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Nom : Année universitaire :2020/2021

Prénom : Examen blanc (2)


CNE : Microéconomie
N° d’examen : Professeur : F. BOUTALEB

Choisir « la » ou « les » bonnes réponses :

1. La productivité moyenne est croissante lorsque :


a. la productivité marginale lui est inférieure.
b. la productivité marginale lui est supérieure.
c. la production est croissante.

2. La loi des rendements décroissants est-elle vérifiée sur les fonctions de production suivantes, pour le
facteur X ?
a. Q(x, y) = Axy avec A > 0
b. Q(x,y) = Ax2y avec A> 0
c. Q(x,y) =AXa Y1-a, avec A> 0 0<a<1

3. La notion de « rendement à l’hectare » utilisée en agriculture, est assimilable à :


a. la productivité physique totale.
b. la productivité marginale.
c. la productivité physique moyenne.
d. la productivité physique marginale

4. La productivité marginale atteint son maximum lorsque :


a. la productivité totale passe par son point d'inflexion.
b. la production passe par son point d'inflexion.
c. la productivité moyenne décroît.
d. la production commence à croître à taux décroissant.

5. Les décisions d’une entreprise qui minimise le coût sont prises pour :
a. comprendre la fonction de production et les prix des inputs, et décider ensuite de la part à utiliser de
chaque input pour un niveau donné de production.
b. comprendre le prix des inputs et le prix de vente, et décider ensuite de la part à utiliser de chaque
input pour un niveau donné de production.
c. connaître le prix de vente de l’entreprise et les prix des inputs, et décider ensuite de la part à utiliser
de chaque input pour un niveau donné de production.
d. comprendre la fonction de production et le prix de vente, et décider ensuite de la part à utiliser de
chaque input pour un niveau donné de production.

6. Les facteurs de production :


a. sont des inputs que l’entreprise doit utiliser dans le processus de production; ils comprennent le
travail, le matériel et le capital.
b. sont les capitaux utilisés par l’entreprise dans le processus de production; ils n’incluent pas d’autres
inputs tels que les matières premières ou le travail.
c. sont les quantités produites par l’entreprise, telles que les biens et les services.
d. sont des inputs que l’entreprise doit utiliser dans le processus de production; ils comprennent le
travail, le matériel et l’argent emprunté

7. La fonction de production de l’entreprise :


a. illustre la quantité minimale d’inputs utilisable pour un niveau donné de production.
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Prénom : Examen blanc (2)
CNE : Microéconomie
N° d’examen : Professeur : F. BOUTALEB

b. s’applique à une technologie donnée.


c. illustre la production maximale que l’on peut obtenir pour chaque combinaison spécifique de facteurs
de production.

8. Le court terme décrit une période de temps :


a. qui dure un mois ou un an, selon l’industrie.
b. au cours de laquelle tous les facteurs de production peuvent varier.
c. qui dure un an.
d. au cours de laquelle il est impossible de changer un ou plusieurs facteurs de production.

9. Une fonction de production à court terme :


a. est une fonction de production où les inputs sont utilisés en proportions fixes.
b. représente la production supplémentaire suite à l’augmentation de la quantité d’inputs, en
maintenant au moins un input constant
c. représente la production supplémentaire suite à la variation des quantités de tous les inputs utilisés
dans le processus de production.
d. illustre la production maximale susceptible d’être produite dans un certain délai en faisant varier les
combinaisons de tous les inputs utilisés

10. Supposons que deux ouvriers produisent chacun une moyenne de 300 unités. Un troisième ouvrier
est embauché, et la production augmente pour atteindre 810 unités. Alors :
a. La productivité moyenne du travail est de 270.
b. La productivité moyenne du travail est négative.
c. La productivité moyenne du travail baisse.

11. La productivité moyenne du travail atteint son maximum lorsque la productivité marginale du travail
:
a. est égale à zéro.
b. atteint son maximum.
c. est égale à la productivité moyenne du travail.
d. Aucune de ces réponses.

12. Dans une fonction de production typique, la productivité marginale du travail augmente dans un
premier temps puis elle baisse :
a. quand, à des niveaux faibles de travail, les employés sont en mesure de se spécialiser dans des tâches
et d’augmenter ainsi la productivité. Toutefois, si on utilise davantage de travail avec une quantité fixe
du capital, certains travailleurs deviennent non productifs.
b. quand la quantité d’un input utilisé est de plus en plus grande alors que les autres inputs sont
maintenus constants. La production supplémentaire qui découle de l’utilisation de cet input finira par
diminuer.
c. en raison de la loi des rendements marginaux décroissants.

13. Les rendements marginaux décroissants surviennent parce que :


a. la production totale baisse lorsque trop de travailleurs sont impliqués dans le processus de production.
b. les premiers travailleurs embauchés sont les plus qualifiés, mais comme la quantité de travail
augmente la société attire une main d’œuvre moins qualifiée.
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c. lorsqu’on embauche davantage d’ouvriers, ces derniers partagent de plus en plus les autres facteurs
fixes, et donc leur capacité à être de plus en plus productifs est limitée.
d. un faible taux de chômage signifie que la main-d’œuvre qualifiée est de plus en plus rare.

14. Une isoquante mesure :


a. la quantité de la production produite par une quantité donnée de facteurs.
b. toutes les combinaisons possibles de deux inputs qui rapportent le même niveau de production.
c. la quantité de facteurs nécessaires pour produire un niveau donné de production.
d. la quantité de bien susceptible d’être produite par différentes combinaisons de deux inputs.

15. Un mouvement le long de l’isoquante est représenté par l’équation :


a. (PmK) K = (PmL) L
b. (K / L) = (PmL / PmK)
c. (PmK) K + (PmL) L = 0

16. Si, le long d’une isoquante, le capital baisse d’une unité et que le travail augmente de quatre unités :
a. quatre ouvriers sont nécessaires pour remplacer la perte de production suite à la baisse d’une unité du
capital, et ainsi le taux marginal de substitution technique est égal à 1 / 4.
b. Les informations sont insuffisantes pour résoudre ce problème.
c. quatre ouvriers sont nécessaires pour remplacer la perte de production suite à la baisse d’une unité du
capital, et ainsi le taux marginal de substitution technique est égal à 4.
d. quatre ouvriers sont nécessaires pour remplacer la perte de production suite à la baisse d’une unité du
capital, et ainsi le taux marginal de substitution technique est égal à 4 – 1 = 3.

17. Lorsque deux facteurs sont parfaitement substituables :


a. l’isoquante est une droite croissante et le TMST est nul, puisque les deux facteurs sont parfaitement
substituables.
b. l’isoquante est une droite croissante et le TMST varie lorsqu’un facteur est utilisé plus que l’autre.
c. l’isoquante est une droite décroissante et le TMST est constant quel que soit le niveau d’inputs.
d. l’isoquante est une droite croissante et le TMST est constant quel que soit le niveau d’inputs

18. Une entreprise avec des rendements d’échelle constants considère que :
a. doubler les inputs implique que la production fait plus que doubler.
b. augmenter les inputs de 50 % implique un doublement de la production totale.
c. doubler les inputs implique un doublement de la production totale.

19. La méthode de minimisation des coûts de production dépend :


a. de la technologie de production d’une entreprise et des coûts des facteurs de production.
b. de la technologie de production de l’entreprise et du prix du bien.
c. de la technologie de production de l’entreprise.
d. des coûts des facteurs de production.

20. Le coût d’opportunité d’un actif est égal :


a. au montant que l’entreprise aurait pu gagner en louant cet actif.
b. zéro si l’actif n’avait pas d’autres utilisations; il ne peut donc pas être loué.
c. aux charges d’amortissement de l’actif.

21. On définit un coût fixe comme :


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a. un coût déterminé par un contrat entre l’entreprise et un tiers.


b. un coût inchangé d’une période à une autre, mais qui ne sera pas payé si l’entreprise ferme.
c. un coût qui ne varie pas avec les niveaux de production et qui est présent, que l’entreprise produise ou
pas.
d. un coût qui varie selon les niveaux de production, dont une partie doit être payée si l’entreprise ferme.

22. Parmi les propositions suivantes, laquelle est un exemple de coûts fixes ?
a. Les salaires des cadres et les coûts des matériels loués à l’heure.
b. Les salaires des cadres, les frais publicitaires et le coût des matériaux et des fournitures.
c. Les salaires des cadres et les salaires des ouvriers payés à l’heure.
d. Les salaires des cadres, les coûts des équipements et les bâtiments loués pour un an.

23. Le coût moyen est :


a. la somme des coûts variables et des coûts fixes, divisée par la quantité produite.
b. le coût total de l’entreprise divisé par la quantité produite.
c. la somme du coût variable moyen et du coût fixe moyen.

24. Le coût variable moyen est :


a. le coût de production qui varie en fonction de la quantité produite divisée par le niveau de production.
b. le coût de production qui varie directement avec le niveau de production.
c. le coût total de production moins le coût fixe.

25. Le coût marginal est :


a. la variation du coût total divisé par le niveau de production.
b. la variation du coût variable divisée par la variation de la production.
c. la variation du coût total lorsque la production augmente d’une unité.

26. À long terme :


a. tous les inputs, comme le travail, les équipements, les bureaux ou les usines, peuvent varier; le coût
variable est donc égal au coût total puisque le coût fixe est nul.
b. tous les inputs, comme le travail, les équipements, les bureaux ou les usines, peuvent varier ; le coût
fixe moyen est donc plus faible.
c. tous les inputs, comme le travail, les équipements, les bureaux ou les usines, peuvent varier; les coûts
variables et les coûts fixes baissent donc.
d. tous les inputs à l’exception du travail peuvent varier; le coût variable reste donc inchangé, mais le
coût fixe est égal à zéro.

27. Si on suppose que le processus de production fait intervenir deux facteurs de production, le travail
et le capital, la droite d’isocoût illustre :
a. toutes les combinaisons possibles de travail et de capital que l’on peut acheter pour un coût total
donné.
b. toutes les combinaisons possibles de travail et de capital que l’on peut acheter pour produire un
niveau donné de bien ou de service.
c. le coût de toutes les combinaisons possibles de travail et de capital que l’on peut acheter pour un
niveau de production donné.
d. toutes les combinaisons possibles de travail et de capital que l’on peut acheter quand la production
augmente.
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28. Le coût du capital est égal :


a. aux paiements annuels versés pour l’achat de biens d’équipement.
b. au taux de location du capital si le capital est acheté ou loué.
c. aux charges d’amortissement du capital.
d. aux frais d’intérêts annuels payés pour l’achat de biens d’équipement.

29. Lorsqu’une fonction de production présente des rendements marginaux décroissants :


a. le coût marginal baisse, mais le coût total continue d’augmenter.
b. le coût marginal commence à augmenter.
c. le coût marginal de production ne peut être déterminé à partir des informations fournies.
d. le coût total et le coût marginal baissent.

30. Les marchés des facteurs sont :


a. les marchés des produits tels que l’or, le pétrole et d’autres métaux et minéraux.
b. les marchés des terres et des ressources minérales.
c. les marchés de main-d’œuvre, de matières premières et du capital utilisés comme inputs dans le
processus de production.
d. les marchés des ressources non renouvelables.

31. La recette factorielle marginale du travail est égale :


a. la productivité marginale du travail multipliée par le prix du travail.
b. la variation de la recette totale divisée par la variation de la production totale.
c. la productivité marginale du travail multipliée par la recette marginale.

32. Dans un marché des facteurs où un acheteur a un pouvoir de monopsone :


a. le prix du facteur est égal à la valeur marginale de ce facteur.
b. le prix et la quantité du facteur achetés seront plus élevés que dans un marché des facteurs
concurrentiel.
c. la dépense pour le facteur est supérieure au prix du facteur.
d. la quantité achetée du facteur sera plus élevée et le prix plus bas que dans un marché des facteurs
concurrentiel.

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