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Un bilan fonctionnel
Point mort = si il est supérieur à l’année dernière (pas bon) moment où l’E commence à
faire des bénéfices sur l’année.
Bilan fonctionnel # bilan financier replacer/reestructurer pour pouvoir mieux ressorir les
infos dont on a besoin.
Théorie du signal = dividendes distribués par une E mais qui ne possède pas l’argent pour
distribuer ceux-ci : donner une image de bonne santé financière.
b.
Faux
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Votre réponse est correcte.
Vrai. Si les éléments qui constituent le besoin en fonds de roulement sont à court
terme (généralement de quelques mois), ils sont renouvelés en permanence ; le
besoin en fonds de roulement est donc permanent.
La réponse correcte est : Vrai
BFR normatif = représente 60 jours du CA de l’E partie permanente du BFR.
QUESTION 2 :
Le financement par endettement bancaire à court terme
d'une prise de participation de 10% dans une société a un
effet sur le besoin en fond de roulement.
b.
Vrai
Qqn qui réalise découvert bancaire pour achet 10% des parts d’une entreprise.
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Votre réponse est incorrecte.
Faux. Cette opération est uniquement financière, elle n'influe pas sur l'exploitation
et en particulier ne touche ni les stocks, ni le compte client, ni le compte
fournisseurs et donc pas le BFR.
La réponse correcte est : Faux
Texte de la question
Le rapport des dettes financières sur les capitaux propres
ne mesure pas la liquidité d'une entreprise.
b.
Vrai
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Votre réponse est correcte.
Vrai. Ce ratio ne mesure que l'importance relative des dettes par rapport aux
capitaux propres. Le ratio de liquidité générale est le rapport entre l'actif circulant et
l'exigible à court terme et vérifie que les actifs à moins d'un an sont plus importants
que les dettes à moins d'un an et permettent donc normalement de payer ces
dettes grace à la liquéfaction progressive des actifs circulants.
La réponse correcte est : Vrai
Texte de la question
Les éléments exceptionnels n'ont aucune importance pour
apprécier la rentabilité d'une entreprise.
b.
Faux
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Votre réponse est incorrecte.
Vrai. Pour pouvoir comparer les rentabilités d'année en année ou déterminer une
rentabilité normative il convient d'extourner les éléments non récurrents
La réponse correcte est : Vrai
Texte de la question
Un taux de rentabilité est égal à un résultat rapporté aux
capitaux investis qui ont permis la réalisation de ce
résultat.
b.
Faux
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Votre réponse est correcte.
Vrai. Ne pas confondre marge et rentabilité. Une marge est un résultat rapporté au
chiffre d'affaires ou à la production. Une rentabilité est un résultat rapporté au
montant des fonds investis pour obtenir ce résultat.
La réponse correcte est : Vrai
Marge = revenu - les couts
Taux de marge (ratio) = Marge/CA
Taux de VA (ratio) = VA/CA
Rentabilité = Taux (pourcentage) = Résultat/moyen utilisé
Texte de la question
Une augmentation de la valeur ajoutée n'a aucune
d'influence sur le besoin en fond de roulement?
b.
Faux
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Votre réponse est correcte.
Faux. Si la valeur ajoutée en % du chiffre d'affaires augmente, c'est que l'entreprise
transforme plus le produit, elle achète ses matières premières plus en amont de la
filière de production et vend son produit plus en aval d'où des stocks plus faibles,
un crédit fournisseurs plus faible (on leur achète moins) et un crédit client plus
important (on leur vend plus). Au total le BFR augmente.
La réponse correcte est : Faux
BFR normatif = nbre de jours de CA EX : BFR = 45 jours CA
b.
Vrai
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Votre réponse est correcte.
Les hypermarchés ont des créances d'exploitation faibles, les clients payant
généralement comptant, des stocks faibles car ils ont une importante rotation des
stocks (produits frais) et des dettes fournisseurs importantes car ils négocient les
délais fournisseurs.
La réponse correcte est : Vrai
BFR = Actifs circulants (stocks + créances) – Passifs circulants (fournisseurs + dettes fiscales et
sociales)
Ils ont une marge de trésorerie (paiement à ses fournisseurs sous 30j par ex donc marge de
paiement BON
Texte de la question
La dotation aux amortissements a une contrepartie en
trésorerie.
b.
Vrai
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Votre réponse est incorrecte.
Faux La dotation aux amortissements est la constatation comptable de la
dépréciation d'un actif liée à son utilisation ou au passage du temps. Il n'y a donc
pas de contrepartie en trésorerie qui correspond au cash de l'entreprise.
La réponse correcte est : Faux
Texte de la question
Mettre les bénéfices en réserve, c'est accroître la trésorerie
de l'entreprise
b.
Faux
Feedback
Votre réponse est incorrecte.
Le bénéfice est une notion comptable, au fur et à mesure qu'il a été sécrété, il a pu
être réinvesti et donc cela n'a pas d'influence sur la trésorerie, sur le cash de
l'entreprise.
La réponse correcte est : Faux
Texte de la question
Le versement des dividendes impacte le résultat
Veuillez choisir une réponse :
a.
Faux
b.
Vrai
Feedback
Votre réponse est correcte.
FAUX. Le dividende est une répartition du bénéfice net et donne bien lieu à un
versement en cash, mais celui-ci n'affecte pas le résultat de l'exercice au titre
duquel le dividende est versé.
La réponse correcte est : Faux
Versement des dividendes qui impacte la trésorerie.
Le découvert bancaire ne doit pas être très élevé lors de l’analyse financière d’une entreprise
A retenir :
3.L’entreprise pour leur part a sa propre politique de financement et d’investissement. Elle les
décide en fonction du coût de financement (taux d’intérêt proposé, et coût des capitaux
propres exigé MEDAF). Ces politiques de financements sont étroitement liés aux projets
d’investissement de l’entreprise: en termes d’investissement en moyens techniques ou
commerciaux, mais aussi pour financer le BFR – le fonctionnement à court terme.
De détecter les risques de défaillance D’estimer les risques courus par les créanciers et
les associés.
Le bilan est un document comptable qui exprime à une date donnée (au moins une fois par an)
la situation patrimoniale de l’entreprise. Il se présente sous forme d’un tableau équilibré
divisé en deux parties :
* À gauche, l’actif réel qui recense les éléments du patrimoine * À droite, le passif réel qui recense les éléments du
ayant une valeur économique positive pour l’entreprise : patrimoine ayant une valeur économique négative
* L’actif immobilisé = investissements de l’entreprise pour l’entreprise, à savoir les dettes auprès des
destinés à la production de biens ou services, banques ou auprès des fournisseurs.
subdivisé en immobilisations incorporelles, corporelles La différence entre l’actif réel et le passif réel est
et financières (classe 2 du PCG). constituée par les capitaux propres qui s’inscrivent
* L’actif circulant qui comprend les stocks, les au passif bien qu’il ne s’agisse pas de dette. De fait,
créances clients et la trésorerie (classe 3, 4 et 5 du les capitaux propres mesurent à un instant donné la
PCG). Ces biens ont été acquis grâce à des ressources valeur nette du patrimoine de l’entreprise.
que l’on retrouve au passif du bilan.
Les capitaux propres et les passifs réels constituent des ressources. Les actifs réels constituent
les emplois de ces ressources (leur utilisation).
La notion de ressource et d’emploi n’est pas toujours aisée à comprendre : Ainsi si on détient
50 000 euros sur un compte en banque, il s’agit d’un emploi. En effet, ce sont des ressources
placées en trésorerie plutôt qu’en investissements ou en stocks.
FRNG =
Ressources stables –
emplois stables
BFR =
Actifs circulants –
dettes d’exploitation
Trésorerie nette =
Disponibilités –
Dettes fin à CT
Vérification :
Trésorerie nette = FRNG – BFR
L’actif immobilisé doit être financé par des ressources stables. Les besoins à financer du cycle
d’exploitation doivent alors être intégralement couverts par les ressources provenant du
cycle d’exploitation.
Dans ce cas, le FRNG est égal à zéro et le BFRE est égal à zéro (on suppose le BFRHE = 0). On
appelle cette situation dans laquelle la trésorerie est nulle l’équilibre financier optimum.
Lorsque le FRNG est positif, il constitue un surplus de ressources stables qui peut être utilisé
pour couvrir une partie des besoins de financement liés à l'exploitation. L'entreprise a
besoin de financer son cycle d'exploitation du fait des décalages dans le temps entre le
moment où l'entreprise paie ce qu’elle achète et le moment où l'entreprise récupère l'argent
de ses ventes. EX : Lorsque l'entreprise accorde des délais de paiement à ses clients, elle doit
avancer l'argent nécessaire pour produire afin de payer les matières premières, les salariés et
les autres charges.
Exigibilité = durée à
attendre jusqu’à
l’échéance
Liquidité = Capacité
de transformation de
l’actif en monnaie
Solvabilité = capacité
de l’E à faire face aux
engagements
Cycle
d’accumulation
du capital
FR
BFR
Cas du financement par nantissement d’actif (prêt contre nantissement d’actif, affacturage,
crédit-bail), par lequel une entreprise obtient des liquidités non pas sur la base de sa
solvabilité, mais sur la valeur d’actifs particuliers, tels que les créances clients, les stocks, le
matériel, les équipements et les actifs immobiliers (= capacité à convertir actifs en Liquidité)
Le principal avantage = permet aux entreprises d’accéder à des liquidités plus rapidement et à
des conditions plus souples qu’avec une avance sur titres classique, quelles que soient la
situation de leur bilan et leurs perspectives de trésorerie futures.
En outre, avec le financement par nantissement d’actif, les entreprises qui n’ont pas
d’antécédents d’emprunt, sont confrontées à des déficits ou des pertes temporaires ou
doivent accélérer leurs flux de trésorerie pour saisir des opportunités de croissance. Les
accords fondés sur des actifs prévoient souvent le renouvellement des fonds ; une fois les
avances remboursées, l’emprunteur peut obtenir des fonds supplémentaires garantis par
d’autres actifs. Les bailleurs de fonds n’exigent généralement pas de fonds propres ou de
garantie personnelle de l’emprunteur.
En revanche, les coûts induits et/ou la complexité des procédures peuvent être sensiblement
plus élevés que ceux associés aux prêts bancaires classiques, et les limites de financement sont
souvent plus basses qu’avec un prêt traditionnel.
BFR = Actifs circulants (Stocks, Marchandises, Avances et acomptes versés, Créances clients,
VMP, Disponibilités, caisse) – Dettes d’exploitation.
Trésorerie = FR – BFR
L’équilibre financier est respecté lorsque l’E peut financer sa croissance sans dégrader sa
trésorerie nette le FRNG doit couvrir la partie structurelle du BFR.
Analyse en 3 étapes :
1) FRNG
o FRNG > 0 : ressources stables couvrent les emplois stables
o FRNG < 0 : ressources stables sont insuffisantes pour couvrir les emplois
stables
2) BFR
Si BFR +
o Trésorerie + et FR + : Tout va bien MAIS ATTENTION si trésorerie + trop forte =
pas suffisamment rentable ou activité saisonnière
o Trésorerie – et FR + : FR < BFR : si trésorerie faible OK, sinon ATTENTION
o Trésorerie – et FR - : situation rare faut restructurer le financement : passer
de dette CT à dette LT, augmenter les cap propres.
Si BFR –
o Trésorerie + et FR + : Grande distribution
o Trésorerie + et FR - : on peut arriver à cette situation si on arrête de payer les
factures
o Tréso – et FR - : Pas bonne situation. Dépend si fort Trésorerie – et si BFR – est
structurel ou non.
3) Analyse des ratios
Ratio de couverture des capitaux investis : Ressources stables/(Emplois stables +
BFRE) est proche de 1
Et si ce ratio < 1? : recours aux concours bancaires
Les ratios de gestion gestion du BFR
Poids du BFRE : BFRE/CA
Les ratios d’endettement et d’indépendance financière : total dettes/CP, les banques
refusent d’accorder des crédits aux entreprises ayant le taux d’endettement > 100%
Toutefois, cette valorisation, utile lors de la liquidation des entreprises, ne rend pas compte du
potentiel futur de l'entreprise et néglige de nombreux éléments (pour les banques, nombre
d'opérations sont inscrites hors bilan, la stratégie, le potentiel humain…).
C'est la raison pour laquelle de nouveaux outils vont être construits intégrant l'information
fournie par le Bilan (logique de stock) et par le compte de résultat (logique de flux).
… de se comparer aux
stats du secteur voir
directement à des
concurrents
Indicateurs d’activité
3) Production de l’exercice PE
= Production vendue +/- production stockée + production immobilisé
4) Valeur ajoutée VA
= Production de l’exercice + marge commerciale – consommations venant des tiers
richesse créée par l’entreprise qui sera partagée entre personnel, banques, Etat,
actionnaires…
Taux VA = VA/CA
Indicateurs de résultat
taux de
profitabilité =
EBE/CAHT
EX : 33%
Télécom
9% automobile
Rentabilité écon
brute =
EBE/Capitaux
investis
Lors du bilan annuel de l’E : le calcul de l’EBE permet de répondre à la question : Ou va l’E ?
comparaisons sur plusieurs années
Ratio peu performant lorsque dirigeant pratique un politik d’endettement non optimale en
privilégiant le CT par ex.
Indicateurs financiers
Sur la forme :
Structurer
Faire preuve de bon sens
1. Analyse de l’activité
Le chiffre d’affaires CA
o Evolution (croissance, stagnation, dégradation)
o Origine de celle-ci : prix, volume, acquisitions/cessions
Le résultat d’exploitation : son évolution pr au CA indique si les coûts sont
maitrisés.
o Effet ciseau :
o Effet point mort : niveau d’activité de l’E en dessous duquel elle enregistre
des pertes et au-dessus duquel elle réalise des profits.
Le ratio dettes financières/CAF : capacité de l’E à rembourser les emprunts (plus
faible possible mieux c’est) (limite = 3 à 5 ans). Ce ratio mesure aussi potentiel
d’endettement à MLT.
CAF mesure l’indépendance financière : elle permet de dégager l’autofinancement
nécessaire au renouvellement des investissements et dettes.
Il mesure les fluctuations du résultat d’exploitation suite aux variations du niveau d’activité
Seuil de rentabilité
o Le point mort n’est jamais fixe, les coûts fixes ne l’étant que sur une plage
d’activité définie.
o Si l’activité évolue beaucoup, les coûts fixes vont eux aussi beaucoup changer,
et donc le point mort aussi.
Levier operationnel
Un levier tend à décupler une action. En entreprise, un levier opérationnel, c’est pareil. Pour
être plus précis, le levier opérationnel permet de déterminer la sensibilité des résultats d’une
entreprise à des variations de chiffres d’affaires. Si le chiffre d’affaire augmente de 1%, qu’en
est-il du résultat opérationnel ? 1% aussi ? 2%, 10% ? Et si le chiffre d’affaire diminue de 1%, le
résultat baisse-t-il d’autant ?
Facteurs d’influence :
Dans une entreprise, le levier opérationnel dépend directement de la structure des charges:
quelle part est variable, quelle part est fixe. La différence est simple mais fondamentale.
Les charges variables dépendent de l’activité de l’entreprise. Cela signifie qu’elles augmentent
et diminuent avec le chiffre d’affaires. Les charges fixes sont par définition indépendantes du
chiffre d’affaires.
Vaut-il mieux une structure de coûts avec des charges fixes ou variables ? Il n’y a pas de vérité
absolue. Les deux ont leurs avantages et inconvénients. Par exemple, une jeune structure
privilégiera peut-être des charges variables pour ne pas creuser ses pertes. D’un autre côté,
cela peut limiter sa profitabilité en cas de succès.
Le levier opérationnel est d’autant plus élevé que la part des coûts fixes est grande. De même,
le levier opérationnel est d’autant plus faible que la part des coûts fixes est réduite. Pour
comprendre, imaginons deux entreprises :
Coïncidence, on tombe sur la même chose ! Maintenant, imaginons que l’activité soit
florissante, les deux entreprises génèrent 2000€ de chiffre d’affaires :
Pour Fix : 2000€ – 500€ = 1500€ de bénéfices. Les bénéfices sont multipliés par 3 alors
que le chiffre d’affaire n’a été multiplié que par 2 ! Fix profite plus d’une croissance de
l’activité que Varia.
Pour Varia : 2000€ – 50%*2000€ = 1000€ de bénéfices. Les bénéfices ont été multipliés
par 2, comme le chiffre d’affaires.
Ce qui fonctionne dans un sens… fonctionne dans l’autre. Si l’activité décline et que les chiffres
d’affaires sont divisés par deux :
Pour Fix : 500€ – 500€ = 0€ de bénéfices. Fix est tout juste à l’équilibre, elle sera en
perte au moindre recul du chiffre d’affaires.
Pour Varia : 500€ – 50%*500€ = 250€ de bénéfices. Les bénéfices ont été divisés par
deux, mais cela reste des bénéfices. Varia est plus résiliente que Fix.
On compare également l’actif immobilisé brut (prix d’achat historique des actifs) et l’actif
immobilisé net (l’actif immobilisé brut – amortissements).
Ceci informe sur l’âge et la compétitivité de l’outil industriel, donc sur sa pertinence.
C’est le décalage entre le moment où je paie mes fournisseurs et celui où mes clients me
paient.
Calcul BFR :
But : prévoir avec les données d’aujourd’hui si l’entreprise peut rembourser ses dettes. On
utilise pour une approche grossière le rapport :
Dette/EBE
L’EBE servant d’approximation de cash-flow pour rembourser la dette. Valeurs repères : < 2,5
(tout va bien), entre 2,5 et 3,5 (gênant), 4-5 (difficile), ≥ 6 (critique).
*Le rapport Dette / EBE n’est approprié que si les variations du BFR sont négligeables par rapport à l’EBE.
2 types de rentabilité :
Résultat Net
Rentabilité Capitaux propres ou Rf =
Capitaux propres
Rentabilité des CP =
Effet de levier
1. Principe d’´élaboration
Flux nets générées par les activités + flux nets de trésorerie des activités d’investissement +
flux nets des activités de financement
1ère partie du tableau indique si l'exploitation est génératrice de liquidités. En règle générale, la
trésorerie d'exploitation est positive, exception faite dans les périodes de diminution brutale et
importante des ventes où l'accumulation des stocks, le paiement des charges d'exploitation
fixes, la diminution du crédit fournisseurs entraînent des décaissements liés aux ventes.
Cette approche est très intéressante parce qu'elle montre que la trésorerie d'exploitation est
une capacité d'autofinancement (CAF) corrigé.
Ratios :
Augmentation/réduction Capital
Augmentation/Remboursement Dette
2. Son utilisation
3. Limites
TABLEAU 1
Soit d’un emploi net (les emplois > aux ressources de la période)
Soit d’une
ressource nette (les
ressources >aux
emplois)
TABLEAU 2
Objectif du Tableau II : Evaluation de la variation du BFR
a) L’équilibre financier
Les variations des ressources stables doivent permettre financer les variations des emplois
stables et les variations BFR