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2ème Bac Sciences maths Session de Rattrapage 2018
4 heures *** Page : 1/2 *** Coef : 10
Exercice .1 Site : maths-inter.ma -Bac Sm -2018 – Ss2
On rappelle que (C,  , ) est un corps commutatif et (M2 (IR) , , ) est un anneau unitaire dont le zéro est la
matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I et que (M2 (IR) , , .) est un espace vectoriel réel.
x y
Pour tout couple (x, y)  IR , on pose M( x, y)   
2
 0 x

On considère l’ensemble E  M( x, y)/ ( x, y)  IR
2

1) Montrer que E est un sous-groupe du groupe (M2 (IR) ,  )
2) a) Montrer que E est un sous-espace vectoriel de l’espace vectoriel (M2 (IR) , , .) .
b) Montrer que dim E  2
3) a) Montrer que E est une partie stable de (M2 (IR) , )
b) Montrer que (E ,  , ) est un anneau commutatif.
4) On définit sur M2 (IR) la loi de composition interne " T" par :
(x, y)  IR (x', y' )  IR 
2
; M(x, y )TM (x' , y' )  M(x, y )TM (x' , y' )  M(y,0)TM (y' ,0)
2
Soit  l’application de C vers M2 (IR) définie par :

*
 
( x, y )  IR 2  (0,0) ; ( x  iy )  M( x, y )
a) Montrer que E est une partie stable de ( E , T )
b) Montrer que  est un homomorphisme de (C* , ) vers (M2 (IR) , )
c) En déduire que (E* , ) est un groupe commutatif.
5) a) Montrer que la loi " T" est distributive par rapport à la loi "" dans E .
b) (E ,  , T) est un corps commutatif.
 z  2i 
1) Pour tout nombre complexe non nul z différent de i on pose : h( z )  i 
 zi 
a) Vérifier que : h( z )  z  z 2  2iz  2  0
b) Résoudre dans C l’équation : (E) : z 2  2iz  2  0
2) le plan complexe est rapporté au repère orthonormé direct O , e1 , e2  
On désigne par a et b les solutions de l’équation (E) tels que Re(a)  1
Soit z un nombre complexe différent de i de a et de b et les points M ( z ) , M' (h( z )) , A(a ) et B(b ) .
 
h( z )  a z  a
a) Montrer que :  . b) En déduire que : (M'B , M' A )    (MB , MA ) 2
h( z )  b z  b
3) a) Montrer que si les points M , A et B sont alignés alors les points M , A et B et M' sont alignés.
b) Montrer que si les points M , A et B ne sont pas alignés alors les points M , A et B et M' sont
Cocycliques.
On lance une pièce de monnaie en l’air 10 fois de suite.

Soit X la variable aléatoire qui associe à chaque résultat possible, la fréquence d’apparition de « Pile »
( c’est-à-dire le nombre de fois d’apparition de « Pile » divisé par 10 »
1) a) Déterminer les valeurs possibles de la variable X .
 1
b) Calculer la probabilité de l’événement :  X   .
 2
9
2) Calculer la probabilité de l’événement : X est supérieur ou égal .
10
http://www.maths-inter.ma/ 08/08/2018 Réalisé par : Ammari Simo Ex-Inspecteur Principal de maths ammari1042@gmail.com 06 49 11 33 23
4 heures *** Page : 2/2 *** Coef : 10
Soit la fonction f définie sur l’intervalle  0 ,    par: f (0)  0 et f ( x)  x ln x  (x  0)

2
Cf  est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé O ; i ; j  unité 2 cm.

1) a) Montrer que la fonction f est continue à droite au point 0. 0,5 pts
f ( x)
b) Calculer lim f ( x) et lim , puis interpréter géométriquement le résultat obtenu. 0,75 pts
x   x   x
2) a) Etudier la dérivabilité de f à droite au point 0 , puis interpréter géométriquement le résultat obtenu.

0,75 pts
b) Montrer que f est dérivable sur l’intervalle  0 ,    et calculer f ' ( x ) pour tout x  0 . 0,75 pts
2
 4
c) Etudier les variations de f sur  0 ,    , en déduire que : x   0 , 1 ; 0  x ln x     .
2
1 pts
e
d) Construire la courbe Cf  dans le repère O ; i ; j   0,5 pts
1
3) Pour tout x  0 , on pose : F(x)  x f (t )dt
a) Montrer que la fonction F est dérivable sur  0 ,    . 0,5 pts

b) Calculer F' ( x) pour tout x  0 . En déduire les variations de F sur  0 ,    . 1 pts
t ln t dt pour tout x  0 .

1
4) a) En utilisant une intégration par parties, calculer : I( x)   0,75 pts
x
b) Montrer que pour tout x  0 : F( x)   x x ln x  x x ln x 

2 8 16 16
x x
2
0,75 pts
3 9 27 27
c) En déduire, en cm 2 , l’aire du domaine délimité par la courbe Cf  et les droites d’équations
respectives x  0 , x  1 et y  0 . 1 pts
1
5) Pour tout entier naturel non nul n , on pose : U n  1 f ( x )dx
n
a) Montrer que la suite (Un )n1 est bornée et strictement croissante. 1 pts
b) Montrer que la suite (Un )n1 est convergente et calculer lim Un . 0,25 pts
n  
Bon Courage
‫الصفحة‬
4
1
‫االمتحان الوطني الموحد للبكالوريا‬
**I 2020 ‫الدورة االستدراكية‬
– ‫ الموضوع‬-
SSSSSSSSSSSSSSSSSSSS RS 25
4 ‫مدة اإلنجاز‬ ‫الرياضيات‬ ‫المادة‬
9 ‫المعامل‬ )‫شعبة العلوم الرياضية (أ) و (ب) (الترجمة بالفرنسية‬ ‫الشعبة أو المسلك‬
 La durée de l’épreuve est de 4 heures.

 L‘épreuve comporte (4) pages numérotées de 1/4 à 4/4
 L’épreuve est composée de quatre exercices indépendants entre eux.
 Le candidat doit traiter EXERCICE3 et EXERCICE4 et choisir de
traiter EXERCICE1 ou bien EXERCICE2.
 Le candidat doit traiter au total trois (3) exercices :
EXERCICE1 qui concerne l’arithmétique (au choix)...........................3.5 points

- ou bien
EXERCICE2 qui concerne les structures algébriques (au choix)…3.5 points
- EXERCICE3 qui concerne les nombres complexes (obligatoire)…..3.5 points
- EXERCICE4 qui concerne l’analyse (obligatoire)……………..................13 points
L’usage de la calculatrice est strictement interdit
Tu choisis de traiter EXERCICE1 ou bien EXERCICE2

Tu traites obligatoirement EXERCICE3 et EXERCICE4
EXRECICE1 :(3.5points/au choix)
Si tu choisis de traiter EXERCICE1 il ne faut pas traiter EXERCICE2
Soient p et q deux nombres premiers vérifiant : p < q et 9 p+ q- 1 º 1 [pq ]
0.5 1-a) Montrer que p et 9 sont premiers entre eux.

1 b) En déduire que : 9 p- 1 º 1 [p ] et que 9q º 1 [p ]
0.5 2-a) Montrer que p - 1 et q sont premiers entre eux.

1 b) En utilisant le théorème de BEZOUT, montrer que : p = 2
‫الصفحة‬
2 RS 25 ‫ – الموضوع‬2020 ‫ الدورة االستدراكية‬- ‫االمتحان الوطني الموحد للبكالوريا‬
4 )‫ شعبة العلوم الرياضية (أ) و (ب) (الترجمة بالفرنسية‬-‫ الرياضيات‬:‫ مادة‬-
0.5 3-a) En utilisant le théorème de FERMAT, montrer que : 9q- 1 º 1 [q ]
0.5 b) En déduire que : q = 5
EXERCICE2 : (3.5 points/au choix)

Si tu choisis de traiter EXERCICE2 il ne faut pas traiter EXERCICE1
On note Μ (¡ )l’ensemble des matrices d’ordre 3 à coefficients réels.
3
( )
On rappelle que Μ3(¡ ),+ ,× est un espace vectoriel réel de dimension 9 et que Μ3(¡ ),+ ,´ ( )
æ0 0 0÷ ö æ1 0 0÷ ö
çç ÷ çç ÷
est un anneau non commutatif unitaire de zéro O = çç0 0 0÷ ÷ et d’unité I = çç0 1 0÷ ÷
çç ÷
÷ çç ÷
÷
÷ ÷
èç0 0 0÷ø èç0 0 1÷
ø
ìï æx - y - yö ü
ïï
ïï ççç ÷
÷ ï
ï
On considère le sous-ensemble : E = í M( x,y,z )= ç0 z 0÷÷/ ( x,y,z )Î ¡ ïý
3
ïï çç ÷
÷ ïï
÷
÷
ïîï èç y x- z x ø ïþ
ï
Première partie :
0.25
1- a) Montrer que E est un sous-espace vectoriel de Μ3(¡ ),+ ,× ( )
0.5 b) Déterminer une base de (E,+ ,×)
0.25 2- a) Vérifier que :
" (x, y,z )Î ¡ 3 , " (x', y',z' )Î ¡ 3
; M( x, y,z )´ M( x', y',z') = M( xx' - yy',xy' + yx',zz')
0.5 b) Montrer que (E,+ ,´ ) est un anneau commutatif
Deuxième partie :
On considère le sous-ensemble F de E des matrices de la forme M ( x, y, 0 ) où (x, y )Î ¡ 2
0.25 1- Montrer que F est un sous-groupe du groupe (E,+ )

2- On note j l’application de £ * vers E définie par :
" ( x, y ) Î ¡ 2
; j ( x + iy ) = M( x, y, 0 )
0.25 a) Montrer que j est un homomorphisme de (£ * ,´ ) vers (E,´ )
0.5 b) En déduire que (F * ,´ ) est un groupe commutatif. ( F * désigne F - {O} )
0.5 c) Montrer que (F ,+ ,´ ) est un corps commutatif dont on précisera l’unité.
æ0 1 0÷ ö
çç ÷
0.25 3- a) Vérifier que : (" M (x, y,0)Î F) ; çç0 0 0÷ ÷´ M( x, y, 0 ) = O
çç ÷
÷
÷
çè0 0 0÷
ø
0.25 b) En déduire qu’aucun des éléments du sous-ensemble F n’admet un inverse pour la
multiplication dans Μ (¡ )
3
‫الصفحة‬
EXERCICE3 :(3.5 points/obligatoire)

I- Soit m un nombre réel non nul.
On considère dans l’ensemble des nombres complexes £ , les deux équations :
(E) : z 2 + 2z + 1+ m2 = 0 et (F ) : z 3 + 2 (1- i )z 2 + (1 + m 2 - 4i) z - 2i (1 + m 2 ) = 0
0.5 1- Résoudre dans £ l’équation (E )
0.25 2- a) Montrer que l’équation (F ) admet une solution imaginaire pure que l’on déterminera.
0.5 b) Résoudre dans £ l’équation (F )
r r
II- Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé direct O;u,v ( )
On considère les deux points : A(- 1+ im) et B (- 1- im)
Soient W le milieu du segment [AB] , A' le milieu du segment [OB] et B' le milieu du
segment [OA]
æ pö
La rotation de centre W et d’angle çç- ÷ ÷ transforme A en P ( p), La rotation de centre A' et
çè 2 ø÷
æ pö æ p÷ ö
d’angle çç- ÷ ÷ transforme B en Q (q ) et La rotation de centre B' et d’angle çç- ÷
çè 2 ø÷ çè 2 ø÷
transforme O en R (r )
1- i
1.5 1- Montrer que : p = - 1 + m , q= (- 1- im) et r = q
2
0.25 2- a) Vérifier que : q - r = - ip
0.5 b) En déduire que : OP = QR et que les deux droites (OP) et (QR) sont orthogonales.
EXERCICE4 : (13 points/obligatoire)

Première partie :
On considère la fonction f définie sur l’intervalle I = [0,1] par f (x)= xln (2 - x)
rr
et soit (C ) sa courbe représentative dans un repère orthonormé O;i, j . ( )
x
0.75 1-a) Montrer que f est dérivable sur I et que : " x Î I ; f ' (x ) = ln (2 - x )-
2- x
0.5 b) Montrer que la fonction dérivée f ' est strictement décroissante sur I
a2
0.75 c) Montrer qu’il existe un unique réel a Î ]0;1[ tel que : f ' (a )= 0 et que f (a ) =
2- a
0.75 2-a) Etudier les variations de f , puis donner son tableau de variations.
0.5 b) Montrer que la courbe (C ) est concave.
0.5 c) Montrer que : (" t Î I ) , (" x Î I ) ; f (x) £ f ' (t )(x - t )+ f (t )
‫الصفحة‬
0.5 d) En déduire que : (" x Î I ) ;

f (x) £ xln 2 et f (x)£ - x + 1
r
0.5 3- Représenter la courbe (C ) (On prendra : i = 2cm )
4- Calculer, en cm 2 , l’aire du domaine plan limité par la courbe (C ) et les droites d’équations
0.75
respectives : x = 0 , x = 1 et y = 0
Deuxième partie :
Soit n un entier naturel supérieur ou égal à 2.
On considère la fonction f n définie sur I = [0,1] par : f n (x)= xn ln (2 - x)
0.5 1-a) Vérifier que f n est positive sur I et que f n (0)= f n (1)
0.5 b) Montrer qu’il existe au moins a n Î ]0,1[ tel que : f n' (a n )= 0
2- a) Montrer que f n est dérivable sur I et que : " x Î I; f n' (x)= xn- 1gn ( x ) où :
0.75 x
g n ( x ) = n ln( 2 - x ) -
2- x
0.5 b) Montrer que la fonction g n est strictement décroissante sur I
0.5 c) En déduire que a n est unique.
3- On considère la suite (a n )n³ 2 ainsi définie.
1 a nn+ 1
1 a) Montrer que : " n ³ 2; f n (a n ) = . , en déduire que : lim f n (a n )= 0
n 2- a n n® + ¥
b) Montrer que : " n ³ 2 gn ( a n+ 1 ) = - ln( 2 - a n+ 1 ) , en déduire que la suite (a n )n³ 2

1
est strictement croissante.
0.25 c) Montrer que la suite (a n )n³ 2 est convergente.
0.5 d) Montrer que lim a n = 1

n® + ¥
Troisième partie :
1
Pour tout entier naturel n ³ 2 , on pose : In = ò 0
f n (x )dx
0.75 1- Montrer que la suite (I n )n³ 2 est décroissante en déduire qu’elle est convergente.
1 1 x n+ 1
n + 1 ò0 2 - x
0.5 2- En utilisant une intégration par parties , montrer que : I n = dx
1
0.75 3- Montrer que : (" n ³ 2) ; 0 £ In £ , en déduire que lim I n = 0
n® + ¥
n+ 1
./.
‫الصفحة‬
5
1
‫االمتحان الوطني الموحد للبكالوريا‬
**I 2020 ‫الدورة العادية‬
– ‫ الموضوع‬-
SSSSSSSSSSSSSSSSSSSS NS 25
4 ‫مدة اإلنجاز‬ ‫الرياضيات‬ ‫المادة‬
9 ‫المعامل‬ )‫شعبة العلوم الرياضية (أ) و (ب) (الترجمة بالفرنسية‬ ‫الشعبة أو المسلك‬
 La durée de l’épreuve est de 4 heures.

 L‘épreuve comporte (5) pages numérotées de 1/5 à 5/5
 L’épreuve est composée de quatre exercices indépendants entre eux.
 Le candidat doit traiter EXERCICE3 et EXERCICE4 et choisir de traiter
EXERCICE1 ou bien EXERCICE2.
 Le candidat doit traiter au total trois (3) exercices :
EXERCICE1 qui concerne l’arithmétique (au

choix)......................................................3.5 points
- ou bien
EXERCICE2 qui concerne les structures algébriques (au
choix)…………………………..3.5 points
- EXERCICE3 qui concerne les nombres complexes

(obligatoire)……………………………..3.5 points
- EXERCICE4 qui concerne l’analyse

(obligatoire)……………...................................……..…13 points
L’usage de la calculatrice est strictement interdit
Tu choisis de traiter EXERCICE1 ou bien EXERCICE2

Tu traites obligatoirement EXERCICE3 et EXERCICE4
EXERCICE1 :(3.5 points/au choix)

(Si tu choisis de traiter EXERCICE1, il ne faut pas traiter EXERCICE2)
On considère dans ¢ ´ ¢ l’équation (D) : 7 x3 - 13 y = 5
1- Soit (x, y)Î ¢ ´ ¢ une solution de l’équation (D)
‫الصفحة‬
2 NS 25 ‫ – الموضوع‬2020 ‫ الدورة العادية‬- ‫االمتحان الوطني الموحد للبكالوريا‬
0.5 a) Montrer que x et 13 sont premiers entre eux.

0.5 b) En déduire que : x12 º 1 [13]
1 c) Montrer que : x3 º 10 [13]
0.5 d) En déduire que : x12 º 3 [13]
1 2- Déduire des questions précédentes, que l’équation (D)n’admet pas de solution dans ¢ ´ ¢
EXERCICE2 : (3.5 points/au choix)

(Si tu choisis de traiter EXERCICE2, il ne faut pas traiter EXERCICE1)
On note par Μ 2 (¡ ) l’ensemble des matrices carrées d’ordre deux.
æ1 0÷ö
On rappelle que (Μ 2 (¡ ),+ ,´ ) est un anneau non commutatif unitaire d’unité I = çç ÷
çè0 1÷
÷
ø
(
et que ¡ * ,´ ) est un groupe commutatif.
ìï æ1 x ö ü
On considère le sous-ensemble E de Μ 2 (¡ ) défini par : E = ïí ççç ÷/ xÎ ¡ et yÎ ¡ * ïïý .
÷
÷
÷
ïîï è0 yø ïþ
ï
0.5 1- a) Montrer que E est une partie stable de (M 2 (¡ ),´ )
0.5 b) Montrer que la multiplication n’est pas commutative dans E
æ - x÷ ö æ - x÷ ö
çç1 ÷ çç1 ÷
æ1 x ö ÷ ÷
y ÷ æ xö æ1 0ö
0.5
c) Vérifier que : (" x Î ¡ ) " y Î ¡ * ; çç ÷ ççç y ÷ çç
÷ ÷ çç1 ÷ çç ÷
( ) ÷´
÷
÷ çç
çè0 yø ÷
1 ÷
÷
= ç
çç ÷
1 ÷
÷
´
èç0
÷=
÷
÷
yø
÷
÷
÷
çè0 1ø
çç0 ÷
÷ çç0 ÷
÷
çè y ÷
ø èç y ÷
ø
0.5 2- Montrer que (E,´ ) est un groupe non commutatif.
ïì æ1 x- 1÷
ö * ïü
3- On considère le sous-ensemble F de E défini par : F = ïí M (x)= çç ÷
÷ / xÎ ¡ ïý
ïîï çè0 x ÷ø ïþ
ï
0.5
a) Montrer que l’application j définie par : " xÎ ¡ *( )
; j (x)= M (x) est un
homomorphisme de ¡ * ,´ ( ) vers (E,´ ) .

1 b) En déduire que (F ,´ ) est un groupe commutatif dont on précisera l’élément neutre.
EXERCICE3 :(3.5 points/obligatoire)

Soit m un nombre complexe non nul.
Première partie :
On considère dans £ l’équation d’inconnue z , (E ) : z3 - 2mz 2 + 2m2 z - m3 = 0
0.5 1- Résoudre dans £ l’équation (E ) ( On remarque que m est une solution de l’équation (E ) )
‫الصفحة‬
2- On note z1 et z 2 les deux autres solutions de l’équation (E ) autre que m

1 1 1
a) Vérifier que : + =
0.25 z1 z2 m
p
i
b) Dans le cas où m = 1 + e 3 , écrire sous la forme algébrique z1 et z 2
0.5
Deuxième partie :
r r
Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé direct O;u,v ( )
p p
i - i
On considère les points A et B d’affixes respectives a = me et b = me3 3
æp ö
On note P le centre de la rotation d’angle çç ÷
çè 2 ÷
÷ qui transforme O en A ,
ø
æp ö
Q le centre de la rotation d’angle çç ÷
çè 2 ÷
÷ qui transforme A en B
ø
æp ö
et R le centre de la rotation d’angle çç ÷
çè 2 ø÷
÷ qui transforme B en O
0.25 1- Montrer que les points O , A et B ne sont pas alignés.

7p 7p
1 2 i 12 2 - i
12
2-a) Montrer que l’affixe de P est p = m e et que l’affixe de R est r = m e
2 2
æ7p ö
b) Montrer que l’affixe de Q est q = m 2 sin çç ÷
0.5 çè 12 ø÷
÷
0.5 3- Montrer que OQ = PR et que les deux droites (OQ) et (PR) sont perpendiculaires.
EXERCICE4 :(13 points/obligatoire)

Première partie :
On considère la fonction f définie sur l’intervalle I = [0; + ¥ [ par :
æ 1ö
f (x ) = x3 ln çç1 + ÷
(" x Î ]0; + ¥ [)
f (0)= 0 çè x ÷
et ; ÷
ø
rr
et soit (C )sa courbe représentative dans un repère orthonormé O;i, j . ( )
r r
(On prendra i = j = 1cm )
0.5 1- On appliquant le théorème des accroissements finis à la fonction t a ln (t ) sur l’intervalle
1 æ 1ö 1
(" x Î ]0; + ¥ [) < ln çç1 + ÷<
[x,x + 1] , montrer que : (P ) çè x ÷
; ÷
x+ 1 ø x
0.5 2-a) En utilisant la proposition (P ) , montrer que la fonction f est dérivable à droite en 0
‫الصفحة‬
0.5 b) En utilisant la proposition (P ), montrer que la courbe (C ) admet une branche parabolique
dont on précisera la direction.
0.75 3-a) Montrer que la fonction f est dérivable sur ]0;+ ¥ [ et que :
æ æ ö
1÷ 1 ÷ ö
(" x Î ]0; + ¥ [) ; f ' (x)= 3x 2 çççln çç1+ ÷- ÷
÷
çè çè x÷
ø 3(1+ x)÷
ø
0.5 b) En déduire que la fonction f est strictement croissante sur I
(On pourra utiliser la proposition (P ))
0.25 c) Dresser le tableau de variations de f
f (x)
4- Pour tout x Î ]0; + ¥ [ , on pose : g (x) =
x
æ æ 1ö 1 ö ÷
a) Vérifier que : (" x Î ]0; + ¥ [) ; g' (x)= 2 x çççln çç1+ ÷
÷
÷- ÷
÷ , en déduire que la
0.75 ç
çè è x ø 2(1+ x)÷
ø
fonction g est strictement croissante sur ¡ *+
0.5 b) Montrer que l’équation g (x)= 1 admet sur ¡ *+ , une solution unique notée a
3
puis vérifier que a Î ]1; 2[ (On prendra ln 2 = 0.7 et ln = 1.5 )
2
0.5 c) En déduire que les seules solutions de l’équation f (x)= x sont 0 et a
0.5 5-a) Représenter graphiquement la courbe (C ).

(On précisera la demi-tangente à droite en O et la branche parabolique de (C ))
0.25 b) Montrer que f est une bijection de I vers I (On note f - 1 sa bijection réciproque)
Deuxième partie :
- 1
On considère la suite (un )n³ 0
définie par : 0 < u0 < a et (" n Î ¥ ) ; un+ 1 = f (un )
0.5 1- Montrer par récurrence que : (" n Î ¥ ) ; 0 < un < a
0.5 2-a) Montrer que : g (]0; a [) = ]0;1[
0.5 b) En déduire que la suite (un )n³ est strictement croissante.

0
0.25 c) Montrer que la suite (un )n³ 0 est convergente.
0.5 3- Déterminer lim un

n® + ¥
Troisième partie :
1
On considère la fonction F définie sur l’intervalle I par : (" x Î I ) ; F (x)= òx f (t )dt
0.5 1-a) Etudier suivant les valeurs de x , le signe de F (x)

‫الصفحة‬
0.5 b) Montrer que la fonction F est dérivable sur I et déterminer sa dérivée première F '
0.25 c) En déduire que F est strictement décroissante sur I
0.5 2-a) Montrer que : (" x Î [1; + ¥ [) ; F (x )£ (1- x )ln 2
0.25 b) En déduire lim F (x)

x® + ¥
0.5 3-a) En utilisant la méthode d’intégration par parties, montrer que :
ln 2 x 4 æ 1 ö 1 1 t3
(" x Î ]0; + ¥ [) ; F (x)= - ln çç1 + ÷÷+ 4 ò x t + 1 dt
÷
4 4 çè x ø
1 t3 t3 1
0.5 b) Calculer òx t+1
dt pour tout x Î ]0; + ¥ [ (On remarque que :
1+ t
= t 2 - t + 1-
1+ t
)
5 x3 x 2 x 1 x4 æ 1ö
c) En déduire que : (" x Î ]0; + ¥ [) ; F (x) = - + - + ln (1 + x )- ln çç1 + ÷
÷
0.5 24 12 8 4 4 4 è x÷ç ø
1
0.5 d) Calculer lim+ F (x ) , en déduire la valeur de
x® 0
ò0 f (t )dt
k = n- 1æ ö
4- Pour tout entier naturel non nul n , on pose : vn = å ççF æ ö
çç2k + 1÷
÷- F
æ ö÷
ççk ÷
÷÷
ç èç 2n ø ÷ çè n ø ÷
÷ø
k= 0 è
0.5 a) Montrer que pour tout n Î ¥ * et pour tout k Î {0,1,,,,,,,,,n - 1} :

1 æ2k + 1ö æ2k + 1ö æk ö÷ æk ö
- f çç ÷ ç ÷ ç £- 1 f çç ÷
2n çè 2n ø÷£ F èçç 2n ø
÷ ÷- F èçç n ø÷
÷ ÷ 2n
÷
èç n ø÷
0.5 1 k= n æk ö 1 k = n- 1 æ kö
(
b) En déduire que : " n Î ¥ * ) ; - å f çç ÷ ÷ £
÷ n v £ - å f çç ÷÷
÷
2n k= 1 çè n ø 2n k= 0 è n øç
2k + 1 k + 1
(On remarque que : < )
2n n
0.25 c) Montrer que la suite numérique (vn )nÎ ¥ * est convergente et déterminer sa limite.
FIN
./.
‫الصفحة‬
2 RS 24F
‫ – الموضوع‬2022 ‫ الدورة االستدراكية‬- ‫االمتحان الوطني الموحد للبكالوريا‬
5 ‫ خيار فرنسية‬- ‫ مسلك العلوم الرياضية – أ و ب‬-‫ الرياضيات‬:‫ مادة‬-
EXERCICE1 : (10 points)

0.25 A-1- Montrer que : (" x Î ¡ ) ; 1 + x £ e x
0.25 2-a) Montrer que : (" x Î ¡ +
) ; 0 £ 1 - e- x £ x
0.5 x2 x3
b) En déduire que : (" x Î ¡ ) ; 0 £ 1- x +
+
- e £
- x
2 6
0.5 1- x - e- x
1
c) Montrer que : lim+ 2
=-
x® 0 x 2
B- On considère la fonction f définie sur I = [0,+ ¥ [ par :
e- x - e- 2 x
f (0)= 1 et (" x Î ]0,+ ¥ [) ; f (x)=
x
rr
Et soit (C ) sa courbe représentative dans un repère orthonormé O;i, j ( )
0.5 1-a) Montrer que f est continue à droite en 0
0.25 f (x)- 1 1- 2 x - e- 2 x 1- x - e- x
b) Vérifier que : (" x > 0) ; = -
x x2 x2
0.5 c) En déduire que f est dérivable à droite en 0 et que le nombre dérivé à droite
æ 3 ö÷
en 0 est çç- ÷
è 2÷
ç ø
0.5 e- 2 x
2-a) Montrer que : (" x > 0) ; f ¢(x)= 2 (
2 x + 1- e x (1 + x))
x
0.5 b) Montrer que : (" x > 0) ; f ¢(x )£ - e- 2 x
(On pourra utiliser : 1+ x £ ex )
0.25 c) En déduire le sens de variations de f sur I
e- 2 x
3- On admet que : (" x > 0) ; 3 (
f ¢¢(x)=
- 4 x 2 - 4 x - 2 + e x (2 + 2 x + x 2 ))
x
0.25 x2
a) Montrer que : (" x ³ 0) ; 1 + x + £ ex
2
0.5 b) En déduire que : (" x > 0) ; f ¢¢(x)> 0
3
4-On admet que : lim+ f ¢(x)= -
x® 0 2
0.5 a) Montrer que : lim f ¢(x)= 0
x® + ¥
0.5 3
b) En déduire que : (" x Î I ) ; f ¢(x) £
2
‫الصفحة‬
3 RS 24F
0.5 5-a) Calculer lim f (x ) puis interpréter graphiquement le résultat obtenu.

x® + ¥
0.25 b) Dresser le tableau de variations de f

0.25 c) Déterminer la position relative de la courbe (C ) par rapport à sa demi-tangente
au point T (0;1)
rr
0.5 d) Représenter graphiquement la courbe (C ) dans le repère O;i, j ( )
C-1- Pour tout x de [0;1] , on pose : g (x)= f (x)- x
0.5 a) Montrer que g est une bijection de [0;1] vers un intervalle J que l’on
déterminera.
0.5 b) Montrer qu’il existe un unique réel a Î ]0;1[ tel que f (a )= a
2- Pour tout entier naturel non nul n et pour tout entier k Î {0;1........;n}, on
ka
considère les nombres réels xk = et on pose :
n
xk + 1 xk + 1
Ik = ò xk
f (t )dt et Jk = ò xk
f (xk )dt
0.5 3 xk + 1
2 òxk
a) Montrer que : " k Î {0;1........;n} ; Jk - Ik £ (t - xk )dt
0.5 3 æa ö
2
b) En déduire que : " k Î {0;1........;n} ; J k - I k £ çç ÷ ÷

÷
4 çè n ø
a
3- On pose : L= ò f (t )dt
0
0.5 a k = n- 1 æ ö
ka ÷ 3a 2
a) Montrer que pour tout n Î ¥ * : å ç ÷÷ f ç
n k = 0 çè n ø
- L £
4 n
0.25 a k = n- 1 æ ka ö
÷
a
b) En déduire que : lim
n® + ¥ n
åk= 0
f çç
çè n ÷
÷=
ø ò 0
f (t )dt
EXERCICE2 :( 3.5 points)

Soit m Î £ \ {- 1; 0;1}
I- On considère dans £ l’équation (Em ) d’inconnue z :
2
(Em ) : mz 2 - (m - 1)2 z - (m - 1) = 0
0.25 1-a) Montrer que le discriminant de l’équation (Em ) est : D = m - 1
2
( 2
)
0.5 b) Déterminer z1 et z 2 les deux solutions de l’équation (Em )
‫الصفحة‬
4 RS 24F
0.5 2) On prend uniquement dans cette question m = e , avec 0 < q< p

iq
Ecrire z1 et z 2 sous forme exponentielle.

r r
II- Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct (O,u,v) .
1
On considère les deux points A et B d’affixes respectives m - 1 et - 1
m
0.5 1- Montrer que les points O , A et B sont alignés si et seulement si m Î ¡
2- On suppose que m n’est pas un nombre réel.

p
Soient C l’image du point B par la rotation de centre A et d’angle et D l’image du
3
p
point A par la rotation de centre O et d’angle
3
et soient P(p ) , Q(q) et R (r ) les milieux respectifs des segments [AC ], [AD ] et [OB ]
0.5 æ1 ö i p3
ç ÷
a) Montrer que l’affixe du point C est : c = m - 1 + ç - m÷e
çèm ÷
ø
p
i
et que l’affixe du point D est : d = (m - 1)e 3
0.5 æ1 öæ ip ö
b) Montrer que : 2(p - r ) = m - 1 + ç ÷
÷
ççè - mø
ççe 3 -
÷ç 1÷
÷
÷
m çè ÷
ø
æ1i öp
et 2(q - r ) = (m - 1)e - çç - m÷
÷
÷
3
çèm ø
p
0.25 i
c) Montrer que : q - r = e 3 (p - r)
0.5 d) Quelle est la nature du triangle PQR ? (justifier votre réponse)
EXERCICE3 : (3.5 points)

On rappelle que (M 3 (¡ ),+ ,´ ) est un anneau unitaire non commutatif et non intègre
æ1 0 0÷ ö
çç ÷
d’unité I = çç0 1 0÷ ÷
÷ ( La loi ´ étant la multiplication usuelle des matrices)
çç ÷
÷
÷
çè0 0 1ø
æ 1 0 0ö ÷
çç ÷
Pour tout réel a on pose ( ) ç
M a = ç a + 1 3 - 1÷
÷
çç ÷
÷
÷
÷
çè2a + 3 6 - 2ø
et soit G = {M (a) / a Î ¡ }
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5 RS 24F
1- Soit j l’application de ¡ vers M 3 (¡ ) définie par : (" a Î ¡ ) ; j (a)= M (a)

0.5 a) Montrer que j est un homomorphisme de (¡ ,+ ) vers (M 3 (¡ ),´ )
0.5 b) Montrer que j (¡ )= G , en déduire que (G,´ ) est un groupe commutatif.
0.5 c) Déterminer J l’élément neutre dans (G,´ )
0.5 d) Déterminer l’inverse de M (a ) dans (G,´ )
e) Résoudre dans (G,´ ) l’équation : M (1)´ X = M (2)
0.5
0.25 2-a) Montrer que : (" a Î ¡ ) ; M (a)´ J = M (a)´ I
0.5 b) En déduire que pour tout a Î ¡ , M (a ) n’est pas inversible dans (M 3 (¡ ),´ )
æ 1 0 0ö÷
çç ÷
c) Vérifier que les matrices de la forme X = ç x + 2 3 0÷
ç ÷
÷ avec x Î ¡ , sont
0.25 çç ÷
èç3x + 5 6 1ø÷
÷
des solutions dans (M 3 (¡ ),´ ) de l’équation : M (1)´ X = M (2)
EXERCICE4 (3 points)
0.5 1- Montrer que 137 est un nombre premier.
0.5 2- Déterminer un couple (u,v) de ¢ 2 tel que : 38u + 136v = 2
3- Soit x Î ¢ tel que : x38 º 1 [137 ]
0.5 a) Montrer que x et 137 sont premiers entre eux.
0.5 b) Montrer que : x136 º 1 [137 ]
0.5 c) Montrer que : x 2 º 1 [137 ]
0.5 4- Résoudre dans ¢ l’équation (E ): x19 º 1 [137 ]
FIN
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‫ – الموضوع‬2022 ‫ الدورة العادية‬- ‫االمتحان الوطني الموحد للبكالوريا‬
EXERCICE1 :( 10 points)
1
0.25 A-1- Vérifier que : (" x Î ¡ +
) ; 0 £ 1- x + x 2 - £ x3
x+ 1
x 2 x3 x4
0.25 2- En déduire que : (" x Î ¡ +
) ; 0£ x-
2
+
3
- ln(1 + x)£
4
B- On considère la fonction f définie sur I = [0,+ ¥ [ par :
1 x - ln(1 + x)
f (0)= et pour tout x de ]0,+ ¥ [ ; f (x)=
2 x2
rr
et soit (C ) sa courbe représentative dans un repère orthonormé O;i, j ( )
0.5 1-a) Montrer que f est continue à droite en 0
0.5 b) Montrer que f est dérivable à droite en 0
0.5 c) Calculer lim f (x ) , puis interpréter graphiquement le résultat obtenu.

x® + ¥
g (x)
2-a) Montrer que : (" x Î ]0,+ ¥ [) ; f ¢(x)= -
x3
0.5
x
où g (x)= x + - 2 ln(1 + x)
x+ 1
0.5 b) Montrer que : (" x Î I ) ; 0 £ g ¢(x )£ x
2
x3
0.25 c) En déduire que : (" x Î I ) ; 0 £ g (x)£
3
0.25 d) Déterminer le sens de variation de f sur I
0.25 3-a) Dresser le tableau de variation de f
rr
b) Représenter graphiquement la courbe (C ) dans le repère (O;i, j )
0.5 r r
( On prendra i = 2cm et j = 2cm )
0.5 C-1- Montrer qu’il existe un unique réel a Î ]0;1[ tel que f (a )= a
2- On considère la suite (un )nÎ ¥ définie par :
1
u0 = et (" n Î ¥ ) ; un+ 1 = f (un )
3
0.5 a) Montrer que : (" n Î ¥ ) ; un Î [0;1]
æ1 ö
0.5 b) Montrer que : (" n Î ¥ ) ; un+ 1 - a £ ççç ÷÷÷un - a
è3 ø
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n
æ1 ÷ö
0.5 c) Montrer par récurrence que : (" n Î ¥ ) ; un - a £ ç
ççè ÷
3÷
ø
0.25 d) En déduire que la suite (un )nÎ ¥ converge vers a
1
D- Pour tout x Î I , on pose : F (x)= ò f (t )dt
x
0.5 1- Montrer que la fonction F est dérivable sur I et calculer F ¢(x) pour tout x Î I
0.5 2-a) En utilisant la méthode d’intégration par parties, montrer que :
æ 1ö
(" x Î ]0,+ ¥ [) ; F (x)= 2 ln 2 - çç1 + ÷
÷ln (1 + x )
çè x÷
ø
1
0.5 b) Calculer lim+ F (x) , puis en déduire que :
x® 0
ò 0
f (t )dt = 2 ln 2 - 1
0.5 c) Calculer en cm 2 , l’aire du domaine plan limité par la courbe (C ) , l’axe des
abscisses, l’axe des ordonnées et la droite d’équation x= 1
k+ 1
E- On pose : pour tout k de ¥ , D k = f (k )- òk f (t )dt
k = n- 1
et pour tout n de
*
¥ , Sn = å Dk
k= 0
0.25 1-a) Vérifier que : (" k Î ¥ ) ; 0 £ D k £ f (k )- f (k + 1)
0.5 1
b) En déduire que : (" n Î ¥ * ) ; 0 £ Sn £
2
0.25 2-a) Montrer que la suite (Sn ) est monotone.
nÎ ¥ *
0.25 b) En déduire que la suite (Sn )nÎ ¥ * est convergente.
0.25 3 1
c) Montrer que la limite l de la suite (Sn ) * vérifie : - 2 ln 2 £ l £
nÎ ¥ 2 2
EXERCICE2 :(3.5 points)

2p
1 3 i
Soit m un nombre complexe non nul donné et j = - + i= e 3
2 2
I- On considère dans l’ensemble £ l’équation d’inconnue z
(Em ) : z 2 + mj 2 z + m2 j = 0
0.5 1- Vérifier que : j 3 = 1 et 1 + j + j 2 = 0
0.25 2-a) Montrer que le discriminant de l’équation (E ) est : D = ém(1 - j )ù2
m ë û
0.5 b) Déterminer z1 et z 2 les deux solutions de l’équation (Em )
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0.5 3- Dans cette question, on suppose que : m = 1 + i

2022
Montrer que (z1 + z2 ) est un imaginaire pur.
r r
II- Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct O,u,v . ( )
Soit j la transformation du plan complexe qui à tout point M (z ) fait correspondre
le point M ¢(z ¢) tel que : z ¢= (1 + j )z
0.25 1- Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de l’application j
2- On considère les points A , B et C d’affixes respectives m , mj et mj 2
et on note A¢(a¢) , B¢(b¢) et C ¢(c¢) les images respectives des points A , B et C
par l’application j et soient P ( p ), Q(q) et R (r ) les milieux respectifs des
segments éëBA¢ù é ù é ù
û , ëCB¢û et ëAC ¢û
0.75 a) Montrer que : a¢= - mj 2 , b¢= - m et c¢= - mj
0.25 b) Montrer que : p + qj + rj 2 = 0
0.5 c) En déduire que le triangle PQR est équilatéral.
EXERCICE3 :( 3 points)
Soit n un entier naturel strictement supérieur à 1
n
On considère dans ¥ l’équation
2
(En ) : (x + 1) - x n = ny
Soit (x,y ) une solution de l’équation (En ) dans ¥ et soit p le plus petit diviseur
2
premier de n
0.25 1-a) Montrer que :
n
(x + 1) º xn [p ]
0.25 b) Montrer que p est premier avec x et avec (x + 1)
0.25 c) En déduire que :
p- 1
(x + 1) º x p- 1 [p ]
0.5 2- Montrer que si n est pair, alors l’équation  En  n’admet pas de solution dans
2
3- On suppose que n est impair.

0.5 a) Montrer qu’il existe un couple  u, v  de tel que : nu   p  1 v  1
2
(On rappelle que p est le plus petit diviseur premier de n )

0.25 b) Soient q et r respectivement le quotient et le reste dans la division euclidienne de u
par  p  1 . Vérifier que : nr  1   p  1 v  nq 
0.5 c) On pose : v¢= - (v + nq). Montrer que : v¢³ 0
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0.5 d) Montrer que l’équation  En  n’admet pas de solution dans

2
EXERCICE4 :( 3.5 points)

On rappelle que (M 2 (¡ ),+ ,´ ) est un anneau unitaire non commutatif d’unité
æ1 0÷ö
I = çç ÷ et que (¢ ,+ ,´ ) est un anneau commutatif unitaire et intègre.
÷
çè0 1ø
ìï æa 3bö÷ ü
2 ïï
Soit E = ïí M (a,b)= ç
ç ÷ / (a,b ) Î ¢ ý
ïîï çèb a ø÷ ïþï
0.25 1-a) Montrer que E est un sous-groupe de (M 2 (¡ ),+ )
0.25 b) Vérifier que pour tout a,b,c et d de ¢ , on a :

M (a,b)´ M (c,d )= M (ac + 3bd ,ad + bc)
0.5 c) Montrer que (E,+ ,´ ) est un anneau commutatif et unitaire.
2- Soit j l’application définie de E vers ¢ par :
" (a,b)Î ¢ 2 ; j (M (a,b)) = a 2 - 3b 2

0.5 Montrer que j est un homomorphisme de (E,´ ) vers (¢ ,´ )
3- Soit M (a,b)Î E
0.25 a) Montrer que M (a,b)´ M (a,- b)= (a 2 - 3b 2 ).I
0.5 b) Montrer que si M (a,b) est inversible dans (E,´ ) alors j (M (a,b)) = 1
0.5 c) On suppose que j (M (a,b)) = 1 .
Montrer que M (a,b)est inversible dans (E,´ ) et préciser son inverse.

0.25 4-a) Montrer que : " (a,b)Î ¢ 2 ; j (M (a,b))= 0 Û a = b = 0
0.25 b) En déduire que l’anneau (E,+ ,´ ) est intègre.
0.25 c) Est-ce que (E,+ ,´ ) est un corps ? justifier votre réponse.
FIN
2ème Bac Sciences maths Session de Normale 2018
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
 x - 2y 
Pour tout couple (x, y)  IR , on pose M( x, y)   
2
 y x  2y 

2

2) a) Montrer que E est un sous-espace vectoriel de l’espace vectoriel (M2 (IR) , , .) .
b) On pose J  M( 0,1) . Montrer que (I, J ) est une base de l’espace vectoriel réel (E ,  , .)
4) Soit  l’application de C* vers M2 (IR) définie par :
 x  y 2y 
(x, y )  IR  (0,0)
2
( x  iy )  M( x  y , y )  
; 
  y x  y
a) Montrer que  est un homomorphisme de (C* , ) vers (M2 (IR) , )
b) On pose E*  E  0 . Montrer que : (C* )  E*
c) En déduire que (C* , ) est un groupe commutatif.
5) Montrer que (E ,  , ) est un corps commutatif.
Soit m un nombre complexe.

Partie I : On considère dans l’ensemble ₵ l’équation : (Em ) : z 2  (im  2)z  im  2  m  0
1) a) Vérifier que   (im  2i )2 est le discriminant de l’équation (Em )
b) Donner, suivant les valeurs de m , l’ensemble des solutions de l’équation (Em )
2) Pour m  i 2 , écrire les deux racines de l’équation (Em ) sous la forme exponentielle.
Partie II : le plan complexe est rapporté au repère orthonormé direct O , u , v  
On considère les points A ,  , M et M' d’affixes respectifs a  1  i ,   i , m et m'   im  1  i .

1) Soit R la rotation d’angle  qui transforme M en M' .
2
a) Vérifier que  est le centre de la rotation R .
b) Déterminer l’affixe b de B , où B est le point tel que A  R(B ) .
a
2) a) Vérifier que : m'a  (m  b) .
b
b) En déduire que les points A , M et M' sont alignés si et seulement si les points A , B ,  et M sont
cocycliques.
c) Montrer que l’ensemble des points M tels que les points A , M et M' sont alignés est un cercle dont on
déterminera le centre et le rayon.
Soit p un nombre premier tel que p  3  4k ( k  IN ) .

*
1) Montrer que pour tout entier relatif x , si x 2  1 p alors xp  5  1 p

2) Soit x un entier relatif vérifiant : xp  5  1 p .
a) Montrer que x et p sont premiers entre eux.
b) Montrer que : xp 1  1 p .
c) Vérifier que : 2  (k  1)(p  1)  k (p  5)
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
d) En déduire que : x 2  1 p

3) Résoudre dans Z l’équation : x62  1 67
Partie :I
1) a) Montrer que: x   0 ,    ;

t x

0 1 t
dt  x  ln( 1  x) . 0,5 pts
b) On pose u 2  t Montrer que : x   0 ,    ; 

x t 1 x2 t
dt   du . 0,5 pts
0 1 t 2 0 1 u
x  ln( 1  x ) 1
c) En déduire que : x   0 ,    ;
1
  0,5 pts
2(1  x ) x2 2
x  ln( 1  x)
2) Déterminer lim . 0,25 pts
x0 x2
Partie :II
 x  1
Soit la fonction f définie sur l’intervalle  0 ,    par: f (0)  1 et f ( x)    ln( 1  x) ; (x  0)
 x 
Cf  est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé O ; i ; 
j .
b) Montrer que la fonction f est dérivable à droite au point 0. 0,5 pts

f ( x)
c) Calculer lim f ( x) et lim , puis interpréter géométriquement le résultat obtenu. 0,75 pts
x   x   x
x  ln( 1  x)
2) a) Montrer que f est dérivable sur l’intervalle  0 ,    puis vérifier que : f ' ( x)  0,75 pts
x2
b) En déduire que f est strictement croissante sur  0 ,    . 0,25 pts
c) Vérifier que : f 0 ,  1 , 0,5 pts
3) Construire la courbe Cf  et la demi-tangente à droite au point 0 dans le repère O ; i ; j   0,5 pts
Partie :II
1) On considère la fonction g définie sur  0 ,    par : g( x )  f ( x)  x
a) Montrer que : x   0 ,    ; 0  f ' (x)  . 0,5 pts

1
2
b) En déduire que g est strictement décroissante sur  0 ,    puis montrer que
g0 ,  -  ,1 . 0,5 pts
c) Montrer que l’équation f ( x )  x admet une solution unique  sur  0 ,    . 0,25 pts
2) Soit a un réel de l’intervalle  0 ,    .
Soit la suite (Un )n1 définie par: U0  a et n  IN ; Un 1  f (Un )
a) Montrer que : n  IN ; Un  0 . 0,25 pts
b) Montrer que : n  IN  ; Un  1   

1
Un   . 0,5 pts
2
n
1
c) Montrer par récurrence que : n  IN  ; U n      a   . 0,5 pts
 2
d) En déduire que la suite (Un )n1 converge vers a . 0,25 pts
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
x
On considère la fonction F définie sur IR par : F(x)   e t dt .
2
0
1) Montrer que la fonction F est continue et strictement croissante sur IR . 0,5 pts
2) a) Montrer que : x  0 ; F(x)  x , en déduire lim F( x ) 0,5 pts x 

0,5 pts
b) Montrer que F est impaire , en déduire lim F( x)
x  
c) Montrer que F est une bijection de IR vers IR . 0,5 pts

d) Montrer que la bijection réciproque G de la fonction F est dérivable enO, puis calculer : G' (0) 0,5 pts
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/2 *** Coef : 10
On rappelle que (C,  , ) est un corps commutatif et (M2 (IR) , , ) est un anneau unitaire non commutatif et
non intègre dont le zéro est la matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I et que (M2 (IR) , , .)
est un espace vectoriel réel.
 1 0  0 - 3  x - 3y 
On pose I    , J    et pour tout couple (x, y)  IR 2 , on pose M( x, y)   
 0 1 1 0  y x 

2

1) Montrer que E est un sous-espace vectoriel de (M2 (IR) , , .) de dimension 2 .
b) Montrer que (E ,  , ) est un anneau commutatif unitaire.
3) On pose E*  E  M(0,0) et on considère l’application  de C* vers E* définie par :
 
( x, y )  IR 2 ; ( x  iy )  M( x,
y
)
3
a) Montrer que  est un isomorphisme de (C* , ) vers (E* , )
b) En déduire que (E* , ) est un groupe commutatif.
c) Montrer que J 2017  ( 31008 3 ) puis déterminer l’inverse de J 2017 dans (E* , ) .
le plan complexe est rapporté au repère orthonormé direct O , e1 , e2  

1 1
Soit M le point d’affixe le nombre complexe non nul z et M' le point d’affixe z'  z  
2 z
1) Déterminer le nombre complexe z tel que les deux points M et M' soient confondus.
2) On suppose que le point M est différent des deux points A et B d’affixes respectifs 1 et  1 .
2
z'  1  z  1 
Montrer que : '   .
z 1  z 1
3) Soit ( ) la médiatrice du segment AB  .
Montrer que : Si le point M appartient à ( ) , alors le point M' appartient à ( ) .
4) Soit ( ) le cercle dont l’un des diamètres est le segment AB  .
Montrer que : Si le point M appartient à ( ) , alors le point M' appartient à ( AB ) .
Un sac contient 2n boules ( n  IN ) indiscernables au toucher.

*
n Boules blanches et n boules noires

Un jeu consiste à tirer une boule du sac , enregistrer sa couleur et la rendre au sac puis tirer une autre boule et
enregistrer sa couleur aussi. La loi du jeu est la suivante :
 Si les deux boules sont blanches, on gagne 20 points.
 Si les deux boules sont noires, on perd 20 points.
 Si les deux boules tirées ne sont pas de même couleur le gain est nul.
1) Calculer la probabilité de gagner 20 points, la probabilité de perdre 20 points et la probabilité d’un gain
nul.
2) On répète le jeu précédent cinq fois de suite .
a) Calculer la probabilité de gagner 100 points.
b) Calculer la probabilité de gagner 40 points.
3) On joue une seule fois. On considère la variable aléatoire X dont les valeurs sont : 20 , 0 , -20
a) Déterminer la loi de probabilité deX.
b) Calculer l’espérance mathématique E( X ) .
4 heures *** Page : 2/2 *** Coef : 10
Partie :I
Soit la fonction f définie sur l’intervalle I   0 ,    par: f (0)  1 et f ( x) 

Arc tan( x)
; (x  0)
x
1) Montrer que la fonction f est continue sur l’intervalle I . 0,5 pts
2) a) Soit x un élément de l’intervalle I , montrer que : x   0 , 1 ;

1 1
 1 0,5 pts
1 x 2
1  t2
b) Montrer que : x  0 ,    ;
x
 arctan( x)  x 0,5 pts
1  x2
c) Montrer que la fonction f est dérivable à droite au point 0. 0,75 pts
3) a) Sachant que la fonction f est dérivable sur  0 ,    Calculer f ' ( x) pour tout x   0 ,    . 0,5 pts
b) Etudier les variations de la fonction f sur l’intervalle I . 0,25 pts
Partie :II
1) Soit la fonction g définie sur I   0 ,    par : x  0 ,   ; g( x) 

1 x
x 0
f (t )dt et g( 0)  1
a) Montrer que : x   0 ,    ; f (x)  g(x)  1 . 0,5 pts
b) En déduire que g est dérivable à droite en 0. 0,75 pts
2) Montrer que g est dérivable sur  0 ,    et que : x  0 ,   ; g' ( x) 

1
(f ( x)  g( x)) . 0,75 pts
x
3) Montrer que g est strictement décroissante sur  0 ,    .
1 x 
a) Montrer que lim  f (t )dt  0 (On rappelle que x  0 ,   ; 0  arctanx  ) 0,75 pts
x   x 1 2
b) Calculer lim g( x ) 0,5 pts
x  
Partie :III
1) Montrer que l’équation g( x)  x admet une solution unique  sur  0 , 1  . 0,75 pts
x2
2) a) Vérifier que : x  0, ; 0  1 - f(x)  ( Voir la question I) 2) b) ) 0,5 pts
1  x2
b) Montrer que: x  0, ; g' (x)  0,75 pts
1
2
3) Soit la suite ( Un )n  0 définie par: U 0  IR et n  IN ; Un 1  g(Un )

a) Montrer que : n  IN  ; Un 1    Un   . 0,75 pts

1
2
b) Montrer que la suite ( Un )n  0 est convergente. 0,75 pts
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
On rappelle que (C,  , ) est un corps commutatif et (M 3 (IR) ,  , ) est un anneau unitaire non commutatif et
non intègre dont le zéro est la matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I et que (M 3 (IR) ,  , .)
1 0 0 a b  b
   
On pose A   1 1 0  et M(a, b )   0 0 0  et pour tout couple (a, b)  IR 2 .
1 1 1 b  a a 
  

On considère l’ensemble E  M(a, b)/ (a, b)  IR
2

1) Montrer que E est un sous-groupe de (M 3 (IR) ,  ) .
2) On définit sur M 3 (IR) la loi de composition interne " T" par :
(a, b)  IR (c, d)  IR 
2
; M(a, b)TM(c, d)  M(a, b)  A  M(c, d)
2
Montrer que E est une partie stable de (M2 (IR) , T)

3) On considère l’application  de C* vers E définie par :
(x, y)  IR 
; ( x  iy )  M( x, y ) et On pose E*  E  M(0,0)
2
a) Montrer que  est un homomorphisme de (C* , ) vers ( E , T ) et que (C* )  E* .

b) En déduire que (E* , T) est un groupe commutatif dont on déterminera l’élément neutre J .
4) a) Montrer que la loi T est distributive par rapport à la loi "" dans E .
b) En déduire que (E ,  , T) est un corps commutatif.
Soit m un nombre complexe non nul.

Partie I :
On considère dans l’ensemble des nombres complexes ₵ l’équation (Em ) d’inconnue z :
(E) : 2z 2  2(m  1  i )z  m2  (1  i )m  i  0
1) Vérifier que le discriminant de l’équation (Em ) est   ( 2im )2
2) Résoudre dans ₵ l’équation (Em ) .
Partie II :
le plan complexe est rapporté au repère orthonormé direct O , e1 , e2 .  
1 i 1 i
On suppose que m  C  0,1, i et on pose : z1  (m  1) et z 2  (m  i )
2 2
On considère les points A , B , M , M1 et M2 d’affixes respectifs 1 , i , m , z1 et z 2 .
1) a) Vérifier que : z1  iz 2  1
1 i 
b) Montrer que M1 est l’image de M2 par la rotation de centre  d’affixe   et d’angle .
2 2
z m m1
2) Vérifier que : 2 i
z1  m mi
3) Montrer que si les points M et M1 et M2 sont alignés , alors le point M appartient au cercle ( ) dont l’un
des diamètres est le segment AB  .
Déterminer l’ensemble des points M tels que les points  , M , M1 et M2 sont cocycliques.
z 
(remarquer que : 1 i )
z2  
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
On admet que le nombre 2017 est premier et que 2016  2 3 7

5 2
Soit p un nombre premier supérieur ou égal à 5 .

1) Soit le couple ( x, y ) de IN  IN tel que : px  y p 1  2017
* *
a) Vérifier que : p  2017 .

b) Montrer que : p ne divise pas y .
c) Montrer que : y p 1  1 p puis en déduire que p divise 2016 .
d) Montrer que : p  7
2) Déterminer, suivant les valeurs de p , les couple ( x, y ) de IN  IN vérifiant : px  y p 1  2017
* *
Partie :I
 1  - 1x
Soit la fonction f définie sur l’intervalle I   0 ,    par: f (0)  0 et f ( x)   1   e ; (x  0)
 x
Cf  est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé O ; i ; j unité 2 cm.  
b) Montrer que la fonction f est dérivable à droite au point 0. 0,5 pts
c) Montrer que f est dérivable sur  0 ,    , puis calculer f ' ( x ) pour tout x   0 ,    . 0,5 pts
2) a) Calculer lim f ( x) , puis interpréter analytiquement le résultat obtenu. 0,5 pts

x  
b) Dresser le tableau de variations de la fonction f . 0,25 pts
3) a) Montrer que la courbe Cf  admet un point d’inflexion A qu’on déterminera. 0,75 pts
b) Tracer la courbe Cf  ( On prendra f (1)  0,7 et 4e3  0,2 ) 0,5 pts
Partie :II
Soit la fonction F définie sur  0 ,    par : F(x)   f (t )dt .

1
1) Montrer que F est continue sur  0 ,    . 0,25 pts
2) a) En utilisant une intégration par parties, montrer que :

1 1 1
x  0 ,   ; x e t dt  e1  xe x  x 1 e t dt
1   1 
0,5 pts
t
1 1 
1
b) Déterminer :   1  e t dt pour tout x de  0 ,    0,25 pts
x
 t
1
 f (x)dx  e
1 0,5 pts
c) Montrer que :
0
3) Calculer en cm 2 l’aire du domaine délimité par la courbe Cf  et les droites d’équations respectives, x  0 ,
x  2 et y  0 . 0,5 pts
4) Soit la suite (un )n  0 définie par: n  IN ; un  F(n)  F(n  2)
a) En utilisant le théorème des accroissements finis, montrer que pour tout entier naturel n il existe un
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
 1  
1
nombre réel vn appartenant à l’intervalle n , n  2 tel que: un  2 1  e v n . 0,5 pts
 vn 
 
1 1
b) Montrer que : n  IN* ; 2 1  e n  un  2 1 
 1   n 1 2
n 2
e 0,25 pts
 n 
c) En déduire lim un 0,25 pts
n  
Partie :III
1

1) a) Montrer que pour tout n  IN* , il existe un réel an  IR * tel que : f (an )  e n 0,5 pts
b) Montrer que la suite (an )n 1 est croissante. 0,25 pts

 1

c) Vérifier que : n  IN*  ; -
1
 ln 1    
1
0,25 pts
an  an  n
2) a) Montrer que : t  0, ; 1 - t 

1
 1 - t  t2 0,25 pts
1 t
x2 x2 x3
b) Montrer que : x  0, ;    x  ln( 1  x)    0,5 pts
2 2 3
3) Soit n un entier naturel tel que n  4

3
a) Vérifier que : a4  1 , en déduire que : an  1 ( On admet que e 4  2 ) . 0,5 pts
2 2an2
b) Montrer que : 1 -  1 (Voir questions 3) a) et 3)b) de III ).
0,5 pts
3an n
n
c) Montrer que :  an (Voir questions 1) c) et 2)b) de III) ).
0,5 pts
6
En déduire lim an
n  
2
d) Déterminer lim an
n   n
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/2 *** Coef : 10

 x  2y 0 5y 
 
Pour tout nombre complexe z  x  iy avec ( x, y)  IR , on pose : M( z )   0
2
1 0 .
 y x - 2y 
 0
On considère l’ensemble E  M(z)/ z  C
1) On définit sur E la loi de composition interne " * " par :
 
z  C z'  C ; M(z) * M(z' )  M(z)  M(z' )  M(0)
Montrer que (E, * ) est un groupe commutatif.
z  C; (z)  M(z) et On pose E*  E  M(0,0)
a) Montrer que  est un homomorphisme de (C* , ) vers (E , ) et que (C* )  E* .
b) En déduire que (E* , ) est un groupe commutatif .
3) En déduire que (E , * , ) est un corps commutatif.
On considère dans l’ensemble des nombres complexes ₵ l’équation ( E ) d’inconnue z :
(E) : z 2  (1  3 )(1  i )z  4i  0
 2
1) a) Vérifier que D  ( 3  1)(1  i ) est le discriminant de l’équation ( E )
b) Ecrire sous forme exponentielle chacune des solutions de l’équation ( E )
2) le plan complexe est rapporté au repère orthonormé direct O , u , v  
On considère les points A et B d’affixes respectifs a  1  i 3 et b  3  i .
1
a) Montrer que l’ensemble ( D) des points M ( z ) tels que z  az est une droite passant par B .
2
b) Soient M et M deux points d’affixes respectifs z et z tels que z'  az  b et .
' '
b2 2
Montrer que : ' 
( z  b)( z  b) z  b 2

c) En déduire que la droite ( D) est la bissectrice de l’angle (BM , BM' )
Une urne U contient 8 boules indiscernables au toucher :

4 Boules rouges et 4 boules bleues
Une urne V contient 6 boules indiscernables au toucher :
2 Boules rouges et 4 boules bleues
On considère l’expérience suivante :
On tire au hasard une boule de l’urne U : Si elle est rouge, on la met dans l’urne V, puis on tire une boule de
l’urne V, Si elle est bleue, on la met à côté, puis on tire une boule de l’urne V.
On considère les deux événements :
R U : « la boule tirée de l’urne U est rouge »
B U : « la boule tirée de l’urne U est bleue »
R V : « la boule tirée de l’urne V est rouge »
B V : « la boule tirée de l’urne V est bleue »
1) Calculer la probabilité de chacun des événement : R U et B U .
4 heures *** Page : 2/2 *** Coef : 10
2) a) Calculer la probabilité de l’événement B V sachant que et l’événement R U est réalisé.

b) Calculer la probabilité de l’événement B V sachant que et l’événement B U est réalisé.
13
c) Montrer que p(B V )  . d) En déduire la probabilité de l’événement R V .
21
n est un entier naturel non nul.
On considère la fonction fn définie sur l’intervalle 0 ,   par: fn ( x)  ln( x) 
n
x
Cn  est la courbe représentative de fn dans un repère orthonormé O ; i ; j . 
1) a) Etudier les deux branches infinies de la courbe Cn  . 0,75 pts
b) Etudier les variations de la fonction f n sur 0 ,   puis dresser son tableau de variations. 0,75 pts
c) Construire la courbe C2  . 0,5 pts

2) Montrer que la fonction f n est une bijection de 0 ,   vers IR . 0,5 pts
3) a) Montrer que pour tout entier n  1 il existe un réel unique n  0, tel que : fn (n )  0 0,5 pts
b) Comparer fn (x) et fn1 ( x) pour tout x de 0 ,   0,5 pts

c) Montrer que la suite (n )n1 est strictement croissante . 0,5 pts
4) a) Montrer que : x  0 ; ln( x)  x 0,5 pts b) Montrer que : lim  n   0,5 pts
n  
1  n 1
n 1  n  n
5) Pour tout entier naturel non nul n on pose : In  fn (t )dt
a) Montrer que : n  IN*  cn  n , n 1  ; In  fn (cn ) 0,5 pts
b) Montrer que : n  IN *  ; 0  I n 

1 0,5 pts
n  1
c) Déterminer lim I n
n
Exercice .5 Bac National Sc maths - 2016 - Session : 2 3,5 points
n est un entier naturel tel que n  2 .

On considère la fonction g n définie sur l’intervalle n ,   par: gn ( x)  
1 x
dt
n ln t
1) a) Montrer que la fonction g n est dérivable sur n ,   puis déterminer sa fonction dérivée g 'n 0,5 pts
b) Montrer que la fonction g n est strictement croissante sur n ,   . 0,25 pts

 x 1
2) a) Montrer que x  n  ; gn (x)  ln . 0,5 pts
(On admet que: t  0 ; ln( 1  t )  t )
 n 1
b) En déduire que lim g n ( x) 0,25 pts
x  
3) a) Montrer que g n est une bijection de n ,   vers 0 ,   . 0,25 pts
b) En déduire que : n  2 !un  n  ; 

un 1
dt  1 . 0,5 pts
n ln t
4) On considère la suite numérique (Un )n 2 définie dans la question 3) b) .
a) Montrer que : n  2 ; 

u n 1 1 n 1 1
dt   dt 0,5 pts
un ln t n ln t .
b) En déduire que la suite (Un )n 2 est strictement croissante. 0,5 pts
c) Déterminer lim U n 0,25 pts
n  
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
 0 0 0  x  y 0  2y 
   
On pose A   0 1 0  et M( x, y )   0 0 0  et pour tout couple (x, y)  IR 2 .
 0 0 0  y x  y 
   0

On considère l’ensemble E  M( x, y)/ (x, y)  IR
2

1) Montrer que E est un sous-groupe de (M 3 (IR) ,  ) .
2) Vérifier que :
  
( x, y )  IR 2 ( x' , y' )  IR 2 ; M( x, y )TM ( x' , y' )  M( xx'  yy ' , xy'  yx' )
 
( x, y )  IR 2 ; ( x  iy )  M( x, y ) et On pose E*  E  M(0,0)
a) Montrer que  est un homomorphisme de (C* , ) vers (E , ) .
b) En déduire que (E* , ) est un groupe commutatif dont on déterminera l’élément neutre J .
5) a) Calculer A  M( x, y ) pour tout M ( x, y ) de E .
b) En déduire que tout élément de E n’admet pas de symétrique dans (M 3 (IR) , ) .
le plan complexe est rapporté au repère orthonormé direct O , u , v  

Soient les points M1 (z1 ) et M2 (z 2 ) deux points du plan tels que les points O , M1 et M2 sont non alignés et
2z 1 z 2
deux à deux distincts et M ( z ) le point d’affixe z vérifiant la relation : z 
z1  z 2
z  z z2
1) a) Montrer que : 1   1
z 2  z z1
b) En déduire que le point M appartient au cercle circonscrit au triangle OM1M2 .
2) Montrer que si z 2  z1 , alors le point M appartient à l’axe des réels.
3) On suppose que M2 est l’image de M1 par la rotation R de centre O et d’angle    0 ,   .
a) Calculer z 2 en fonction de z1 et de  .
b) En déduire que le point M appartient à la médiatrice du segment M1M2  .
4) Soit  un réel donné de l’intervalle  0 ,   .
On suppose que z1 et z 2 sont les solutions de l’équation : t  C ; 6t 2  (ei  1)t  (ei  1)  0 .
e i  1
a) Sans calculer z1 et z 2 , vérifier que : z  2
e i  1
b) Donner l’écriture trigonométrique du nombre complexe z en fonction de  .
Partie : I Soit le couple (a, b ) de IN  IN tel que le nombre premier 173 divise: a 3  b 3
* *
1) Montrer que : a171  b171 173 (remarquer que : 171  3  57 )

2) Montrer que 173 divise a si et seulement si 173 divise b
3) On suppose que 173 divise a , montrer que 173 divise a  b
4) On suppose que 173 ne divise pas a
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
a) En utilisant le théorème de Fermat, montrer que : a171  b171 173

b) Montrer que a171(a  b)  0 173
c) En déduire que 173 divise a  b
Partie : II On considère dans IN  IN l’équation suivante : (E) : x3  y 3  173(xy  1)
* *
Soit ( x, y ) un couple de IN  IN solution de l’équation ( E ) ; on pose x  y  173k tel k  IN *

* *
1) Vérifier que : k( x  y )2  (k  1)xy  1

2) Montrer que k  1 puis résoudre l’équation ( E ) .
Partie :I
t
1) En appliquant le théorème des accroissements finis à la fonction t  e , montrer que pour tout réel x
x
e 
strictement positif , il existe un réel  compris 0 et x tel que : 1  e x .
2) En déduire que :
xex
a) x  0 ; 1- x  e -x
b) x  0 ; x1 e x
c) x  0 ; 0  x x
e 1
Partie :II
Soit la fonction f définie sur l’intervalle  0 ,    par: f (0)  1 et f ( x)  xx e ; (x  0)
x
e 1
Cf  est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé O ; i ; j .  
b) Montrer que lim f ( x)  x   0 , pus interpréter graphiquement le résultat obtenu. 0,5 pts
x  
x2
2) a) Montrer que : x  0 ; x   e x  1 0,25 pts (voir I) 2) a))
2
x2 x3 x2 0,5 pts
b) En déduire que : x  0 ; x
  e  x1
2 6 2
x
f(x)  1 e  x  1
3) a) Vérifier que : x  0 ;  f ( x) 0,5 pts
x x2
f(x)  1 1
b) En déduire que : lim  0,75 pts
x0 x 2
4) a) Montrer que f est dérivable sur 0 ,   et que : x  0 ; f (x) 

' 
ex ex  1  x 
e  2 0,75 pts
x
1
b) Montrer que f est strictement croissante sur  0 ,    0,5 pts
(voir I) 2) b))
Partie :II
Soit la suite ( Un )n  0 définie par: U 0  0 et n  IN ; Un1  lnf (Un )

1) Montrer que : n  IN ; Un  0 . 0,5 pts
2) Montrer que la suite ( Un )n  0 est strictement décroissante. En déduire qu’elle est convergente. 0,5 pts
3) Montrer que 0 est la seule solution de l’équation lnf (x)  x en déduire la limite de la suite ( Un )n  0 0,5 pts
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
x 1
Soit la fonction F définie sur I  0 ,   par : F( x)  ln 2 t dt .
e 1
1) a) Etudier le signe de F ( x ) , pour tout x de I . 0,5 pts
b) Montrer que F est dérivable sur l’intervalle I et déterminer F' ( x ) , pour tout x de I . 0,5 pts
c) Montrer que F est strictement croissante sur l’intervalle I . 0,25 pts
2) a) En utilisant la nouvelle variable u  et  1 , montrer que pour tout x de I :

x 1 
ln 2
e 1 t
dt  2 arctan ex  1 
2
b) Calculer : lim F( x) et lim F( x) , pour tout x de I . 0,5 pts
x0 x  
3) a) Montrer que la fonction F est une bijection de l’intervalle I vers un intervalle qu’on déterminera. 0,25 pts
b) Déterminer la bijection réciproque F 1 de la bijection F
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/2 *** Coef : 10
Partie : I l’ensemble IR est muni d’une loi de composition interne " * " définie par :
 
( x, y )  IR 2 ; x * y  x  y  exy  1
1) a) Montrer que la loi * est commutative dans IR .
b) Montrer que la loi * admet un élément neutre qu’on déterminera.
2) Sachant que l’équation : (E) : 3  x  e2x  0 admet deux solutions distincts dans IR ,
Montrer que la loi * n’est pas associative.
Partie : II On rappelle que (C,  , ) est un corps commutatif et (M2 (IR) , , ) est un anneau unitaire dont le
zéro est la matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I et que (M2 (IR) , , .) est un espace
vectoriel réel.
 x - 2y 
 
Pour tout couple (x, y)  IR , on pose M( x, y)   y
2
x
2 
On considère l’ensemble F  M(x, y)/ ( x, y)  IR 
2
1) Montrer que F est un sous-espace vectoriel de l’espace (M2 (IR) , , .)

2) Montrer que F est une partie stable de (M2 (IR) , )
3) Soit  l’application de C* vers F définie par :
(x, y)  IR 2  ; (x  iy )  M(x, y)
a) Montrer que  est un homomorphisme de (C* , ) vers (F , )
b) On pose F*  F  0 . Montrer que : (C* )  E*
c) En déduire que (F* , ) est un groupe commutatif.
4) Montrer que (F ,  , ) est un corps commutatif.
On considère dans complexes ₵ l’équation : (E) : z 2  (1  i )z  2  2i  0

1) a) Vérifier que   (1  3i )2 est le discriminant de l’équation ( E )
b) Déterminer z1 et z 2 les solutions de l’équation ( E ) dans ₵ ( on prendra z1 l’imaginaire pur)
3
z1 i
c) Montrer que  2 .e 4 .
z2
On considère les points A et B d’affixes respectifs z1 et z 2 .
a) Déterminer le nombre complexe e l’affixe du point E , milieu du segment AB  .
 3 3
b) Soit R la rotation de centre A d’angle  , on pose R ( E)  C . Montrer que : z C    i .
2 2 2
3  z  d   c  z1 
c) Soit D le point d’affixe d  1  i . Montrer que le nombre  2     est réel , puis donner
2  c  d   z 2  z1 
une interprétation géométrique du résultat obtenu .
*
Partie : I Soit a un élément de IN .
1) Montrer que si a et 13 sont premiers entre eux alors: a2016  1 13
2) On considère dans IN l’équation x2015  2 13 et x l’une de ses solutions
*
a) Montrer que x et 13 sont premiers entre eux.

b) Montrer que : x  7 13
3) Montrer que l’ensemble solution de l’équation ( E ) est : S  7  13k / k  IN
4 heures *** Page : 2/2 *** Coef : 10
Partie : II Considérons une urne U contenant cinquante boules numérotées de 1 à 50 indiscernables au

toucher.
1) On tire au hasard une boule de l’urne. Quelle est la probabilité de tirer une boule portant un nombre solution
de l’équation ( E ) .
2) On tire au hasard une boule de l’urne, on note son numéro et on la remet dans l’urne. On répète cette
expérience trois fois de suite.
Quelle est la probabilité d’obtenir exactement deux fois une boule portant un nombre solution de l’équation
(E) ?

1
On considère la fonction fn définie sur l’intervalle IR par: fn ( x )  3
 (xn)
1 e 2
Cn  est la courbe représentative de fn dans un repère orthonormé O ; i ; j .  

1) a) Calculer lim fn ( x ) et lim fn ( x ) puis interpréter graphiquement les deux résultats obtenus.. 0,75 pts
n n 
b) Montrer que la fonction f n est dérivable sur IR puis calculer fn' ( x) pour tout x de IR .
b) Montrer que la fonction f n est strictement croissante sur IR . 0,25 pts
 1
2) a) Montrer que le point I n  n,  est un centre de symétrie pour la courbe Cn  . 0,5 pts
 2
b) Construire la courbe Cn  . 0,5 pts
c) Calculer l’aire du domaine délimité par la courbe C1  et les droites d’équations respectives : x  0 ,
x  1 et y  0 . 0,75 pts
3) a) Montrer que pour tout n  IN * , l’équation fn (x)  x admet une solution unique un  0 , n . 0,75 pts
b)  
Montrer que : n  IN* x  IR  ; fn (x)  fn 1 (x) 0,5 pts
c) Montrer que la suite (un )n1 est strictement décroissante, en déduire qu’elle est convergente . 0,75 pts
d) Calculer lim u n 0,5 pts

n 
3x cos t
On considère la fonction g définie sur IR * par : g( x)   dt et g( 0)  1
x t
1) Montrer que la fonction g est paire. 0,5 pts
2) Montrer que la fonction g est dérivable sur  0 ,    puis calculer g' ( x) pour x  0 0,75 pts
3) a) En utilisant une intégration par parties, montrer que ; pour tout x  0 :
3 x cos t sin 3x  3 sin x 3 x sin t
x t dt  3x

x t2
dt 0,5 pts
b) Montrer que pour tout x de  0 ,    , on a : g( x)  , en déduire lim g( x ) . 0,75 pts

2
x x 
4) a) Vérifier que : t  0 ; 1 - cost  t ; en déduire que : x  0 ; 0  

3 x 1 - cost
dt  2x 0,5 pts
x t
b) Vérifier que x  0 ; g(x) - ln3  
3 x 1 - cost
dt 0,5 pts
x t
b) En déduire que : lim g(x) 0,5 pts
x0
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
On rappelle que (IR, , ) est un corps commutatif et (M2 (IR) ,  , ) est un anneau unitaire non commutatif et
non intègre dont le zéro est la matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I et que (M2 (IR) ,  , .)
1  x x 
pour tout x IR on pose : M( x)    .
  2 x 1  2x 
On considère l’ensemble E  M(x)/x  IR
E est muni de la loi de composition interne " T " définie par :
x  IR y  IR  ; M(x)TM(y)  M(x  y  1)
1) On considère l’application  de IR vers E définie par :
x  IR  ; (x)  M(x  1) et On pose E*  E  M(0,0)
a) Montrer que  est un homomorphisme de (IR ,  ) vers (E , T) .
b) En déduire que (E , T) est un groupe commutatif .
2) a) Montrer que : x  IR y  IR  ; M(x)  M(y )  M(x  y  xy)
b) En déduire que E est une partie stable de (M2 (IR) , ) et que la loi " " est commutative dans E .
c) Montrer que la loi " " est distributive par rapport à la loi " T " dans E .
d) Montrer que M( 1) est l’élément neutre dans (E , T) et que la matrice identique I est neutre dans
(E , ) .
 x 
3) a) Vérifier que : x  IR  1 ; M( x)  M I
1 x 
b) Montrer que (E , T, ) est un corps commutatif.
On considère dans l’ensemble ₵ l’équation : (E) : z 2  (5  i 3 )z  4  4i 3  0

1) a) Vérifier que   (3  i 3 )2 est le discriminant de l’équation (E)
b) Déterminer a et b les solutions de l’équation (E) dans ₵ ( sachant que b IR )

c) Vérifier que b  1  i 3 a . 
On considère les points A et B d’affixes respectifs a et b .
a) Déterminer le nombre complexe b1 l’affixe du point B1 image du point O par la rotation R

de centre A d’angle .
2
b) Montrer que B est l’image de B1 par l’homothétie de centre A et de rapport 3 .
c) Soit C un point, d’affixe c , appartenant au cercle circonscrit au triangle OAB et différent de et de O
c
et de A . Déterminer l’argument du nombre complexe .
ca
Soit x un nombre entier relatif tel que x1439  1436 2015 .

1) Sachant que 1436  1051  2015  749  1 , Montrer que 1436 et 2015 sont premiers entre eux.
2) Soit d un diviseur commun de x et 2015
a) Montrer que d divise 1436 .
b) En déduire que x et 2015 sont premiers entre eux.
3) a) En utilisant le théorème de Fermat, montrer que : x1440  1 5 et x1440  1 13 et x1440  1 31 .
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
( remarquer que 2015  5  13  31 )

b) montrer que x1440  1 65 , en déduire que x1440  1 2015
4) Montrer que : x  1051 2015
Partie :I
Soit la fonction définie sur l’intervalle  0 ,    par: f (0)  0 et f (x)  x 1  ln2 x pour (x  0)  
Cf  est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé O ; i ; j . 
f ( x)
1) Calculer lim f ( x) et lim , puis interpréter géométriquement le résultat obtenu . 0,5 pts
x  x  x
f ( x)
b) Calculer lim puis interpréter géométriquement le résultat obtenu . 0,5 pts .
x0 x
c) Calculer f ' ( x) pour tout x  0 , en déduire que f est strictement croissante sur  0 ,    . 0,25 pts
3) a) Montrer que la courbe Cf  admet un point d’inflexion I d’abscisse e 1 . 0,25 pts
b) Etudier la position relative de la courbe Cf  et de la droite d’équation y  x . 0,25 pts
 
c) Construire la courbe Cf  dans le repère O ; i ; j ( On prendra e1  0,4 ) 0,5 pts
Partie :II
Soit la suite ( Un )n 1 définie par: U0  e1 et n  IN  ; Un 1  f (Un )

1) Montrer par récurrence que : n  IN  ; e1  Un  1 . 0,5 pts
2) Montrer que la suite ( Un )n 1 est strictement croissante , en déduire qu’elle est convergente. 0,5 pts
3) On pose : lim un  L
n 
a) Montrer que e1  L  1

b) Déterminer la valeur de L
Partie :III
Soit la fonction numérique F définie sur  0 ,    par : F( x)   f (t )dt
x
1 2 1 2
1) a) Montrer que la fonction H : x   x  x ln x est une primitive de la fonction h : x  x ln x sur
4 2
0 , . 0,25 pts
x2 2
b) Montrer que : x  0 ;
x x

1
t ln2 (t )dt 
2
ln ( x)   t ln(t )dt .
1
0,5 pts
3 3x2 x2 x2
c) En déduire que pour tout x  0 : F( x)     ln(x)  ln2 ( x) 0,5 pts
4 4 2 2
2) a) Montrer que la fonction F est continue sur  0 ,    . 0,25 pts
1
b) Calculer lim F( x) en déduire
x0
 f (x)dx
0
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
e t
On considère la fonction g définie sur 0 ,   par : g( x)  
2x
dt et g(0)  ln 2
x t
1) a) Montrer que : x  0 t  x,2x ; e  e  e 0,5 pts
2 x t x
b) Montrer que : x  0 ; e2x ln 2  g(x)  e x ln 2 0,5 pts

c) En déduire que g est continue à droite au point 0. 0,25 pts
2) Montrer que la fonction g est dérivable sur  0 ,    puis calculer g' ( x) pour x  0 0,75 pts
e t  1
3) a) En utilisant le théorème des AF, démontrer que : t  0 ; - 1   e t 0,5 pts
t
2 x x
g( x)  ln 2 e  e
b) Montrer que : x  0 ; - 1   0,5 pts
x x
c) En déduire que g est dérivable à droite au point 0. 0,5 pts
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
On pose J   - 1 , 1 
ab
Partie : I Soient a et b deux éléments de l’intervalle J , on pose : a * b 
1  ab
 
1) Vérifier que (a, b)  J ; 1  ab  0 , en déduire que * est une loi de composition interne dans J .
2
2) a) Montrer que la loi * est commutative et associative dans J .

b) Montrer que la loi * admet un élément neutre dans J qu’on déterminera.
c) Montrer que (J , *) est un groupe commutatif.
ex  1
Partie : II On considère l’application f définie sur IR par : f ( x)  x
e 1
1) Montrer que la fonction f est une bijection de IR vers J
2) Soit g la bijection réciproque de l’application f ( la détermination de g n’est pas demandé)
Quel que soient x et y de J , on pose : x  y  f g(x)  g(y)
Montrer que f est un homomorphisme de (IR* ,) vers ( J* ,  ) tel que J*  J  0.
3) On rappelle que (IR* ,) est un groupe commutatif et on admet que la loi  est distributive par rapport à la
loi * dans J .
Montrer que ( J ,*,  ) est un corps commutatif.
Partie I :
1) Résoudre dans l’ensemble ₵, l’équation : z 2  i  0 ( a est la solution de l’équation telle que Re(a )  0 )
2) a) Déterminer le module et l’argument du nombre complexe 1  a
 2 2
b) En déduire que cos  
8 2
c) Vérifier que (1  a)(1  a)  1  i , en déduire la forme trigonométrique du nombre complexe 1 a .
Partie II :
 
Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormé direct O , u , v , on considère les points A , B , M et
M ' d’affixes respectifs a ,  a , z et z ' tels que zz '  i  0 .
1) Soit N le point d’affixe z , conjugué de z . Montrer que les droites (ON ) et (OM ' ) sont perpendiculaires.
za z'  a za
2) a) Montrer que : z'  a  i . b) Montrer que si z  a , alors : z '   a et '  .
az z a za
3) On suppose que les points A , B , M sont non alignés.
Montrer que le point M ' appartient au cercle circonscrit au triangle ABM .
Soit n un nombre entier naturel non nul.

On pose : bn  2.10n  1 et cn  2.10n  1 .
1) Montrer que bn  cn  cn  2 , en déduire que bn et cn sont premiers entre eux.
( a  b représente le plus grand diviseur commun de a et b )
2) Déterminer un couple (xn , yn ) de Z2 vérifiant : bnxn  cnyn  1
Une urne W contient 3 boules indiscernables au toucher :

1 Boule noire et 2 boules blanches.
chacune des urnes U et V contient 4 boules indiscernables au toucher :
2 Boule noires et 2 boules blanches.
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10

On tire au hasard une boule de l’urne W : Si elle est blanche, on la met dans l’urne U , puis on tire deux boules
simultanément de l’urne U , Si elle est noire, on la met dans l’urne V , puis on tire deux boules
1) Quelle est la probabilité pour que le tirage des deux boules soit de l’urne U ?
2) Calculer la probabilité de tirer deux boules blanches à la fin de l’expérience?
3) Soit X la variable aléatoire égale au nombre de boules blanches à la fin de l’expérience.
Déterminer la loi de probabilité de la variable X.
Partie :I
 ln x
Soit la fonction f définie sur l’intervalle  0 ,    par: f ( x ) 
x
1) Calculer lim f (x) et lim f ( x) , puis interpréter géométriquement les deux résultats obtenus. 1 pts
x0 x  
2) Calculer f ' ( x ) , en déduire les variations de la fonction f sur l’intervalle  0 ,    . 0,75 pts
3) Pour tout n  IN * , on considère la fonction g n définie sur 0 , 1 par: gn ( x)  f ( x)  xn
a) Montrer que g n est strictement décroissante sur 0 , 1 . 0,25 pts
b) En déduire que pour tout entier n  1 il existe n  0,1 unique, tel que : fn (n )  (n )n 0,5 pts .
c) Montrer que pour tout entier n  1 : gn (n 1 )  0 . 0,5 pts
d) Montrer que la suite (n )n1 est strictement croissante , en déduire qu’elle est convergente. 0,5 pts
4) On pose que : L  lim  n
n  
a) Vérifier que : 0  1  L  1 0,25 pts
 
b) Vérifier que : n  IN* ; h(n )  n avec h( x) 
- 1 ln(-lnx)
 0,25 pts
2 lnx
c) Montrer que : L  1 0,25 pts
d) En déduire que lim n   0
n 0,25 pts
n  
Partie :II
 f (t )dt pour tout x de  0 ,    .

1
1) a) Etudier le signe de l’intégrale 0,25 pts
x
b) En utilisant une intégration par parties montrer que : x  0 ;

1
 f (t)dt  4  4
x
x  2 x ln x 0,5 pts
c) En déduire, en cm 2 , l’aire du domaine délimité par la courbe Cf  et les droites d’équations respectives
x  1 , x  e 2 et y  0 . 0,25 pts
1 k n  k 
2) Pour tout entier naturel non nul n , on pose : Un   f  
n k 1  n 
a) Montrer que pour tout entiers naturels n et k tels que : n  2 et 1  k  n  1 , on a:
k 1
1  k  1 1 k
f  k n f x dx  f   . 0,5 pts

n  n  n n n
1 1 1
b) Montrer que : (n  IN* ) ; 1 f t dt  un  f    1 f t dt 0,5 pts
1
n n n n
c) En déduire que : lim U n  4 . 0,25 pts
n  
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
On considère la fonction g définie sur 0 ,   par : g( x)   e t dt .

1 2
x
x
1) Pour tout x de IR, on pose : k ( x)   e t dt .
2
 
1
a) Vérifier que pour tout x de 0 ,   , ona :

g( x)  k x 0,25 pts
b) Montrer que la fonction g est continue sur 0 ,   et dérivable sur  0 ,    . 0,5 pts
c) Calculer g' ( x) pour tout x  0 , en déduire que g est strictement décroissante sur 0 ,   0,5 pts
2) a) Montrer que : x  0 ;

g(x) - g(0) 1  x 0,75 pts
 e
x 2 x
b) En déduire que la fonction g est non dérivable à droite au point 0 et donner une interprétation graphique
du résultat obtenu. 0,5 pts
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
a a-b 
Pour tout couple (a, b)  IR , on pose M(a, b)   
2
b a  b

2

 1 1
2) On pose : J    . Calculer J 2  J  J en déduire que E n’est pas une partie stable de (M2 (IR) , ) .
 0 1 
3) On définit sur M2 (IR) la loi de composition interne " * " par :
 1  1
A  M2 (IR)B  M2 (IR) A * B  A  N  B avec N  
; 
0 1 
et soit  l’application de C* vers M2 (IR) définie par :
(a, b)  IR 2  (0,0) ; (a  ib)  M(a, b)
a) Montrer que  est un homomorphisme de (C* , ) vers (M2 (IR) , *)
b) On pose E*  E  0 . Montrer que : (C* )  E*
c) En déduire que (E* , ) est un groupe commutatif.
4) Montrer que ( A, B, C)  E3  ; A * (B  C)  A * B  A * C
5) Montrer que (E ,  , *) est un corps commutatif.
le plan complexe est rapporté au repère orthonormé direct O , u , v   .
   
Soit  un nombre réel tel que    0 ,    
 2  4
1) On considère dans ₵ l’équation ( E ) d’inconnue z suivante : (E) : z 2  2ei z  e2i  0
a) Vérifier que   (i 2ei )2 est le discriminant de l’équation ( E )
b) Ecrire sous forme trigonométrique les solutions z1 et z 2 de l’équation ( E ) dans ₵.
 
i( ) i( )
2) On considère les points I , J , T1 , T2 et A d’affixes respectifs 1 ,  1 , e ,e et 2ei . 4 4
a) Montrer que les droites (OA ) et (T1T2 ) sont perpendiculaires.

b) Soit K le milieu du segment T1T2  , montrer que les points O , K et A sont alignés.
c) En déduire que la droite (OA ) est la médiatrice du segment T1T2  .

3) Soit R la rotation de centre T1 et d’angle .
2
a) Donner l’expression complexe de la rotation R .
b) Vérifier que l’affixe du point B image du point I par la rotation R est : b  2ei  i
c) Montrer que les droites ( IJ ) et ( AB ) sont perpendiculaires.
4) Déterminer l’affixe du point C l’image du point A par la translation de vecteur  v .
5) Montrer que le point A est le milieu du segment BC.
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
Soit n un nombre entier naturel non nul, on pose : an  333

  .......
  331 .
n foisle chiffre3
1) Vérifier que a1 et a 2 sont premiers.

2) Démontrer que pour tout entier naturel n non nul : 3an  7  10n  1
3) Démontrer que pour tout entier naturel k : 1030k  2  731
4) Démontrer que pour tout entier naturel k : 3a30k 1  031 , en déduire que 31 divise a 30k  1
5) Démontrer que pour tout entier naturel n non nul , si n  130 alors l’équation anx  31y  1 n’admet pas
de solution dans Z2 .
Partie :I
 x ln x
Soit la fonction f définie sur l’intervalle  0 ,    par: f (0)  0 et f ( x)  ; (x  0)
1  x2
1) a) Montrer que la fonction f est continue sur l’intervalle  0 ,    . 0,5 pts
b) Etudier le signe de f ( x ) sur l’intervalle  0 ,    . 0,25 pts

1
2) a) Montrer que : x  0 ; f    f ( x) . 0,25 pts
 x
b) Montrer que la fonction f est dérivable sur  0 ,    . 0,25 pts
c) Montrer que :   0,1 ; f    0 .'

0,5 pts
1
d) En déduire que :   0,1 ; f '    0 . 0,5 pts

Partie :II
On considère la fonction F définie sur  0 ,    par: F(x)   f (t )dt

x
0
C est la courbe représentative de F dans un repère orthonormé.
t2
1) a) Vérifier que : x  1 ,   ;
1
  1 0,5 pts
2 1  t2
b) Montrer que : x  1 ,   ; F(1) - ln x  F(x)  F(1) - ln x .
1 2 1 2 1 pts
2 4
F( x)
c) Calculer lim F( x) et lim , puis interpréter géométriquement les résultats obtenus. 1 pts
x   x   x
2) a) Montrer que F est dérivable sur  0 ,    puis calculer F' ( x) . 0,5 pts
b) Etudier les variations de F sur  0 ,    . 0,25 pts
Partie :III
1) a) Vérifier que : t  0 ,   ; - tln(t)  e 0,5 pts

b) Montrer que : t  0 ,   ; f(t)  . 0,25 pts
1
e
c) Vérifier que : x  0 ,   ; F(x)  x 0,25 pts
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
2) On considère la suite ( Un )n  0 définie par: U0  0,1 et n  IN ; Un 1  F(Un )

a) Montrer que : n  IN ; Un  0,1 . 0,25 pts
b) Montrer la suite ( Un )n  0 est strictement décroissante en déduire qu’elle est convergente. 0,5 pts
c) Déterminer lim Un . 0,5 pts
n  
1 - 1x
Soit la fonction g définie sur l’intervalle  0 ,    par: f (0)  0 et f ( x )  e ; (x  0)
x2
1) Montrer que la fonction g est continue sur 0 ,   . 0,5 pts
2) Pour tout x de 0 ,   , on pose : L( x)   g(t )dt .

x
a) Montrer que la fonction L est continue sur 0 ,   . 0,25 pts
b) Calculer L( x ) pour tout x  0 0,25 pts

c) Calculer lim L(x) en déduire L( 0 ) 0,5 pts
x 0
1 p  n 1  p 
3) Pour tout entier n  1 , on pose : Sn   g  .
n p 1  n 
Montrer que la suite (Sn )n1 est convergente et déterminer sa limite. 0,5 pts
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
Les parties I et II sont indépendants.

2( x  1)(y  1)  ( x  2)(y  2)
Partie : I Pour tous x et y éléments de G   1 , 2  , on pose : x * y 
( x  1)(y  1)  ( x  2)(y  2)
1) Montrer que * est une loi de composition interne dans G .
2) On rappelle que (IR * , ) est un groupe commutatif
x2
et on considère l’application f de IR * dans G tel que : f ( x) 
x1
a) Montrer que f est un homomorphisme de (IR ,) vers (G,*) .
*
b) Montrer que (G,*) est un groupe commutatif et déterminer son élément neutre.
Partie : II On rappelle que (M3 (IR) ,  , ) est un anneau unitaire non commutatif et non intègre dont le zéro
est la matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I et que (M3 (IR) ,  , .) est un espace vectoriel
réel.
 0 3 2  1 0 0
   
On pose A   0 0 1  et I   0 1 0  et pour tout couple (x, y)  IR M(x, y)  xI  yA .
2
 0 0 0  0 0 1
   

On considère l’ensemble E  M(x, y)/ (x, y)  IR
2

1) a) Vérifier que A3  0 , en déduire que A est un diviseur de zéro dans (M3 (IR) ,  ) .
b) Vérifier que ( A2  A  I )( A  I )  I
En déduire que la matrice ( A  I ) admet un inverse dans (M3 (IR) ,  ) qu’on déterminera.
2) Démontrer que (E ,  , .) est un espace vectoriel et donner une base de cet espace.
Partie I : Soit a un nombre complexe différent de 1.

On considère dans l’ensemble des nombres complexes ₵ l’équation (E) d’inconnue z :
(E) : 2z 2  2(a  1)z  (a  1)2  0
(a  1)(1  i ) (a  1)(1  i )
1) Montrer que z1  et z 2  sont les solutions de l’équation (E) .
2 2
2) On pose : a  ei tel que 0  a  
   
   i 
a) Montrer que a  1  2 sin e  2 
 2
b) En déduire la forme trigonométrique de chacune des solutions z 1 et z 2 .
Partie II :
le plan complexe est rapporté au repère orthonormé direct O , u , v .  
On suppose que Re(a)  0 et on considère les points A(a) , B( i ) , C(i ) et B' (1) .
1) Déterminer les affixes de chacun des points J et K milieux respectifs des segment AC  et AB  en
fonction de a .
 
2) Soit R1 la rotation de centre J et d’angle et R 2 la rotation de centre K et d’angle .
2 2
On pose : C  R1 (C) et A  R 2 ( A) et soient c l’affixe de C et a l’affixe de A .
' ' ' ' ' '
Montrer que : a'  z1 et c'  z 2 .
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
 a '  c' 
3) Calculer   en déduire que la droite ( AB ' ) est une hauteur dans le triangle A'B'C' .
 a  1 
Une urne contient 7 boules indiscernables au toucher :

Trois Boules rouges et quatre boules noires.
Partie :I
On tire au hasard quatre boules de l’urne successivement et avec remise. Soit X la variable aléatoire égale au
nombre de boules noires dans un tirage .
1) Déterminer la loi de probabilité de la variable X.
2) Déterminer E(X) l’espérance mathématique de la variable X.
Partie :II
On effectue l’expérience suivante en trois étapes :
Première étape : On tire une boule de l’urne, on note sa couleur et la rend dans l’urne.
Deuxième étape : On ajoute dans l’urne cinq boules de même couleur que la boule tirée dans la première étape.
Troisième étape : On tire successivement et sans remise trois boules de l’urne qui contient maintenant 12
boules.
On considère les événements suivants :
N : « la boule tirée dans la première étape est Noire »
R : « la boule tirée dans la première étape est rouge »
E : « toutes les boules tirées dans la troisième étape sont noires »
12
1) Montrer que p(E  N)  .
55
2) Calculer p(E) .
3) Calculer la probabilité de l’événement E sachant que l’événement R est réalisé
1) Soit la fonction f définie sur l’intervalle  0 ,    par: f (0)  1 et f ( x) 

1
; (x  0)
1  x ln x 
2
a) Montrer que la fonction f est continue à droite au point 0 et calculer lim f ( x) . 0,5 pts
x  
b) Etudier la dérivabilité de la fonction f à droite au point 0. 0,5 pts
c) Montrer que la fonction f est dérivable sur l’intervalle  0 ,   et que sa fonction dérivée est définie
 x ln x(1  ln x) 0,5 pts
par : x  0 ; f ' ( x) 
 
3
1  ( x ln x)2 2
d) Dresser le tableau de variations de la fonction f. 0,5 pts
2) On considère la fonction F définie sur  0 ,    par : F( x)   f (t )dt
x
CF  est la courbe représentative de F dans un repère orthonormé O ; i ; 

j .
sur  e ,    .
1
a) Déterminer une fonction primitive de la fonction x  0,25 pts
x ln x
b) Montrer que : t  e ; t lnt  1  (t ln t )2  2 t ln t . 0,5 pts
c) Montrer que : t  e ;

1 x 1
ln(lnx)  dt  ln(lnx) . 0,75 pts
2 e
1  (t ln t )2
F( x )
d) En déduire que lim F(x)   et lim  0 . 0,5 pts
x  x  x
e) Montrer que CF  admet deux points d’inflexion dont on déterminera les abscisses . 0,5 pts
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
1
f) Construire CF  . (On prendra F(1)  0,5 et F   0,4 ) 1 pts
e
3) Pour tout x de l’intervalle  0 ,    , on pose : (x)  x  F(x)
a) Montrer que : lim (x)   , puis étudier les variations de la fonction  . 0,75 pts
x 
b) Montrer que pour tout entier n de IN , l’équation (x)  n admet une solution unique  n dans
l’intervalle  0 ,    . 0,5 pts
c) Montrer que : n  IN  ; n  n , puis calculer lim n 0,5 pts
n 
F( n ) F( n)  
4) a) Montrer que : n  1 ; 0    f(n) b) Calculer lim  n  .
0,5 pts 0,5 pts
n n  
n   n
n2
 arctan(n) 
Pour tout entier naturel non nul n , on pose : u n    et vn  ln(un )
 arctan(n  1) 
1) Vérifier que : (n  1) ; vn  n2 lnarctan(n)  lnarctan(n  1) . 0,25 pts
 n2
2) En utilisant le TAF Montrer que : (n  1) (c  n; n  1) ; vn  0,5 pts
(1  c2 ) arctan(c)
 n2  n2
3) Montrer que : (n  1) ;  vn  0,5 pts
(1  n 2 ) arctan(n) (1  (n  1)2 ) arctan(n  1)
4) Calculer : lim un . 0,5 pts
n 
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/2 *** Coef : 10
On rappelle que ( Z ,  , ) est un anneau commutatif unitaire intègre.

1) On définit dans Z la loi de composition interne " * " par : ( x, y )  Z2 ;   x*y  x  y - 2
a) Montrer que la loi " * " est commutative et associative.
b) Montrer que la loi " * " admet un élément neutre qu’on déterminera.
c) Montrer que la loi (Z , *) est un groupe commutatif.

2) On définit dans Z la loi de composition interne " T " par : (x, y )  Z2 ; xTy  xy - 2x  2y  6 
et on considère l’application f définie de Z dans Z par : x  Z ; f (x)  x  2
a) Montrer que l’application f est un homomorphisme bijectif de (Z , ) dans (Z , T) .
 
b) Montrer que : ( x, y, z )  Z3 ; ( x  y )Tz  ( xTz)  (yTz) .
3) En déduire de tout ce qui précède que (Z , *, T) est un anneau commutatif unitaire.
4) a) Montrer que : xTy  2  (x  2 ou x  3) .
b) En déduire que l’anneau (Z , *, T) est intègre.
c) l’anneau (Z , *, T) est-il un corps ? justifier la réponse.
Partie I : Soit a un nombre complexe non nul.

( E) :   
2z 2  3  i 3 az  1  i 3 a 2  0 
 2
1) Vérifier que    1  i 3 a 2 est le discriminant de l’équation ( E )
2) Résoudre dans ₵ l’équation ( E )
i
On considère les points A , B et M d’affixes respectifs a , b  ae 3 et z .


Soit R la rotation de centre M et d’angle . On pose : A1  R 1 ( A) et A1  R 1 ( A)
3
soient a1 et b1 les affixes respectifs de A1 et B1 .
1) Vérifier que le triangle OAB est équilatéral.
1 3   1 3   1 3   1 3 
2) a) Montrer que : a1    i a   i z et a     i a   i z
2   2 2   2 2   2 2 
2
2 
b) Montrer que le quadrilatère OA1MB1 est un parallélogramme..
Le but de cet exercice est de chercher s’il existe des entiers naturels n supérieurs strictement à 1 vérifiant la
relation ( ) suivante : () : 3n  2n  0n .
1) On suppose que l’entier n vérifie la relation ( ) . Soit p le plus petit diviseur premier positif du nombre n .
a) Montrer que 3n  2n  0p , en déduire que p  5 .
b) Montrer que 2p -1  1p et 3p -1  1p .
c) Montrer qu’il existe un couple (a, b ) un couple de Z tel que an  b(p  1)  1 tel k  IN*
2
d) Soient r et q le reste et le quotient de la division euclidienne de a par (p  1) .

(signifie que : a  q(p  1)  r avec q  Z et 0  r  p  1 )
Montrer qu’il existe un entier non nul k tel que : rn  1  k (p  1)
2) Déduire de tout ce qui précède, qu’il n’existe aucun entier naturel n supérieur strictement à 1 vérifiant la
relation ( ) .
4 heures *** Page : 2/2 *** Coef : 10
Partie :I
x1
1) Soit la fonction h définie sur l’intervalle 1 ,    par: h(1)  1 et h( x)  ; (x  1)
x ln x
a) Montrer que la fonction h est continue à droite au point 1. 0,25 pts
b) Montrer que : x  1 ; ln x  x  1 en déduire que h est strictement décroissante 1 ,   . 0,75 pts
2) a) Calculer lim h( x ) puis dresser le tableau de variations de h.

x  
b) En déduire que : x  1 ; 0  h( x )  1 . 0,25 pts
Partie :II
On considère la fonction g définie sur 1 ,    par : g(1)  ln 2 et g( x)  
x2 1
dt ; x  1
x
t lnt
C est la courbe représentative de g dans un repère orthonormé O ; i ; 
j .
1) a) Vérifier que : t  1 ; 

x 1 2
dt  ln2 . 0,25 pts

x t ln t
t 1
b) Montrer que : t  1 ; g(x)  ln2  
x2
dt . 0,25 pts
t ln t x
x t 1
c) Montrer que : t  1 ; g(x)  ln2   dt . 0,5 pts
x t ln t
 
2) a) Montrer que : x  1 ; x  x h(x)  g(x)  ln2  x  x h( x ) .   0,5 pts
b) En déduire que la fonction g est dérivable à droite au point 1. 0,5 pts
g( x)
c) Montrer que : lim g( x)   et lim  0 0,75 pts
x   x   x
3) a) Montrer que g est dérivable sur  1 ,    et que x  1 ; g' (x)  h( x ) . 0,75 pts
1
2
b) En déduire que : x  1 ; 0  g' (x)  puis dresser le tableau de variations de g 0,5 pts
1
2
c) Construire C . 0,5 pts
Partie :III
A) 1) Montrer que la fonction k : x  g( x)  x  1 est une bijection de 1 ,    vers  ; ln 2. 0,5 pts
2) En déduire qu’il existe un réel unique   1; tel que 1  g( )   0,25 pts
B) On considère la suite ( Un )n  0 définie par: 1  U0   et n  IN ; Un1  1  g(Un )

1) a) Montrer que : n  IN ; 1  Un   . 0,5 pts
b) Montrer la suite ( Un )n  0 est strictement croissante 0,5 pts
c) Montrer la suite ( Un )n  0 est convergente et que lim Un   . 0,75 pts
n  
2) a) Montrer que : n  IN  ;

1
Un  1   
Un   . 0,5 pts
2
n
1
b) Montrer que : n  IN  ; U n      U 0   . 0,5 pts
 2
c) En déduire une deuxième fois que lim Un   . 0,25 pts
n  
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10

Partie : I Pour tous a et b éléments de I   1 ,    , on pose : a  b  a  a  1  
2
1) Montrer que  est une loi de composition interne dans I .

2) Montrer que la loi  est commutative et associative dans I .
3) Montrer que la loi  admet un élément neutre dans I qu’on déterminera.
Partie : II On rappelle que (M2 (IR) , , ) est un anneau unitaire non commutatif et non intègre dont le zéro
est la matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I .
  x 2(x - 1)  
On considère l’ensemble E  M( x)    /x  IR 
 0 1  
1) Montrer que E est une partie stable de (M2 (IR) , ) .
2) On considère l’application  définie de IR * dans E par : x  IR* ; (x)  M(x)
a) Montrer que l’application  est un homomorphisme bijectif de (IR* , ) dans (E , ) .
b) En déduire la structure de (E , ) .
  2n 2n  1 - 2  
c) On pose H  M( x)    /n  Z  , Montrer que ( H , ) est un sous-groupe de (E , ) .
  
0 1 
Les deux parties I et II sont indépendantes.

 2  5
Partie I : On considère dans l’ensemble ₵ l’équation : (E) : z 2  4 1  i z   4i  0
 3  3
2
1) Vérifier que le nombre z1  1  i est une solution de l’équation ( E )
3
2) Montrer que la deuxième solution de l’équation ( E ) est z 2  3z1
Partie II : On considère trois points deux à deux distincts A , B et  d’affixes respectifs a , b et  .


Soit R la rotation de centre  et d’angle . On pose : P  R ( A ) et B  R(Q )
3
soient p et q les affixes respectifs de P et Q .
i  i
1) a) Montrer que : p    e 3 (a  ) et q    e 3
(b  ) .
i
4 i
1e 3
b) Montrer que :  i
e 3
.
1e 3
4 i
pa  a 3
c) Montrer que :  e .
qb b
2 i
 a
2) On suppose que :  e 3
b
a) Montrer que est un APQR parallélogramme.
ba 
b) Montrer que arg    2  , en déduire que APQR est un rectangle.
pb 2
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
1) a) Vérifier que : 503 est entier premier.

b) Montrer que 7502  1503 , en déduire que 72008  1503 .
2) On considère dans Z2 l’équation : (E) : 49x  6y  1 .
sachant que le couple (1 ; 8) est une solution particulière de l’équation ( E ) , résoudre dans Z2 l’équation ( E )
avec la mise évidence des étapes de la résolution.
3) On pose N  1  7  7  7  ....  7
2 3 2007
.
2006
a) Montrer que le couple (7 ; N) est solution de l’équation ( E ) .
b) En déduire que N est divisible par 2012 .
c) Montrer que N  04 et N  0503
Partie I :
Soit la fonction g définie sur  0 ,   par : g( x)  ln( 1  x) 
x
1 x
1) Etudier les variations de la fonction g sur  0 ,   . 0,5 pts
2) En déduire le signe de g( x) sur  0 ,   0,5 pts
Partie II :
On considère la fonction f définie sur IR par : f (x)  ex ln( 1  e x )
1) Montrer que lim f ( x )  1 et lim f ( x)  0 . 1 pts
x   x  
2) Montrer que pour tout x  IR : f ' ( x)  exg(e x ) . 0,5 pts
3) Dresser le tableau de variations de f .

 
0,5 pts
 
4) Construire C la courbe de f et C' la courbe de (f ) dans le même repère O ; i ; j 1 pts
(On admet que C admet un point d’inflexion unique dont l’abscisse est  0,7 ).
5) Montrer que pour tout x de  0 , 1  : 0  f ' (x)  g(e) 0,75 pts
6) Montrer que l’équation f(x)  x  0 admet une solution unique  dans IR et que  1    0 0,75 pts
7) On considère la suite ( Un )n  0 définie par: U 0  0 et n  IN ; Un 1  f (Un )

a) Montrer que : n  IN ; - 1  Un  0 . 0,5 pts
b) Montrer que : n  IN  ; U n  1    g(e) U n   . 0,5 pts
c) Montrer que : n  IN  ; Un    g(e) .

n 0,5 pts
d) Sachant que g(e)  0,6 , calculer lim Un . 0,25 pts

n  
x  ln t 
On considère la fonction F définie sur  0 ,    par : F( x)  1  2 
dt
x 1 t 
1) Calculer F(1) . 0,25 pts
2) a) Montrer que la fonction F est dérivable sur  0 ,    puis calculer F' ( x ) pour x  0 0,5 pts
b) En déduire que pour tout x de l’intervalle  0 ,    , on a : F( x )  0 0,5 pts
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
3) En utilisant une intégration par parties, montrer que ; pour tout x  0 :

  1 
F( x )   Arc tan x   Arc tan   ln x  1
x Arc tan( t )
dt 0,5 pts
  x  x t
1 
4) Montrer que : x  0  ; Arctan  x   2  Arctan x  . 0,25 pts
 
  2 x Arc tan( t )
 x
5) En déduire que : x  0 ; lnx  1 dt 0,5 pts
t
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
Partie : I On rappelle que (M3 (IR) ,  , ) est un anneau unitaire non commutatif et non intègre dont le zéro est
la matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I .
 5 1 
 0 0  1 0 0
 2   
On pose A   0  2  1  et I   0 1 0  .
 0 1   0 0 1
 1  
 
1) Calculer : I  A et A 2 .
2) En déduire que la matrice A admet un inverse dans (M3 (IR) ,  ) qu’on déterminera.
Partie : II Pour tous a et b éléments de I   1 ,    , on pose : a * b  a2b2  a2  b2  2  
2
 
1) Vérifier que : (x, y )  IR 2 ; x2y 2  x2  y 2  2  (x2  1)(y 2  1)  1 .
2) Montrer que la loi * est une loi de composition interne dans I .
3) On rappelle que (IR * , ) est un groupe commutatif.
1) On considère l’application  définie de IR * dans I par : x  IR * ; (x)  x  1
a) Montrer que l’application  est un homomorphisme bijectif de (IR * , ) dans (I , *) .
b) En déduire la structure de (I , *) .
4) On pose H   1  2 /m  Z, Montrer que (H , ) est un sous-groupe de (I , *) .
m

Partie I :
On considère dans ₵ l’équation : (E) : iz 2  2  i az  (1  i )a2  0 , où a est un complexe non nul.
1) Déterminer z 1 et z 2 solutions de l’équation (E) .
2) a) vérifier que : z1z 2  a2 (i  1) .
 3   
b) Montrer que : ( z1z 2 est un réel)  arg(a) 
8  2 
Partie II : Soit c un nombre complexe non nul et c un nombre complexe non nul.
1) On considère les points A , B , C , D et M d’affixes respectifs : 1 , (1  i ) , c , ic et z .
a) Montrer que : ( A , D et M sont alignés)  (ic  1)z  (ic  1)z  2ic
b) Montrer que : ( AD)  (OM)  (ic  1)z  (ic  1)z  0
2) Soit h l’affixe du point H la projection orthogonale du point O sur la droite ( AD )
i
a) Montrer que : h  (1  i )  (h  c)
c
b) En déduire que : BH   CH
(E) : 143x  195y  52 .

2
On considère dans Z l’équation :
1) a) Déterminer le plus grand diviseur commun des nombres 143 et 195 , en déduire que l’équation (E)
2
admet au moins une solution dans Z .
b) Sachant que le couple (1 ; - 1 ) est une solution particulière de (E) , Déterminer la solution générale de
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
l’équation (E) dans Z 2 .

2) Soit n un entier naturel non nul et premier avec 5 , montrer que (k  IN ) ; n4k  1 5.
3) Soient x et y deux nombres entiers non nuls tels que x  y 4 .
a) Montrer que : (k  IN * ) ; nx  ny 5
b) En déduire que : (k  IN * ) ; nx  ny 10
4) Soient x et y deux entiers naturels non nuls tels que le couple ( x ; y ) soit solution de l’équation (E) .
*
Montrer que quel que soit n de IN : les nombres n x et n y ont le même chiffre des unités dans le système de
numération décimal

e x
On considère la fonction fn définie sur l’intervalle IR par: fn ( x)  x 
n
Cn  est la courbe représentative de fn dans un repère orthonormé O ; i ; j .  
1) Calculer lim fn ( x) lim fn ( x) 0,5 pts
n  et n   
2) a) Etudier la branche infinie de la courbe Cn  au voisinage de   . 0,5 pts
b) Montrer que la droite D d’équation y  x est une asymptote à Cn  au voisinage de   et
Déterminer la position relative de D et de Cn  . 0,5 pts
3) Etudier les variations de la fonction f n puis dresser son tableau de variations. 0,75 pts
4) Construire la courbe C3  . 0,5 pts (On prendra : f3 (1,5)  0 , ln 3  1,1 et f3 (0,6)  0 )
e
5) a) Montrer que pour tout n  3 :  ln(n) 0,25 pts
n
b) Montrer que pour tout n  3 , l’équation fn ( x)  0 admet exactement deux solutions xn et y n tels que :
e
 y n  0 et xn   ln(n) 0,25 pts
n
c) Calculer lim xn lim y n 0,5 pts
n  et   
n
6) Soit la fonction g définie sur l’intervalle  0 ,    par: f (0)  1 et f (x)  1 - xlnx ; (x  0)

a) Montrer que la fonction g est continue à droite au point 0 . 0,25 pts
  1  ln n
b) Vérifier que pour tout n  3 : g   0,5 pts
 xn  xn
ln n 0,25 pts
c) En déduire que : lim
x   x
n
1 ln(1  2x)
Soit la fonction F définie sur l’intervalle 0 ; 1 par: F(0)  1 et F( x)  - ; (x  0;1)
x 2x2
1) Soit x un élément de l’intervalle 0 ; 1 , montrer que : t   0 , x ;
1 1
 1 0,5 pts
1  2x 1  2t
2) Soit x un élément de l’intervalle 0 ; 1 .
1 x t
a) Montrer que : F( x)  2  dt 0,5 pts
x 0 1  2t
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
1
b) Montrer que :  F( x)  1 , en déduire que F est continue à droite au point 0. 0,75 pts
1  2x
3) En utilisant une intégration par parties, montrer que :
2
x  0;1 ; 0 2t dt  x  20  t  dt

2
x x
0,75 pts
1  2t 1  2x  1  2t 
4) Soit un élément de l’intervalle 0 ; 1 .
x
2
 4 x t 
x 3 0  1  2t 
a) Montrer que : F' ( x)    dt 0,5 pts
4 4
b) Montrer que :  F' ( x)  . 0,75 pts
3 3(1  2t )2
c) En appliquant le TAF à la fonction F sur 0; x , montrer que :
 4 F( x)  F(0) 4
  . 0,75 pts
3 x 3(1  2x)2
d) En déduire que la fonction F est dérivable à droite au point 0 est déterminer le nombre dérivé à droite de
0. 0,25 pts
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/2 *** Coef : 10
Pour tout éléments x et y de l’intervalle I   0 , 1  , on pose : x * y 

xy
xy  (1  x)(1  y )
1) a) Montrer que * est une loi de composition interne dans I .
b) Montrer que la loi * est commutative et associative dans I .
c) Montrer que la loi * admet un élément neutre dans I qu’on déterminera.
d) Montrer que (I , *) est un groupe commutatif.

2) On considère les deux ensembles : H  2n /n  Z et K   n
 1
 
/n  Z
2  1 
a) Montrer que H est un sous groupe de (IR  , ) .
*
1
b) On considère l’application  définie de H dans I par : f ( x)  
x1
Montrer que  est un homomorphisme de ( H,) vers (I,*) .
En déduire que (K ,*) est un sous-groupe de (I,*) .
Partie I : On considère dans l’ensemble ₵ l’équation : (E) : z 3  1  2i z 2  31  i z  101  i   0

1) Montrer que le nombre  2i est une solution de l’équation (E)
2) Déterminer les deux nombres complexes  et  tels que :
(z  C) : 
z 3  1  2i z 2  31  i z  101  i   z  2i  z 2  z   
a) Déterminer les deux racines carrées du nombre complexe (5  12i )
b) Résoudre dans l’équation (E) .
On considère les points deux à deux A , B et C d’affixes respectifs a  1  3i , b  2i et c  2  i .
1) Montrer que ABC est un triangle rectangle et isocèle de sommet C .
  2
2) Soit R1 la rotation de centre B et d’angle et R 2 la rotation de centre A et d’angle .
3 3
Soit M un point du plan d’affixe z On pose : M1  R1 (M) et M2  R 2 (M) .
1 i 3 
a) Vérifier que l’expression analytique de la rotation R1 est : z1   z  3  i .

 2 
b) Déterminer z 2 affixe de M1 en fonction de z .
c) En déduire que I , milieu du segment M1M 2  est un point fixe.
Soit x un nombre entier naturel tel que : 10x  2 19 .

1) a) Vérifier que : 10x 1  1 19
b) Montrer que 1018  1 19
2) Soit d un diviseur commun de ( x  1) et 18
a) Montrer que 10d  1 19 .
b) Montrer que d  18 .
c) En déduire que : x  17 18
4 heures *** Page : 2/2 *** Coef : 10
On considère la fonction f définie sur  0 ,   par : f (x)  x  ln x .

j d’unité 1cm .
f ( x)
1) Calculer lim f ( x) et lim f ( x) et xlim
 
et lim f (x)  x . 1 pts
x0 x   x x 
2) a) Dresser le tableau de variations de la fonction f . 0,5 pts

b) Montrer que la fonction est une bijection de l’intervalle  0 ,   vers un intervalle J qu’on
déterminera, puis dresser le tableau de variations de la fonction f 1 .
 
0,75 pts
 
3) Calculer f (1) et f (e) , puis construire les courbes Cf  et Cf 1 sur le repère O ; i ; j . 0,5 pts
e1
4) a) Montrer que  f 1 ( x)dx  1 . (on pourra poser : t  f 1 (x) ) 0,5 pts
 
1
b) En déduire l’aire du domaine délimité par la courbe Cf 1 , l’axe des abscisses et les droites d’équations
x  1 et x  e  1 et y  x . 0,5 pts
5) On considère l’équation (En ) : x  lnx  n

a) Montrer que l’équation (En ) admet une solution unique xn . 0,25 pts
b) Déterminer la valeur de x1 puis démontrer que : lim xn    0,5 pts
n 
0,5 pts
6) a) Montrer que : , en déduire que :
n  1 ; f(xn )  f(n) n  1 ; xn  n
0,5 pts
b) Montrer que :
n  1 ; n  lnn  xn
x n  xn 
c) Calculer lim  n  lim  . 0,5 pts
n 
 n  et  n  ln n 
n 

x2 ... xn
On considère la fonction fn définie sur l’intervalle IR par: fn ( x)  1  x   
2 n
1) Montrer que pour tout n  2 , il existe un réel unique  n de 0;1 tel que : fn (n )  0 0,5 pts
2) Montrer que la suite (n )n  2 est strictement décroissante, en déduire qu’elle est convergente
( On pose : L  lim n ) 0,75 pts
x 
1 t n 0,5 pts
3) a) Vérifier que pour tout réel t  1 : 1  t  t 2  ...  t n 1  
1 t 1 t
( n ) ( n )
2 3
( n )n
n t
n
(
b) En déduire que : n  ) 
2

3
 ... 
n
  ln(1   n )  0 1  t dt 0,5 pts
n
n t
4) a) Montrer que : 1  ln(1  n )    dt 0,5 pts
0 1 t
n
b) Montrer que : n  2 ; 0  
n t 1
dt  0,5 pts
0 1 t (n  1)(1  n )
c) En déduire que : L  1  e1
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/18 *** Coef : 10

2( x  1)( y  1)  ( x  2)( y  2)
Partie : I Pour tous x et y éléments de G   1 , 2  , on pose : x * y 
( x  1)( y  1)  ( x  2)( y  2)
1) Montrer que * est une loi de composition interne dans G .
2) On rappelle que (IR * , ) est un groupe commutatif
x2
et on considère l’application f de IR * dans G tel que : f ( x ) 
x1
a) Montrer que f est un homomorphisme de (IR ,) vers (G ,*) .
*
b) Montrer que (G ,*) est un groupe commutatif et déterminer son élément neutre.
Partie : II On rappelle que (M 3 (IR) ,  , ) est un anneau unitaire non commutatif et non intègre dont le zéro
est la matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I et que (M 3 (IR) ,  , .) est un espace vectoriel
réel.
 0 3 2  1 0 0
   
On pose A   0 0 1  et I   0 1 0  et pour tout couple ( x, y)  IR M( x, y)  xI  yA .
2
 0 0 0  0 0 1
   

On considère l’ensemble E  M(x, y)/ (x, y)  IR
2

1) a) Vérifier que A 3  0 , en déduire que A est un diviseur de zéro dans (M 3 (IR) ,  ) .
b) Vérifier que ( A2  A  I )( A  I )  I
En déduire que la matrice ( A  I ) admet un inverse dans (M 3 (IR) ,  ) qu’on déterminera.
2) Démontrer que (E ,  , .) est un espace vectoriel et donner une base de cet espace.
Partie I : Soit a un nombre complexe différent de 1.

(E) : 2z 2  2(a  1)z  (a  1)2  0
(a  1)(1  i ) (a  1)(1  i )
1) Montrer que z1  et z 2  sont les solutions de l’équation ( E ) .
2 2
2) On pose : a  ei tel que 0  a  
   
   i 
a) Montrer que a  1  2 sin e  2 
 2
b) En déduire la forme trigonométrique de chacune des solutions z1 et z 2 .
Partie II :
On suppose que Re(a )  0 et on considère les points A(a ) , B(  i ) , C( i ) et B' (1) .
1) Déterminer les affixes de chacun des points J et K milieux respectifs des segment AC et AB en
fonction de a .
 
2) Soit R1 la rotation de centre J et d’angle et R 2 la rotation de centre K et d’angle .
2 2
On pose : C  R1 (C) et A  R 2 ( A) et soient c l’affixe de C et a l’affixe de A .
' ' ' ' ' '
Montrer que : a'  z1 et c'  z 2 .
4 heures *** Page : 2/18 *** Coef : 10
 a'  c' 
3) Calculer   en déduire que la droite ( AB ' ) est une hauteur dans le triangle A 'B'C' .
 a  1 

Trois Boules rouges et quatre boules noires.
Partie :I
On tire au hasard quatre boules de l’urne successivement et avec remise. Soit X la variable aléatoire égale au
nombre de boules noires dans un tirage .
1) Déterminer la loi de probabilité de la variable X.
2) Déterminer E(X) l’espérance mathématique de la variable X.
Partie :II
On effectue l’expérience suivante en trois étapes :
Première étape : On tire une boule de l’urne, on note sa couleur et la rend dans l’urne.
Deuxième étape : On ajoute dans l’urne cinq boules de même couleur que la boule tirée dans la première étape.
Troisième étape : On tire successivement et sans remise trois boules de l’urne qui contient maintenant 12
boules.
On considère les événements suivants :
N : « la boule tirée dans la première étape est Noire »
R : « la boule tirée dans la première étape est rouge »
E : « toutes les boules tirées dans la troisième étape sont noires »
12
1) Montrer que p(E  N )  .
55
2) Calculer p(E) .
3) Calculer la probabilité de l’événement E sachant que l’événement R est réalisé
Bon Courage
On rappelle que ( Z ,  , ) est un anneau commutatif unitaire intègre.


1) On définit dans Z la loi de composition interne " * " par : ( x, y )  Z2 ; x * y  x  y - 2 
a) Montrer que la loi " * " est commutative et associative.
b) Montrer que la loi " * " admet un élément neutre qu’on déterminera.
c) Montrer que la loi (Z , *) est un groupe commutatif.

2) On définit dans Z la loi de composition interne " T " par : (x, y )  Z2 ; xTy  xy - 2x  2y  6 
et on considère l’application f définie de Z dans Z par : x  Z ; f (x)  x  2
a) Montrer que l’application f est un homomorphisme bijectif de (Z , ) dans (Z , T) .
 
b) Montrer que : ( x, y, z )  Z3 ; ( x  y )Tz  ( xTz)  (yTz) .
3) En déduire de tout ce qui précède que (Z , *, T) est un anneau commutatif unitaire.
4) a) Montrer que : xTy  2  (x  2 ou x  3) .
b) En déduire que l’anneau (Z , *, T) est intègre.
c) l’anneau (Z , *, T) est-il un corps ? justifier la réponse.
Partie I : Soit a un nombre complexe non nul.

( E) :   
2z 2  3  i 3 az  1  i 3 a 2  0 
 2
1) Vérifier que    1  i 3 a 2 est le discriminant de l’équation ( E )
4 heures *** Page : 3/18 *** Coef : 10
2) Résoudre dans ₵ l’équation ( E )

i
On considère les points A , B et M d’affixes respectifs a , b  ae 3 et z .


Soit R la rotation de centre M et d’angle . On pose : A1  R 1 ( A) et A1  R 1 ( A)
3
soient a1 et b1 les affixes respectifs de A1 et B1 .
3) Vérifier que le triangle OAB est équilatéral.
1 3   1 3   1 3   1 3 
4) a) Montrer que : a1    i a   i z et a     i a   i z
2   2 2   2 2   2 2 
2
2 
b) Montrer que le quadrilatère OA1MB1 est un parallélogramme..
Le but de cet exercice est de chercher s’il existe des entiers naturels n supérieurs strictement à 1 vérifiant la
relation ( ) suivante : () : 3n  2n  0n .
1) On suppose que l’entier n vérifie la relation ( ) . Soit p le plus petit diviseur premier positif du nombre n .
a) Montrer que 3n  2n  0p , en déduire que p  5 .
b) Montrer que 2p -1  1p et 3p -1  1p .
c) Montrer qu’il existe un couple (a, b ) un couple de Z tel que an  b(p  1)  1 tel k  IN*
2
d) Soient r et q le reste et le quotient de la division euclidienne de a par (p  1) .

(signifie que : a  q(p  1)  r avec q  Z et 0  r  p  1 )
Montrer qu’il existe un entier non nul k tel que : rn  1  k (p  1)
2) Déduire de tout ce qui précède, qu’il n’existe aucun entier naturel n supérieur strictement à 1 vérifiant la
relation ( ) .
Bon Courage

Partie : I Pour tous a et b éléments de I   1 ,    , on pose : a  b  a  a  1  
2
1) Montrer que  est une loi de composition interne dans I .

2) Montrer que la loi  est commutative et associative dans I .
3) Montrer que la loi  admet un élément neutre dans I qu’on déterminera.
Partie : II On rappelle que (M2 (IR) , , ) est un anneau unitaire non commutatif et non intègre dont le zéro
est la matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I .
  x 2(x - 1)  
On considère l’ensemble E  M( x)    /x  IR 
 0 1  
1) Montrer que E est une partie stable de (M2 (IR) , ) .
2) On considère l’application  définie de IR * dans E par : x  IR* ; (x)  M(x)
a) Montrer que l’application  est un homomorphisme bijectif de (IR* , ) dans (E , ) .
b) En déduire la structure de (E , ) .
  2n 2n  1 - 2  
c) On pose H  M( x)    /n  Z  , Montrer que ( H , ) est un sous-groupe de (E , ) .
  
0 1 
4 heures *** Page : 4/18 *** Coef : 10

 2  5
Partie I : On considère dans l’ensemble ₵ l’équation : (E) : z 2  4 1  i z   4i  0
 3  3
2
1) Vérifier que le nombre z1  1  i est une solution de l’équation ( E )
3
2) Montrer que la deuxième solution de l’équation ( E ) est z 2  3z1
Partie II : On considère trois points deux à deux distincts A , B et  d’affixes respectifs a , b et  .


Soit R la rotation de centre  et d’angle . On pose : P  R ( A ) et B  R(Q )
3
soient p et q les affixes respectifs de P et Q .
i  i
3) a) Montrer que : p    e 3 (a  ) et q    e 3
(b  ) .
i
4 i
1e 3
b) Montrer que :  i
e 3
.
1e 3
4 i
pa  a 3
c) Montrer que :  e .
qb b
2 i
 a
4) On suppose que :  e 3
b
a) Montrer que est un APQR parallélogramme.
ba 
b) Montrer que arg    2  , en déduire que APQR est un rectangle.
pb 2
1) a) Vérifier que : 503 est entier premier.

b) Montrer que 7502  1503 , en déduire que 72008  1503 .
2) On considère dans Z l’équation : (E) : 49x  6y  1 .
2
2
sachant que le couple (1 ; 8) est une solution particulière de l’équation ( E ) , résoudre dans Z l’équation ( E )
avec la mise évidence des étapes de la résolution.
3) On pose N  1  7  7  7  ....  7
2 3 2007
.
2006
a) Montrer que le couple (7 ; N) est solution de l’équation ( E ) .
b) En déduire que N est divisible par 2012 .
c) Montrer que N  04 et N  0503
Bon Courage
Partie : I On rappelle que (M 3 (IR) ,  , ) est un anneau unitaire non commutatif et non intègre dont le zéro est
4 heures *** Page : 5/18 *** Coef : 10
 5 1 
 0
0  1 0 0
 2   
On pose A 0

 2  1

et I   0 1 0  .
 0 1 1  0 0 1
   
 
1) Calculer : I  A et A 2 .
2) En déduire que la matrice A admet un inverse dans (M 3 (IR) ,  ) qu’on déterminera.
Partie : II Pour tous a et b éléments de I   1 ,    , on pose : a * b  a2b2  a2  b2  2  
2
 
1) Vérifier que : ( x, y )  IR 2 ; x2y 2  x2  y 2  2  (x2  1)( y 2  1)  1 .
2) Montrer que la loi * est une loi de composition interne dans I .
3) On rappelle que (IR * , ) est un groupe commutatif.
3) On considère l’application  définie de IR* dans I par : x  IR * ; (x)  x  1
a) Montrer que l’application  est un homomorphisme bijectif de (IR * , ) dans ( I , *) .
b) En déduire la structure de ( I , *) .
4) On pose H   1  2 /m  Z, Montrer que (H , ) est un sous-groupe de (I , *) .
m

Partie I :
On considère dans ₵ l’équation : (E) : iz 2  2  i az  (1  i )a2  0 , où a est un complexe non nul.
1) Déterminer z1 et z 2 solutions de l’équation ( E ) .
2) a) vérifier que : z1z 2  a2 (i  1) .
 3   
b) Montrer que : ( z1z 2 est un réel)  arg( a) 
8  2 
Partie II : Soit c un nombre complexe non nul et c un nombre complexe non nul.
3) On considère les points A , B , C , D et M d’affixes respectifs : 1 , (1  i ) , c , ic et z .
a) Montrer que : ( A , D et M sont alignés)  (ic  1)z  (ic  1)z  2ic
b) Montrer que : ( AD )  (OM )  (ic  1)z  (ic  1)z  0
4) Soit h l’affixe du point H la projection orthogonale du point O sur la droite ( AD )
i
a) Montrer que : h  (1  i )  (h  c)
c
b) En déduire que : BH  CH 
(E) : 143x  195y  52 .

2
1) a) Déterminer le plus grand diviseur commun des nombres 143 et 195 , en déduire que l’équation (E)
2
admet au moins une solution dans Z .
b) Sachant que le couple (1 ; - 1 ) est une solution particulière de (E) , Déterminer la solution générale de
2
l’équation (E) dans Z .
2) Soit n un entier naturel non nul et premier avec 5 , montrer que (k  IN ) ; n4k  1 5.
3) Soient x et y deux nombres entiers non nuls tels que x  y 4 .
a) Montrer que : (k  IN* ) ; nx  ny 5
b) En déduire que : (k  IN* ) ; nx  ny 10
4 heures *** Page : 6/18 *** Coef : 10
4) Soient x et y deux entiers naturels non nuls tels que le couple ( x ; y ) soit solution de l’équation (E) .
*
Montrer que quel que soit n de IN : les nombres n x et n y ont le même chiffre des unités dans le système
de numération décimal.
Bon Courage
Pour tout éléments x et y de l’intervalle I   0 , 1  , on pose : x * y 

xy
xy  (1  x )(1  y )
1) a) Montrer que * est une loi de composition interne dans I .

2) On considère les deux ensembles : H  2n /n  Z et K   n
 1
 
/n  Z
2  1 
a) Montrer que H est un sous groupe de (IR  , ) .
*
1
b) On considère l’application  définie de H dans I par : f ( x) 
x1
Montrer que  est un homomorphisme de ( H,) vers (I,*) .
En déduire que (K ,*) est un sous-groupe de (I,*) .
Partie I : On considère dans l’ensemble ₵ l’équation : (E) : z 3  1  2i z 2  31  i z  101  i   0

1) Montrer que le nombre  2i est une solution de l’équation ( E )
2) Déterminer les deux nombres complexes  et  tels que :
(z  C) : 
z 3  1  2i z 2  31  i z  101  i   z  2i  z 2  z   
a) Déterminer les deux racines carrées du nombre complexe ( 5  12i )
b) Résoudre dans l’équation ( E ) .
On considère les points deux à deux A , B et C d’affixes respectifs a  1  3i , b  2i et c  2  i .
1) Montrer que ABC est un triangle rectangle et isocèle de sommet C .
  2
2) Soit R1 la rotation de centre B et d’angle et R 2 la rotation de centre A et d’angle .
3 3
Soit M un point du plan d’affixe z On pose : M1  R1 (M) et M2  R2 (M) .
1 i 3 
a) Vérifier que l’expression analytique de la rotation R1 est : z1   z  3  i .

 2 
b) Déterminer z 2 affixe de M1 en fonction de z .
4 heures *** Page : 7/18 *** Coef : 10
c) En déduire que I , milieu du segment M1M2  est un point fixe.

Soit x un nombre entier naturel tel que : 10x  2 19 .

1) a) Vérifier que : 10x  1  1 19
b) Montrer que 1018  1 19
2) Soit d un diviseur commun de ( x  1) et 18
a) Montrer que 10d  1 19 .
b) Montrer que d  18 .
c) En déduire que : x  17 18
Bon Courage

Partie : I On rappelle que (M 3 (IR) ,  , ) est un anneau unitaire non commutatif et non intègre dont le zéro est
 2 
 2 0  1 0 0
 2 2   
 0
On pose A

2
2
 2
2  et I   0 1 0  .
   0 0 1
   
 0 0 1
On pose : A  I , A  A , A2  A  A , en général An 1  An  A .
0 1
1) Montrer que : k  IN ; A2k  I

1
2) Montrer que la matrice A admet un inverse A qu’on déterminera.
Partie : II Soit  un nombre réel strictement positif.
1) Pour tout x et y de l’intervalle I    ,    , on pose : x * y  ( x   )( y   )  
a) Montrer que * est une loi de composition interne dans I .
1
2) On considère l’application  définie de I dans IR* par : x  I ; (x) 
x
a) Montrer que l’application  est un homomorphisme bijectif de ( I , *) dans (IR * , ) .
b) Résoudre dans l’ensemble I l’équation x(3)   3   avec x(3)  x * x * x

Partie I : Soit m un nombre complexe non nul.
On considère dans l’ensemble ₵ l’équation : (Em ) : z 2  (1  i )m  4z  im 2  2(1  i )m  4  0
1) Vérifier que z1  2  m est une solution de l’équation (Em ) .
2) Soit z 2 la deuxième solution de l’équation (Em ) .
a) Montrer que : ( z1z 2  1  im 2  2(1  i )  3  0 )
b) Déterminer la valeur de m tel que z1z 2  1
Partie II :
4 heures *** Page : 8/18 *** Coef : 10

On considère l’application  qui à tout point M d’affixe z associe le point M ' d’affixe z ' tel que : z'   z  2 .

Soit la rotation R de centre  d’affixe   1  i et d’angle et z" l’affixe du point M" image du point M
2
par la rotation R .
1) a) Montrer que l’application  est la symétrie centrale de centre le point K d’affixe 1 .
b) Montrer que z"  iz  2 .
2) On suppose que le point M est distinct du point O , origine du repère et soit A le point d’affixe 2 .
z"  2
a) Calculer ' , en déduire la nature du triangle AM'M''
z 2
b) Déterminer l’ensemble des points M tels que les points A ,  , M ' et M'' soient cocycliques.
Soit N le nombre entier dont l’écriture dans le système de numération décimal est : N  111
  .......
 11 .
2010 foisle chiffre1
1) Montrer que N est divisible par 11 .

2) a) Vérifier que le nombre 2011 est premier et que: 102010  1  9N
b) Démontrer que le nombre 2011 divise le nombre 9N .
c) En déduire que le nombre 2011 divise le nombre N .
3) Démontrer que le nombre N est divisible par le nombre 22121 .
Bon Courage
On rappelle que (M 3 (IR) ,  , ) est un anneau unitaire non commutatif et non intègre dont le zéro est la
matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I .
 1 0 0
 
On pose pour tout x réel, M( x )   x 1 0  , soit l’ensemble: E  M(x) / x  IR .
 x 2 2x 1 
 
1) Montrer que E est une partie stable de (M 3 (IR) , )
2) a) Montrer que l’application  définie pour tout x réel par ( x)  M( x)
est un isomorphisme de (IR ,  ) vers (E , ) .
b) Montrer que (E , ) est un groupe commutatif.
c) Déterminer M 1 ( x) l’inverse de M ( x ) pour x  IR .
3) Résoudre dans l’ensemble E l’équation A5 X  B avec A  M( 2) et B  M(12)
 
4) Soit l’ensemble F  M(ln x) / x  IR* . Montrer que est un sous-groupe de (E , ) .
1) On considère dans l’ensemble ₵ l’équation : (E) : z  4iz  2  2i 3  0

2
 
a) Vérifier que le nombre a  1  i 2  3 est une solution de l’équation ( E ) .
b) En déduire b la deuxième solution de l’équation ( E ) .
 

i
2) a) Montrer que a  4 2  3 e .
2 6
b) Ecrire a sous forme trigonométrique.

i
3) On considère les points A , B et C d’affixes respectifs a , b et c  2i  2e 7 .
4 heures *** Page : 9/18 *** Coef : 10
Soit le cercle ( ) dont AB est l’un de ses diamètres.

a) Déterminer  l’affixe du point  , centre du cercle ( ) .
b) Montrer que O et C sont deux points du cercle ( ) .
ca
c) Montrer que le complexe est imaginaire pur.
cb

Deux boules rouges et dix boules blanches.
On tire au hasard les boules de l’urne l’une après l’autre sans remise jusqu’au tirage de la première boule
blanche et on arrête le tirage. Soit X la variable aléatoire égale au nombre de boules tirées .
3) a) déterminer les valeurs de la variable X.
b) Calculer la probabilité de l’événement X  1
c) Montrer que : pX  2 

5
33
d) Calculer la probabilité de l’événement X  3
13
4) a) Montrer que E( X)  . ( E( X ) est l’espérance mathématique de la variable X).
11
b) Calculer E( X2 ) en déduire V ( X ) ( V ( X ) est la variance de la variable X).
Bon Courage

Partie : I l’ensemble I   0 ,    est muni de la loi * telle que : ((a, b)  I 2 ) ; a * b  eln(a ) ln(b )
1) Montrer que * est commutative et associative dans I .
2) Montrer que * admet un élément neutre dans I , qu’on déterminera.
3) a) Montrer que (I  1,*) est un groupe commutatif.
b) Montrer que J   1 ,    est un sous-groupe du groupe (I  1,*) .
4) l’ensemble I   0 ,    est muni de la loi  . (  est le produit des nombres sur IR )
a) Montrer que la loi * est distributive par rapport à la loi  .
b) Montrer que la loi * est un corps commutatif.
 1 1  2
 
Partie : II On considère la matrice A    1  1 2
 2  2 0 

1) Calculer A 2 et A 3 .
2) En déduire que la matrice A n’a pas de matrice inverse.

1) a) Déterminer les racines carrées du complexe 3  4i
b) Résoudre dans ₵ l’équation : (E) : 4z 2  10iz  7  i  0
2) Soient a et b les deux solutions de l’équation ( E ) tel que Re(a )  0 et soient les deux points A et
B d’affixes respectifs a et b .
b
a) Vérifier que :  1  i
a
b) En déduire que le triangle AOB est isocèle rectangle en A .
4 heures *** Page : 10/18 *** Coef : 10

3) Soit C un point d’affixe c différent de A et D l’image du point B par la rotation de centre C et d’angle
2
Soit K l’image du point D par la translation de vecteur AO .
a) Déterminer c en fonction du nombre complexe d affixe du point A.
b) Déterminer en fonction de c le nombre complexe k affixe du point K .
kc
c) Déterminer l’écriture algébrique du nombre complexe , en déduire la nature du triangle ACK .
ac
1) Déterminer les nombres entiers naturels m tels que : m2  1  0 5 .

2) Soit p un entier naturel premier tel que : p  3  4k avec k  IN
et soit n un entier naturel tel que n2  1  0 p
a) Vérifier que (n2 )2k  1  1 p .
b) Montrer que n et p sont premiers entre eux.
c) En déduire que (n2 )2k  1  1 p
3) Déduire de ce qui précède qu’il n’existe aucun entier naturel n vérifiant la relation n2  1  0 p .
Bon Courage
On rappelle que (M2 (IR) , , ) est un anneau unitaire non commutatif et non intègre dont le zéro est la
matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I , et que (M2 (IR) , , .) est un espace vectoriel réel.
 a b
On pose pour tous réels a et b , M (a, b )   
 , soit l’ensemble: V  M(a, b) /(a, b)  IR 2 . 
 4b a 
1) Montrer que V est un sous-espace vectoriel de (M2 (IR) , , .) et déterminer une base de V .
2) a) Montrer que V est une partie stable de (M2 (IR) , )
b) Montrer que ( V ,  , ) est un anneau commutatif unitaire.
1 1 1 1
3) a) Calculer M( , )  M( , )
2 4 2 4
b) l’anneau ( V ,  , ) est-il un corps ?
 a b
4) Soit X une matrice de V telle que X    avec (a, b)  IR 2
 4b a 
a) Montrer que X  2aX  (a  4b )I  0 .
2 2 2
b) On suppose que a 2  4b 2  0
Montrer que X admet un inverse dans V qu’on déterminera.

Soit u un nombre complexe différent de (1  i )
1) a) Développer (iu  1  i )2
b) Résoudre dans ₵ l’équation d’inconnue z : (E) : z 2  2(u  1  i )z  2u2  4i  0
2) Soient les points A(1  i )u  2i  , B(1  i )u  2 , U(u ) et ( 2  2i ) .
a) Déterminer k l’affixe du point K milieu du segment AB  , puis déterminer le vecteur de la translation
qui transforme U en K .

b) Soit R la rotation de centre  et d’angle  . Montrer que : R( A )  B .
2
4 heures *** Page : 11/18 *** Coef : 10
c) En déduire que les droites (A ) et ( AB ) sont perpendiculaires.

d) A partir du point U expliquer une méthode de construction des points A et B .
3) On pose u  (1  i )a  2i tel que a IR .
a) Déterminer les affixes des vecteurs en AB et AU en fonction de a .
b) En déduire que les points A , B et U sont alignés.
n est un entier naturel tel que n  4

Une urne U1 contient n boules indiscernables au toucher : 1 Boule rouge et (n  1) boules noires.
Une urne U 2 contient n boules indiscernables au toucher : 2 Boule rouge et (n  2) boules noires.
On choisit une urne parmi les trois urnes précédentes puis on en tire simultanément deux boules.
Soit X la variable aléatoire égale au nombre de boules rouges tirées.
1) Déterminer les valeurs possibles de la variable aléatoire X.
2) a) Montrer que : pX  2 
8
3n(n  1)
4( 3n  7)
b) Montrer que : pX  1 
3n(n  1)
a) En déduire la loi de probabilité de la variable X.

3) Sachant que les deux boules tirées sont rouges, quelle est la probabilité pour qu’elles proviennent de l’urne
U3 ?
Bon Courage
x y 
On pose pour tout ( x, y )  IR*  IR : M( x, y )    .
 0 1/ x

Soit l’ensemble: F  M(x, y ) /( x, y )  IR*  IR . 
1) a) Montrer que F est une partie stable de (M2 (IR) , )
b) Montrer que (F , ) est un groupe non commutatif .
2) Soit G l’ensemble des matrices M( x,0) de F tel que x  IR*
Montrer que (G , ) est un sous-groupe du groupe (F , ) .
3) Soit E  IR*  IR .
L’ensemble E est muni d’une loi de composition interne  définie par :
 y
(( x, y )  E) ((a, b)  E) ; ( x, y )  (a, b)   ax , bx  
 a
On considère l’application  de (F , ) vers (E ,  ) définie par : (M( x, y ))  ( x, y )
a) Calculer : (1,1)  ( 2,3) et ( 2,3)  (1,1) .
b) Montrer que  est isomorphisme.
c) En déduire la structure de (E ,  ) .
4 heures *** Page : 12/18 *** Coef : 10
Soit m un nombre complexe différent de 1.

Partie I : On considère dans l’ensemble des nombres complexes ₵ l’équation (Em ) d’inconnue z :
(Em ) : z 2  (1  i )(m  1)z  i(m2  1)  0
1) a) Vérifier que   (1  i )(m  1) est le discriminant de l’équation (Em )
2
b) Résoudre l’équation (Em ) .

c) Déterminer les deux valeurs de m sous forme algébrique pour que le produit des solutions de l’équation
(Em ) soit égal à 1 .
2) On pose z1  1  im et z 2  m  i .

Dans le cas m  ei et     , écrire z1 et z 2 sous forme trigonométrique.
2
On considère les points M , M1 et M2 d’affixes respectifs m , z1  1  im et z 2  m  i .
3) Déterminer l’ensemble des points M tels les points M , M1 et M2 soient alignés.
4) a) Démontrer que la transformation R qui associe à tout point M ( z ) le point M' ( z' ) tel que : z'  1  iz
est une rotation dont on déterminera le centre et l’angle.
z  z1
b) Démontrer que le nombre 2 est imaginaire pur si et seulement si Re(m )  Im( m )  1 .
z2  m
c) En déduire l’ensemble des points M tels que les points  , M , M1 et M2 sont cocycliques.
Pour tout entier naturel non nul n , on pose : an  2n  3n  6n  1 .

1) a) Vérifier que pour tout entier naturel non nul n , le nombre an est pair.
b) Déterminer les valeurs de l’entier n pour lesquelles an  0 3 .
2) Soit p un entier premier tel que p  3 .
a) Montrer que : 2p 1  1 p et 3p 1  1 p et 6p 1  1 p .
b) Montrer que p divise a p  2 .
c) Montrer que pour tout entier naturel premier q , il existe un entier naturel non nul n tel que an  q  q .
Bon Courage
L’ensemble IR est muni de la loi de composition interne * définie par : x * y  x  y  3xy

1) a) Vérifier que : (( x, y )  IR 2 ) ; (1  3x)(1  3x)  1  3(x * y )
b) Montrer que (IR - 1/3 , *) est un groupe commutatif.
2) a) Montrer que l’application  définie pour tout x réel par ( x )  1  3x
est un isomorphisme de (IR - 1/3 , *) vers (IR* , ) .
b) Montrer que 1 (IR* )  -  , 1/3 vers est un groupe commutatif.
c) Montrer que -  , 1/3 , * est un sous-groupe du groupe (IR - 1/3 , *) .
3) Pour tout x de IR - 1/3 et pour tout n de IN on pose : x ( 0 )  0 et (n  IN) ; x( n 1)  x( n ) * x
a) Montrer que : (x  IR - 1/3) (n  IN ) ; x( n )   ( x)
n
(n )
b) En déduire x en fonction de x et de n .
1
4) L’ensemble IR est muni de la loi de composition interne T définie par : x * y  x  y 
3
4 heures *** Page : 13/18 *** Coef : 10
a) Montrer que (IR , T) est un groupe commutatif.

b) Montrer que (IR , T, *) est un corps commutatif.
1 i 3 3i
On considère l’application r qui à tout point M ( z ) associe le point M1 (z1 ) tel que : z 1  z .
2 2
Et l’application h qui à tout point M ( z ) associe le point M2 (z 2 ) tel que : . On pose : F  hor
z 2  2z  3i
1) Déterminer la nature de chacune des applications r et h .
2) On considère les points (i ) et A(a ) tel que a est un complexe donné différent de i .
On pose : B  F( A ) , C  F(B ) et D  F(C) .
4
i
a) Montrer que si le point M' ( z ' ) est l’image de M ( z ) par l’application F alors z'  i  2e 3 ( z  i ) .
b) Vérifier que  est le seul point vérifiant F()  
3) a) Déterminer en fonction du nombre complexe a , les nombres complexes b , c et d affixes respectifs des
points B , C et D .
b) Montrer que les points  , A et D sont alignés.
c) Montrer que le point  est le barycentre du système pondéré (B,4);(C,2);(D,1)
d) Déterminer l’ensemble des points A(a ) pour que le point D appartienne à l’axe des réels ( des
abscisses).

trois boules rouges et une boule blanche.
On tire au hasard les boules de l’urne l’une après l’autre avec remise jusqu’à obtenir deux boules successives de
même couleur et on arrête le processus du tirage. Soit X la variable aléatoire égale à l’ordre de la boule de la
dernière boule tirée.
1) Calculer la probabilité de de chacun des événements X  2 et X  3 .
2) Soit k un entier naturel non nul.
Calculer la probabilité de l’événement X  1
k 1
5 3 
a) Montrer que : pX  2k    
8  16 
k
 3
b) Montrer que : pX  2k  1   
 16 
Bon Courage
On rappelle que ( IR , , ) est un corps commutatif et (M2 (IR) , , ) est un anneau unitaire non commutatif et
 1 0  0 3   a b 3 
On pose I    , J    . Pour tout couple (a, b)  IR , on pose M(a, b)  
2
 0 1  - 1/ 3 0   - b/ 3 a 
4 heures *** Page : 14/18 *** Coef : 10

2

1) a) Montrer que E est un sous-espace vectoriel de (M2 (IR) , , .) .
b) Montrer que (I , J ) est une base de l’espace vectoriel E .
(a, b)  IR ; (a  ib )  M(a, b)
2
a) Montrer que E est une partie stable de (M2 (IR) , )

b) Montrer que  est un isomorphisme de (IR* , ) vers (E* , )
4) Résoudre dans l’ensemble E l’équation J  x 3  I avec x3  x  x  x
Soit a un nombre complexe non nul et a son conjugué.

Partie I : On considère dans l’ensemble des nombres complexes ₵ l’équation (Ea ) d’inconnue z :
(Ea ) : iz 2  (a  a  i )z  a  iaa  0
1) a) Vérifier que   (a  a  i )2 est le discriminant de l’équation (Ea )
b) Résoudre l’équation (Ea ) .
2) Montrer que a est solution de l’équation (Ea ) si et seulement si Re(a)  Im( a) .
Partie II : le plan complexe est rapporté au repère orthonormé direct O , u , v .  

On suppose que Re(a )  Im( a )
On considère les points A , B et C d’affixes respectifs a , ia et (1  ia ) .
(1  i a )  a
3) On pose : z  .
iaa
(i  1)a  i
a) Vérifier que : z 
iaa
1
b) Montrer que les points A , B et C sont alignés si et seulement si Im( a ) 
2
1
4) On suppose dans cette question que Im( a)  .
2
 
Soit R1 la rotation de centre A et d’angle  et R 2 la rotation de centre A et d’angle
2 2
On pose : R1 (B)  B et R 2 (C)  C . Soit
' '
E le milieu de BC.
a) Déterminer b et c les affixes respectifs des points B ' et C ' .
' '
b) Montrer que les droites ( AE ) et (B'C' ) et que B'C'  2AE .

4 heures *** Page : 15/18 *** Coef : 10
Partie : I On considère dans Z2 l’équation : (E) : 35u  96 v  1 .

1) Montrer que le couple (11 ; 4 ) est une solution particulière de (E) .
2) Déterminer l’ensemble solution de l’équation (E) .
Partie : II On considère dans Z l’équation : (F) : x35  2 97 .
1) Soit x une solution de l’équation (F ) .
a) Montrer que le nombre 97 est premier et que les nombres x et 97 sont premiers entre eux.
b) Montrer que : x96  1 97
c) Montrer que : x  211 97
2) Montrer que si le nombre entier x vérifie la condition x  211 97, alors x est solution de l’équation (F) .
3) Montrer que l’ensemble solution de l’équation (F) est l’ensemble des nombres entiers naturels de la forme
11 97k avec k  IN .
Bon Courage
a  b -b 
2
 5b a  3b 
 
On considère l’ensemble F  M(a, b)/ (a, b)  IR . On pose I  M(1,0) , J  M(0,1) et 0  M( 0,0)
2
1) a) Montrer que (F ,  , .) est un espace vectoriel réel.

b) Montrer que (I, J ) est une base de l’espace vectoriel réel (F ,  , .) , en déduire sa dimension.
2) a) Montrer que E est une partie stable de (M2 (IR) , ) .
3) Soit  un nombre complexe n’appartenant pas à IR . Montrer que (1,  ) est une base de l’espace vectoriel
(C ,  , .) réel .
4) Soit  l’application de C vers F définie par :
m  n n 
(m, n)  IR  2
(m  in )  M(m, n )  
; 
m  3n 
 5n
a) Vérifier que J 2  2(I  J ) et (  )  J
b) Déterminer les deux valeurs de  pour lesquelles l’application  est un isomorphisme de (C , ) vers
( F , )
c) On prend   1 i . Ecrire la matrice J 2007 dans la base Montrer que J 2  2(I  J ) .

 
.
2 2
On considère l’ensemble (H)  M(z )  (P) / z 2  z  z  1
1) a) Déterminer une équation cartésienne de l’ensemble ( H ) .
b) Montrer que ( H ) est une hyperbole et déterminer son centre, ses sommets et ses asymptotes dans le

repère O , u , v . 
4 heures *** Page : 16/18 *** Coef : 10
c) Construire ( H ) .
2) M (a ) et M (b ) sont deux points de ( H ) . On pose (a, b )  ab  ab  ab
a) Montrer que M((a, b ))  ( H )
b) Montrer que (a,1)  1 et que (a, a )  1
3) L’ensemble est muni de la loi de composition interne (*) telle que pour tout M (a ) et M (b ) de ( H ) :
M(a) * M(a)  M((a, b )) . Montrer que ( H),* est un groupe commutatif.
 x  a p 
Soit dans Z le système (S ) suivant :  où a , b , p et q des entiers relatifs tels que p  q  1 .
 x  b q 
1) a) montrer qu’il existe un couple (u0 ; v 0 ) de Z2 vérifiant : u0p  v0q  1 .
b) Montrer que x0  bpu 0  aqv 0 est une solution du système (S ) .
2) Soit x une solution du système (S ) , montrer que le nombre pq divise le nombre x  x0 .
3) Soit x un entier relatif tel que pq divise le nombre x  x0 , montrer que x est solution du système (S ) .
4) En déduire l’ensemble solution du système (S ) .
 x  1 8
5) Résoudre dans le système : 
 x  3 13

On dispose de n urnes numérotées de 1 à n.
L’urne numéro k (1  k  n ) contient n boules indiscernables au toucher : k Boule blanches et (n  k )
boules noires.
On choisit une urne parmi les urnes précédentes puis on en tire une seule boule.
1) Calculer la probabilité de tirer une boule blanche.
2) Calculer la probabilité pour que le tirage se fait d’une urne portant un numéro impaire.
3) Calculer la probabilité de tirer une boule blanche, sachant qu’elle provienne d’une urne portant un numéro
impaire.
Bon Courage
 
Partie : I Soit l’ensemble E  IR  1 / 2 . On pose pour tout couple (a , b ) de E : a  b  a  b  ab 2
1 1
1) a) Montrer que pour tout couple (a , b ) de E : a  b   (a 2  1)(b 2  1)
2 2
b) Montrer que la loi  est une loi de composition interne dans E .
2) Montrer que (E,  ) est un groupe commutatif.
Partie : II On rappelle que (M2 (IR) , , ) est un anneau unitaire dont le zéro est la matrice nulle 0 et dont
l’unité est la matrice identique I et que (M2 (IR) , , .) est un espace vectoriel réel.
1  2 -a a 
Pour tout couple a  E , on pose M(a)  
2  a 2 - a 
On considère l’ensemble F  M(a)/a  IR
4 heures *** Page : 17/18 *** Coef : 10
 2 -a a  a
1) a) On pose : A    . vérifier que A 2
 2 A et que M ( a )  I  A
 a 2 - a  2
b) Montrer que F est une partie stable de (M2 (IR) , ) .
2) Soit  l’application de (E ,  ) vers (F , ) définie par :
a  E ; (a)  M(a)
a) Montrer que  est un isomorphisme .
b) En déduire la structure de (F , ) .
Soit a un nombre complexe non nul.

Partie I :
1) a) Vérifier que le nombre u  a  i est une solution de l’équation :
(E) : z 2  (1  a)(1  i )z  (1  a2 )i  0
b) Déterminer v la deuxième solution de l’équation ( E ) .
2) On suppose que a  1 .
u
a) Montrer que :  IR .
v

b) Vérifier que : u 2  a (a  a)  2i 

c) En déduire que : arg( u )  arg( a)   
4
3) Montrer que : u  v  2
Partie II : le plan complexe est rapporté au repère orthonormé direct O , e1 , e2 .  
Soit m un nombre réel strictement plus grand que 2 . (Em ) est l’ensemble des points M (a ) du plan complexe tel
que : u  v  m
1) Montrer que l’ensemble est ellipse de centre O origine du repère.
2) On pose : a  x  iy où x et y sont deux nombres réels.
 4  m2
a) Montrer que l’équation cartésienne de l’ellipse (Em ) est : x2   1  2 y 2  1
 m  4
b) Construire l’ellipse (E4 ) .
 
c) Soient les points A 3 et B2i  sommets de l’ellipse (E4 ) . Montrer que la droite ( AB ) est tangente à
 
l’ellipse  E .
 8

 7 
(E) : 195x  232y  1 .

2
1) a) Déterminer le plus grand diviseur commun des nombres 232 et 195 .
b) Montrer que l’ensemble solution de l’équation (E) est S  (163  232k ; 137  195k ) / k  Z.
c) Déterminer l’unique entier naturel d vérifiant les relations : 0  d  232 et 195d  1 232
2) Montrer que le nombre 233 est premier .
3) Soit A l’ensemble des nombres entiers compris entre 0 et 233 . On considère l’application f de A vers
A définit par : quel que soit a de A , f (a ) est le reste de la division euclidienne du nombre a195 par 233 .
On admet que (a  A  0) ; a232  1 232
a) Montrer que quels que soient a et b de A , si f (a )  f (b ) alors a  b
b) En déduire que l’application est une bijection, puis déterminer sa bijection réciproque f 1 .
4 heures *** Page : 18/18 *** Coef : 10
Analyse integrales
4 heures *** Page : 1/2 *** Coef : 10
On rappelle que (M3 (IR) ,  , ) est un anneau unitaire non commutatif et non intègre dont le zéro est la
 1 0 0
 
On pose pour tout x réel, M( x)   x 1 0  , soit l’ensemble: E  M(x) / x  IR .
 x 2 2x 1 
 
1) Montrer que E est une partie stable de (M3 (IR) , )
2) a) Montrer que l’application  définie pour tout x réel par (x)  M(x)
est un isomorphisme de (IR ,  ) vers (E , ) .
b) Montrer que (E , ) est un groupe commutatif.
c) Déterminer M1 ( x) l’inverse de M( x) pour x IR .
3) Résoudre dans l’ensemble E l’équation A5 X  B avec A  M(2) et B  M(12)
 
4) Soit l’ensemble F  M(ln x) / x  IR * . Montrer que est un sous-groupe de (E , ) .
1) On considère dans l’ensemble ₵ l’équation : (E) : z 2  4iz  2  2i 3  0

 
a) Vérifier que le nombre a  1  i 2  3 est une solution de l’équation (E) .
b) En déduire b la deuxième solution de l’équation (E) .
 

i
2) a) Montrer que a2  4 2  3 e 6 . b) Ecrire a sous forme trigonométrique.

i
3) On considère les points A , B et C d’affixes respectifs a , b et c  2i  2e 7 .
Soit le cercle ( ) dont AB  est l’un de ses diamètres.
a) Déterminer  l’affixe du point  , centre du cercle ( ) .
b) Montrer que O et C sont deux points du cercle ( ) .
ca
c) Montrer que le complexe est imaginaire pur.
cb

Deux boules rouges et dix boules blanches.
On tire au hasard les boules de l’urne l’une après l’autre sans remise jusqu’au tirage de la première boule
blanche et on arrête le tirage. Soit X la variable aléatoire égale au nombre de boules tirées .
1) a) déterminer les valeurs de la variable X.
b) Calculer la probabilité de l’événement X  1
c) Montrer que : pX  2 

5
33
d) Calculer la probabilité de l’événement X  3
13
2) a) Montrer que E( X)  . ( E( X) est l’espérance mathématique de la variable X).
11
b) Calculer E( X2 ) en déduire V( X) ( V( X) est la variance de la variable X).
4 heures *** Page : 2/2 *** Coef : 10
Partie I :
On considère la fonction f définie sur I  0 , 1 par : f (1)  0 et f ( x) 
1
; 0 x1
1  ln(1  x)
1) Montrer que la fonction f est continue à gauche au point 0. 0,5 pts
2) Etudier la dérivabilité de la fonction f à gauche au point 0. 0,5 pts
3) Etudier les variations de la fonction f sur l’intervalle I puis dresser son tableau de variations. 0,75 pts
e  1 0,5 pts
4) a) Montrer que la courbe Cf  admet un point d’inflexion unique d’abscisse .
e
b) Construire la courbe Cf  et sa demi-tangente à droite au point 0. 0,75 pts
5) Montrer qu’il existe un réel unique  dans l’intervalle I vérifiant : f ()   0,5 pts
6) a) Montrer que la fonction I est une bijection de I vers I . 0,5 pts
b) Déterminer f 1 ( y ) pour tout y de I . 0,5 pts
Partie II :
1 1
On pose I 0   f (t )dt et pour tout entier non nul n : In   t nf (t )dt considère.
0 0
1) Montrer que que la suite (In )n  0 est décroissante en déduire qu’elle est convergente. 0,75 pts
2) Montrer que : n  0 ; 0  In 

1
puis déterminer la limite de la suite (In )n  0 .
n1
Partie III :
Pour tout réel x de l’intervalle J  0 , 1 et pour tout entier naturel non nul n on pose :
x f (t ) k n
dt et Sn ( x)   Fk ( x)
x x
F0 ( x)   f (t )dt et Fn ( x)   t nf (t )dt et F( x)  
0 0 0 1 t
k 0
t n  1f (t )
1) Montrer que : n  IN  x  J  ; F( x)  Sn ( x)  
x
dt 1 pts
0 1 t
2) a) Montrer que la fonction x  (1  x)(1  ln(1  x)) est strictement décroissante sur J . 0,5 pts
f (t )
b) En déduire que la fonction t  est strictement croissante sur 0 , x pour tout x de J . 0,5 pts
1 t
1  1  1 pts
3) a) Montrer que : n  IN  x  J  ; 0  F( x)  Sn ( x)   
n  2 1 x 
b) En déduire que pour tout x de l’intervalle J : lim Sn (x)  F(x) . 0,5 pts
n 
0,5 pts
4) a) Déterminer F( x) pour tout x de l’intervalle J .
b) Déterminer la limite: lim  F(x) . 0,25 pts
x 1
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10

Partie : I l’ensemble I   0 ,    est muni de la loi * telle que : ((a, b)  I 2 ) ; a * b  eln(a ) ln(b )
1) Montrer que * est commutative et associative dans I .
2) Montrer que * admet un élément neutre dans I , qu’on déterminera.
3) a) Montrer que (I  1,*) est un groupe commutatif.
b) Montrer que J   1 ,    est un sous-groupe du groupe (I  1,*) .
4) l’ensemble I   0 ,    est muni de la loi  . (  est le produit des nombres sur IR )
a) Montrer que la loi * est distributive par rapport à la loi  .
b) Montrer que la loi * est un corps commutatif.
 1 1  2
 
Partie : II On considère la matrice A    1  1 2
 2  2 0 

1) Calculer A 2 et A 3 .
2) En déduire que la matrice A n’a pas de matrice inverse.

1) a) Déterminer les racines carrées du complexe 3  4i
b) Résoudre dans ₵ l’équation : (E) : 4z 2  10iz  7  i  0
2) Soient a et b les deux solutions de l’équation (E) tel que Re(a)  0 et soient les deux points A et
B d’affixes respectifs a et b .
b
a) Vérifier que :  1  i
a
b) En déduire que le triangle AOB est isocèle rectangle en A .

3) Soit C un point d’affixe c différent de A et D l’image du point B par la rotation de centre C et d’angle
2
Soit K l’image du point D par la translation de vecteur AO .
a) Déterminer c en fonction du nombre complexe d affixe du point A.
b) Déterminer en fonction de c le nombre complexe k affixe du point K .
kc
c) Déterminer l’écriture algébrique du nombre complexe , en déduire la nature du triangle ACK .
ac
1) Déterminer les nombres entiers naturels m tels que : m2  1  0 5 .

2) Soit p un entier naturel premier tel que : p  3  4k avec k  IN
et soit n un entier naturel tel que n2  1  0 p
a) Vérifier que (n2 )2k 1  1 p .
b) Montrer que n et p sont premiers entre eux.
c) En déduire que (n2 )2k 1  1 p
3) Déduire de ce qui précède qu’il n’existe aucun entier naturel n vérifiant la relation n2  1  0 p.
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
Partie :I
Soit la fonction f définie sur l’intervalle I   0 ,    par: f (x)  4x e- x
2

1) Calculer lim f ( x) . 0,25 pts
x 
2) Etudier les variations de la fonction f sur  0 ,    puis dresser son tableau de variations. 0,5 pts
3) Déterminer l’équation de la demi-tangente de Cf  à l’origine du repère puis construire Cf  . 0,5 pts
est un point d’inflexion à la courbe Cf  )

3
(On admet que le point d’abscisse
2
4) Calculer l’intégrale : a   f ( x)dx , en déduire en cm 2 l’aire du domaine délimité par la courbe Cf  , les
1
axes de coordonnées et la droite d’équation x  1 . 0,5 pts
Partie :II

On considère la fonction fn définie sur l’intervalle 0 ,    par: fn (x)  4xn e- x
2
1) a) Montrer que : x  1 ; e x  e x . 0,5 pts

2
b) En déduire la limite de la fonction f n quand x tend vers   . 0,5 pts

2) Etudier les variations de la fonction f n puis dresser son tableau de variations. 0,5 pts
3) Montrer que pour tout n  2 , il existe un réel unique un  0;1 tel que fn (un )  1 0,5 pts
4) a) Vérifier que n  2 ; fn 1 (un )  un . 0,5 pts

b) Dresser le tableau de variations de la fonction f . 0,25 pts
5) On pose : L  lim un . 0,75 pts
x 
a) Montrer que : 0  L  1 . 0,5 pts
b) Montrer que : n  0 ;

- ln4 1 ln4
 ln(un )   . 0,5 pts
n n n
c) En déduire que : L  1 . 0,5 pts
Exercice .5 Bac National Sc maths - 20ͳͲ - Session : ͳ 3,75 points
2x 1
On considère la fonction F définie sur IR * par : F( x)   dt
x ln(1  t 2 )
1) Montrer que la fonction g est impaire. 0,5 pts
2) On pose pour tout x de l’intervalle  0 ,    : ( x)  

x 1
dt
1 ln(1  t 2 )
a) Vérifier que : x  0 ; F(x)  (2x)  (x) . 0,25 pts
b) Montrer que F est dérivable sur l’intervalle  0 ,    puis calculer F' ( x) pour tout x  0 . 0,5 pts
c) En déduire le sens de variations de F sur  0 ,    . 0,5 pts
x  0 c  x;2x ; F(x)  x 2 0,5 pts

3) a) En utilisant le TAF montrer que : ln(1  c ) .
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
b) en déduire que : x  0 ;

x x
 F(x) 
ln(1  4x ) ln(1  x2 )
2 0,5 pts
F( x ) 0,5 pts
c) Déterminer les limites : lim F( x) et lim F( x) et lim
x0  x   x   x
 e -1 
d) Vérifier que : F 
  e - 1 et F e - 1  e - 1 0,5 pts
 
 2  2
En déduire que l’équation : F(x)  x admet une solution unique dans l’intervalle  0 ,   
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
On rappelle que (M2 (IR) ,  , ) est un anneau unitaire non commutatif et non intègre dont le zéro est la
matrice nulle 0 et dont l’unité est la matrice identique I , et que (M2 (IR) ,  , .) est un espace vectoriel réel.
 a b
On pose pour tous réels a et b , M(a, b)   
 , soit l’ensemble: V  M(a, b) /(a, b)  IR 2 . 
 4b a 
1) Montrer que V est un sous-espace vectoriel de (M2 (IR) ,  , .) et déterminer une base de V .
2) a) Montrer que V est une partie stable de (M2 (IR) , )
b) Montrer que (V ,  , ) est un anneau commutatif unitaire.
1 1 1 1
3) a) Calculer M( , )  M( , )
2 4 2 4
b) l’anneau (V ,  , ) est-il un corps ?
 a b
4) Soit X une matrice de V telle que X    avec (a, b)  IR 2
 4b a 
a) Montrer que X  2aX  (a  4b )I  0 .
2 2 2
b) On suppose que a2  4b2  0

Montrer que X admet un inverse dans V qu’on déterminera.

Soit u un nombre complexe différent de (1  i )
1) a) Développer (iu  1  i )2
b) Résoudre dans ₵ l’équation d’inconnue z : (E) : z 2  2(u  1  i )z  2u2  4i  0
2) Soient les points A(1  i )u  2i  , B(1  i )u  2 , U(u) et (2  2i ) .
a) Déterminer k l’affixe du point K milieu du segment AB  , puis déterminer le vecteur de la translation
qui transforme U en K .

b) Soit R la rotation de centre  et d’angle  . Montrer que : R( A)  B .
2
c) En déduire que les droites (A) et ( AB ) sont perpendiculaires.
d) A partir du point U expliquer une méthode de construction des points A et B .
3) On pose u  (1  i )a  2i tel que a IR .
a) Déterminer les affixes des vecteurs en AB et AU en fonction de a .
b) En déduire que les points A , B et U sont alignés.
n est un entier naturel tel que n  4

Une urne U1 contient n boules indiscernables au toucher : 1 Boule rouge et (n  1) boules noires.
On choisit une urne parmi les trois urnes précédentes puis on en tire simultanément deux boules.
Soit X la variable aléatoire égale au nombre de boules rouges tirées.
1) Déterminer les valeurs possibles de la variable aléatoire X.
2) a) Montrer que : pX  2 
8
3n(n  1)
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
4( 3n  7)
b) Montrer que : pX  1 
3n(n  1)
c) En déduire la loi de probabilité de la variable X.
3) Sachant que les deux boules tirées sont rouges, quelle est la probabilité pour qu’elles proviennent de l’urne
U3 ?
Partie I :
On considère la fonction g définie sur IR  par : g(x)  2 1  e x  x  
1) a) Etudier les variations de la fonction g . 0,5 pts
b) Dresser le tableau de variations de g . 0,5 pts
2) a) Montrer que l’équation g(x)  0 admet une solution unique   ln4 ; ln6 . 0,5 pts
( On prend ln2  0,7 et ln3  1,1 )

b) Etudier le signe de g( x) dans IR  . 0,5 pts
1) On considère la suite ( Un )n  0 définie par: U0  0 et n  IN  ; Un 1  2(1  e Un )
a) Montrer que : n  IN  ; 1  Un   . 0,5 pts
b) Montrer que : n  IN  ; Un  1  Un  g(Un ) . 0,25 pts
c) Montrer que la suite ( Un )n  0 est strictement croissante. 0,25 pts
0,5 pts
d) Montrer que la suite ( Un )n  0 est convergente et calculer lim Un .
n 
Partie II :
1  ex
Soit la fonction f définie sur IR * par : f ( x) 
x2
Cf  est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé O ; i ; j .
0,5 pts
1) Calculer lim f ( x) et lim f ( x) et lim f ( x) .
x0 x  x 
1
2) a) Vérifier que : f ()  . 0,5 pts
(  2)
b) Montrer que f (x)  g(x)e x pour tout x de IR * puis dresser le tableau de variations de f.
'
0,75 pts .
3) Tracer la courbe Cf  . ( On prend   1,5 ) 1 pts
Partie III :
On considère la fonction F définie sur  0 ,    par :

1  et
x  0 ; F(x)  x
2x
F(0)   ln 2 et dt
t2
e 2 x  1 e x  1 2 x et
1) a) En utilisant une intégration par parties montrer que : x  0 ; F(x)    dt
2x x x t
et
b) montrer que : x  0 ; e ln 2  
2x
x
dt  e2 x ln 2 0,5 pts 0,5 pts
x t
et 2x
c) Calculer lim  dt en déduire que la fonction est continue à droite au point 0 . 0,5 pts
x0 x t
1  ex
2) a) Montrer que : x  0 ; F(x)  0,25 pts
2x
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
b) Calculer lim F( x) 0,25 pts

x 
2
1e  1
Montrer que F est dérivable sur l’intervalle  0 ,    et que : F ( x)  
x
3) '
 0,5 pts
2 x 
4) a) Soit x un élément de l’intervalle  0 ,    , Montrer qu’il existe un réel c de  0 , x  tel que:
1
F( x)  F(0)   xe2c . 0,75 pts (utiliser le TAF deux fois)
2
b) Montrer que pour tout x de l’intervalle  0 ,    ,
1 F( x)  F(0) 1
 e2x   . 0,75 pts
2 x 2
1
c) En déduire que la fonction F est dérivable à droite au point 0 et que Fd' (0)   . 0,25 pts
2
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
x y 
On pose pour tout ( x, y )  IR*  IR : M( x, y )    .
 0 1/ x

Soit l’ensemble: F  M(x, y ) /( x, y )  IR*  IR . 
1) a) Montrer que F est une partie stable de (M2 (IR) , )
b) Montrer que (F , ) est un groupe non commutatif .
2) Soit G l’ensemble des matrices M( x,0) de F tel que x  IR*
Montrer que (G , ) est un sous-groupe du groupe (F , ) .
3) Soit E  IR*  IR .
L’ensemble E est muni d’une loi de composition interne  définie par :
 y
(( x, y )  E) ((a, b)  E) ; ( x, y )  (a, b)   ax , bx  
 a
On considère l’application  de (F , ) vers (E ,  ) définie par : (M( x, y ))  ( x, y )
a) Calculer : (1,1)  ( 2,3) et ( 2,3)  (1,1) .
b) Montrer que  est isomorphisme.
c) En déduire la structure de (E ,  ) .
Soit m un nombre complexe différent de 1.

Partie I : On considère dans l’ensemble des nombres complexes ₵ l’équation (Em ) d’inconnue z :
(Em ) : z 2  (1  i )(m  1)z  i(m2  1)  0
1) a) Vérifier que   (1  i )(m  1) est le discriminant de l’équation (Em )
2
b) Résoudre l’équation (Em ) .

c) Déterminer les deux valeurs de m sous forme algébrique pour que le produit des solutions de l’équation
(Em ) soit égal à 1 .
2) On pose z1  1  im et z 2  m  i .

Dans le cas m  ei et     , écrire z1 et z 2 sous forme trigonométrique.
2
On considère les points M , M1 et M2 d’affixes respectifs m , z1  1  im et z 2  m  i .
1) Déterminer l’ensemble des points M tels les points M , M1 et M2 soient alignés.
2) a) Démontrer que la transformation R qui associe à tout point M ( z ) le point M' ( z' ) tel que : z'  1  iz
est une rotation dont on déterminera le centre et l’angle.
z  z1
b) Démontrer que le nombre 2 est imaginaire pur si et seulement si Re(m )  Im( m )  1 .
z2  m
c) En déduire l’ensemble des points M tels que les points  , M , M1 et M2 sont cocycliques.
Pour tout entier naturel non nul n , on pose : an  2n  3n  6n  1 .

1) a) Vérifier que pour tout entier naturel non nul n , le nombre an est pair.
b) Déterminer les valeurs de l’entier n pour lesquelles an  0 3 .
2) Soit p un entier premier tel que p  3 .
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
a) Montrer que : 2p 1  1 p et 3p 1  1 p et 6p 1  1 p .

b) Montrer que p divise a p  2 .
c) Montrer que pour tout entier naturel premier q , il existe un entier naturel non nul n tel que an  q  q .

On considère la fonction fn définie sur l’intervalle 0 ,   par: fn (0)  0 et fn ( x)  x(1  ln x)n ; (x  0)
Partie I : Cn  est la courbe représentative de fn dans un repère orthonormé O ; i ; j unité 2 cm.  
1) a) Montrer que la fonction f n est continue à droite au point 0. ( poser x  t n ) 0,5 pts
b) Etudier la dérivabilité de la fonction f n à droite au point 0. 0,25 pts
f ( x) f ( x) 1 pts
c) Calculer les limites suivantes : lim f1 ( x) et lim f 2 ( x ) et lim 1 et lim 2 .
x   x   x   x x   x
2) a) Etudier les variations de la fonction f1 . 0,5 pts
b) Etudier les variations de la fonction f 2 . 0,5 pts
3) a) Etudier la position relative des courbes (C1 ) et C2  . 0,25 pts
0,5 pts
b) Construire (C1 ) et (C2 ) . ( on admet que le point A(1 ;1) est un point d’inflexion pour (C2 )
Partie II : On considère la fonction F définie sur   ; 0  par : F(x)   x

1 f1 (t )
dt
e 1  t2
1) a) Montrer que la fonction F est dérivable sur   ; 0  et que : x  0 ; F (x)  (x  1)e
2x
' 0,5 pts
1  e2x
b) En déduire le sens de variations de F sur   ; 0  . 0,25 pts
2) a) Montrer que : x  0 ;  x f1 (t )dt  F(x) 

1 1 1 1
2 e 1  e ex
2 x  f1 (t )dt 0,25 pts
 3 ln x 
b) Vérifier que la fonction x  x 2    est une primitive de la fonction f1 sur 0 ;   . 0,25 pts
4 2 
1 3
c) Montrer que lim  x fn (t )dt  0,25 pts
x   e 4
3 3
3) On suppose que F admet une limite L quand x tend vers   , montrer que :  L  . 0,25 pts
8 4
Partie III :
e
Pour tout entier naturel non nul n , on pose : Un   fn (x)dx
1
1) a) Montrer que : n  1 ; Un  0 0,5 pts
b) Déterminer le signe de fn 1 (x)  fn (x) sur l’intervalle 1; e 0,5 pts
c) Montrer que : n  1 ; Un 1  Un 0,25 pts

d) En déduire que la suite (Un )n 1 est convergente . 0,25 pts
n1
2) a) Montrer que : n  1 ; Un 1   
1 0,5 pts
Un
2 2
b) En déduire en cm 2 l’aire du domaine délimité par les courbes (C1 ) et (C2 ) les droites d’équations
respectives x  1 et x  e . 0,5 pts
3) a) Montrer que : n  2 ;
1 1
 Un  (utiliser les questions précédentes) 0,75 pts
n1 n1
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
0,5 pts
b) Calculer lim Un lim nU n .
n   et n  
4) a est un nombre réel différent de U1 .

On considère la suite (Vn )n1 définie par : V1  a et n  1 ; Vn  1   1  n  1 Vn
2 2
et pour tout entier n  1 on pose : dn  Vn  Un
a) Montrer que : n  1 ; dn  n  2 d1 0,25 pts
n!
2
b) Montrer que : lim dn   . 0,5 pts
n  
c) En déduire que la suite (Vn )n1 est divergente. 0,25 pts
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
L’ensemble IR est muni de la loi de composition interne * définie par : x * y  x  y  3xy

1) a) Vérifier que : (( x, y )  IR 2 ) ; (1  3x)(1  3x)  1  3(x * y )
b) Montrer que (IR - 1/3 , *) est un groupe commutatif.
2) a) Montrer que l’application  définie pour tout x réel par ( x )  1  3x
est un isomorphisme de (IR - 1/3 , *) vers (IR* , ) .
b) Montrer que 1 (IR* )  -  , 1/3 vers est un groupe commutatif.
c) Montrer que -  , 1/3 , * est un sous-groupe du groupe (IR - 1/3 , *) .
3) Pour tout x de IR - 1/3 et pour tout n de IN on pose : x ( 0 )  0 et (n  IN) ; x( n 1)  x( n ) * x
a) Montrer que : (x  IR - 1/3) (n  IN ) ; x( n )   ( x)
n
(n )
b) En déduire x en fonction de x et de n .
1
4) L’ensemble IR est muni de la loi de composition interne T définie par : x * y  x  y 
3
a) Montrer que (IR , T) est un groupe commutatif.
b) Montrer que (IR , T, *) est un corps commutatif.
1 i 3 3i
On considère l’application r qui à tout point M ( z ) associe le point M1 (z1 ) tel que : z 1  z .
2 2
Et l’application h qui à tout point M ( z ) associe le point M2 (z 2 ) tel que : . On pose : F  hor
z 2  2z  3i
1) Déterminer la nature de chacune des applications r et h .
2) On considère les points (i ) et A(a ) tel que a est un complexe donné différent de i .
On pose : B  F( A ) , C  F(B ) et D  F(C) .
4
i
a) Montrer que si le point M ( z ) est l’image de M ( z ) par l’application F alors z  i  2e ( z  i ) .
' ' ' 3
b) Vérifier que  est le seul point vérifiant F()  

3) a) Déterminer en fonction du nombre complexe a , les nombres complexes b , c et d affixes respectifs des
points B , C et D .
b) Montrer que les points  , A et D sont alignés.
c) Montrer que le point  est le barycentre du système pondéré (B,4);(C,2);(D,1)
d) Déterminer l’ensemble des points A(a ) pour que le point D appartienne à l’axe des réels ( des
abscisses).

trois boules rouges et une boule blanche.
On tire au hasard les boules de l’urne l’une après l’autre avec remise jusqu’à obtenir deux boules successives de
même couleur et on arrête le processus du tirage. Soit X la variable aléatoire égale à l’ordre de la boule de la
dernière boule tirée.
1) Calculer la probabilité de de chacun des événements X  2 et X  3 .
2) Soit k un entier naturel non nul.
Calculer la probabilité de l’événement X  1
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
k 1
5 3 
a) Montrer que : pX  2k    
8  16 
k
 3
b) Montrer que : pX  2k  1   
 16 
Partie :I
ln( 1  2x)
Soit la fonction f définie sur l’intervalle I   1 2;  par: f (0)  2 et f ( x)  ; x0
x
1) Montrer que f est continue au point 0 . 0,5 pts
2) Pour tout réel non nul a de l’intervalle I on considère la fonction numérique f définie sur I par :
ha ( x)  ln( 1  2a)  2a x 2  ln( 1  2x)  2x a 2
a) Calculer ha (a ) et ha (0) en déduire qu’il existe un réel b compris entre 0 et a tel que :
ln( 1  2a)  2a 2
 0,5 pts
a 2
1  2b
b) En déduire que la fonction est dérivable au point 0 et que f ' (0)  2 . 0,75 pts
3) a) Montrer que f est dérivable sur I  0 et que :
x  I  0 ; f ' (x)  2 g(x) avec g( x)  2x  (1  2x) ln( 1  2x) 0,5 pts
x (1  2x)
b) Montrer que : x  I  0 ; g(x)  0 0,5 pts
c) En déduire les variations de la fonction f. 0,25 pts
4) a) Calculer les limites suivantes : lim  f ( x) et lim f ( x ) puis interpréter géométriquement les résultats
1 x 
x   
 2
obtenus. 0,5 pts
b) Montrer qu’il existe un réel  unique de l’intervalle 1;2 tel que : f ( )  1 . 0,5 pts
c) Construire la courbe Cf  ( On prend   1,3 )
Partie :II
1) On pose J  1 ;  et x  I  ; (x)  ln(1  2x) .
a) Montrer que f est dérivable sur I et x  I  ; 0  ' (x) 

2
. 0,5 pts
3
b) Vérifier que : ( )   et que ( J )  J . 0,75 pts
2) On considère la suite ( Un )n  0 définie par: U 0  1 et n  IN ; Un1  ln( 1  2Un )

a) Montrer que : n  IN ; Un  J . 0,5 pts
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
n
 2
b) Montrer que : n  IN 
; U n1      . 0,5 pts
 3
c) Montrer que la suite ( Un )n  0 est convergente et calculer lim Un . 0,5 pts
n  
Partie :III
x
1) On considère la fonction F définie sur I par : F(x)   f (t )dt
0
a) Montrer que la fonction F est dérivable sur I puis calculer F' ( x) . 0,5 pts
b) En déduire le sens des variations de F sur I . 1 pts

x ln( 1  2t )
2) a) Montrer que : x  1 ; F(x)   dt 0,5 pts
1 1  2t
b) En déduire que : lim F( x)   0,5 pts
x 
1
3) On suppose que F admet une limite L à droite au point  .
2
4) On considère la fonction G définie sur l’intervalle  1 2; par:
1
G (  )  L et G ( x )  F( x ) ; x  I 0,5 pts
2
 1
a) En utilisant le TAF montrer : x  I  ; F( x)  L  f ( x) x  
 2
1
b) En déduire que la fonction G est non dérivable à droite au point  . 0,5 pts
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
On rappelle que ( IR , , ) est un corps commutatif et (M2 (IR) , , ) est un anneau unitaire non commutatif et
 1 0  0 3   a b 3 
On pose I    , J    (a, b)  IR 2
M ( a, b)  
. Pour tout couple , on pose  - b/ 3 a 
 0 1  - 1/ 3 0  

2

1) a) Montrer que E est un sous-espace vectoriel de (M2 (IR) , , .) .
b) Montrer que (I , J ) est une base de l’espace vectoriel E .
(a, b)  IR ; (a  ib )  M(a, b)
2
a) Montrer que E est une partie stable de (M2 (IR) , )

b) Montrer que  est un isomorphisme de (IR* , ) vers (E* , )
4) Résoudre dans l’ensemble E l’équation J  x 3  I avec x3  x  x  x
Soit a un nombre complexe non nul et a son conjugué.

Partie I : On considère dans l’ensemble des nombres complexes ₵ l’équation (Ea ) d’inconnue z :
(Ea ) : iz 2  (a  a  i )z  a  iaa  0
1) a) Vérifier que   (a  a  i )2 est le discriminant de l’équation (Ea )
b) Résoudre l’équation (Ea ) .
2) Montrer que a est solution de l’équation (Ea ) si et seulement si Re(a)  Im( a) .
Partie II : le plan complexe est rapporté au repère orthonormé direct O , u , v .  

On suppose que Re(a )  Im( a )
On considère les points A , B et C d’affixes respectifs a , ia et (1  ia ) .
(1  i a )  a
1) On pose : z  .
iaa
(i  1)a  i
a) Vérifier que : z 
iaa
1
b) Montrer que les points A , B et C sont alignés si et seulement si Im( a ) 
2
1
2) On suppose dans cette question que Im( a)  .
2
 
Soit R1 la rotation de centre A et d’angle  et R 2 la rotation de centre A et d’angle
2 2
On pose : R1 (B)  B et R 2 (C)  C . Soit E le milieu de BC.
' '
a) Déterminer b ' et c ' les affixes respectifs des points B ' et C ' .
b) Montrer que les droites ( AE ) et (B'C' ) et que B'C'  2AE .
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
Partie : I On considère dans Z2 l’équation : (E) : 35u  96 v  1 .

1) Montrer que le couple (11 ; 4 ) est une solution particulière de (E) .
2) Déterminer l’ensemble solution de l’équation (E) .
Partie : II On considère dans Z l’équation : (F) : x35  2 97 .
1) Soit x une solution de l’équation (F ) .
a) Montrer que le nombre 97 est premier et que les nombres x et 97 sont premiers entre eux.
b) Montrer que : x96  1 97
c) Montrer que : x  211 97
2) Montrer que si le nombre entier x vérifie la condition x  211 97, alors x est solution de l’équation (F) .
3) Montrer que l’ensemble solution de l’équation (F) est l’ensemble des nombres entiers naturels de la forme
11 97k avec k  IN .
Partie I :
On considère la fonction f définie sur IR  par : f (x)  2x  e x
2
Cf  est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé O ; i ; j  .

1) a) Calculer la limite : lim f ( x)  2x  et interpréter déométriquement le résultat obtenu. 0,5 pts
x 
b) Calculer f ' ( x) pour tout x de IR  puis dresser le tableau de variations de f. 0,5 pts
c) Montrer que l’équation f ( x )  0 admet une solution unique  dans IR  tel que 0    1 . 0,5 pts
d) Etudier le signe de f ( x ) sur l’intervalle 0 ; 1 0,5 pts

2) Tracer la courbe Cf  . ( On prend   0,4 ) 0,5 pts
Partie II :
On considère les deux fonctions  et g définies sur IR  par :

1 x  t2 x
g(x)  x 2   e  t dt
x 0
2
(0)  1 ; (x)  e dt et
0

1) a) montrer que : x  IR  c   0 ; x  ;  1 x  t2

x 0
e dt  e  c
2
0,5 pts
x
 e t dt  1 .
2
b) En déduire que 0,5 pts
0

2) a) Montrer que : g()   f (t )dt . 0,5 pts
0
b) Montrer que la fonction g est dérivable sur IR  et que : x  IR  ; g' (x)  f(x)  
c) Montrer que l’équation g( x)  0 admet une solution unique  tel que     1 . 0,5 pts
3) a) Montrer que la fonction  est continue à droite au point 0 0,5 pts
b) En utilisant une intégration par parties montrer que : x  IR * ; (x)  e  x    2 2 x 2  t2 0,5 pts
x 0
t e dt
c) Montrer que la fonction  est dérivable sur IR * et que : x  IR *   2 x

; ' (x)   2  t 2e  t dt 0,75 pts
x 0
2
d) Montrer ( 0 ; 1 )  0 ; 1 0,5 pts
4) a) Montrer que : x  IR   0
x
;  t e dt 
x3
2  t2
3
0,5 pts
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
b) Montrer que : x  0 ; 1 ; ' (x) 

2 0,5 pts
3

c) Montrer que : x  IR   ; (x)  x  g(x)  0 0,25 pts
5) On considère la suite ( Un )n  0 définie par: U 0  2 / 3 et n  IN ; Un1  (Un )

a) Montrer que : n  IN ; 0  Un  1 . 0,5 pts
n
 2
b) Montrer que : n  IN  ; U n1      . 0,5 pts
 3
n  
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
a  b -b 
2
 5b a  3b 
 
On considère l’ensemble F  M(a, b)/ (a, b)  IR . On pose I  M(1,0) , J  M(0,1) et 0  M( 0,0)
2
1) a) Montrer que (F ,  , .) est un espace vectoriel réel.

b) Montrer que (I, J ) est une base de l’espace vectoriel réel (F ,  , .) , en déduire sa dimension.
2) a) Montrer que E est une partie stable de (M2 (IR) , ) .
3) Soit  un nombre complexe n’appartenant pas à IR . Montrer que (1,  ) est une base de l’espace vectoriel
(C ,  , .) réel .
4) Soit  l’application de C vers F définie par :
m  n n 
(m, n)  IR  2
(m  in )  M(m, n )  
; 
m  3n 
 5n
a) Vérifier que J 2  2(I  J ) et (  )  J
b) Déterminer les deux valeurs de  pour lesquelles l’application  est un isomorphisme de (C , ) vers
( F , )
c) On prend   1 i . Ecrire la matrice J 2007 dans la base Montrer que J 2  2(I  J ) .

On considère l’ensemble (H)  M(z )  (P) / z 2  z  z  1
2 2

1) a) Déterminer une équation cartésienne de l’ensemble ( H ) .
b) Montrer que ( H ) est une hyperbole et déterminer son centre, ses sommets et ses asymptotes dans le

repère O , u , v . 
c) Construire ( H ) .
2) M (a ) et M (b ) sont deux points de ( H ) . On pose (a, b )  ab  ab  ab
a) Montrer que M((a, b ))  ( H )
b) Montrer que (a,1)  1 et que (a, a )  1
3) L’ensemble est muni de la loi de composition interne (*) telle que pour tout M (a ) et M (b ) de ( H ) :
M(a) * M(a)  M((a, b )) . Montrer que ( H),* est un groupe commutatif.
 x  a p 
Soit dans Z le système (S ) suivant :  où a , b , p et q des entiers relatifs tels que p  q  1 .
 x  b q 
1) a) montrer qu’il existe un couple (u0 ; v 0 ) de Z2 vérifiant : u0p  v0q  1 .
b) Montrer que x0  bpu 0  aqv 0 est une solution du système (S ) .
2) Soit x une solution du système (S ) , montrer que le nombre pq divise le nombre x  x0 .
3) Soit x un entier relatif tel que pq divise le nombre x  x0 , montrer que x est solution du système (S ) .
4) En déduire l’ensemble solution du système (S ) .
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
 x  1 8
5) Résoudre dans le système : 
 x  3 13

On dispose de n urnes numérotées de 1 à n.
L’urne numéro k (1  k  n ) contient n boules indiscernables au toucher : k Boule blanches et (n  k )
boules noires.
On choisit une urne parmi les urnes précédentes puis on en tire une seule boule.
1) Calculer la probabilité de tirer une boule blanche.
2) Calculer la probabilité pour que le tirage se fait d’une urne portant un numéro impaire.
3) Calculer la probabilité de tirer une boule blanche, sachant qu’elle provienne d’une urne portant un numéro
impaire.
Partie I :
1) On considère la fonction g définie sur IR par : g(x)  1  x  e x
a) Etudier les variations de g . 0,25 pts
b) Calculer les limites lim g( x) et lim g( x) puis dresser son tableau de variations sur IR 0,5 pts
x  x 
c) En déduire que x0  0 est la seule solution de l’équation g( x)  0 . 0,25 pts

1
2) On considère la fonction f définie sur IR * par : f ( x) 
1  x  ex
j .
a) Calculer lim f ( x ) ; lim f ( x) ; lim f ( x) et lim f ( x) . 0,5 pts
x  x   x 0  x 0 
*
b) Calculer f ' ( x) pour tout x de IR . 0,25 pts
c) Dresser le tableau de variations de la fonction f . 0,25 pts
d) Tracer la courbe Cf  . 0,5 pts
3) a) Soit n un entier naturel non nul.
Montrer que l’équation f ( x )  n admet une solution unique x n dans l’intervalle 0; . 1 pts
b) Montrer que la suite (xn )n1 est décroissante et qu’elle est convergente. 0,5 pts
c) Prouver que lim x n  0
n  
Partie II :
1) a) Montrer que l’équation est équivalente à l’équation e  X  x 0,25 pts
.
f (x)  1
1
b) Montrer que l’équation e  X  x admet une solution unique l’équation   x1 et que    1 . 0,5 pts
e
2) On considère la suite (y n )n1 définie par : y 1  1 et n  IN  *
; y n 1  e  y n
1
a) Montrer que pour tout n de IN * :  y n  1 . 0,5 pts
e
b) Montrer que : n  IN *  ; y n1    e e y n   . 0,5 pts

1

c) en déduire que la suite (y n )n1 est convergente en déterminant sa limite 0,5 pts
Partie III :
On considère la fonction F définie sur 0 ,   par : F(0)  ln 2 et x  0 ; F(x)   f (t )dt
1 2x
2 x
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
1) a) Montrer que : t  0 ;

1 1
 f (t )  . 0,25 pts
1 t t
b) En déduire lim F( x) 0,5 pts
x 
t2
2) a) Montrer que : t  0 ; 1  t  e t  1  t  0,25 pts
2 .
11 1 
b) Montrer que pour tout t appartenant à  0 ; 4  :
1
 f (t )    : 0,5 pts
2t 2 t 4-t
c) En déduire que F est continue à droite au point 0. 0,25 pts
3) a) Montrer que la fonction F est dérivable sur  0 ,    puis calculer F ' ( x ) pour x  0 0,5 pts
b) Etudier les variations de la fonction F sur  0 ,    . 0,25 pts
Bon Courage
4 heures *** Page : 1/3 *** Coef : 10
 
Partie : I Soit l’ensemble E  IR  1 / 2 . On pose pour tout couple (a, b) de E : a  b  a  b  ab 2
1 1
1) a) Montrer que pour tout couple (a, b) de E : a  b   (a 2  1)(b 2  1)
2 2
b) Montrer que la loi  est une loi de composition interne dans E .
2) Montrer que (E,  ) est un groupe commutatif.
Partie : II On rappelle que (M2 (IR) ,  , ) est un anneau unitaire dont le zéro est la matrice nulle 0 et dont
l’unité est la matrice identique I et que (M2 (IR) ,  , .) est un espace vectoriel réel.
1  2 -a a 
Pour tout couple a  E , on pose M(a)   
2  a 2 - a 
On considère l’ensemble F  M(a)/a  IR
 2 -a a  a
1) a) On pose : A    . vérifier que A  2A et que M(a)  I 
2
A
 a 2 - a 2
b) Montrer que F est une partie stable de (M2 (IR) , ) .
2) Soit  l’application de (E ,  ) vers (F , ) définie par :
a  E ; (a)  M(a)
a) Montrer que  est un isomorphisme .
b) En déduire la structure de (F , ) .
Soit a un nombre complexe non nul.

Partie I :
1) a) Vérifier que le nombre u  a  i est une solution de l’équation :
(E) : z 2  (1  a)(1  i )z  (1  a2 )i  0
b) Déterminer v la deuxième solution de l’équation (E) .
2) On suppose que a  1 .
u
a) Montrer que :  IR .
v

b) Vérifier que : u2  a (a  a)  2i 

c) En déduire que : arg(u)  arg(a)  
4
3) Montrer que : u  v  2
Partie II : le plan complexe est rapporté au repère orthonormé direct O , e1 , e2 .  
Soit m un nombre réel strictement plus grand que 2 . (Em ) est l’ensemble des points M(a) du plan complexe tel
que : u  v  m
1) Montrer que l’ensemble est ellipse de centre O origine du repère.
2) On pose : a  x  iy où x et y sont deux nombres réels.
 4  m2
a) Montrer que l’équation cartésienne de l’ellipse (Em ) est : x 2   1  2 y 2  1
 m  4
b) Construire l’ellipse (E4 ) .
 
c) Soient les points A 3 et B2i  sommets de l’ellipse (E4 ) . Montrer que la droite ( AB ) est tangente à
4 heures *** Page : 2/3 *** Coef : 10
 
l’ellipse  E .
 8

 7 
On considère dans Z 2 l’équation : (E) : 195x  232y  1 .

1) a) Déterminer le plus grand diviseur commun des nombres 232 et 195 .
b) Montrer que l’ensemble solution de l’équation (E) est S  (163  232k ; 137  195k ) / k  Z.
c) Déterminer l’unique entier naturel d vérifiant les relations : 0  d  232 et 195d  1 232
2) Montrer que le nombre 233 est premier .
3) Soit A l’ensemble des nombres entiers compris entre 0 et 233 . On considère l’application f de A vers
A définit par : quel que soit a de A , f (a) est le reste de la division euclidienne du nombre a195 par 233 .
On admet que (a  A  0) ; a232  1 232
a) Montrer que quels que soient a et b de A , si f (a)  f (b) alors a  b
b) En déduire que l’application est une bijection, puis déterminer sa bijection réciproque f 1 .
Partie I :
On considère la fonction g définie sur IR par : g(x)  1  (x  1)ex

1) Montrer que pour tout x de IR : g(x)  0 . 0,5 pts
2) Montrer que x0  0 est la seule solution de l’équation g(x)  0 . 0,25 pts
Partie II :
x
On considère la fonction f définie sur IR par : f (0)  1 et f ( x)  ; x0
e 1
x

1) Calculer les limites lim f ( x) ; lim f ( x)  x . 0,5 pts
x   x 
2) Montrer que la fonction f est continue au point 0. 0,25 pts

*
3) a) Calculer f ' ( x) pour tout x de IR . 0,5 pts
b) En déduire les variations de la fonction f . 0,25 pts
4) On considère la fonction J définie sur IR par : J( x)  x te t dt

 0
a) En utilisant une intégration par parties montrer que : 0,5 pts

J(x)  e x (ex  1  x) .
x x x x
x2 - x2 -
b) Montrer que pour tout x de IR : e 2
 J( x)  e 2 1 pts
2 2
x x x x
1 ex  1  x 1
  e
*
c) Montrer que pour tout x de IR : e 2 2 0,5 pts
2 x2 2
1
d) En déduire que la fonction f est dérivable au point 0 et que f ' (0)   0,75 pts
5) a) Montrer que pour tout x de IR : * f (x)  x

ex''
(e  1) 3

e x ( x  1)  2  x  0,5 pts
.
b) Etudier le signe de e (x  1)  2  x sur IR .
x 0,5 pts
4 heures *** Page : 3/3 *** Coef : 10
c) En déduire que pour tout x de IR * : f '' (x)  0 . 0,25 pts
d) Construire Cf  . 0,5 pts
Partie III :
On considère la suite ( Un )n  0 définie par: U 0  1 et n  IN  ; Un1  f (Un )

1) Montrer que x  ln 2 est la seule solution de l’équation f (x)  x . 0,25 pts
1
2) Montrer que pour tout x de IR * : f ' ( x) 
2
3) a) Montrer que : n  IN  ; 0  Un  1 . 0,5 pts
b) Montrer que : n  IN  ; Un1  ln 2  Un  ln 2 . 0,5 pts
1
2
n 
Partie IV :
2x t
On considère la fonction F définie sur IR par : F(0)  0 et x  IR * ; F( x)   dt
x e 1
t
1) a) Montrer que : x  IR  2x 2
; 2 x  F( x)  x
e -1
*
 x2
e -1 .
0,5 pts
b) Montrer que la fonction F est continue au point 0. 0,25 pts
c) Montrer que la fonction F est dérivable au point 0 et que F' (0)  1 . 0,5 pts
3  ex
2) a) Montrer que la fonction F est dérivable sur IR * et que F' ( x)  f ( x) pour x  0 0,5 pts
ex  1
b) Etudier les variations de la fonction F . 0,25 pts
Bon Courage

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2ème Bac Sciences maths Session de Rattrapage 2018

4 heures *** Page : 1/2 *** Coef : 10

Exercice .1 Site : maths-inter.ma -Bac Sm -2018 – Ss2

Soit  l’application de C vers M2 (IR) définie par :

On lance une pièce de monnaie en l’air 10 fois de suite.

Exercice .4 Site : maths-inter.ma -Bac Sm -2018 – Ss2

Soit la fonction f définie sur l’intervalle  0 ,    par: f (0)  0 et f ( x)  x ln x  (x  0)

Cf  est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé O ; i ; j  unité 2 cm.

2) a) Etudier la dérivabilité de f à droite au point 0 , puis interpréter géométriquement le résultat obtenu.

a) Montrer que la fonction F est dérivable sur  0 ,    . 0,5 pts

t ln t dt pour tout x  0 .

b) Montrer que pour tout x  0 : F( x)   x x ln x  x x ln x 

4 ‫مدة اإلنجاز‬ ‫الرياضيات‬ ‫المادة‬

 La durée de l’épreuve est de 4 heures.

EXERCICE1 qui concerne l’arithmétique (au choix)...........................3.5 points

- EXERCICE3 qui concerne les nombres complexes (obligatoire)…..3.5 points

- EXERCICE4 qui concerne l’analyse (obligatoire)……………..................13 points

L’usage de la calculatrice est strictement interdit

Tu choisis de traiter EXERCICE1 ou bien EXERCICE2

0.5 1-a) Montrer que p et 9 sont premiers entre eux.

0.5 2-a) Montrer que p - 1 et q sont premiers entre eux.

0.5 3-a) En utilisant le théorème de FERMAT, montrer que : 9q- 1 º 1 [q ]

0.5 b) En déduire que : q = 5

EXERCICE2 : (3.5 points/au choix)

0.25 1- Montrer que F est un sous-groupe du groupe (E,+ )

EXERCICE3 :(3.5 points/obligatoire)

EXERCICE4 : (13 points/obligatoire)

0.5 d) En déduire que : (" x Î I ) ;

b) Montrer que : " n ³ 2 gn ( a n+ 1 ) = - ln( 2 - a n+ 1 ) , en déduire que la suite (a n )n³ 2

0.5 d) Montrer que lim a n = 1

4 ‫مدة اإلنجاز‬ ‫الرياضيات‬ ‫المادة‬

 La durée de l’épreuve est de 4 heures.

EXERCICE1 qui concerne l’arithmétique (au

- EXERCICE3 qui concerne les nombres complexes

- EXERCICE4 qui concerne l’analyse

L’usage de la calculatrice est strictement interdit

Tu choisis de traiter EXERCICE1 ou bien EXERCICE2

EXERCICE1 :(3.5 points/au choix)

0.5 a) Montrer que x et 13 sont premiers entre eux.

EXERCICE2 : (3.5 points/au choix)

homomorphisme de ¡ * ,´ ( ) vers (E,´ ) .

EXERCICE3 :(3.5 points/obligatoire)

2- On note z1 et z 2 les deux autres solutions de l’équation (E ) autre que m

0.25 1- Montrer que les points O , A et B ne sont pas alignés.

EXERCICE4 :(13 points/obligatoire)

0.5 5-a) Représenter graphiquement la courbe (C ).

0.5 2-a) Montrer que : g (]0; a [) = ]0;1[

0.5 b) En déduire que la suite (un )n³ est strictement croissante.

0.25 c) Montrer que la suite (un )n³ 0 est convergente.

0.5 3- Déterminer lim un

0.5 1-a) Etudier suivant les valeurs de x , le signe de F (x)

0.25 b) En déduire lim F (x)

0.5 a) Montrer que pour tout n Î ¥ * et pour tout k Î {0,1,,,,,,,,,n - 1} :

EXERCICE1 : (10 points)

0.5 5-a) Calculer lim f (x ) puis interpréter graphiquement le résultat obtenu.

0.25 b) Dresser le tableau de variations de f

b) En déduire que : " k Î {0;1........;n} ; J k - I k £ çç ÷ ÷

EXERCICE2 :( 3.5 points)

0.5 2) On prend uniquement dans cette question m = e , avec 0 < q< p

Ecrire z1 et z 2 sous forme exponentielle.

2- On suppose que m n’est pas un nombre réel.

EXERCICE3 : (3.5 points)

1- Soit j l’application de ¡ vers M 3 (¡ ) définie par : (" a Î ¡ ) ; j (a)= M (a)

0.5 c) Calculer lim f (x ) , puis interpréter graphiquement le résultat obtenu.

4 heures * Page : 1/2 * Coef : 10