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Exercice 1 :
Soit n un entier supérieur ou égal à 2. On note :
n −1 2n−1
kπ kπ
Qn = ∏ sin 2n
et Rn = ∏ sin
2n
k =1 k =1
2n−1 pπ
Qn = ∏ sin
2n
p = n +1
2) Résoudre dans C l’équation (z + 1)2n − 1 = 0. On notera z0 la solution nulle, et z1 , ...., z2n−1 les autres.
3) Mettre les solutions z1 , ...., z2n−1 sous forme trigonométrique.
2n−1
4) On note Pn = ∏ zk , démontrer que :
k =1
Pn
Rn = − .
22n−1
5) On admet que Pn = −2n. Montrer que : √
n
Qn = .
2n −1
Problème
On note P le plan muni d’un repère orthonormé direct.
On considère l’application f : C → C définie par f (z) = 2z(1 − z). On désigne également par F l’application
P → P qui au point M(z) d’affixe z fait correspondre le point M′ = F ( M) d’affixe z′ = f (z).
Partie 1
1. Quels sont les points invariants par F (c’est à dire les points M tel que F ( M ) = M ) ?
Partie 2
y2
2. Soit D2 la droite du plan d’équation x = 0. Soit (C) la courbe du plan d’équation x = .
2
a) Dessiner la courbe (C).
b) Montrer que l’image directe de D2 par F est la courbe (C).
c) Soit z ∈ C. Déterminer une condition nécessaire et suffisante simple pour que f (z) soit un imaginaire
pur, puis donner une équation simple de la courbe image réciproque de D2 par F.
On ne cherchera pas à tracer cette courbe.
3. Soit C1 = M( x, y) ∈ P / x2 + y2 = 1, y ⩾ 0 .