Vous êtes sur la page 1sur 6

Cours de soutien à l’institut AVAST

Supports des Questions de Cours

Comptabilité Analytique S3
Section DEF

Réalisé par : M. Mohamed BOUCHAYA

(Soyez attentif que ce document n'a pas été préparé par le professeur.
Cette collection contient les questionnes des anciens examens)
1. La comptabilité analytique :
A. Est facultative.
B. Est orientée plutôt vers le passé.
C. Adopte des règles très rigides.
D. Fournit une information certifiée.
2. La comptabilité analytique :
A. Est facultative.
B. Est orientée plutôt vers le passé.
C. Adopte des règles très rigides.
D. Fournit une information certifiée.
3. Dans une entreprise la tenue de la comptabilité analytique :
A. Obligatoire.
B. Facultative.
C. Nécessaire.
D. Aucune de ces propositions.
4. En comptabilité analytique :
A. Les charges sont classées par nature.
B. Les charges sont classées par destination.
C. La vision de l’entreprise est orientée vers le passé.
D. Aucune de ces propositions.
5. La comptabilité analytique :
A. Est facultative.
B. Est orientée plutôt vers le passé.
C. Adopte des règles très rigides.
D. Fournit une information certifiée.
6. La comptabilité analytique a pour objet de :
A. Déterminer la ligne de produit la plus rentable.
B. Remplacer la comptabilité générale.
C. Répondre aux besoins des partenaires de l’E/se
D. Aucune réponse.
7. La comptabilité analytique a pour objectif unique de calculer le cout des produits et services vendus
par l’entreprise :
A. Faux.
B. Vrai.
8. La méthode des sections homogènes permet :
A. De calculer le cout de revient de chaque produit en le décomposant par grande fonction
(approvisionnement, production, distribution).
B. De calculer la rentabilité apparente de chaque produit.
C. D’avoir une mesure fiable de la rentabilité de chaque produit.
D. De prendre la décision d’abandonner un produit dont le résultat analytique est déficitaire.
9. les charges prise en comptabilité analytique se déterminer de la manière suivante
A- Total des charges de la comptabilité générale – charges non incorporable – les charges supplétives
B- Total des charges de la comptabilité générale – charges non incorporable + les charges supplétives
C- Total des charges de la comptabilité générale + charges non incorporable - les charges supplétives
D- Total des charges d’exploitation de la comptabilité générale - charges non incorporable + les
charges supplétives
10. . En comptabilité analytique sont incorporables :
A. Les pénalités sur marché.
B. Les impôts sur le résultat.
C. Les charges externes.
D. Les charges de personnel.
11. La rémunération des capitaux propres :
A. Constitue une charge supplétive.
B. Se fait à un taux d’intérêt au même titre que les capitaux empruntés.
C. N’est pas prise en considération par la comptabilité analytique.
D. N’est pas prise en considération par la comptabilité générale.
12. En comptabilité analytique sont non incorporables :
A. Les pénalités sur marché.
B. Les impôts sur le résultat.
C. Les charges externes.
D. Aucune de ces propositions.
13. En comptabilité analytique sont incorporables :
A. Les pénalités sur marché.
B. Les impôts sur le résultat.
C. Les charges externes.
D. Les charges de personnel.
14. Les charges supplétives :
A. Augmentent le résultat analytique.
B. Diminuent le résultat analytique.
C. Sont rajoutées au résultat analytique pour retrouver le résultat de la comptabilité générale.
D. Sont retranchées du résultat analytique pour retrouver le résultat de la comptabilité générale.
15. Dans une entreprise, constitue a priori un centre principal :
A. L’atelier de finition.
B. Le centre de direction.
C. Le service comptabilité et facturation.
D. Le centre emballage et distribution.
16. Dans une entreprise, constitue a priori un centre secondaire :
A. L’atelier de tournage.
B. L’atelier de peinture.
C. Le centre transport.
D. La direction.
17. Les centres d’analyse regroupent :
A. Des charges directes et indirectes.
B. Des charges indirectes uniquement.
C. Des charges fixes et variables.
D. Des charges fixes uniquement.
18. La répartition primaire correspond à :
A. La répartition des charges indirectes du CPC dans les centres d’analyse principaux.
B. La répartition des charges des centres auxiliaires dans les centres principaux.
C. La répartition des charges indirectes du CPC dans les centres d’analyse secondaires et principaux.
D. La répartition des charges directes et indirectes du CPC dans les centres d’analyse secondaire.
19. 46. L’unité d’œuvre correspond :
A. A une clé de répartition.
B. Au rapport entre les charges directes et indirectes du centre divisées par le nombre d’unités
d’œuvre.
C. A un lieu supposé de cause à effet entre la dépense du centre et l’élaboration du produit.
D. Au taux de rémunération de la main-d’œuvre.
20. . Les couts calculés dans une entreprise commerciale :
A. Cout d’approvisionnement.
B. Cout de production des marchandises.
C. Cout hors production des marchandises vendues.
D. cout de revient des marchandises vendues.
21. Le cout d’achat des matières premières achetées c’est :
A. Le prix d’achat diminué des charges sur achat.
B. Le prix d’achat augmenté des charges sur achat.
C. Le montant des achats consommés de matières.
D. Aucune de ces propositions.
22. La consommation des matières premières c’est :
A. Les matières premières utilisées.
B. Stock initial + cout d’achat – stock final.
C. Stock final + cout d’achat – stock initial.
D. Aucune de ces propositions.
23. Le cout de production du produit fini c’est :
A. La consommation des matières augmentée des charges directes de production.
B. La consommation des matières augmentée des charges indirectes de production.
C. La consommation des matières augmentée des charges directes et indirectes de production.
D. Aucune de ces propositions.
24. Le cout de production du produit fini vendus c’est le :
A. Cout de production totale augmenté du stock initial produit fini et diminué du stock final produit
fini.
B. Cout de production totale diminué du stock initial produit fini et augmenté du stock final produit
fini.
C. Cout de production totale augmenté des charges directes et indirectes.
D. Aucune de ces propositions.
25. Le cout de production des produits finis :
A. Se compose du cout d’achat des matières premières achetées + charges directes de production -
charges indirectes de production.
B. Ne concerne que les entreprises qui réalisent des opérations de transformation (biens ou services).
C. Se compose du cout d’achat des matières premières consommées + charges directes de production
+ charges indirectes de production.
D. Se compose du cout d’achat des matières premières achetées + charges directes de production +
charges indirectes de production.
26. Le cout de revient du produit fini c’est le :
A. Le prix de vente diminué résultat analytique.
B. Le cout de production du produit fini vendu augmenté des charges directes et indirectes de
distribution.
C. Le résultat analytique diminué du prix de vente.
D. Aucune de ces propositions.
27. Le cout de revient d’un produit :
A. Peut servir à fixer son prix de vente.
B. Représente théoriquement l’ensemble des couts supportés par le produit.
C. Ne concerne que les produits vendus.
D. Ne constitue qu’un cout partiel du produit.
28. Les entrées en stock des matières premières, des marchandises et des approvisionnements
s’évaluent :
A. Au prix d’achat.
B. Au cout d’achat.
C. Au cout de production
D. Au cout de distribution.

29. Les produits finis s’évaluent :


A. Au cout d’achat.
B. Au cout de production.
C. Au cout de revient.
D. Au cout de distribution.
30. Quelles sont les méthodes s’évaluation des sorties de stocks conseillées par le CGNC :
A. La méthode du FIFO.
B. La méthode du LIFO.
C. La méthode du CMUP.
D. Aucune de ces trois méthodes.
31. Selon le procédé de FIFO :
A. Les sorties de stock sont valorisées au cout de l’article le plus ancien dans le stock.
B. En fin de période, le solde en magasin (stock existant) est chiffré au cout des entrées les plus
récents.
C. La méthode est recommandée au Maroc par le CGNC
D. La méthode est très lourde.
32. En période d’inflation :
A. Le FIFO donne un niveau de stock final élevé et une augmentation du résultat de l’entreprise.
B. Le LIFO donne un niveau de stock final élevé et une augmentation du résultat de l’entreprise.
C. Le cout de revient avec la méthode FIFO est le même avec la méthode LIFO.
D. Le cout de revient avec la méthode FIFO est inférieur à celui obtenu avec la méthode LIFO.
33. En cas d’une situation inflationniste :
A. Les sorties des matières sont surévaluées dans le cas du LIFO.
B. Les sorties des matières sont surévaluées dans le cas de FIFO.
C. Le stock final des matières est surévalué dans le cas du LIFO.
D. Le stock final des matières est sous-évalué dans le cas du LIFO.
E. Aucune de ces propositions.
34. En cas de baisse de prix la méthode FIFO :
A. Minore le stock final et minore le résultat de l’exercice.
B. Majore le stock final et majore le résultat de l’exercice.
C. Minore le stock final et majore le cout de revient.
D. Majore le stock final et minore le résultat de l’exercice.
35. En cas de hausse de prix la méthode LIFO :
A. Minore le stock final et minore le résultat de l’exercice.
B. Majore le stock final et majore le résultat de l’exercice.
C. Minore le stock final et majore le résultat de l’exercice.
D. Majore le stock final et minore le résultat de l’exercice.
36. La méthode FIFO :
A. Est en comptabilité une technique de valorisation d’actifs.
B. Est en comptabilité une technique de valorisation du passif.
C. Consiste à faire sortir les marchandises et matières premières par ordre d’entrée en stock.
D. Aucune de ces propositions.
37. Au niveau de l’inventaire permanent des stocks :
A. Les entrées posent toujours un problème d’évaluation
B. Les sorties ne posent jamais de problème d’évaluation
C. Les sorties posent problème uniquement lorsqu’on est en face d’une diversité des prix d’entrée
D. C’est la connaissance des quantités vendues
E. Aucune de ces propositions

38. En cas d’une situation de baisse des prix :


A. Les sorties des matières sont surévaluées dans FIFO.
B. Les sorties des matières sont sous-évaluées dans FIFO.
C. Le stock final des matières est surévalué dans LIFO.
D. Le stock final des matières est sous-évalué dans LIFO.
39. En cas de surstock de marchandise, les risques sont :
A. La perte de clients due aux fréquentes ruptures de stock.
B. L’augmentation des couts de gestion des stocks.
C. Le dépérissement et le vieillissement des stocks.
D. Aucune de ces propositions.
40. Laquelle de ces propositions est juste :
A. Les charges variables sont des charges proportionnelles
B. Les charges variables sont des charges opérationnelles
C. Les charges fixes sont des charges de structure
D. Les charges fixes ne sont fixes que sur le court terme
E. Les charges fixes varient avec la structure de l’entreprise
41. Pour une entreprise avoir un stock important est synonyme de :
A. Réduction de son cout de stockage.
B. Réduction de son cout d’approvisionnement.
C. Réduction du cout de gestion des stocks.
D. De la recherche des avantages spéculatifs.
42. L’indice de sécurité d’une société est de 0.30 cet indice signifie que :
A. Le chiffre d’affaires peut baisser de 30% sans que le résultat devienne déficitaire.
B. La société est déficitaire.
C. La société sera bénéficiaire si son chiffre d’affaires est supérieur de 30% aux prévisions.
D. Aucune réponse n’est correcte.
43. D’une période à l’autre, le taux de marge sur cout variable d’un produit a diminué. On en déduit :
A. Une baisse du prix de vente unitaire du produit.
B. Une augmentation des frais fixes.
C. Une baisse du cout variable unitaire.
D. Une baisse du nombre de produits vendus.
44. La méthode de la gestion sélective des stocks :
A. Veut dire qu’il faut choisir la méthode convenable pour évaluer les stocks.
B. Veut dire qu’il faut accorder un poids aux valeurs des stocks.
C. Veut dire qu’il faut sélectionner le stock à constituer.
D. C’est la méthode ABC.
45. En gestion des stocks :
A. Le principe de la méthode 20/80 consiste à décider sa politique d’approvisionnement en fonction
de la valeur des matières à stocker.
B. La méthode ABC a le même principe que la méthode 20/80
C. Pour la méthode 20/80, les matières qui représentent 20% en quantité et 80% en valeur doivent
être réapprovisionnées avec une fréquence rapprochée.
D. Pour la méthode 20/80, les matières qui représentent 20% en quantité et 80% en valeur doivent
être réapprovisionnées avec des échéances plus longues.
46. Le cout d’unité d’œuvre (basée sur l’heur de main-d’œuvre directe) d’un centre d’analyse a
augmenté de 15DH au cours de l’année. Quels facteurs parmi les suivants sont susceptibles d’avoir
contribué à cette augmentation :
A. Une réduction de l’activité.
B. Une amélioration de la productivité de la main-d’œuvre directe.
C. Une augmentation du niveau de la robotisation.
D. Une augmentation du taux de rémunération de la main-d’œuvre directe.

Vous aimerez peut-être aussi