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PowerFactory 2017
Tutoriel
LO G I C I EL I N T EG R E D ’A N A LY S E D E R E S E AU X EL EC T R I Q U E S
T R A N S P O R T / D I S T R I BU T I O N / I N D U S T R I E / P RO D U C T I O N / EN E RG I E S R EN O U V EL A B L E S
DIgSILENT PowerFactory
Version 2017
Tutoriel
Online Edition
DIgSILENT GmbH
Gomaringen, Allemagne
Juin 2017
Editeur:
DIgSILENT GmbH
Heinrich-Hertz-Straße 9
72810 Gomaringen / Germany
Tel.: +49 (0) 7072-9168-0
Fax: +49 (0) 7072-9168-88
Juin 2017
r3822
Contents
A Introduction au Tutoriel 1
B Documentation et Aide 5
B.2 Contact . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
C Aperçu du programme 9
Index 97
Introduction au Tutoriel
Note: Pour exécuter le tutoriel, il faut disposer d’une version de démonstration ou d’une licence de
PowerFactory avec au moins 30 nœuds.
Par défaut, au début de chaque exercice, le gestionnaire du tutoriel donne des instructions au sujet des
diagrammes unifilaires à représenter. A la fin de chaque exercice, il est possible d’obtenir une solution
en initialisant l’exercice suivant du tutoriel.
Le gestionnaire du tutoriel est utilisé pour installer le Système du tutoriel (les projets utilisés dans les
exercices) à n’importe quelle étape. Même si cela n’est pas recommandé, le gestionnaire du tutoriel
peut être utilisé pour sauter certaines étapes du tutoriel sans devoir réaliser les exercices précédents.
Note: Le philosophie du tutoriel est de guider l’utilisateur à travers les différentes caractéristiques du
logiciel. Les données d’un réseau petit mais néanmoins complet y sont saisies.
Avant de démarrer, il est recommandé aux nouveaux utilisateurs de lire l’introduction à PowerFactory
afin de se faire une image de la structure du programme. Pour plus de facilité, l’introduction présentée
au premier chapitre du Manuel de mise en route est une reproduction partielle de celle du manuel de
l’utilisateur.
Les instructions à réaliser à chaque étape du tutoriel sont fournies pas par pas par ce document. Pour
démarrer le tutoriel lui-même, allez au chapitre D (Créer le projet du tutoriel)
Cela vous mène au début de l’exercice choisi. Il n’y a pas d’initialisation pour l’exercice 1 car il
commence avec la création d’un nouveau projet. Si vous démarrez l’exercice 1 à partir du gestionnaire
du tutoriel, celui-ci ouvre uniquement le chapitre D (Exercice 1: Créer le projet du tutoriel) de ce
document.
D’autres astuces sur la manière d’utiliser le gestionnaire du tutoriel sont données au début du chapitre E
(Exercice 2: Créer des éléments du réseau).
Comme mentionné ci-dessus, le gestionnaire du tutoriel installe les données requises pour chaque
exercice. Ceci inclut les images d’arrière-plan, qui montrent où placer les éléments.
• L’image d’arrière-plan n’est pas visible dans le diagramme unifilaire. Comment la rendre à
nouveau visible?
Pour rendre cette image visible:
Si le projet ne se trouve pas dans la base de données, il faut commencer l’exercice du tutoriel en
choisissant Démarrer → Exercice X dans le gestionnaire du tutoriel.
Les actions et le maniement de la souris et du clavier sont abrégés; les actions à réaliser par l’utilisateur
sont également décrite de manière ’sténographique’. Afin d’aider l’utilisateur, ces symboles et codes
sont formatés de manière à être bien visibles:
Touche Comme dans «Presser la touche gauche de la souris». Un touche est soit une touche de
la souris, soit une touche du clavier. Les touches de la souris sont souvent appelées ’boutons’,
comme dans ’le bouton de la souris’.
Bouton Comme dans «Presser le bouton OK». Le mot «bouton» désigne des régions de l’écran qui
déclenchent certaines actions quand on clique dessus avec la souris. En d’autres termes, un
bouton ’virtuel’.
Icônes Les icônes sont habituellement décrites par l’étiquette qui apparaît quand le curseur passe
dessus. Par exemple, presser l’icône Paramètres utilisateur pour ouvrir le dialogue des paramètres
utilisateur. Les icônes sont également montrées telles que vues sur l’écran, comme dans presser
l’icône pour ouvrir le dialogue des paramètres utilisateur.
Clic droit/gauche Comme dans «Cliquer droit dans l’explorateur». Cela signifie pointer le curseur sur
l’objet décrit (l’explorateur) et presser le bouton droit/gauche de la souris.
Double-clic Comme dans «Double-cliquer sur le bouton». Cela signifie pointer le curseur sur l’objet
décrit et presser deux fois le bouton gauche de la souris en moins d’environ une demi-seconde
(cet intervalle de temps est défini dans le système d’exploitation Windows).
Ctrl-B (exemple de combinaison de touches) signifie que l’utilisateur doit presser la combinaison de
touches décrite. Par exemple, «Presser Ctrl-B pour basculer entre cas équilibré et déséquilibré»
signifie que l’utilisateur doit presser et maintenir enfoncée la première touche (la touche Ctrl du
clavier dans cet exemple) et presser également la seconde touche (B).
Séquences de menu Quand un utilisateur doit sélectionner une commande à partir d’options de menu
en cascade, la séquence est représentée par des flèches qui indiquent la prochaine option à
choisir en partant du bouton de menu d’origine. Par exemple, le format de dessin peut être défini
dans le menu Options en choisissant Graphique dans la liste proposée et ensuite Format du
dessin. . . dans la dernière liste. Cette série d’actions est simplement décrite par Options →
Graphique→ Format du dessin. . .
« » Les guillemets doubles sont utilisés pour indiquer des données que l’utilisateur a entrées ou doit
entrer.
Documentation et Aide
DIgSILENT PowerFactory est fourni avec une aide complète destinée à assister les utilisateurs à tous
niveaux d’expertise. Les documents contenant les informations de base sur le programme et ses fonc-
tionnalités sont combinés à des références à des fonctions de simulation avancées, des descriptions
mathématiques des modèles et, bien sûr, des exemples d’application.
• Guide de démarrage: un document qui décrit les premières étapes à suivre après avoir reçu le
DVD d’installation DVD ou téléchargé le logiciel depuis la zone de téléchargement DIgSILENT. Le
Guide de démarrage couvre les options d’installation de base.
• Manuel d’installation et de configuration avancée: ce document couvre les options d’installation
avancées, p.ex. base de données multi-utilisateurs, installation sur un serveur d’applications et
installation en mode hors ligne. Le guide du mode hors ligne est disponible dans la section ??:
Guide de l’utilisateur en mode hors ligne.
• Tutoriel: Le présent document. Informations de base pour les nouveaux utilisateurs et tutoriel de
prise en main. Accès via le menu Aide de PowerFactory et sur la zone de Téléchargement:
http://www.digsilent.de/index.php/downloads.html
• Manuel de l’utilisateur: Accès via le menu Aide de PowerFactory. Le manuel courant et les
précédents (fichiers PDF) sont aussi disponibles sur la zone de Téléchargement.
• Références techniques: Description des modèles implémentés dans PowerFactory pour les
différents composants de réseaux électriques. Les documents de référence technique sont joints
à l’aide en ligne (Annexe ??: Références techniques des modèles).
• Packages supplémentaires: des informations supplémentaires et/ou des exemples concernant
des fonctions spécifiques de PowerFactory sont disponibles sous le menu Aide → Packages
supplémentaires. Les packages supplémentaires sont:
– Interface de programmation (API)
– Format d’échange de données DGS
– Extensions DPL C++
– Interface OPC
– Interface C pour modèles DSL
– Interface C pour fonctions DSL
B.2 Contact
Pour plus d’informations au sujet de l’entreprise DIgSILENT , nos produits et services, merci de visiter
notre page web ou de nous contacter:
DIgSILENT GmbH
Heinrich-Hertz-Straße.9
www.digsilent.de
Les experts DIgSILENT offrent une assistance directe aux utilisateurs de PowerFactory ayant un con-
trat de maintenance par téléphone ou en ligne via des demandes de soutien technique déposées sur
le portail clients.
Pour s’enregistrer sur le portail en ligne, sélectionner Aide → S’enregistrer. . . ou se rendre directement
sur la page d’enregistrement (lien ci-dessous). Les détail de connexion seront fournis par e-mail peu
de temps après.
Pour se connecter au portail, entrer l’e-mail (ou l’identifiant) et le mot de passe fournis. Merci d’inclure
dans toute nouvelle demande d’assistance technique la version et le numéro de build de PowerFactory
que l’on peut trouver en sélectionnant Aide → A propos de PowerFactory . . . à partir du menu principal.
Il sera plus facile pour nous de répondre à votre demande si vous joignez les fichiers *.dz ou *.pfd
correspondants. Le portail clients est représenté sur la figure B.1.
http://www.digsilent.de/index.php/support.html
Ajouter le nom de votre entreprise et votre version de PowerFactory nous aidera à répondre plus rapi-
dement à vos questions. Le numéro de version se trouve dans «Aide → Au sujet de PowerFactory...»
dans la barre de menu principale. Vous trouverez également une abréviation de trois lettres («La licence
de ce programme est accordée à XXX») qui nous est également utile. Il est plus facile pour nous de
reproduire le cas de votre question si vous joignez les fichiers *.dz ou *.pfd correspondants.
Une «base de connaissances», base de données contenant des informations présentées sous la forme
de FAQ est disponible pour tous les utilisateurs (enregistrés ou non) qui cherchent des réponses à leurs
questions. La base de connaissances contient des questions et réponses intéressantes concernant des
applications spécifiques de PowerFactory.
Pour obtenir des informations générales à propos de DIgSILENT ou de votre licence PowerFactory,
merci de nous contacter par:
téléphone: +49-(0)7072-9168-0
fax: +49-(0)7072-9168-88
e-mail: mail@digsilent.de
Aperçu du programme
Le logiciel de calcul PowerFactory, programmé par DIgSILENT , est un outil d’ingénierie assisté par
ordinateur pour les réseaux électriques de transport, de distribution et industriels. Il a été conçu
comme un logiciel avancé intégré et interactif dédié au réseaux électriques et à l’analyse des systèmes
de contrôles dans le but de réaliser les objectifs principaux de la planification et de l’optimisation de
l’opération.
Le nom DIgSILENT signifie «DIgital SImuLation and Electrical NeTworks calculation program» (Pro-
gramme de calcul de simulation numérique et réseaux électriques). DIgSILENT Version 7 a été le
premier logiciel d’analyse de réseaux au monde à intégrer une interface graphique unifilaire. Ce
diagramme unifilaire interactif incluait des fonctions de dessin, des capacités d’édition et toutes les
fonctionnalités de calcul importantes tant statiques que dynamiques.
Le progiciel PowerFactory a été conçu et développé par des ingénieurs qualifiés avec une importante
expérience dans les domaines de l’analyse des réseaux électriques et de la programmation. La
précision et la justesse des résultats obtenus à l’aide de ce progiciel ont été confirmés dans un grand
nombre d’implémentations par des organisations impliquées dans la planification et l’opération de
réseaux électriques.
Dans le but de répondre aux exigences actuelles de l’analyse des réseaux, le progiciel de calcul
DIgSILENT a été conçu comme un outil d’ingénierie intégré englobant toutes les fonctions plutôt qu’une
collection de différents modules logiciels. Les fonctions suivantes sont fournies par PowerFactory.
En utilisant une seule base de données, contenant toutes les données requises pour tous les équipements
d’un réseau électrique (ex. données de ligne, générateur, protection, harmoniques, régulateur), Power-
Factory peut facilement exécuter n’importe laquelle ou toutes les fonctions disponibles dans un seul
environnement logiciel. Certaines de ces fonctions sont flux de puissance, calcul de court-circuit,
analyse harmonique, coordination de protections, étude de stabilité et analyse modale.
La base de données de PowerFactory s’est révélée très stable. Néanmoins, comme toute base de
données électronique, elle peut être corrompue par des causes externes ou internes. Les causes
externes sont, par exemple, interruption de l’alimentation, crash du disque dur, virus ou suppression de
fichiers par inadvertance. Afin d’éviter toute perte de données, suivez ces instructions:
• Sauvegardez régulièrement tous les projets en cliquant droit sur le projet dans l’arborescence de
la base de données et en sélectionnant l’option Exporter. Le programme vous demande de choisir
un emplacement ainsi qu’un type (*.pfd ou *.dz) et d’entrer un nom pour le fichier à exporter.
Note: Lors de l’exportation d’un projet, seules les informations du projet et de ses sous-dossiers
sont sauvegardées. Si les objets exportés utilisent des informations (p.ex. des types de
système électrique comme des types de ligne ou de transformateur) qui sont stockées
ailleurs, celles-ci ne seront pas sauvegardées. Il faut donc s’assurer que les types de
système électrique et toutes les autres informations référencées soient également exportés.
Nous recommandons de limiter l’utilisation d’«objets externes au projet» à une ou deux
bibliothèques externes; celles-ci doivent aussi être exportées de manière régulière. Comme
alternative, cliquer droit sur le dossier de projet désactivé et sélectionner «Empaqueter les
références externes». Tous les objets liés sont alors stockés dans le nouveau dossier de
projet «Externe».
• Les projets exportés peuvent être importés dans une base de données en pressant l’icône
dans la barre d’outils du Gestionnaire de données. Le programme vous demande de sélectionner
le fichier (*.pfd ou *.dz) que vous voulez importer.
• Veillez à faire régulièrement des copies de sauvegarde de toutes les données exportées ainsi que
de la base de données PowerFactory.
• Cependant, si vous avez la malchance que votre base de données soit corrompue et de ne pas
avoir de fichiers de sauvegarde, n’hésitez pas à nous contacter pour obtenir de l’aide; tout n’est
peut-être pas perdu!
DIgSILENT PowerFactory a été conçu à l’origine comme un ensemble destiné à l’utilisateur expéri-
menté. Par conséquent, il n’existe pas de version «allégée», pas de simplification de la version
«lourde». Cela ne veut en aucun cas dire que les utilisateurs non expérimentés se verront perdus
en utilisant PowerFactory. Le logiciel est également très accessible pour les utilisateurs débutants.
Les utilisateurs qui étudient les réseaux électriques pourront très facilement et très rapidement réaliser
des calculs de flux de puissance et de courts-circuits sans devoir maîtriser les subtilités des calculs.
Le tutoriel de PowerFactory permet aux utilisateurs de d’abord se familiariser à la modélisation et
à l’analyse des réseaux électriques. Des connaissances de base dans l’utilisation des PC sont un
prérequis.
Le programme est livré avec tous les moteurs et algorithmes nécessaires pour un usage avancé.
Les fonctionnalités achetées par l’utilisateur sont configurées dans une matrice, dans laquelle les
fonctions de calcul achetées et le nombre de bus représentent les coordonnées. Certaines options
Pour cette raison, toutes les licences de PowerFactory ne contiennent pas toutes les fonctionnalités
décrites dans ce manuel, mais seulement celles requises, réduisant la complexité de départ. Si le
besoin s’en fait sentir de nouvelles fonctionnalités peuvent être ajoutées à la licence. L’utilisateur ne
doit donc jamais apprendre à utiliser de nouvelles interfaces mais uniquement de nouvelles commandes
dans le même environnement. Il est important de remarquer que les données du réseau original sont
utilisées par ces nouvelles fonctions qui éventuellement nécessitent des données additionnelles.
La première étape dans la conception d’un nouveau réseau (incluant celui du tutoriel) est de créer un
projet. Un projet offre la structure de base dans laquelle définir et stocker les définitions du réseau,
avec ses étapes de conception et ses diagrammes unifilaires, ses librairies de type, calculs, etc.
Ce chapitre décrit comment créer un nouveau projet et explique la plupart de ses caractéristiques. Pour
les nouveaux utilisateurs, il est recommandé de lire l’introduction à PowerFactory (chapitre B: Aperçu
du programme) avant de démarrer le tutoriel. Cette introduction donne la terminologie et les concepts
requis pour comprendre ce document.
Le gestionnaire du tutoriel est un caractéristique spéciale du PowerFactory conçue pour guider l’utilisateur
tout au long du tutoriel. Il installe le projet requis par chaque exercice. Le premier exercice n’utilise pas
le gestionnaire du tutoriel, car il faut créer vous-même le projet.
Le Gestionnaire de tutoriel stocke les projets du tutoriel directement dans le dossier Utilisateur (le
dossier Utilisateur possède le nom d’utilisateur entré dans la fenêtre de dialogue de connexion). Le
dossier Utilisateur est le dossier créé pour vous par l’administrateur ou par vous-même. Le dossier
Utilisateur actif est marqué par une petite icône d’écran bleue dans le Gestionnaire de données (le
Gestionnaire de données est expliqué au chapitre F (Le Gestionnaire de données). Voir la figure D.1
pour un exemple avec l’utilisateur appelé «Utilisateur du tutoriel».
• Le dialogue de la Figure D.3 apparaît. Ce dialogue, comme la plupart dans ce dialogue, est
montré tel qu’une fois l’édition terminée.
La création d’un nouveau projet désactive tout autre projet couramment activé et ferme les fenêtres
graphiques correspondantes.
Un projet nécessite au moins un dossier réseau dans lequel est défini le (sous-)réseau. C’est pourquoi
un dossier est automatiquement créé et son dialogue d’édition, montré à la Figure D.4, apparaît.
Le champ Propriétaire est optionnel et est normalement utilisé pour entrer un projet, une entreprise ou
un autre nom approprié. Ce champ n’est pas utilisé dans le tutoriel même si «DIgSILENT Tutorial» est
entré à la Figure D.4
Le réseau «Part 1» est créé dans le projet à l’arrière-plan, avec le dossier ’Cas d’étude’ utilisé pour
activer le réseau et réaliser des calculs. Ce cas d’étude reçoit un nom par défaut (’Cas d’étude’).
Le projet et le cas d’étude sont activés automatiquement, un diagramme unifilaire vide apparaît. L’espace
de travail devrait apparaître comme à la Figure D.5 Les parties suivantes de l’espace de travail sont
visibles:
9. Le volet de navigation. Ce volet de navigation donne à l’utilisateur une vue d’ensemble du réseau
dans une petite fenêtre.
Même si le projet créé peut être utilisé tel quel, le nom du cas d’étude est normalement modifié pour
quelque chose de plus approprié que «Cas d’étude».
• Presser les boutons -> Date et -> Time pour configurer les date et heure d’étude au temps du
système.
Le nom dans l’aperçu du projet devrait maintenant également être devenu «Cas 1».
PowerFactory ne dispose pas d’un bouton «Sauvegarder». Toutes les modifications sont directement
sauvegardées dans la base de données sur le disque. Cela signifie que l’on peut fermer le programme
à n’importe quel moment sans perdre son travail. Il existe juste une option qui permet de sauvegarder
manuellement les scénarios d’opération. Le concept de scénario d’opération est expliqué dans le
manuel et ne fait pas encore partie du tutoriel.
Ce tutoriel peut donc être interrompu à n’importe quel moment et continuer plus tard sans autres actions
que de réactiver le projet du tutoriel.
Dans l’exercice précédent, nous avons créé un réseau («Part 1») et un cas d’étude («Case 1»). C’est
normalement suffisant pour commencer à travailler. Certains dossiers et paramètres, créés pour le
tutoriel, vont cependant rendre les choses plus faciles. Pour installer ces extras, une commande
spéciale appelée Gestionnaire du tutoriel est fournie (voir Chapitre A.1). Le gestionnaire du tutoriel
réalise essentiellement les tâches suivantes:
• Il active un projet contenant le réseau prédéfini et une bibliothèque de types d’équipement pour
les jeux de barres, lignes, transformateurs et autres objets.
• Il prépare la fenêtre graphique et les guides d’arrière-plan qui aident à positionner les éléments.
Pour pouvoir effectuer toutes les tâches proposées par ce tutoriel, l’utilisateur doit activer le Gestionnaire
de tutoriel au début de chaque exercice du tutoriel. Cela installe le projet prédéfini. Par conséquent,
la première étape de création du système électrique du tutoriel consiste à activer le Gestionnaire de
tutoriel.
Note: Le gestionnaire du tutoriel ne détruits pas les expériences faites par l’utilisateur ou les modifica-
tions apportées au projet du tutoriel. Au lieu de cela, il installe les éléments prédéfinis en parallèle
avec les modifications de l’utilisateur. Si le projet de l’exercice existe déjà, le gestionnaire du
tutoriel ajoute un nombre entre parenthèses à la fin du projet nouvellement créé.
PowerFactory permet la création de nouveaux réseaux (ou parties de réseaux) de manière manuelle
dans le gestionnaire de données et en les connectant également manuellement pour définir la topologie.
La méthode la plus simple est, cependant, d’utiliser les diagrammes unifilaires interactifs.
Les diagrammes unifilaires sont utilisés pour créer de nouveaux composants et les insérer dans la
topologie du réseau. De cette manière, la base de données du réseau et le diagramme unifilaire sont
construits en même temps.
Les composants du réseau peuvent aussi être édités dans le diagramme unifilaire en double-cliquant
sur les symboles des éléments choisis. Cela ouvre le dialogue d’édition correspondant. Les sections
suivantes expliquent ceci dans les détails.
Il y a beaucoup de systèmes de jeux de barres prédéfinis dans PowerFactory : simple jeu de barres,
simple jeu de barres avec disjoncteur de nœud, double jeu de barres, double jeu de barres avec by-
pass, etc. Tous ces systèmes consistent en terminaux, disjoncteurs et sectionneurs.
Note: Dans PowerFactory, les nœuds sont toujours représentés par des jeux de barres (ElmTerm).
Un jeu de barres (ElmTerm) peut faire partie d’une sous-station, p.ex. dans un système à jeu de
barres simple ou double. Une nouvelle sous-station est créée par défaut pour chaque nouveau
’système de jeux de barres’. Si vous utilisez des jeux de barres simples au lieu de ’systèmes de
jeux de barres’ pour représenter des nœuds, aucun élément sous-station ne sera créé.
En cliquant droit sur un jeu de barres et en choisissant ’Montrer graphique détaillé de sous-station’,
un nouveau diagramme unifilaire représentant la topologie détaillée de la sous-station s’ouvre. Il
est possible d’éditer ce diagramme si on désire modifier la topologie de la sous-station. Il est
même possible d’ajouter de nouveaux jeu de barres à la sous-station.
Lorsque d’autres éléments, comme des lignes, transformateurs ou charges (éléments antennes et
branches) sont connectés à un nœud, PowerFactory introduit des modèles de disjoncteur perme-
ttant d’ouvrir et fermer cette connexion. Les cellules contenant ces disjoncteurs peuvent être vues
comme les armoires électriques ou les baies des systèmes hautes tensions. Lorsqu’on utilise de
simples terminaux, tous les disjoncteurs nécessaires sont automatiquement créés lorsque des
éléments sont connectés à ces terminaux. Si on utilise des systèmes de jeux de barres prédéfinis
(à partir de modèles), il faut sélectionner le nœud d’un des disjoncteurs existants pour connecter
l’élément. Ceci est expliquer plus loin dans ce tutoriel.
Pour créer une sous-station avec un jeu de barres simple, il faut utiliser ’Système simple jeu de barres’:
• Si la boîte d’outils graphiques n’est pas visible sur le côté droit, cliquer sur pour décongeler le
diagramme.
L’icône Mode congelé se modifie entre édition graphique et édition des paramètres. Lorsqu’on
presse ce bouton, la palette d’outils disparaît et le diagramme unifilaire ’congelé’ ne peut plus être
modifié. Les données des éléments peuvent être saisies dans les deux modes, mais en mode ’congelé’,
les modifications graphiques non intentionnelles ne sont pas possibles. Presser à nouveau ce bouton
fait réapparaître la palette d’outils (iconmode décongelé).
• Utiliser la bulle d’aide pour localiser le bouton Système de jeu de barres simple ( ). Le curseur
se transforme en symbole de jeu de barres simple lorsqu’on presse cette icône.
• Utiliser le guide de l’arrière-plan pour positionner le premier jeu de barres en cliquant sur la
surface de dessin. Un jeu de barres est alors dessiné et reçoit un nom par défaut comme
«SingleBusbar/BB». «SingleBusbar» est la nom de la sous-station et «BB» le nom du jeu de
barres (ElmTerm).
• Si quelque chose d’autre qu’un jeu de barres apparaît, presser le bouton défaire ( ) et réessayer.
Note: Lorsque le mode d’insertion est activé et qu’un symbole (par exemple d’un jeu de barres) est
attaché au curseur de la souris, on peut basculer en mode d’édition en pressant Echap ou encore
le bouton droit.
• Sélectionner le jeu de barres (terminal) en cliquant dessus. Cela marque le jeu de barres avec
une ligne rouge épaisse et deux petits carrés noirs. Si on double-clique accidentellement sur le
terminal, son dialogue d’édition s’ouvre. Fermer le dialogue en pressant Annuler.
• Déplacer le terminal en cliquant sur la ligne rouge continue et en le glissant. Relâcher le bouton
de la suris définit la nouvelle localisation.
• Redimensionner le terminal en cliquant sur un des carrés et en étirant vers la gauche ou la droite,
voir Figure E.2.
Le curseur peut aussi être utilisé pour afficher une bulle d’aide lorsqu’il est maintenu immobile sur le
nom du jeu de barres ou sur n’importe quel texte du diagramme. Ceci est beaucoup plus facile que de
zoomer et dézoomer pour lire quelque chose.
• Sélectionner le bouton Système de jeu de barres simple à nouveau dans la palette d’outils.
Placer les deuxième et troisième sous-stations (c-à-d les terminaux des sous-stations).
• Déplacer/Redimensionner les deuxièmes et troisièmes terminaux pour les ajuster au guide.
Le dessin peut être trop petit pour ajuster correctement la position des terminaux. Pour zoomer sur les
trois terminaux:
Le mode outil main n’est disponible que si on a zoomé sur le graphique. La zone zoomée précédente
peut être restaurée en pressant le bouton Zoom arrière ( ). Toute la zone est affichée lorsque le
bouton Zoom tout ( ) est pressé.
Les jeu de barres des sous-stations doivent être connectés avec les transformateurs:
• Cliquer gauche sur l’icône Transformateur à 2 enroulements dans la boîte d’outils de dessin.
• Pour dessiner le premier transformateur, cliquer gauche sur le terminal supérieur à la position
suggérée par l’image d’arrière-plan.
• Le graphique détaillé du poste supérieur s’ouvre automatiquement. Connecter le transformateur
à une baie en cliquant sur un des terminaux de disjoncteur marqués comme illustré sur la Fig-
ure E.3. Le résultat devrait ressembler à la Figure E.4. Après que le transformateur a été connecté
avec succès, le diagramme unifilaire s’ouvre de nouveau.
• Le transformateur est maintenant connecté électriquement et graphiquement au terminal à cette
position.
• Cliquer gauche sur le terminal du milieu pour établir la seconde connexion.
• Le graphique détaillé du poste du milieu s’ouvre automatiquement. Connecter le transformateur
à une baie quelconque en cliquant sur un des terminaux de disjoncteur comme précédemment.
Note: Il y a une différence entre terminaux simples (sans sous-station) et les jeux de barres plus
complexes prédéfinis avec sous-stations, qui représentent des sous-stations en détails: Si on
connecte un élément à un système de jeux de barres, le diagramme détaillé de la sous-station
s’ouvre. On doit connecter l’élément (ici un transformateur) à un des terminaux marqués (gros
carrés aux extrémités des panneaux de disjoncteurs).
Figure E.3: Connecter le transformateur au jeu de barres simple. (dans le diagramme détaillé de la
sous-station)
• Utiliser la même méthode pour connecter le second transformateur entre les terminaux du milieu
et du bas.
Le diagramme unifilaire, sans arrière-plan, devrait être semblable à celui de la figure E.5
Si autre chose qu’un transformateur est apparu ou si la connexion ne se pas faite au point désiré,
presser le bouton Défaire ( ) pour annuler la dernière étape. Presser Echap, lorsqu’on est en train
de dessiner, annule l’insertion du transformateur.
Figure E.5: Trois sous-stations avec des jeux de barres simples et deux transformateurs
Le transformateur peut être déplacé de la même manière que cela a été fait avec les jeux de barres:
Normalement, il n’est pas possible de déplacer le transformateur en-dehors des deux terminaux. Si on
essaye, il sera positionné à l’extrémité gauche ou droite des terminaux. Si on réessaye à partir de cette
position, il est alors possible de le déplacer hors de ces limites.
• Déplacer le transformateur vers sa position originale. Si les connexions ont été déformées par le
premier mouvement, presser le bouton Défaire ( ) pour annuler ce mouvement.
On peut également redessiner le symbole du transformateur en cliquant droit sur celui-ci et en choisis-
sant Redessiner élément dans le menu contextuel. Cela marque les deux terminaux de connexion du
transformateur. Il est possible de redessiner le transformateur mais il doit absolument être connecté à
ces deux terminaux. Redessiner élément est disponible pour tous les symboles.
Cliquer sur les terminaux du haut et du bas lorsqu’on dessine un transformateur crée des connexions
droites. Le symbole du transformateur est placé au milieu. Une connexion non directe est réalisée si
Le diagramme détaillé de la sous-station apparaît après cela afin de permettre de connecter le transfor-
mateur au panneau des disjoncteurs. Vous pouvez pratiquer maintenant l’option Reconnecter l’élément.
Les éléments simple port sont des éléments connectés à un seul terminal: générateurs, moteurs,
charges, réseaux externes, etc.
• Presser le bouton Machine asynchrone ( ) dans la palette d’outils de dessin. icon in the drawing
toolbox.
• Connecter la première machine au terminal du bas en cliquant sur la position indiquée par le
guide.
• Le diagramme détaillé de sous-station apparaît. Connecter la machine à une des cellules en
cliquant sur un des terminaux des disjoncteurs marqués.
Cliquer sur un terminal place un élément simple port avec une connexion droite. Des connexions en
lignes brisées peuvent se réaliser en cliquant d’abord dans la surface dessin pour placer le symbole, et
ensuite en cliquant à chaque changement de direction jusqu’au terminal choisi pour la connexion.
Si le réseau externe est connecté au terminal dans le diagramme d’aperçu à la même position que le
transformateur, le symbole du réseau externe est automatiquement positionné au-dessus du terminal.
Sinon, par défaut, il est placé en dessous du terminal.
Si le symbole est dessiné vers le bas, il peut être inversé. Si le symbole du réseau externe est déjà
positionné correctement, on peut pratiquer ce qui suit sur la machine du jeu de barres du milieu:
• Cliquer droit sur le réseau externe ou la machine asynchrone. Le menu contextuel apparaît (voir
Figure E.6).
• Cliquer sur Miroir au nœud. Le symbole effectue une rotation de 180∘ autour de son point de
connexion.
Ceci conclut la création des éléments du réseau et de sa topologie. Vérifier que tous les symboles sont
correctement positionnés. Utiliser ’Déplacer’, ’Redimensionner’ et/ou ’Renverser au jeu de barre’ pour
corriger le diagramme unifilaire.
Cependant, les éléments n’ont pas encore été édités et utilisent les paramètres par défaut. Saisir les
paramètres est la prochaine étape.
Nous n’avons plus besoin du guide à l’arrière-plan. Pour le cacher, il faut désactiver la couche graphique
dans laquelle il est dessiné. Il existe une telle couche pour chaque groupe de symboles graphiques.
Pour cacher l’arrière-plan:
• Cliquer sur le bouton Couches ( ). Le dialogue des couches graphiques apparaît. La couche
«Arrière-plan» se trouve dans le panneau de gauche (’Visible’).
• Cacher l’arrière-plan en le déplaçant vers le panneau de droite: sélectionner la couche «Arrière-
plan» et cliquer su . La couche est maintenant dans la liste des objets invisibles.
• Fermer le dialogue en pressant OK. Le diagramme unifilaire a maintenant l’air plus fin.
PowerFactory offre différentes méthodes pour éditer les paramètres électriques des composants: d’un
simple dialogue à des tables flexibles dans lesquelles plus d’un élément sont visibles à la fois.
La méthode la plus simple et la plus directe est toute fois de double-cliquer sur l’élément dans le
diagramme unifilaire pour ouvrir son dialogue d’édition.
Pour éviter des modifications graphiques non désirées, presser le bouton Congeler ( ).
Presque tous les éléments utilisent des objets de Type. Un grand nombre de transformateurs peut,
par exemple, partager le même type. La plupart des paramètres électriques sont dès lors définis dans
l’objet Type de transformateur et chaque transformateur fait référence à ce type.
Cela signifie que, normalement, un bibliothèque de types définis par l’utilisateur doit être définies avant
de définir le réseau lui-même. Cependant, pour ce tutoriel, tous les types nécessaires ont déjà été
définis et sont prêts à l’emploi.
Ce dialogue montre:
• Les onglets sont utilisés pour saisir les paramètres spécifiques à un calcul (’Données de base’,
’Flux de puissance’, etc.).
• le nom du terminal.
• son type, avec un bouton pour sélectionner le type et un autre pour l’éditer.
• Un Zone et une Région, auxquelles le terminal appartient. Elles ne sont pas utilisées dans ce
tutoriel. Plus d’informations sur les zones et les régions sont disponibles dans le manuel de
l’utilisateur.
• Nom = «D1_Swab»
• Pour saisir le Type, cliquer sur ( ) et choisir Sélectionner type du projet. Ceci ouvre la bib-
liothèque de types du projet. Naviguer vers le dossier ’Types Busbars’ comme montré à la
Figure E.8. Cette bibliothèque a été installée par le gestionnaire du tutoriel. Quand cela est
requis, cliquer sur ’+’ ou double cliquer sur un sous-dossier pour voir son contenu.
• Presser le bouton avec la flèche bleue à côté de l’entrée ’Sous-station’ ( ) pour éditer la sous-
station.
• Nom = «D1_3.3a»
• Type = Type du projet → Bar 3.3 kV
• Nom de la sous-station «Station 3», nom court = «S3»
• Configurer la tension nominale de la sous-station à 3,3 kV.
• Fermer tous les dialogues en pressant OK.
Tous les dialogues d’édition des éléments sont pourvus d’un bouton ALLER À. . . . Presser ce bouton
va soit directement à l’élément connecté à l’objet s’il n’y en a qu’un ou ouvre une liste des éléments
connectés.
Le dialogue montre les terminaux connectés. Ces champs ont été configurés quand le transformateur
a été connecté dans le diagramme unifilaire. Les noms des terminaux sont coloriés en rouge.
Un message d’erreur apparaît si les côtés HT et BT sont mal connectés. Dans ce cas:
• Nom = «T1_11/3.3a».
• Type = Type du projet → TR2 5;11/3.3;5%
• Vérifier que le réglage automatique des prises est désactivé et que la position de la prise est zéro.
• Données de Base:
– Nom = «Transmission Grid»
– L’élément réseau externe n’a pas de type. Toutes les données électriques sont stockées
dans l’élément lui-même.
• Flux de puissance:
– Type de bus = «SL» (slack)
– Angle = 0.0 deg
– Consigne de tension = 1.0 p.u
• Court-circuit VDE/IEC:
– Puissance de court-circuit max. «Sk» = 10000 MVA
– Rapport R/X = 0.1
• Presser OK .
Ceci conclut la définition du réseau du premier exercice. Nous pouvons maintenant réaliser des calculs.
Un calcul de flux de puissance peut être lancé à partir du menu principal (Calcul → Flux de puissance→
Flux de puissance. . . ) ou en cliquant sur le bouton Calculer flux de puissance ( ) dans la barre d’outils
principale. Cela ouvre le dialogue de la commande de flux de puissance, représenté à la Figure E.10.
• Pour le premier flux de puissance de ce tutoriel, vérifier que les options suivantes sont correcte-
ment configurées:
– Méthode de calcul = Flux de AC, équilibré, séquence directe
– Dépendance en température: Résistances de ligne/câble = ...à 20 ∘ C
– Considérer les limites de puissance active sont activés
Un calcul de flux de puissance est maintenant démarré. Si le réseau a été correctement configuré, le
message suivant devrait apparaître dans la fenêtre de sortie:
’Part 1∖T1_33/11a.ElmTr2’:
type manquant
Erreur dans les données du flux de puissance!
Flux de puissance non exécuté!
Dans ce cas (le transformateur n’a pas de type), le calcul n’est pas exécuté.
Pour résoudre ce problème, il faut d’abord localiser l’élément pour lequel l’erreur est rapportée. C’est
facile grâce à la fenêtre de sortie interactive: double-cliquer sur la ligne avec le nom de l’élément dans
la fenêtre de sortie. Le dialogue de l’élément apparaît automatiquement. Corriger l’erreur et relancer le
flux de puissance.
Le message de réussite indique que l’algorithme a trouvé une région (région séparée) dans le système
complet et choisit le réseau externe comme élément de référence (seul élément de référence possible
Le diagramme unifilaire donne les résultats du flux de puissance dans les boîtes de résultats comme
montré à la Figure E.11.
Sur cette figure on voit que la bulle d’aide apparaît lorsqu’on maintient le curseur au-dessus d’une boîte
de résultats. Quand une grande portion d’un réseau est visible, les boîtes de résultats peuvent devenir
illisibles. La bulle d’aide est alors utilisée pour visualiser les résultats.
Les boîtes de résultats ne sont pas limitées aux paramètres visibles mais peuvent être librement
éditées. PowerFactory dispose d’outils de définition très flexibles avec lesquels il est facile de définir le
format des boîtes de résultats.
Dans ce tutoriel, seule la méthode la plus directe sera présentée. Cette méthode est suffisante pour
la plupart des utilisateurs. Ceux qui le désirent et qui veulent en savoir plus peuvent lire le chapitre
correspondant dans le manuel de l’utilisateur après avoir terminé ce tutoriel.
Pour comprendre la manière dont les boîtes de résultats sont gérées et éditées, il est important de
comprendre la nature de ces boîtes de résultats.
Une boîte de résultats est en réalité un petit rapport de calcul. En principe, il n’y a pas de différence
entre un rapport complexe de plusieurs page et une boîte de résultats. Ces deux rapports sont générés
à partir de formulaires de résultats qui utilisent le langage de sortie de DIgSILENT pour définir le
contenu du rapport.
L’exemple suivant illustre ce sujet. Normalement, l’utilisateur ne doit pas éditer le formulaire manuelle-
ment car il est facile d’utiliser les dialogues d’édition disponibles, présentés au Chapitre E.4.2. L’exemple
suivant est issu d’un format de rapport de flux de puissance incluant macros, boucles et beaucoup
d’autres commandes de rapport. L’exemple montre une partie de l’entête du rapport, dans laquelle la
génération et les puissances active et réactive des moteurs sont rapportées.
Il est important de bien comprendre qu’un tel rapport peut également être écrit pour une boîte de
résultats. Comme on désire voir des résultats différents après un calcul de court-circuit et après un
flux de puissance, on peut créer deux petits formulaires; un pour, par exemple, le courant de court-
circuit initial et la puissance apparente et un autre pour les puissances active et réactive et le facteur de
puissance.
Il est donc évident qu’il est possible de créer et sélectionner le format de la boîte de résultats pour
chaque fonction de calcul. En outre, on désire en général observer des résultats différents pour les
branches et pour les nœuds. Les flexibilité des boîtes de résultats permet en plus de définir des boîtes
de résultats par projet, par éléments, pour toutes les branches en une fois, pour un élément particulier
ou pour une classe d’éléments (lignes ou transformateurs par exemple), etc. Cette flexibilité mène à
un très grand nombre de formats. Les fonctions et caractéristiques suivantes permettent de trier les
résultats et aident à gérer tous les formats:
• PowerFactory est fourni avec un grand nombre de boîtes de résultats par défaut, stockées dans
un dossier en lecture seule.
• Les formats utilisateur sont stocké dans un dossier utilisateur et sont basés sur les formats par
défaut.
• Un gestionnaire de formulaire permet d’assigner des formats de résultats à tous les éléments ou
à toutes les branches ou à tous les nœuds, si ceux-ci n’ont pas leur propre format. Il est donc
possible de créer des formats spéciaux dédiés à certains cas sans perdre la possibilité de définir
des formats globaux.
• Les formats pour toutes les branches ou tous les nœuds peuvent être choisis à partir du menu
principal pour une sélection de ces formats.
Dans la section suivante, le format de la boîte de résultats du réseau externe sera modifié.
Note: Par défaut, dans les boîtes de résultats, le flux de puissance vers la branche a un signe positif,
le flux sortant a un signe négatif. Pour les branches de consommation (charges), la même
convention est appliquée. Pour les générateurs (réseaux externes et générateurs) la puissance
sortante de l’élément est positive et celle entrante est négative.
Les boîtes de résultats du transformateur du haut donnent P, Q et charge. Nous désirons, par exemple,
changer cela en P, Q et courant. Pour modifier la définition de la boîte de résultats:
• Cliquer droit sur la boîte de résultats du transformateur. Cela ouvre un petit menu.
Maintenir la souris immobile sur un des Format pour. . . (Format pour extrémités ou Format pour trans-
formateurs à deux enroulements) ouvre un second menu. On peut sélectionner un format dans cette
liste. Le menu indique avec un ( ) le format actuellement utilisé. Actuellement, il s’agit du ’Format pour
extrémités → Puissance charge’.
• Choisir Editer format pour extrémités. Le dialogue du format apparaît (voir Figure E.12).
• Presser Mode d’entrée et sélectionner Variables prédéfinies si ce n’est pas le cas. Presser OK .
Le cadre montre trois listes déroulantes avec les variables actuellement sélectionnées.
Figure E.12: Editer les boîtes de résultats en utilisant des variables prédéfinies.
• Observer les modifications des boîtes de résultats du transformateur. Elle donne maintenant le
courant. La bulle d’aide a également changé.
• Observer que toutes les boîtes de résultats de tous les transformateurs ont changé.
• Sélectionner Editer format pour extrémités à nouveau. Changer le nombre de décimales à 3 ou 4
et ajouter les unités en cochant Montrer en dessous de Unités.
• Décongeler le diagramme ( ).
• Cliquer droit sur la boîte et choisir Adapter largeur.
Ce n’est pas souvent nécessaire d’ajouter les unités et les descriptions dans les boîtes de résultats
car elles sont données dans la légende du diagramme et dans les bulles d’aide. La légende du coin
inférieur gauche du diagramme est automatiquement mise à jour lorsqu’on modifie le format des boîtes
de résultats.
Cette légende est affichée ou masquée en cliquant sur le bouton Montrer bloc de légende .
Un calcul de court-circuit peut être lancé à partir du menu principal (Calcul → Court-circuit→ Court-
circuit. . . ) ou en cliquant sur ( ) ou directement à partir du diagramme unifilaire.
• Congeler le diagramme.
• Cliquer droit sur le jeu de barre 11 kV «D1_11a» et choisir Calculer → Court-circuit. . . comme
enseigné à la Figure E.13.
Un calcul est exécuté pour un défaut uniquement au jeu de barres sélectionné. Les résultats donnent
les courants dans tous le réseau, sauf pour la charge, qui est négligée.
Pour calculer des courts-circuits à tous les jeux de barres en une fois:
Un calcul est réalisé pour tous les nœuds. Les résultats sont donnés pour chaque terminal: courant de
court-circuit et puissance entrant dans ce terminal en cas de court-circuit à ce terminal.
• Cliquer Fermer
• La commande de court-circuit apparaît à nouveau. La méthode ’Complète’ doit être sélectionnée
et l’option ’Défauts multiples’ cochées.
• Presser le bouton Exécuter.
Les courants et puissances de court-circuit sont calculés pour tous le réseau pour les défauts simul-
tanés.
Exercice 3: Le Gestionnaire de
données
Dans le second exercice, le menu principal, la barre d’icône, la palette d’outils de dessin et le diagramme
unifilaire ont été utilisés pour:
Le gestionnaire du tutoriel est à nouveau utilisé pour installer des paramètres supplémentaires pour le
troisième exercice:
• Presser Exécuter.
La base de données, dans laquelle toutes les modifications sont sauvegardées, n’a pas encore été
directement utilisée. Pour voir et utiliser la base de données, nous avons besoin du «Gestionnaire de
données»:
Les utilisateurs familiers avec l’Explorateur de Windows peuvent sans problème aller à la section
suivante.
L’arbre de la fenêtre de la base de données montre une arborescence hiérarchique d’objets ’Dossier’. Si
un dossier contient d’autres objets, il est marqué d’une signe plus ( ). On peut cliquer sur ce symbole
pour ouvrir le dossier. L’explorateur de la base de données du panneau de droite affiche le contenu du
dossier ouvert.
Un dossier ouvert est marqué du signe moins ( ). Cliquer sur ce signe ferme le dossier. Les dossiers
«Tutorial User», «Tutorial», «Bibliothèque», «Modèle du réseau», etc. de la Figure F.1 sont ouverts,
les dossiers «Bibliothèque de types d’équipement», Bibliothèque opérationnelle, etc. sont fermés. Le
dossier «Part 1» est sélectionné dans l’arbre et son contenu est visible dans l’explorateur de droite.
• Cliquer sur tous les signe moins jusqu’à ce que l’arborescence ne montre plus que le dossier
Base de données.
• Cliquer sur les signe plus jusqu’à ce que le dossier Base de données → Utilisateur → Tutorial→
Modèle du réseau→Données du réseau → Part1 soit ouvert. Le dossier Utilisateur est votre
répertoire de travail; celui avec la petite icône bleue (un écran). Il peut avoir un autre nom que
Utilisateur.
Cliquer sur un dossier dans l’arborescence de la base de données affiche son contenu dans l’explorateur
de droite:
• Cliquez gauche sur le dossier «Part1». L’explorateur montre maintenant tous les objets créés lors
du second exercice.
Les objets affichés dans l’explorateur peuvent être triés en cliquant sur les entêtes des colonnes:
• Cliquez gauche sur l’entête «Nom». Les objets sont classés par nom.
• Cliquez gauche sur la même entête. Les objets sont classés dans l’autre sens.
• Cliquer sur l’entête vide (au-dessus des icônes, à gauche de la colonne «Nom»). Les objets sont
classés suivant leur classe.
Le gestionnaire de données peut être utilisé pour éditer les composants du réseau:
• Créer «manuellement» des objets: projets, cas d’étude, bibliothèques, commandes de calcul,
variations, etc.
• Copier et coller des parties de la base de données d’un dossier à un autre.
• Observer les résultats dans la table.
• Editer les objets sous format de table.
• Importer et exporter des parties de la base de données.
Nous allons maintenant ajouter un câble de distribution avec des charges au terminal du milieu.
• Sélectionner l’icône dans la boîte d’outils de dessin et placer le nouveau poste avec un simple
jeu de barres à droite de «D1_11a»
• Comme le jeu de barres a des attributs similaires à ceux du jeu de barres «D1_11a», nous
pouvons copier les données:
– Cliquer sur «D1_11a» avec le bouton gauche de la souris.
– Maintenir la touche Ctrl pressée et cliquer gauche sur le nouveau terminal en même temps.
Les deux terminaux devraient maintenant être sélectionnés.
– Cliquer droit sur un des terminaux sélectionnés et choisir Editer les données. . . . Vous pouvez
aussi double-cliquer sur les jeux de barres sélectionnés. L’explorateur de la base de données
s’ouvre et montre les deux terminaux.
– Sélectionner «D1_11a» en cliquant sur le symbole .
– Copier le jeu de barres (en cliquant droit et choisissant l’option Copier, en cliquant sur l’icône
ou en pressant la combinaison de touches Ctrl-C).
– Cliquer droit sur l’icône du nouveau jeu de barres et sélectionner Coller les données.
– Ouvrir le dialogue d’édition du nouveau jeu de barres (en double-cliquant sur le symbole )
et vérifier que son type est «Bar 11kV» et que la tension nominale est 11 kV.
– Fermer le dialogue et l’explorateur de la base de données (à l’aide des boutons OK et
Fermer).
Cette méthode de copie de données d’un objet à l’autre peut être utilisée pour accélérer la définition de
réseaux et réduire les erreurs. Par exemple, il serait possible de dessiner dans le diagramme unifilaire
un grand système de distribution qui utilise de nombreux terminaux (ou sous-stations ou jeux de barres,
respectivement) qui sont électriquement similaires. Un de ces terminaux pourrait ensuite être édité
pour définir le type et le niveau de tension corrects. En sélectionnant tous les terminaux similaires et
en ouvrant un explorateur de base de données comme décrit ci-dessus, il est possible de copier les
données du terminal et de les coller dans tous les autres terminaux en une seule action.
L’opération copier-coller est possible pour tous les objets, y compris les transformateurs, lignes, charges,
générateurs, etc. Malheureusement, cette fonctionnalité n’est pas disponible dans la version de démon-
stration du logiciel.
• Presser OK
• Sélectionner le bouton Jeu de barres (court) dans la palette d’outils de dessin. Ce type de terminal
ne représente pas une sous-station entière. Cet élément est utilisé pour représenter des nœuds
simple (points de connexion).
• Placer le terminal court sous le terminal «D2_Swab», comme indiqué par le guide.
• Editer le terminal:
– Nom = «D1_Reut»
– Type = Type du projet →Bar 11kV
– Tension nominale = 11 kV
Note: Une différence entre un jeu de barres simple et une sous-station avec système de jeux de barres
détaillé est que les disjoncteurs sont créés automatiquement pour les terminaux simples alors
que les éléments doivent être connectés à des disjoncteurs existants dans les sous-stations. Un
jeu de barres simple ne reçoit qu’un disjoncteur simple au lieu d’une configuration détaillée de
disjoncteurs-sectionneurs. Le graphique détaillé d’un terminal avec ses connexions est visible en
cliquant droit sur le jeu de barres et en choisissant «Montre graphique détaillé du poste.»
– Nom = «L_Swb_Rt»
– Type = Type de projet → Type de ligne (TypLne) → Types Cables (library subfolder) → Cable
11kV400A (again a cable)
– Longueur = 5 km
Le diagramme unifilaire, sans arrière-plan, devrait être semblable à celui de la figure F.2.
Pour insérer la charge sur la ligne, un petit terminal est également inséré. Le dialogue ’Elément
dérivation’ est utilisé pour définir la position physique de ce terminal et si des interrupteurs doivent
être insérés.
• Donner une nouvelle position de 4 km. Le dialogue ’Elément dérivation’ donne l’intervalle valable
(0 à 5 km).
• Les options d’interrupteur (insérer interrupteur à droite/à gauche) doivent être décochées.
• Presser OK.
La position physique de la branche-ligne n’a pas de relation avec la distance graphique de la branche
par rapport au terminal «D2_Swab», comme cela peut se voir sur le diagramme. Bien sûr, l’ordre des
branches dans le diagramme est égal à l’ordre physique mais les distances graphiques n’ont pas de
signification.
• Insérer la charge du bas de la même manière. Placer cette charge à 4,8 km, c’est-à-dire 0,8
km, car le dialogue commence à compter à partir du terminal inséré ci-dessus; également sans
interrupteur.
– Cliquer droit dans une zone vide de la surface de dessin pour libérer le pointeur de la souris.
– Cliquer sur la dernière charge insérée et maintenir le bouton enfoncé.
– Déplacer la charge vers l’autre extrémité de la ligne comme indiqué par le guide à l’arrière-
plan.
– Relâcher le bouton pour déposer la charge à la nouvelle position.
La troisième charge est maintenant tournée de 180ž. Il est également possible de cliquer droit sur la
charge et de choisir Renverser au jeu de barres. Cela fait pivoter l’élément de 180ž autour du jeu de
barres.
Ceci conclut les modifications topologiques de cet exercice du tutoriel. Il faut noter que le nom de la ligne
(«L_Swb_Rt») a été modifié dans le diagramme car la ligne a été divisée en quatre lignes. Ces quatre
nouvelles lignes ont reçu des noms automatiquement «L_Swb_Rt», «L_Swb_Rt_a», «L_Swb_Rt_b»,
et «L_Swb_Rt_c». Les nouveaux éléments seront édités dans la prochaine section de ce chapitre.
• Cliquer sur le bouton Couches ( ) dans la barre d’icônes de la fenêtre graphique. Ceci ouvre le
dialogue des ’couches graphiques’.
Comme nous avons déjà donné un type et une longueur à la ligne de dérivation, il faut juste éditer les
noms des nouvelles lignes créées:
– Nom = «L_Swb_Tub»
• Double cliquer sur la deuxième route à partir du haut:
– Nom = «L_Tub_Dus»
• Nommer la troisième route:
– Nom = «L_Dus_Gom»
• Nommer la route du bas:
– Nom = «L_Gom_Reut»
L’insertion de charges sur la ligne a créé de nouvelles lignes et inséré de nouveaux terminaux entre
ces lignes. Les charges étaient connectées via ces terminaux. Ces terminaux doivent aussi être édités.
Cela peut s’avérer fastidieux de les éditer un par un alors qu’ils sont tous égaux. Nous allons donc
utiliser la capacité d’édition multiple de l’explorateur de données.
Figure F.3: Gestionnaire de données avec les nouvelles lignes et nouveaux terminaux. (après les avoir
édités)
L’explorateur montre maintenant parmi d’autres paramètres, les noms et types des éléments, comme à
la Figure F.3. Les types des trois nouveaux terminaux («Terminal», «Terminal(1)», et «Terminal(2)») ne
sont pas encore définis. Pour les modifier:
• Double-cliquer sur l’icône d’un des terminaux ( ) dans la première colonne de l’explorateur.
ouvre le dialogue du terminal.
• Configurer le type: Type du projet –> Bar 11kV.
• Fermer le dialogue en pressant OK.
Revenons maintenant à l’explorateur qui affiche le type sélectionné pour le terminal choisi. Les deux
autres terminaux utilisent le même type. Nous allons le copier du premier terminal dans les deux
autres:
• Cliquer sur le champ type du terminal édité. Ceci sélectionne uniquement le champ.
• Cliquer droit sur le champ type. Cela ouvre le menu contextuel.
• Sélectionner Copier dans le menu contextuel ou presser Ctrl+C.
• Cliquer droit sur le champ type vide dans des autres terminaux et sélectionner Coller dans le
menu contextuel ou presser Ctrl+V.
• Coller le type dans l’autre terminal.
• Les entrées de la colonne ’Objet modifié’ sont automatiquement mise à jour avec les dates et
heures actuelles.
L’explorateur devrait afficher tous les éléments avec leur type configuré. Nous allons maintenant définir
les noms des nouveaux terminaux:
• Une fenêtre s’ouvre demandant s’il faut sauvegarder les modifications de «D2_Tub.ElmTerm».
Confirmer avec Oui.
• Changer le nom de «Terminal(1)» en «D1_Gom».
• Changer le nom de «Terminal(2)» en «D1_Dus».
Le terminal «D1_Reut» peut déjà voir le type correct et la bonne tension nominale. Double-cliquer sur
son symbole dans le diagramme unifilaire et vérifier les donnés:
Nous désirons à présent grouper les nouvelles lignes avec les terminaux en un seul objet Branche.
Le copier-coller peut maintenant être utilisé pour entrer le type des quatre nouvelles charges. De cette
manière, cela réduit les chances d’oublier une charge ou de faire une erreur.
• Sélectionner les quatre nouvelles charges (sélectionner la première, maintenir la touche Ctrl
enfoncée et sélectionner les autres).
• Cliquer droit sur cette sélection et choisir Editer données. Un explorateur contenant les quatre
charges apparaît. Aucune ne devrait avoir de type défini.
• Ouvrir le dialogue de la première charge (double-cliquer sur son icône), choisir Type du pro-
jet (Sélectionner type du projet) → Type de charge générique ( TypLod)→ Type Loads (sous-
bibliothèque)→ General Load et fermer le dialogue en pressant OK.
• Fermer le dialogue de la charge également en cliquant sur OK.
• Copier et coller le type aux autres charges
• Fermer la fenêtre de l’explorateur.
Copier et coller les données d’un élément à un autre n’est qu’une des caractéristiques de l’explorateur
de données. Tous les paramètres peuvent être copiés et collés et la plupart peuvent être directement
édités sans ouvrir le dialogue d’édition, directement dans la table. Nous allons cependant continuer à
utiliser les diagrammes unifilaires.
Les nouvelles charges sont à présent éditées et séparément pour fixer leur puissance.
Note: Si Puissance active et/ou Facteur de puissance sont invisibles, il faut changer le Mode d’entrée
de la charge à P, cos(phi). Il est possible d’éditer le mode d’entrée par défaut de toutes les
charges en pressant et en sélectionnant ’Puissance active’ et ’cos(phi)’. Toutes les charges,
par défaut, sont inductives.
– Données de Base:
* Nom = «Duslin»
– Flux de puissance:
* Equilibré/déséquilibré = Equilibré
* Puissance active = 1.0 MW
* Facteur de puissance = 0.9
* Tension = 1.0 p.u.
• Charge du bas:
– Données de Base:
* Nom = «Goma»
– Flux de puissance:
* Equilibré/déséquilibré = Equilibré
* Puissance active = 1 MW
* Facteur de puissance = 0.9
* Tension = 1.0 p.u.
• Charge au terminal final:
– Données de Base:
* Nom = «Reutlin»
– Flux de puissance:
* Equilibré/déséquilibré = Equilibré
* Puissance active = 3 MW
* Facteur de puissance = 0.9
* Tension = 1.0 p.u.
Nous désirons savoir si un des éléments est en surcharge. Pour obtenir cette information, nous allons
colorier le diagramme.
– 90 %
– 95 %
– 100 %
• Le dialogue devrait alors apparaître comme à la Figure F.7. Fermer le dialogue en pressant OK.
On peut maintenant voir que le transformateur supérieur et le câble «L_Swb_Tub» sont en surcharge
(marqués en rouge). La tension dans tout le réseau est relativement basse (terminaux bleus). Si le
diagramme du réseau n’est pas colorié même après avoir édité le «Coloriage du diagramme», lancer
un calcul de flux de puissance et vérifier que le coloriage est toujours défini à ’Tensions/Charge’.
Note: Le coloriage peut être défini différemment pour les diverses fonctions de calcul disponibles et le
mode d’entrée. Le coloriage peut ainsi toujours être adapté aux informations qui sont disponibles
et qui vous intéressent. Pour le mode d’entrée, on s’intéresse p.ex. au niveau de tension, tandis
qu’après un calcul de flux de puissance les résultats devraient définir le coloriage des éléments.
Pour améliorer la situation, nous devons faire quelques modifications dans les équipements. Par
exemple, nous avons besoin d’un plus gros câble pour «L_Swb_Tub»:
– Presser le bouton .
– Sélectionner Type du projet → Type de ligne ( TypLne)
– Câble 11kV800A
– Confirmer la sélection en cliquant sur OK.
Calculer un nouveau flux de puissance équilibré. Le câble n’est à présent plus surchargé.
Comme il y a un interrupteur juste avant la charge du milieu, il est possible de déconnecter les trois
dernières charges.
Cela donne une erreur car il n’y a pas de générateur dans la zone isolée du réseau. Nous recevons
des messages d’erreur et d’avertissement.
Dans ce quatrième exercice, nous allons créer la seconde partie du réseau qui représente le système
de transport en haute tension.
• Presser OK.
Comme pour les exercices précédents, il faut exécuter le gestionnaire du tutoriel pour réaliser quelques
étapes de préparation nécessaires.
• Presser Execute.
Le diagramme unifilaire (vide) apparaît. Ce diagramme montre le guide d’arrière-plan du petit système
de transport «Part 2». Vous êtes maintenant prêt pour saisir ce système de transport.
Le guide montre quatre doubles jeux de barres et quelques charges et générateurs. Il faut créer ces
éléments Zoomer sur le guide et créer les doubles jeux de barres:
• Positionner les jeux de barres de gauche, du milieu et de droite comme indiqué par le guide.
• Créer les charges également suivant le guide.
– Sélectionner la charge dans la palette d’outils de dessin.
– Positionner la sur le système de jeux de barres respectif.
– Le diagramme détaillé de la sous-station s’ouvre. Connecter la charge à un des terminaux
marqués (gros carrés aux extrémités des panneaux de disjoncteurs).
• La charge du DBS du haut doit être placée au-dessus de celui-ci: presser Ctrl lors du placement
de celle-ci ou utiliser l’option Renverser au jeu de barres.
• Créer trois machines synchrones pour les DBS du haut, de gauche et de droite. La machine du
DBS du haut doit être connectée vers le haut.
Avant de connecter les lignes, il faut nous pencher sur le nombre de cellules de disjoncteur dans le
système de double jeu de barres. Les systèmes prédéfinis, à partir d’un modèle, ont un nombre donné
de cellules de disjoncteur. De nouveaux disjoncteurs sont automatiquement créés si on connecte des
éléments aux jeux de barres. Les utilisateurs expérimentés peuvent créés leurs propres modèles qui
peuvent contenir plus de disjoncteurs que les modèles prédéfinis (veuillez-vous référer au manuel de
l’utilisateur). Pour ajouter manuellement des disjoncteurs au système de jeux de barres:
• Aller au diagramme détaillé de la sous-station comme montré à la Figure G.2. Si celui-ci n’est pas
disponible, cliquer droit sur le double jeu de barres dans «Part 2» et choisir ’Afficher graphique
détailler de la sous-station’ dans le menu contextuel.
Figure G.2: Graphique détaillé d’une sous-station avec double jeu de barres
Il est maintenant possible de connecter les lignes avec les jeux de barres:
• Créer les 6 lignes conformément à l’image d’arrière-plan dans le graphique «Part 2»:
– Sélectionner la ligne dans la boîte d’outils de dessin.
– Cliquer sur un des systèmes à double jeu de barres dans le graphique «Part 2».
– Le graphique détaillé du poste s’ouvre automatiquement.
– Connecter la ligne à une baie en cliquant sur un terminal de disjoncteur marqué.
– Le graphique détaillé du poste se ferme automatiquement.
– Faire glisser la ligne vers un second système à double jeu de barres dans le graphique «Part
2» et cliquer sur ce système.
– Le graphique détaillé du second poste s’ouvre automatiquement.
– Connecter la ligne à une baie en cliquant sur un terminal de disjoncteur marqué.
– Répéter ces étapes pour dessiner et connecter toutes les lignes.
• Masquer ce guide ( ).
• Congeler le diagramme à nouveau.
• Cliquer sur un des terminaux d’une des sous-stations dans «Part 2». Le dialogue du terminal
apparaît.
Tous les jeux de barres (les 8) sont égaux et ont été conçu pour 110 kV. C’est donc une bonne idée de
les éditer en copiant les données.
• Cliquer sur l’icône Ouvrir le gestionnaire de modèles de réseau. . . dans la barre d’icônes de la
fenêtre graphique ( ). Cela ouvre une nouvelle fenêtre. Le côté gauche de la fenêtre montre
une liste d’icônes (et les noms correspondants) pour toutes les classes d’objet trouvées dans le
projet actif.
• Sélectionner la classe ’Terminal (*.ElmTerm)’ ( ).
• Un tableau contenant tous les terminaux du projet apparaît du côté droit de la fenêtre du Gestion-
naire de modèles de réseau.
• Double-cliquer sur l’icône du premier terminal ( ) portant le nom «B110_. . . » et éditer le terminal
pour avoir:
– Type = Type du projet → Bar 110 kV
– Tension nom. = 110 kV
• Fermer le dialogue du terminal. L’explorateur montre maintenant le type et la tension nominale.
• Cliquer d’abord gauche, puis droit sur le type entré dans l’explorateur et sélectionner Copier.
• Cliquer gauche dans le champ de type vide du deuxième terminal portant le nom «B110_. . . ».
Faire glisser la souris vers le champ de type vide du dernier terminal portant le nom «B110_-
. . . ». Relâcher la touche de la souris. Tous les champs de type vides devraient maintenant être
sélectionnés.
• Cliquer droit sur les champs sélectionnés et sélectionner Coller. Le type de terminal est main-
tenant copié dans tous les autres terminaux en une fois.
• Vérifier les tensions nominales des terminaux portant le nom «B110_. . . ». Si nécessaire, répéter
l’opération copier-coller pour la tension nominale.
• Fermer l’explorateur.
Le copier-coller peut maintenant être utilisé pour entrer le type des six lignes.
– Type = Type du projet → Type de ligne (TypLne) → Types Lines → OHL 110 kV
• Copier ce type dans les cinq autres lignes «Linge(1)» à «Ligne(5)»
• Fermer la fenêtre de l’explorateur
Même si toutes les lignes partagent le même type, elles ont cependant des longueurs différentes. Pour
saisir les longueurs des lignes:
• Éditer les quatre lignes verticales de la sous-station de haut vers celles de gauche et de droite en
double-cliquant dessus:
– Longueur = 60 km
• Éditer les deux lignes restantes de la sous-station du centre:
– Longueur = 20 km
• Les deux lignes du côté gauche entre «Station 1 / B110_1x» et «Station 2 / B110_2x»:
– Nom = «L12a» et «L12b»
Note: Lorsqu’on édite avec l’explorateur de données, le Mode détaille ( est activé. Il permet d’éditer
les ensembles de données de calcul des objets dans les onglets correspondants (comme dans le
dialogue). Si ce mode n’est pas activé, le Mode objet est alors le mode actif et ne permet d’éditer
qu’un nombre limité de données. Pour plus d’informations, voir le manuel de l’utilisateur.
Nommer les charges des sous-stations du haut de gauche et de droite Double-cliquer sur chacune
d’elles pour l’éditer.
La charge du jeu de barres du milieu a une demande de puissance différente. Double-cliquer sur
chacune d’elles pour l’éditer.
– Nom = «Ld_3a»
– Puissance active = 40 MW
– Facteur de puissance = 0.95
• Éditer la charge de droite:
– Nom = «Ld_3b»
– Puissance active = 40 MW
– Facteur de puissance = 0.95
• Générateur du haut:
– Données de Base:
* Nom = «SM_1»
* Type = Type du projet → Types Mach. Syn.→ SGEN150M/110kV
– Flux de puissance:
* Machine de référence = désactivé
* Contrôleur local = V const.
* Tension =1,0 pu pour Dispatch
* Angle = 0,0 deg
• Générateur de gauche:
– Données de Base:
* Nom = «SM_2»
* Type = Type du projet → Types Mach. Syn.→ SGEN150M/110kV
– Flux de puissance:
* Machine de référence = désactivé
* Contrôleur local = Q const.
* Puissance active = 100,0 MW
* Facteur de puissance = 0,95
• Générateur de droite:
– Données de Base:
* Nom = «SM_4»
* Type = Type du projet → Types Mach. Syn.→ SGEN150M/110kV
– Flux de puissance:
* Machine de référence = désactivé
* Contrôleur local = Q const.
* Puissance active = 100,0 MW
* Facteur de puissance = 0,95
Note: Si les champs Puissance active et/ou Facteur de puissance ne sont pas visibles dans l’onglet
Flux de puissance, sélectionner P, cos(phi) comme mode d’entrée.
• Réaliser un calcul de flux de puissance avec l’option Considérer les limites de puissance réactive
(voir Figure G.5).
• Corriger le système en cas d’erreur.
Figure G.5: Considérer les limites de puissance réactive lors du calcul de flux de puissance
La solution est de sélectionner un jeu de barres de référence, pour lequel l’angle de la tension est
de 0,0∘, et de créer un objet régulateur de fréquence qui va contrôler la puissance de sortie des
générateurs.
Le régulateur puissance-fréquence a déjà un «jeu de barres pour mesure de fréquence» défini. Les
générateurs sélectionnés apparaissent dans la liste des machines.
Il est également possible d’ajouter des générateurs à un régulateur de fréquence existant. Ceci se
réalise à partir du diagramme unifilaire:
• Choisir Ajouter à → Régulateur Puissance-fréquence. Une liste des régulateurs de fréquence ex-
istants apparaît dans laquelle il suffit de sélectionner celui auquel on veut ajouter des générateurs.
• Le dialogue du régulateur de fréquence apparaît. Les générateurs sont maintenant ajoutés à la
liste des machines sauf s’ils y étaient déjà.
• Calculer un flux de puissance. Observer les changements: tous les générateurs produisent à
présent la même chose. La contribution de puissance n’est pas fixe mais peut être modifiée
dans le régulateur de fréquence en le configurant à Puissance active individuelle et en éditant les
pourcentages de la liste.
Le contrôle de fréquence peut être ouvert à partir du dialogue d’un des générateurs participant à ce
contrôle. L’objet régulateur apparaît dans l’onglet ’Flux de puissance’ comme Régulateur secondaire
externe. Presser le bouton avec la flèche bleue ouvre le dialogue du régulateur.
Dans les exercices précédents, un petit réseau de distribution («Part 1») et un petit réseau de transport
(«Part 2») ont été modélisés et testés; en plus, nous avons réalisé, sur ces réseaux, des calculs de flux
de puissance et de courts-circuits.
Dans cet exercice, les deux réseaux vont être connectés entre eux. Des calculs seront effectués sur le
réseau résultant.
Démarrer le tutoriel:
Si un projet était actif, les panneaux graphiques disparaissent et rien d’autre de visible ne se passe.
Les réseaux ne sont, cette fois, pas montrés automatiquement.
Pour la connexion et l’analyse des deux sous-systèmes, il devrait être possible de passer d’un dia-
gramme unifilaire à l’autre rapidement et de réaliser des calculs combinant les deux réseaux. Jusqu’à
présent, seul un des sous-systèmes («Part 1» ou «Part 2» était actif à la fois. Cependant, il est possible
d’activer autant de réseaux que nécessaires et de créer autant de diagrammes unifilaires que désirés.
Il faut activer «Part 1» et «Part 2» et afficher leurs diagrammes unifilaires.
Un dossier réseau est activé en l’ajoutant à un cas d’étude actif. Un cas d’étude garde une référence à
tous les réseaux actifs, et donc la combinaison de réseaux actifs est la base de tous les calculs. Le cas
d’étude désactive automatiquement tous ses réseaux lorsqu’il est lui-même désactivé, et les réactive
une fois lui-même activé, utilisant pour ce faire les références aux réseaux. Il faut donc d’abord activer
le cas d’étude en le sélectionnant dans la liste du menu principal.
A continuation, nous expliquons comment ajouter des réseaux à un cas d’étude à partir du gestionnaire
de données.
• Ajouter les deux réseaux au cas d’étude en cliquant droit dessus et en choisissant Activer. Leurs
icônes deviennent également rouges pour signaler qu’ils sont actifs.
Le panneau graphique qui apparaît montre les deux diagrammes unifilaires. On passe de l’un à l’autre
en pressant les onglets au bas du panneau graphique.
Lorsqu’un cas d’étude est désactivé, son panneau graphique est automatiquement fermé. Lorsqu’il est
à nouveau activé, son panneau graphique réapparaît.
Nous avons donc maintenant deux réseaux et deux diagrammes unifilaires. L’arrière-plan du système
de transport montre les modifications à réaliser. Premièrement, vérifier que les deux réseaux ont été
correctement activés.
• Réaliser un calcul de flux de puissance ( ) avec les paramètres suivant (dans l’onglet des
options de base):
– Flux de AC, équilibré, séquence directe.
– Considérer limites de puissance réactive.
– Toutes les autres options désactivées.
La commande ne voit maintenant plus qu’un seul réseau qui comporte deux régions isolées. Dans la
fenêtre de sortie, s’impriment divers messages; un de ceux-ci devrait être:
Passer d’un diagramme à l’autre et observer que le flux de puissance a été calculé pour les deux
réseaux. Il peut être nécessaire de zoomer sur certaines parties pour observer les résultats, ou laisser
la souris immobile sur une boîte de résultats afin d’ouvrir la bulle d’aide.
Le réseau de distribution («Part 1») est alimenté par un élément réseau externe à 33 kV. Le réseau
de transport à une charge en son milieu représentant le réseau de distribution, comme montré à la
Figure H.2 par la flèche rouge.
Figure H.2: Diagramme unifilaire du réseau de transport (Part 2). Charge du milieu représentant le
réseau de distribution
• ôter l’objet réseau externe du réseau externe du réseau de distribution et la charge du milieu du
réseau de transport.
• créer un transformateur 110/33 kV et connecter le double jeu de barres 110kV de «Part 2» avec
le jeu de barre de «Part 1».
La première étape est facile car elle est réalisée de manière indépendante dans chacun des réseaux:
• Cliquer sur le symbole de lu réseau externe et presser Supprimer ( ) Répondre Oui pour
supprimer l’objet.
• Sélectionner et décongeler le diagramme de «Part 2».
• Supprimer, de la même manière, la charge «Ld_Swab».
La création du nouveau transformateur n’est cependant pas possible. Pour connecter un transforma-
teur, nous avons besoin de deux jeux de barres dans un diagramme unifilaire. Le diagramme «Part 1»
ne contient pas le jeu de barres 110 kV et «Part 2» ne contient pas le jeu de barres 33 kV. Au moins un
de ces jeux de barres doit être visible dans l’autre diagramme.
Nous devons donc créer une seconde représentation graphique d’un de ces jeux de barres:
• Dans le diagramme «Part 1», sélectionner le jeu de barres «D1_Swab» et le copier (soit en
pressant ou Copier dans le menu contextuel (clic-droit) ou Ctrl-C).
Un nouveau symbole graphique du jeu de barre «D1_Swab» est ainsi créé dans l’autre diagramme.
Cependant, aucun jeu de barre additionnel n’est créé dans la base de données. Electriquement, il n’y
a qu’un jeu de barres «D1_Swab».
• Il est également possible de copier-coller graphiquement plus d’un objet à la fois. Les symboles
sont collés dans le même configuration que lors de la copie. Il faut faire attention de ne pas
dessiner des symboles hors du plan de dessin. Changer le format de papier à une taille supérieure
ramène ces objets dans la partie visible.
• Une seule représentation graphique de chaque objet est permise dans chaque diagramme unifi-
laire. Il n’est pas possible de copier et coller graphiquement dans le même diagramme.
...∖Station 1∖D1_Swab.ElmTerm
Si le nom du jeu de barre insérer est différent de «D1_Swab», vous avez créé un nouveau jeu de barres
au lieu de créer un nouveau symbole pour le jeu de barres existant. Dans ce cas:
Nous avons maintenant créé une seconde représentation graphique du jeu de barres «D1_Swab» dans
le diagramme «Part 2».
Nous pouvons maintenant connecter les jeux de barres à l’aide d’un transformateur:
• Éditer le transformateur:
– Nom = «T1_Swab»
– Type = Type du projet → TR2 60;110/33
• Cacher l’arrière-plan.
• Congeler les deux diagrammes.
Le système de transport alimente maintenant le réseau de distribution par environ 14,51 MW. Le
système est vu comme un tout par tous les modules de calcul:
• Réaliser un calcul de court-circuit pour un défaut triphasé au terminal final de ligne de dérivation.
Le court-circuit est maintenant alimenté par les trois générateurs du réseau de transport.
Note: La méthode de collage d’éléments d’un réseau dans un autre diagramme est juste une des
méthodes pour créer des représentations unifilaires d’éléments existants. Cette méthode peut
être utilisée pour connecter deux réseaux mais n’est pas appropriée pour créer un nouveau
diagramme unifilaire d’éléments existants. PowerFactory dispose d’outils spécifiques pour cela.
Si vous désirez créer des diagrammes unifilaires pour des réseaux existants, veuillez-vous référer
au manuel de l’utilisateur.
Jusqu’à présent, nous n’avons utilisé que deux fonctions de calcul: le flux de puissance et le calcul de
court-circuit.
Dans cet exercice, un des générateurs du réseau de transport va être remplacé par un modèle plus
détaillé de centrale. Ce modèle de centrale contient un gros moteur asynchrone pour lequel nous
allons effectuer un calcul de démarrage.
Démarrer le tutoriel:
Le panneau graphique devrait afficher les deux diagrammes unifilaires du dernier exercice et deux
nouveaux onglets appelés Motor et Voltage.
Le générateur du haut («SM_1») dans le réseau de transport («Part 2») doit être remplacé par un mod-
èle détaillé de centrale. Ce modèle devrait être visible à l’arrière-plan. Pour supprimer le générateur:
• Utiliser le guide pour dessiner un nouveau jeu de barres au-dessus du double jeu de barres en
sélectionnant dans la palette d’outils graphiques.
• Connecter le jeu de barres au double jeu de barres à l’aide de deux lignes en cliquant sur
dans la palette d’outils graphiques.
• Dessiner trois terminaux courts au dessus de ce jeu de barres ( ). Etirer celui de droite.
• Connecter ces trois terminaux au jeu de barres par trois transformateurs à deux enroulements
( ).
• Connecter un générateur synchrone à chacun des deux terminaux de gauche. Utiliser la fonction
Renverser au jeu de barres (menu clic droit) s’ils sont dessinés vers le bas.
• Multi-éditer les deux nouvelles lignes (s’assurer que l’explorateur est en mode de détails, voir G.2
(Éditer les éléments) pour avoir:
– Nom = «PP110_1»
– Type = Type du projet → Bar 110kV
– Nom. Tension = 110 kV
– Sous-Station:
* Nom = Station Power Plant 1
* Nom court = PP1
Si un dialogue d’erreur ’données incohérentes’ apparaît après avoir pressé OK dans le dialogue du
transformateur, il faut inverser les connexions (le côté haute tension est connecté au terminal 33 kV et
celui de basse de tension au jeu de barres de 110 kV). Une manière de faire:
Pour chacun des deux générateurs, une puissance active de 50 MW a été définie. Ces deux généra-
teurs ne participent pas au contrôle secondaire. Nous devons modifier cela:
• Choisir Puissance active individuelle dans le champ Mode de contrôle (onglet ’Flux de puissance’
du régulateur puissance-fréquence). Éditer les Pourcentages de puissance active dans la liste des
générateurs afin d’avoir 33% pour les générateurs existant et 17% pour les nouveaux générateurs
(«PP1_G1» et «PP1_G2»).
• Réaliser un calcul de flux de puissance pour vérifier les résultats.
Nous avons donc maintenant un système avec quatre générateurs et un gros moteur asynchrone dont
le démarrage doit être analysé.
Pendant la simulation, six diagrammes sont générés pour le moteur lui-même (pour la représentation
de la puissance active, du courant, etc.) et un diagramme avec la tension correspondante au jeu de
barres / terminal du moteur. Un des diagrammes de résultat est représenté sur la Figure I.1. Il illustre
la demande de puissance réactive de la machine asynchrone pendant le démarrage. Si le texte est
difficile à lire, placer la souris dessus pour faire apparaître le ballon d’aide ou agrandir sa représentation
à l’aide du bouton de zoom. Vous pouvez également modifier le style de la page en choisissant un style
différent (menu déroulant: Style → Sélectionner le style→ . . . ou Style → Créer un nouveau style).
Dans ce graphique, on peut voir que le moteur atteint sa vitesse nominale après 3,2 secondes. En
régime permanent, la machine consomme 2,16 MW et 0,99 Mvar. Ceci s’affiche aussi dans le dia-
gramme unifilaire. Le résultat est plutôt surprenant car nous n’avons défini aucune charge mécanique
pour la machine. Les 2,16MW ne sont pas des pertes, du moins durant une longue période. A quoi est
donc utilisée la puissance?
L’onglet ’Simulation RMS’ donne les paramètres de la charge mécanique par défaut:
Ces deux paramètres appartiennent au modèle de machine entraînée par un moteur. Ce modèle intégré
est assez simple et est déterminé par l’équation suivante, qui donne la relation entre le couple (xmdm)
et la vitesse.
Ce n’est peut-être pas le modèle de machine entraînée par un moteur désiré. Nous allons le remplacer
dans le chapitre suivant.
Dans cette section, nous allons modifier le modèle de machine entraînée par un moteur. Dans ce
contexte, nous allons introduire des objets importants appelés Modèles complexes.
• Cliquer droit sur la machine asynchrone et sélectionner Définir → Nouvelle machine entraînée
par un moteur (mdm).
Note: Les modèles de machine entraînée par un moteur (mdm) sont des objets de la classe
ElmMdm qui encapsule des informations sur la charge mécanique d’un moteur. L’interaction entre
une mdm et un moteur est réalisée par l’intermédiaire d’un autre élément appelé Modèle complexe
(ElmComp).
Un dialogue de sélection d’élément, utilisé pour créer un nouvel objet, apparaît. A ce moment, il
n’affiche qu’une liste de trois modèles prédéfinis de machines entraînées et un modèle dynamique
général (Modèle simple).
Le système machine-charge mécanique est modélisé au moyen d’un modèle complexe. Le modèle
complexe utilise un Cadre complexe, qui est en fait un diagramme de blocs connectant les régulateurs
et autres modèles. Le cadre complexe par défaut d’une machine asynchrone est montré à la Figure I.2.
Même si ce cadre possède quatre rainures (blocs), seules les rainures de la machine synchrone (’asm
slot’) et de la machine entraînée par un moteur (’mdm slot’) sont utilisés dans cet exercice.
Note: Un Modèle complexe est un objet utilisé pour connecter les modèles des éléments d’un sys-
tème dynamique.. Les modèles complexes utilisent des diagrammes de blocs appelés cadres
complexes. Lorsqu’on édite une modèle complexe, on doit définir un nom pour le modèle, choisir
le cadre complexe et remplir les rainures (blocs) avec les éléments correspondants.
Après avoir presser OK dans le dialogue de la mdm, le dialogue du modèle complexe apparaît.
– Nom = «Plant_PP1_ASM1»
– Cadre = Sélectionner → . . . ∖Tutorial∖Library∖Equipment type library ∖Composite Frames∖Composite
Frame ASM
– Dans la table ’Définition de Rainure’, le champ correspondant à ’asm slot’ affiche le nom de
la machine asynchrone et le champ ’mdm slot’ affiche le nom de la machine entraînée par un
moteur. Les deux autres champs doivent rester vides. Si la rainure de la machine synchrone
apparaît vide après avoir changer la définition du Cadre:
* Double-cliquer sur la rainure ’asm’ vide.
* Dans l’explorateur, sélectionner dans la partie de gauche de la fenêtre le réseau ’Part 2’.
* La machine asynchrone ’PP1_ASM1’ devrait apparaître dans la partie de droite de la
fenêtre. Sélectionner la machine asynchrone et presser OK.
A ce stade, il ne faut pas se soucier des modèles complexes, car l’ajout d’un mdm à un moteur est une
procédure simplifiée.
• Répéter la simulation.
Cela prend, à présent, 1,4 secondes en plus à la machine pour atteindre sa vitesse nominale.
Dans l’exercice I, nous avons eu un aperçu des possibilités d’analyse de transitoires de PowerFactory.
L’analyse, cependant, a été plus ou moins entièrement réalisée par le logiciel. Dans ce septième
exercice, nous allons voir plus en détails cette analyse de transitoires.
Le réseau activé contient quatre générateurs, pour lesquels il manque des modèles supplémentaires,
comme la turbine, les régulateurs primaires et de tension. Une simulation dynamique réaliste n’est pas
possible avec de tels générateurs non contrôlés. Dans cet exercice, nous ajouterons des régulateurs à
deux des générateurs et analyserons le comportement du système face à un court-circuit.
Pour modéliser les générateurs contrôlés, des modèles complexes pour les machines synchrones et
leurs régulateurs doivent être définis. Le cadre complexe par défaut d’une machine synchrone est
montré à la Figure J.1. Même si ce cadre a plusieurs rainures, nous n’utiliserons que celle de la
machine synchrone (’Sym Slot’), du régulateur de tension (’Avr Slot’) et du gouverneur et de la turbine
(’Gov Slot’). Le modèle de gouverneur et turbine (’gov’) contient un régulateur primaire (’pco’) et une
unité motrice (’pmu’).
Tr 0.02 s
Ka 100 p.u.
Ta 0.05 s
Ke 1 p.u.
Te 0.2 s
Kf 0.0025 p.u.
Tf 1 s
E1 4 p.u.
Se1 1.5 p.u.
E2 6 p.u.
Se2 2.5 p.u.
Vrmin -8 p.u.
Vrmax 8 p.u.
• Presser OK.
• Presser OK.
• Cliquer sur le générateur «PP1_G1» et choisir Définir → Gouverneur et Turbine (gov).
• Utiliser type de gouverneur et turbine ’gov_HYGOV’ Il se trouve dans la bibliothèque globale sous
Base de données ∖ Bibliothèque ∖ Modèles standards. Éditer le régulateur:
– ’Nom’ = «pcu_PP1_G1»
– ’Paramètres’:
* Tw = 0,1 s (le reste des paramètres garde sa valeur par défaut).
– Presser OK.
• Vérifier que «pcu_PP1_G1» a été ajouté dans la rainure ’pcu Slot’ dans la table «Définition de
rainure» de «Plant_PP1_G1» et presser OK.
Tr 0.01 s
Ka 150 p.u.
Ta 0.025 s
Ke 1.5 p.u.
Te 0.4 s
Kf 0.001 p.u.
Tf 0.1 s
E1 4 p.u.
Se1 1.5 p.u.
E2 6 p.u.
Se2 2.5 p.u.
Vrmin -7 p.u.
Vrmax 7 p.u.
• Presser OK.
• Presser OK.
• Cliquer sur le générateur «PP1_G2» et choisir Définir → Gouverneur et Turbine (gov).
• Sélectionner le même gouverneur ’gov_HYGOV’ et utiliser les mêmes paramètres que pour le
générateur G1. Le nommer: «pcu_PP1_G2»
• Vérifier que «pcu_PP1_G2» a été ajouté dans la rainure ’pcu Slot’ dans la table «Définition de
rainure» de «Plant_PP1_G2» et presser OK.
Cette dernière étape conclut la définition du modèle de la centrale. Nous pouvons à présent réaliser
une analyse transitoire.
Nous allons maintenant tester le comportement des générateurs contrôlés en simulant un défaut monophasé
sur une des lignes connectant la centrale avec le réseau de transport. Le défaut sur la ligne résulte
en l’ouverture et la fermeture de la phase en défaut et, comme le défaut n’est pas éliminé, en la
déconnexion permanente de la centrale.
Pour définir le court-circuit sur la ligne «L_pp1a» et la séquence de manœuvres, il faut définir le court-
circuit et les événements de commutation qui vont finalement isoler la ligne.
Les événements, comme tous les autres éléments de PowerFactory, sont des objets de différentes
classes (suivant le type d’événement) qui peuvent être édités dans le gestionnaire de données. La
manière la plus aisée pour définir des événements de simulation est de calculer les calculer les condi-
tions initiales et de créer ensuite les événements en cliquant droit sur les objets.
Il faut noter qu’aucun dispositif de protection n’est utilisé dans cet exemple.
Avant de lancer l’analyse, les statuts des opérations internes (variables d’état et internes) des machines,
régulateurs et autres modèles dynamiques qui affecte la simulation temporelle doivent être calculés sur
base d’un flux de puissances.
La commande ’Calculer les conditions initiales’ ( ) permet de déterminer les paramètres de la simula-
tion et de calculer les conditions initiales (initialiser la simulation). Nous allons exécuter une simulation
RMS déséquilibrée, qui s’utilise normalement pour analyser le comportement des systèmes de contrôle.
• Sélectionner la barre d’outils «RMS/EMT Simulation» (c’est normalement la barre d’outils par
défaut).
Événement de court-circuit:
• Cliquer droit sur «L_pp1a» et sélectionner Définir → Evénement de court-circuit... Cela crée un
nouvel événement (EvtShc) et ouvre son dialogue.
• Editer les nouveaux événements:
– Temps d’exécution = 0,0 s
– Type de défaut = monophasé à la terre
– Phase = a
– Résistance de défaut = 0,0 Ohm
– Réactance de défaut = 0,0 Ohm
• Presser le bouton Editer du champ Objet ( ). Le dialogue de la ligne apparaît.
Les événements sont sauvegardés dans le cas d’étude actif dans un dossier ’Événements de simula-
tion’ ( ); on peut les éditer à partir de ce dossier.
L’option Court-circuit sur ligne doit être configurée pour préparer le calcul pour une ligne avec un
événement de court-circuit. Cela insère un nœud interne de calcul à la position du défaut. Si on
modifie cette option, il faut réinitialiser la simulation .
Événements de commutation:
Cliquer à nouveau sur et presser Execute - nous allons maintenant créer les événements de
commutation:
• Cliquer droit sur l’interrupteur du haut de la ligne «L_pp1a» et choisir Ouvrir (ou double-cliquer
sur l’interrupteur). Cela crée un événement de commutation (EvtSwitch).
• Configurer les données suivantes dans les données de base:
– Temps d’exécution = 0,2 s
– Action = Ouvrir
– Toutes les phases = désactivé
– Phase b et c = désactivé
– Phase a = activé
• Répéter la même procédure avec l’interrupteur du dessous. Il faut bien s’assurer que l’interrupteur
correct est sélectionné! Si on ne clique pas droit sur l’interrupteur mais sur la ligne, un événement
pour l’interrupteur du haut apparaît automatiquement.
• Cliquer droit sur l’interrupteur et choisir Ouvrir.
• Configurer les données suivantes dans les données de base:
Si aucune information détaillée de l’événement n’est visible dans l’explorateur, presser le bouton Mode
de détail ( ). Attention, seuls les éléments de la même classe sont visibles en mode détaillé.
Pour générer des graphiques, il faut définir des variables qui seront enregistrées durant la simulation.
PowerFactory possède des milliers de variables qui peuvent être stockées et analysées. Cependant,
les stocker toutes prendrait beaucoup de temps et d’espace disque et rendrait la sélection pour les
graphiques très difficile.
La solution est de sélectionner un nombre de variables avant la simulation. Ceci se fait en créant des
’Ensembles de variables’ pour chaque élément du réseau à analyser. Le gestionnaire du tutoriel a
déjà défini pour l’utilisateur une série de ces ensembles (pour le générateur «PP1_G1», les terminaux
«Trm_G1» et «Trm_G2» et pour la ligne «L_pp1a»). Il faut à présent en créer un pour le générateur
«PP1_G2».
Pour ce projet, les ’Ensembles de variables’ sont sauvegardés dans le cas d’étude «Case 1» dans un
dossier «Résultats». Ces objets sont de la classe ’IntMon’.
Il faut noter que lorsqu’on définit un ensemble de variables pour un élément (comme au pas précédent),
un nouvel ensemble de variables vide pour cet élément est créé dans le dossier «Résultats».
• Double-cliquer sur l’icône de «PP1_G2» dans le dossier «Résultats» pour éditer cet ensemble de
variables. Le dialogue de l’ensemble de variables apparaît, semblable à celui de la Figure J.2.
• Aller à l’onglet Simulation RMS.
• Dans le champ «Filtrer pour», sélectionner «Courants, Tensions et Puissances» du menu Ensem-
ble de variables.
• Sélectionner «bus1:A» à partir du menu «Nom du bus».
• Sélectionner la variable:
I:bus1:A kA Courant de phase, Amplitude
• Presser pour déplacer les variables vers le panneau de droite.
• Sélectionner «Nom du bus» = «bus1:B»
• Sélectionner la variable:
I:bus1:B kA Courant de phase, Amplitude
• Presser pour déplacer les variables dans le panneau de droite.
• Sélectionner «Nom du bus» = «bus1:C»
• Sélectionner la variable:
I:bus1:C kA Courant de phase, Amplitude
• Presser pour déplacer les variables dans le panneau de droite.
• Sélectionner «Ensemble de variables» = «Signaux»
• Sélection multiple des variables
psie - p.u. Flux d’excitation
vitesse - p.u. Vitesse
ve - p.u. Tension d’excitation
Pendant la simulation, toutes les variables définies dans les ensembles de variables sont sauvegardées
dans le fichier de résultats (Section J.3). Ce fichier est utilisé pour définir des graphiques et autres types
d’instruments virtuels (VI). Un instrument virtuel est un outil pour afficher des résultats. L’usage le plus
fréquent est l’affichage des résultats d’une simulation RMS ou EMT en définissant des courbes donnant
l’évolution des variables choisies. Ces courbes montrent l’évolution des variables en fonction du temps.
Cette partie du tutoriel introduit certaines caractéristiques des instruments virtuels pour visualiser les
résultats d’une simulation. Plus d’informations sur ces outils performants peuvent être trouvées dans le
manuel de l’utilisateur.
Avant de réaliser une simulation et de générer des graphiques, il est important de faire la distinction
entre instruments virtuels, panneau d’instrumentation virtuelle et diagrammes:
• Le panneau d’instrumentation est une page du panneau graphique actif sur lequel différents
diagrammes ou graphiques sont affichés. Il stocke les informations de base des instruments
virtuels.
• Les Instruments virtuels affichent les résultats d’une ou plusieurs variables de différentes manières
(diagrammes, diagrammes de barres, diagrammes vectoriels, etc.). Chaque VI d’un panneau peut
être configuré individuellement. Les instruments virtuels s’affichent dans le panneau d’instrumentation
virtuelle.
• Le Diagrammes sont une des nombreuses manières de représenter l’information dans un VI. Les
diagrammes montrent toutes sortes de variables en fonction du temps. Ils peuvent être utilisés
de différentes manières (sous-diagrammes, avec deux axes y, diagrammes X-Y, FFT). Dans ce
tutoriel, nous utiliserons les sous-diagrammes.
La barre d’outils principale présente deux icônes: une pour lancer ( ) et l’autre pour arrêter ( ) la
simulation.
La simulation est maintenant lancée. La fenêtre de sortie donne des informations au sujet des événe-
ments traités et quand ils sont traités. Les graphiques prédéfinis (dans le panneau d’instrumentation
virtuel «Generators») commencent à afficher des résultats.
Tous les diagrammes peuvent être automatiquement mis à l’échelle en x et en y pour une meilleure
visualisation en cliquant sur et . On peut également agrandir une zone en x ou en y à l’aide des
boutons Zoom axe x ( ) et Zoom axe y ( ).
• Ouvrir (si pas déjà ouvert) le panneau d’instrument virtuelle «Generators» et cliquer sur «ajouter
nouveau VI»( ).
• Dans le dialogue, sélectionner Subplot (Visplot).
• Entrer le nombre de diagrammes désirés (dans ce cas,2).
• Cliquer sur pour grouper les diagrammes par paire (ou sur pour les ranger verticalement).
• Double-cliquer sur le premier sous-diagramme vide (ou inférieur gauche) pour ouvrir son dialogue
et définir les variables à afficher.
• Dans le champ «Courbes» (bas du dialogue), double-cliquer sur un case Élément vide. Un
explorateur listant les éléments avec les ensembles de variables définis apparaît (Figure J.3).
Double-cliquer sur PP1_G2.
Dans le dialogue du sous-diagramme, double cliquer sur une case «variable» vide. Dans la liste
qui apparaît (correspondant à la liste définie dans l’ensemble de variables, voir Section J.3), choisir
«s:speed» (Figure J.4).
• Pour changer la couleur, double-cliquer sur la case de la colonne «Couleur». Le style de trait et
son épaisseur sont également configurables.
• Presser Ok pour visualiser le diagramme nouvellement défini. Si requis, utiliser pour une
meilleure visualisation.
• Suivre la même procédure pour ajouter la puissance de la turbine «s:pt» de PP1_G2 dans l’autre
sous-diagramme.
On peut modifier le diagramme et ajouter de nouvelles variables. Pour illustrer cette fonctionnalité,
nous allons représenter les puissances active et réactive du générateur «PP1_G2», dans le diagramme
inférieur droit:
• Cliquer droit sur le numéro de la courbe et choisir «Ajouter ligne» dans le menu contextuel
(Figure J.5). Une nouvelle ligne apparaît, permettant de définir une seconde variable.
• Suivre les instructions de la Section J.4.2 pour définir une nouvelle courbe représentant la puis-
sance réactive du générateur «PP1_G2» («s_Q1»). Le diagramme devrait être semblable à celui
de la Figure J.6 (pour les 10 premières secondes).
Modifier les diagrammes existants pour montrer les variables suivantes, qui sont importantes pour
analyser le comportement d’une centrale électrique pendant un court-circuit. Vous pouvez aussi sélec-
tionner plusieurs variables à la fois. Une ligne sera ajoutée pour chacune des variables sélectionnées.
Dans cette section, nous allons créer un nouveau panneau d’instrumentation virtuelle pour représenter
les courants de court-circuit et les tensions aux bornes de générateurs et de la ligne «L_pp1a». Le
gestionnaire du tutoriel a déjà défini les ensembles de variables pour ces éléments. Pour créer un
nouveau panneau d’instrumentation virtuelle (Panneau):
• Cliquer sur le bouton «’Insérer un nouveau graphique» ( ) dans la barre d’outils et sélectionner
Panneau d’instruments virtuels.
• Créer 4 sous-diagrammes dans la nouvelle page vide comme indiqué en J.4.2 ( ).
• Dans le troisième sous-diagramme, afficher les tensions ligne-terre par unité au terminal «Trm_-
G1» (m:u:A, m:u:B, m:u:C).
• Dans le dernier sous-diagramme, afficher les courants de court-circuit dans la ligne «L_pp1a»
(m:i:bussch:A, m:i:bussch:B, m:i:bussch:C).
Vous pouvez ajuster la représentation des diagrammes définis à l’aide des fonctions d’échelle et de
zoom.
Comme pour les autres exercices, il est possible de générer une solution complète à l’aide du gestion-
naire du tutoriel. Comme cet exercice conclut le tutoriel, il n’y a théoriquement pas besoin de correction
pour préparer l’exercice suivant. Néanmoins, il est possible de créer, à l’aide du gestionnaire du tutoriel,
une solution exemple du tutoriel complet. Cela peut être utile si l’utilisateur a rencontré des difficultés
lors des exercices.
• Aide → Démarrer tutoriel. . . dans le menu principal pour ouvrir le gestionnaire du tutoriel.
• Montrer exemple de solution (incluant tous les exercices)
Cet exercice conclut le tutoriel. Les sujets traités dans ce tutoriel sont suffisants pour une brève
introduction aux caractéristiques de base et à la terminologie de l’environnement PowerFactory. Les
nouveaux utilisateurs sont invités à renforcer ces acquis et à découvrir d’autres aspects spécifiques en
parcourant les exemples fournis dans cette aide. Le Manuel de l’utilisateur et les Références techniques
fournissent toutes les informations nécessaires pour profiter pleinement des remarquables caractéris-
tiques de PowerFactory. La section B.1 fournit des informations sur toutes les sources disponibles de
tutoriels, documentation, offres de formation et canaux d’assistance.
Introduction, 80
Objet Branche, 49
Objets pertinents pour le calcul, 61
Power Factory
Fermer et redémarrer, 17
Projet
Créer, 14
Terminaux
Créer, 20
Tutoriel
Créer le projet, 13, 14
Variables de résultat, 89
Définir, 89