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Acte un : l'arrestation

Dans l'auberge du nuage enchanteur au milieu du ghetto d'Aqabah, l'odeur du safran accompagnait
les volutes de fumée créant une atmosphère brumeuse dans le lieu. La musique rappelant le quartier
des musiciens d'Aqabah offrait une distraction que tout les client semblait apprécier, néanmoins l'un
d'eux ne semblait pas prendre part a l'ambiance festive, en effet dans un coin un homme, au regard
penseur vêtu d'une tenue amasienne orange et blanche et à la longue chevelure rousse semblait
attendre quelque chose, à sa ceinture un fourreau usé, laissait apercevoir par endroit une lame en
piteuse état. Il redressa la tête alors que du bruit à l’extérieur de l’établissement commençait a ce
faire entendre. Son regard ce posa sur la porte qui s'ouvrit dans un vacarme assourdissant, plusieurs
gardes de la ville entrèrent tandis que les instrument un à un devinrent silencieux.

Un garde, plus âgée et plus gradé équipée d'une longue épée et d'une cape noire balaya la salle du
regard, ces yeux ce posèrent sur chaque client du nuage enchanteur, un large sourire ce vit sur son
visage lorsque il aperçu l'homme en orange.
-Tamotsu Takeshi ! Vous êtes en état d'arrestation, pour vol, insubordination, et pour désertion !
Hurla l'homme. Attrapez le ! Aboya-t'il.
Les gardes s'avancèrent tandis que Tamotsu pris sa lame a peine entière et la jeta par terre et
s'avança d'un pas calme vers les gardes en levant les mains. Le regard autrefois penseur de
l'amasien, était maintenant remplis d'une colère certaine. Deux gardes lui saisirent les bras pour les
lui coller dans le dos, de lourde menotte furent attaché a ces poignets tandis que un autre le fouillait.
- Il à a peine de quoi ce payer son thé Commandant Massengrab. Informa le garde les mains encore
en train de fouiller les plis de la tenue de Tamotsu.

Massengrab s’avança lentement vers son prisonnier.


-Tu as de la chance Tamotsu, ils veulent que je te ramène en vie
-Vas crever Massengrab...
La main gantée du Commandant frappa en plein visage Tamotsu. L'amasien ce mit à cracher du
sang alors que un violent coup de genoux vînt le frapper dans l'abdomen. Il perdit l'équilibre, retenu
par les gardes il resta debout. Massengrab vînt a son oreille et lui murmura :
-j'ai pris un plaisir immense à rétablir l'ordre après ton départ en tuant quelques-un de tes petit
soldat devant les autres.
Tamotsu resta silencieux, son regard devînt plus meurtrier que jamais et il fixa le commandant.
-Allez, Embarquez le... dit Massengrab un large sourire au lèvres.
Les garde trainèrent Tamotsu dehors, à l’extérieur, la nuit déjà avançait laissait apparaître les étoiles,
une fois passé la porte, certain habitant curieux regardait la scène depuis leurs fenêtres, un homme
ce tenait a coté de l'auberge tapis dans l'ombre il etait drappé de noir, son col laissait dépasser les
dorure d'une tunique pourpre, son visage souriait en regardant la situation.
-La prochaine fois tu paieras ce que tu dois en temps et en heure Happy.
-Tu viens de perdre le droit de m'appeler ainsi répondit l'amasien, Hey! On ce reverra bientôt, crois
moi... lança Tamotsu en ce redressant avant d'être hors de porté de l'homme.
Massengrab ricana en entendant les menaces de Tamotsu et ouvrit la marche jusqu'au Palais. Le
cortège emprunta l'un des pont passant au dessus du Parcoule menant à une route pavé parfaitement
entretenu faisant contraste avec les rue boueuse du ghetto, il avança jusqu'à atteindre un immense
pont allant jusqu'à un grand rocher sur lequel ce dressa l'imposant palais royal d'Aria surplombant
toute la cité.
Acte deux : le dernier souhait

Sur la place de la prospérité, le soleil à son zénith, une jeune femme au cheuveux mi-long noir vêtu
d'une tenu d'aventurière, des livres et accessoires accroché à la ceinture, sort d'une échoppe d'un
ébéniste de renom avec dans les main un splendide Kanoun, son regard scruta les environ, les
nombreux stand, et échoppe faisait transparaître les talents de la cité, mais elle ce dirigea vers
l'échoppe d'un marchand d'arme, quelques instant plus tard un petit fourreau duquel dépassait la
poignet d'une dague parfaitement travailler était accroché a sa ceinture.
-Pardonnez moi... la voix ce fit entendre derrière la jeune femme qui ce retourna. J'ai un bouquet
pour dame Layla Panono...
-C'est bien moi. Répondit-elle. Devant elle ce trouvait un enfant, faisant office de coursier, il tenait
en ces main un immense bouquet de lilas.
Le jeune homme donna le bouquet à Layla qui lui offrit une pièce d'argent en retour.
-j'ai également un message à vous remettre... Dit le coursier tout bas. Je ne pensais pas que cela ce
passerais comme ça je me sent un peu mal. J’espère que cela suffira.
L'enfant tourna les talons après avoir offert un grand sourire à la jeune femme et s’engouffra dans la
foule du Marché de Gros.

Layla senti le bouquet, l'odeur des fleurs lui ravissait les narines, puis sortit de la place, afin de ce
diriger vers l'anguille d'argent ce trouvant sur les Docks. L'établissement fréquentait principalement
par des marins, offrait toujours un accueille chaleureux surtout de la part de César Costa. Elle
s'installa à une table à l'écart et posa les fleurs sur la table, puis sortit du bouquet une enveloppe, elle
l'ouvrit et y trouvas un mot ainsi que un vieux parchemin plier. Le mot disait :

Ils vont bientôt arriver hâte toi...

A ces mots Layla rangea le vieux parchemin dans l'une de ces poches, posa le Kanoun sur la table et
regarda autour d'elle. Dans l'établissement les clients parlaient, discutaient, riaient. Mais ce n'était
qu'une question de temps avant que un garde ne franchisse la porte d'entrée. César Costa apporta un
verre d'alcool de mouette à Layla que ce mit a le boire tranquillement. Elle n’eus pas le temps d'en
boire la moitié que un garde de la citée entra dans la taverne, tout le monde se tut, tout le monde
observait l'entrée, le garde s'avança alors vers la table de Layla.
-Bonjour, je me prénomme Nett je suis l'un des garde du palais royal, êtes vous Dame Layla
Panono ?
-Absolument, que puis-je faire pour vous ? Répondit Layla d'un ton calme.
-Vous êtes demandée au palais, pour exaucer le dernier souhait d'un prisonnier avant son exécution.
Je vous demande de bien vouloir me suivre.
-Pourrais-je au moins savoir ce que ce prisonnier me veux ? Rétorqua Layla sèchement. Je ne crois
pas être disponible au bon plaisir de chaque prisonnier destiné à la potence...
-Il à demander une chanson, et nous as affirmé que vous aviez l'une des voix les plus
impressionnant du royaume, il dit même je cite : elle serait capable de bercer une vouivre avec sa
voix.
-Haha c'est tout de même exagérer vous ne croyez pas ? Dit Layla avec un sourire propice à
l'amusement de la situation. Mais bon, c'est bien la première fois que l'on me demande quelque
chose d'aussi étrange, donc pourquoi pas.
Layla ce leva pris ces affaires et commença à suivre le garde. Ils ce dirigèrent vers le palais royal, à
l'entrée de ce dernier plusieurs soldats montait la garde, ils s’arrêtèrent devant l'un d'eux :
-Merci de nous remettre vos armes si vous en disposez, elles vous seront rendu à votre sortie, vous
ferez également l'office d'une fouille avant votre entrée dans le palais.
Layla détacha sa dague de sa ceinture et la donna au garde.
-C'est ma seul arme je ne suis pas du genre à chercher les ennuies, et en ce qui concerne la fouille,
vous n'avez pas l'air de connaître les femme d'Altabianca, nous tenons à notre intimité et je ne suis
pas sur que vous ayez envie de créer un incident diplomatique avec une noble d'Altabianca ?
Rétorqua d'un ton assuré Layla.
Le garde ne sut répondre à cela, une légère goutte de sueur coula le long de son front et fit un signe
de tête à ces collègues.
-Bon.. Balbutia le garde. Allez-y...
Layla ouvris cette fois ci la marche pour rentrée dans le palais, Nett le garde qui l'accompagnait, la
rattrapa pour la rediriger vers le bon chemin. La jeune femme était effectivement partie du mauvais
coté, restant muette face à la splendeur de l’intérieur du palais. Elle repris néanmoins rapidement
ces esprits et ce remit à suivre le garde.
Acte trois Gourmandise

Les murs albâtre des geôles, était en mauvaise état, de la moisissure dû à l'humidité recouvrait
certaine jointure, l'odeur nauséabonde d’excrément et de pourriture qui remplissait les couloir était à
peine supportable. Le visage douloureux, Happy était assis en tailleur au milieu de sa cellule, deux
garde devant celle ci il restait silencieux.
-Il paraît que il à emmener des enfants sur le champ de bataille... dit l'un des gardes à son collègue.
Quel genre de monstre faut être pour faire ça...
-J'ai pas spécialement envie de parler de ça, il paraît que il était surnommé : le Cauchemar
d'Aqabah.
-Tu parle, pour un "Cauchemar" il c'est fait arrêter sans même ce battre, c'est surtout un lâche, il à
déserté... Des pas ce firent entendre à l'autre bout du couloir. Ha ! Ton dernier souhait est arrivé.
La porte s'ouvrit et une jeune femme entra, un kanoun à la main un homme resté à la porte dit
-Dame Layla, je vous laisse ici et je vous attendrais à la sortie.
La jeune femme fit un signe de tête. La porte ce referma, et la jeune femme s'avança, les gardes la
regardèrent et la laissèrent passer, Layla S'approcha de la cellule, elle regarda Happy.
-Ne vous approchez pas trop, il est dangereux. Lança l'un des garde.
-n'est-il pas en prison et n'êtes vous pas là pour me protéger en cas de besoins ? Lui rétorqua t'elle
en ce retournant avec un regard sévère.
Il n'en fallut pas plus avant que la jeune femme senti une pression sur sa gorge, l'homme dans la
cellule avait bougé assez rapidement pour faire une prise d'étranglement sur Layla. Les garde
surpris par la vitesse de l'action sortirent leurs épées et ouvrirent la cellule pour s'en prendre à
Happy.
-c'est la quelle ? Demanda Happy hâtivement.
-La plus haute !
En un instant Happy tira sur une des clef d’accordage du kanoun, elle bascula et un léger cliquetis
discret ce fit entendre sous l'instrument. Un petit panneau s’ouvrit et fit tomber une potion que
l'amasien attrapa et envoya sur le mur derrière lui.
-Ferme les yeux vite !
Alors que les gardes venait d'ouvrir la cellule Happy et Layla fermèrent les yeux le plus fort
possible... La potion éclata.
Le flash aveuglant de cette dernière avait déstabiliser les gardes, Happy rouvrit les yeux et en
profita pour les pousser dans la cellule en essayant de voler leurs armes il dû en frapper un pour le
désarmer. L'autre balayait l'espace avec sont épée espérant toucher quelqu'un. Les mouvement
aléatoire du second garde firent mouche, et touchèrent happy qui prit un violent coup d'épée au
niveau du bras, il sauta donc sur le garde encore armé et l’assomma avec la garde de l'épée qu'il
venait de récupérer. Il sortie alors de la cellule en la refermant derrière lui.
-ça vas aller ? Lança Layla.
-Oui nickel, tu as ce qu'il faut ?
Layla acquiesça et sorti le vieux parchemin plier. Le parchemin était un plan de la prison avec
l'emplacement de gourmandise indiqué.
-Et il t'a coûter combien ce service ? Demanda Layla.
Happy ce contenta de sourire et ce concentra sur le plan quelques longue secondes.
-Prête ? Demanda t'il. Sa risque de faire un peu mal j'en suis désolé...
-T'en fait pas ça vas le faire. Assura-t'elle d'un ton assuré. Ils ne vont pas tarder...
Happy donna un violent coup de point à Layla, lui fendant l'arcade sourcilière, Layla retint un cris
de douleur. Layla tenait son kanoun devant elle, Happy la saisie et mit une lame sous la gorge de
son amie et ce mirent à avancer. En effet les gardes ne mirent que très peu de temps avant d'arriver
après le vacarme tonitruant qu'avait fait la potion et les cris des gardes aveuglé. Alors que Layla et
Happy s’engouffrèrent dans le couloir ils virent les gardes au loin commencer à approcher.
-Restez en arrière ! Hurla Happy, son regard avait changé et son ton autrefois si jovial était devenu
presque effrayant. Un pas de plus et je tranche la gorge de cette noble ! Si Layla ne connaissait pas
son ami elle aurait réellement eu peur pour sa vie.
Devant le groupe de garde ce trouvait Nett le garde qui avait guidé Layla, il arrêta d'avancer et dit
au autres de ce stopper également. Le sang de Layla commençait a entacher sa tenue.
-Prend à droite. Dit-elle d'un ton feutré
Happy pris alors la direction indiqué tout en restant face au garde, dé l'instant où ils les perdirent de
vue ils entendirent les bruits de bottes caractéristique des gardes. Ils ce hâtèrent et prirent plusieurs
intersections avant d'arriver à un escalier.
-C'est en bas. Annonça Layla.
-Dépêchons nous dans ce cas.
Ils descendirent l'escalier en colimaçon faiblement éclairé par ces bougies installé dans à la place de
briques manquante. L'escalier les menèrent à une porte massive en bois.
-Il y en as au moins deux à l’intérieur. Dit Happy.
Layla regarda Happy et lui fit signe de ce pousser sur le coté. Happy s’exécuta et laissa faire Layla.
-A trois tu fonce. Dit-t'elle à voix basse. Layla pris une grande inspiration. AU SECOURE ! IL Y EN
AS UN QUI C'EST ÉCHAPPÉ ! AIDEZ MOI ! Hurla-t'elle en frappant frénétiquement la porte.
Une petit lucarne s'ouvrit au niveau de la porte et ce referma de suite, des bruits de serrure ce firent
entendre. Layla fit des signes avec ça main elle montra trois doigts.
-PAR PIT IER AIDEZ MOI ! Deux. JE VOUS EN SUPPLIE ! Un. AU SECOU...
La porte s'ouvrit et Happy s’élança offrant au garde qui venait d'ouvrir la porte le pommeau de son
épée et l’assomma, le deuxième garde deux mètre derrière n’eut pas le temps de réagir que Happy
lui avait asséné un gigantesque coup avec le plat de la lame sur le coin du visage. Il tomba
inconscient au sol. Layla qui avait rattraper le premier garde avant sa chute le traîna en dehors de la
pièce. Happy agrippa les chevilles du second et fit de même. Une fois les gardes hors de la pièce ils
verrouillèrent la porte alors qu'ils entendirent les bruits des gardes commençant à descendre
l'escalier.
Dans la pièce il y avait deux cellules, l'une d'elle était vide et dans la seconde il y avait une jeune
femme au cheveux noir et au nez pointu, elle était recroquevillé dans un coin de sa cellule.
-Hé ! Gourmandise c'est ça ? Interpella Happy. On est là pour te sortir de là, c'est ton père qui nous
envoie.
La jeune femme redressa la tête et regarda Happy les yeux plein d'espoir, son visage était marqué,
les gardes n'avait pas été tendre avec elle non plus visiblement. Gourmandise ce leva et ce mit à
avancer vers Happy, elle restait silencieuse, Layla la saisie par les épaule a travers les barreau de la
cellule.
-Tout vas bien ce passer, tu vas rentrer chez toi... Layla actionna deux autres clefs d'accordage du
kanoun et deux autres compartiment s’ouvrir dans un cliquetis léger, laissant apparaître deux
potions minutieusement harnachée. J'ai besoins que tu fasse un tout petit effort, d'accord, j'ai
besoins que tu pense à l'endroit où tu voudrais être la de suite, je veux que tu pense à ton père, dans
son bureau, j'ai besoins que tu y pense très fort d'accord ?
Gourmandise les yeux embué de larme acquiesça, elle ferma les yeux et ce concentra. Happy
déboucha l'une des potions et la porta au nez de Gourmandise... d'un seul coup elle disparue... Layla
remit ces bras le long de son corps, et regarda Happy.
-Tu es prête ? Demanda Happy.
-Oui... allons-y, qu'on en finisse. Layla ferma les yeux et respira la potion que tenait Happy, elle
disparue elle aussi.
Happy souffla quelques instant il entendait les gardes tambouriner à la porte, essayant de
l'enfoncer... Il ce mit à secouer la seconde potion, et inspira un grand coup.
-Meurt traîtresse ! Hurla-t-il pour être sur que les gardes à l’extérieur l'entende.
Il lança la deuxième potion à travers les barreaux à l'impact une petite explosion de flamme ce créa
avant de ce rétracter sur elle même et créer une déflagration beaucoup plus large, Happy inspira
l'autre potion et se retrouva projeter contre un mur... Il était dans l'antre de la guilde des marchand
presque honnête, l’explosion de la la potion d'ingramus l'avait tout de même projeté,
malheureusement la potion de téléportation n'avait pas survécu au voyage, et quelques débris de
verre restèrent planté dans la main de Happy... Un homme aida Happy à ce relever, il était vêtu
d'une tunique pourpre au col dorée, une grande cape noire arpentait son dos. Jotun semblait heureux
que Happy soit revenue.
Happy se dirigea alors vers le bureau de Aurilam pour rejoindre Layla et récupérer la récompense...

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