplacer à l’intérieur de ce corps.
En utilisant le théorème de Gauss, on peut montrer que le champ à l’intérieur d’un conducteur en équilibre est
nul.
∑ 𝑄𝑖 (𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔 à 𝑙 ′ 𝑖𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑢𝑟𝑓 𝑑𝑒 𝐺𝑎𝑢𝑠𝑠)
⃗ | × S𝐺 =
|E
0
⃗ | : Le champ électrique à l’intérieur du conducteur en équilibre électrostatique.
|E
S𝐺 : La surface de Gauss, on peut toujours imaginer une sphère à l’intérieur du conducteur, sa surface est donnée
par :
S𝐺 = 4 × × R2
La somme de toutes les charges à l’intérieur de la surface de gauss est nul :∑ Q𝑖 = 0.
: La permittivité du vide.
0
⃗ | × S𝐺 = = 0 → |E
|E ⃗|=0
0
3. Pourquoi la surface d’un conducteur en équilibre électrostatique est une surface équipotentielle.
La troisième propriété des conducteurs en équilibre électrostatique dit que le potentiel électrique en tout point
du conducteur en équilibre électrostatique est constant.
4. La charge se répartie sur la surface du conducteur, et le champ à l’intérieur du véhicule est nul.
Les surfaces équipotentielles sont parallèles entre elles et parallèles aussi à la ligne à haute tension. Les lignes
de champs étant toujours perpendiculaires aux surfaces équipotentielles et comme la terre est considérée comme
un conducteur parfait portée au potentiel nul, on déduit que les lignes de champs sont toujours orthogonales à la
surface de la terre.
En présence d’un obstacle (un marcheur par exemple), les surfaces équipotentielles seront déviées vers le haut
au niveau de ce dernier.
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Exercice II :
1- Exprimer la densité superficielle de charges.
2- Exprimer la densité linéique et la densité volumique de charges.
3- Écrire les unités qui caractérisent chacune des densités linéique, superficielle, ou volumique
4- Définir la pression électrostatique. Quelle est l’unité de la pression électrostatique ?
Réponse exercice 2 :
1. Si la forme géométrique du conducteur est plane, la charge électrique se répartie sur toute la surface de ce
conducteur, on définit la densité de charge surfacique (𝜎) par :
𝑄 𝐶𝑜𝑢𝑙𝑜𝑚𝑏 𝑄, 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑟é𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟.
σ= [ ]{
𝑆 𝑚𝑒𝑡𝑟𝑒 𝑆, 𝑙𝑎 𝑠𝑢𝑟𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑒𝑥𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟.
2. De la même manière que la précédente, on définit la densité de charge linéique (𝜆) dans le cas d’un corps
de fore géométrique linéaire par :
𝑄 𝐶𝑜𝑢𝑙𝑜𝑚𝑏 𝑄, 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑟é𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟.
λ= [ ] {
𝐿 (𝑚𝑒𝑡𝑟𝑒)2 𝐿, 𝑙𝑎 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑢𝑒𝑢𝑟 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑓𝑖𝑙 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟.
La densité de charge volumique (𝜌) par :
𝑄 𝐶𝑜𝑢𝑙𝑜𝑚𝑏 𝑄, 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑟é𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟.
ρ= [ ]{
𝑉 (𝑚𝑒𝑡𝑟𝑒)3 𝑉, 𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑙𝑢𝑚𝑒 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟.
Réponse exercice 3 :
+
+
+
+
+
+
+
+
⃗|
|E 𝜎
⃗ 𝑒𝑥𝑡 =
E ×u
⃗
0
𝜎
⃗ 𝑚𝑜𝑦 =
E ×u⃗
2. 0 𝑥
⃗ 𝑖𝑛𝑡 = 0
E ⃗
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⃗ 𝑖𝑛𝑡 = ⃗0
2. Le champ à l’intérieur d’un conducteur en équilibre électrostatique est : , E
3. Le champ au sein de la couche superficielle d’un conducteur en équilibre électrostatique est :
𝜎
⃗ 𝑚𝑜𝑦 =
E ×u
⃗
2. 0
Exercice IV :
Soient deux sphères conductrices S et S’ de rayons R et R’ suffisamment éloignées et reliées par un fil
conducteur de capacité négligeable. On porte l’ensemble au potentiel V.
𝜎′
1. Exprimer le rapport (𝜎1′ ) des densités de charges portées respectivement par chacune des sphères S1 et S2 .
2
2. Si l’on suppose qu’avant de relier les deux sphères (S1 ) et (S2 ), le conducteur 𝑆1 (de rayon R1 = 10 cm) était
porteur d’un excédent de charges négatives égal à (𝑄1 = 3,1 1012 𝑒 − ), le second conducteur (S2 ) (de
rayon R 2 = 5 cm) étant initialement neutre. Quelle est la densité superficielle de charges déposée sur
chacun des deux conducteurs après leur mise en liaison.
Réponse exercice 4 :
𝝈′
1. Le rapport des densités de charges ( 𝟏′ ), après leurs mises en liaison.
𝝈𝟐
Lorsque l’on relie les deux sphères par un fil conducteur de capacité négligeable, un équilibre final va
s’établir entre les deux sphères. C’est-à-dire qu’elles seront portées au même potentiel final.
𝑄1′ 𝑄1′
La densité de charge de la première sphère sera : 𝜎1′ = =
𝑆1 4××𝑅12
𝑄2′ 𝑄2′
La densité de charge de la deuxième sphère sera : 𝜎2′ = =
𝑆2 4××𝑅22
Donc le rapport des densités de charge sera :
𝑄1′
𝜎1′ 4 × × 𝑅12 𝑄1′ 4 × × 𝑅22
= = ′× … … … é𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 (1)
𝜎2′ 𝑄2′ 𝑄2 4 × × 𝑅12
4 × × 𝑅22
À l’équilibre les deux potentiels des deux sphères seront égaux.
𝑄1′ 𝑄2′ 𝑄1′ 𝑅1
V1′ = V2′ → K × = K× → ′ = … … é𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 (2)
𝑅1 𝑅2 𝑄2 𝑅2
𝜎1′
En utilisant les deux équations (1) et (2) on déduit le rapport des densités de charges ∶
𝜎2′
𝜎1′ 𝑅1 𝑅22 𝛔′𝟏 𝐑 𝟐
= × → =
𝜎2′ 𝑅2 𝑅12 𝛔′𝟐 𝐑 𝟏
2. La densité de charge déposée dans chaque sphère après leurs mises en liaison.
Les deux équations qui nous permettent de calculer les densités de charges finales sont :
• La conservation de la charge totale avant et après leurs mises en liaison.
𝑄1 + 𝑄2 = 𝑄1′ + 𝑄2′ … … é𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 (1)
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• L’équilibre final est obtenu lorsque les deux potentiels seront égaux.
V1′ = V2′ … … équation (2)
L’application numérique donne :
𝑄1′ + 𝑄2′ = 3,1 1012 × (−1,6 10−19 ) → 𝑄1′ + 𝑄2′ = −4,96 10−7
𝑄1′ = −1,65 10−7 (𝐶)
{ 𝑄1′ 𝑄2′ 𝑅1 → {
K× = K× → 𝑄1′ = × 𝑄2′ → 𝑄1′ = 2 × 𝑄2′ 𝑄2′ = −3,30 10−7 (𝐶)
𝑅1 𝑅2 𝑅2
Réponse de l’exercice 5 :
Les deux équations qui nous permettent de calculer le potentiel commun des deux conducteurs sont :
𝑅1 0,05
𝑄1 = 𝑉1 × → 𝑄1 = 5 × 9
→ 𝑄1 = 2,77 10−11 (𝐶)
{ 𝑘 9 10
𝑅2 0,1
𝑄2 = 𝑉2 × → 𝑄2 = 10 × → 𝑄2 = 1,11 10−10 (𝐶)
𝑘 9 109
• L’équilibre final est obtenu lorsque les deux potentiels seront égaux.
V1′ = V2′ … … équation (2)
L’application numérique donne :
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2. La capacité de l’ensemble peut être déduite par :
Qtot 1,4 10−10
Ctot = → Ctotale = → Ctot = 1,66 10−11 (F)
Véqui 8,39
Exercice VI :
1. Soient trois condensateurs de capacité respective C1, C2, C3. Calculer dans chacun des cas, la charge totale
et la charge de chaque condensateur.
a. Ils sont montés en parallèle et l’on applique une différence de potentiel V0 à l’ensemble.
b. Ils sont montés en série et l’on applique la même différence de potentiel V0 à l’ensemble.
[Données : C1 = 0,5 𝜇F ; C2 = 0,7 𝜇F ; C3 = 0,8 𝜇F ; V0 = 150 V].
Réponse exercice 6 :
C2 Cé𝑞𝑢𝑖
Q 𝑡𝑜𝑡 Q2 Q 𝑡𝑜𝑡
Q 𝑡𝑜𝑡 Q 𝑡𝑜𝑡
C3
Q3
La capacité équivalente d’un ensemble de condensateurs montés en parallèle peut être déterminé par :
Cé𝑞𝑢𝑖 = C1 + C2 + C3 → Cé𝑞𝑢𝑖 = 2,0 (𝜇𝐹).
• Calcul de la charge total.
On sait que la charge est reliée à la capacité du condensateur par : Q = C × V
✓ La charge du condensateur (2) :Q2 = C2 × V0 → Q2 = 0,7 10−6 × 150 → Q2 = 1,05 10−4 (𝐶)
✓ La charge du condensateur (3) :Q3 = C3 × V0 → Q3 = 0,8 10−6 × 150 → Q3 = 1,2 10−4 (𝐶)
La capacité équivalente d’un ensemble de condensateurs montés en série peut être déterminé par :
1 1 1 1
= + + → Céqui = 2,137 10−7 (F).
Cé𝑞𝑢𝑖 C1 C2 C3
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Exercice VII :
Un condensateur de capacité (C = 100 (𝑛𝑓)) est chargé sous une tension (U = 20 V). Celui-ci est relié à un
condensateur de même capacité (C), mais initialement déchargé.
1- Que vaut la tension (U’) qui apparaît aux bornes de l’ensemble.
2- Caractériser le bilan énergétique avant et après connexion. Quels commentaires faites-vous ?
Réponse exercice 7 :
Les deux équations qui nous permettent de calculer le potentiel commun des deux condensateurs sont :
On sait que le potentiel du condensateur est relié à la charge par la relation : 𝑄 = 𝐶 × 𝑉 , on peut calculer les
deux charges initiales des deux condensateurs.
𝑄 = 𝐶1 × 𝑉1 → 𝑄1 = 2,0 10−6 (𝐶)
{ 1
𝑄2 = 𝐶2 × 𝑉2 → 𝑄2 = 0 (𝐶)
• L’équilibre final est obtenu lorsque les deux potentiels des deux condensateurs seront égaux.
′ ′
𝑄1′ 𝑄2′
V1 = V2 ↔ = … … équation (2)
𝐶1 𝐶2
Sachant que les deux condensateurs ont la même capacité ce qui donne :
𝑄1′ + 𝑄2′ = 2,0 10−6 𝑄1′ = 1,0 10−6 (𝐶)
{ →{ ′
𝑄1′ = 𝑄2′ 𝑄2 = 1,0 10−6 (𝐶)
On peut déduire les valeurs des deux potentiels d’équilibres de chaque condensateur :
Q′1
V1′ = = 10 (V)
C1
→
′
Q′2
V2 = = 10 (V)
{ C2
✓ Avant le branchement :
L’énergie totale est :
1 1
𝐸𝑛𝑡𝑜𝑡 = 𝐸𝑛1 + 𝐸𝑛2 = × 𝐶1 × 𝑉12 + × 𝐶1 × 𝑉12 → Entot = 2,0 10−5 (joules)
2 2
✓ Après le branchement :
1 1
′
𝐸𝑛𝑡𝑜𝑡 = 𝐸𝑛1′ + 𝐸𝑛2′ = × 𝐶1 × (𝑉1′ )2 + × 𝐶2 × (𝑉2′ )2 → En′tot = 1,0 10−5 (joules)
2 2
Le mouvement est des charges électriques est toujours suivi par une perte d’énergie sous forme de chaleur (effet
de joule)
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Exercice VIII :
Dans la figure ci-dessous est indiqué l’état initial de condensateurs plans. Le branchement est caractérisé par
une ligne discontinue.
1- Calculer les charges et les différences de potentiel aux bornes des condensateurs après branchement.
2- Calculer l’énergie interne de l’ensemble avant et après branchement.
12 pF 12 pF
+ + + +
- - - -
1. Les charges et les différences de potentiels aux bornes des deux condensateurs après branchement.
Les deux équations qui nous permettent de calculer le potentiel commun des deux condensateurs sont :
On sait que le potentiel du condensateur est relié à la charge par la relation 𝑄 = 𝐶 × 𝑉 , on peut calculer les
deux charges initiales des deux condensateurs.
𝑄 = 𝐶1 × 𝑉1 → 𝑄1 = 1,810−9 (𝐶)
{ 1
𝑄2 = 𝐶2 × 𝑉2 → 𝑄2 = 0 (𝐶)
• L’équilibre final est obtenu lorsque les deux potentiels des deux condensateurs seront égaux.
𝑄1′ 𝑄2′
V1′ = V2′ ↔ = … … équation (2)
𝐶1 𝐶2
Sachant que les deux condensateurs ont la même capacité ce qui donne :
𝑄 ′ + 𝑄2′ = 1,810−9 𝑄1′ = 9,0 10−10 (𝐶)
{ 1 → {
𝑄1′ = 𝑄2′ 𝑄2′ = 9,0 10−10 (𝐶)
On peut déduire les valeurs des deux potentiels d’équilibres de chaque condensateur :
′
𝑄1′
𝑉1 = = 75 (𝑉)
𝐶1
→
′
𝑄2′
𝑉2 = = 75 (𝑉)
{ 𝐶2
✓ Après le branchement :
1 1
′
𝐸𝑛𝑡𝑜𝑡 = 𝐸𝑛1′ + 𝐸𝑛2′ = × 𝐶1 × (𝑉1′ )2 + × 𝐶2 × (𝑉2′ )2 → En′tot = 6,75 10−8 (joules)
2 2
Le mouvement est des charges électriques est toujours suivi par une perte d’énergie sous forme de chaleur (effet
de joule)
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Exercice IX :
Calculer en nF la capacité d’un condensateur plan constitué par deux armatures métalliques de surface
(S = 6. 10−2 m2 ) distantes de (𝑑 = 2. 10−5 𝑚), sachant qu’une moitié du diélectrique est constituée par un
isolant de permittivité relative (𝑟 = 2,4) et l’autre moitié par un isolant de permittivité (𝑟 ’ = 4,6). [Données
: (0 = 8,85 10−12 F/𝑚)].
Soit les deux milieux sont placés parallèlement aux armatures du Milieu (1) (d/2)
condensateur, voir le schéma (1). (d)
Soit les deux milieux sont placés perpendiculairement aux plaques du -----------------------
+++++++++++++++++
condensateur, voir le schéma (2).
Milieu (2)
a. Premier cas :
Dans le premier cas lorsque les deux milieux seront en équilibre -----------------------
électrostatique et sous une influence totale, on aura l’apparition d’une (S)
répartition de charge comme indiqué sur le schéma ci-contre.
On peut assimiler les deux milieux à deux condensateurs montés en parallèles.
La capacité équivalente de cet assemblage est donnée par :
1 × 0 × S 2,4 × 8,85 10−12 × 6 10−2
C1 = = = 1,27 10−7 (F)
(𝑑/2) 1 10−5
Cé𝑞𝑢𝑖 = C1 + C2
2 × 0 × S 4,6 × 8,85 10−12 × 6 10−2
C2 = = −5
= 2,44 10−7 (F)
{ (𝑑/2) 1 10
Ce qui va donner :
Cé𝑞𝑢𝑖 = 1,27 10−7 + 2,44 10−7 = 3,71 10−7 (F)
- - - - - - - - - - - -- - - -
électrostatique et sous une influence totale, on aura l’apparition d’une
- -+- + + + + + + +
- - - - - - - - - - - -- - - -
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