ATELIERS DU MERCREDI.

Consigne : écrire une histoire.

Les constituants d’une histoire.

Un commencement, une intrigue, le déroulé, et la fin (heureuse ou retour au cas départ)
Conseil :
- l’imparfait sert pour la description, un fait qui dure, et le passé simple c’est pour une situation
bref, brusque.
- Ne pas oublier d’accorder.
- Faire des phrases simples
- Ne pas répéter deux fois le même mot, diversifier le vocabulaire

I. Son enfance
II. Son adolescence et transition sur sur sa majorité

Mon histoire commence ainsi :

Il était une fois, un garçon qui se nommait Rachad qui habitait avec ses parents au Canada. Il était
connu comme étant un garçon gentil, respectueux envers les aînés, et surtout envers ses proches. Il
allait à l’école le plus proche de son village. Sa famille n’était pas la plus aisée du coin mais elle
arrivait à subvenir aux besoins de chacun. En effet, la famille de Rachad habitait prés de la
campagne, et avait la chance de gratifier de petites portions de terre. Le petit garçon avait
l’habitude de s’y rendre tous les week-end mais avant il s’organisait pour rendre quelque service au
voisinage comme par exemple aller faire les courses pour les personnes en situation de précarité.
Durant le peu de temps qu’il avait, il prenait plaisir à faire de la lecture, parfois à écrire des poèmes.
C’était son seul moment de passe temps, ce qui engendrait de l’harcèlement de la part de jeunes de
son âge. Ils le représenté comme le petit intello du village, surtout à l’école.
Contrairement à ces enfants de son quartier, les adultes admiraient beaucoup sa passion pour la
lecture, certains essayaient de lui conseiller le genre de livre à lire.
Tout allait bien en général pour ce bonhomme, malgré pas mal de problème venant de son
entourage.
Dans notre proximité, on a toujours un lien spécial qu’on partage avec un constituant de notre arbre
généalogique. Pour notre espiègle, il trouva sa branche du côté de son grand-père avec lequel il
détenait une relation fusionnelle.
Leurs échanges sont pour dire les plus philosophiques, mêlant raison et leçon de la vie. Comment
on peut imaginer aujourd’hui faire de même, malheureusement, cela disparaît avec le temps.
Néanmoins, ce dernier se réjouissait de chaque instant réunis. Une de leur sujet préféré fut tout
simplement la vie à son époque, vous vous en doutez le nombre d’écart et d’évolution qu’il y a eu
depuis. Son pépé lui racontait comment les gens vivaient : entre une harmonie complète,
collectivité, parce que ce qui diffère du temps de Rachad, c’est en premier cette rupture, cette
distance ne touche pas l’étalement des pays mais celle du cœur, de l’esprit du peuple.
Le plus grand conseil qu’il a pu en-tiré de tout ceci est de s’il est en notre capacité de porter la main
à notre prochain, ne pas se laisser envahir par la rancœur, et surtout prendre les choses comme elles
nous arrivent et en sortir la meilleure.

Sur le plan amoureux, comme c’est le principal qu’on fait lire aux enfants à travers les contes de
fée, je suis navrée de vous décevoir mais il n’y eut pas de petits bisou, partage du goûté...bien que
Rachad, à l’exception de sa beauté intérieure avait également celle du physique. Il l’avait lui aussi,
des filles qui lui couraient derrière, mais son esprit ne vaguait pas pour ces amusement.
Toutefois, son papi souffrait d’une maladie

Mais, plus il grandissait, il commença petit à petit à s’éloigner de son monde autour des œuvres.
Cela dégradait l’image que les autres avaient de lui.
Ses parents avaient peur de perdre leur seul fils auquel ils espéraient leur sortir de la vie en province
pour une urbaine. Néanmoins il était arrivé à sortir gagnant de son enfance entouré des livres,
puisqu’