Module 07 Traitement Des Illustrations

logiciel PAO
SUPPORTS DE COURS
Adobe
Illustrator
V.10
MEDIA GRAPHIC FORMATION 15, rue Fernand Grenier 93210 Saint-Denis-La plaine.
Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 1
logiciel Illustrator
••• < Difficulté
Introduction UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Illustrator est un logiciel de création d’images. Soit à partir d’une image scannée (sert de
placement), soit à partir de votre imagination… Il permet également de créer des textes,
logos…
Tout ces éléments traitent des images dites “vectorielles”, à l’inverse de Photoshop qui créé
des images “bitmap”. Ce logiciel offre un maximum de précision et une grande souplesse de
transformation (objets, textes…).
Pour le flasheur, il est bon de connaître quelques fonctions de base d’Illustrator :
- la modification de graphiques
- la modification de logos
- la modification de couleurs
- la gestion du “trapping*”…
Illustrator est un logiciel très complet et ces possibilités sont importantes, surtout au niveau
de la création de “scènes” ou “objets”. Une semaine ne suffit pas pour pouvoir tout
apprendre, c’est impossible. Attachez-vous à comprendre la logique et le reste suivra avec un
peu de pratique…
2 Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 2

Les menus UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 3 3

Les préférences (I) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Les préférences vous permettent de pré-régler certains paramètres : les unités utilisées,
le swapping, la sélection…
Détermine l’utilisation générale du logiciel.
Détermine des options de texte et la tolérance de certains outils.
Unités de mesure et niveaux d’annulation.

Les préférences (II) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Détermine des styles d’affichage pour les repères.
Détermine des options d’affichage et le magnétisme des repères.
Détermine des exceptions pour les coupures de mots.

Les préférences (III) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Détermine les disques de swapping et l’endroit où sont stockés les Plug-ins.
Préférences pour l’enregistrement.
Options pour l’utilisation de fichiers sur serveur.

La palette d’outils (I) UTILISATION D’ILLUSTRATOR

La palette d’outils (II) UTILISATION D’ILLUSTRATOR

Les outils UTILISATION D’ILLUSTRATOR
sélection (V)
sélection directe / sélection directe progressive (A)
Baguette magique (Y)
Lasso / lasso direct (Q)
Plume / ajout de points / suppression / conversion de points directeurs (P)
Texte / captif / curviligne (T)
Texte vertical / captif vertical / vertical curviligne (T)
Trait / arc / spirale (/)
Grille rectangulaire / grille sphérique (Maj + /)
Rectangle / rectangle à coins arrondis / ellipse (M)
Polygone / étoile / halo (M)
Pinceau (B)
Crayon / arrondi / gomme (N)
Rotation / miroir / tourbillon (R/O)
Mise à l’échelle / déformation / modelage (S)
Déformation / tourbillon /contraction (Maj + R)
Dilatation / festons /cristallisation / fronces (Maj + R)
Transformations manuelles (E)
Symboles : Pulvérisation / glissement / espacement (Maj + S)
Symboles : Redimensionnement / rotation / changement de couleurs (Maj + S)
Symboles : Transparence / stylisation (Maj + S)
Graphes : Barres verticales / barres verticales empilées / barres horizontales (J)
Graphes : Barres horizontales empilées / linéaire / couches (J)
Graphes : nuée de points / sectoriel / radar (J)
Filet de dégradé (U)
Dégradés de couleurs (G)
Pipette/ pot de peinture / règle (I/K)
Dégradé d’objets / tracé automatique (W)
Tranches / sélection de tranches (Maj + K)
Ciseaux / cutter (C)
Main / page (H)
Loupe

Les options d’outils (I) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Les options d’outils permettent de paramètrer l’outil avant de l’utiliser, on l’obtient alors en
double-cliquant sur l’outil.
Vous pouvez, lors de l’utilisation de l’outil (le sélectionner) cliquer dans la page, la fenêtre
s’ouvre alors…
Vous pouvez aussi via le menu Objet -> Transformation obtenir ces fenêtres.
Vous pouvez utiliser ces outils sans paramètrage préalable, en utilisant la souris.
Quelque soit la méthode utilisée, dès que l’on actionne l’outil souhaité, une mire s’affiche
pour donner le centre de la modification.
Pour modifier le centre de l’effet, déplacer la mire. Si vous souhaitez obtenir en plus la
fenêtre de paramètrages, appuyez sur ALT, elle apparaîtra.

Les options d’outils (II) UTILISATION D’ILLUSTRATOR

Les options d’outils (III) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Ces trois derniers outils sont des préférences d’outils et non pas des modifications à faire sur
l’objet en cours.

Les palettes (I) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
La palette navigation permet

de se déplacer dans le document et
de savoir sa position ainsi que
de changer l’échelle de visualisation.
La palette des infos nous donne

des informations sur l’objet sélectionné,
ou sur l’objet en cours de création.
Afficher/Masquer : F8
La palette alignement permet

d’aligner des objets par rapport à un premier,
ou de distribuer des objets entre-eux.
La palette transformations permet

de modifier l’aspect d’un objet par
rapport à un point donné.
La palette options d’objets permet

de surimprimer un élément ou non
et d’intervertir un tracé.
La palette contours permet

de modifier l’aspect du contour
d’un objet.
La palette infos sur le document permet

de visualiser les spécification
du doc en cours.

Les palettes (II) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Pour pouvoir enrichir tout un texte, il faut le sélectionner entièrement soit avec l’outil ,
soit avec l’outil (ou de la même famille) pour sélectionner plusieurs lignes.
La palette caractères s’affiche depuis le menu TEXTE : caractère.

Il permet de donner ou modifier des caractéristiques (enrichissement)
de textes…Corps, interlignage, interlettrage…
La palette paragraphe s’affiche depuis le menu TEXTE : paragraphe.

Il permet de donner ou modifier des caractéristiques (enrichissement)
de paragraphes (fer à gauche, fer à droite, centré…) ou de début
de paragraphes (alinéas, retraits…)
La palette police MM concerne

les polices du type Multiple Master.
La palette Tabulations permet de définir

les paramètrages dès lors que5 vous utilisez
la touche :

Les palettes (III) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Les couleurs sont définies (en plusieurs modes) dans la palette des couleurs. Cette palette
peut se substituer au sélecteur que l’on retrouve grâce à la palette des outils en cliquant soit
sur le fond soit sur le contour pour en définir sa couleur.
Ces couleurs peuvent être mémorisées dans la palette nuancier :
<- chaque petite icône nous permet de repérer rapidement les couleurs
de tons direct dles couleurs quadries, des couleurs de dégradés…
Les différents éléments de reconnaissance :
couleur RVB
couleur CMJN
couleur N&B
sans couleur
couleur de ton direct
couleur de ton direct (palette nuancier, trier par petit nuancier)

Les palettes (IV) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
La palette dégradé de couleurs permet de créer de dégradés

multicolores. Elle s’utilise de concert avec la palette couleur qui elle
défini les teintes des différentes bornes du dégradé.
Chaque losange permet de modifier la valeur

intermédiaire de deux couleurs.
Chaque triangle permet de donner une couleur au

dégradé et de modifier sa position (étendue du dégradé).
• Pour ajouter un triangle : cliquer à l’endroit désiré en dessous de la barre représentant

le dégradé.
• Pour enlever un triangle : le sélectionner et le glisser en dehors de la fenêtre.
La palette des calques permet

de gérer différents plans d’un dessin afin
de faciliter la création d’objets et les corrections.
L’ordre des calques est l’ordre de superposition du premier plan au dernier plan.
!Attention! Pour chaque objet que vous créez, un sous-calque sera automatiquement créé
dans votre calque de travail. Si vous pensez à grouper des objets, ils seront regroupés sur
un sous-calque de votre calque.
!Attention! vous avez des calques, et dans ces calques, vous avez des sous-calques… C’est
un peu lourd, et l’on peut se retrouver avec une multitude de calques. Il faut alors gérer très
régulièrement l'organisation de votre document, et bien vérifier sur quel calque on travaille.
Les différents éléments de reconnaissance :

calque affiché en mode tracé
calque affiché en mode prévisualisation
calque contenant une image en mode modèle
un calque contient une sélection
tous les objets du calque sont sélectionnés
calque ou groupe ciblé (sélectionné)
aspect sur un calque ou un groupe
aspect et cible (sélection) sur un calque ou un groupe
calque verrouillé

Les palettes (V) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
La palette des styles permet de regrouper un ensemble d’attribut

d’aspects créés pour un objet et applicable sur tout autre.
Il existe par défaut des aspects qui pourront être modifiés.
La palette des formes regroupe un ensemble de formes

(dessins vectoriels) applicable a tout tracé (contour).
Il existe par défaut 4 styles de formes différentes :
formes calligraphiques, formes diffuses,
formes artistiques et formes de motif.
La palette aspect permet de superposer

plusieurs fonds et contours à un même objet.
La palette baguette magique permet

de régler l’utilisation de cet outil
en jouant sur la tolérance (bande passante)
de l’élément à sélectionner.
La palette symbole permet de regrouper

des objets à “pulvériser”. Leur gestion
se fera avec son outil associé
La palette interactivité SVG ne nous servira

pas dans nos métiers, elle est utilisée pour
le développement de sites Internet.
La palette variable permet de déterminer

des objets qui peuvent être modifiés à contrario
de certains autres (versions multilangues d’un travail…

Les palettes (VI) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
La palette pathfinder à des fonctions qui permettent d’associer,

d’isoler et de subdiviser des objets, ainsi que de former de nouveaux
objets formés par l’intersection d’objets.
La palette des liens permet de lister et

de connaître l’état des images importées.
Elles peuvent être liées (raccordées à un fichier de base existant) ou incorporées (l’import
appartient à illustrator) dans un fichier.
2 états sont possibles :

Les images liées dont les originaux ont été modifiés depuis
!
l’importation n’ont pas été mises à jour.
?
Les images liées ne sont plus à l’endroit de stockage lors de l’importation.
Mettre à jour ces liens sous peine de ne pas pouvoir flasher votre document. Pour savoir si
une image est liée ou incluse dans Illustrator, demander les informations de cette image.
La palette transparence permet d’appliquer

une transparence à n’importe quel objet graphique
ou bitmap ou texte afin de laisser plus ou moins apparaître
les objets en dessous.
La palette des scripts permet de stocker un ensemble

de tâches (dans un certain ordre) qui peuvent être ensuite
appliqués automatiquement à d’autres objets
ou d’autres documents.

L’enregistrement UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Vous avez plusieurs possibilités pour enregistrer vos fichiers :
- Enregistrer : 1_ votre document n’a jamais été enregistré, l’ordinateur vous

demandera où l’enregistrer et sous quel nom.
2_ votre document à déjà été enregistré, l’ordinateur
“écrasera” votre fichier de départ.
- Enregistrer sous : Quel que soit la configuration dans laquelle vous êtes,
l’ordinateur vous demandera ou enregistrer votre fichier
et sous quel nom (cela ne vous empêche pas de remplacer
un fichier déjà créé : on dit écraser un fichier).
- Enregistrer une copie : Quel que soit la configuration dans laquelle vous êtes,
l’ordinateur vous demandera ou enregistrer votre fichier
et sous quel nom et laissera ouvert votre fichier à l’écran
(! ce fichier n’est pas enregistré, si vous faites des
modifications, il faudra enregistrer ce fichier avant de
le fermer).
Les formats de fichiers les plus utilisés en PAO sont les formats TIFF et EPS, avec chacun
leurs particularités. Ces deux formats permettent de travailler une image dans des logiciels
différents et de les intégrer dans des logiciels de mise en page qui, eux, n’acceptent pas tous
les formats de fichier. Le choix est important, car il détermine si votre fichier est flashable
ou non.

L’outil plume (I) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Les différents “états” du curseur :
outil de base
création de point
fermer un tracé sur le point d’origine
prolonger un tracé
souder 2 tracés ouverts
modifier un point directeur (vecteur)
Attention, la longueur des vecteurs (droites directionnelles) à une grande importance. D’une
part la direction est donnée pour avant et après le point sélectionné, d’autre part, l’ampleur
de l’effet sera donné grâce à la dimension des vecteurs.
Se rappeler : un cercle est contenu dans un carré et là où se touchent des 2 formes se

trouvent des points d’accroche avec des droites directionnelles. Les vecteurs ont tous la
même dimension : 1/3 du rayon.

La plume (II) UTILISATION D’ILLUSTRATOR
clic puis clic

1_ segments de droite :
A chaque clic ajouté, un segment de droite est créé.
• Pour forcer à l’horizontale ou à la verticale (et certains angles = paramètrages ): Majuscule

+ clic
• Pour interrompre un tracé : Pomme + clic [L’outil se transforme en flèche noire ou blanche
selon le dernier utilisé]
2_ inflexions et sommets :
glisser clic puis glisser

On tire un vecteur pour donner la direction du segment qui
va apparaître ensuite avec une nouvelle création de point.
Les vecteurs sont symétriques et liés dans leur direction. La
difficulté réside dans le fait qu’au moment présent où l’on fait
clic
un point directeur il faut penser en même temps à la suite du
clic puis glisser
tracé.
• Pour redimentionner un vecteur en gardant la symétrie (fig.1) : Pomme + cliquer sur

le vecteur et lui redonner une autre dimension.
• Pour obtenir un sommet [suppression d’un vecteur] (fig.2) : recliquer sur le point
(le vecteur pour le point suivant disparaît, on a donc ensuite un segment de droite).
• Pour redimentionner un vecteur en ne gardant PAS la symétrie (fig.1) : ALT + cliquer sur le
vecteur et lui redonner une autre dimension.
fig.1 glisser
fig.2
glisser clic puis glisser clic puis glisser
clic clic
clic puis glisser clic sur le point
fig.3 glisser clic puis glisser
clic
alt + clic sur le point

Les graphes UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Généralités
L’outil proposé dans Illustrator n’est pas très étendu au niveaux des représentations
(pas de 3D…) et pas très pratique. D’autres logiciels (tels que Deltagraph) sont
beaucoup plus puissants et ne servent qu’à faire des graphiques…
Malgré ces capacités réduites, Illustrator propose différents types de graphes :
camemberts, histogrammes…
Généralités : • A partir d’un objet, on attache une feuille de calcul (tableau des données). C’est
cette “feuille” qui génère la représentation graphique.
• A tout moment les valeurs sont modifiables, et la représentation
automatiquement
re-générée (pour que ce soit effectif ne pas dégrouper le graphe).
• Toutes les données ne sont pas exploitables par tous les types de graphes.
Principe :
1_ création du support en cliquant sur le document. Une fenêtre s’ouvre et
demande les dimensions finales (encombrement) du tableau. On peut aussi faire un
cliquer/glisser pour donner à la souris la dimension finale.
2_ la saisie des valeurs se fait par le biais d’un tableau de saisie.
Le tableau des données apparaît dès que les dimensions finales sont validées :
légendes
catégories
axe des valeurs
! Pour faire apparaître les dates sur le graphe (tout ce qui n’est pas valeurs), il faut saisir
le texte entre guillemets.

Principes de base
Une fois le tableau validé, on obtient une représentation graphique de celui-ci. Il apparaît
sous forme de graphique brut : couleurs en N&B, le caractère utilisé est le dernier utilisé…
25
Bleu
légendes
20 Vert
Rouge
15
axe des valeurs
10
0
1997 1998 1999
catégories
! Les légendes dépassent du cadre (encombrement) fixé au départ. Elles sont

proportionnelles à la taille du graphique.
! L’axe des valeurs est automatiquement généré par Illustrator par rapport aux données et
aux dimensions du graphe.
! Le graphe créé est obligatoirement groupé (associé), il ne faut pas le dissocier si vous
voulez corriger les valeurs. S’il est dissocié, on ne pourra plus revenir en arrière.
! Pour modifier les valeurs, sélectionner le graphe (flèche noire) puis aller dans le menu :
Objet -> graphe -> données.
Avant de modifier les couleurs, dimensions, etc., on va modifier l’apparence du graphe

(alignement des barres, légendes…).
Ce paramètrage est différent selon le style de graphe utilisé.
! Pour modifier les couleurs du graphe barre par barre, sélectionner une barre avec l’outil
flèche blanche +, puis une seconde fois, toutes les barres représentant une même sous-
catégorie sont sélectionnées.
! Pour modifier tous les caractères d’une même manière, sélectionner tout le graphique et
modifier les paramètres avec les palettes adéquates.
! Lorsque l’on change toutes les valeurs d’un graphe, les couleurs risquent d’être perdues,
alors qu’en changeant de style, les couleurs sont gardées.

paramètrages
3_ Pour modifier l’apparence du graphe en cours (cette opération peut ce faire avant de
donner les valeurs en double-cliquant sur l’outil) :
Objet / graphe / attributs / onglet options du graphe
Pour l’aspect du graphe (type), longueur de barres…
Objet / graphe / attributs / onglet axe des valeurs
Pour l’apparence des graduations et

des valeurs sur l’axe des valeurs.
Obje t/ graphe / attributs / onglet axe des catégories
Pour l’apparence des graduations et

des valeurs sur l’axe des catégories.

Appliquer un symbole
aux barres
Vous pouvez aussi, appliquer un symbole (objet) à la place des barres.
1_ création du graphe avec l’apparence et tous les paramètres que vous souhaitez.
2_ création de l’objet que vous souhaitez mettre à la place des barres. Cet objet doit avoir
à peu près l’encombrement de la plus petite barre (hauteur et largeur).
3_ Pour enregistrer le symbole en tant que tel :

menu Objet : graphe : symbole.
4_ Pour appliquer un symbole, sélectionnez le ou les catégories que vous souhaitez

modifier puis menu Objet : graphe : barre.
! On peut appliquer à des barres des styles via la palette des styles (en sélectionnant les
barres voulues), et même des formes. Toutefois, attention, car cela risque de générer des
images très lourdes.
! Les symboles ne peuvent pas contenir d’objets avec un filet de dégradé, si vous souhaitez
qu’il gère les proportion automatiquement, mais elles sont modifiables manuellement.
! Pour un symbole à proportion partielle, l’objet créé doit comporter l’endroit à partir duquel
cette partie sera répétée. Le reste de la démarche reste la même.

Les pathfinder UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Il s'agit de sortes de filtres pour assembler de différentes manières des objets différents :
MODES DE LA FORME
PATHFINDER

Les pathfinder UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Conditions et détails
Conditions • concerne les objets dotés d’un fond (la plupart du temps fermé).
générales : • concerne les objets se superposants (au moins une partie).
! Le rôle des plans est primordial.
! Cela élimine parfois la couleur des contours,
! Cela génère parfois des groupes d’objets,
! Cela peut générer des masques, des tracés transparents,
! Cela peut perturber l’ordre des plans.
MODES
DE LA FORME
1_ Ajout • ajoute les formes sélectionées se chevauchant pour n’obtenir q’un seul objet.
2_ Soustraction • soustrait la forme (ou les) du premier plan à celle de l’arrière plan
3_ Intersection • conserve ce qui est commun aux objets sélectionnés.
4_ Exclusion • La partie commune aux objets sélectionnés est percée

(zone commune transparente).
PATHFINDER
1_ division • recense tous les tracés qui se chevauchent et génère les intersections,
• toutes les intersections génèrent des formes.
2_ pochoir • l’objet en arrière plan est “troué”, mais les objets ayant servis à percer sont
toujours existants,
• conserve les objets et élimine les intersections,
• ne conserve pas les attributs de couleur (comme réunion, mais les objets existent
en bord à bord.
3_ Fusion ! Les objets doivent être de couleurs différentes.

• on obtient le même effet que le pathfinder Pochoir.
4_ Découpe • l’objet au 1er plan découpe les objets en dessous (objets fermés),
• conserve les couleurs qui se trouvent sur l’objet du premier plan.
5_ Contour • des objets fermés et dotés de fonds sont transformés en tracés ouverts (sur les
intersections). On ne peut plus affecter de fond à moins de refermer les tracés.
6_ Soustraction • l’objet situé au premier plan est gardé et défoncé par tous les objets situés en-
(avant-arrière) dessous.
MENU EFFET /
PATHFINDER
1_ Mélange • l’objet du 1er plan prend la couleur des objets en dessous en les associant à ces
maximal propres valeurs (correspond à une surimpression).
2_ Mélange • Les valeurs associées seront diminuées à l’inverse du mélange maximal.

pondéré
3_recouvrement • grossi/maigri ou trapping.

Le recouvrement UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Qu’est-ce-que le recouvrement ? Il s'agit en réalité du grossi/maigri ou trapping. C’est une

fonction qui permet de grossir ou de maigrir un objet par rapport à un autre pour éviter au
roulage des problèmes de repérage.
Cette opération s’effectue donc lorsque 2 objets se chevauchent et que ces derniers n’ont
pas de couleur commune. Cet effet a donc pour but de ne pas faire apparaître de filet
blanc entre ces 2 éléments (repérage).
Pour des questions d’illusion d’optique, un objet clair semble rétrécir sur un objet foncé et
inversement. Ces effets sont donc compensés par un débord (recouvrement).
Généralités :
Recouvrement par contraction lorsque le fond est plus clair que le premier plan.
Recouvrement par dilatation lorsque le fond est plus foncé que le premier plan.
Dans tous les cas, c’est la couleur la plus claire qui sert à faire le débord.
Illustrator peut gérer de manière automatique les recouvrements entre les objets. Aller dans
le menu : Objet -> pathfinder -> recouvrement
Attention, cette commande ne peut pas s’effectuer sur des objets comprenant des dégradés,
des motifs ou des images importées. Les textes devront être vectorisés (transformés en
vecteurs).
Attention, le recouvrement est différent de la fonction “surimpression”. Cette dernière

s’effectue sur la totalité de l’image (dans la palette Options d’objets) sur le fond ou le
contour.

Exemples de recouvrement UTILISATION D’ILLUSTRATOR
Recouvrement de 5 points Recouvrement de 5 points

Recouvrement de 5 points
Hauteur/largeur 100% Hauteur/largeur 100%
Hauteur/largeur 100%
Réduction de teinte 100% Réduction de teinte 20%
Réduction de teinte 100%
Inversion de recouvrement
Recouvrement de 5 points Recouvrement de 5 points

Pas de recouvrement car
Hauteur/largeur 20% Hauteur/largeur 400%
les 2 teintes ont une couleur
Réduction de teinte 100% Réduction de teinte 100%
commune (donc pas de
risque de filet blanc)
Par défaut : Recouvrement de 5 points

Recouvrement de 5 points
Recouvrement de 0,25 points Hauteur/largeur 100%
Hauteur/largeur 100%
Hauteur/largeur 100% Réduction de teinte 100%
Par défaut : Recouvrement de 5 points

Recouvrement de 0,25 points Hauteur/largeur 100%
Hauteur/largeur 100% Réduction de teinte 40%
Réduction de teinte 40% Arts Graphiques - Module
Le jaune 11 - Traitement
est "grossi" des illustrations - 29 29
exportations/importations UTILISATION D’ILLUSTRATOR
• Les exportations : vous pouvez créer des tracés dans Illustrator et les récupérer ensuite
dans Photoshop.
- Créez votre tracé dans Illustrator et enregistrez-le. Aller dans le menu Fichier -> exporter.
Demandez l’enregistrement de votre fichier en TIFF ou en Photoshop 4 en haute résolution
et dans le bon mode colorimétrique.
- Vous pouvez ensuite ouvrir ou importer cette “image” en étant dans Photoshop.
• Les importations : vous pouvez créer des tracés dans Photoshop et les récupérer ensuite
dans Illustrator.
- Faites un tracé dans Photoshop.
Enregistrez-le.
- Toujours dans Photoshop, allez dans le menu Fichier -> importation -> tracés-illustrator.
- Ouvrir Illustrator. Vous pouvez directement ouvrir le fichier .AI ou bien vous devez créer
un nouveau document et IMPORTER votre fichier (on pourrait aussi procéder par
copier/coller).
Vous pouvez aussi importer des images (issues de photoshop) et les utiliser comme aide
(surtout pour les logos). Il faudra alors, dans la fenêtre demander : modèle. Cette image sera
alors verrouillée et descendue.

LA SÉLECTION ET QUELQUES RACCOURCIS
Sélection
Avec cet outil on sélectionne un objet dans sa totalité, ou un groupe d’objets s’ils
ont été asociés.
Sélection directe
On sélectionne un point sur un tracé complet (avec
Ce comportement de l'outil peut
visualisation des autres points qui constituent le tracé). changer si on désactive la case
Attention ! En affichage « aperçu » on sélectionne le « Sélection du fond des objets » dans
le menu Fichier < Préférences.
tracé complet (comme avec la flèche noire) si l'on clique
(Il faudra alors cliquer précisément
dans le fond d'un tracé. sur les contours pour sélectionner
un objet).
Sélection directe progressive.

Comme la flèche noire, elle sélectionne tous les points d'un tracé,
mais peut ne sélectionner qu'un tracé au sein d'un groupe de tracés.
Si le groupe est constitué de plusieurs sous-groupes le premier clic activera
le dernier élément groupé, le second clic le dernier plus le ou les précédents, etc…
Cet outil est très utile aussi pour sélectionner des objets semblables rapidement
dans les graphes (si ce dernier n’a pas été dissocié).
RACCOURCIS IMPORTANTS
Majuscule : ajout à la sélection en cours OU si l’on clique sur un objet déjà
sélectionné, on retire cet objet de la sélection en cours.
permet aussi la contrainte : pendant le déplacement d’un objet pour le forcer à
rester sur le même axe horizontal ou vertical.
avec les outils rectangle et ellipse, on peut
contraindre à une homothétie horyzontale et verticale (ronds et carrés).
Alt : permet de dupliquer un objet ou un groupe d’objets tout en

le déplaçant.
permet aussi de créer un objet à partir de son centre.
OUTILS TEXTE
Quelque soit l’outil texte sélectionné, vous n’êtes pas obligé de le sélectionner avec
cet outil pour faire des enrichissements. La sélection de l’objet avec la flèche noire
permet d’enrichir la totalité de la sélection.
Avec l’outil texte curviligne, vous pouvez modifier le placement de départ du texte
en cliquant sur le curseur qui apparait lorsque que vous sélectionnez le tracé. Vous
pouvez aussi modifier la position – en dessus ou en dessous de votre forme
vectorielle –.

PRÉAMBULE À LA CRÉATION DE LOGOS
Pour reproduire un logo proprement, la meilleure solution est de scanner

un document qui vous servira de base.
En règle générale, pour un travail rapide et efficace, on commence toujours
par la construction du dessin, puis on enrichira les différents objets
Démarche : - scanner le document dans une faible résolution

- importer le scan dans un nouveau document plutôt que de l’ouvrir
document directement dans Illustrator
- créer le logo
- enregistrer en AI et en EPS, ou uniquement en EPS (voir fiche - conseils
pour l’enregistrement).
Pourquoi “importer” plutôt que “ouvrir” ?
OUVRIR IMPORTER
menu fichier/ouvrir menu fichier/nouveau puis
menu fichier/importer
Automatiquement l’image est placée
sur un calque dans un nouveau Lorsque l’on choisi l’image dans la
document. Cette image est fenêtre d’import, des paramétrages
incorporée dans le fichier. sont disponibles :
On pourra ensuite vérouiller le Lien non coché : l’image sera
calque, changer la densité de automatiquement incorporée au
l’import et/ou demander l’image en document, elle fait partie du
tant que modèle. document. Pour le flashage, il ne
sera pas nécessaire de donner
l’image native.
Lien coché : une image de
prévisualisation est intégrée.Si l’on
veut flasher en haute résolution, il
faudra obligatoirement livrer avec le
fichier image.
modèle coché : l’image est intégrée
normalement.
modèle non coché : l’image est
intégrée sur un calque verrouillé
à 50% de sa densité (valeur par
défaut). Cette valeur est modifiable
en double cliquant sur le calque.

L’ENREGISTREMENT
Avant Si vous utilisez du texte, il faudra obligatoirement

d’enregistrer : fournir les polices sous forme de fichiers au flasheur.
Dans le cas inverse, la meilleure technique reste la
VECTORISATION des textes avant l’envoi du fichier
au prestataire. Mais ATTENTION !, une fois les
polices vectorisées, on ne peut plus faire de
corrections d’auteurs, les polices étant devenues des
objets. Il va donc falloir enregistrer votre document
une première fois SANS vectorisation et un autre
AVEC le texte vectorisé. C’est ce dernier qui sera à
utiliser pour le flashage.
Si des images bitmap sont intégrées, il faut qu’elles

soient automatiquement INCORPOREES au fichier, formats disponibles
pour ne pas avoir de surprise au flashage. En effet, si
ce n’est pas le cas, il faudra obligatoirement livrer le
fichier photoshop avec le fichier Illustrator, et c’est un
oubli fréquent qui empêche le flashage. Si vous
flashez alors que le fichier est lié, vous flasherez une
image basse résolutions, donc PIXELISEE.
Si des images bitmap sont intégrées dans votre

document illustrator, ne pas oublier de ne pas
eccéder la fourchette + ou - 30% pour l'importation
dans le logiciel de mise en page. En effet, les bitmap
perdent en qualité si vous ne les utilisez pas à 100%
de leur taille.
Enregistrement Enregistrement au format natif Illustrator (.ai) en

de travail : cas de modifications de textes ou autres.
format EPS
! Format non flashable !
Enregistrement Enregistrer le fichier au format EPS (.eps/encapsuled

pour le postscript).
flashage :
Dans les versions 9 & 10, il existe des fonctions telles
que la transparence qui ne sont pas encore
supportées par tous les rips. Lorsque vous
enregistrez en EPS, enregistrez alors dans une
version inférieure en demandant bien de
CONSERVER LES ASPECTS.
format AI

DUPLICATION D’OBJET PAR RAPPORT
À UNE FORME
élément à réaliser : Voici plusieurs méthodes pour vous permettre de placer un même objet sur un
cercle, placé à intervalles réguliers.
ÉTOILES POSITIONNÉES À LA MAIN

1re méthode
- positionner un axe (x et y) au centre du visuel,
- créér un cercle à partir de ce centre pour nous aider à placer
les étoiles,
RANSPO
OT
- créér la première étoile,
EUR
RT
S
- garder sélectionnée cette étoile, puis aller dans le menu

OBJET / TRANSFORMATION / TRANSFORMATION REPARTIE
-> jouer sur les distances horizontales et verticales ainsi que sur
la rotation (pour les étoiles du bas).
Cette technique est un peu fastidieuse, et si l'on veut prendre comme
base, un autre cercle, il faut tout recommencer.
2me méthode
- il faut déjà calculer les degrés qui séparent les étoiles : par ex. :si l'on veut 12
étoiles sur un cercle (360°) : 360/12=30°.
Chaque objet va être répété tous les 30°.
- créér l'étoile
- ALT clic au centre de l'étoile (pour voir le centre : palette OPTION D'OBJET).
Rentrer la valeur 30°, puis cliquer sur copier.
- répéter l'opération 11 fois (pomme D). RANSPO
OT
EUR
RT
Avec cette méthode, les étoiles auront une légère rotation à chaque fois.
S
3me méthode
- créér un repère vertical. Le sélectionner (affichage : dévérouiller les repères) et lui
appliquer une rotation
de 30°. Répéter cette étape pour obtenir les 11 repères (pomme D).
- créér un cercle avec le même centre que
les autres repères. Le transformer en repère (affichage/repères/créér des repères).
A la croisée de ces repères ce retrouvent le positionnement exact des centres des
étoiles.
Les repères étant
- placer la première étoile, puis dupliquer/déplacer.
magnétiques, on aura
aucune difficulté
à placer les autres étoiles.
ÉTOILES AUTOMATIQUES
- créér une étoile,

- tracer avec l'outil éllipse un cercle (à partir du centre du visuel)
- sélectionner l'étoile et la faire glisser dans la palette FORMES,
- Sélectionner le cercle et cliquer une fois sur l'étoile dans la palette des formes,
- Pour modifier les paramètres de placement sur le cercle, double-cliquer sur l'étoile
(toujours palette formes) et pratiquer des essais…
!Le positionement est aléatoire !

DUPLICATION D’OBJET PAR RAPPORT
À UNE FORME
élément à réaliser : Voici plusieurs méthodes pour vous permettre de placer un même objet sur un
cercle, placé à intervalles réguliers.
ÉTOILES POSITIONNÉES À LA MAIN

1re méthode
- positionner un axe (x et y) au centre du visuel,
- créér un cercle à partir de ce centre pour nous aider à placer
les étoiles,
RANSPO
OT
- créér la première étoile,
EUR
RT
S
- garder sélectionnée cette étoile, puis aller dans le menu

OBJET / TRANSFORMATION / TRANSFORMATION REPARTIE
-> jouer sur les distances horizontales et verticales ainsi que sur
la rotation (pour les étoiles du bas).
Cette technique est un peu fastidieuse, et si l'on veut prendre comme
base, un autre cercle, il faut tout recommencer.
2me méthode
- il faut déjà calculer les degrés qui séparent les étoiles : par ex. :si l'on veut 12
étoiles sur un cercle (360°) : 360/12=30°.
Chaque objet va être répété tous les 30°.
- créér l'étoile
- ALT clic au centre de l'étoile (pour voir le centre : palette OPTION D'OBJET).
Rentrer la valeur 30°, puis cliquer sur copier.
- répéter l'opération 11 fois (pomme D). RANSPO
OT
EUR
RT
Avec cette méthode, les étoiles auront une légère rotation à chaque fois.
S
3me méthode
- créér un repère vertical. Le sélectionner (affichage : dévérouiller les repères) et lui
appliquer une rotation
de 30°. Répéter cette étape pour obtenir les 11 repères (pomme D).
- créér un cercle avec le même centre que
les autres repères. Le transformer en repère (affichage/repères/créér des repères).
A la croisée de ces repères ce retrouvent le positionnement exact des centres des
étoiles.
Les repères étant
- placer la première étoile, puis dupliquer/déplacer.
magnétiques, on aura
aucune difficulté
à placer les autres étoiles.
ÉTOILES AUTOMATIQUES
- créér une étoile,

- tracer avec l'outil éllipse un cercle (à partir du centre du visuel)
- sélectionner l'étoile et la faire glisser dans la palette FORMES,
- Sélectionner le cercle et cliquer une fois sur l'étoile dans la palette des formes,
- Pour modifier les paramètres de placement sur le cercle, double-cliquer sur l'étoile
(toujours palette formes) et pratiquer des essais…
!Le positionement est aléatoire !

CAMEMBERT EN 2D
1re méthode - Créér le graphe

- Mettre en couleur le graphe
- Appliquer une mise à l'échelle (hor : 100%, ver : 40%)
- Tout sélectionner et dupliquer au même endroit sur un autre calque
travail sur ce nouveau calque :
- Décaller le graphe collé vers le bas
- Dissocier le graphe
- Tracer une axe horizontal passant par le milieu du graphe
- Sélectionner cet axe qui est au 1er plan et OBJET/TRACE/
DECOUPER
- Supprimer la moitié haute du graphe
- Supprimer le point central de la moitié restante
- Dupliquer ce tracé, et le placer au même endroit que
le graphe du 1er calque
- Joindre les points des deux parties
- Coloriser
2me méthode - Créér le graphe

- Mettre en couleur le graphe
- Appliquer une mise à l'échelle (hor : 100%, ver : 40%)
- Tout sélectionner et dupliquer au même endroit sur un
autre calque
travail sur ce nouveau calque :
- Décaller le graphe collé vers le bas
- Dissocier le graphe
- Dupliquer/déplacer cet objet au même endroit que le
graphe du 1er calque
- Sélectionner les 2 objets, puis REUNION
- Tracer à la plume les jonctions en faisant bien dépasser
les tracés de la forme
- DECOUPER
- Mettre en couleur chaque partie
- Positionner ce calque en arrière plan
3me méthode Faire toutes les étapes de la méthode 1, puis :

1 - sélectionner les deux parties bleues et les
déplacer
2 - recréér à la main l'épaisseur qui manque grâce
à des repères positionnés auparavant
3 - faire de même pour la partie orange sans
la déplacer.

logiciel PAO
SUPPORTS DE COURS
Adobe
Illustrator
exercice - soleil
Création de la bouteille EXERCICE - SOLEIL
élément à
réaliser :
Création de la bouteille :
- Ouvrir le document « modèle_soleil ». Des tracés ont étés créés pour vous
guider dans la construction finale.
Tracé extérieur de la bouteille :

- Créer les deux ellipses et un rectangle. Une fois créés, avec la palette des
alignements, les centrer entre eux dans le sens vertical. (1)
- Sélectionner les 3 éléments, puis cliquer sur « réunion »
de la palette des pathfinder. (2)
- Créer un rectangle à la base de la bouteille au premier plan, puis cliquer sur «
soustraction » de la palette des pathfinder. (3 et 4)
fig. 1 fig. 2 fig. 3 fig. 4
Tracé intérieur de la bouteille :

- Sélectionner la bouteille crée et double-cliquer sur l’outil
« mise à l’échelle ». Tester les différents pourcentages jusqu’à
obtenir le résultat voulu.
!Ne cliquez pas sur OK mais sur COPIER ! (5)
fig. 5
Autres éléments EXERCICE - SOLEIL
Création de l’étiquette :
- Dupliquer la plus petite des bouteilles, et créer par dessus,
à la plume, les deux tracés qui serviront d’une part pour
découper les haut de l’étiquette, puis séparer les deux parties
de l’étiquette de couleur différentes.(6)
- Sélectionner les 3 objets, puis cliquer sur « division »
de la palette des pathfinder. Vous pouvez alors supprimer
la partie haute de la bouteille découpée, vous n’en avez plus
dupliquer sans déplacer… besoin. (7)
fig. 6
Création des soleils :

- Prendre l‘outil. « étoile » et créer le premier soleil central
(rayon 1 : 14mm, rayon 2 : 10mm et 30 branches). Vous
n’avez plus qu’a faire une mise à l’échelle et de copier cet
objet. (7)
- Il ne vous reste plus qu’a le centrer dans la bouteille (palette
alignements). fig. 7
- Pour le grand soleil derrière la bouteille, il vous suffira de faire une
homothétie du petit et de dupliquer.
le goulot et l’enrichissement :
- Faire deux rectangles aux coins arrondis pour
le haut du goulot.
- Sélectionnez chaque élément individuellement
et assignez leur une couleur de fond unie
ou dégradée…
Le texte :
- Pour le texte « liquide vaisselle », saisir le texte avec un retour à la ligne,
puis enrichir.
- Pour le texte « mouvant », il va d’abord falloir créer un filet
à la plume sur lequel vous placerez le texte avec l’outil texte curviligne, puis
enrichir. (8)
- Dupliquer le texte « soleil » qui apparaît aussi en haut et faire une mise à l’échelle.
On pourra, une fois tout le texte positionné et sûr, vectoriser pour ne pas avoir de
risque au flashage de ne pas avoir la police. Vous pouvez aussi faire une
sauvegarde de sûreté au format .AI avec les textes non-vectorisés en cas de
corrections. Dans ce cas alors, il faudra placer le texte en toute dernière étape. (9)
fig. 8 fig. 9
Le texte habillé EXERCICE - SOLEIL
Le texte habillé :
- Vous allez en premier lieu créer les formes qui vous serviront à repousser
le texte. Un cercle autour du soleil et une ellipse pour la partie basse de
la bouteille suffisent. Ne pas appliquer de fond ni de contours. (10)
- Créer, avec l’outil texte, un rectangle à la bonne justification, c’est dans
cet espace que vous importerez le texte. Une fois ceci fait, enrichir le texte.
- Les objets servants à repousser le texte doivent être obligatoirement au
dessus du texte. Sélectionner tout ces éléments, puis menu:texte:habillage.
Pour modifier le placement du texte vous pouvez modifier chaque objet
à votre convenance. (11)
fig. 10
La guirlande de fleurs :
- Créer un filet auquel vous appliquerez une forme. Trouvez dans les
bibliothèques de formes un motif qui vous convienne et sélectionnez en
même temps votre filet. Automatiquement le motif est appliqué. Si vous
désirez modifier l’espacement, la taille, etc. double-cliquez sur le motif
dans la palette des formes. Une fenêtre s’ouvre pour que vous puissiez
modifier les paramètrages.
fig. 11

logiciel PAO
SUPPORTS DE COURS
Adobe
Illustrator
exercice - mistermac
Préparation des éléments EXERCICE - MISTER MAC
élément à réaliser :
Travail préalable : scanner l’image de base. Préparez les

éléments de base : le rectangle général, le filet qui permettra
de découper, les différents calques ou placer les éléments…
Pour importer une image Dupliquer un calque :

bitmap on peut aussi aller Cliquer-glisser avec le calque
dans le menu fichier:ouvrir le 3e bouton de la palette
et sélectionner le fichier des calques.
voulu. Il faudra alors
verrouiller et descendre
la densité de l’image en
allant dans les options
Division d’objets :
de calques (palette ou
sélectionner le tracé puis,
accessibles de double-
menu objet/tracé/découper.
cliquant sur le calque source.
Préparation des éléments avant l’ombre interne :

- Importer l’image de base scannée
en tant que modèle (option disponible dans la fenêtre “
importation ”).
Le calque comportant l’image sera automatiquement verrouillé
et importé à 50 % de sa densité réelle. Ceci pour une meilleure
facilité dans votre travail.
- Créer un calque et le nommer “ logo ”, puis créer un rectangle

aux dimensions “ finies ” (contour noir/fond aucun pour
visualiser l’image de base). Dupliquer, verrouiller et mettre en
arrière plan ce calque et le nommer “écrêtage”.
Ce calque nous servira à la fin. Se replacer sur “ logo ” et créer
à la plume un filet (sans contours) qui va nous servir de
découpe.
- Sélectionner les deux objets (le rectangle et le filet) et dans

la palette Pathfinder cliquer sur le bouton “ division ”. Vous
obtenez deux objets associés. Sélectionner chacun d’entre-eux
et les enrichir (utiliser l’outil de sélection directe pour
sélectionner un objet d’un groupe). Masquez les sous-calques
du calque “ logo ”.

Le texte, le tracé transparent EXERCICE - MISTER MAC
et l’ombre interne
- Grâce à l’outil texte, cliquer sur le

Sélection rapide de certains document une première fois pour saisir
objets (ou tous) d’un calque :
“Mac ”. Désélectionnez, puis toujours avec
cliquer sur le rond du calque
concerné. Majuscule appuyé l’outil texte, cliquer une seconde fois pour
vous permet de faire une saisir “ ister ”. Enrichir le texte à l’aide des
sélection multiple. palettes caractères et paragraphe, puis
donner une couleur de fond blanc et aucun
contour.
- Sélectionner les deux parties du texte et à l’aide du

menu texte, vectoriser. Les éléments obtenus sont
désormais des objets associés et ne sont plus éditables
en tant que texte. Dissocier ces objets.
Les tracés transparents ne - Sélectionner les objets textes ainsi que

peuvent s’appliquer à un la partie supérieure du rectangle. Aller
groupe d’objet comprenant
dans le menu objet:tracé/transparent/
un masque d’écrêtage.
Lors de la création d’un tracé créer. Le texte perce le rectangle bleu et l’on
transparent, si des défauts de peut voir l’image de base en arrière plan.
transparence apparaissent, Ici, il existe deux tracés transparents, un
inverser le sens du tracé pour percer le “ a ” et le “ e ” et l’autre pour
à l’aide de la palette des percer le rectangle bleu.
options d’outils (en général
groupes qui composent des
éléments intermédiaires).
création de l’ombre interne :

- La partie au premier plan du logo est achevée. Il va falloir
maintenant faire l’ombre à l’intérieur de la typo. Pour ce faire
sélectionnez tous les éléments du calque “ logo ” et les
dupliquer. Nommer ce calque “ ombre ” et le mettre en
dessous du calque “ logo ”. Verrouiller le calque “ logo ”.
- Sélectionner les deux rectangles du calque “ ombre ” et leur

donner une couleur noir 30 % (à votre convenance).
Sélectionner tous les objets du calque, puis menu
objet:pixelliser. Demander une haute résolution (300dpi), un
lissage et un fond blanc et pas de masque d’écrêtage.
- Sélectionner l’unique objet du calque “ ombre ” puis : menu
filtre:atténuation:flou gaussien. Indiquer la valeur que vous
souhaitez (aidez-vous de la prévisualisation) et validez. Affichez
le calque “ logo ” toujours verrouillé et déplacer l’ombre pour
qu’elle apparaisse sous le logo à l’intérieur.

Le masque d’écrétage EXERCICE - MISTER MAC
- Sélectionnez l’objet du calque “masque d’écrêtage” et glissez-le dans le calque ombre.

Attention, l’ombre doit être en dessous de l’autre objet. Sélectionner les deux objets puis :
menu objet:masque d’écrêtage:créer. Votre logo comporte une ombre intérieure, mais pas
extérieure. Bravo !

logiciel PAO
SUPPORTS DE COURS
Adobe
Illustrator
exercice - stylo
Création de la plume (I) EXERCICE - STYLO
élément à Création des éléments de travail : Il est possible de faire

réaliser : - Créer un nouveau document. « ouvrir » d’après une image
bitmap, l’image sera alors
- Importer l’image « stylo_forme » en tant que modèle.
ouverte directement dans
- L’image importée est verrouillée, pour pouvoir effectuer une un nouveau document, mais
rotation, déverrouiller le calque. on ne pourra choisir à
- Après avoir positionné le stylo à la verticale, l’ouverture les paramètrages
verrouiller le calque. de l’importation (modèle…),
il faudra alors modifier
les paramètrages du calque.
importer une image rotation du modèle, calque déverrouillé
Création de la plume :
- Si vous avez importé une image, un nouveau calque vierge a été
automatiquement créé : le nommer « plume ». Sinon, créer
un nouveau calque. Pour plus de confort ne
- Créer un polygone à 6 côtés et le placer correctement sur mettez pas de fond à cet
les parties horizontales (sélection directe), veiller à ce que objet, cela vous permettra de
les cotés dépassent de la forme à créer. (1) voir voir scan de placement
- Dessiner à la plume la partie gauche de la plume, puis en dessous.
appliquer un effet miroir en n’omettant pas de dupliquer
l’objet (alt + déplacement). (2)
- Sélectionner les 3 objets et cliquer sur le bouton « Division » de la palette
Pathfinder. (3)
- La plume a été divisée en 3 objets, il ne reste plus qu’a supprimer les 2 parties
extérieures de la plume. (4)
Fig. 1 Fig. 2 Fig. 3 Fig. 4

Création de la plume (II) EXERCICE - STYLO
- Pour créer la gouttière et le trou de la plume, créer une ellipse et un

rectangle. Avec la palette Alignements, centrer tous les objets entre eux
(verticalement).
- Sélectionner les trois objets et cliquer sur le bouton « Soustraction de
la forme » de la palette Pathfinder en appuyant sur le touche ALT pour
décomposer les objets.(5) Prendre soin de ne pas
- Enrichissez la forme(6) assigner de couleur
- Nous allons maintentant créer la partie ombrée de la de contour à ce tracé, sinon
plume avec l’outil plume, créer un tracé délimitant la zone ce contour sera pris en
éclairée de la zone ombrée. Sélectionner les 2 objets puis compte lors du découpage.
cliquer sur le bouton « Division » de la palette
On peut aussi aller dans
Pathfinder.
le menu Objet/tracé/diviser
- Deux objets ont été créés. (7) les objets inférieurs.
!ATTENTION! tous
les calques situés en dessous
seront découpés sauf
si vous les verrouillez.
Fig. 5 Fig. 6 Fig.7
- Pour créer les effets en zigzag dans la partie

ombrée, exécuter la même méthode que
précédemment :, créer un tracé à la plume
(8), sélectionner tous les éléments, bouton
«division» de la palette pathfinder et
suppression des objets indésirables (9).
Fig. 8 Fig.9

Création du corps et EXERCICE - STYLO
des flamèches
- Prendre bien soin de verrouiller tous les calques de la plume avant de

poursuivre le travail afin de les protéger et n’oubliez pas d’enregistrer
régulièrement votre travail.
Création du corps :
- Vous aller utiliser exactement la même méthode que Vous pouvez aussi essayer
pour la plume : créer un polygone placé sur les de bouger uniquement
parties horizontales mais débordant sur les cotés les points de votre objet
(10), créer à la plume le tracé (11)qui vous servira a avec l’outil de sélection
diviser votre objet pour supprimer les parties dont directe (pensez à appuyer
vous n’aurez pas besoin. Faire de même pour les sur Majuscule pour
parties ombrées (sauf les parties internes).(12) les contraintes).
Fig. 10 Fig. 11 Fig. 12
- Prendre bien soin de verrouiller tous les calques de la plume et du corps

avant de poursuivre le travail afin de les protéger.
Création des flameches et de l’ombre générale :

- Sur un nouveau calque, créer une ellipse que vous dupliquerez ensuite
(déplacer + ALT). (13)
- Créer un filet au dessus des ellipes et découper selon la méthode que vous
préférez (objet:tracé ou palette pathfinder), puis supprimer les moitiés d’ellipse
dont vous n’avez plus besoin. (14)
- déverrouiller tous les calques et dupliquer TOUS les éléments sur
un nouveau calque, à mettre en arrière plan) pour créer l’ombre globale
de la forme à mettre en Noir 100%. Associez les objets qui constituent
l’ombre (15).
Fig. 13 Fig. 14 Fig. 15

logiciel llustrator
Enrichissement EXERCICE - STYLO
Enrichissement des différents éléments :

- Procéder calque par calque en les déverrouillant chacun les uns après
les autres, et reverrouiller les calques pour protéger vos modifications.
- Essayer avec les couleurs unies, les dégradés de couleurs, les dégradé
de filets. Pour cette dernière fonction, vous ne pouvez cumuler un filet
de dégradé avec autre chose de complexe comme par exemple un dégradé
dans le fond de l’objet…
Résultat

Modifications de texte (I) EXERCICE - STYLO
Nous allons voir les différentes possibilités qu’offre Illustrator 10 de modification de

texte. Ces possibilités peuvent néanmoins s’appliquer sur toute sortes d’objets…
Les trois méthodes que nous allons voir

sont toutes issues du menu
objet/distorsion de l’enveloppe
Création de la ligne de texte :

- Avec l’outil texte, saisir votre ligne.
- Enrichir le texte à l’aide des palettes caractères et paragraphe.
Si vous désirez modifier d’un coup toute la ligne, rien ne sert de sélectionner
le texte avec l’outil texte, il suffit simplement de sélectionner avec l’outil
de sélection la ligne.
Création d’une enveloppe de texte :

1re méthode :
- Sélectionner la ligne de texte avec l’outil de sélection.
- menu « objet:distorsion de l’enveloppe:créer d’après une déformation ».
- Une enveloppe est créée et le texte sera modifiable via cette enveloppe
grâce à des formes prédéterminées.

Modifications de texte (II) EXERCICE - STYLO
2me méthode :
- Créer un objet à l’aide de la plume ou de tout autre outil qui vous servira
d’enveloppe. !ATTENTION! cet objet doit être impérativement au premier plan
ou tout du moins au dessus de votre texte. (15)
- Sélectionner le texte et l’enveloppe.
- menu « objet:distorsion de l’enveloppe:créer d’après l’objet au premier plan ».
(16)
Fig. 15 Fig. 16
3me méthode :
- Sélectionner la ligne de texte avec l’outil de sélection.
- menu « objet:distorsion de l’enveloppe:créer d’après un filet ».
- Une fenêtre s’affiche, il faut donner les renseignements sur la création de
l’enveloppe en horizontal et vertical. Plus la grille est décomposée, plus il
sera compliqué de modifier l’enveloppe. (17)
- Une fois validé, on peut à l’aide de l’outil de sélection directe modifier
l’enveloppe créée.
Le texte est modifiable en allant dans le menu/objet/distorsion
de l’enveloppe:modifier le contenu ». Vous pourrez de la même manière
modifier l’enveloppe en retournant dans le menu et à la place de « modifier
le contenu », vous aurez « modifier l’enveloppe ». (18 et 19)
Fig. 18 Fig. 19
Fig. 17

Module 07 Traitement Des Illustrations

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logiciel PAO

2 Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 2

Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 3 3

Détermine l’utilisation générale du logiciel.

Détermine des options de texte et la tolérance de certains outils.

Unités de mesure et niveaux d’annulation.

4 Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 4

Détermine des styles d’affichage pour les repères.

Détermine des options d’affichage et le magnétisme des repères.

Détermine des exceptions pour les coupures de mots.

Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 5 5

Détermine les disques de swapping et l’endroit où sont stockés les Plug-ins.

Préférences pour l’enregistrement.

Options pour l’utilisation de fichiers sur serveur.

6 Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 6

Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 7 7

8 Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 8

sélection directe / sélection directe progressive (A)

Baguette magique (Y)

Lasso / lasso direct (Q)

Plume / ajout de points / suppression / conversion de points directeurs (P)

Texte / captif / curviligne (T)

Texte vertical / captif vertical / vertical curviligne (T)

Trait / arc / spirale (/)

Grille rectangulaire / grille sphérique (Maj + /)

Rectangle / rectangle à coins arrondis / ellipse (M)

Polygone / étoile / halo (M)

Crayon / arrondi / gomme (N)

Rotation / miroir / tourbillon (R/O)

Mise à l’échelle / déformation / modelage (S)

Déformation / tourbillon /contraction (Maj + R)

Dilatation / festons /cristallisation / fronces (Maj + R)

Transformations manuelles (E)

Symboles : Pulvérisation / glissement / espacement (Maj + S)

Symboles : Redimensionnement / rotation / changement de couleurs (Maj + S)

Symboles : Transparence / stylisation (Maj + S)

Graphes : Barres verticales / barres verticales empilées / barres horizontales (J)

Graphes : Barres horizontales empilées / linéaire / couches (J)

Graphes : nuée de points / sectoriel / radar (J)

Filet de dégradé (U)

Dégradés de couleurs (G)

Pipette/ pot de peinture / règle (I/K)

Dégradé d’objets / tracé automatique (W)

Tranches / sélection de tranches (Maj + K)

Ciseaux / cutter (C)

Main / page (H)

Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 9 9

10 Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 10

Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 11 11

12 Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 12

La palette navigation permet

La palette des infos nous donne

La palette alignement permet

La palette transformations permet

La palette options d’objets permet

La palette contours permet

La palette infos sur le document permet

Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 13 13

La palette caractères s’affiche depuis le menu TEXTE : caractère.

La palette paragraphe s’affiche depuis le menu TEXTE : paragraphe.

La palette police MM concerne

La palette Tabulations permet de définir

14 Arts Graphiques - Module 11 - Traitement des illustrations - 14

Ces couleurs peuvent être mémorisées dans la palette nuancier :