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Nous remercions avant tout Dieu le tout puissant de nous avoir gardés en
bonne santé afin de mener à bien ce projet de fin d’étude. Nous remercions
également nos familles pour les sacrifices qu’elles ont faits pour que nous
terminions nos études.
Nous remercions aussi tous nos amis pour leur aide, leur patience, leur
compréhension et leurs encouragements.
Enfin, nous tenons à remercier également les membres de jury qui nous
ferons l’honneur de juger notre travail et l’enrichir par leurs propositions.
Dédicaces
Je dédie ce mémoire à :
Ma défunte mère.
Salim
Dédicaces
A mes chers parents, A mes frères et sœurs
Vous vous êtes dépensés pour moi sans compter. En reconnaissance de tous les
sacrifices consentis par tous et chacun pour me permettre d’atteindre cette
étape de ma vie. Avec toute ma tendresse.
A ma copine DALILA.
A tous mes amis de oued aussi, 3.58 et C99 « Farid, Samir, Omar,
Boudjemaa, Djamel, Mahdi, Idir, Lounes, Samir , Yacine, Chabane…….etc. »
pour les moments partagés, pour leurs sympathie, leurs grande serviabilité et
leurs solidarité.
Hocine
Introduction générale………………………………………………………………………...1
I. 1. Introduction………………………………………………………………..…2
I. 2. 1. Le stator……………………...………………………………………3
I. 2. 2. Le rotor ……………………………………………………………..3
II. 1. Introduction…………………………………………………………………………….9
II. 2. Démarrage direct………………………………………………………………………9
II. 2. 1. Couplage et procédure de commutation………………………………………9
II. 2. 2. Etude à vide ………………………………………………………………….11
II. 2. 3. Etude en charge ……………………………………………………………...11
II. 2 .4. Caractéristique mécanique Tu=f(N) …………………………………………11
II. 2. 5. Point de fonctionnement du moteur en charge……………………………….12
II. 3. Bilan des puissances ......................................................................................................12
II. 3. 1. Puissance absorbée Pa………………………………………………………13
II. 3. 2. Pertes statorique ……………………………………………………………..13
IV. 2. 1. Introduction…………………………………………………………………59
Conclusion Générale………………………………………………………………………...70
Références bibliographiques
Annexes
Liste des figures
Ns : vitesse de synchronisme
f : fréquence du réseau
Tu : couple utile
N : vitesse
Mr : couple résistant
J : moment d’inertie
W : accélération angulaire.
Pu : La puissance utile
Ωs : La vitesse angulaire du champ B
: Rendement du moteur
Iw : Courant d’enroulement
I. 1. Introduction
Les moteurs asynchrones représentent plus de 80 % des moteurs électriques utilisés dans
le monde. Ils sont utilisés pour transformer l’énergie électrique en énergie mécanique grâce à des
phénomènes électromagnétiques. C’est une machine robuste, économique à l’achat et ne
nécessitant que peu de maintenance. De plus, sa vitesse de rotation est presque constante sur une
large plage de puissance.
Leur fonctionnement est basé sur l’obtention d’un effort mécanique par action d’un
champ magnétique sur un circuit électrique traversé par un courant fourni par une source
extérieure, laquelle peut aussi produire éventuellement le champ magnétique.
La machine asynchrone se compose de deux parties principales :
I. 2. 1. Le stator
C’est la partie fixe du moteur, représente l’inducteur du moteur. Il est constitué d’une
carcasse en fonte ou en aluminium, sur laquelle est fixée une couronne d’un empilement de tôles
ferromagnétiques très fines (0.35 à 0.5mm). Des encoches se forment ainsi sur la périphérie
interne permettant d’y loger les conducteurs en cuivre des bobinages du stator (fig. I. 2). Ils sont
répartis dans ce dernier et formant un ensemble d’enroulements qui comporte autant de circuits
qu’il y a de phases sur le réseau d’alimentation.
Couronne de tôles
empilées
Stator bobiné
Fig. I. 2. Le stator
I. 2. 2. Le rotor
C’est la partie mobile du moteur ; il est placé à l’intérieur du stator et représente l’induit
de la machine, il est séparé du stator par un entrefer de 0,4 à 2 mm. Selon sa constitution on
trouve :
-2-
Chapitre I Rappels sur les moteurs asynchrones
Les tôles de ce rotor sont munies d'encoches où sont placés des conducteurs formant un
ensemble de bobinage le plus souvent triphasé monté en étoile, les autres extrémités sont reliées à
des bagues tournantes avec l’arbre du rotor (fig. I. 3). Des balais sont prévus pour accéder à ces
enroulements, permettant de modifier certaines des caractéristiques électriques du circuit en y
ajoutant des résistances afin de réaliser un démarrage rotorique.
Bagues
Bobines du
rotor
C'est le plus fréquent. Ces rotors sont constitués de tôles ferromagnétiques et de barres
conductrices régulièrement réparties à la périphérie du rotor. Les barres sont reliées entre elles
par deux anneaux de court-circuit formant ainsi une cage d'écureuil (fig. I. 4). Les tôles
ferromagnétiques servent à guider les lignes du champ, tandis que les barres accueillent les
courants induits. Le matériau constituant les barres et les anneaux de court-circuit est
généralement un alliage à base d'aluminium, mais on peut aussi rencontrer du cuivre ou du laiton.
-3-
Chapitre I Rappels sur les moteurs asynchrones
Barres de
conducteur
Anneaux de
court-circuit
I. 2. 3. Plaque à bornes
Etoile Triangle
-4-
Chapitre I Rappels sur les moteurs asynchrones
-5-
Chapitre I Rappels sur les moteurs asynchrones
I. 2. 6. Principe de fonctionnement
L’alimentation des bobines du stator par un système de courant variable (triphasé), produit un
champ magnétique tournant (champ inducteur) au niveau de l’entre fer.
Tant que le rotor a une fréquence de rotation inférieure à celle du champ inducteur, chaque point
de rotor subit une variation de champ. Les conducteurs rotorique produisent donc une f.é.m. qui,
dans le circuit fermé, va donner naissance à des courants induits (courant de Foucault). Ces
courants vont à leur tour produire un champ magnétique induit, qui va s’opposer à la cause qui lui
a donné naissance (lois de Lenz). Cela se traduit concrètement par un phénomène de poursuite du
rotor vis à vis du champ tournant n’arrive jamais à le rattraper.
I. 2. 6. 1. La vitesse de synchronisme
La vitesse de synchronisme Ns est la vitesse du champ tournant statorique.
-6-
Chapitre I Rappels sur les moteurs asynchrones
Pour un réseau de 50 Hz :
Paire de pôles 1 2 3 4 6
Nombre de pôles 2 4 6 8 12
Ns [tr/min] 3000 1500 1000 750 500
I. 2. 6. 2. Le glissement
Il doit y avoir une différence de vitesse pour que ce type de moteur fonctionne, car c'est
le décalage de vitesse entre le rotor et le champ statorique qui provoque l'apparition des courants
induits au rotor (courants qui créent le champ rotorique). Le glissement correspond à cette
différence de vitesse entre le rotor et le champ statorique exprimé sous la forme d'un pourcentage.
g : glissement [%].
Ns : vitesse de synchronisme [tr/min].
N : vitesse de rotation du rotor [tr/min].
Le glissement dépend de la charge mécanique entrainée par le rotor, plus le couple résistant est
important, plus le rotor glisse.
I. 3. Conclusion
Dans ce chapitre nous avons présenté les différents organes constituant le moteur
asynchrone triphasé à cage, à rotor bobiné ainsi que les matériaux utilisés pour leurs fabrications.
Une constitution très simple qui a fait sa place dans l’industrie pour son rapport qualité
prix et sa garantie d’une durée de vie satisfaisante.
-7-
CHAPITRE II
DEMARRAGE DES
MOTEURS
Chapitre II Démarrage des moteurs
II. 1. INTRODUCTION
Lors de la mise sous tension d’un moteur, l’appel de courant sur le réseau est important et
la section de la ligne d’alimentation pourrait être insuffisante, cella peut provoquer une chute de
tension susceptible d’affecter le fonctionnement des autres récepteurs. Parfois, cette chute de
tension est perceptible sur les appareils d’éclairage.
En fonction des caractéristiques du moteur et de la charge, plusieurs méthodes de
démarrages sont utilisées. Le choix sera dicté par des impératifs électriques, mécaniques et
économiques.
-9-
Chapitre II Démarrage des moteurs
-10-
Chapitre II Démarrage des moteurs
(1)
Tu : couple utile.
N : vitesse (tr/mn).
A, b : des constantes.
-11-
Chapitre II Démarrage des moteurs
=> ( ) (4)
Mm : couple moteur.
Mr : couple résistant en N.m.
J : moment d’inertie en kg. M2.
w: accélération angulaire en rad/s.
-12-
Chapitre II Démarrage des moteurs
I : courant de ligne.
Ces pertes sont considérées comme constantes et négligeable devant les pertes par effet joule.
Pjs: Les pertes par effet Joule dans le stator en watts [W]
-13-
Chapitre II Démarrage des moteurs
Cette puissance est transmise du stator au rotor par le champ magnétique sous la forme
d’un couple électromagnétique de moment T qui tourne à la vitesse de synchronisme Ωs.
( )
Ces pertes sont lié à la fréquence, et pour un référentielle liée au rotor, le champ magnétique
tourne a la vitesse
On pourra alors négliger les pertes magnétiques au rotor, car en marche normal g≈0.
-14-
Chapitre II Démarrage des moteurs
Elles ne sont pas mesurables car le rotor est en court circuit. On peut les déduire par la relation :
( )
-15-
Chapitre II Démarrage des moteurs
Plusieurs dispositifs permettent de réduire la tension aux bornes des enroulements du stator
pendant la durée du démarrage du moteur ce qui est un moyen de limiter l'intensité du courant au
démarrage. L'inconvénient est que le couple moteur est également diminué et que cela augmente
la durée avant laquelle la machine atteint le régime permanent.
Ce procédé s’applique qu’aux moteurs dont toutes les extrémités d’enroulements sont
sorties sur la plaque à bornes, et dont le couplage triangle correspond à la tension du réseau.
Par exemple, pour un réseau triphasé 380 V, il faut un moteur bobiné en 380 V triangle et 660 V
étoile.
-16-
Chapitre II Démarrage des moteurs
II. 5. 1. 1. Principe
- Deuxième temps : Suppression du couplage étoile (KM1 ouvert) et mise en couplage triangle
(KM3 fermé) Le moteur est alimenté sous pleine tension.
-17-
Chapitre II Démarrage des moteurs
On veut démarrer un moteur asynchrone triphasé en étoile-triangle dans un sens de rotation par
un bouton poussoir S1 et l’arrêter par l’appui sur un bouton poussoir S0.
Le passage étoile triangle se fait par un temporisateur réglable Δta deux contacteurs KM21 et
KM11 travaillant en opposition pour éviter la fermeture simultané de KM1 et KM3
√ √
√
-18-
Chapitre II Démarrage des moteurs
Puissance :
√
√ =
√
Puissance en triangle
Calculons :
√
√ √
-19-
Chapitre II Démarrage des moteurs
√
√ √
=3
Remarque : le passage étoile vers triangle doit se faire avant que le couple moteur en étoile soit
inferieur au couple résistant Cr, car il faut conserver une accélération positive.
-20-
Chapitre II Démarrage des moteurs
a) Avantages
b) Inconvénients
-21-
Chapitre II Démarrage des moteurs
II. 5. 2. 1. Principe
Le principe consiste à démarrer le moteur sous tension réduite en insérant des résistances
en série avec les enroulements statorique. Lorsque la vitesse se stabilise, les résistances sont
éliminées et le moteur est couplé directement sur le réseau. Cette opération est généralement
commandée par un temporisateur.
F : contact auxiliaire du relais thermiqueKA1 : relais qui possède un contact temporisé retardé.
-22-
Chapitre II Démarrage des moteurs
Le couplage des enroulements du moteurn'est pas modifié. Il n'est donc pas nécessaire que les
deux extrémités dechaque enroulement soient sorties sur la plaque à bornes.
Le démarrage s’effectue en deux temps :
1er temps - Impulsion sur S1 : le relais KA1 est activé et le contacteur KM1 (partie
puissance) se ferme, démarrage sous tension réduite.
2nd temps – Le contacteur temporisé KA11 se ferme, entraînant l’alimentation du
relais KM2.
Les contacteurs de puissances KM2 court-circuitent les résistances, ce qui relie le
moteur a plaine tension.
L’arrêt est obtenu par une impulsion sur S0.
Selon les caractéristiques du moteur, il arrive parfois, que l’on utilise deux à plusieurs
étages de résistances.
-23-
Chapitre II Démarrage des moteurs
Ce mode de démarrage convient donc bien aux machines ayant uncouple résistant
croissant avec la vitesse, comme par exemple lesventilateurs ou les pompes centrifuges.
Il présente l'inconvénient d'une pointe de courant relativement importanteau démarrage.
Cette pointe pourrait être réduite en augmentant la valeurde la résistance, mais cela entraînerait
une chute de tension supplémentaire aux bornes du moteur, et par conséquent une diminution
importante du couple de démarrage.
En revanche, l'élimination de la résistance en fin de démarrage se faitsans qu'il y ait
interruption de l'alimentation du moteur, donc sans phénomène transitoire.
-24-
Chapitre II Démarrage des moteurs
Réservé spécialement pour les moteurs à rotor bobiné à bague, le principe consiste à
alimenter le stator sous pleine tension du réseau et d’insérer dans le circuit rotorique des
résistances qui seront ensuite court-circuitées progressivement.Le moteur étant analogue à un
transformateur dont le primaire serait le stator et le secondaire le rotor. On limite le courant
secondaire et par conséquent l’intensité absorbé au primaire.
-25-
Chapitre II Démarrage des moteurs
Impulsion sur S1 :
1er temps : le relais KA1 est activé, démarrage sous tension réduite.
2éme temps : Le contacteur temporisé KA1 se ferme, entraînant l’alimentation du relais
KM2. le premier étage de résistances est court-circuité.
3éme temps : Le contacteur temporisé KA2 se ferme, entraînant l’alimentation du relais
KM3. le deuxième étage de résistances est court-circuités
L’arrêt est obtenu par une impulsion sur S1.
-26-
Chapitre II Démarrage des moteurs
.
Le calcul de la résistance insérée dans chaque phase permet dedéterminer de façon
rigoureuse la courbe couple-vitesse obtenue.
Le courant absorbé est sensiblement proportionnel au couple fourni ou très peu supérieur.
Exemple : pour un couple de démarrage Td=2.5Tn, l’intensité Id sera sensiblement inferieur
à2.5In.
II. 5. 3. 4. Avantages et inconvénients
a) Avantages:
Appel de courant au démarrage le plus faible par rapport aux autres modes de démarrages
Couple élevé.
Possibilité de réduire les pointes de surintensité en augmentant les temps de démarrage.
b) Inconvénients :
Nécessite un moteur asynchrone à rotor bobiné plus cher et moins robuste qu’un moteur
asynchrone à cage.
Equipement nécessitant autant de contacteurs et de résistances que de temps de démarrages.
-27-
Chapitre II Démarrage des moteurs
II. 6. Conclusion
Ces procéder de démarrage a tension réduite ne semblent pas être une solution parfaite
pour le démarrage des moteurs. Lorsqu'une tension réduite est appliquée à un moteur, le courant
absorbé par ce dernier est réduit, le couple engendré est aussi réduit d'un facteur qui est d'environ
le carré du pourcentage de la réduction de tension. En plus, un changement brusque ; passage
étoile triangle, suppression de résistance de démarrage, fait apparaitre des à-coups qui ne sont pas
souvent tolérer pour certaine applications.
-28-
CHAPITRE III
LE SOFT STARTER
Chapitre III Le Soft Starter
Affichage
LCD Paramètres de
commande Utilisateur
Mesures de
Module de courant
mesure du Module de
courant UC 1 commande
Signaux de
synchronisation
Master
Port RS232
UC 2 Module de
Vers le PC puissance
Slave
Bus de
communication Signaux
d’amorçages des
thyristors
-29-
Chapitre III Le Soft Starter
16F877-20
Le PIC 16F877 présente toute une série de composants, ces principales caractéristiques sont :
-30-
Chapitre III Le Soft Starter
-31-
Chapitre III Le Soft Starter
Les entrées sorties du microcontrôleur peuvent être groupées par rapport à la fonction.
Le PIC 16F877 dispose de 33 pins d’E/S pour communiqué avec l’environnement extérieur.
Celles-ci sont reparties en 5 ports parallèles bidirectionnels :
-32-
Chapitre III Le Soft Starter
Pour réaliser une carte à base d’un pic 16F877, il faut au moins configurer son
alimentation, le MCLR et l’horloge voir Figure.
III. 2. 1. 5. 1. Alimentation
Le MCLR est habituellement relié au 5v. Cette pine étant utilisée pour effectuer un reset du
composant en cas de connexion à la masse.
III. 2. 1. 5. 3. L’oscillateur
L’oscillateur est le cœur du microcontrôleur, c’est lui qui cadence le déroulement du programme.
Il doit fournir un signal carré périodique au microcontrôleur.
Dans le cas de notre application nous utiliserons l’oscillateur de type HS avec un quartz de 20
MHz.
Les deux pics fonctionnent en mode maitre (pic 1) esclave (pic 2).
Le pic 1, a pour fonctions :
L’affichage sur écran LCD des paramètres de commande entrés par l’utilisateur (puissance de
démarrage, temps de démarrage, coutant maximum admissible).
Donner l’ordre de démarrage pour le pic 2 (amorçage progressif des thyristors).
La mesure du courant de ligne, en faisant la conversion analogique numérique sur une résolution
de 8bits, les comparer a la valeur limite .
-33-
Chapitre III Le Soft Starter
Le pic 2, envoie les signaux d’amorçage en fonction des paramètres de commandes et les ordres
reçus par le pic 1 et envoie un signal de fin de démarrage pour ce dernier.
Loi de Faraday : une variation de flux à travers une spire créer une f.é.m.
Flux magnétique :
Pour un transformateur parfait, l’enroulement du primaire, formé de N1 spires, est le siège d’une
f.é.m.
-34-
Chapitre III Le Soft Starter
Si u1 est sinusoïdale : √ ( )
√ √
( ) on a ( )
b est le champ magnétique à travers les spires et s la section (supposée constantes) du circuit
magnétique.
√
( )
√
B= est la valeur maximum du champ magnétique.
Lorsqu'un courant passe dans un bobinage , il crée par le circuit magnétique commun, un
Bornes de connections
-35-
Chapitre III Le Soft Starter
Dans ce type de capteur le bobinage principal est constitué du câble conducteur d’où
Par le constructeur le capteur utilisé débite un courant moyen en sortie de 5A pour 600A.
Le bobinage du secondaire a 120 spires.
La tension de sortie est suffisamment forte, na pas besoin d’amplification. Mais cette tension
nécessite d’être redresser et filtré à fin quelle soit mesurable sur le port du PIC 16f877, sachant
que ce dernier est capable de convertir des tensions entre 0 et 5V sur une résolution de 8bit.
Un redresseur double alternance est un montage à diode qui conserve les alternances positive et
redresse les alternances négatives d’une tension d’entré v (t).
La fréquence en sortie est le double de la fréquence d’entré.
-36-
Chapitre III Le Soft Starter
La tension de sortie est donc périodique de période . La valeur moyenne de la tension de sortie
est :
( ) ∫ ( ) ∫ √ ( )
( ) ( )
√
( )
-37-
Chapitre III Le Soft Starter
Le redressement de la tension alternative délivrée par le secondaire du transformateur, est assuré par le
pont de diodes que forment les quatre diodes D1 à D4. Les diodes utilisées ici sont de type 1N4007, qui
supportent un courant direct de 1 A.
0 implique RC ∞
-38-
Chapitre III Le Soft Starter
Pour l’affichage, on a choisit un écran LCD 2 lignes de 16 caractères qui intègre son propre
module de gestion, il est donc directement connecté aux broches du PIC et alimenté sous une
tension de 5V.
Pour la transmission de données, c’est un afficheur à accès parallèle avec une possibilité de choix
entre une transmission sur 4 ou 8 bit en la configurant dans le programme principale du PIC.
-39-
Chapitre III Le Soft Starter
Cycle d’écriture : l’état de bus de données est pris en compte au front descendant de ce signal.
Cycle de lecture : la donnée est fournie pendant l’état haut de ce signal.
R/W : indique le sens du transfère :
« 0 » : écriture vers l’afficheur.
« 1 » : lecture depuis l’afficheur.
RS : register select. L’état de ce signale indique la destination de la donnée :
« 0 »registre de contrôle.
« 1 »mémoire DDRAM.
D7—D0 : bus de donnée bidirectionnel
Le protocole RS232 est utilisé en industrie pour la communication entre un ordinateur via un port
série et un système électronique en limitant le nombre de fils de transmission. Elle nécessite un
minimum de 3 fils comportant les trames de données en émission (Tx) et en réception (Rx).
Afin que les éléments communicants puissent se comprendre, il est nécessaire d'établir un
protocole de transmission. Ce protocole devra être le même pour les deux éléments afin que la
transmission fonctionne correctement.
Les paramètres rentrant en jeu :
-40-
Chapitre III Le Soft Starter
Parité : le mot transmis peut-être suivi ou non d'un bit de parité qui sert à détecter les erreurs
éventuelles de transmission. Il existe deux types de parité.
Parité paire : le bit ajouté à la donnée est positionné de telle façon que le nombre des
états 1soit paire sur l'ensemble données + bit de parité.
Ex : soit la donnée 11001011 contenant 5 états 1, le bit de parité paire est positionné à 1,
ramenant ainsi le nombre de 1 à 6.
Parité impaire : le bit ajouté à la donnée est positionné de telle façon que le nombre des
états 1soit impaire sur l'ensemble données + bit de parité.
Ex : soit la donnée 11001011 contenant 5 états 1, le bit de parité paire est positionné à 0, laissant
ainsi un nombre de 1 impaire.
Bit de start : la ligne au repos est à l'état logique 1. Pour indiquer qu'un mot va être transmis
La ligne passe à l'état bas avant de commencer le transfert.
Bit de stop : après la transmission, la ligne est positionnée au repos pendant 1, 2 ou 1,5 période
d'horloge selon le nombre de bits de stop.
Format des trames :
Le bit de Start apparaît en premier dans la trame, puis les données (poids faible en premier), la
parité éventuelle et le (les) bit(s) de stop.
Exemple :
Soit à transmettre en parité paire, 7 bits de données, 2 bits de stop, le caractère "B" dont le codage
ASCII est (42)16 ou (1000010)2 ; La trame sera la suivante :
-41-
Chapitre III Le Soft Starter
-42-
Chapitre III Le Soft Starter
Les cartes électroniques à base de microcontrôleurs fonctionnent très souvent avec des niveaux
TTL soit 0-5Volt, 0V pour le niveau 0 et 5Volt pour le niveau 1. Brancher donc directement une
ligne RS232 sur un microcontrôleur n’aurait donc aucun sens et pourrait aussi endommager le
système en imposant des tensions très élevées.
Pour rendre compatible une ligne RS232 avec une carte de ce type il existe un composant très
simple d’utilisation que nous allons étudier : le max232. En regardant son schéma interne ci-
dessous, nous constatons directement qu’il est premièrement doté d’un convertisseur de tension,
au travers des capacités C1 et C3 il génère une tension de 10Volt depuis les 5Volt (doubleur de
tension), et au moyen des capacités C2 et C4 il génère une tension de -10Volt a partir de la
tension de 10Volt. Il est bien sur évident que la puce est munie de tout un système, avec un
oscillateur, des diodes et ... afin d’intégré ce convertisseur DC-DC. Il existe une version de cette
puce, le max233, où les capacités sont intégrées directement dedans, mais nous ne rentrerons pas
dans ce détail. La valeur des capacités va dépendre de la version de la puce.
-43-
Chapitre III Le Soft Starter
-44-
Chapitre III Le Soft Starter
Si la tension v à ses bornes est négative, le thyristor est bloqué ; il n'est parcouru que par un faible
courant inverse. Il faut veiller à ne pas dépasser la tension inverse maximale (risque de
détérioration).
Si la tension devient positive, le thyristor reste bloqué ; il n'est parcouru que par un faible
courant de fuite direct. Il faut veiller à ne pas dépasser la tension directe blocable à courant
de gâchette nul (toujours risque de détérioration).
Si la tension v est positive, et que l'on fait passer une impulsion de courant dans la gâchette, le
thyristor s'amorce et devient passant. Il faut veiller à ce que la durée de l'impulsion soit
suffisante pour que le courant dans le thyristor soit supérieur au courant d'accrochage.
-45-
Chapitre III Le Soft Starter
-46-
Chapitre III Le Soft Starter
La maquette que nous voulons utiliser est une maquette officielle du constructeur ABB.
-47-
Chapitre III Le Soft Starter
R2 et R3 étant des résistances très grande, créent une chute de tension importante avant l’étage du
pont redresseur. Chaque alternance positive allume la led de l’optocoupleur.
Le transistor se sature et relie la sortie à la masse, d’où à chaque passage de zéro une impulsion
de 5V apparait sur la sortie du dispositif.
-48-
Chapitre III Le Soft Starter
Les deux thyristors sont amorcés en même temps. Seule la polarisation désignera alors le
thyristor qui va être amorcé.
Une impulsion sur la base du transistor, de duré suffisent relie l’émetteur à la masse. Les
optotriacs s’alimentent et court-circuitent les résistances en série avec la gâchette et la cathode,
le thyristor conduit jusqu'à l’arrivé de l’alternance qui le bloquera.
-49-
Chapitre III Le Soft Starter
Lorsqu'un front raide se présente entre les points A et K, le condensateur se charge à travers R.
La tension Vak évolue plus lentement (comme aux bornes du condensateur). La résistance R
intervient aussi lors de l'amorçage commandé et limite le courant de décharge du condensateur
dans le thyristor (di/dt). Ce circuit présente aussi l'avantage d'un amorçage plus facile du
thyristor, la décharge du condensateur permettant un établissement plus rapide du courant
d'accrochage.
-50-
Chapitre III Le Soft Starter
Les varistances ont une caractéristique tension/courant extrêmement non linéaire. Au delà d'un
certain seuil de tension l'impédance de la varistance chute pour permettre l'évacuation du courant
créant la surtension ; quand la tension revient à son niveau normal l'impédance de la varistance
reprend sa valeur à l'état de veille (donc pas de courant).
Chaque phase du réseau est séparée du récepteur (moteur) par deux thyristors montés en tête
bêche. L'interrupteur autorise le passage du courant durant un temps plus ou moins long de la
demi-période. Ce temps est défini par le rapport cyclique qui est le rapport du temps de fermeture
divisé par la demi-période, il est donc compris entre 0 et 1. Quand il est égal à 0 la tension de
sortie est quasiment nulle et quand il est égal à 1 la tension de sortie est la même que celle de
l'entrée (du réseau). Le signal de commande, appelé angle de retard à l'ouverture, doit être
synchrone avec la tension aux bornes de l'interrupteur grâce a un système de détection de passage
de Zéro
Détection
de zéro
Forme d’onde de
sortie
Signaux de
commandes
-51-
Chapitre III Le Soft Starter
( )
-52-
Chapitre III Le Soft Starter
Liaison
RS232
Signaux de
synchronisations
Boutons
poussoirs de
sélection
Capteur de
courant
Signaux
d’amorçages
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Chapitre III Le Soft Starter
A la mise sous tension, sur l’écran LCD apparait l’affichage « SOFT STARTER ».
Un message est envoyé vers l’ordinateur via le port rs232 « Transmission de données OK »
indiquant que le câble est bien branché et que la maquette est prête à communiquer avec
l’ordinateur. L’utilisateur doit alors appuyer sur le bouton select.
Le message « Sélection de puissance de démarrage » apparait sur l’écran.
L’utilisateur doit alors choisir la puissance du démarrage qui varie entre 30 et 100% grâce aux
boutons poussoirs Inc. et Déc. Puis valider avec le bouton entrer.
Le message « Sélection du temps de démarrage » apparait sur l’écran.
Le temps de démarrage varie entre 1 et 30 secs. Ce temps signifie le temps d’évolution, de la
puissance sélectionnée jusqu'à la puissance maximale.
Apres la sélection du temps de démarrage l’utilisateur valide avec le bouton entrer.
Le message « Sélection du courant Max » apparait sur l’écran. L’utilisateur sélectionne la valeur
du courant qui ne doit pas être dépassé au cours du démarrage et appuie sur entrer.
Un message récapitulatif contenant toutes les données introduites par l’utilisateur apparait sur
l’écran et demande une confirmation pour le début du démarrage.
Si une erreur apparait le soft starter doit être réinitialisé par le bouton poussoir RESET et refaire
la configuration.
Si les données affichées sont confirmés, l’utilisateur doit appuyer sur le bouton START.
Le soft starter :
Autorise l’amorçage progressif des thyristors tout en mesurant le courant absorber.
Afficher les valeurs sur l’écran LCD, et les envoie vers l’ordinateur toutes les 300ms.
Si la puissance atteint 100% et que le courant mesurer n’a pas dépassé Imax, c’est que le
démarrage a réussi.
Si I mesurer vient à égaler Imax, la puissance transmise au moteur n’évolue plus.
Si le moteur consomme cette énergie et que I mesurer baisse au dessous de Imax le soft starter
continue de fournir la puissance jusqu’a 100%. Le démarrage est ressui.
Si I mesurer continue d’augmenter et dépasse deux fois Imax, le démarrage est automatiquement
annuler par le soft starter.
-54-
CHAPITRE IV
CONCEPTION ET
REALISATION
CONCEPTION
MATERIELLE
Chapitre IV Conception et réalisation
IV. 1. 1. Introduction
Une fois que le choix des composants a été fait, nous allons voir dans ce chapitre la partie
réalisation qui consiste à relier tout les composants et les faire fonctionner ensemble.
Une fois les préparatifs effectués, on peut enlever la pellicule en plastique (noire ou blanche)
qui protège la résine photosensible qui recouvre notre plaque.
Positionner notre typon sur la vitre de l’insoleuse, puis la recouvrez avec votre platine vierge
(la résine en contact avec le typon) comme le montre le schéma ci-dessous.
A ce niveau il faut éviter de faire l’erreur de sens, pour éviter cette erreur, il faut s’imaginer
être à la place des tubes UV, et regarder à travers la vitre. On doit observer l’image des pistes
du circuit définitif, et pas l’inverse...
Réglage du temps d’exposition : dans notre cas, il est a deux minute, mais ce temps dépend
effectivement de : l’insoleuse (nombre et espacement des tubes), de la qualité de la résine, du
révélateur utilisé et du temps de révélation.
Plonger le circuit que nous avons au préalable insolé dans une cuvette qui contient un
révélateur (la soude), la face résine en l’air.
Balancer la cuvette d’avant en arrière pour mettre le révélateur en mouvement.
Les pistes apparaissent maintenant clairement en vert.
Enlever la pellicule de vernis qui subsiste sur le cuivre.
Sortir le circuit du liquide et le rincer abondamment à l’eau claire, puis laissez le sécher
verticalement.
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Chapitre IV Conception et réalisation
Faire encore plonger la maquette dans une bassine qui contient du perchlorure de fer
réchauffé à une température de 45°C environ, face cuivre en l’air.
Remuer la bassine avec un mouvement de balancier, surveiller régulièrement la gravure,
celle-ci doit durer au maximum 15 minutes. Si le circuit ne se grave pas rapidement, c’est que
votre perchlorure est trop froid ou bien qu’il est saturé. Il faut donc soit le remettre à chauffer,
soit en changer...
Le circuit est correctement gravé quand tout le cuivre à nu est enlevé. On peut alors retirer le
circuit, et le rincer abondamment
IV. 1. 2. 5. Le perçage
Pour cette étape il est important d’avoir les forets des diamètres suivants :
0.6 Mm pour les circuits intégrés, les transistors, petits condensateurs et straps, 0.8 mm pour
les composants normaux, 1 mm pour les ajustables ou les condensateurs électrochimiques, 1.5
mm pour quasiment tout le reste.
Jusqu’ici on peut dire que notre maquette est prête, mais on peut également améliorer la
qualité de cette maquette avec :
IV. 1. 2. 6. L’étamage
L’étamage est facultatif, mais il reste un excellent moyen pour protéger le circuit.
Autre avantage, il élimine totalement les micro- coupures que l’on rencontre parfois sur les
pistes fines.
IV. 1. 2. 7. Vernissage
Le vernissage est un plus et n’est pas obligatoire. En plus de l’étamage, il a pour vocation de
protéger à la fois les pistes et l’époxy nu.
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Chapitre IV Conception et réalisation
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Chapitre IV Conception et réalisation
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CONCEPTION
LOGICIELLE
CHAPITRE IV Conception et réalisation
IV. 2. 1. Introduction
Une fois que toute la réalisation électronique est faite, nous allons dans le présent chapitre
expliquer le programme qui est élaboré afin d’assurer le bon fonctionnement de l’ensemble.
Le programme élaboré est mis au point sous CCS Compiler pour faire fonctionner les pics du
Soft starter en général.
Le CCS Compiler est un outil informatique conçu spécialement pour la programmation des
Pics. La compilation d’un programme dans ce même logiciel génère un fichier avec
l’extension « .Hex » ce dernier est injecté dans les PICs à l’aide de logiciel IC Prog et le
programmateur.
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CHAPITRE IV Conception et réalisation
Début
Initialisation de l’afficheur
Non Test C0
Oui
Non
Non 1
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CHAPITRE IV Conception et réalisation
Affichage P
2 Non Test C0
Oui
Non
Non
Affichage T
Non Teste C0
Oui
Non
Non
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CHAPITRE IV Conception et réalisation
Affichage Imax
4 Non Teste C0
Oui
Printf ( P, T, Imax)
Oui
Acquisition de Imesuré
Affichage Imesuré
Printf (Imesurer)
Oui
Output_high(pin_d2)
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CHAPITRE IV Conception et réalisation
Oui
Output_high(pin_d3)
Fin
Début
Non Test C0
Oui
Non
Non 1
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CHAPITRE IV Conception et réalisation
2 Non Test C0
Non
Non
Non Teste C3
Oui
Convertir P, T
D=f (P, T)
Pin_b0=1 non
Oui
Tempo D
pin_c5=1
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CHAPITRE IV Conception et réalisation
Pin_b1=1 non
Oui
Tempo D
pin_c6=1
Pin_b2=1 non
Oui
Tempo D
pin_c7=1
Non
Oui pin_c6=0
Pin_c5=1 pin_c7=0
Pin_c6=1
Pin_c7=1
Pin_b7=1
Fin
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CHAPITRE IV Conception et réalisation
#use delay(clock=20000000)
#include "c:/flex_lcd.c"
#fuses HS,NOWDT,NOPROTECT,NOLVP
void main()
int v;
float a;
int t=0,c=10,i=0;
set_tris_c(0xff);
set_tris_d(0x00);
output_d(0);
lcd_init();
debut:
if(input(pin_c0)){
delay_ms(200);
lcd_init();
goto selectC;
…………
goto selectI;
ready:
setup_adc_ports(all_analog);
setup_adc(ADC_CLOCK_INTERNAL );
lcd_gotoxy(1,1);
- 66 -
CHAPITRE IV Conception et réalisation
printf(lcd_putc,"Start? Cd=%i",c);
lcd_gotoxy(1,2);
printf(lcd_putc,"Td=%is Imax=%iA",t,i);
if(input(pin_c3)){
lcd_init();
goto boucle;
failure:
lcd_gotoxy(4,1);
printf(lcd_putc,"DEMARRAGE");
lcd_gotoxy(5,2);
printf(lcd_putc,"ANNULE !!");
output_high(pin_b1);
delay_ms(1000);
goto failure;
fin:
lcd_gotoxy(4,1);
printf(lcd_putc,"DEMARRAGE");
delay_ms(1000);
lcd_gotoxy(5,2);
printf(lcd_putc,"REUSSI !!");
delay_ms(500);
goto fin;
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CHAPITRE IV Conception et réalisation
#use delay(clock=20000000)
#include "c:/flex_lcd.c"
#include "math.h"
#fuses HS,NOWDT,NOPROTECT,NOLVP
void main()
int t=0,c=10;
set_tris_c(0xff);
set_tris_d(0x00);
output_d(0);
debut:
if(input(pin_c0)){
delay_ms(200);
goto selectC;
goto debut;
selectC:
r=65000/d;
printf("p=%li\r",r);
if(input(pin_c1)) {
delay_ms(300);
if(c<100){
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CHAPITRE IV Conception et réalisation
c=c+10;
d=d-130;
if(input(pin_c2)){
delay_ms(300);
if(c>0){
c=c-10;
d=d+130;
if(input(pin_c0)){
delay_ms(400);
//printf("Cd=%i'/.\r",c);
goto selectT;
………………………
goto algodem;
etiq:
output_c(224);
output_high(pin_b5);
goto etiq;
failure:
output_c(0);
goto failure;
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CONCLUSION
GENERALE
Conclusion générale