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Je voulais faire un texte à la hauteur des plus grands. Alors que j’étais
rempli d’ambition, de motivation, je restais inactif, passif devant une feuille
presque blanche. Comme le dirait Indila / je ne sais pas qui c’est ; je suppose
un pers de Pocahontas, place pour une ironie Indila, une philosophe ! (ou
autre expression qui donne le temps de saisir/ , j’avais l’impression de
tourner dans le vide. Je stressais. Je stressais parce que je pensais que ce
n’était jamais assez bien. Je m’infligeais une pression si énorme que j’en
était découragé.
Mais je stressais aussi car, excusez-moi, j’ai autre chose à faire. Je dois
travailler pour l’école, je dois vaquer à aller à mes activités hors extra-
scolaire, je dois étudier le permis, je dois être avec ma famille, je dois
penser à mon impact sur le climat. C’est éprouvant, je ne peux pas tout faire
en même temps…
Attendez, ce que je viens de dire c’est le quotidien de tous les gens de mon âge,
pourquoi certains y arrivent et font bien plus encore ? C’est tous des surhommes
peut-être. Et puis, il y a moi. Ou alors je suis juste flemmard ? Mais vu que ça fait
un peu mal d’avouer dans son propre discours qu’on est peut-être un peu flemmard
sur les bords, laissez-moi revenir sur le point d’avant, la pression.
Je le rappelle mais mon propos n’est pas la pression, c’est l’échec, plus
précisément son caractère fatidique, inéluctable, /je crois place pour terme précis/ on ne
peut l’empêcher. Mais qu’est-ce qu’est un échec ?
Certains / comme je le disais hier soir, place pour l’ironie ici mais si ça te dit ! De grands
esprits Mandela .... / disent qu’il n’y a pas d’échecs, que des apprentissages. Quelle
blague ! Les échecs sont là, ils ont toujours été là, ils seront toujours là. Les
personnes qui pensent ça sont soit des sages qui ne voient l‘échec nulle part, soit
celles qui échouent souvent et qui se rassurent en niant leur échec.
dans chaque ratage le visage / place pour un adj « littéraire » grimaçant/ sardonique
ou ... / de l’échec. Un match de tennis perdu, un contrôle raté, un dessin à peine mal
esquissé, ou même un nounours en peluche qui tombe par terre devant un bébé en
pleure. Ce sont tous des échecs, graves ou non, ça dépend de notre sensibilité.
Si les échecs sont inévitables, ça veut dire que l’on ne peut rien faire
face à eux ? On se les prend en pleines tronches et voilà ? Non, quatre choix
s’offrent à vous.
3) Votre 3e choix c’est de se battre, Tout faire pour changer les choses
même si ça semble perdu d’avance. Être un peu extrémiste, mais l’histoire
nous a appris que l’extrémisme peut mener à des conséquences dramatiques.
= le seul passage problématique. On ne comprend pas ou on comprend un
rapport indu ou forcé : ce n’est pas parce qu’on a de la ténacité qu’on est un
extrémiste. Comme tu n’as plus le temps, laisser tomber ou simplifier :
.... de se battre. Même si ça semble perdu d’avance, tout faire pour
changer les choses... sans tomber l’extrémisme : l’histoire nous montre où il
conduit... Bof
4) Et vous pouvez aussi accepter l’échec. Avoir conscience que l’on a échoué
et que de toute façon, ce qui est fait est fait. / Vous faire stoïcien :
supporte et abstiens-toi/ Et écouter les critiques en cherchant à s’améliorer
s’il le faut. Le réchauffement climatique est là d’accord. Qu’est-ce que je
peux faire pour changer les choses à mon échelle bien évidemment. C’est le
choix que je vous conseille, se / nous/ remettre en question s’il le faut en
essayant de progresser.