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CLARA 3

TABLE DES MATIERES


CLARA 3.....................................................................................................1
Note de l’auteure.................................................................................2
PRELIMINAIRES...............................................................................3

i
CLARA 3

Auteur : Marylin Doll


Catégorie : Érotisme

ET QUOI ? ELLE EST COMME ÇA, CLARA. IMPULSIVE. FAUT PAS


TROP LUI LÂCHER LA BRIDE, SINON... ELLE PEUT PARTIR EN
LIVE.

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1
Note de l’auteure

Clara se prépare à emmener sa proie, cet ingénu pubère, et elle savoure


par avance cet instant. Elle a le sang chaud et il bouillonne. Son cœur bat
comme un tambour. L’heure du festin est proche. Bientôt, bientôt. Rester
calme. Après...

Note de l’auteure 2
PRELIMINAIRES

Clara avait fini son verre. Elle passa sa langue rose sur ses lèvres,
savourant encore le goût de l’orgeat dans sa bouche. Elle alluma une
cigarette.
Elle fumait paisiblement, perdue dans des pensées joyeuses, quand elle
vit le jeune homme sortir de la Faculté. Elle le suivit du regard tandis qu’il
traversait le boulevard. Il ne payait pas de mine. Mais Clara s’en fichait.
Elle voulait jouer les initiatrices. C’est ça qui l’excitait aujourd’hui.
Elle allait prendre sa petite queue dans sa bouche et regarder, observer ce
plaisir, nouveau, pour lui, qui lui tordrait le visage. Elle allait sucer ce
gland, lécher ce torse glabre et puis elle le fourrerai en elle, bien au chaud,
pour qu’il l’astique longtemps. S’il en était capable, après les
préliminaires. Elle allait lui serrer les cou...
- Ça y est, c’est bon.
Clara sursauta. Elle revint à la réalité et celle-ci était pleine de
promesses.
- Super. Assieds-toi cinq minutes. Je paye et on y va.
- Ouais, d’accord.
- Alors ? Comment tu t’appelles ?
Le garçon se rassit près d’elle.
- Max. Maxime, quoi. En réalité, c’est Maximilien.
Il n’aimait pas ce prénom.
- Max. Ok, Max. Moi, je m’appelle Clara. Enchantée.
Clara lui tendit la main et le jeune la prit, un peu surpris. Il se dit que
cette fille était peu banale. Elle vous laissait mettre la main dans sa culotte
et après, elle faisait les présentations.
- Enchanté aussi.
Ils sourirent. Clara fit signe au serveur et celui-ci s’approcha. Elle lui
donna un billet de dix euros en lui disant de garder la monnaie. Il la
remercia et repartit.
- Tu habites dans le coin, Max ?
- J’ai une petite piaule derrière le jardin du Luxembourg.

PRELIMINAIRES 3
CLARA 3

- Si on y allait ?
Maxime se dit que Maya ne rentrerait pas avant ce soir. Peut-être même
qu’elle ne viendrait pas du tout. Et puis merde ! Tant pis pour cette Sainte
Nitouche.
- D’accord.

Max et Clara remontèrent le boulevard Saint Michel en direction du


jardin du Luxembourg, puis ils prirent à travers le grand parc en longeant
les bassins et leurs jeux d’eau. Il y avait des chaises disséminées partout
dans les allées et les gens se reposaient à l’ombre des marronniers et des
platanes. Certains lisaient, d’autres papotaient ou somnolaient, des enfants
jouaient dans l’herbe en criant. Les chiens, tenus en laisse, tiraient la
langue et le cou, pressés de se désaltérer aux flaques d’eau sous les
fontaines.
Clara mit sa main dans la poche arrière du pantalon de Maxime et
lui pelota les fesses tout en marchant. Maxime passa son bras autour des
ses épaules. Il était fier comme un paon.
Clara, elle, n’en pouvait plus. Là, à cet instant précis, elle ne pensait qu’à
ça.
Elle prendrait son pied la première et elle s’occuperait de lui ensuite. Un
petit puceau. Elle lui montrerai comment lécher son con, y mettre la fièvre,
le feu. Elle le guiderait à coup de ventre, de reins, avec ses mains, à coups
de pieds s’il le fallait. Elle allait choper sa tignasse à pleines mains et lui...
- holà, holà... calmos, Clara, pensa-t-elle.
Elle savait qu’elle pouvait démarrer au quart de tour et elle avait du mal
à se tenir en bride. C’était peut-être la seule chose qu’elle ne maîtrisait pas.
Il ne fallait pas lui faire remarquer qu’il y avait l’amour, aussi, qu’elle ne
maîtrisait pas. Qu’elle était impuissante à contrôler. En fait, Clara était
vulnérable à la passion du cœur, d’une part, et à une partie secrète d’elle
même, ensuite.
Des pigeons s’envolèrent devant eux dans un vol désordonné pour fondre
sur les grains de riz qu’une vieille femme jetait sur le sol. Rapidement, il
furent des dizaines à l’entourer, montant sur ses épaules et même sur sa
tête.
PRELIMINAIRES 4
CLARA 3

Clara s’imagina assaillie ainsi par des dizaines de mâles en rut. Elle
sourit et pinça la fesse du gamin.
- Hey !
- Allez ! C’est loin, encore ?
- Non, juste là. Il lui montra du doigt la sortie du Parc. Vous m’avez fait
mal, là, dit le môme, en souriant.
- Chochotte ! lâcha Clara, en lui mettant un coup de hanche.
Ils rigolèrent.
Le garçon la vouvoyait encore et ça l’excitait d’une manière incroyable.

Sortant du Parc, ils traversèrent l’avenue et s’engagèrent à travers les


petites rues, étroites et pittoresques. Que de beaux immeubles, leurs
façades parfaitement entretenues, avec des fleurs sur les balcons, de jolis
rideaux blancs.
- C’est là, dit Maxime en se dirigeant sur une entrée voûtée.
Le sol de la courette était pavé et Clara remercia le ciel pour avoir eu
l’idée de mettre ses sandales.
Ils pénétrèrent dans l’immeuble.
- Va falloir grimper. C’est au 5eme.
- C’est parti.
Clara passa devant et commença à gravir l’escalier en colimaçon. Son
gros cul tendait sa jupe et se balançait devant les yeux de Maxime, comme
flottant dans les airs, suspendu dans l’espace, deux planètes, jumelles et
mouvantes, avec cette voie lactée au milieu. Deux morceaux luxuriants de
lune.
Max se chopa la gaule direct. Peut-être qu’il n’avait jamais fait l’amour,
encore, mais il savait ce que c’était, une grosse cochonne. Elle n’était pas
farouche et elle l’avait prouvé.
Il se risqua à poser la main sur ce monument de chair, ce temple païen
dédié à la luxure, recouvert de son voile léger, et il reçut comme un choc
électrique dans la bite qui le fit déglutir et saliver.
Clara s’arrêta et lui jeta un regard plein de malice. Elle détacha ses
cheveux, retroussa sa jupe jusqu’à ses hanches, exposant son cul plus
chaud que le soleil au dehors et qui semblait à l’étroit, emprisonné dans la
culotte blanche. Avide d’engloutir le tison rouge d’un puceau malhabile, il
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cherchait à jaillir de cette camisole. On le sentait fiévreux, impatient.


Elle écarta un peu le bord du tissu pour qu’il voit sa chatte rose, éclose,
qu’il ose quelque chose, qu’à nouveau il s’y pose, s’y repose.
Qu’il y mette son nez, ses doigts, sa langue, sa bite, bordel !
Mais Maxime restait là, hypnotisé par ce spectacle.
Clara descendit d’une marche et lui présenta sa fente humide. Comme
une offrande à la gloire d’un dieu lubrique. Elle écarta un peu plus sa
culotte pour qu’il voit bien ces deux issus jumelles. Si proches.
Celle qui s’exposait, sans honte, libérée, ses lèvres frémissantes juste à
l’embouchure de ce fleuve impétueux qui débordait et inondait la rive.
Et l’autre, plus discrète, rétive à s’ouvrir, à se livrer, petit canal étroit qui
se crispait vite mais qui, quand l’orage grondait, se transformait subitement
en un torrent de lave qui lui brûlait les reins.
Maxime avait déjà vu des films pornos. Pleins. Il avait bien observé
comment les mecs faisaient. Ils collaient leur nez dans la moiteur humide
et en léchaient les bords, s’insinuaient dans ce trou intimidant, promesse de
délices mais grand mystère, encore, pour lui.
Il se risqua à faire comme eux. Il copia ces gestes qu’il avait vus si
souvent en gros plan. Ça faisait un paquet d’années qu’il se branlait devant
l’écran.
Il se saisit des hanches de Clara et fourra le bout de son nez entre ses
fesses. Il s’étonna. Ça sentait bon. Trop bon. Il sortit la langue pour goûter
à ce jus, cette sève qui se répand quand les femmes sont trop excitées et
qu’elles « mouillent ». Il connaissait le terme mais là, le nez dans cette
liqueur, ce nectar sur ses papilles, il comprenait enfin ce que cachaient ces
mots. Et c’était bon. Sirupeux, doucereux, de fugaces saveurs musquées...
Clara cambra les reins en gémissant, les cuisses bien serrées,
l’empêchant d’atteindre le petit bout de chair qui palpitait un peu plus bas.
Elle s’en occupa elle- même. Elle glissa sa main, la posa sur le bas de son
ventre et commença à agacer ce petit phallus insolent qui compensait sa
petite taille par un pouvoir puissant : Celui de l’envoyer au ciel d’une autre
manière. Ce qu’aucun homme ne connaîtrait jamais. Ce double et pur
instant de jouissance.
Maxime s’enhardit et il tira sur la culotte. Il voulait voir le paradis dans
sa totalité. Le sillon ombragé qui fendait les montagnes. La beauté de ce
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cul mis à nu. Il fourra sa langue dans le trou chaud et il sentit que ce trou
était brûlant, plus chaud encore que sa langue. Le cratère d’un volcan.
Il la rentra, la sortit, la promena sur les rives de ce royaume en
marmonnant tout bas, il chevaucha des collines, explora des ravins,
découvrit des trésors inconnus, des saveurs exotiques, explorateur novice
et téméraire.
Mais y avait-t-il un danger, sur des mers aussi douces ? Dans ces océans
mouvant sous son corps d’ingénu. Ces chairs tumultueuses sous ses mains
intrépides.
Maxime voguait sur ces flots délicieux. Clara ondulait comme de ces
mers, les vagues, sentant monter en elle ce violent orage, ce tonnerre
impérieux qui sonne le tocsin et frappe les oreilles, puis tous les sens avec
avant de déverser sa semence impalpable. Le plaisir.
Maxime mit le bout de sa langue sur l’entrée plus discrète, juste
au-dessus de l’âtre pourpre. Clara eut un frisson et soupira. Là encore, il
goûta. Oui, mais un autre nectar. Il tenta de s’introduire ainsi, en durcissant
la langue, mais le cœur de la fleur refusa de s’ouvrir. Il revint à ces lèvres
qui s’étaient écartées sous sa bouche et reprit le chemin inondé.
Clara l’avait senti s’aventurer et son souffle avait eu un arrêt. Elle
préférait qu’il continue à lui lécher la chatte, et que dans son trou du cul, il
enfonce ses doigts. Oui, qu’il continue, encore, ça venait, ça montait,
pourvu qu’il ne s’arrête pas. Elle commença à donner des coups de reins
tout en laissant échapper des petits cris qui ressemblaient à ceux d’un
animal pris au piège.
Sa main s’agitait, triturant sa chair et frottant de plus en plus vite son
clitoris gorgé de sang, baigné de sève, qui se dressait, comme sur la pointe
des pieds, comme allant au devant des caresses, de ses doigts fébriles et
experts.
Maxime sentait bien que Clara allait jouir et il n’en revenait pas. Il avait
réussi à donner du plaisir à une femme. Et juste avec sa bouche.
Tout en continuant à jouer de la langue sur la bordure de cette peau de
pêche, il introduisit deux doigts dans ce vagin offert, en vagissant et
grognant, le souffle un peu court. Et c’était plus qu’un fleuve, qui coulait
dans cet antre. Cette eau qui débordait, lui recouvrant les doigts, descendait
vers sa bouche en longeant le canal inondé et bouillonnant. Plus Clara
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s’agitait, tendant son cul mouillé, le frottant, le collant contre le visage de


Max, et plus la crue augmentait, l’aveuglant presque.
Et puis des cris d’un petit animal, Clara passa à des plaintes étranges. Sa
voix prit un ton grave et rauque. Âpre.
- Ahhhhh... lèche bien... ta langue... c’est comme une petite queue...
aaooooohh... oui... mets-la dedans... oui... plus... fourre là dedans bordel !
OUI ! Vas-y, lèche, lèche... mets tes doigts … MET TES DOIGTS !
Ohhhhhh... oui... met tes doigts, sale con, mets-les... METS LES PLUS
PROFOND ! Dans mon cul... MON CUL... PROFOND... OUIIIIIIIIIiiiiii...
Max était un peu choqué par ces paroles, ce ton, cette voix. On aurait dit
quelqu’un d’autre. Mais ce cul, devant son nez, ce cul qu’il léchait et
pétrissait, c’était bien le même, lui, et il enfonça un doigt, puis deux, dans
ce petit trou étroit qui semblait l’implorer.
Clara se mit à gémir et pousser des cris gutturaux, entre lamentation et
extase.
Elle pleurnicha d’abord comme une petite fille, avec une voix douce et
timide.
_ … S’il te plaît... Dans mon petit trou... viens... viens... mets-les... c’est
bien, oui... comme ça...
Putain, Maxime se dit qu’une mouche lui frôlant la bite pourrait le faire
cracher dans la seconde.
- Petit enculé...
Il sursauta.
- ... Fourre-moi, FOURRE-MOI !
Max ne savait pas s’il devait baisser son froc et la prendre ou s’il devait
continuer à enfoncer ses doigts dans son cul. Il continua sur sa lancée.
L’instinct.
- OUI... connard ! VAS-Y... OUI... FOURRE-MOI LE CUL... ENCULE
DE PETITE MERDE... C’EST ÇA, PUTAIN DE BORDEL
DE...AOOOHHHHhhhhhhhh.... ohhhhhhhhh. Ohhhhhh,
PUTAINNNNNNNnnnnn !
Clara tomba à genoux sur les marches, les jambes coupées par la
jouissance. Elle respirait fort, la tête baissée, son beau cul à l’air, trempé,
vibrant encore, débordant.

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Maxime s’adossa au mur, un peu hébété, il avait le visage et les


doigts plein d’un jus poisseux. Il se sentait bien, mais il avait mal aux
couilles. Comme la fois où Candice l’avait tripoté pendant une plombe et
qu’elle l’avait laissé comme un con, la queue en feu et les couilles comme
serrés dans un étau. Il s’était démerdé tout seul et après avoir joui, la
douleur était passée.
Putain, elle allait le sucer, c’est sûr. Il en rêvait, de ça. Fourrer sa queue
dans une bouche et se faire pomper à en crever.
Soudain, ils entendirent une porte s’ouvrir à l’étage au-dessus.
- Qu’est ce qu’y s’passe là ? J’appelle la police, moi ! Foutez l’camp.

Maxime regarda Clara, qui s’était relevée et remontait sa culotte. Ils


pouffèrent en silence et ils prirent le chemin du petit studio. Sous les toits.
Et sur la pointe des pieds.
Maxime avait une batte de base-ball dans son slip et il voulait frapper la
balle et l’envoyer loin. Il repensa aux paroles de Clara : Pauvre con,
enculé... ça faisait bizarre, mais étrangement, ça l’avait bien excité. Pas
commune celle-là. Et cette voix, qu’elle avait en prenant son plaisir ! Trop
étrange.
Clara était ravie. Un préliminaire qu’elle n’espérait pas. Et un savoir
faire qui l’avait étonnée. Bon, il faut dire que même léchée ne serait-ce que
par une vague, elle aurait pris son pied. Ça promettait pour la suite.
À suivre... ( Sous les toits )

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PRELIMINAIRES 10
Ebook PDF Atramenta - Version 1.7.1 (août 2013)

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