50 Problemes Du Moment Corrigé-1

50 Problèmes Type BAC + Corrigés LOVI Yawo Mawulolo
PROBLÈME 1 2 6 5 1
PARTIE A
1. √ ²#
. / , - 10
2. On en déduit que :
a. lim lim 1 1 c. lim 2 0.
∞ Alors ) admet une asymptote

²
oblique d’équation * - au
lim ∞ voisinage de ∞.
lim 0 . / , 2 10.
Car
Alors ) est au dessus de son
²
!√ ²# $!√ ²# # $ ²# ²
!√ ²# # $ !√ ²# # $
b. asymptote oblique.
4.
1
7 √ 8#
%
√ 8# √ 8#
a.
√ ²#%#
!√ ²# $
√ ²#
lim lim
On en déduit que :
# # & . / , 7
# # √ ²#%
'²
b. . / , √ ² 1 1 0 .
(
# Alors le signe de 7
lim ∞
dépend de
#
Par conséquent : . / , 7 90
celui de .
lim 0
Car
#
) admet une asymptote
²
Sur , est strictement décroissante

On en déduit que :
horizontale d’équation * ( au
voisinage de ∞. ∞ ∞
7
a. lim 2 lim √ ² 1
3.
∞
∞
lim
!√ ²# # $!√ ²# $
!√ ²# $ 0
lim &
# #
'²
- ( c. est dérivable sur donc continue
b. . / , √ ² 1 1 √ ²
sur cet ensemble ; de plus est
2√ ² 11| |
strictement décroissante sur .
Or | | 4 , . / : ;0; ∞=
Alors réalise une bijection de sur
D’où . / ,√ 5 11 Soit > / :,

2√ ² 1 10 > 2 √ 5 1 >
2 10 2 √ 5 1 >
En conclusion : . / 10 2 ² 1 > 5
2 ² 1 >² 2 >
,
2 1 >² 2 >
²
- 68 -
2 @ >
?²
Donc . / L ; N, Q Q
% K % K
5? - U - U
. / ;(; ∞= ,
On en déduit que :
% √ ²#
′
%
. / L ; N, Q ²Q
J V
²
-
5. A : > 0 0 0
7 5 M M W
2 Q ² 1Q
R 5R
7
0 1 et 0 1 M W
2 Q√ ² 1Q
√R R
C :* % 5 M
2 Q Q
M 5
R √ ²# √R
7. Pour la construction de ΓE on
6. Voir graphique
2 Q Q
5 J
remarquera que ΓE et Γ sont R √ ²# 5√R

(Car Q Q )
J
5 M
2 Q Q
J 5
d’équation > 7
symétriques par rapport à la droite
5√R R
2 Q| |Q Q
5 7 J 5
R 5√R √R
Donc . / L ; N, | 7 |Q
% K -
- U √X
a. Par définition, YZ /L ; N
3.
J
5 5 M
. [ / \, supposons que Y] / L ; N
J
5 M
et montrons que Y]# / L ; N
J
5 M
Y] / L ; N ^ Y] / L ; N
En effet :
J J
5 M 5 M
. / L ; N, Q Q
Car d’après 2.a,
J J
5 M 5 M
Or Y] Y]#
D’où Y]# / L ; N si Y] / L ; N
J J
5 M 5 M
. _ / \, `_ / L ; N
On conclut donc que :
% K
2√ 1 2
PARTIE B
5
2 40
- U
1.
2F 5 √J
/ L ; N, Y] / L ; N et
J J
1 4 ²
40
J 5 M 5 M
b.
. / L ; N,| |Q
J 7 5
2H
I
√J 5 M √R
J
2
√J
Donc d’après l’inégalité des
J
accroissements finis on a :
a Y] O Pa Q aY] a
√J 5 √J
J √R J
√K
Y] Y]# et O P
√J √J
K J J
est l’unique solution de Or
l’équation D’où . _ / \,
a`_#% aQ a`_ a
√K - √K
. / L ; N, O P Q Q OP
2. étant décroissante,
J J
K √X K
5 M M 5
2 Q Q
√R
5 5 5
2 Q Q
J
5 M
S 0,61 Q )
√R J
5 5 M
(Car
- 69 -
ln 1 hi 10
c. En partant de l'inégalité précédente, PROBLEME 2
f
0 1
on a :
[ 0 ^ aY aQ aYZ a
√J 5 √J
J √R J =0; ∞=
[ 1 ^ aY5 aQ aY a
√J 5 √J
J √R J
1. lim limj ln 1
PARTIE A
[ 3 ^ aYJ aQ aY5 a
√J 5 √J
Z Z
%
J √R J
c (
[ [ 1 ^ aY]
√J
a Q
5
aY]
√J
a limj ln 0
J √R J Z
limj 1 1
Car
Z
membre de ces [ inégalités. (
Faisons le produit membre à
(
]
On obtient après simplification :
aY] a Q O P aYZ a
√J 5 √J
lim lim ln 1 ∞
Alors est continue en 0
Z
J √R J
Z Z Z
aYZ a a a S 0,07 Q 1
√J √J
∞
(
J 5 J
] ] ( (
^ aY] a Q O P aYZ a QO P e1
√J 5 √J 5
J √R J √R Alors n’est pas dérivable en 0
Au point 0; 1 la courbe k admet

_
On en déduit que :
. _ / \, a`_ aQO P
-
Interprétation graphique
√K
K √X
]
d. lim O P 0 car 0 9 91
5 5
une demi-tangente verticale dirigée
l
] # √R √R
2. 7
vers le bas
On en déduit que la suite `_
. / ;0; 1=, 7 90
`_
√K
converge et
_ # K . / ;1; ∞=, 7
10
Sur ;0; 1=, est décroissante

On en déduit que :
Sur ;1; ∞=, est croissante

Tableau de variations de
0 1 ∞
7
∞
0
1
lim lim Oln 1 P

# #
∞
#
lim ∞
o #
lim ln ∞
n
#
lim 0
Car
m #
3. A : > 7
p p p
C :* % q
- 70 -
4. Tracer de A et k x{ !r
z
$
z² J
v² v² ln v
5 5
@w 4ƒ„²
… † -q² ‡†² U†² l † ˆ‰²
lim v² (
4. lim u v 2p² car { Z
{ Z lim v² ln v 0
{ Z
… … † -q-
† (
u représente l’aire en cm² du

courbes k et Γ et les droites

domaine plan délimité par les
d’équations 0 et p
1. Š7 7
PARTIE C
. / ;0; 1=, r7 10
D’après PARTIE A.2
. / ;1; ∞=, r 7
90
r 2
PARTIE B
Sur ;0; 1=, r est croissante
On en déduit que :
r 2 ln 1
Sur ;1; ∞=, r est décroissante
= =
. / 0; ∞ , 2 4 0 alors le signe
1.
Tableau de variation de Š
dépend de celui de ln 1
ln 110^ 1p 0 1 ∞
. / =0; p=, r Q0 r 7
. / =p; ∞=, r 40
0
r
2
Sur =0; p=, k est en dessous de Γ

On en déduit que :
Sur =p; ∞=, k est au dessus de Γ 1 ∞

2. r 2
Soit kE la courbe symétrique de k Sur =0; 1;, r 1 0
(Car . / =0; 1;, r / =1; 2;)
courbe Γ est l’image de kE par la Sur ;1; ∞=, r est continue car
par rapport à l’axe des abscisses ; la
translation du vecteur 2st

décroissante. Alors r réalise une
dérivable et est strictement
3. u v @w e x{ !r
z
$y bijection de ;1; ∞= sur ; ∞; 2= et
(voir la figure)
0 / ; ∞; 2=
x{ !r $y
z
Donc l’équation r 0 admet une
x{ 2
1 ln y
z
unique solution ‹ et ‹ / ;1; ∞=
1 r 3 0,70 1 0
Intégration par parties 2.
@ 1 ln @7 a. f
f ^} r 4 0,54 9 0
|7 2
| ² On a : Š K e Š U 9 0
x{ !r
z
$y Alors • / Ž =K; U;
• ‚{ x{ y
5 €• z z
z
L ² ² ln N
J
5 {
- 71 -
b. ‹ / =3; 4;, Y] / =3; 4; et
b. r 0 2 ln 1 0
2 ln 1 . / =3; 4;, |Φ7 | Q
M
V
2 p
&
#
'
Š ( 2 q%#
%
|Φ Y] Φ ‹ | Q |Y] ‹ |
M
V
On sait que ‹ est l’unique solution Or Φ Y] Y]# et Φ ‹ ‹ d’où
Déduction
. [ / \, |Y]# ‹ | Q |Y] ‹ |
M
de l’équation r 0 sur =3; 4;. V
On en déduit que ‹ est l’unique
solution de l’équation p
Déduction
&
#
'
=3; 4;
sur En partant de l'inégalité précédente,
[ 0^ |Y ‹ | Q |YZ ‹ |
M
on a :
3. Φ p ; : =3; 4;
&
#
'
• V
[ 1^ |Y5 ‹ | Q |Y ‹|
M
a. ‘ 7 q 9 0 . / =K; U;
% %
%#
V
[ 3^ |YJ ‹ | Q |Y5 ‹|
² M
On en déduit que Φ est décroissante V
c
[ [ 1 ^ |Y] ‹ | Q |Y] ‹|
M
Φ 7
3 4
V
Φ membre de ces [ inégalités. On

3,79 Faisons le produit membre à
M ]
|Y] ‹ | Q O P |YZ ‹ |
obtient après simplification :
V
b. D’après le tableau de variation de Φ,
3,49
|YZ ‹ | |3 ‹|
3Q‹Q4^ 1Q3 ‹Q0
. / =3; 4;, 3,49 Q Φ Q 3,79 ^ |YZ ‹ | Q 1
on a :
Or =3,49 ; 3,79; “ =3; 4; ^ |Y]

M ]
‹| Q OVP |YZ
M ]
‹| Q OVP e 1
D’où . / =K; U;, ‘ / =K; U;
c. . / =3; 4;, 9 Q ² Q 16 U _
. _ / \, |`_ •| Q O P
On en déduit que :
2 Q Q et 3 Q Φ Q4 ”
W ² V
M ]
lim O P 0 car 0 9 9 1
M
2 Q p Q
J & M
#
'
W ² V ] # V V
c.
2
M
QΦ 7
Q
J
V W
`_ •
2 Q |Φ7 |Q
J M
_ #
converge et
W V M ]
d. O P Q 10 5
^ |Y] ‹ | Q 10 5
V
. / =K; U;, |‘ 7 | Q
U M ]
On conclut que :
Or O P Q 10 2 [ ln Q 2 ln 10
5 V
”
YZ 3
V M
4. f 2[4
€• Z
Y]# Φ Y] €• J €• 5
a. YZ 3 / =3; 4; 2 [ 4 5,67
. [ / \, supposons que Y] / =3; 4; Donc |Y] ‹ | Q 10 5 , . [ 4 6
et montrons que Y]# / =3; 4;
Y] / =3; 4; ^ Φ Y] / =3; 4;
Le plus petit entier cherché est 6
. / =3; 4;, Φ / =3; 4;

Car d’après 3b),
Or par définition, Y]# Φ Y]

D’où Y]# / =3; 4; si Y] / =3; 4;
. _ / \, `_ / =K; U;
- 72 -
On conclut donc que : La courbe k
√ ·p ; =0; ∞=
PROBLEME 3
horizontale d’équation > 0 au

de admet une asymptote
1. lim lim ep ∞ car voisinage de ∞

PARTIE A
Z
Z Z Z√ 4. Tracer de k
lim ∞
H Z√
pZ
1
∞
(
( (
Alors n’est pas dérivable en 0
La courbe k admet à l’origine O

Conclusion
du repère une demi-tangente
2. . 1 0, 7 ·p √ ·p
verticale dirigée vers le haut
a. — v @| e xZ y
{
5.
²
5√
2 xZ ² y xZ p 5 y
7 √ ·z –' 5 √ ·z –' { {
5 5
2O P√ · p
5
5
@ @7 1
Intégration par parties
f 7 ^H
| p 5 | p 5
. 1 0, 7 O Pe
% - 5
- {
xZ y L p N
{
. / ;0; ∞=, 2 1 0 et
² 5
10 5 Z
Le signe dépend de celui de 1 2 xZ 5 p 5
{
y
{
xZ ² y LO Pp N
{
. / N0; L , 7 10
Par conséquent :
5
5 5 M Z
. / N ; ∞L , 90 xZ ² y 2v 1 p
7 { 5{
5 M M
@| 64ƒ„ J
Sur N0; L, est croissante — v 16•1 2v 1 p 5{ ‚ƒ„J

On en déduit que :
b. lim — v 16
5
Sur N ; ∞L , est décroissante { #
5 lim 2vp 5{
0
{ #
lim p 5{
0
Tableau de variation de Car
0 ∞
#
5
1. r ln 2
′ 0 PARTIE B
5√z
a. . / ;0; ∞=,
2√ ·p
0 2 ·p 5 ²
2p 5
0
2 2 ln
2 ln 2 0
lim lim e 0
# # √ z' Donc . / ;(; ∞= ,
3.
( 2Š (
#
lim 0
Car } # √
lim 0
# z'
- 73 -
b. Š7 - 1 0 . / ;(; ∞= 20Q| |Q
% 7
˜
Donc . / =(, U; (, X;, | 7 | Q
%
Sur ;0; ∞=, r est croissante ™

On en déduit que :
YZ 0,4
Tableau de variation de Š 4. f
Y]# Y]
∞ a. YZ 0,4 / =0,4; 0,5;
r 7 . [ / \, supposons que
0
∞ Y] / =0,4; 0,5; et montrons que

r 7 Y]# / =0,4; 0,5;
Y] / =0,4; 0,5; ^ Y] / =0,4; 0,5;
∞
. / =0,4; 0,5;, / =0,4; 0,5;
Car d’après 3a),
lim r ∞ car limj ln ∞ Or par définition, Y]# Y]

Z Z D’où Y]# / =0,4; 0,5; si
lim r ∞ car lim ln ∞ Y] / =0,4; 0,5;
# #
. _ / \, `_ / =(, U; (, X;
Sur ;0; ∞=, r est continue car b. ‹ / =0,4; 0,5;; Y] / =0,4; 0,5; et
Déduction
. / =0,4; 0,5;, | 7 | Q
˜
Alors r réalise une bijection de

croissante
;0; ∞= sur ; ∞; ∞= et
| Y] ‹ | Q |Y] ‹ |
M
0 / ; ∞; ∞= V
Donc l’équation r 0 admet une Y] Y]# et ‹ ‹
unique solution ‹ dans 0; ∞=
; D’où . _ / \,
Or
r 0,4 0,12 9 0 |`_#% •| Q |`_ •|

%
c. f
r 0,5 0,30 1 0
™
On a : Š (, U e Š (, X 9 0
c. En partant de l'inégalité précédente,
Alors • / =(, U; (, X; [ 0^ |Y ‹ | Q |YZ ‹ |

on a :
2. ‹ étant aussi solution de l’équation ˜
, alors ‹ est l’abscisse du [ 1^ |Y5 ‹ | Q |Y ‹|

˜
point d’intersection de k et la [ 3^ |YJ ‹ | Q |Y5 ‹|
droite d’équation > ˜
c
a. Sur =0,4; 0,5;, est croissante [ [ 1 ^ |Y] ‹ | Q |Y] ‹|
3.
˜
. / =0,4; 0,5;, membre de ces [ inégalités. On

Par conséquent : Faisons le produit membre à
0,4 Q Q 0,5
2 0,42 Q Q 0,43
]
|Y] ‹ | Q O P |YZ ‹ |
Or =0,42; 0,43; “ =0,4; 0,5; ˜

|YZ ‹ | |0,4 ‹|
D’où . / =(, U; (, X;, / =(, U; (, X;
0,4 Q ‹ Q 0,5 ^ 0,1 Q 0,4 ‹Q0
O Pe
7 5
b.
5 ^ |YZ ‹ | Q 0,1
. / =0,4; 0,5;, Q 2 Q 1
M ] ]
R ^ |Y] ‹| Q O˜P |YZ ‹| Q O˜P e 0,1
20Q1 2 Q et 1 Q Q
R
R 5 M
% _
. _ / \, |`_ •| Q (, % e O P
On en déduit que :
20Q Q et 0,4 Q Q 0,5
5
5 M ™
20QO Pe Q
5
5 ˜
- 74 -
]
d. . 4 0, 4 0 et p 40
R
d. lim O P 0 car 0 9 9 1 M
] # ˜ ˜
On en déduit que la suite `_ 2O Pp 40
R
`_ •
M
2 O Pp Q0
R
_ #
converge et
] M
5. 0,1 e O P Q 10 R
2
R
O
R
Pp Q
R
˜
^ |Y] ‹ | Q 10 R M M M
2š Q xZ O› P p œ y› Q
R
]
Or 0,1 e O P Q 10 R M M
Donc . 4 (, ž Q
˜ X
2 3[ ln 2 Q 4 ln 10 U
2[4
M €• Z
J €• 5
2 [ 4 4,42
Donc |Y] ‹ | Q 10 R , . [ 4 5
L’entier cherché est _( X
š xZ √› · p œ y› ; • =0; ∞=
PARTIE C
1. š est la primitive de qui s’annule

en 0.
ž7 √ ·q
Par conséquent :
. / =0; ∞=, 4 0 2 š7 40
Déduction
On en déduit que š est croissante

5
2.
a. . › 4 0, O√› P 40
5
2› √› 40
M
2 √› Q ›
M
Donc . › 4 0, √› Q ›
M
b. . › 4 0, √› Q ›
M
2 √› · p œ
Q O› Pp œ
M
2 xZ √› · p œ y› Q xZ O› P p œ y›
M
Donc . Ÿ 4 (,
ž Q x( OŸ Pq Ÿ
% Ÿ
U
@ › › @7 › 1
c. Intégration par parties
H M ^f
|7 › p œ | p œ
xZ O› M
P p œ y›
L O› P p œN xZ p œ y›
M Z
xZ O› P p y› L O› P p œN
œ R
M M Z
x( OŸ Pq Ÿ O Pq
% Ÿ X X
U U U
- 75 -
lim lim ln O P
7 #5 5
#5
PROBLEME 4
# #
7
(
ln O P hi 10
PARTIE A
#5
H
#
lim 1
#5
0 0
=0. ∞= Car } #
lim 0
5
# #5
a. lim lim ln 2 ln
1.
7
Déduction
Z Z
( . / ;0; ∞=, 7 10
D’après le tableau de variation de ,
(
lim 0
Z
c. Tableau de variation de
limj ln 0
Car
∞
Z
( 7
0
(
Alors est continue en 0 2
b. lim lim ln 2 ln
Z
Z Z Z
∞
(
( ( ∞
Car limj ln ∞
Z
3. A l’origine O du repère la courbe k
c. lim lim ln O1 P
5 admet une demi tangente verticale
# #
Posons ¡ 10
5
dirigée vers le haut
∞, alors ¡ 0 et C :* O l- P %
Au point A d’abscisse 2,
%
-
lim ln 1 ¡ lim 2 2 Au voisinage de ∞, k admet une
Si
5 €• #¢
¢ Z¢ ¢ Z ¢
-
> 2
asymptote horizontale d’équation
#
Donc
a. . / ;0; ∞=,
2.
ln O P e e
7 #5 5
#5
lO P
7 #- -
²
#-
On a donc
5 5
D’autres parts :
77
#5 #5 8
77 U
#- -
b. . / ;0; ∞=, 77 90
Sur ;0; ∞=, 7 est strictement

On en déduit que :
Tableau de variation de 7
décroissante
∞
77
0
a. . / ;0; ∞=,
4.
2 Oln O P 1P 0 et £0
7 #5
2 ln O P 1
#5
0
- 76 -
2 p 2. ¨ ; © ;0. ∞=
#5 ©
ª
2
5
Supposons que r possède la
propriété ¦
z
Donc . / ;(; ∞= ,
On a : . / ;0; ∞=,
2
-
q % r r7 @
b. La courbe kE de la réciproque ^ ¨ ! ¨ $
7
@
de et la courbe k sont ^ ¨ ¨ ²¨ 7
@
^ ¨7
¥
d’équation >
symétriques par rapport à la droite
²
^¨ 7 5
(Voir figure)
#5 #5
Alors « si Š possède
7 % %
1. u ‹ x¤ y x¤ ln O Py
PARTIE B
5 5 #5 #-
la propriété §
@7 Supposons que . / ;0; ∞=,

5
@ ln O P
Réciproquement :
#5
} 2}
#5
¨7
|7 |7 ² #5
7
5
On a : O P
©
5
u ‹ L ² ln O PN x¤ #5 y
#5 5
#5
5 ¤
5 ^ r r7
² #5
u ‹ L5 ² ln O P 2 ln 2 N
#5
¤ ^r r 7
1
5
²
#5
^r r @ 7 5
#5 #5
Car
#5
Alors Š possède la propriété §
… • - - l- •² l O P •
% •#-
On a donc :
si «7
% %
- •
- l • - #-
lim ‹² ln O P 0
¤#5
g possède la propriété ¦ si et
On vient ainsi de montrer que :
¤ Z ¤
lim ‹ 0
2.
¤ Z
appartenant à ;0. ∞=,
seulement si : pour tout
Alors lim u ‹ 2
¤ Z ¨7
#5
lim u ‹ 2 est l’aire en unité

. / ;0; ∞=,
3. Déduction
¤ Z
¨7
courbe k , l’axe des abscisses et
d’aire du domaine délimité par la
#5
0 et 2¨ ln 2 ln ¬;
2 ¬/
les droites d’équations
2¨ ln O P ¬; ¬ /
#5
@ ; ¥ ;0. ∞= Or r ¨
5
PARTIE C
#5
¦ : r r7 @
Š lO P - ; - /
On en déduit que :
7 #-
ln O P Oln O P P
1.
#5 #5 5
#5
2 fonctions ¨ définie sur ;0; ∞= par :
Les éléments de (E) sont les
7
r ln O P ¬ ; ¬ /
#5
ln O P ln O P
#5 #5 5
#5
2 @
7 5
#5
possède la propriété §
On en déduit que :
- 77 -
d. Traçons ²Z
; Tangente en I O0; P
PROBLEME 5
z –®'
] z '#
et
5
Y] xZ ] y C :*
% %
U -
PARTIE A
]
1. On suppose [ 0
Étude de la fonction
a. lim Z lim ' lim

z –'
# # z # # #z –'
( ( car q (
# #
lim Z lim 1
z '#
( % car q (
7 q
b. ( q #% - 2. On suppose que [ 4 1
. / , Z 90 7
lim lim
z – ®j& '
0
] #z –'
# #
a.
Sur , Z est strictement (
On en déduit que :
_
#
lim p 0
#
décroissante
lim p 0
Tableau de variation de ( Car ]#
∞ ∞
#
lim lim ∞
z –®'
7 ]
Z #z '
1 _ ∞
Z lim p 0
lim p ]
∞
Car
b. Les fonctions ³ p ] et
0
c. I O0; P ³p 1 sont dérivables sur et

5
comme . / , p 1 £ 0 alors
2 e 0
]: ³
Z Z z –®'
Z Z z '#
est dérivable sur
7 ]z –®' z ' # z – ®–& '
z –' # z '# ] z '# 8
z'
z –®' ]z ' #]#z '
#z ' z '#
z '# 8
1
z '#
z '# On conclut donc que : . / ,
-e( -e
% 7 q–_ _# _#% q
( ( - _ q #% -
Alors ° O(; P est un centre de c. . / , p 1 0; p 1 5 1 0 et
% ]
.[ 4 1, [ [ 1 p 1 0 et par
-
symétrie de ±(
suite . / , ] 7 90
Sur , ] est strictement décroissante

On en déduit que :
∞ ∞
Tableau de variation
7
]
∞
]
0
- 78 -
] 0
5
% %
d. On en déduit que :
Alors le point ° O(; P appartient à . _ 4 %, µ_#% Q `_ Q µ_
%
- - -
toutes les courbes ±_ c. . [ 4 1, ´]# Q Y] Q ´]
e. Traçons ² dans le même repère 5 5
Or lim ´] lim ´]# 0
que ²Z ] # ] #
Tangente en I O0; P D’où 0 Q lim Y] Q 0
5 ] #
C :*
K %
`_ (
U -
_ #
Y] est l’aire en unité d’aire du

3. Interprétation graphique
. [ 4 1, [´]# Q [Y] Q [´]

D’autres parts :
5 5
²] , l’axe des abscisses et les Or lim [´] lim [´]# 1
domaine plan délimité par la courbe
0 et 1
] # ] #
Q lim [Y] Q
YZ xZ Z y xZ #z –' y
droites d’équations
z –' D’où
5 ] # 5
YZ = ln 1 p ;Z
_`_
%
Donc on a : YZ ln O P
5z -
_ #
z#
3. Étude d’une suite associée à Y]
On pose : ¶] ∑]¸¹ Y¸ et
Étude de la suite Y] ›] ∑]¸¹ ´¸
PARTIE B
1. Étude d’une suite auxiliaire ´] a. . º 4 1, Q 1 ^ 0 Q Qp

z –» ¸
¸ ¸
Pour tout [ , on pose ´] xZ p ]
y
0 Q ∑]¸¹ Q ∑]¸¹ p
Par conséquent :
z –»
a. ´] L p N
] ¸
] ¸
Z
2 0 Q ∑]¸¹ Qp eO P
z –» z –®
µ_ q
% % _
_ _ ¸ z –&
lim 0 Or . [ 4 1, 1 p ]
Q1
D’où 0 Q ∑]¸¹ Q e1
] # ] z –» z –&
lim p ]
0 ¸ z –&
b.
] #
µ_ (
( Q ∑_¼¹% Q
On a donc :
Alors
_ # q–¼ %
[´] 1 p ] ¼ q %
_µ_ % car q _
( b. . › / =º; º 1; , Q Q
_ # _ # ¸# œ ¸
2. Comparaison de Y] à ´]
a. . / =0; 1;, 1 Q p Q p
D’où d’après l’inégalité de la
22Qp 1 Q p 1 et º 1 º Q x¸ Q
¸# ½œ
moyenne on a :
p 1 Q 2p Q p p
¸# œ
º 1 º
¸
. / =(; %;, - Q q % Q -q %
Q x¼
¼#% Ÿ
Q
%
¼#% Ÿ ¼
Alors on a :
2Qp 1 Q 2p
b. Déduction
Q =ln › ;¸ Q
Par la suite on a :
¸#
2 Q ' Q
z –'
¸# ¸
5 z # 5
Q l ¼ % l¼ Q
% %
2 Q Q
z – ®j& ' z –®' z –®'
¼#% ¼
Soit
5 z '# 5
2 xZ p ]#
y Q xZ ] y
5
Q xZ p ]
y
5
- 79 -
∑]¸¹ Q ∑]¸¹ ln º 1 ln º Q
c. Déduction PROBLEME 6
¸#
r 2 1 p 5
1;
PARTIE A
∑]¸¹
©
¸
∑¸¹ Q ln [ 1 Q ∑]¸¹ Š ∞
1.
]
¸# ¸
lim 2 1 ∞
∑]¸¹ Q ln [ Q ∑]¸¹
Ou encore
¸# ¸ lim p 5
∞
Car
∑¸¹
]
1 ∑]¸¹ Š %
¸# ¸ #
Or
lim 2 p 5
0
∑]¸¹ Q ln [ 1 et
On en déduit que :
#
¸ lim p 5
0
Car
ln [ 1 Q ∑]¸¹
#
¸ 2. Š7 U q -
. / ; ∞; 0=, r7 10
l _ % Q ∑_¼¹% Q l _
%
% . / ;0; ∞=, r7 90
D’où on a :
¼
d. ›] ∑]¸¹ ´¸ ∑]¸¹ xZ p ¸
y Sur ; ∞; 0=, r est croissante
On en déduit que :
›] ∑]¸¹ O
z –»
P Sur ;0; ∞=, r est décroissante
¸ ¸ Tableau de variations de Š
›] ∑]¸¹ ∑¸¹
] z –»
¸ ¸ ∞ ∞
Or 0 Q ∑]¸¹ Q r 7
0
z –»
¸ z
2
et 0
ln [ 1 Q ∑¸¹ Q
]
ln [ 1 r
¸
∞
l _ % Q Ÿ_ Q l _ %
%
D’où on a :
1
q %
3. Sur ; ∞; 0=, r est continue car

∞ Q lim ›] Q ∞
En passant à la limite, on a :
] #
car lim ln [ ∞ croissante. Alors r réalise une
bijection de ; ∞; 0= sur ; ∞; 2= et
] #
Ÿ_ ∞
_ # 0 / ; ∞; 2= donc l’équation r 0
Donc
Par ailleurs : . [ 1 1,
€• ]#
e Q ® Q1
œ
‹ / ; ∞; 0=
admet une unique solution
€• ] z €• ] €• ] €• ]
Sur =0; ∞=, r / ;1; 2; donc on a
r £0
1 Q lim ® Q 1
œ
] # €• ] Montrons que 1 9 ‹ 9 0
r 1 1 p² 9 0
f
lim lim 1 e ln O1 P 1 r 0 210
Car
€• ]# ;
On a : r 1 e r 0 9 0
] # €• ] ] # €• ] ]
lim ln [ ∞
] # Alors 1 9 ‹ 9 0
%
Ÿ_
_ # l_ 4. Signe de r
. / ; ∞; •=, Š 90
Donc
e. . º 4 1, ´¸# Q Y¸ Q ´¸
5 5 ;
. / •; ∞ , Š = 10
2 ›]# ´ Q ¶] Q ›]
5 5
¾_ ∞ et
On en déduit que :
¾_ %
_ # _ # l_ -
- 80 -
1 p 5
1 ;
PARTIE B Tableau de variations de
1. lim ∞ ‹ ∞
7
lim p 5
1 p5 p5
‹
0
lim p 5
∞ ∞ ∞
o
¿ lim p5 0 4. Sur =0; ∞=, est continue car
n lim p 5
0
Car
¿
m lim 1 ∞
bijection de =0; ∞= sur ; ∞; 2; et
décroissante. Alors réalise une
∞ 0 / ; ∞; 2; donc l’équation 0
admet sur =0; ∞= une solution et
#
lim p 5
0
o # une seule Â.
lim p 5
0
n #
1 0,27 1 0
m lim 1 ∞
Car Justification de l’encadrement
H J
OP 0,37 9 0
#
2. ∆ : > 1 5
lim = >; lim 1 p 5
% e O P90
K
# #
= *;
-
(
On a :
Alors % Q Ã Q
K
#
lim p 0
5 -
# Â 1 Â p 5Ä
1 Â
lim p 0 2 Â
5.
Car 5
p •1 Â 1 Â p 5Ä ‚
# 5Ä
Alors la droite ∆ : * % est
2 Â p 5Ä Â
courbe Á en ∞ Or Â 0
une asymptote oblique à la
Ã (
Position de Á par rapport à ∆
D’où on a :
. / ; ∞; 1=, >90 On en déduit que – Â est solution de

Déduction
. / ; 1; ∞=, >10 0 sur L ; 1N

J
5
6. Traçons ∆ et k
l’équation
Sur ; ∞; %=, Á est en dessous

On en déduit que :
de ∆
Sur ; %; ∞=, Á est au dessus
de ∆
7
p 5
2 1 p 5 1
2 7 = 2 1 p 5
1;
3.
Don on a : 7
Š
Déduction
. / ; ∞; ‹=, 7 10
D’après PARTIE A on a :
. / ;‹; ∞=, 7
90
Sur ; ∞; ‹=, est croissante

On en déduit que :
Sur ;‹; ∞=, est décroissante
- 81 -
›1 1 . / L1; N , 1,12 Q Æ Q 1,27

PARTIE C Déduction
J
5
Or =1,12 ; 1,27; “ L1; N
J
2. u › @w e x > y
œ
1. Voir figure
5
D’où . / L%; N , È / L%; N

K K
x% * x% % q
Ÿ Ÿ -
- -
3. . / L1; N , 2 Q 2 Q 3
J
@ 1 @7 1
5
f 7 ^H 23Q2 1 Q 4 et
| p 5 | p 5
p Qp
J 5
Qp 5
5
x > y 2 3p J Q 2 1 p 5 Q 4p 5
œ
œ 2 4p Q Æ 5 7
Q 3p J
L 1 p N x p y
5 œ 5
5 5 2 3p J Q |Æ7 | Q 4p 5
Donc . / L1; N , |Æ7 | Q
œ J M
LO Pp N
J 5
5 M 5 z²
x > y 2› 3 p
œ z² 5œ
. / L1; N , |Æ7 | Q
Déduction
J M
M M
@w 4ƒ„² 5 z²
… Ÿ =q² -Ÿ K q -Ÿ ;
ˆ‰²
D’après l’inégalité de la moyenne
lim 2›p 5œ
0
axÄ Æ7 › y›a Q | Â|
M
On a :
œ #
lim p 0
5œ z²
2 É=Æ › ;Ä É Q | Â|
M
3.
œ #
… Ÿ q² z²
2 |Æ Æ Â |Q | Â|
M
Ÿ #
Alors
z²
2 |Æ Æ Â |Q | Â|
M
z²
Æ 1 p 5
1; Or Æ Â Â d’après PARTIE D1.
PARTIE D
: L1; N D’où . / L%; N,

J K
Ç 5 -
1. Æ |È Ã| Q
U
| Ã|
2 1 p 5
1 q²
4. YZ 1 et . [ / \, Y]# Æ Y]
2 1 p 5
1 0
a. YZ 1 / L1; N
J
2 0 5
. [ / \, supposons Y] / L1; N et
J
Â étant l’unique solution de

Déduction
5
montrons que Y]# / L1; N
J
0 sur L1; N donc Â
J
5
5
Y] / L1; N ^ Æ Y] / L1; N
J J
l’équation
5 5
l’équation Æ
est aussi l’unique solution de
Car . / L1; N , Æ / L1; N
J J
2. È 7
- % q -
.
5 5
Or par définition Y]# Æ Y]
. / L1; N , Æ7 90
J
D’où Y]# / L1; N si Y] / L1; N
J J
5
5 5
Sur L1; N , Æ est décroissante

On en déduit que :
J
. _ / \, `_ / L%; N
5 K
1
J -
5
Æ7
Æ
1,27
1,12
- 82 -
. / L1; N , |Æ Â| Q | Â| r: # Ì
b. On sait que : PROBLEME 7
J M
5 z²
³
# ²
Y] on a : J ²
|Æ Y] Â| Q |Y] Â|
M
Prenons
z²
PARTIE A
Par définition Y]# Æ Y] L0; LÍN ; ∞L
√J √J
1. © J J
Š
%
Donc . _ / \, # K
|`_#% Ã| Q |`_
U
Ã| – Š ∞
q² √K
K
Š ∞
c. En partant de l'inégalité précédente,
j
[ 0^ |Y Â| Q |YZ Â|
M √K
on a :
K
z²
[ 1^ |Y5 Â| Q |Y Â| Š7
M ™
z² K ² % -
[ 3^ |YJ Â| Q |Y5 Â| . / © , 3 ² 1 5 1 0 et 8 Q0
M
z²
c
. / © , r7 Q0
Par conséquent :
[ [ 1 ^ |Y] Â| Q |Y] Â|
M
z²
Sur © , g est décroissante

On en déduit que :
membre de ces [ inégalités. On
∞
√J
J
M ]
0
|Y] Â| Q O P |YZ Â|
z² r′
|YZ Â| |1 Â| ∞
1QÂQ ^
J
Q1 ‹Q0 r
-1
5 5
^ |YZ ‹| Q Q 1 ∞
J
5
]
4 ] 2 2
^ |Y] ‹| Q O P |YZ ‹| Q ÊO P Ë 2. Tracer des courbes de r et de ln
p² p
- -_
On en déduit que :
. _ / \, |`_ Ã| Q O P
q
5 5]
d. lim O P 0 car 0 9 9 1
5
] # z z
On en déduit que la suite Y]
converge et lim Y] Â
] #
5 5]
e. On sait que :
O P Q 10 J
^ |Y] ‹ | Q 10 J
z
5 5]
Or O P Q 10 J
z
2 2[ 1 ln 2 Q 3 ln 10
2[4
J €• Z
5 €• 5
2 [ 4 11,25
Donc on a: |Y] ‹ | Q 10 J . [ 4 12
C’est à partir de _ %- que l’on
est sûr que `_ représente une
valeur approchée de Ã à %( K
près?
- 83 -
3. Æ ln r Par conséquent :
09 9 919 92
√J
N0; LÍN ; ∞L
√J √J
Ç J 5
J J
È7
% ™
10. / ÏÈ Donc on a : ( 9 % 919 - 92
K ² % -
Sur Ç , Æ est strictement croissante Signe de Æ

On en déduit que : Déduction
Des limites des fonctions g et ln, on . / ;(; % =, È 90

. /N %; K L , È 10
√K
È ∞
déduit :
(
È ∞ . / N ; -L , È 90
√K
– K
. /; -; ∞= , È 1(
√K
K
j
È ∞
√K
K €•
PARTIE B
È ∞ ²# 8
#
;0; ∞=
Tableau de variation de È
1.
8
7 #€• ! 8 # $ M 8 ! 8 # $ €•
∞
√J 8# Ð
J J ² O
'²j&
# €• P
0
²# # J ² €•
Æ7
Ñ'²–&
²# Ñ Ñ
∞ ∞
²#
£
7 % K ² È √K
Æ ²#% K
si
K
∞ ∞ lim lim
€•
e
²
# # ²# 8
2.
(
Sur chacun des intervalles N0; L et
√J
#
J
lim 0
€•
N ; ∞L, Æ est dérivable donc
√J
J Car } #
lim 0
²
# ²# 8
continue et est strictement
limj limj ln e
croissante sur chacun de ces
Z Z ²# 8
Alors Æ réalise une bijection de (
intervalles.
(j
limj ln 0
0/ .
chacun de ces intervalles sur et
Z
limj 1
Car
È ( admet deux solutions Z ²# 8
Par conséquent l’équation
limj limj ln e
%
8
et - telles que : Z Z
/ N(;
√K
L et /N
√K
; ∞L ∞
²#
% K - K (j
C’est-à-dire 0 9 9
√J
9 limj ln ∞
J 5 Z
Montrons que 0 9 919 92 limj 1

Car
5
Æ 1 190
Z ²# 8
H 3. . / ; ² 1 J 1 0 alors le signe
Æ 2 ln 2 10
R
de 7
On a : ;%; -= “ N ; ∞L et 1 3 ² Æ
√K
dépend de celui de
K
È % e È - 9 0, alors % 9 - 92 1 3 ² 02 I
√J
J
- 84 -
Ô ‹ L N x y
D’après PARTIE A, et la règle des €•
5 ¤ 5 ¤ ²# 8
. / ;0; =, 7 90 L Oln ln ² 1 PN
²#
€•
signes, on a :
. / ; ; 5 =, 10
7 5 ²# 5 5 ¤
; = Oln ‹ ln ‹² 1 P
€• 5 €• ¤
. / 5, ∞ , 7
90 M 5 ¤²# 5 5
Õ • l •² %
l- % •² l •
Sur ;0; =, est décroissante
On en déduit que
U U - •²#%
Sur ; ; 5 =, est croissante 7. u ‹ @w e ! Ô ‹ $
Sur ; 5 , ∞=, est décroissante @w 16 ƒ„²
… • OU l - U l •² %
Tableau de variation de
∞ P ˆ‰²
™•² l •
0 5 •²#%
′ - 0 + 0 -
0 5 Ö • U l-
• (
Et on a :
lim ‹² 0
¤ Z
0 Car
limj‹² ln ‹ 0
¤ Z
4. Allure de Γ domaine limité par ) , l’axe des

Cette limite est l’aire en cm² du
( et %
abscisses et les droites
d’équations
5. . / Ò
;
²# ²
% %
²# ²#
Soit
²#% ²#%
³ l l ² % est une
On en déduit que :
%
-
Ó
%
sur ;(; ∞=
primitive de la fonction
²#%
6. ‹ / ;0; 1= , Ô ‹ x¤ y
€•
²# 8
@ ln @′
H|′ ^
| e
5
²# ²
²#
- 85 -
o lim 0
€•
¿ #
PROBLEME 8
lim 0
M
4 ln| |
PARTIE A
n #
Car
¿ lim
M
Ò Ò ∞
1. et pour élément de m #
7 U #%
U 2. . / ; ∞; 0= ; 90
. / N ∞; L, 7
10
Sur;0; ∞=, est dérivable donc
M
Par ailleurs :
. /N ; 0L, 7 90
M
. / ;0; ∞=, 7
10
continue et est strictement
croissante.
Sur N ∞; L, est croissante ;0; ∞= sur ; ∞ ; ∞= et

On en déduit que : Alors réalise une bijection de
M
0 / ; ∞ ; ∞=
Sur N ; 0L , est décroissante ( admet,
M
Sur ;0; ∞=, est croissante une solution unique • dans
Donc l’équation
;(; ∞=
3 1 ln 3 9 0
∞ ∞
M
M 4 ln 4 1 0
0
7 M
∞
0
× €• M
M On a : K e U 9 0
D’où K 9 • 9 4
∞ ∞ ∞
3. De tout ce qui précède, on déduit
. / ; ∞; (= ; 90
que :
lim lim O 4 ln P . / ;( ; • = ; 90
;
. / •; ∞ ; = 10
M
Posons ¡
Si Ì ∞ alors ¡ ∞ et
;
lim O ¡ 4 ln ¡P . / Ò,
PARTIE B
¢ # M
Æ 1 ² ln| | et
J
lim ¡ O 1 P ∞
M €• ¢
¢ # ¢ M ¢ W ˜
Æ 0 1
²
o ¢lim 0
€• ¢
¿ # ¢M Ç
lim 0 1. lim Æ 1 car lim ² ln| | =0
n ¢ # ¢ Z Z
Car
¿ lim ¡ ∞ È È (
m¢ # (
Alors ∞ Alors la fonction È est
ln| | .
continue en 0
lim lim1
Ç Ç Z J
lim lim O 4 ln| |P Z Z Z W ˜
Z Z M
∞ car l| | ∞
% car l| | (
( ( È È (
lim lim O1 P
M €• ( ( (
# # M Alors È est dérivable en 0 et
È7 ( %
∞ 2. Æ 7
1
J
ln| |
# ˜ M ˜
Æ 7
1 4 ln| |
M
- 86 -
2 Æ7 O 4 ln| |P 4. AZ : > 1
Tracer de kÇ
M
Or O P 4 ln a a
M
4 ln| |
M
D’où . / , È7 O P
Ò %
/ ; ∞; 0= 2 / ; ∞; 0=
3. On sait que :
/ ;0 ; ‹ = 2 /N ; ∞L
¤
/ ;‹ ; ∞= 2 / N0 ; L
¤
. / ; ∞; 0=, 9 0 et O P 9 0
D’après PARTIE A3
. / N0 ; L , 1 0 et O P90
Unité : 2 cm
¤
. / N ; ∞L , 1 0 et O P10 a. u v = x{ Æ y
5.
¤
u v x{ O 1 ²P y
J
. / ; ∞; 0=, Æ7 10
Par conséquent :
W
. / N0 ; L , Æ 7
10 ˜
x{ ² ln| | y
¤
. / N ; ∞L , Æ7 90 Calculons x{ ² ln| | y
¤
@′
Intégration par parties :
Sur N ∞; L , Æ est croissante @ ln| |
On en déduit que :
¤ f ′
Sur N ; ∞L , Æ est décroissante | | J
on a :
J
²
¤
lim Æ
Ø 5
ln| | y
lim 1 ² ln
J {
ln| |N
W ˜
L J
x{ 5
y
²
Posons ¡ J { J
Si Ì ∞ alors ¡ ∞ et
;
L J
ln| | J
N
lim ¡ 1 ¡² ¡² ln ¡ ∞
J J V {
¢ # W ˜
u v L5 ² ln| |N
V
Car lim ln ¡ ∞
J J
MM 5M {
¢ #
È ∞
… † †² † † † l†
%-X % ”% K % K
Alors
lim Æ %UU - %UU -U
# b. limjvJ ln v 0
lim ² O ln P ∞
J { Z
… †
# W ˜ %-X
È ∞ %UU
²
† (j
Alors
#
∞ ∞
¤
Æ7
O P
+ 0 -
Æ
∞ ∞
- 87 -
. / =K; U;, |Š7 | Q

PARTIE C
%
On déduit donc que
1.
%-
On sait que ‹ / =3; 4;
r7 90, . 10
a. g est une fonction paire.
M . / =3; 4;, en appliquant l’inégalité

Alors r est une fonction
décroissante sur ;0; ∞= l’intervalle de bornes ‹ ; on a :
des accroissements finis à
Tableau de variation de Š |r r ‹ |Q | ‹ |.
5
Or r ‹ ‹
0 ∞ D’où . / =K; U;,
r 7
|Š •| Q | •|
%
∞ %-
r c. On sait que 3 Q Y] Q 4.
Y] dans la
∞
Donc en faisant
|r Y] ‹ | Q |Y] ‹ |
relation précédente on a :
5
r =3; 4; =r 4 ; r 3 ; =3,65 ; 3,73; Or par définition : Y]# r Y]
On en déduit que :
=3,65 ; 3,73; “ =3; 4; D’où . _ / \,

D’où Š =K; U; “ =K; U;
Or
|`_#% •| Q |`_ •|
%
b. r %-
24 ln| | 0
Déduction :
M
2 0
En partant de l'inégalité précédente,
• étant l’unique solution de [ 0^ |Y ‹ | Q |YZ ‹ |

on a :
5
(, alors • est [ 1^ |Y5 ‹| Q |Y ‹|
5
l’équation
[ 3^ |YJ ‹| Q |Y5 ‹|
l’équation Š
aussi l’unique solution de
5
c
car ces deux
[ [ 1 ^ |Y] ‹ | Q |Y] ‹|
a. YZ 3 / =3; 4;.
équations sont équivalentes
5
Supposons que Y] / =3; 4; pour tout
membre de ces [ inégalités.
entier [ puis montrons que
Y]# / =3; 4; ]
|Y] ‹ | Q O P |YZ ‹ |
5
Y] / =3; 4; ^ r Y] / =3; 4; |YZ ‹ | |3 ‹|
En effet :
Car r =3; 4; “ =3; 4; 3Q‹Q4

2 4Q ‹Q 3
Or par définition Y]# r Y]
2 1 Q YZ ‹ 9 0
D’où Y]# / =3; 4; si Y] / =3; 4; 2 |YZ ‹ | Q 1
] ]
2 |Y] ‹| Q O 5P |YZ ‹| Q O 5P e 1
. _ / \, `_ / =K; U;
C’est-à-dire K Q `_ Q U _
. _ / \, |`_ •| Q O P
On en déduit que :
%
b. r7 %-
M
3Q Q42 Qr 7
Q d. Comme r est strictement
5 W décroissante sur ;0; ∞=,
Q |r 7 |Q r ‹ ‹ et Y]# r Y] , on a :
W 5
- 88 -
Y] 9 ‹ ^ r Y] 1 ‹
^ Y]# 1 ‹
PROBLEME 9
^ Y] 9 ‹ 9 Y]# 2
€•
;
PARTIE A
Ò
# #
Y] 1 ‹ ^ r Y] 9 ‹ 1. r 1 ln ; © Ò
D’autres parts :
#
^ Y]# 9 ‹ a. Š 7
l
^ Y]# 9 ‹ 9 Y] . / ;0; 1=, r7 10
;
. / 1 ; ∞ ,r = 7
90
• est compris entre deux termes Sur ;0; 1=, r est croissante
On conclut donc que : On en déduit que :
consécutifs de la suite `_ Sur ;1 ; ∞=, r est décroissante

Š %
(
lim r lim 1 1 ln
Par ailleurs :
`( 9 • 9 `% et montrer alors par

On pourra remarquer que
# #
récurrence que pour tout entier ¼ : Š ∞

#
`-¼ 9 • 9 `-¼#%
]
e. Il suffit de résoudre O P Q Tableau de variation de Š
5 ZZ
pour
obtenir |Y] ‹ | Q 10 5
∞
r
0 1
7
_( à partir duquel cette inégalité

On trouve que le plus petit entier + 0 -
est vraie est _( -. r

2
∞
`- 9 • 9 `- %( -
D’où l’encadrement : 1
b. Sur ;0; 1;, r £ 0 car

Une calculatrice fournit Y5 S 3,675.
. / ;0; 1;, r / ;1; 2;
On peut donc prendre • S K, ‡™
Sur ;1 ; ∞=, r est continue car
avec la précision %( - .

décroissante.
;1 ; ∞= sur ; ∞; 2=et 0 / ; ∞; 2=
donc l’équation r 0 admet une
solution unique Z / ;1 ; ∞=
r 3,5 0,125 1 0
f
r 3,6 0,008 9 0
On a : Š K, X e Š K, ‡ 9 0
Alors ( / ;K, X ; K, ‡=
c. Signe de r
. / ;0 ; Z =, r 10
. / ; Z ; ∞= , r 90
2.
7 #% l Š
#% ² #% ²
a.
. / #,
Ò
1 ²10
7
r .
Alors est du même signe que
- 89 -
Tracer de k
. / ;0 ; Z =, 7 10
Par conséquent :
. / ; Z ; ∞= , 7
90
Sur ;0 ; Z =, est croissante

On en déduit que :
Sur ; Z ; ∞=, est décroissante

∞
(
lim ln ∞
Z
lim 1
Car
Z #
lim lim 2 e
€•
# # #
-
#
lim 0
€•
Car } # c. . / Ò , š š
lim 1 Alors š est une fonction paire
# #
. 1 0, š
Tableau de variations de D’autre part :
0 Z ∞
7
Sur ;(; ∞=, Á )
On en déduit que :
+ 0 -
Sur ; ∞; (=, ) est la symétrique

Z
∞ 2 de Á par rapport à l’axe des
) Á Í Ú Û; Üt ! Á $
ordonnées. (Voir figure)
2
€• Ù
Z
Ù#
Or r Z 0 2 ln Z
Ù#
Ù
1. : › x # y ; ›41
œ €•
PARTIE B
-
%
(
a. : › est l’aire en unité d’aire du
D’où
(
(
3,5 Q Z Q 3,6
Encadrement de
2 0,27 Q Q 0,28 k , la droite

domaine plan limité par la courbe
1 et ›
et les droites
Ù
2 2,27 9 Z 9 2,28 d’équations
b. (D) : > 2
œ
b. Ô › x y L ln
œ €•
5
*
l
²N
Õ Ÿ lŸ ²
#% %
. / #,
110
Ò -
c. ¬ › x y
œ €•
> est celui
de ln
Alors le signe de ²
Intégration par parties :
@ ln @′
. / ;0; 1=, >90 H ^
Par conséquent :
|′ |
. / ;1; ∞=, >10
œ
²
¬ › L N x y
€• œ
Sur ;(; %=, Á est en dessous de Ï

8
On en déduit que :
Sur;%; ∞=, Á est au dessus de Ï
- 90 -
œ
¬ › L N
€•
1. Æ ; Ç =1; ∞=
PARTIE C
- Ÿ
Ÿ % lŸ
a. È 7 7
%
Ÿ
. / ; Z ; ∞= , 7 9 0 et donc
¬7 › 40.› 41
€• œ
œ² ;
. / Z; ∞ , Æ = 7
90
Sur =1; ∞=, ¬ est croissante Sur ; Z ; ∞=, Æ est décroissante

On en déduit que : On en déduit que :
lim ¬ › 1 77 ! K #- ²# $ŠÞ K ²#U #% Š

œ #
Tableau de variation de -
• K #- ²# ‚²
b.
. / =1; Z ; ; r7 9 0 et r 40
∞
J
2 ² r 7
9 0 et
3 ² 4 1 r 40
Donc
¬7 ›
t 1
+
. / =1; Z ;, 77 90
Par conséquent :
¬ ›
1
Sur =1; Z ;, 7 est décroissante

On en déduit que :
0
. / =1; Z ;, 7 Z Q 7 Q 7 1
Par conséquent :
. Ÿ 4, ( Q - Ÿ Q %
On en déduit que :
Alors ( Q Q
7 Š %
2. . 4 %, 4(
% % %
U
/ =1; Z ;;
#% #%
c. . 0Q Q
7 ©
M
412 14 ^ 0Q 7
Q
D’autres parts :
5
2 1 4 ² ^1Q 7
1Q 90
5
2 Q ^Æ 7
90
# ²
Sur=1; Z ;, Æ décroissante
On en déduit que :
. 4 %, ( Q Q
% % %
#%
a. Æ est dérivable donc continue et
²
2.
. 4 1 , ln 4 0 et strictement décroissante sur =1; ∞=

Déduction :
0Q Q
=1; ∞= sur Æ =1; ∞= ; ∞ ; 1; et
#
Elle réalise alors une bijection de
^0Q Q
€• €• €•
²
# 0 / ; ∞ ; 1; .
^0Qx y x y Qx y
œ €• œ €• œ €•
D’où l’équation È ( admet
²
#
Donc on a : ( Q Õ Ÿ Ž Ÿ Q- Ÿ une unique solution • / =%; ∞=
²
3. 0 Q ln › 5
: › Q¬ › Q1 Æ 2 0,23 1 0
5 f
Æ 3 0,73 9 0
^0Q Q
Ý œ
5 €• œ ² €• œ ² On a : È - e È K 9 0
^ Q
Ý œ
Q Alors - 9 • 9 3
Æ 0 2
5 €• œ ² €• œ ² 5
lim 0 Alors • est l’unique solution de

œ # €• œ ²
Ž Ÿ % sur =%; ∞= et
on a : - Q • Q K
l’équation
Ÿ # lŸ ² -
Alors
- 91 -
est croissante sur =2 ; 3;
. / =2 ; 3;,
b. b. En partant de l'inégalité précédente,
2 Q Q 3 [ 0^ |Y ‹ | Q |YZ ‹ |
on a :
2 2,23 Q Q2,27
V
[ 1^ |Y5 ‹ | Q |Y ‹|
V
Or =2,23 ; 2,27; “ =2 ; 3; [ 3^ |YJ ‹ | Q |Y5 ‹|
D’où 2 Q Q3
V
c
Donc . / =- ; K;, / =- ; K ; [ [ 1 ^ |Y] ‹ | Q |Y] ‹|
c. =2 ; 3; “ =1; Z ;. V
Donc ′ est décroissante sur =2 ; 3;

. / =2 ; 3;, 7 3 Q 7 Q 7 2
2 0,015 Q 7 Q 0,09 Q ]
|Y] ‹ | Q O P |YZ ‹ |
V
Donc . / =- ; K ;, ( Q Q
7 % V
” |YZ ‹ | |2 ‹|
d. . / =2 ; 3;, en appliquant à 2Q‹Q3
l’intervalle de bornes ; ‹ 2 1 Q YZ ‹ Q 0
2 |YZ ‹ | Q 1
] ]
l’inégalité des accroissements finis,
2 |Y] ‹| Q OVP |YZ ‹| Q OVP e 1
| ‹ |Q | ‹|
on a :
% _
V
Donc . _ / \, |`_ •| Q O P
‹ ‹ ”
D’où . / =- ; K;,
]
c. 0 9 9 1 alors lim O P 0
Or
| •| Q | •|
% V ] # V
” On en déduit que la suite `_
`_ •
a. YZ 2 / =2 ; 3; _ #
3. converge et
. [ / \, supposons que Y] / =2 ; 3;
et montrons que Y]# / =2 ; 3;
Y] / =2 ; 3; ^ Y] / =2 ; 3;
En effet :
Car . / =2 ; 3;, / = 2 ; 3;
Or par définition Y]# Y]
D’où Y]# / =2 ; 3; si Y] / =2 ; 3;
. _ / \, `_ / =- ; K;
On conclut alors que :
. / =2 ; 3;, | ‹| Q | ‹|
On sait aussi que :
V
Y]
On a : | Y] ‹ | Q |Y] ‹ |
Prenons
V
D’où . _ / \,
|`_#% •| Q |`_ •|
%
”
- 92 -
PROBLEME 10 3. Tracé de k :
√ p ; =0; ∞=
PARTIE A
©
1. √ p
epep
√ e√
√
e p
z
√
e
q
√ q
(
On a donc :
#
lim 0
z
Car } √
4.
#
lim 0 b. — @| e ß xZ y
a. Voir figure
5
# z'
La courbe k admet une asymptote xZ 5 y xZ p 5 5 y
horizontale d’équation > 0
2. . 10; 7 % -
q% @ @′ 1
-√ f 7 ^ H
. / ;0; ∞=, 2√ 1 0 et p 10 | p5 5 | p5 5
5
7
xZ p 5 5
y L p5 5
N
celui de 1 2
Alors le signe de dépend de
5 Z
1 2 10 ^ 9 xZ 5 p 5 5
y
5
xZ p 5 5
y L 2 1 p5 5
N
. / N0; L , 7 10
Par conséquent :
M Z
xZ p y
5 5 5 z8 J
. / N ; ∞L , 7 90 M
5 @| 8ƒ„J
à ™á O P ˆ‰K -á q- K ˆ‰K
q- K
Sur N0; L, est croissante
On en déduit que :
U
5
Sur N ; ∞L , est décroissante
5
Y] x] › y›
]#
PARTIE B
1. Y] est l’aire en unité d’aire du
∞
5
0 domaine plan limité par la
7
[ et
+ 0 -
[ 1
z
2. est décroissante sur =1; ∞=.

5
D’où . [ 4 1 et . ›, [ Q › Q [ 1
On a : [ 1 Q › Q [
0 0
En appliquant l’inégalité de la
[ 1 =[ 1 [; Q x] › y› Q
]#
moyenne sur , on a :
[ =[ 1 [ ;
Donc . _ 4 %,
_ % Q `_ Q _
- 93 -
[ 2 Q Y]# Q [ 1 Q Y] Q [ . / =1; ∞=, 3 10;p 10

3. On déduit de cette inégalité que : Déduction
C’est-à-dire . _ 4 % , `_#% Q `_ 2 3 p 40
Ceci montre que `_ est une 2 3 p Q0
24 3 p Q4
lim 0 2 x › 2 p y› Q 4
suite décroissante.
œ
#
4.
D’où lim [ lim [ 1 0 2š Q x › 2 p y› Q
œ 5
] # ] # 5√5 √5
On déduit que `_ est 2ž Q √-
`_ (
_ #
. › 4 1, › 4 0
convergente et D’autre part :
2x › y› 4 0 . 4 1
PARTIE C 2ž 4(
a. š est l’unique primitive de . 4 %, ( Q ž Q √-

s’annulant pour 1
. 4 %, ž7
b. On en déduit que :
a. ¶] Y Y5 â Y]
3.
x › y› x5 › y› â
5 J
. / =1; ∞=, 10
D’après l’étude de dans PARTIE A
x] › y›
]
Sur =1; ∞=, š est croissante

Par conséquent :
¾_ x% Ÿ Ÿ
_
D’après la relation de Chasles on a :
5
a. . › 4 0, !√› √2$ 4 0
2.
b. ¶] š [ 2 0 Q ¶] Q √2
2 › 2√›√2 2 4 0 La suite ¶] est croissante et
Donc . Ÿ 4 (, Ÿ - 4 -√-√Ÿ
On en déduit que ¶] est
bornée.
. › 4 1, › 2 4 2√2√›
b. Déduction
On sait que : 0 Q ¶] Q √2
convergente
2 (› 2 p œ 4 2√2√›p œ
D’où . 4 1,
0 Q lim ¶] Q √2
D’où en passant à la limite, on a :
x › 2 p œ y› 4 2√2 x √›p œ y› ] #
2 2√2š Q x › 2 p œ y› Soit ( Q ã Q √-
. 4 %, ž Q x% Ÿ - q% Ÿ Ÿ
%
On en déduit que :
-√-
@ › › 2 @′ 1
c. Intégration par parties
f 7 œ ^ f
| › p | p œ
x › 2 p y› œ
= › 2 p œ; x p œ y›
= › 2 p œ p œ;
x › 2 p œ y› = › 3 p œ;
x% Ÿ - q% Ÿ
Ÿ U K q%
- 94 -
PROBLEME 11 3. Tableau de variations
p cos ;
ê ê ê
PARTIE A
5 M 5
7
q çèé él 7
. / , p 10
1. + 0 -
pÐ
í
√5
Ceci montre bien que 7 5
çèé él
est du
2. cos sin
signe de
0 0
√2 O 5 cos sin P
√5 √5
5
Les coefficients directeurs des
√2 Ocos M cos sin sin P

ê ê
ß ß
tangentes :
M ß
Donc çèé él √- çèé O

á
P 2 4 2
0
7 ê ê
p5 p5
U
. /L ; N ,O P/L ; N
ê ê ê Jê ê
0 -1
5 5 M M M
cos O PQ0
ê
M
2 Q Q a. š 7
Jê ê ê
4.
2 = ë w cos ë w sin ;p
M M 5
2 Q Q
ê ê
p cos
5 M
cos O P40
ê
M
2 Q Q
ê ê ê
w
Par identification on a :
5 M M ë w 1
2
ê
Q Q
ê F ì 5
M 5 ë w 0 ë
√2 cos O P
7 ê 5
ž çèé él
M q–
-
í
. /L ; N, 7 40 b. u @w e x y
Par conséquent :
ê ê 8
í
5 M
. /L ; N, 7 Q0
8
ê ê í
M 5 u x 8
í y
8
Sur L ; N , est croissante

On en déduit que :
ê ê
u 25 îš O P šO Pï ƒ„5
ê ê
5 M 5 5
Sur L ; N,
ê ê
á á
M 5 –
… -X e ˆ‰²
q- q -
est décroissante
-
Ou encore
… -XðÈ O P ˆ‰-
á
-
- 95 -
PARTIE B d. Â 1 p cos 1
ON– ; 0LP N0; p L ;0 ; 1= “ N0; N
ê í
√5 ê
Ð
5 5 5
1.
2. / N– ; 0L,
ê
ñ 0 1 10
5 H
ñ 1 Â 1 90
909 9 pÐ
í
√5
5 On a : ó ( e ó % 9 0
2. / N– ; (L , £
á
- D’où • / ;( ; %= c’est-à-dire • 9 1
étant décroissante sur ;0 ; 1=

D’autres parts : D’autres parts :
O– P 02 O– P £–
ê ê ê
5 5 5
0 12 0 £0
‹91 2 1 9 ‹
On a :
Or ‹ ‹ et Â 1
. / L– ; (N , £
á
- D’où Â 9 ‹
On a : Ã 9 • et • 9 1
Donc Ã 9 • 9 1
C’est-à-dire que sur l’intervalle
L– ; (N, il n’existe pas de point
á
-
d’intersection de ) avec la droite 3. On considère la suite Y] définie
par son premier terme YZ 1 et
∆ :*
. [ / \, Y]# Y]
2. ñ p cos ; L0; N
ê
ò 5 a. YZ 1 donc on a : Â Q YZ Q 1.
a. ó ( % et ó O P Supposons Â Q Y] Q 1 pour tout
á á
- -
b. ó 7 7
% entier [ puis montrons que
Â Q Y]# Q 1
. / L0; N , 9 0 2 ñ7 90
ê 7
5
Sur L0; N, ñ est décroissante

ê
Â Q Y] Q 1 ^ 0 Q Â Q Y] Q 1
En effet :
5
^ 1 Q Y] Q 0
Tableau de variation de ó
Car est décroissante sur =0 ; 1;
0
ê
5 D’où Â Q Y]# Q 1 si Â Q Y] Q 1
ñ7
. _ / \, Ã Q `_ Q %
ñ b. On pose ô | 7 Â |
1
ê
2 e sin 1 0 . / N0; N
77 ê
5
5
c. ñ est continue car dérivable sur
N0; N et est strictement décroissante Sur N0; N , 7 est croissante
ê
On en déduit que :
ê
5 5
sur cet intervalle. ñ réalise alors une
Â / ;0 ; 1= “ N0; N
Par conséquent :
ê
bijection de N0; N sur N ; 1N et
ê ê
5 5 5
2 0 9 Â Q O P
7 7 7 ê
0/N ; 1N.
ê
5
5
2 19
Â Q p
í
Donc l’équation ó ( admet

7 8
2p Q| 7 Â |91
í
une unique solution • dans N(; N

á 8
-
On a donc : | 7 Ã | 9 1
ó • (2 • • Ce qui montre que : ö 9 1
- 96 -
. / =Â; 1;, on a :
D’autres parts : PROBLEME 12
7
Â Q 7 Q 7 1 90 @ 2 √1 ²;
PARTIE A
¥
2 | 7 |Q| 7 Â | 1. @ 0 22 √1 5 0
Donc . / =Ã; %;, | 7 | Q ö
2 √1 5 2
2 40
2 F
c. Appliquons l’inégalité des
1 ² 4 ²
bornes ‹ ; Y] 40
accroissements finis à l’intervalle de
2 H
I
√J
| Y] ‹ | Q ô |Y] ‹ | .
J
On a :
2
√J
Or Y]# Y] et ‹ ‹ J
Donc . _ / \, ¾ F ÷
√K
|`_#% •| Q ö|`_ •| K
2. @ 0 1 9 0 d’où le tableau de
[ 0^ |Y ‹ | Q ô |YZ ‹ |
En partant de cette inégalité, on a :
[ 1^ |Y5 ‹ | Q ô |Y ‹|
signe suivant :
∞ ∞
√J
[ 3^ |YJ ‹ | Q ô |Y5 ‹ | J
c @
[ [ 1 ^ |Y] ‹ | Q ô |Y] ‹|
0
. /N ∞; L, ø 90
√K
membre de ces [ inégalités. K

. /N ; ∞L , ø 10
√K
|Y] ‹ | Q ô ] |YZ ‹ |
K
|YZ ‹ | |1 ‹|
09 ‹91 1. r 2√1 ²; ©
PARTIE B
2 1 9 YZ ‹ 9 0
2 |YZ ‹ | 9 1 a. Les fonctions ³ et
2 |Y] ‹ | Q ô ] |YZ ‹ | Q 1 e ô ] ³1 ² sont dérivables sur
. _ / \, |`_ •| Q ö_
On en déduit que : car ce sont des fonctions polynômes
d. lim ô ] 0 car ô 9 1 . / ,1 ²10

D’autres parts :
] #
On n’en déduit que la suite `_ Alors la fonction ³ √1 ² est
`_ • dérivable sur
_ #
est convergente et
r: ³ 2√1
² est dérivable
sur comme combinaison linéaire
de deux fonctions dérivables sur
b. Š7
√%# ² - ø
√%# ² √%# ²
c. . / , √1 ² 10
Alors le signe de r7
celui de @
dépend de
Par conséquent :
. /N ∞; L , r7 10
√J
J
. /N ; ∞L , r7 90
√J
J
- 97 -
lim r lim 1 2 1
On n’en déduit que :
2.
d’équation > 3 .
² (C) est en dessous de l’asymptote
lim r lim 1 2 1 . 4 0, >

# #
r > 90
5
et
Š ∞; Š ∞
²
#√ # ²
#
Tableau de variations de Š
On en déduit que :
d’équation >
(C) est en dessous de l’asymptote
∞ ∞
√J
J
c. Représentation graphique
r 7
- √3
+ 0 -
r
∞ ∞
3.
lim lim 1 2 1
©
8
a.
K
Š
Et lim r 3
lim ! 2 2√1 5$
lim 0
5
&
# #
'²
Š K (
Alors la droite d’équation * K
1. Æ r
PARTIE C
au voisinage de ∞
est une asymptote oblique à (C)
2Æ 2√1 5
lim lim 1 2 1
©
# #
2Æ 261 ²
D’où . / , È -√%
%
²
Š ²
#
2. (C) : > 2√1 5
Et lim r
#
2> 2√1 ²Q0
lim !2 2√1 5$
# 2 > 5
4 1 5
;> Q0
2 C : > 5
4 1 5
; >Q
lim 0
5
# # #
& Γ :> 2√1 5
2> 2√1 ²40

'²
Š (
# 2 > 5
4 1 5
;> 40
Alors la droite d’équation *
2 Γ : > 5
4 1 5
; >4
au voisinage de ∞
est une asymptote oblique à (C)
ú , > / 5 ⁄> Q ü@ > 4 ý 5
Or
b. . Q 0, > 3 et
D’où (C) Í Γ : > 5
4 1 5
.
r > 90
5
#√ # ²
(C) Í ) : * -
- * K - U (
On a donc
- 98 -
5
3. !– >$ 2 > 3 5
4 PROBLEME 13
> 5
2 > 3 5
4.
ú 2ý
PARTIE A
Donc si le point þ , > / C Í Γ

²
5#
1. . / ,
;
alors le point þ′ , > / C Í Γ

2
J ²#M J ²
#5 #5 #5
On en déduit que :
D’où . / Ï , -
K
de symétrie de C Í Γ
L’origine O du repère est un centre
#-
4. Γ est donc la réunion de C et de
=
7 ²#U #%
#- -
2.
. / , 2 510
sa symétrique de par rapport à
) Í ÚÛ ! $ Alors le signe de 7
l’origine O du repère.
² 4 1
dépend de
² 4 1 0
celui de
∆7 3
(Voir le graphique)
2 √3 ; 5 2 √3
√1 ln! √1
PARTIE D
² ²$
. / ‚ ∞; 2 √3•, 7 90
Par conséquent :
a. . / ,1 1
1.
5 5
. / ‚ 2 √3 ; 2 √3• , 7 10
2 √1 ²1√ ²
. / ‚ 2 √3; ∞•, 7
90
Or √ ² | |
D’où . / , √% 1| | Sur ‚ ∞; 2 √3•,
On en déduit que :
-
/ √1 ²10
Sur‚ 2 √3 ; 2 √3•,
b. est décroissante
. / , √1 5 1 | | 4
2 √1 5 1 0 . /
Sur ‚ 2 √3 ; ∞•,
est croissante
On en déduit que : Ï
'
∞
#
est décroissante
√1
8
7 5 6&j'8
∞
√ # 8 #√ # 8
2.
#5 ² 5 # ²
-–
√ # ² √ # ² √ # ² ∞
7
2√1 -j
∞
r 2√1
²
7 #
D’où une primitive de Š sur est

²
∞ 2 √3 2 2 √3 ∞
par : «
%
par exemple la fonction G définie
7
-
² 0 0
3. … @w e xZ ! r $y ∞ ∞ 4 2 √3
@w e L ¨ N
5 Z
4 2 √3 ∞ ∞
²
@w 4ƒ„²
… 4!√2 ln!1 √2$$ƒ„²
La droite d’équation 2 est une
asymptote verticale à (C)
Posons > 2
D’autres parts :
lim > lim > 0

#
- 99 -
Alors la droite d’équation > 2 de ñ par des translations de vecteur
est une asymptote oblique de (C). ô2ßt ; ô étant un entier relatif.
ñ ß › ñ ›
Tracer de (C) D’autres parts :
Or L ; NÍL ; N L ; N et
ê ê ê Jê ê Jê
5 5 5 5 5 5
.› /L ; N; ß › / L ; N
ê ê ê Jê
5 5 5 5
ó sur L ; N permet de construire

D’où une étude des variations de
á á
- -
représentative de ó
entièrement la courbe
9 0, . / ; 2; ∞=
2.
77 W
#5 Ñ
a.
Sur ; 2; ∞=, 7 est décroissante
Sur= 1; 1;, 7 est décroissante

On en déduit que :
7 =
1; 1; = 7 1 ; 7 1 ;
= %; %; L ; -N
7 -
K
3. Soit I le point d’intersection des 2 Alors
b. ñ › sin ›
2 2
asymptotes :
f 2 f 2 ñ › 7
cos › e 7 sin ›
> 2 > 4
Alors Ž -; U Donc . Ÿ / , 7 Ÿ 7
é l Ÿ çèé Ÿ
2e 2 c. 7 est continue car dérivable et est
4 strictement décroissante sur ; 1; 1=
4 2 2 8
J J
5 #5 Alors 7 réalise une bijection de
-e - ™ -eU ; 1; 1= sur N
5
; 2Let 0 / N
5
; 2L
Alors Ž -; U est un centre de J J
Donc l’équation 7 Ÿ ( admet
4. … @w e x !> $y une unique solution Ÿ( dans
symétrie de (C)
5
; %; %=.
x !> $y x y
5 5 J
#5 1 9 ›Z 9 1
=3 ln 2 ;5 2 ! ‹ / N– ; L sin ‹ ›Z
ê ê
5 5
x !> $y 6 ln 2
5
@w 1 ƒ„² ñ7 ‹ 7
sin ‹ cos ‹
On a donc :
7
›Z cos ‹
… ‡ l - ˆ‰²
ñ7 ‹ 0
Car . ‹ / N– ; L cos ‹ 1 0 et
ê ê
5 5
ñ › ; ›Z 0
PARTIE B
•8 œ 7
5# • œ ò
1. ñ ß › ñ ›
•8 ê œ
• est l’unique solution de
5# • ê œ
Car sin ß › sin › l’équation ó7 Ÿ ( dans N– ; L
á á
ñ est périodique de période 2ß donc

- -
l’étude de ñ peut se faire sur un

intervalle d’amplitude 2ß et on
complète la courbe représentative
- 100 -
4. Æ › ñ › › et Ç
d. ñ ‹ È7 Ÿ ó7 Ÿ % 9 0 . Ÿ / L(; N
•8 ¤ á
5# • ¤ -
Or ñ7 ‹ 0
Sur L0; N , Æ est décroissante
On en déduit que :
ê
2 7 sin ‹ 0 5
2 sin ‹ 2 √3 Æ étant continue et strictement
décroissante sur L0; N, alors
ê
Car 2 √3 9 1 5
D’où ñ ‹ ! 2 √3$ Æ réalise une bijection de L0; N
ê
5
On a donc ó • U - √K dans L ; N et 0 / L
ê ê
; N
5 M 5 M
Donc l’équation È Ÿ ( admet
3.
/ L(; N
á
› ß ß ß
a.
-
Æ 0 2 ñ
une unique solution
6 4 3
0
ñ › 1 3 4 √2 4 √3
2 10 14 26 solution de l’équation ó Ÿ Ÿ
D‘où est aussi l’unique
sur L(; N
á
ñ 07 -
M
b. ñ7 › 7
sin › cos ›
. › / L0; N , cos › 4 0 et d’après les
ê
1. YZ 0 et 0 / L0; N donc YZ / L0; N
PARTIE C
5 5 5
variations de ,
0 Q sin › Q 1 ^ 7 sin › 9 0 . [ / \, supposons que Y] / L0; N
5
Car =0; 1; “ ‚ 2 √3; ∞• puis montrons que Y]# / L0; N
5
. › / L0; N , ñ7 › Q 0
Par conséquent :
ê
0 Q Y] Q Q
En effet :
ê
5
5 5
^ ñ O P Q ñ Y] Q ñ 0
ê
Sur L0; N, ñ est décroissante
On en déduit que :
ê
5
5
Car ñ est décroissante
› ê
5 On a alors 0 Q ñ Y] Q
ñ7 ›
0
5
Or par définition ñ Y] Y]#
D’où Y]# / L0; N si Y] / L0; N
ñ › 5
5 5
. _ / \, `_ / L(; N
%
-
étant décroissante sur ; 2; ∞=
7
alors elle est décroissante sur =0; 1;

2.
=0; 1; L ; N
7 5
J M
On a :
2 . / =0; 1;, Q Q
5 7
J M
2 . / =0; 1;, Q | |Q
7 5
M J
Donc . / =(; %;, | 7 |Q
-
K
ñ7 › cos › e 7 sin ›
Par ailleurs :
2 |ñ7 › | Q | 7 sin › |
- 101 -
Car . › / L0; N “ L0; N , |Cos › | Q 1
ê
5 5
PROBLEME 14
Or . › / L0; N, sin › / =0; 1; : > 7 2> 2 p 5 1

PARTIE A
5
r w p 5
ë
. › / L0; N, |ñ7 › | Q | 7 sin › | Q r 7
2w w p5
D’où 1.
5
5 J r7 2r 2 p5 1
2 wp 5
2ë 2p 5
2
. Ÿ / L(; N, |ó7 Ÿ | Q
On en déduit que :
% -
- K
-
Par identification :
3. . › / L0; N ; |ñ7 › | Q
5
F et Š - q- %
5 J
et %
. [ / \, Y] / L0; N . > r
Supposons que > est solution de
2.
5
On a : > 7 2> 2 p 5 1
^ r 7 2 r 2 p5 1
Appliquons l’inégalité des
bornes ; Y] . ^ 2 2 p 1 r 2r
accroissements finis à l’intervalle de
7 5 7
^ 7
2 0
Car r 2r 2 p 5
7
1
|ñ Y] ñ | Q |Y] |
On a :
5
J Alors est solution de E si *
Or ñ Y] Y]# et ñ
D’où . _ / \, |`_#% | Q |`_ |
-
est solution de
K
Réciproquement
E
Supposons que est solution de
[ 0^ |Y | Q |YZ |
5
4. En partant de cette inégalité on a :
J On a : r7 2 0
[ 1^ |Y5 | Q |Y | ^ 7 2 0 et r7 2r
5
2 p5 1
J
[ 3^ |YJ | Q |Y5 |
5
J ^ 7
r7 2 r 2 p5 1
c ^ r 7
2 r 2 p 5
1
[ [ 1 ^ |Y] | Q |Y] |
5
J ^> 7
2> 2 p 5
1
Alors * est solution de
membre de ces [ inégalités. solution de E
Faisons le produit membre à si est
|Y]
5 ]
| Q O P |YZ | * est solution de
On obtient après simplification : On vient ainsi de montrer que :
seulement si est solution de E

si et
J
0Q Q et YZ 0 7
2 02 7 2
5
2 Q YZ Q0 öq- ; ö /
3.
5
Alors
2 |YZ |Q
Soit > une solution de
Déduction :
5
5 ] 5 ]
2 |Y] | Q O P |YZ
J
|Q eO P
5 J > r
% - _ Alors * öq- - q- %; ö /
Donc . _ / \, |`_ |Q O P
- K ôp 5
2 p 5
1 et 0 0
5 ]
lim O P 0 0 02ô 1
4.
5 J
- % q- %
] #
Car 0 9 9 1
5 On a donc
J
converge vers
- 102 -
2 1 p 5
1; Sur ; ∞; 0=, est décroissante
PARTIE B On en déduit que :
Sur ; 0 ; ∞=, est croissante

lim 2 p 5 0
1.
lim p 5 0 ∞ 0 ∞
a.
% 7
1 ∞
Alors 0
La courbe k admet une asymptote

On en déduit que :
horizontale ∆ d’équation > 1 au

voisinage de ∞
0
b. ∆ : > 1 4. Tracer de k et ∆
> 2 1 p5
. / , p 5 1 0; alors le signe
dépend de celui de 2 1
. / N ∞; L , >90
Par conséquent :
5
. / N ; ∞L , >10
5
On en déduit que :
SurN ∞; L , Á est en dessous
%
-
de ∆
Sur N ; ∞L , Á est en dessus
%
-
de ∆
k ∆ 2 >
5.
& &
a. I =xZ =1 8 ;y xZ8 1 2 p5 y
2 et > 1
5
Alors Ö O ; %P @ 1 2 @7 2
%
f 7 ^H
| p
-
lim p 5 ∞ | p5 5
5
# &
lim 2 1 ∞
&
L 1 2 p5 N xZ8 p 5 y
2. 8
# 5 Z
∞
I
&
# = 1 p 5 ;Z
8
Alors
I
q -
lim p 5 ∞
D’autres parts :
-
I
lim ∞ car }
#
lim O P 2
5
#
plan délimité par la courbe k , la
b. I est l’aire en unité d’aire du domaine
#
Alors la courbe k admet une droite ∆ et les droites d’équations
0 et
5
branche parabolique de direction
3. 7 U q-
l’axe des ordonnées
. / , p5 1 0
Alors le signe dépend de celui de 4
. / ; ∞; 0=, 7 90
Par conséquent :
. / ; 0 ; ∞= , 7
10
- 103 -
1. J =x 2 1 p5 y = 1 p 5 ;Z 2 ln › 2 et › p 5
Z €• œ
PARTIE C PARTIE D
5
1.
Donc J -q - % > 1 2 1 p 5
D’après PARTIE B5) On en déduit que :
2. ¬ x 2 1 ²p y
Z M
› 4 1 ^ ln › 4 0
D’autre part :
^ 40
€• œ
@ 2 1 ²
ère
1 Intégration par parties
f ^ 5
| 7
p M ^ 40
@7 2 2 1 Γ :> 2 1 p 5 1; 4 0
H 2. Γ : > 2 1 p 1; 40
| pM
5
M
Z 2 Γ :> ; 40
¬ L 2 1 5pM N
M
. 4 0; Q0
Construction
x 2 1 pM y
Z
5 Γ est donc la symétrique de la
partie de k correspondant à
@7 2 ; ∞; 0; par rapport à l’axe des
2ème Intégration par parties
@ 2 1
f 7 ^ H
| pM | pM ordonnées
M
x 2 1 pM
Z
Z
L 2 1 pM N x pM y
Z
5 5
2 1 p4 p N
On a donc
1 1 4 Z
¬ L 2 1 5p M
M 4 8
P p4
3 5 Z
¬ LO ² 2 8
N
-
X -Xq–U
™
3. — @| e ß x y
Z 5
x y
Z 5
x = 2 1 ²p M 2 2
Z
1 p5 1 ;y
x 2 1 y
Z 5z Ð'
2x 2 1 p5 y x y
Z Z
x y ¬ 2Ô 1
Z 5
x 5 y 4p p
Z 5 5R M J
˜ ˜
@| 8 ƒ„ J
à á -Xq U K-q -
K ˆ‰K
- 104 -
lim p 5
∞
o
1 p 2p 5
;
PROBLEME 15
lim p 5 0
n
lim p 0
Car
m
¦ ¡ 1 ¡ 2¡²;
PARTIE A
1. ∆ 9 7
qUq -
3.
¡ ; ¡5 1 7
p 5 p 4
a.
. / ,p 10
5 5
b.
. / N ∞; L,§ 9(
%
- 7
% U q
. /Ë ; %Ê , § 1(
Alors a le même signe que
- 4 p 1 0 ^ 9 2 ln 2
. / ;%; ∞=, § 9(
2. ¦ ¡ 2 O¡ P ¡ 1 . / ; ∞; 2 ln 2=, 7 10
Par conséquent :
;
. / 2 ln 2 ; ∞ , = 90
5
2¦ ¡ 2¡ 1 1 ¡
7
¦ p
-q % % q Sur ; ∞; 2 ln 2=, est croissante
Or d’où On en déduit que :
. / , 2p 110 Sur ; 2 ln 2 ; ∞=, est décroissante
celui de 1 p ∞ 2 ln 2 ∞
Alors le signe de dépend de c. Tableau de variation de
1 p 10^ 10 7
0
V
. / ; ∞; (=, 90
Par conséquent :
˜
. / ;(; ∞=, 10
∞ 1
Sur ; ∞; (=, Á est en dessous de
2 ln 2
V
˜
Sur ;(; ∞=, Á est au dessus de
l’axe des abscisses
a. AZ : > 07
0 0
4.
Alors C( : * K
l’axe des abscisses
:> 1
lim p 0 k
PARTIE B b.
2p 2p 5 0
#
lim p 5
0
2p p 5
2 0
1.
#
% 2p 2 car . / , p 5 £ 0
2 ln 2 et > ln 2 1
#
Alors
k admet une asymptote Et donc Ö l - ; %

On en déduit que :
horizontale d’équation > 1 au > p 5 p 2

voisinage de ∞ . / , p 5 10
c.
1 p 2p 5
p 2
Alors le signe dépend de celui de
p 5 O –8' 2P
2.
z –'
z–8' z p 2 1 0 2 1 ln 2
q -
q- q -
. / ; ∞; ln 2=, >90
Donc Par conséquent :
On en déduit que : ∞ . / ;ln 2 ; ∞=, >10
- 105 -
Sur ; ∞; ln 2=, k est en dessous de 1. u @w e xZ !1

€• 5
$y
On en déduit que : PARTIE C
xZ !1 $y =p p ;€•
€• 5 5 5
Sur ;ln 2 ; ∞=, k est au dessus de Z
xZ !1 $y
€• 5
5. A : > ln 2 ln 2 ln 2
7 M
@w 4ƒ„²
Donc C : * %
% l-
- -
On a donc … % ˆ‰²
ln 2 5 2. v 1 ln 2 ; u v 4 x€• 5= 1; y
{
k passe par le point de a. … † est l’aire en cm² du domaine

6.
ln 2 ; 5 plan délimité par la courbe Á , la

droite Ï et les droites
coordonnées
Tracer de k l - et †
b. u v 4= p p ;€• 5 {
d’équations
5
… † !% Uq † Uq -† $ˆ‰²
lim p { 0
{ #
lim p 5{
0
{ #
… † %
† #
Alors
3. ´ ßx y
Z 5
€• 5
5
1 2p 3p 5
4p J
4p M
y
Z
´ ßL 2p p p p N
J 5 M J M
5 J €• 5
µ áO l -P ø
%”
‡
- 106 -
: est l’aire en unité d’aire du

PROBLEME 16 On en déduit que :
r 3 ln ; ;0; ∞=
PARTIE A
©
limj ln ∞ de r, l’axe des abscisses et les
Z
‹
limj ∞ M
= 3 ln ;¤&
droites d’équations et
b. : x ln y
¤
1.
Z &
Š ∞ Ð Ð
Calculons x& ln y
¤
(j
Alors
lim ln ∞ Ð
#
lim 0 @ ln @7
#
H 7 ^H
Š ∞ | 1 |
#
x& ln y = ln ;¤& x& y
Alors
¤ ¤
2. Š7
#%
²
= 2 ln ;¤&
Ð Ð
Donc : 1
Ð
. / ;0; ∞=, ² 1 0 et 110
;
Alors . / 0; ∞ , r = 7
90 Ð
: 2‹ 1 ‹ ln ‹ ln 2
J
5 5
Sur ;0; ∞=, r est décroissante Or r ‹ 0 2 ln ‹ 3
On en déduit que :
Tableau de variation de r
¤
D’où Ž • l-
% K
∞
• - -
r
0
7
∞ p 3 ln ; ;0; ∞=
PARTIE B
r
∞ limj ln ∞
1.
a. H Z
3. Sur ;0; ∞=, r est continue car pZ 1

∞
(j
Alors
p 3 ln
Alors r réalise une bijection de 3p p ln

décroissante. b.
;0; ∞= sur ; ∞; ∞= et 3p · ln
0 / ; ∞; ∞= z
'
Kq ·
l
Donc l’équation Š ( admet q
une unique solution • dans
o lim p 0
Donc
;(; ∞= ¿
#
Montrons que ‹ / [0,4 ; 0,5] lim ' 0

n
# z
r 0,4 0,4 1 0
ca
f ¿ lim €• 0
r 0,5 0,3 9 0 m #
On a : Š (, U e Š (, X 9 0 (
#
Alors • / [0,4 ; 0,5]
Alors
4. r est décroissante et r ‹ 0 k admet une asymptote verticale

c. Déduction
0 et une asymptote
. / ;(; •=, Š 10 horizontale d’équation > 0 au
On en déduit que : d’équation
;
. / •; ∞ , Š = 90 voisinage de ∞
5. : x& r y p 3 ln
¤ z –'
2. 7
Ð
a. . / L ; ‹N , r 40
7
p O 3 ln P
M
Donc on a : 7
q ·Š
- 107 -
‹ p ¤ 3 ln ‹
Or r ‹ 0 2 ln ‹ 3 Æ ; =0,4 ; 0,5;
3. PARTIE C
¤ J#€• Ç
•
q–• % 1. r 0
• •q•
2 3 ln 0
D’où
Encadrement de •
0,4 Q ‹ Q 0,5 23 ln
2 1,49 Q p ¤ Q 1,64 2
2 0,59 Q ‹p ¤ Q 0,82 J#€•
2Æ
2 1,21 Q Q 1,69
¤z
‹ est l’unique solution de l’équation
On en déduit que :
%, - Q • Q %, à X e %( % près Æ d’après PARTIE A, ‹ est

On en déduit que :
4. . / ;0; ∞=, p 1 0
r 0
l’unique solution de l’équation
Donc le signe de 7
celui de r 2. Æ 9 0 . / =0,4 ; 0,5;
dépend de
7
J#€•
8
. / ;0; ‹=, 7 10
Par conséquent :
Sur =0,4 ; 0,5;, Æ est décroissante
On en déduit que :
. / ;‹; ∞=, 7 90
0,4 0,5
Sur ;0; ‹=, est croissante Æ
On en déduit que :
7

0,47
Tableau de variation de Æ
0 ‹ ∞ 0,43
7
‹
0
D’après les variations de Æ,
Déduction
. / =0,4 ; 0,5;, Æ / =0,43 ; 0,47;

∞ 0
Or =0,43 ; 0,47; “ =0,4 ; 0,5;
0
. / =(, U ; (, X;, È / =(, U ; (, X;
D’où
2p 3 ln 0
5.
2 ln 3 car p £ 0 3. . / =0,4 ; 0,5;, 0,4 Q Q 0,5

2 p J 2 0,91 Q ln Q 0,69
Alors Á coupe l’axe des 2 2,09 Q 3 ln Q 2,31
2 4,36 Q 3 ln 5 Q 5,33
coordonnées q K ; ( 2 1,74 Q 3 ln 5 Q 2,66
abscisses aux points de
6. Tracer de k 2 0,37 Q Q 0,57

J#€•
8
2 0,57 Q Æ7 Q 0,37
2 0,37 Q |Æ7 | Q 0,57 Q
J
R
Donc . / =(, U ; (, X;, |È |Q
7 K
X
- 108 -
4. YZ 0,45 et Y]# Æ Y] . [ / \
a. YZ 0,45 / =0,4 ; 0,5; J ]
d. Déduction
lim O P 0 car 0 9 9 1
J
. [ / \, supposons que ] # R R
Y] / =0,4 ; 0,5; et montrons que

Y]# / =0,4 ; 0,5; La suite `_ est convergente et
On en déduit que :
Y] / =0,4 ; 0,5; ^ Æ Y] / =0,4 ; 0,5; `_ •

_ #
Car . / =0,4 ; 0,5;, Æ / =0,4 ; 0,5;
Or par définition Y]# Æ Y] J ]
^ |Y] ‹ | Q 10
e. On sait que :
D’où Y]# / =0,4 ; 0,5; si Y] / =0,4 ; 0,5;

e O P Q 10 R R
5Z R
J ]
e O P Q 10 R
. _ / \, `_ / =(, U ; (, X; 5Z R
On conclut donc que : Or
J ]
b. ‹ / [0,4 ; 0,5] ; Y] / =0,4 ; 0,5; et 2 O P Q 2 e 10 R
R
2 [ ln O P Q ln 2 5 ln 10
R
. / =0,4 ; 0,5;, |Æ7 | Q

J J
On sait que
2[4
R €• Z €• 5
R
€• R €• J
2 [ 4 21,18
D’où |Y] ‹ | Q 10 R . [ 4 22
ax¤ ® Æ7 y a Q |Y] ‹ |
moyenne on a :
J
R A partir de la valeur _( -- de _
^ É=Æ ;¤ É Q |Y]
® J
‹| on est sûr que `_ représente une
valeur approchée de • à %( X près
R
^ |Æ Y] Æ ‹ | Q |Y] ‹ |
J
R
Or Y]# Æ Y] et Æ ‹ ‹
Donc . _ / \,
|`_#% •| Q |`_ •|
K
X
[ 0^ |Y ‹ | Q |YZ ‹ |
J
c. En partant de cette inégalité on a :
R
[ 1^ |Y5 ‹ | Q |Y ‹|
J
R
[ 3^ |YJ ‹ | Q |Y5 ‹|
J
R
c
[ [ 1 ^ |Y] ‹ | Q |Y] ‹|
J
R

J ]
|Y] ‹ | Q O P |YZ ‹ |
R
|YZ ‹ | |0,45 ‹|
0,4 Q ‹ Q 0,5
2 0,05 Q YZ ‹ Q 0,05
2 |YZ ‹ | Q
5Z
J ] J ]
2 |Y] ‹| Q ORP |YZ ‹| Q 5Z e ORP
K _
Donc . _ / \, |`_ •| Q eO P
%
-( X
- 109 -
1. Ô xZ p y
PROBLEME 17 PARTIE B
²p ;
PARTIE A
@ @7 1
( f 7 ^f
| p | p
1. Calcul des limites
#
∞ Ô = p ;Z xZ p y
2. 7 - ² q Ô = 1 p ;Z
3. . / , p 1 0 Õ %
-
q
Alors le signe de 7 7
2 ² p ²p
celui de 2 ²
dépend de
- q
2.
7
2 ² 02 0 ou 2
On a donc
7
2 p
3. Déduction
. / ; ∞; 0=, 7 90
Par conséquent :
;
. / 0; 2 , = 7
10 2 2 p 7
. / ;2; ∞=, 7 90 2 xZ y xZ !2 p 7
$y
2 xZ y xZ 2 p y
Sur ; ∞; 0=, est croissante
On en déduit que :
xZ 7
y
Sur ;2; ∞=, est croissante 2 xZ y 2 xZ p y
Tableau de variation de = ;Z
∞ 0 2 ∞ -Õ %
On en déduit que :
x(
%
7
Car 0 0
∞ 4p
0 0
5
4. u @w e xZ y
xZ y 2
R
z
@w 16 ƒ„²
0 0
4. A : > E
1 1 1 … %‡ O-
X
P ˆ‰²
Alors C : * q K - q
5. Tracer de A et k
1. La droite d’équation > 2 coupe
PARTIE C
k en deux points d’abscisses

respectives 2 et ‹ comme l’indique
le graphique et on a : ‹ / : = 1; 0;
2. r O P p8 ; : = 1; 0;
5 '
z ©
r
2O P p8
5 '
z
2 p
' 5
8
z
2 ²p 4p 5
M
z²
2 2
• est l’unique solution de

On en déduit que :
l’équation Š
1.), • est l’unique solution de
car d’après
l’équation - sur Ž
- 110 -
3. . / = 1; 0;, Q Q0
. / = 1; 0;, |r ‹| Q | ‹|
5 5
b. On sait que :
2p Q p8 Q 1
& '
z
Remplaçons par Y] dans cette
8
2 QO P p8 Q
5 5 ' 5
Ñ
z z
z8
On a : |r Y] ‹ | Q |Y] ‹ |
inégalité
Or Ê ; Ë “ = 1; 0;
5 5
z
Ñ
z
z8
D’où . / = %; (;, Š / = %; (; D’où . _ / \,
4. r7 O P p8 |`_#% •| Q |`_ •|
'
%
z q
. / = 1; 0;, Q Q0
5 5
[ 0^ |Y ‹ | Q |YZ ‹ |
2p Qp Q1
& '
8 8 z
[ 1^ |Y5 ‹ | Q |Y ‹|
2 QO Pp Q
'
8 Ñ z
[ 3^ |YJ ‹ | Q |Y5 ‹|
z z
z8
2 Q |r 7 |Q z
Ñ
z8
z c
Donc . / = %; (;, |Š7 |Q
%
[ [ 1 ^ |Y] ‹ | Q |Y] ‹|
q z
On sait que ‹ / = 1; 0; et membre de ces [ inégalités.

5. Déduction Faisons le produit membre à
. / = 1; 0;, |r7 | Q ]
|Y] ‹ | Q O P |YZ ‹ |
z
z
|YZ ‹ | | 0,5 ‹|
D’après l’inégalité de la moyenne, on
Éx¤ r7 › y›É Q | ‹| 1Q‹Q0

a:
z
2 0,5 Q YZ ‹ Q 0,5
^ |=r › ;¤ | Q | ‹|
z 2 |YZ ‹ | Q
^ |r r ‹ |Q | ‹|
5
] ]
z 2 |Y] ‹| Q OzP |YZ ‹| Q 5 e OzP
Or r ‹ ‹ d’après PARTIEC 2.)
Donc . _ / \, |`_ •| Q
%
-q_
. / = %; (;, |Š •| Q | •|
%
D’où
q d. lim 0 car 0 9 9 1
] # 5z ® z
6. YZ 0,5 et Y]# r Y] . [ / \
a. YZ 0,5 / = 1; 0; La suite `_ est convergente et
On en déduit que :
. [ / \, supposons que Y] / = 1; 0; `_ •
et montrons que Y]# / = 1; 0; _ #
e. On sait que : . [ / \, |Y] ‹| Q
5z ®
Y] / = 1; 0; ^ r Y] / = 1; 0; Q 10 ^ |Y] ‹ | Q 10
En effet :
W W
Car . / = 1; 0;, r / = 1; 0; 5z ®
Donc
Or par définition Y]# r Y] Or ® Q 10 W

5z
D’où Y]# / = 1; 0; si Y] / = 1; 0; 2 [ Q 6 ln 10 ln 2
2 [ 4 6 ln 10 ln 2
. _ / \, `_ / = %; (; 2 [ 4 13,12
D’où |Y] ‹ | Q 10 W .[ 4 14
La plus petite valeur de _ cherché

est donc _( %U
- 111 -
; ;0; ∞=
€•
PROBLEME 18 PARTIE B
r 1 ² 2 ² ln ; # ²
PARTIE A
;0; ∞=
©
∞
1. Š 7
U ² l (j
. / ;0; ∞=, 4 ² 1 0 limj ln ∞
Z
limj 1
celui de ln
dépend de Car
Z
ln 1 0 2 9 1 lim lim e
€•
²#
# # # ²
(
. / ;0; 1=, r7 10
Par conséquent :
#
;
. / 1; ∞ , r = 7
90 lim
€•
0
Car } #
limj 0
Calcul des limites
Z
Š %
²#
(j
limj ² 0 k admet une asymptote verticale
Déduction
Z 0 et une asymptote
limj ² ln 0 horizontale d’équation > 0 au
Car d’équation
Z
Š ∞ voisinage de ∞
# &
lim ∞
# ² 5 €•
7 '
# # ² 8
²
lim ln ∞
2.
2 7 # ² 5 ² €•
Car
#
# ² 8
7 Š
∞
%# ² -
0 1
Alors
r
. / ;0; ‹=, 7
7
10
D’après PARTIE A
. / ;‹; ∞=,
0
7
90
r
2
∞ Sur ;0; ‹=, est croissante

On en déduit que :

1
2. Sur ;0; 1;, r 1 0 car r / ;1; 2;

Sur ;1; ∞=, r est continue car
dérivable et est strictement 0 ‹ ∞

7
décroissante.
‹
0
;1; ∞= sur ; ∞; 2= et 0 / ; ∞; 2=.
Donc l’équation Š ( admet
une solution unique • / ;%; ∞= ∞ 0
r 1,89 0,02 1 0
f ‹
€• ‹
r 1,90 0,02 9 0 #‹²
On a : Š %, ™” e Š %, ”( 9 0 Or r ‹ 0
3.
Donc %, ™” 9 • 9 1,90 2 1 ‹² 2‹² ln ‹ 0

3. Signe de r 2 ln ‹
#¤²
. / ;(; •=, Š 1(
5¤²
•
%
. / ;•; ∞=, Š 9( -•²
D’où
- 112 -
Encadrement de •
a. Calcul de :
1,89 9 ‹ 9 1,90
2 7,1442 9 2‹² 9 7,22 @ › ln › @7 ›
2 0,1385 9 9 0,1399 ^ œ
5¤² |7 › | ›
œ²
Donc à - e %( K près on a : œ
: L N x y›
€• œ
(, %K™ 9 • 9 0,140 œ œ²
4. A : > 7
1 1 1
: L N
€• œ
Alors C : *
% % œ œ
Ž %
- - l %
5. Tracer de A et k
b. Calcul de Ô
@ › ln › @7 ›
^ œ
|7 › | ›
#œ ²
#œ
Ô L N x y›
€• œ
#œ œ #œ
et › 1 0
œ #œ œ #œ
Or
D’où Ô L ln O PN
€• œ œ
#œ #œ
Õ l- lO P
l
%# %#
. › 4 1, Q › Q
€• œ €• œ
c. On sait que :
8 #œ œ²
2x y› Qx › y› Q x y›
€• œ €• œ
#œ 8 œ²
2Ô Qš Q:
On en déduit que : . 11
l- l O%# P Qž
l
%#
Q%
l %
4. Soit 1 1
š x › y› ; • ;0; ∞= a. Interprétation graphique de ž
PARTIE C
1. š est la primitive de sur ;0; ∞= š est l’aire en unité d’aire du
courbe k , l’axe des abscisses et les

Donc ž est dérivable sur ;(; ∞=
qui s’annule en 1. domaine plan délimité par la
droites d’équations › 1 et ›
. / ;(; ∞=, ž7
b. u lim š
2. . › 4 1, 1 › ² 1 2› ›² #
2 ›² Q 1 ›² Q 1 › ² Ô Qš Q:
2 lim Ô Q lim š Q lim :
2 Q Q ∞ ∞ ∞
#œ #œ² œ²
lim ln O P 0
²
2 Q Q lim Ô
€• œ €• œ €• œ
ln 2 car } ∞ #
#œ ² #œ² œ²
lim 0
# €•
Car . › 4 1, ln › 4 0 ∞ #
lim 0
€•
Donc . Ÿ 4 %, Q Ÿ Q
lŸ lŸ
%#Ÿ - Ÿ² lim : 1 car } ∞
lim 0
# €•
3. : x y› et Ô x y›
€• œ €• œ
∞
œ8 #œ 8
l- Q … Q %
On en déduit que :
- 113 -
;
1
1. ¨ 7 š7 O P š7 10
PARTIE D PROBLEME 19
²
r p ;
PARTIE A
2 ¨7 O P
©
²
2 ¨7 L O P ² N a. Š7 % q %
1.
1 p 102 91
²
1
Donc . 1 0; «7 (
. / ; ∞; 1=, r7 10
O P ² . / ;1; ∞=, r 7
90
2. ¨ 7 0 2¨ ¬; ¬ /
Car
On a ¨ 1 ¬ š 1 š 1 0 Sur ; ∞; 1=, r est croissante

On en déduit que :
Donc . 1 0; ¨ ( Sur ;1; ∞=, r est décroissante

3. . 1 0; ¨ 02 š šO P
1 b. Š % (
r 1 est le maximum de r sur
Posons ¡ 2 . / ,r Qr 1 0
0 ,¡ ∞ Donc . / , Š Q(
ž ž … c. . / , r Q0
Si
( #
2 p Q0
j
Alors
2 p p Q0
, q Q
%
Donc . /
q
p Q 2 p Q 91
D’autres parts :
z z
D’où . / , % q 10
;
z –'
ú / /1 p £0ý
2.
1 p £ 0 est toujours vrai car

a.
. / ,1 p 10
Et donc Ï
'
z –' '
,
q
Donc . / q
(
b. Calcul des limites
lim p 0
lim ∞
Car
% car q (
# #
7 q %
% q -
, p 1 0 et 1 p 510
c.
. /
Alors le signe de 7
celui de 1
dépend de
1 102 91
. / ; ∞; 1=, 7
10
Par conséquent :
. / ;1; ∞=, 7
90
- 114 -
Ô = p ;Z xZ p y
On en déduit que :
Ô = 1 p ;Z
Sur ;1; ∞=, est décroissante
Õ% %
-
q
∞ 1 ∞ w 5
ë ƒ p 5
Æ ²p 5
b.
7
7 = 2w ² 2w 2ë ë 2ƒ;p 5
0
z
z
7
Æ
2 2w ² 2w 2ë ë 2ƒ ²
0 1 ow
¿ 5
2 ë
A :> 0 0 7
0 n 5
¿ƒ
Alors C : * %
d.
m M
e. Tracer de A et k %
- -
- % q -
U
Et
Ô5 xZ 5 p 5 y xZ Æ y
Déduction
Ô5 = ;Z
Õ- O% P
On en déduit que :
% X
U q²
3. Y] 1 Ô Ô5 â Ô] ; . [ / \Ò
a. . / ,
1 p 5
p 5
â ]
p ]
1 p p 2 â p [
a. Image de =0; 1; et =1; ∞= par
3.
Or 1 w w² â w]
®j&
=(; %;
q
L%; q %N
Donc . / ,
=%; ∞=
q
N%; N
q % % q -q–-
â _
q _
% q– _j%
. / =0; 1;, 1 Q Qp 1
p
b. Déduction
% q–
/ =1; ∞ =, 1 9 Qp 1
p
.
1 p 5
p 5
â ]
p ]
b. Déduction
®j& z – ®j& '
. / =(; ∞=, % Q Qq %
q
On en déduit que :
z –' z –'
p ]# ]#
D’après la linéarité de l’intégrale,

1. : xZ y
PARTIE B
xZ y xZ p y xZ 5 p 5 y
on a :
: est l’aire en unité d’aire du â xZ ]

p ]
y
xZ y xZ ]# p ]# y
domaine plan délimité par la
21 Ô Ô5 â Ô]
0 et 1 : xZ ]#
p ]# y
2. Ô] xZ ] p ] y ; [ entier non nul 2 Y] : xZ ]# p ]# y

a. Ô xZ p y Donc . _ / \Ò ,
Ž `_ x( _#% q _#%
%
@ @ 7
1
f ^f
| 7
p | p
- 115 -
. 4 0, 0 Q p Q p
1 1 p hi Q1
c. D’après A 1.c, on a : PROBLEME 20
H ;
ln hi 11
5
2 0 Q ]# p ]# Q ®j&
z
PARTIE A
1Q Q
z
Et D’après A 3.b, on a :
lim– lim– 1 p1 2
1. Continuité en 1
z
2 0 Q [ 1p [ 1 Q p[
p
limj limj ln 2
1 p 1 2
Donc . 4 (,
1 2
(Q q _#% Q
_#% %
q_ q % %
%– %j
0 Q ]# p Q
d. Déduction
]#
Alorsest continue en 1
z® z
2 0 Q xZ p y Q lim– lim–
Dérivabilité en 1
]# ]# # z &–' 5
xZ y Posons ¡ 1
z® z
Si 1 alors ¡ 0# et
limj p¢ 2· 1
5 ¢ z 5 z
( Q Ž `_ Q _
%
On en déduit que :
q q % ¢ Z ¢ ¢
Convergence de la suite Y] p Z
1
limj 1
z
0 Q : Y] Q ®
Car
z z ¢ Z ¢
2: Q Y] Q : %
%
z® z %– %
Donc
lim 0 car 0 9 9 1
2
limj limj
ln 2
] # z® z z
On conclut donc que la suite `_ Posons ¡ 1
converge vers Ž 1 alors ¡
#
0# et
4. 0 Q : Y5 Q limj
Si
5 ¢# €• ¢# 5 ¢#
z8 z
¢ Z ¢ ¢#
Alors `- Q Ž Q `-
%
limj 3
5 €• ¢#
q- q %
¢ Z ¢# ¢
limj 2
5
Car } ¢ Z ¢#
limj 1
€• ¢#
¢ Z ¢
K
%
%j %
Donc
lim– £ limj
Au point 1; 2 , k admet deux demi-

!A© $: > 3
tangentes d’équations :
A½ : > 3 5
Le point 1; 2 est donc un point
anguleux pour k
- 116 -
2. Tableau de variation de
∞ ∞ 0 1 ∞
a. Calcul des limites
7
1 3
lim 1 ∞
p
0
lim p1 ∞ 2
Car
∞ ∞
∞
#
lim 0 4. Sur ;1; ∞=, est continue car
5
lim ln ∞
Car dérivable et est strictement
b. lim lim O Pp
#
décroissante.
;1; ∞= sur ; ∞; 2= et 0 / ; ∞; 2=
Alors réalise une bijection de
∞
( admet
lim O P 1 une unique solution • sur ;%; ∞=
Donc l’équation
1
Car } 2,3 0,03 1 0

lim p1 ∞ f
2,4 0,04 9 0
( On a : -, K e -, U 9 0
# Donc -, K 9 • 9 2,4
lim 0
5
Car } Sur ; ∞; 1;; 02 1

D’autres parts :
lim 0
ln
²
k avec l’axe des abscisses est le

Donc l’autre point d’intersection de
k admet une branche parabolique de point de coordonnées 1; 0

voisinage de ∞ et une branche 5. Tracer de k

direction l’axe des ordonnées au
abscisses au voisinage de ∞
parabolique de direction l’axe des
91
q%
3. Cas où
7
. / ; ∞; 1=, p1 10
7
celui de –
102 90
. / ; ∞; 0=, 7 10
Par conséquent :
. / ;0; 1=, 7 90
Cas où 1 1
7 5#
²
PARTIE B
. / ;1; ∞=, ² 1 0 et 2 10
a. u x y
¤
1.
. / ;1; ∞=, 7 90 2 u x O
¤ 5
ln P y
Par conséquent :
2u x y x ln y
¤5 ¤
On en déduit que :

Sur ;1; ∞=, est décroissante @ ln @7
H 7 ^H
| 1 |
- 117 -
x ln y = ln ;¤ x y
¤ ¤
2u = 2 ln ;¤ › p œ
PARTIE C
f ,› 9 0
> › › 2p œ
… • % - • l• p œ2› ln et
On a donc :
> ln 2p ln
5
1.
€•
‹ 0 2 ln ‹
5
b. On sait que :
¤
›902 ›10
Par ailleurs :
D’où … • K
U
• 2p œ11
Avec ¼ %; K et U 2 11
c. 2,3 9 ‹ 9 2,4 On a : Γ : > ; 11
2 0,7 9 ‹ 3 9 0,6 et
1,66 9 9 1,73
M
) est la partie de Á
¤
correspondant à 1 %
Donc on a : (, ” 9 … 9 %, %
!t › f 7 › p œ
7
2. — ßx
Z 5
y 2. ´ ,› 9 0
> › 1 2p œ
x 5 y x 1 5p5 y
Z Z 5
7
ln 2 2
2f
> 7
ln 2 2
@ 1 5
1ère intégration par parties
H 7 ^ !t -
| p5 5 µ l- O
P
-
@7 2 1
H þ ln 2 2; 1 ln 2
| p5 5
Représentation graphique
5
Z
x y L 1 5p5 N
Z 5 5
(Voir graphique)
5
x 1 p y
Z 5 5
@7 1
ème
@ 1
2 Intégration par parties
H 7 ^H
| p5 5 | p5 5
5
x 1 p5 y
Z 5
Z
L 1 p5 N x p5 y
5 Z 5
5 5
Donc on a : x y
Z 5
Z
L 2 ² 6 5 p5 5
N
M
2x y
Z 5 z Ð Rz 8
M
Donc : à q- X ø
áq-
U
- 118 -
1 ln O P hi 1 1 a. AZ : > 7
0 0 0
PROBLEME 21
#
3.
H 5 ; Alors C( : * % l- l-
1 0
= 1; ∞= A :> 7
1 1 1
Alors C% : * %
1. Continuité en %
PARTIE A b. Tableau de variation de
1 ∞
5
1
lim j lim j 1 ln O P
#
z
5 7
Posons ¡
#
0 ∞
0
5
1# , alors ¡ 0# et
limj2¡ ln ¡ 0
Si
2
¢ Z p
Donc lim j 0
% 4. Tracer de ²
%j
Alors est continue en %
Dérivabilité en %
lim j lim j ln O P
#
# 5
lim j ln O P limj ln ¡ ∞
#
5 ¢ Z
∞
%
%j #%
Alors n’est pas dérivable en %
Au point de coordonnées 1; 0 , ²
admet une demi-tangente verticale
2. . 1 1, 7 ln O P 1
dirigée vers le bas
#
5
0 2 ln O P 1
7 #
5
2 p
#
5
2 1
5
z
1 0 2 ln O P1 1 .› 1 1,
7 #
PARTIE B
5
On pose u › xZ y
œ
2 1p
#
5
2 1 1
5
@ ln O P
1. Intégration par parties
z #
H 5 ^
. / N 1; 1 L, 90 |7 1
Par conséquent :
5 7
z
@7
. /N 1; ∞L, 7 10
5 #
| 1
z 5
5
œ
Sur N 1; 1 L , est décroissante u › L 1 ln O PN
On en déduit que :
5 5 #
z 5 5 Z
Sur N 1; ∞L ,
5
xZ 5 1 y
œ
z
est croissante
- 119 -
3. u5 @w e x !r $y
œ Z
L 1 ln O P 1 5N
5 #
€• 5
5 5 M Z
2 u5 4O x y
Z
… Ÿ Ÿ % lO P
% - Ÿ#% €• 5
x r y $
- - Z
Ÿ %
% - % l- €• 5
2 u5 4 OxZ y
U U - €• 5
2. Posons @
œ#
x €• 5 r y P
5 Z
Si › 1# alors @ 0# et
limj2@² ln @ @²
€• 5 €• 5
x €• 5 r y xZ y
Z
Or par symétrie :
¥ Z M 5 M 5
Car limj@² ln @ 0 et limj@² 0
¥ Z ¥ Z
… Ÿ
% l-
u5 4 OxZ y xZ y P
€• 5
D’où
Ÿ % U -
Donc
Ÿ" %
…- U!… l- … % $
3. On a donc :
a. u @w e lim xœ y
œ
œ"
lim xœ y › 2p œ 1
PARTIE D
œ f ,› /
œ" > › 2›p œ
lim O xœ y xZ y P
Z
2p œ 1 2 p œ
#
œ
œ" 5
1. et
2 › ln O P
#
lim OxZ y xZ y P
œ
œ 5
œ"
lim !u › u 1 $ > 1 ln O P
Par conséquent :
#
œ
œ" 5
@w 4 ƒ„²
›/ 2p œ10
Par ailleurs :
2 2p œ 1 1 1
Donc on a :
…% U# … Ÿ … % $ 2 1 1
Ÿ %
Ÿ" %
) :* ; 1 1
En conclusion :
b. œlim u ›
€• 5
M 5 ) et
œ"
sont donc symétriques
u 1
J €• 5
par rapport à l’axe des abscisses
M 5
…% U ˆ‰²
On en déduit que : 2. Pour la construction, voir graphique
1. Sur =0; ∞=, r est continue car

PARTIE C
Alors Š réalise une bijection de

croissante.
=(; ∞= sur Ž = l - ; ∞=
2. C′ est la symétrique de la partie de
C correspondant à =0; ∞= par
rapport à la droite d’équation >
(Voir le graphique)
- 120 -
Tableau de variations de Š7
PROBLEME 22 d. Déduction
1. r ;
PARTIE A
# 8
√3 ∞
©
²#
1
a. Š7
- % ²
%# ² - r 77
. / , 1 ² 10 0 0
0
5
Alors le signe de r7 r7
celui de 1 ²
dépend de
1 ² 02 I1 M
. / ; ∞; 1=, r7 90
Par conséquent :
. / =1; ∞=, Q r7 Q0
D’après ce tableau :
. / ; 1; 1=, r 7
10 M
. / ;1; ∞=, r 7
90
. / =%; ∞=, |Š7 |Q
%
On en déduit que :
Sur ; ∞; 1=, r est décroissante U

On en déduit que :
Sur ; 1; 1=, r est croissante 2. 1 ln=r ;; \ú 1 ý

Sur ;1; ∞=, r est décroissante 7 - % ²
%# ² #% -
a.
. / , 1 ² 1 0 et
∞ 1 1 ∞ 1 10
5
r 7 Alors le signe de 7
celui de 1 ²
0 0 dépend de
1 2
r 1 ² 02 I1
1
. / ; ∞; 1=, 7 90
0 Par conséquent :
. / ; 1; 1=, 7
10
0 est le minimum de r sur . / ;1; ∞=, 7
90
b. D’après ce tableau de variation
2 est le maximum de r sur

Sur ; ∞; 1=, est décroissante
On en déduit que :
Sur ; 1; 1=, est croissante

. / ,( Q Š Q-
Par conséquent :
c. r77
M ! Ð 5 ² J$
# ² Ð
Š77
U ² K
∞ 1 1 ∞
%# ² K 7
. / =1; ∞=, 4 1 0 et
1 1 ln 2
0
1 ² J10
∞ ∞ 1
celui de ² 3
dépend de
² 32 I √3
. / •1; √3•, r77 90

Par conséquent :
. / ‚√3; ∞•, r 77
10
Sur •1; √3•, r7 est décroissante

On en déduit que :
Sur ‚√3; ∞•, r7 est croissante
- 121 -
b. Tracer de !k $ D’où 1 9 Y]# 9 2 si 1 9 Y] 9 2
. _ / \Ò , % 9 `_ 9 2
Æ ; Ç =1; 2;
È 7 7
%
3.
. / =1; 2;, 7
90
a.
2 7
190
. / =1; 2;, Æ7 90
Par conséquent :
Sur =1; 2;, Æ est décroissante

On en déduit que :
2Æ 0
b. Déduction
Sur =1; 2;, Æ est continue car

c. Sur =0; ∞=,
1 est le minimum de Æ 1 ln 2 1 0
décroissante
1 ln 2 est le maximum de f
Æ 2 0,4 9 0
Donc . / =(; ∞=, On a : È % e È - 9 0
%Q Q% l- 9 2
Alors l’équation È ( admet
car l - 9 1
une unique solution • comprise
7 ŠÞ
que • est l’unique solution de

Š
entre 1 et 2 ce qui montre aussi
D’après 1.) . / =1; 2;,
d.
On a : |r7 | Q 4 et 1 Q r Q2
1 l’équation
2 |r7 |Q et Q Q1
1
. / =1; 2;, | 7 | Q ; ‹ / =1; 2; et
4. On sait que :
4 5 ©
M
2a
©Þ
aQ . [ / \Ò , Y] / =1; 2;
© M
Donc . / =%; -;, | |Q

7 %
moyenne on a . [ / \Ò :
U
„ admet : ax¤ ® 7 y a Q |Y] ‹ |
Deux solutions si „ / ; ∞; 1=
M
e. L’équation
^ É= ;¤ É Q |Y] ‹|
Une solution si „ 1
®
M
Deux solutions si „ / ;1; 1 ln 2= ^ | Y] ‹ | Q |Y] ‹ |
Une solution si „ 1 ln 2
M
Or ‹ ‹ et Y] Y]#
Zéro solution si „ / ;1 ln 2 ; ∞= D’où . _ / \Ò ,
|`_#% •| Q |`_ •|
%
U
YZ et Y]# Y] . [ / \
PARTIE B
Déduction
R
[ 1^ |Y5 ‹ | Q |Y ‹|
En partant de cette inégalité on a :
2. Y 1 ln O P S 1,32
1. Voir figure
˜ M
J
[ 2^ |YJ ‹ | Q |Y5 ‹|
On a : 1 9 Y 9 2 M
. [ / \Ò , supposons que 1 9 Y] 9 2 [ 3^ |YM ‹ | Q |YJ ‹|
M
et montrons que 1 9 Y]# 9 2 c
1 9 Y] 9 2 ^ 1 9 Y] 9 2 [ [^ |Y] ‹ | Q |Y] ‹|
Car . / =1; 2; “ =0; ∞=, M
19 92
- 122 -
membre de ces [ 1 inégalités.

Faisons le produit membre à PROBLEME 23
r 1 1 p ; ©
PARTIE A
1. Š - q
]
7
|Y] ‹| Q O P |Y ‹|
M . / ,p 1 0
|Y ‹| a1 ln O P ‹a
˜
J
19‹92 2
dépend de
celui de
2 1 ln O P 9 Y ‹ 9 ln O P
˜ ˜
. / ; ∞; 2=, r7 90
Par conséquent :
J J
2 0,68 9 Y ‹ 9 0,32 9 0,68 . / ;2; ∞=, r 7
10
2 |Y ‹ | 9 0,68 Q 1
Sur ; ∞; 2=, r est décroissante
] ]
2 |Y] ‹| Q O P |Y ‹| Q O P e1
On en déduit que :
Sur ;2; ∞=, r est croissante

M M
% _ % Tableau de variation de Š
On en déduit que :
. _ / \Ò , |`_ •| Q O P
U
∞ 2 ∞
] r 7
Par ailleurs :
lim O P 0 car 0 9 9 1
∞ 1
0
] # M M
Alors la suite `_ r
converge vers • et on a : 1 p 5
`_ •
_ #
Š ∞
Calcul des limites
lim 1 ∞
lim p ∞
Car
Š %
#
lim p 0
#
lim p 0
Car
#
2. r décroît sur ; ∞; 2= et croît sur
;2; ∞= alors r 2 est le minimum
de r sur
. / ,r 4r 2
Par conséquent :
Or r 2 1 p 210
Alors . / , Š 10
1 p ;
PARTIE B
1. 7
r
. / , 7 10
Donc d’après PARTIE A :
Sur , r est croissante

On en déduit que :
- 123 -
∞ La tangente en A à ² a pour
2. Calcul des limites 5. Coordonnées de A
coefficient directeur 7 &

lim 1 ∞
a pour
lim p ∞
Car coefficient directeur 1
∞
7
1
On a donc :
&
# 2 1 p ' 0
lim 1 ∞
'
# 2 ' 1 car p ' 10
Car
lim p 0 >& 1 p
#
Donc Ö %; q %
6. A : > E
0 0 0
∞ ∞ Alors C : * - %
7
, A et ² ainsi que la
∞ tangente à ² en A
7. Tracer de
3. Sur , est continue car dérivable et

est strictement croissante
; ∞; ∞= et 0/ ; ∞; ∞=
Alors réalise une bijection de sur
( admet une
unique solution • dans
Donc l’équation
0 190
Vérification
f
1 p 10
On a : ( e % 9 0
Alors ( 9 ‹ 9 1
:> 1
lim = >; lim p 0
4.
# #
oblique à ² au voisinage de ∞
Alors la droite est une asymptote
Position de ± et Ï
> p
. / ,p 1 0
Alors le signe de > dépend
de celui de
. / ; ∞; 0=, >90
Par conséquent :
. / ;0; ∞=, >10
Sur; ∞; (=, ± est en dessous

On en déduit que :
de Ï
Sur ;(; ∞=, ± est au dessus
de Ï
- 124 -
8. u v @w xZ =
{
>; y 2 1 p5 Q 1 p5 Q 0
xZ = >; y xZ p y
{ {
. / =0 ; 1;, Æ77 Q0
Par conséquent :
@ @7 1 Sur =0 ; 1;, Æ7 est décroissante

f 7 ^f
On en déduit que :
| p | p Et . / =0 ; 1;, Æ7 1 Q Æ7 Q Æ7 0
xZ p y = p ;Z xZ p y
{ {
2 Q Æ7 Q
{ z
z#
8 M
2 xZ p y = 1 p ;Z{
{
Donc . / =( ; %;, ( Q È7 Q
%
U
2 xZ p y 1 v 1 p
{
YZ 0
{
4. f
@w 4ƒ„² Y]# Æ Y]
Donc … † U =% † % q †;
ˆ‰² a. YZ 0 / =0 ; 1;
lim vp {
0 . [ / \, supposons que Y] / =0 ; 1;
{ # et montrons que Y]# / =0 ; 1;
lim p {
0
{ #
… † U Y] / =0 ; 1; ^ Æ Y] / =0 ; 1;
En effet :
† # Car . / =0 ; 1;, Æ / =0 ; 1;
Alors
Or par définition Y]# Æ Y]

D’où Y]# / =0 ; 1; si Y] / =0 ; 1;
1. . / , 0
PARTIE C
2 1 p 0
. _ / \, `_ / =( ; %;
2 p p 0
2p p 1
. / =1; 2;, |Æ7 | Q ; ‹ / =0; 1; et
b. On sait que :
2
z'
M
z '# . [ / \, , Y] / =0; 1;
Alors . / , (2
q
q #%
moyenne on a . [ / \ :
2. Æ ; =0 ; 1;
z'
Ç
z '#
ax¤ ® Æ7 y a Q |Y] ‹ |
a. È7 10. / =( ; %;
q M
q #% -
^ É=Æ ;¤ É Q |Y]
®
‹|
M
Sur =0 ; 1;, Æ est croissante ^ |Æ Y] Æ ‹ | Q |Y] ‹ |
On en déduit que :
M
0 1 Or Æ ‹ ‹ d’après 1.) et
Y]# Æ Y]
Æ7
z D’où . _ / \,
|`_#% •| Q |`_ •|
%
Æ z#
U
c. Déduction
5
[ 0^ |Y ‹ | Q |YZ ‹ |
M
b. Déduction
[ 1^ |Y5 ‹ | Q |Y ‹|
. / =0 ; 1;, Æ /L ; N
D’après ce tableau de variation,
1 z M
2 z# [ 2^ |YJ ‹ | Q |Y5 ‹|
N “ =0 ; 1 ;
p
Or L5 ; M
p 1 c
D’où . / =( ; % ;, È / =( ; % ; [ [ 1 ^ |Y] ‹ | Q |Y] ‹|
M
3. È 77 q !% q- $
q #% U
. / =0 ; 1;, 10
z'
z '# Ð
0 Q 2 Q 2 2 1 Q p5 Q p5
- 125 -
]
|Y] ‹ | Q O P |YZ ‹|
On obtient après simplification : PROBLEME 24
p sin ;
PARTIE A
M
|YZ ‹ | | ‹ |
0Q‹Q1
. / , 1 Q sin Q 1 et p 1 0
1. On sait que :
2 1Q ‹Q0
D’où . / , on a :
2 |YZ ‹ | Q 1
] ] q Q Qq
2 |Y] ‹| Q O P |YZ ‹| Q O P e 1
M M
Donc . _ / \, | `_
% _
•| Q O P q q (
Déduction
U # #
( et la courbe
#
Alors
!Á $ admet une asymptote
]
Par ailleurs :
lim O P 0 car 0 9 9 1
horizontale d’équation * ( au
] # M M
Alors la suite `_ converge et
voisinage de ∞
`_ •
_ #
7
p cos sin
Ceci montre que la suite `_ Or cos sin
2.
converge vers •
√2 O 5 cos sin P
√5 √5
5
1 ¸ √2 Ocos M cos sin sin P
ê ê
d. D’après ce qui précède,
î ï Q 10 W ^ É Y¸ ‹É Q 10 W M
4 D’où . / , on a :
á
¸
Or O P Q 10 W 7
√-q çèé O P
U
M
2 º ln 4 Q 6 ln 10
3. . / L ; ßN , √2p 10
ê
2º4
J €• Z
5
€• 5
2 º 4 9,96 Alors le signe de 7
celui de cos O P
dépend de
ê
Donc É Y¸ ‹É Q 10 W . º 4 10 M
Par exemple, pour ¼ %(, `¼ est . /L
ê
; ßN ,
ê
/L
ê
;
Rê
N et
une valeur approchée à %( ‡ près
5 M M M
cos O P 02
ê ê ê
de • M M 5
2
ê
M
. /L ; N, 7 40
Par conséquent :
ê ê
5 M
. / L ; ßN , 7 Q0
ê
M
Sur L ; N , est croissante

On en déduit que :
ê ê
5 M
Sur L ; ßN , est décroissante
ê
M
ß
ê ê
5 M
7
0
√5
p
ß
4
5
p8
í
0
- 126 -
4. Tracer des courbes !k $, k et k5 Sur L
á
; áN, le point commun de
-
!Á $ et Á- est le point de
coordonnées O ; q - P
á á
-
6. . / , | | |p sin | Q p
Donc p Q 10 5 ^ | | Q 10 5
Or p Q 10 5 2 4 2 ln 10
D’où . 4 - l %( , | | Q %( -
On en déduit que : • - l %(
7
p cos sin
PARTIE B
77
2p cos
1.
J
2p cos sin
M
4p sin
4
On a donc :
M
0 2 sin 0
5.
2 ôß 2 M
a.
M
M
!Á $ et l’axe des abscisses sont

M
Sur , les points communs de 2.
2 • ‚
J 7
M
öá; ( , ö / (
les points de coordonnées
ž
% K
On en déduit que :
U
Sur L ; áN, les points communs 3. : xZ p sin y
á ê
-
de !Á $ et l’axe des abscisses
ê
: L p cos sin N
5 Z
Ž
q–á #%
(; ( et á; (
sont les points de coordonnées
-
p 2 sin 1
2 2ôß
ê
b.
5
:] x5]ê y
PARTIE C
5]# ê
!Á $ et Á% sont les points de 1. :Z xZ

ê
y :
Sur , les points communs de
O– -öá ; q- P,ö / ( :Z est l’aire en unité d’aire du

coordonnées
á á
-öá
-
!k $, l’axe des abscisses et les

Sur L ; áN, le point commun de

á
- 0 et ß
!Á $ et Á% est le point de
5]# ê
2. :] L p cos sin N
coordonnées O ; q P
á á 5
-
5]ê
:]
- z – 8®j& í #z –8®í
p 2 sin 1 5
2 2ôß
ê
Donc . _ / \, Ž_ q %
q–-_á
c.
á
5 -
!Á $ et Á- sont les points de

Sur , les points communs de
O -öá ; q P,ö / (
coordonnées
á á
-öá
-
-
- 127 -
3. :]# p 1
z –8 ®j& í ê PROBLEME 25
5
p 2 :]# p e :]
Ý®j&
r 1 p
5ê 5ê
PARTIE A
Ý®
²; ©
Alors la suite Ž_ _/\ est une suite 1. Š 7
q -
géométrique de raison q -á et de . / ,p 210
premier terme Ž(
q–á #% dépend de
-
4. 0 9 p ê
91
celui de
Alors la suite Ž_ . / ; ∞; 0=, r7 90

Par conséquent :
_/\
Ž_ ( . / ;0; ∞=, r 7
10
est
_ #
convergente et
Sur ; ∞; 0=, r est décroissante

On en déduit que :

∞ 0 ∞
r 7
∞ ∞
0
r
1
Š ∞
lim p 0
Car ) lim p 0
lim ² ∞
Š ∞
#
lim 1 ∞
#
Car ) lim p ∞
#
lim ∞
#
2. Sur =0; ∞=, r est continue car
²

croissante.
=0; ∞= sur = 1; ∞= et 0 / =0; ∞=

une solution • et une seule sur
l'intervalle =(; ∞=
rO P 0,57 9 0
H 5
r 1 110
On a : Š O P e Š % 9 0
%
-
Donc • est dans l'intervalle
Ž L ; %N
%
-
- 128 -
3. Signe de r
. / ;(; •=, Š 90
. / ;•; ∞=, Š 10
; =0; ∞=
PARTIE B
z'
z '#
1. . 4 0,
2 '
z'
z #
2 1 p ² 0
2r 0 1. décroît sur L ; 1N
PARTIE C
5
. / L ; 1N ,
2√p
Q Q
p
et Š ( sont équivalentes
Donc les équations
5 p 1 2√p 1
sur =(; ∞= 2 0,73 Q Q 0,76
D’après PARTIE A 2, ‹ est la seule 2 / =0,73; 0,76; “ L ; 1N
5
solution de l’équation r 0 sur
Donc . / L ; %N , / L ; %N
% %
=0; ∞= - -
Y
• est aussi la seule solution de 2. H 5
Par conséquent :
Y]# Y] , . [ 1 1
a. Y / L ; 1N
l’équation
5 5
. [ / \ , supposons que Y] / L ; 1N
2.
% q Ò
a. 7 5
- q #
. / =0; ∞=, p 1 0, p 10 5
et montrons que Y]# / L ; 1N
7 5
1
Y] / L ; 1N ^ Y] / L ; 1N
En effet :
celui de
5 5
. / =0; 1=, 7 90 Car . / L ; 1N , / L ; 1N
Par conséquent :
. / =1; ∞=, 10
7 5 5
Or par définition, Y]# Y]
b. lim lim D’où Y]# / L ; 1N si Y] / L ; 1N
# –'
# # z
5 5
% car q (
# #
. _ / \Ò , `_ / L ; %N
%
-
c. Tableau de variations de
0 1 ∞ 7 % q
q # -
b.
7
Q Q1
1 1
0
5
20Q1 Q et √p Q p Q p
5
20Q 1 p Q
z z
z# 5
d. Construction de k
Par ailleurs :
Qp Qp 1
5√z#
AZ : > 7
0 0 0 5
Alors C( : * %
8
2 Q p Q p 1
!5√z# $ 5 5
M
2 Q Q
M
C% : *
q 8
z# 8 z '# 8
!5√z# $
q %
0Q Q Q
D’où on a :
z' 5z 5z
8 8
z '# 8
!5√z# $ !5√z$
- 129 -
2 Q Q0
]
lim O P 0 car 0 9 9 1
7
5 e.
] # 5 5
/ Ž, | |Q Alors la suite `_ converge et
7 %
-
`_ •
Donc
/ :, | 7 |Q ;‹/: _ #
Ceci montre que `_ converge
5
c. On sait que
et . [ 1 1, Y] / L ; 1N vers •
5
]
a . [ 1 1, f. On sait que |Y] ‹| Q O P

D’après l’inégalité de la moyenne on
5
]
ax¤ ®–& 7 y a Q |Y] ‹| Donc O5P Q 10 ×
^ |Y] ‹| Q 10 ×
5 ]
^ É= ;¤®–& É Q |Y] ‹| Or O P Q 10 2[4
× × €• Z
5 5 €• 5
^ | Y] ‹ | Q |Y] ‹| 2 [ 4 23,25
Donc |Y] ‹ | Q 10 × . [ 4 24
5
Or ‹ ‹ d’après PARTIE B1et
Y] Y] A priori il suffit de calculer les 24
Donc . _ 1 1, premiers termes de la suite pour
|`_ •| Q |`_ % •|
%
• à 10 - 7 près
obtenir une valeur approchée de
-
|Y ‹| a ‹a
d. Démonstration par récurrence
5
Q‹Q1
5
2 QY ‹Q0
5
2 |Y ‹| Q O P
5
. [ 1 1, supposons que
]
|Y] ‹| Q O P
5
et montrons que
]
|Y] ‹ | Q O P
5
]
En effet :
|Y] ‹| Q O P
5
]
^ |Y] ‹| Q O P
5 5
Or |Y] ‹ | Q |Y] ‹ | d’où
5
]
|Y] ‹ | Q |Y] ‹| Q O P
5 5
]
D’où |Y] ‹ | Q O P si
5
]
|Y] ‹| Q O P
5
% _
. _ / \Ò , |`_ •| Q O P
- 130 -
b. ∆ : >
5
PROBLEME 26
lim = >; lim
€•
r ² 2 ln ; ;0; ∞=
PARTIE A
© # #
1. Š 7 - ² % = *; (
#
. / ;0; ∞=, 1 0 Alors la droite ∆ est une
Alors le signe de r7 asymptote oblique à la courbe Á
celui de ² 1 c. Position de Á par rapport à ∆
dépend de
² 1 02 I1 et >
#€•
1 * ;0; ∞= . / ;0; ∞=, 1 0

> dépend
. / ;0; 1=, r7 90 de celui de 1 ln
Par conséquent : Alors le signe de
. / ;1; ∞=, r 7
10
1 ln 1 0 2 1
z
Sur ;0; 1=, r est décroissante
On en déduit que :
Sur ;1; ∞=, r est croissante . / N0; L , >90

Par conséquent :
2. r croît sur ;0; 1= et décroît sur

z
. /N ; ∞L , >10
;1; ∞= z
Alors r 1 est le minimum de r sur
;0; ∞= Sur N(; L , Á est en dessous
On en déduit que :
%
q
de ∆
. / ;0; ∞=, r 4r 1
Par conséquent :
Sur N ; ∞L , Á est au dessus
%
Or r 1 110 q
D’où . / ;(; ∞=, Š 10 de ∆
k ∆ 2 >
2
z
; ;0; ∞=
#€•
PARTIE B
5 Et > OP
z 5z
1. limj limj 1 ln
Donc Ö O ; P
% %
Z Z 5
∞
q -q
3. . / ;0; ∞= , 7 ² 5 €•
(j
limj 0
5 ²
o
Alors . / ;(; ∞= ,
Š
¿ Z 5 7
limj ∞
- -
n Z . / ;0; ∞=, 2 ² 1 0 et d’après

Car
¿ limj ln ∞ PARTIE A, r 1 0 donc
m Z
Interprétation graphique . / ;0; ∞=, 7
10

On en déduit que :
asymptote à la courbe k
L’axe des ordonnées est une
lim lim
€• 0 ∞
2.
# # 5 7
a.
∞
# ∞
o lim ∞
¿
# 5
∞
lim 0
n #
Car
¿ lim €• 0
m #
- 131 -
4. La tangente A en B a pour
coefficient directeur 7 +
PARTIE C
p ;[ / \
®–8
8
]
∆ a pour coefficient directeur
5
A // ∆ 2
1.
p
®–&
7
+ 5
a. ]# 8
p √p
&
2
8 5 €• ®j&
, , 8
5 ,8 5 ®
2 ln + 0 On a _#% _ √q
2 + 1 et >+ 1
J
Alors _ est une suite
géométrique de raison √q et de
5
Donc - O%; P
K
%
- premier terme (
5. Sur ;0; ∞=, est continue car q
dérivable et est strictement b. √p 1 1 alors la suite ] est
2. w] 4 x ®j& O Py ; [ / \
croissante. croissante
5
;0; ∞= sur ; ∞; ∞= et
®
0 / ; ∞; ∞=. w] est l’aire en ƒ„² du domaine plan

a. Interprétation graphique
( a une délimité par la courbe k , l’axe des

solution unique • / ;(; ∞=
Donc l'équation
abscisses et les droites d’équations
r 0,34 0,06 9 0
] et ]#
Justification de l’encadrement
f
®–&
b. w] 4 x ®–8 O Py
z 8 €•
r 0,35 0,03 1 0
z 8
On a Š (, KU e Š (, KX 9 0 z 8
®–&
Donc (, KU 9 • 9 0,35 w] 4 Lln ln 5

N ®–8
6. Traçons k et les droites ∆ et A

5 z 8
5 ] 5 5
w] 4 Êî O P ï î O P ïË
] ] ] 5
5 5 5 5 5 5
w] 4O P
5]#
˜
-_#%
Donc _ -
w]# w] 1
On en déduit que :
On a _#% _ %
Alors _ est une suite
arithmétique de raison % et de
%
premier terme (
-
- 132 -
5
lim lim O P
€•
5
; ;0; ∞=
PROBLEME 27
€• ®
# #
]
( car (
l
-
²
# #
€•
PARTIE A
limj limj e ln
²
L’axe des ordonnées et l’axe des
Z Z
∞ k5
² abscisses sont des asymptotes à
%
5. . / ;(; ∞=, - 7
(j - l % l
limj ∞ K
Z ;
. / 0; ∞ , 1 0= J
limj ln ∞
²
Alors le signe de 5 7
Car
Z
lim lim
€•
celui de ln 1 ln
dépend de
# #
ln 1 0 2 1 1
( 1 ln 1 0 2 9 p
²
%
#
. / ;0; 1=, 5 7 90
On en déduit que : Par conséquent :
;
. / 1; p , 5= 7
10
L’axe des ordonnées et l’axe des
k . / ; p; ∞=, 5 7 90
abscisses sont des asymptotes à
2. . / ;(; ∞=, % 7
% - l
Sur ;0; 1=, 5 est décroissante

K
On en déduit que :
;
. / 0; ∞ , 1 0= J
Sur ;1; p=, 5 est croissante
Alors le signe de 7
Sur ; p; ∞=, 5 est décroissante
celui de 1 2 ln
dépend de
1 2 ln 1 0 2 9 √p
Tableau de variations de 5
0 1 p ∞
. / ‚0; √p•, 7 10
Par conséquent :
7
5
. / ‚√p; ∞•, 7
90
0 0
∞
z²
5
Sur ‚0; √p•, est croissante
On en déduit que :
0
Sur ‚√p; ∞•, est décroissante
0
Tableau de variation de % PARTIE B

l % l
% -
√p ∞
-
0 . / ;0; ∞=, 5 1 0
1.
7
5
dépend de celui de ln 1 ln
0 Alors le signe de
5z
. / ;0; 1=, 90
D’après PARTIE A5, on a :
∞ 5
. / ;1; p=, 5 10
0
;
. / p; ∞ , = 90
3. A : > 1 1 1
7 5
Alors C% : * % Sur ;(; %=,

On en déduit que :
€•
Á% est en dessous de Á-
8
5
Sur ;%; q=,
4.
limj limj e ln 5
Á% est au dessus de Á-
²
5
Z Z
∞ Sur ; q; ∞=,
²
-
(j
limj ∞
Z
limj ln 5
∞
²
Car
Z
- 133 -
2. Tracer de k et k5 3. :5 2:
z
D’où Ž- -
X
q
u @w e x ! $y
z
5
u @w e : :5
D’après la linéarité :
@w 20ƒ„²
… -( O % P ˆ‰²
K
q
PARTIE D
: : 1 1 O1 P
1. Démonstration par récurrence
5
! z z !
. [ / \Ò , supposons que
:] 1 O1 â P et
]! z ! 5! ]!
:]#
]# !
montrons que
1 O1 â P
z ! 5! ]! ]# !
On sait que : :]# [ 1 :]
:] x ] d ;[ / \
z
PARTIE C
z
1. š
#€•
:] 1 O1 â P
Par conséquent :
!
ž 7 l ]! z 5! ]!
² ^ :] [! L1 O1 â PN
z ! 5! ]!
^ [ 1 :] [ 1 [! L1
: x d x ² d
z z €•
Déduction
O1 â PN
z ! 5! ]!
³š ^ [ 1 :] [ 1 !
D’après 1),
z z
³
€•
est une primitive de
² L1 O1 â PN
d
!
On a donc : x š
z 7 z 5! ]!
z ^ :]# [ 1 ! L1
: L N
#€• z
O1 â PN
z ! 5! ]!
Ž% %
-
q ^ : e
]# ! ]# z ]# !
2. :]# x d
z €• ®j&
1 O1 â P
z ! 5! ]!
^ :
²
@ ln ]# ]# ! ]#
H ^ 1 O1 â P
|7 z ! 5! ]! ]# !
@7 [ 1
€• : 1 O1 â P
®
²
]! ] !
}
z 5! ]!
si
|
On conclut donc que : . _ / \Ò ,
®j& z
:]# L N Ž_ % O% â P
€• % % % % %
_! q %! -! _!
[ 1 x d
z €• ®
Alors Ž_#% _ % Ž_
%
²
- 134 -
2. . / =1; p;, 0 Q ln Q 1
2 0 Q ln ] Q 1
PROBLEME 28
20Q Q : >7 > 1

PARTIE A
€• ®
² ²
1. Calcul de x › 1 p œ y›
20Qx y Qx y
z €• ® z
² ²
@ › › 1 @7 › 1
z
Or x y L N 1
z
f 7 ^ f
| › p | › pœ
² z œ
D’où 0 Q :] Q 1 Q1 x › 1 p œ y›
z
= › 1 pœ; x p œ y›
. _ / \Ò , ( Q Ž_ Q %
x › 1 p œ y› = › 2 p œ ;
3. 0 Q :] Q 1
2 0 Q :] Q x% Ÿ % qŸ Ÿ - q q
]! ]!
20Q1 O1 â P Q ]!
p 2 p et
2.
z ! 5! ]!
2p Q1 â Qp
z 7 7
p p
a.
]! ! 5! ]!
On a lim p p car lim 0
z z
]! ]!
Supposons que est solution
] # ] #
. / , 7 1
de , on a :
O% â P q ^
On en déduit que :
% % %
%! -! _!
7
p p p 1
^ p 1
_ # 7
^ E 1p
Alors : . / , 7 % q si
est solution de
Supposons que . / ,
Réciproquement
7
1 p ,
= p ;7 1 p
^ 7 p p 1p
On a :
^ 7
1
. / , 7
% q
Alors est solution de si
En conclusion :
est solution de si, et
7
% q
seulement si, pour tout de ,
7
1 p
b. D’après 1),
2 x › 1 p œ y› ¬, ¬ /
Donc . / , on a :
- q q -, - /
p
3.
a.
- q% -q , - /
On en déduit que :
- 135 -
2 p ¬p > p 10. /
1 0
b. et b.
^ ¬p 0 , !Á $ est au dessus de Ï
On en déduit que :
^¬ 0
et !k $
Sur
Donc . / , - q%
3. Tracer de
2 p ;
PARTIE B
7
% q%
1.
1 p 102 11
a.
. / ; ∞; 1=, 7 90
Par conséquent :
. / ;1; ∞=, 7
10
Sur ; ∞; 1=, est décroissante

On en déduit que :

b. lim
lim p p 2p p
∞
lim p ∞
Car ) lim∞ p 0
∞
lim p 0
PARTIE C
Soit Z un nombre réel strictement
∞
∞
1. ¶ xZ > y xZ p y
#
positif.
lim 2 ∞
Ù Ù
#
¶ = p ;Z Ù
lim p 0
¾% q q% (
Car
#
Tableau de variations de 2. r p ; ©
a. Š 7
q% 9 ( . /
∞ ∞
7
1
Sur , r est décroissante
On en déduit que :
∞ ∞
0
∞ ∞
r 7
0
∞
r
a. > 2 0
2.
lim = >; lim p · p 0

# #
Alors la droite Ï , d’équation
* -, est une asymptote
oblique à la courbe !Á $ au
voisinage de ∞
- 136 -
Traçons !k© $ PROBLEME 29
1. r 2 1 ln 1 ;
PARTIE A
© ;1; ∞=
a. lim r
limj2 1 ln 1
Posons ¡ 1
1 ,¡
#
0# et
lim 2¡ 2 ¡ ln ¡ 2
Si
¢ Zj
limj2¡ 2 2
Car ¢ Z
limj¡ ln ¡ 0
¢ Z
Š -
%
Alors
b. . / ;%; ∞=,
Š7 % l %
b. ¶ xZ p
Ù
y xZ r
Ù
y c. 1 ln 1 102 9p 1
¾;%; # = ;%; q %=
¶ est donc l’aire en unité d’aire du d. . / ;1; p 1=, r7 10
Interprétation géométrique
. / ;p 1; ∞=, r 7
90
courbe !k© $, l’axe des abscisses et
domaine plan limité par la
0 et Sur ;1; p 1=, r est croissante

On en déduit que :
Sur ;p 1; ∞=, r est décroissante

Z
3. ' Z ; 0 ; 3! Z ; r Z $ e. Sur =p 1; p J 1;, r est continue
A : > r7 Z Z r Z
Coordonnées du point ²
car dérivable et est strictement
r7 Z r Z 0 r p 1 e r pJ 1 pM 9 0
décroissante puis on a :
Z
2
© Ù
1 Alors l’équation Š ( a une
Z Þ © Ù
Z
solution unique, notée • dans
Donc ± % (; ( l’intervalle =q %; qK %;
4. ui4p '3²
&+e&5 © Ù e
5 5
Car '3² est un triangle rectangle en ' Signe de Š
. / ;%; •=, Š 10
:
…6 q Ö-±
q%– (
- ;
. / •; ∞ , Š= 9(
2. ñ ; ;1; ∞=
€• ²
ò
a. lim ñ limj
€• ²
¶ 2¶5 p p 2e
Vérification
z &–'Ù
Ù
Posons ¡ ² 1
5
Donc on a bien : ¾% -¾- q
1# , ¡ 0# et
limj ∞
€• ¢
Si
¢ Z √¢#
lim ln ¡ ∞
¢ Zj
limj√¡ 1 1
Car
¢ Z
ó ∞
%
Alors
- 137 -
lim ñ 7
q ó7 q
. / ;0; ∞=, p 1 0
#
b.
&
€• ²#€•O P
lim '²
Alors le signe de 7
celui de ó q
# 7
dépend de
lim 2 e ln O1 P
€•
# ² . / ‚0; ln!√‹$•, p / ‚1; √‹•
ó ( . / ‚ln!√‹$; ∞•, p / ‚√‹; ∞•
#
o lim 0
€•
¿ # . / ‚0; ln!√‹$•, 7 10
Par conséquent :
lim 0 . / ‚ln!√‹$; ∞•, 7

90
n #
Car
¿ lim 0
m Sur ‚0; ln!√‹$•, est croissante
On en déduit que :
#
8'²
²
Sur ‚ln!√‹$; ∞•, est décroissante

€• ²
b. ñ 7 '²–&
²
2ñ 7 5 ² ² €• ²
² ² Et comme croît sur ‚(; l!√•$•
et décroît sur ‚ l!√•$; ∞• , alors
. / ;%; ∞=, ó7
On a donc :
Š ²
² ² % admet un maximum en l!√•$
. / ;0; ∞=, Q !ln!√‹$$

3. Par suite, on a :
² ² 1 10
Et comme
2 Q
€• ¤
Alors ó7 √¤
que Š ² Or r ‹ 0 2 ln ‹ 1
5¤
est du même signe
¤
c. . / ‚1; √‹•, ² / ;1; ‹=
D’où . / ;(; ∞= , Q
-√•
. / ‚√‹; ∞•, ² / ;‹; ∞= • %
. / ‚1; √‹•, ñ7 10
Par conséquent :
. / ‚√‹; ∞•, ñ 7
90
Sur ‚1; √‹•, ñ est croissante

On en déduit que :
Sur ‚√‹; ∞•, ñ est décroissante
;0; ∞=
PARTIE B
;
€•!z 8' $
z'
1. . / ;0; ∞=, p / ;1; ∞= et
ñ p
€•! z ' 8 $ €•!z 8' $
z' z'
Donc . / ;(; ∞=, ó q
a. Posons ¡ p
2. Déduction des limites
0, ¡ 1 et lim ñ ¡ ∞
¢
Si
∞
(
Alors
∞, ¡ ∞ et
lim ñ ¡ 0
Si
¢ #
(
#
Alors
- 138 -
4. Représentation graphique de !k $ 2. Æ
z' z'
z' z '#
Tableau de variations de a. Une primitive de Æ sur ;0; ∞= est
ln!√‹$ ∞ l q % l q %
par exemple la fonction définie par :
0
7
lO P
0 q %
5√¤ q #%
Soit
¤
Æ
b. Déduction
7 z' z'
z' z '#
∞ 2 Æ 7
On en déduit qu’une primitive š de

0
‹ S 10 et ‹ S 0,70 sur ;0; ∞= est par exemple la

0 2 ln p 5 1 0
2p 2 ž
fonction définie par :
5
2 ln 2 ln!√2$ Soit ž lO P
q % l!q- %$
5 q #% q
!k $ coupe l’axe des abscisses au
3. u @w e x€•!√5$ y
€•!√¤$
point de coordonnées !ln!√2$ ; 0$

x€•!√5$ y =š ;
€•!√¤$ €•!√¤$
€•!√5$
x€•!√5$ y
€•!√¤$
ln 3 ln O P
5√¤ √¤
¤ √¤#
… L lK lO PN ø
-√• √• %
• % √•#%
7
PARTIE C
1.
p e
5z 8' !z 8' $ €•!z 8' $ €•!z 8' $
z 8' z 8' z'
7 5z '
z 8'
Or
z' z' z 8' #z ' z 8' #z ' 5z '
z' z '# z 8' z 8'
q q
D’où 7
q % q #%
Ce qui montre bien que est
différentielle : *7 *
solution de l’équation
q q
q % q #%
- 139 -
ln 1 Q ln
PROBLEME 30 Par ailleurs :
r ln 1; ;0; ∞= 2r ln Q 0
PARTIE A
©
2 1 ln 1 Q0
Š %
(
Tableau de signe
lim ln 0
Car H Z p ∞
lim 1 1 1
0 1
Z
ln 1
0
lim r lim Oln 1 P
r ln
0
# #
Š ∞
0 0
#
lim ∞
o #
. / =%; q;, l %Q l
D’après le tableau de signe, on a :
lim ln ∞
n
#
a. Ô x 1 ln y
z
lim 0
Car 4.
m #
2. Š7 l
. / ;0; ∞=, ln 1 0 2 1 1 @7
@ ln
2
|7 1 | ²
. / ;0; 1=, r7 90
Par conséquent :
5
z
. / ;1; ∞=, r 10 Ô LO ² P ln N x O5 1P y
7 z
5
z
Sur ;0; 1=, r est décroissante Ô LO ² P ln ² N
On en déduit que :
5 M
Õ
q- K
Tableau de variation de Š U
b. ui4p ∆ @w e x !ln r $y
z
1 ∞ car sur =1; p;, k est en dessous de

r7 k′
0
∞
0
x !ln r $y
1 z
x 1 ln 1 y
z
r
x 1 ln y x 1 y
z z
0
z
Ô L 1 5N
z² Mz#R
5 M
D’après ce tableau de variation, r @w 4 ƒ„²
Déduction
Donc …6 q ∆ q² Uq X ˆ‰²
r 1 0
atteint son minimum en 1 et
. / ;(; ∞=, Š 4(
Par conséquent :
3. k k′ 2 r ln
2 ln 1 ln 0
2 1 ln 1 0
2 1 ou ln 1
2 1 ou p
Alors Á et Á′ ont deux points
respectives % et q
communs d’abscisses
- 140 -
Montrons que K, X 9 • 9 3,6
ln ; ;1 ; ∞= ;3,5; 3,6= ;0,492; 0,501= et
PARTIE B
/ ;0,492; 0,501=
lim lim e
€•
5
# #
Alors on a : K, X 9 • 9 3,6
1.
(
# 2. Æ ln ; Ç ;1; ∞=
lim 1
5 5
Car }
# 2 ln
5 5
lim 0
€•
a.
# 2 ln 0
5 5
% 2 ln 0
l
% % % 5 5
2 ln
'–& 5 5
€•
2 È
7 ' €• %
8 8 -
2. Donc
7 Š
% -
. / ;1; ∞=, 1 10 5
‹ étant solution de l’équation
Déduction
Alors le signe de 7 alors ‹ est aussi solution

celui de r 5
dépend de
de l’équation Æ car ces deux
. / ;1; ∞=, 7 Q0
Par conséquent :
b. È7 1 ( . / ;%; ∞=
% %
équations sont équivalentes
-
On en déduit que :
Sur ;1; ∞=, Æ est croissante

On en déduit que :
c. : =3; 4;
∞ Æ =3; 4; =3,09; 3,88; et

7 =3,09; 3,88; “ =3; 4;
1
1 Donc . / Ž, È /Ž
3Q Q4
D’autres parts :
0 2 Q Q
M J
2 Q Q
J R
3. Tracer de la courbe !k $ M 5 W
2 QÆ Q
J 7 R
M W
2 Q |Æ7 |Q
J R
M W
. / Ž, |È7 | Q
X
Donc on a aussi :
‡
3. YZ 3 et pour tout [ 4 0,
Y]# Æ Y]
1. Sur ;1; ∞=, est continue car
PARTIE C
. / =3; 4;, |Æ7 | Q
R
a. On sait que :
dérivable et est strictement W
moyenne on a . [ / \ :
décroissante. D’où d’après l’inégalité de la
;1; ∞= sur ;0; 1= et / ;0; 1=. ax¤ ® Æ7 y a Q |Y] ‹ |

R
5 W
%
^ É=Æ ;¤® É Q |Y] ‹|
R
- W
une unique solution notée •
Donc l’équation admet
- 141 -
^ |Æ Y] Æ ‹ | Q |Y] ‹ |
R
W
PROBLEME 31
Or Æ ‹ ‹ d’après 1.) et
ln 1 et r ;
5
PARTIE A
Y]# Æ Y] #5
D’où . _ / \, © =0; ∞=
|`_#% •| Q |`_ •|
X
1 0 . / =0; ∞=
‡
1. Variations de
7
#
[ 0^ |Y ‹ | Q |YZ ‹ |
R
b. En partant de cette inégalité on a :
Sur =0; ∞=, est croissante

On en déduit que :
W
[ 1^ |Y5 ‹ | Q |Y ‹|
R
W
[ 2^ |YJ ‹ | Q |Y5 ‹|
R
W
∞
c 7
0
[ [ 1 ^ |Y] ‹ | Q |Y] ‹|
R
W ∞

R ]
|Y] ‹ | Q O P |YZ ‹ |
On obtient après simplification : 0
W
Variations de Š
|YZ ‹ | |3 ‹|
r7 10. / =0; ∞=
M
3Q‹Q4 #5
8
2 4Q ‹Q 3
2 1 Q YZ ‹ Q 0 Sur =0; ∞=, r est croissante
On en déduit que :
2 |YZ ‹ | Q 1 Tableau de variation de Š

R ] R ]
2 |Y] ‹| Q OWP |YZ ‹| Q OWP e 1
∞
X _
Donc . _ / \, | `_ •| Q O P r 7
0
‡
R ] 2
c. . [ / \, | Y] ‹ | Q O P et
W
lim O P
R ]
0 car 0 9 9 1
R r
] # W W
Alors la suite `_ converge
0
`_ • 2. Æ r ; Ç =0; ∞=
_ #
et on a :
R ¸ a. È7 4(
% U ²
4. On sait que É Y¸ ‹É Q O P donc #% #- - #% #- -
W
R ¸ . / =0; ∞=
O P Q 10 J
^ É Y¸ ‹É Q 10 J
W
Or O P Q 10
R ¸
Sur =0; ∞=, Æ est croissante
On en déduit que :
J
W
b. Æ 0 0
2 º ln O P Q 3 ln 10
W
R c. Æ étant croissante sur =0; ∞= et
2º4
J €• Z Æ 0 0 alors
. / =0; ∞=, Æ 40
7
€•O P
8
2 º 4 37,88 2 ln 1
5
40
On a donc É Y¸ ‹É Q 10 J . º 4 38 #5
`¼ est une valeur approchée de •

% Q l % . / =(; ∞=
-
D’où l’inégalité :
à %( K près pour ¼ K™ par #-
Sur =0; ∞=, la courbe k est en

exemple. d. Interprétation graphique
dessous de la courbe Γ
- 142 -
= ;Z
3. Traçons k et Γ On a : : 1 ln 1
7
0 r7 0 1 et 0 r 0 0 Donc Ž - l - %
Alors à l’origine Û du repère, les Ô xZ ln 1 y

4. Déduction
courbes Á et ) admettent une

même tangente 9 d’équation : Ô xZ y xZ ln 1 y
9 :* Ô L :
5 Z
²N
On en déduit que : Õ - l-
¬ xZ O ln 1 Py
D’autres parts :
5
#5
¬ xZ y xZ ln 1 y
5
#5
2
5 M
#5 #5
On a : ¬ =2 4 ln 2 ;Z :
En remarquant que :
On en déduit que : - K lO P
U
™%
5. Interprétation géométrique de Õ et -
1. ñ ln 1 ; ò =0; ∞=
PARTIE B
Õ est l’aire en unité d’aire du
ó 7
Q ( . / =(; ∞=
#%
courbe Á , la tangente 9 et les
domaine plan délimité par la
Sur =0; ∞=, ñ est décroissante

On en déduit que :
2. ñ ln ln O1 P ; 10 ( et %
droites d’équations :
lim ñ
# - est l’aire en unité d’aire du
lim O ln O1 P 1P
€•
courbes Á et ) et les droites

#
domaine plan délimité par les
ó ∞
# ( et %
lim ∞
o
d’équations :
¿
#
lim 0
€•
1. @ 0 1 et si £ 0, @ ;
PARTIE C
€• #
n #
Car
¿ lim 0
m # ¥ =0; 1;
ó ( ( Continuité sur ;(; %;
La fonction ³ ln 1
ñ étant décroissante sur =0; ∞= et continue sur ; 1; ∞= donc
Déduction est
ñ 0 0 continue sur ;0; 1;

Alors . / =0; ∞=, ñ Q0 La fonction ³ est continue sur
Ò
donc continue sur ;0; 1;
- l % Q . / =(; ∞=
On en déduit l’inégalité :
3. : xZ ln 1 y La fonction ³
€• #
On en déduit que :
sur ;0; 1; comme produit de deux

est continue
@ ln 1 @7 fonctions continues sur ;0; 1;

H ^ H #
|7 1 |
: = ln 1 ;Z xZ y
#
1
# #
En remarquant que
- 143 -
Etudions la continuité de ø en 0
lim @ lim 1
PROBLEME 32
€• #
ln!√1 1$ ; ;0; ∞=
PARTIE A
Z Z
lim @ @ 0
Z
Alors @ est continue en 0 ∞
La fonction ø étant continue sur (
;(; %; et continue en (, alors elle lim √1 1 0#

Z
est continue sur =(; %; limj ln ¡ ∞
Car
2. On pose : :
¢ Z
xZ @ y ∞
1 Q ln 1
5 #
#5 lim √1 1 ∞
2 ln 1 Q #
lim ln ¡ ∞
Car
¢ #
Q ln 1 Q ; 40
5
De ces deux inégalités on a :
#5
2. Dérivée
√%# #%
2 Q Q1. £0
5 €• # 7
#5 - √%#
2 xZ
5
y Q xZ
€• #
y Q xZ y . / ;0; ∞=, 2 1 0 et √1 10
#5 ;
Alors . / 0; ∞ , = 7
10
x( #- Q;Q%
% -
Donc on a bien :
On en déduit que :
=2 ln 2 ;Z Q : Q 1
Déduction Tableau de variation de
∞
7
0
- lO P Q ; Q %
K
- ∞
3. Ordonnée de Ö
& 3 alors >& 3 0
Donc Ö K; (
Coordonnées de -, § et
et >+ OP ln 2
R R
+ M M
Donc - O ; l -P
X
U
et > 0
R
+ M
Donc § O ; (P
X
U
< 0 et >< >+ ln 2
Donc (; l-
- 144 -
>7 1 0
Tracer de k
^H 5
!p 1$ 1 >7
Þ
> 10
7
^H
>7 p 5 2p
Þ Þ
7
/
^f
©
> r 7 7
Car p 5 2p 10. 7 /
Þ Þ
Alors le point ?7 image de ? par

appartient à la courbe ) si ?
appartient à la courbe Á
b. Tracer de Γ
(Voir figure)
€• 5
PARTIE C
1. xZ r y L p 2p N
€• 5 5
5 Z
xZ r y
€• 5
˜
a. Le domaine ∆ a même aire que le

2.
Soit 4 la rotation de centre = et domaine plan ∆E délimité par les
PARTIE B
d’angle ; 4 þ þ7 segments ='E=;, == E; et = E3E; et

ê
5
1. 4 þ þ7 2 7 p > 8
í
l'arc de courbe Γ d'extrémités 3E
a. 7 i et 'E
b. 7 i> 7 i i> > i
… ø x( Š
l-
On a donc :
7
* *7 Soit … eø
On en déduit que :
%%
f 7 et par suite f
* * 7 ™
b. : x8 ln!√1 1$y x8 y
J J
Si þ ; > alors son image

Ð Ð
ui4p = 3¦
c. D’après ce qui précède :
u x8 y
J
þ7 >; Ð
Car sur L ; 3N, la courbe k est en

R
M
Ö (; K ; -7 O l - ; P ; §7 O(; P
Par conséquent :
7 X X
u = e =¦ :
U U
2. r p 2p ; ©
dessous de l’axe des abscisses
5
… l- Ž
X
a. þ ;> / k
/
U
^f
> :
R
ln 2 u
Déduction
>7 1 0 M
^f 7 Donc on a : Ž
%( l - %%
>7 ™
>7 1 0
^H 7
ln!61 > 7 1$
>7 1 0
^H Þ
p 61 > 7 1
>7 1 0
^ H
p 1 61 > 7
Þ
- 145 -
limj ∞
Car }
Z
PROBLEME 33
Æ p 2p 2; Ç =0; ∞= limj 1
z'
PARTIE A
Z
lim lim
z'
È7 % q
1. Dérivée
# # ²
. / =0; ∞=, p 1 0 ∞
²
#
Alors le signe de Æ7
lim 0
1
dépend de
Car }
8
#
1102 11 limj ∞
celui de
z'
8
Z
. / =0; 1=, Æ7 90
8 z ' 5 z ' #5
7
Par conséquent :
. / ;1; ∞=, Æ
Ð
10 / ;(; ∞= ,
2.
Donc .
7
7 q -q #-
Sur =0; 1=, Æ est décroissante
On en déduit que :
K
Sur ;1; ∞=, Æ est croissante

Déduction
7 ©
Ñ
. / ;0; ∞=, J 1 0
0 1 ∞ Alors le signe de 7
Æ 7
celui de r
dépend de
∞
0
Æ . / =0; w=, 7 90
0 Par conséquent :
. / ;w; ∞=, 7
10
2 p
Sur =0; w=, est décroissante
On en déduit que :
2. Æ O P O4 p 8P Sur ;w; ∞=, est croissante

J Ñ
5 5
Sur : L ; 2N , Æ est continue car
J Tableau de variations de
5
dérivable et est strictement 0 w ∞
7
ÆO PeÆ 2 ∞ ∞
croissante puis on a :
4 p8 9 0
J Ñ
0
5
une unique solution dans L ; -N
K
- w
C’est-à-dire qu’il existe un unique
w
z@
Ž L ; -N tel que È (
réel appartenant à l’intervalle
K 3.
Or Æ w 02p
- 5
²
. / =(; =, È
8
90 w
3. On déduit de ce qui précède que :
@–8
. / ; ; ∞= , È 10
D’où
%
²
-
On a donc :
; ;0; ∞= w / L ; 2N donc w 1 0 et w 290

PARTIE B
z'
Déduction
J
5
1. lim limj e
z'
1(
²
Z Z
On en déduit que :
∞
(
- 146 -
4. Tracer de k Or r w w d’après 1.) et par
définition r ] ]#
D’où . _ / \, | |Q | |
%
_#% - _
Par ailleurs :
[ 0^ | w| Q | Z w|
5
[ 1^ | 5 w| Q | w|
5
[ 2^ | J w| Q | 5 w|
5
c
[ [ 1 ^ | ] w| Q | ] w|
5

]
| w| Q O P | w|
1. . / =0; ∞=, Æ 0
PARTIE C
] 5 Z
2 2p 2 p | Z w| a
J
wa
2 2p 1 p p 5
QwQ2
J
22 1 p 5
Car . / =0; ∞=, p £ 0 2 2Q wQ
J
Alors . / =(; ∞=, È (

5
2 Q wQ0
équivaut à - % q 5 Z
2| w| Q Q 1
2. r 2 1 p ; L ; 2N
J Z
© 5
5 ] ]
r7 2p 2| ] w| Q O P | Z w| Q O P e 1
5 5
Q Q2 Donc . _ / \, | |Q
J %
5 _ -_
2 2p 5 Q 2p Q 2p b. . [ / \, | w| Q
Ñ
8
]
2 0,27 Q r7 Q 0,45
5®
et
lim 0 car 0 9 9 1
2 0,27 Q |r7 | Q 0,45 Q 0,5 ] # 5® 5
Donc . / L ; -N , |Š7 |Q
K % Alors la suite _ converge et
- - _
J _ #
on a :
3. H Z 5 c. On sait que É wÉ Q
r ]
¸ 5»
donc
Q 10 ^É wÉ Q 10
]# J J
On admet que, pour tout entier [, ] 5» ¸
appartient à : Or » Q 10 J
5
2 º ln 2 Q 3 ln 10
. / L ; 2N , |r7 | Q
a. On sait que :
J
2º4
J €• Z
5 5
€• 5
‹ / L ; 2N et . [ / \, ] / L ; 2N 2 º 4 9,96
J J
5 5
moyenne on a . [ / \ : É ¼ É Q %( K . ¼ 4 %(
D’où d’après l’inégalité de la On a donc :
Éx ® r7 y É Q | ] w| ¼ est une valeur approchée de

à %( K près pour ¼ %( par
5
^ É=r ; ®É Q | ] w|
5
^ |r r w |Q | w|
exemple
] 5 ]
- 147 -
3. Construction de la courbe Γ de
02 3
PROBLEME 34
3 p 8; Alors ) coupe l’axe des

PARTIE A
'
coordonnées K; (
abscisses au point de
∞
lim 3 ∞
Car }
lim p ∞
'
8
(
#
lim p 0
'
8
Car } #
lim p 0
'
8
#
2. Dérivée
7
% q -
4. : x J p 8 y
Z '
. / ,p 1 0
'
8
Alors le signe de 7
1. @ @7 1
dépend de Intégration par parties
H 7 ' ^ H
1102 9 1 | p 8 | 2p
'
celui de
8
' Z
: L 2 p N 2x Jp y
Z '
. / ; ∞; 1=, 7 10
Par conséquent :
8 8
J
;
. / 1; ∞ , = 7
90 ' Z
: L 2 2 p 8N
J
On en déduit que :
Ž U -q -
K
Sur ; 1; ∞=, est décroissante
u @w e x J y
Z
Déduction
∞ 1 ∞ xJ y xJ p y
Z Z '
8
7
3x Jp y
Z '
2 √p
0
8
' Z
x y : 3 L 2p N
Z
8
J J
∞ xJ y 4p 10
Z Ñ
0 8
… OUq %(P e ø
K
-
5.
> 3 coupe Γ au point d’abscisse

a. Graphiquement, la droite d’équation
0 et en un deuxième point dont

l’abscisse ‹ / ; 2; 1=
K admet
deux solutions dans qui sont (
Alors l'équation
et •
- 148 -
Montrons que - 9 • 9 29‹9 2 Q Q
K J ¤#J J
- 5 5 5 M
2 p
Or
D’où 0,5 Q 0,55 Q r Q Q
7 ¤#J J
A 5 M
O P p S 3,17
J J
Ð
5 5
Comme K / ;q; K, % = appartenant à Ž, Q Š7 Q
% K
On conclut donc que : pour tout
- U
Alors on a bien : - 9 • 9 c. On en déduit que : . / = 2; ‹;,
K
-
x 5 y› Q x r7 › y› Q x M y›
¤ ¤ ¤J
b. Discussion suivant les valeurs de „
2 =› ;¤ Q =r › ;¤ Q =› ;¤
J
„
du nombre de solution de l’équation
5 M
2 ‹ Q r ‹ r QM ‹
J
Si ‰ / ; ∞; (;, il y a une solution 5
Si ‰ / ‚(; -√q•, il y a deux solutions Or 2 Q Q ‹ d’où ‹ 40
Si ‰ -√q, il y a une solution
Si ‰ / ‚-√q; ∞•, il n’y a pas de l’intervalle Ž,
On a donc pour tout de
(Q- • Q Š • Š QU •
% K
4. YZ 2 et Y]# r Y] ; [ / \
solution
r 3 Op 8 1P ; YZ 2 / : = 2; ‹;
PARTIE B
'
a. Démonstration par récurrence
©
Supposons que . [ / \, Y] / :
32 3 p 3
'
8
et montrons que Y]# / :
2 3 3p
1.
'
8
Y] / : ^ r Y] / :
En effet :
2 3 Op 1P
'

8
Donc K2Š D’où Y]# / : si Y] / :
entier _, `_ appartient à
2. On conclut donc que pour tout
l'intervalle Ž
a. Dérivée première et seconde
Š7 q- et Š77 q-
K K
- U
r7 ‹ p8
Vérification
J
Y] dans l’inégalité
Justification des inégalités :
5
‹ 3 2 p8
¤#J
En prenant
0Q r ‹ r Y] Q ‹ Y]
J J
Or 3c), on a :
D’où Š • 7 •#K M
- Or Y]# r Y]
b. . / , r 10 77
D’où pour tout entier _,
0Q • `_#% Q • `_
K
Sur , r7 est croissante
On en déduit que :
U
. / , r7 10 [ 0^0 Q ‹ Y QM ‹ YZ
J
D’autres parts : Par ailleurs :
[ 1^0 Q ‹ Y5 Q M ‹ Y
J
Sur , r est croissante
On en déduit que :
[ 2^ 0 Q ‹ YJ Q M ‹ Y5
J
3. : = 2; ‹;
a. r = 2; ‹; = 1,9; ‹ ; c
Or = 1,9; ‹ ; “ = 2; ‹; [ [ 1^0 Q ‹ Y] Q
‹ Y]
J
M
Ž, Š appartient à Ž
Donc pour tout appartenant à
b. 2 Q Q ‹ membre de ces [ inégalités.

2 r7 2 Q r7 Q r7 ‹
2 0,55 Q r7 Q
¤#J
5
- 149 -
J ]
0Q ‹ Y] Q O P ‹ YZ PROBLEME 35
M
29‹9
J
ln p p ; =0; ∞=
PARTIE A
5
209‹ YZ 9 Q 1
5
lim p p ∞
1.
209‹ YZ Q 1 #
0Q ‹ Y] Q OMP
J ]
‹ YZ Q OMP e 1
J ] lim ln ¡ ∞
a.
¢ #
Donc pour tout entier _, on a : ∞

#
Alors
(Q • `_ Q O P
K _
b. . / =0; ∞=,
U
ln p 1 p 5
J ]
b. lim O P 0 car 0 9 9 1 ln p ln 1 p 5
J
M M
Or ln p
] #
Alors la suite `_ est
`_ •
l’intervalle =(; ∞= on a :
D’où pour tout appartenant à
_ #
convergente et on a
J ]
c. On sait que 0 Q ‹ Y] Q O P l % q -
M
J ] :>
2 |‹ Y] | Q O P lim > lim ln 1 p 5
c. Soit
M
J ¸ # #
Donc OMP Q 10 5
^ |‹ Y] | Q 10 5
* (
J ¸ #
Or O P Q 10 5
lim p 5
0
M
Car H #
2º4 ln 1 0
5 €• Z
Ñ
Alors Á admet comme
€•O P
Ð
2 º 4 16,007 asymptote oblique la droite Ï
Donc |• `_ | Q %( -
.¼4% d’équation *
> ln 1 p 5
. / =0; ∞=, p 5 1 0
d.
donc ¼ % 21 p 5 11
Le plus petit entier cherché est
`% représente une valeur 2 ln 1 p 5 1 ln 1 0

approchée de • à %( - près Donc . / =(; ∞=, *10
On en déduit que sur =(; ∞=,

Á est au dessus de Ï
2. Dérivée
7 q q– q !% q–- $
q # q– q # q–
. / =0; ∞=, p 1 0 et p 1 0
Alors le signe de 7
celui de 1 p 5
dépend de
1 p 5 402 40
. / =0; ∞=, 7 40
Par conséquent :
Sur =0; ∞=, est croissante

On en déduit que :
- 150 -
3. Soit w 1 0
a. › / =1; 1 w; 2 1 Q › Q 1 w
∞ Donc pour tout Ÿ appartenant à

7
l’intervalle =%; % ;, on a :
0
∞ %
Q Q%
%
#% Ÿ
Q Q1
b. Inégalité des accroissements finis
ln 2 # œ
et k 2x
#
y› Q x
#
y› Q x
#
y›
# œ
3. Tracer de
2 =› ;# Q =ln › ; #
Q =› ; #
#
Q l % Q
#%
Donc on a :
4. Soit 1 0
Prenons w p 5œ dans l’inégalité
Q ln p 1 Qp
précédente, on a :
z –8B 5œ 5œ
z –8B #
2 xZ y› Q xZ ln 1 p y› Q
z –8B 5œ
#z –8B
xZ p 5œ y›
Or xZ ln 1 p 5œ
y› š
D’où x( ŸQž Q x( q Ÿ
q–-Ÿ -Ÿ
%#q–-Ÿ
Et par suite :
L ln 1 p 5œ
N Qš Q
5 Z
L p 5œ
N
5 Z
Donc on a bien :
l- l!% q $Qž Q- q -
% % - % %
- - -
š xZ ln 1 p y›;
PARTIE B
5œ
/ =0; ∞=
5. D’après le théorème des
1. Interprétation géométrique de ž ln 2 Q lim š Q

gendarmes on a :
. 1 0, š xZ › › y›
5 # 5
lim ln 1 p 5
ln 1 0
Alors ž #
lim p 5
0
est l’aire en unité d’aire Car
#
courbe Á , la droite Ï et les Or lim š ℓ
du domaine plan délimité par la
droites d’équations Ÿ ( et Ÿ
#
l- Q D Q
% %
- -
D’où
š7 ln 1 p 5 car par 6. Y] x] ln 1 p y›, [ / \
]# 5œ
2. Dérivée
définition š est la primitive sur a. Soit Æ › ln 1 p 5œ

;
=0; ∞= de la fonction Ç =0; ∞=
³ ln 1 p 5 qui s’annule en 0.
È7 Ÿ 9 0 . › / =(; ∞=
-q–-Ÿ
. / =0; ∞=, 1 p 5 1 1 %#q–-Ÿ
. / =0; ∞=, š 7 10 Sur =0; ∞=, Æ est décroissante et

Par conséquent : On en déduit que :
Æ 0 ln 2 1 0
Sur =0; ∞=, š est croissante Donc . Ÿ / =(; ∞=, È Ÿ 1 0
On en déduit que :
- 151 -
. › / =[; [ 1;,
Par conséquent : PROBLEME 36
0QÆ [ 1 QÆ › QÆ [ r › ln 1 ›
5œ
;
PARTIE A
#œ
© ; 1; ∞=
2 0 Q x] Æ › y› Q Æ [
]#
L’inégalité de la moyenne donne :
Or x] Æ › y› Y]
]#
Š7 Ÿ
1. Dérivée
Ÿ %
D’où pour tout entier naturel _,

%#Ÿ -
. t / ; 1. ∞=, 1 › 1 0 5
on a : ( Q `_ Q l % q -_ Alors le signe de r7 › dépend de
celui de › 1
0 Q lim Y] Q 0
b. On a en passant à la limite :
] #
Car lim ln 1 p 5]
ln 1 0 . t / ; 1; 1=, r7 › 9 0
Par conséquent :
. t / ;1; ∞=, r7 › 1 0
] #
`_ (
_ #
Donc
7. ¶] YZ Y â Y] , [ / \ Sur ; 1; 1=, r est décroissante
On en déduit que :
a. ¶] xZ ln 1 p 5œ y› x ln 1 Sur ;1; ∞=, r est croissante

5
2. lim r ›
p 5œ y› â x] ln 1 p 5œ y›
]#
œ
lim j ! 1 › ln 1 › 2›$
œ #œ
¶] xZ ln 1 p 5œ y›
]#
Š Ÿ ∞
D’après la relation de Chasles,
Ÿ %
Donc on a : ¾_ ž _ %
lim j ∞
lim ¶] lim š [ 1 lim š [ œ #œ
] # ] # ] #
lim j 1 › ln 1 › 0
b.
ž
Car
œ
#
Š Ÿ ∞
On sait que existe
Alors la suite ¾_ est convergente Ÿ #
lim ln 1 › ∞
œ #
On a ln 2 Q lim š Q en
Par ailleurs :
lim 2
5œ
5 5
Car
#
œ # #œ
passant à la limite 3. Sur =1; ∞=, r est continue car
l- Q ¾_ Q
% %
On en déduit que : dérivable et est strictement
- -
_ #
croissante.
=1; ∞= sur =ln 2 1; ∞= et

0 / =ln 2 1; ∞=
Donc l’équation Š Ÿ ( admet
une unique solution • dans
=%; ∞=
C’est-à-dire qu’il existe un réel •
=%; ∞= tel que : Š • (

et un seul dans l’intervalle
Encadrement de •
r 3 0,1 9 0
f
r 4 0,009 1 0
On a Š K e Š U 9 0
Alors K 9 ‹ 9 4
- 152 -
r 3,9 0,002 9 0
f
r 4,0 0,009 1 0 xZ r › y› = 3 › ln 1 › 3› ;Z
Par suite :
On a Š K, ” e Š U, ( 9 0 x( Š Ÿ Ÿ K l % K
Alors à %( % près, K, ” 9 ‹ 9 4,0
c. u @w e xZ r › y›
¤
4. Tangente à k en l’origine = du
xZ r › y› xZ r › y›
¤ ¤
A : > r7 0 › 0 r 0 xZ
¤
r › y› 3‹ 3 ‹ ln 1 ‹
repère
C :* E @w 4 ƒ„²
… U=K• K • l % • ;ˆ‰²
Donc
› 1 1 ∞
Or r ‹ 0 2 ln 1 ‹
5¤
r7 › #¤
∞ ∞ D’où u 4 L3‹ 3 ‹ e N
5¤
0
r ›
#¤
On a donc bien : …
U• • K
•#%
ln 2 1 d. Encadrement de …
3,9 9 ‹ 9 4,0
2 0,9 9 ‹ 3 9 1 et
15,6 9 4‹ 9 16
2 14,04 9 4‹ ‹ 3 9 16
4,9 9 ‹ 1 9 5,0
D’autres parts :
2 0,2 9 9 0,204
¤#
On a donc : -, ™ 9 … 9 3,2
p ln 1 p 5 ;
PARTIE B
1. La fonction ³ ln 1 p 5 est
w 2
œ F œ œ# #F
5.
³ 1 p 5 est dérivable sur et
dérivable sur car la fonction
#œ #œ #œ #œ
. › / ; 1; ∞=, on a : › w› w ë . / , 1 p 5 1 0. On sait par
a.
ailleurs que la fonction ³ p est

%
Par identification :
F
(
dérivable sur
%, % et %
Ÿ %
Alors la fonction est dérivable
%#Ÿ %#Ÿ
Donc
b. xZ r › y›
sur comme produit de deux
fonctions dérivables sur
p ln 1 p5
7 5z '
xZ ln 1 › y› 2 xZ y›
œ
#z 8'
#œ
p Lln 1 p5 N
5z 8'
Calculons xZ ln 1 › y› 7
#z 8'
7
q Š q-
@ › ln 1 › @7 › . / , p 1 0,
H 2 H #œ
|7 › 1 | › 1 › Alors 7 et r p 5 sont de signes
xZ ln 1 › y› 7
0 2 r p5 0
opposés
= 1 › ln 1 › ;Z xZ y› 2 p5 ‹
Donc xZ ln 1 › y› 7
(2 l √•
= 1 › ln 1 › › ;Z 2. Posons › p 5
- 153 -
Si ³ ∞, › ³ 0 et 6. 3,9 9 ‹ 9 4,0
lim lim √› e 0 2 0,2 9 9 0,204 et
€• #œ €• #œ
œ Z √œ œ Z œ ¤#
lim √› 0 1,9 9 √‹ 9 2,0
Car }
œ Z
2 0,7 9 9 0,8
5√¤
lim 1
€• #œ
#¤
œ Z œ
( maximum par excès est donc (, ™
Alors une valeur approchée de ce
Alors
lim 7. Tracer de Γ
#
3.
lim p ln p 5 1 p 5
#
lim p ln p 5 p ln 1 p 5
#
lim 2 p p ln 1 p 5
#
(
#
lim p 0
#
Car ) lim#
p 0
lim p 5
0
#
. › / ;0; ‹=, r › 9 0
4. D’après PARTIE A,
. › / ;‹; ∞=, r › 1 0
Or p 5 / ;0; ‹= 2 / ‚ ∞; ln √‹• et
p 5 / ;‹; ∞= 2 / ‚ln √‹ ; ∞•
/ ‚ ∞; ln √‹•, 7 10
Par conséquent :
/ ‚ln √‹ ; ∞•, 7
90
Sur ‚ ∞; ln √‹•, est croissante

On en déduit que :
Sur ‚ln √‹ ; ∞•, est décroissante

∞ ln √‹ ∞
7
! ln √‹$
0
0 0
5. atteint son maximum pour ln √‹ et
! ln √‹$
ce maximum est
€• #¤
√¤
ln 1 ‹
5¤
Or d’après PARTIE A5,
#¤
D’où ! ln √‹$
5¤
#¤ √¤
On a bien ! l √•$
-√•
%#•
- 154 -
. 1 0,
PROBLEME 37 3. Dérivée
7 €• # # €•
si 1 0 et 0 0;
€• #
PARTIE A
8
2 7 €• # #
#
=0; ∞= # 8
1. Continuité en ( Donc . 1 0, 7 ŠÞ
limj ln 0 #% -
lim 0 car
Z
limj 1 . 1 0, 1 510
Déduction
Z
Z #
Alors le signe de 7
(
celui de r 7
dépend de
(
Alors est continue en (
Dérivabilité en ( Sur ;0; ∞=, r croît et r Â 0
D’après 2b)
lim limj ∞
Z €•
Z #
. / ;0; Â=, r 90
On a donc :
Z Z
limj ln ∞
Z . / ; Â; ∞=, r 10
limj 1
Car
Z #
. / ;0; Â=, 7 90
Par conséquent :
∞ . / ; Â; ∞=,
(
(
7
10
(
n’est pas dérivable en (
1; © ;0; ∞= Sur ;0; Â=, est décroissante
On en déduit que :
2. r ln
Alors
Sur ; Â; ∞=, est croissante

Š7 % 1 0 . / ;(; ∞=
a. Dérivée
%
0 Â ∞
Sur ;0; ∞=, r est croissante 7
On en déduit que :
Tableau de variation de Š 0 ∞
0
0 ∞
r 7 Â
∞
r Â
Ä €• Ä
Ä#
Or r Â 0 2 ln Â Â 1
∞
D’où Â
Ä Ä#
Ä#
b. Sur ;0; ∞=, r est continue car On a bien Ã Ã
∞
4. Limite
croissante.
#
;0; ∞= sur ; ∞; ∞= et lim 1
0 / ; ∞; ∞=
# #
lim ln ∞
Donc l’équation r 0 admet une
Car
#
lim =ln ; lim 0
€•
solution Â et une seule dans ;0; ∞= # # #
r 0,27 0,03 9 0 =l ; (
f
r 0,28 0,007 1 0 #
On a Š (, - e Š (, -™ 9 0 lim 1
Car }
# #
Alors (, - Q Ã Q (, -™ lim
€•
0
#
- 155 -
% et
k et Γ sont asymptotes au È
Interprétation graphique Donc les équations
voisinage de ∞ 3. È7 eÈ 90
sont équivalentes
%
5. Traçons k et Γ -
Tableau de ³ ln . / ;0; ∞=
Sur ;0; ∞=, Æ est décroissante

On en déduit que :
0 ∞
ln7 4. Pour tout élément de =3,5; 3,7;,
a. Æ / =Æ 3,7 ; Æ 3,5 ; =3,56; 3,61;
∞
ln Or =3,56; 3,61; “ =3,5; 3,7;
Donc È
∞ =K, X; K, ;
appartient aussi à
b. Æ7 eÆ
²
Æ77 eÆ 10
5 #
Ð
On en déduit que Æ est croissante

7
Æ7 3,5 Q Æ7 Q Æ7 3,7 9 0
Par conséquent :
2 |Æ7 3,7 | Q |Æ7 | Q |Æ7 3,5 |

Or |Æ7 3,5 | 0,29 Q
J
D’où |È | Q |È K, X | Q
7 7 %
K
c. On sait que |Æ | Q et
7
J
‹ / =3,5; 3,7;
p. p ' ; Ç ;0; ∞=
PARTIE B Alors d’après l’inégalité de la
Æ
&
Éx¤ Æ7 › y›É Q | ‹|
moyenne on a :
1. Sur =0; Â;, / = Â; 0; donc J
£1 ^ |=Æ › ;¤ | Q | ‹|
Sur ;Â; ∞=, est continue car J
^ |Æ Æ ‹ |Q | ‹|
J
Or Æ ‹ ‹ d’après 2)
D’où |È •| Q | •|
%
croissante.
;Â; ∞= sur ; Â; ∞= et K
1 / ; Â; ∞=
5. Y]# Æ Y] et YZ 3,5
% admet
une solution • et une seule dans a. Pour tout [ 4 0, prenons Y]
Donc l’équation
=(; ∞= et • / ;Ã; ∞=
On a : |Æ Y] ‹ | Q |Y] ‹|
dans l’inégalité 4c)
=3,5; 3,7; =0,97; 1,02; J
On a % / =(, ” ; %, (-; Or Æ Y] Y]#
D’où K, X Q • Q K, D’où pour tout entier _ 4 (,
|`_#% •| Q |`_ •|
%
d’abscisse •, voir le graphique

K
Pour la représentation du point
12 1
€•
#
2.
21 ln
2p p. p '
& &
#
'
2Æ
- 156 -
[ 0^ |Y ‹ | Q |YZ ‹ |
b. En partant de cette inégalité on a : PROBLEME 38
;
Jz '
J
z '#
[ 1^ |Y5 ‹ | Q |Y ‹|
J
[ 2^ |YJ ‹ | Q |Y5 ‹|
PARTIE A
J
c a. . /
1.
[ [ 1 ^ |Y] ‹ | Q |Y] ‹|
,
Jz –' Jz '
J z –' # z '#
J z' Jz '
#z ' z '#
5 z '#
] z '#
|Y] ‹ | Q O P |YZ ‹ | Donc . / -
J
|YZ ‹ | |3,5 ‹|
,
3,5 Q ‹ Q 3,7 2
Déduction
2 3,7 Q ‹ Q 3,5 -e( -e%

2 0,2 Q YZ ‹ Q 0
On n’en déduit que le point Ö (; %
2 |YZ ‹ | Q 0,2
]
R
]
est un centre de symétrie de )
2 |Y] ‹| Q OJP |YZ ‹| Q OJP e R
% car q (
% _
entier _ 4 (, |`_ •| Q · O P
On en déduit donc que pour tout
lim p ∞
%
X K #
]
lim ·O P 0 car 0 9 9 1 lim 3
J¢
] # R J J ¢ # ¢#
c.
Alors la suite `_ converge et K
`_ •
#
Alors
_ #
]
c. Dérivée
Mz '
d. On sait que |Y] ‹| Q · O P
7
R J z '# 8
. / , 10 7
¸
Donc
· O P Q 10 J
^ ÉY¸ ‹É Q 10 J
Sur , est croissante
On en déduit que :
R J
¸
Or · O P Q 10 J
R J
2 ln 5 º ln 3 Q 3 ln 10
∞ ∞
2º4
J €• Z#€• R
€• J 7
2 º 4 7,75 3
Donc É`¼ •É Q %( K . ¼ 4 ™
On en déduit que `¼ est une
1
valeur approchée à %( K près du
nombre réel • pour ¼ ™ par
a. T : > 0
7
0 0
exemple 2.
Alors H : * %
b. ñ 1 ; ò
. / , ñ7 7
1
2 ñ7
z 8' 5z ' z' 8
z '# 8 z '# 8
- 157 -
ñ ;2; 3= ; 0,47; 1, 18= et
% - 1 / ; 0,47; 1, 18=
Donc on a bien :
ó7 O P . /
q
q #% D’où • / ;-; K=
. / , ñ7 Q0
droite Ï d’équation *
Tout ceci montre bien que la
Sur , ñ est croissante la courbe ) en un seul point

On en déduit que : coupe
ñ 0 0 dont l’abscisse • est comprise
. / ; ∞; 0=, ñ 90
Par conséquent : entre 2 et 3
. / ;0; ∞=, ñ 10
a. . / ,
2.
Mz ' z ' Mz ' z '#
c. T : > 1 et > ñ z '# z '#
Donc . / , %
Uq
Sur ; ∞; (=,
q #%
D’après ce qui précède :
) est en dessous de H de est par exemple la fonction š

On en déduit qu’une primitive sur
Sur ;(; ∞=,
) est au dessus de H
ž U l q %
définie sur par :
3. Tracer de T et Γ
b. u @w e xZ > y car sur
¤
=0; ‹;, Γ est au dessus de D

xZ > y
¤
¤
L ² 4 ln p 1 N
5 Z
x( *
•
•² • U l- U l q• %
%
-
‹ ‹ 2 p¤
#¤
J ¤
Donc
… LU l - •² • U l K • Nø
%
-
PARTIE B
1.
2 0
a.
: =2; 3;
PARTIE C
2 1 1
2 1 1 a. . / ,
1.
Or ñ 1 7 Mz ' F
z '# 8 z '# z '# 8
ó % 2
z ' # #F Mz '
D’où si et seulement si
b. Sur , ñ est continue car dérivable

z '# 8 z '# 8
2 wp w ë 4p
Alors ñ réalise une bijection de
et est strictement décroissante
w 4
F
Ce qui donne par identification :
sur N lim ñ ; lim ñ L ; ∞; ∞= ë 4
#
et 1 / ; ∞; ∞= Donc . / ,
Donc l’équation ó % admet 7
UO
% %
P
une unique solution • dans et
- q #% q #%
par équivalence • est l’unique

2Q Q3
b. Déduction
2 p5 1 Q p 1 Q pJ 1
2 0,04 Q ' Q 0,12 et
z #
0,0144 Q Q 0,0016
z '# 8
- 158 -
2 0,025 Q Q 0,118 On sait que ÉY¸ ‹É Q
z '# z '# 8 5»
2 0,1 Q Q 0,47
7
Q 10 J
^ ÉY¸ ‹É Q 10 J
5»
2 | 7 | Q 0,47 Q
Donc
5 Q 10 J
2 º ln 2 Q 3 ln 10
5»
Donc . / Ž, | |Q
%
Or
2º4
7 J €• Z
- €• 5
c. On sait que . / :, | 7 | Q et 2 º 4 9,96
5
‹/: D’où on a É`¼ •É Q %( K
. ¼ 4 %(
moyenne on a : . / :, `¼ est une valeur approchée de

Alors d’après l’inégalité de la
Éx¤ 7 › y›É Q | ‹| • à %( K près pour ¼ %( par

5
^ |= › ;¤ | Q | ‹| exemple
5
^| ‹ |Q | ‹|
5
Or ‹ ‹ d’après PARTIE B1)
D’où . / Ž,
| •| Q | •|
%
-
YZ 3
2. f
Y]# Y] ºü@4 [ / \
a. Pour tout entier naturel [, prenons
Y] dans l’inégalité précédente
On a : | Y] ‹ | Q |Y] ‹ |
J
Or Y] Y]#
D’où pour tout entier naturel _,
|`_#% •| Q |`_ •|
%
K
[ 0^ |Y ‹ | Q |YZ ‹ |
5
[ 1^ |Y5 ‹ | Q |Y ‹|
5
[ 2^ |YJ ‹ | Q |Y5 ‹|
5
c
[ [ 1 ^ |Y] ‹ | Q |Y] ‹|
5

]
|Y] ‹ | Q O P |YZ ‹|
5
Donc pour tout entier naturel _,
|`_ •| Q _ |K •|
%
-
b. 2 Q ‹ Q 3
^0Q3 ‹Q1
^ |3 ‹| Q 1
^ |Y] ‹ | Q ® |3 ‹| Q e1
5 5®
naturel _, |`_ •| Q _
%
On en déduit que pour tout entier
-
- 159 -
0
J
Sur =2; ∞=, r est continue car
PROBLEME 39 Par ailleurs :
5
et
2 ln ;
8 J dérivable et est strictement
5 5
=0; ∞= Alors r réalise une bijection de
décroissante.
=2; ∞= sur ; ∞; 1 2 ln 2; et
r 2 ln 1; ;0; ∞= 0 / ; ∞; 1 2 ln 2;
PARTIE A
©
Š ∞ car l ∞ une unique solution • dans
( (j =-; ∞=
lim r lim O2 1 P
€•
# #
Š ∞ r 1 r ‹ 0 d’où d’après le
Déduction
# tableau de variation de r, on a :
lim ∞
o . / ;(; %=, Š 90
¿
#
lim
€•
0 ;
. / %; • , Š= 10
n # . / ;•; ∞=, Š 90
Car
¿ lim 0 r 3,5 0,005 1 0
m # 3. f
r 4 0,227 9 0
Š7 On a Š K, X e Š U 9 0
Dérivée
-
Alors 3,5Q • Q U
. / ;0; ∞=, 1 0
celui de 2
dépend de
1. . 1 0, 7 2 ln 2 1
PARTIE B
. / ;0; 2=, r7 10 Alors . 1 (, 7

Š
Par conséquent :
. / ;2; ∞=, r 7
90
. / ;0; 1=, 7 90
D’après PARTIE A 2)
Sur ;0; 2=, r est croissante . / ;1; ‹=, 7

10
On en déduit que :
Sur ;2; ∞=, r est décroissante . / ;‹; ∞=, 7

90
On en déduit que :
0 2 ∞ Sur ;1; ‹=, est croissante

r 7 Sur ;‹; ∞=, est décroissante
1 2 ln 2
0
a. lim
2.
r #
lim O2 e P
5 €• J
∞ ∞ 5 5 8
#
∞
#
2. Sur ;0; 2=, r est continue car lim 5
∞
o #
¿
¿ lim
€•
0
#
croissante.
n lim 0
;0; 2= sur ; ∞; 1 2 ln 2= et
Car
¿
¿
#
0 / ; ∞; 1 2 ln 2= lim 0
m
8
#
b. lim car lim ln 0
J
une unique solution dans ;(; -= Z 5 Z
% / ;(; -= et Š % ( alors % est (
(
est continue en (
Š ( sur ;(; -=
l’unique solution de l’équation Alors
- 160 -
c. limj limj2 ln 1 b. Æ 02
Z 5
Z Z 5 5 €• R
(
∞ Alors Ï coupe l’axe Û au
point d’abscisse †
(j -
Car limj ln ∞ - lX
Z
Sur=5; ∞=, k est en dessous de
La courbe Á de admet au point

Conclusion :
de coordonnées O(; P une demi-

K
k et coupent l’axe =
-
Et par ailleurs :
tangente verticale dirigée vers le
d’abscisses Â et v.
bas respectivement aux points
Donc on a bien Ã Q †
‹ 2‹ ln ‹ ‹
3.
¤8 J
5 5
a.
Or r ‹ 0 2 ln ‹
¤
5. Tableau de variation de
5
‹ ‹ 5
4‹ 3 0 1 ‹ ∞
5 7
D’où
‹ ‹ 1 ‹ 3
‹
J
0 0
5
Et donc
3,5Q ‹ Q 4 2 Q ‹ Q
R J 5
˜ 5
Sur ;(; •;, / L(; N et % (

K
- 0 ∞
Donc % est l’unique solution de
l’équation ( sur ;(; •;
Sur ;‹; ∞=, est continue car

Par ailleurs :

décroissante.
;‹; ∞= sur ; ∞; ‹ = et
0 / ; ∞; ‹ =
( admet
une unique solution Ã dans
Donc l’équation
;•; ∞=
5 0,09 1 0
b. f
6 0,9 9 0
On a X e ‡ 9 0 š ln ;
PARTIE C
5
Ñ
5 J
D’où X Q Ã Q ‡
W 5 J
• ;0; ∞=
1. š 2 ln 2
7
8 J
a. Ï : * È - lX U U
4.
5 5
∆ Æ ; ∆ =5; ∞= . / ;0; ∞=, š 7
∆ X Š Š X š 1 0
et
7 7 7
. / =5; ∞=, ∆ 7
90 Donc ž est sur l’intervalle ;(; ∞=
Car sur =5; ∞=, r est décroissante la primitive de qui s’annule au
Sur =5; ∞=, ∆ est décroissante C’est-à-dire que . / ;(; ∞=,

On en déduit que : point 1
ž x% Ÿ Ÿ
Pour tout 4 5, ∆ Q∆ 5 2. On pose u › y›
Par conséquent :
x
Ä
2 Æ Q0
a. š 7 4 0 . / =5; Â;
Donc pour tout 4 X, QÈ
- 161 -
Sur =5; Â;, š est croissante

On en déduit que : PROBLEME 40
p 2p 8 ;
PARTIE A
'
ž X Qž Ã %
Par conséquent :
b. u x › y›
Ä
1. Dérivée
7
q q- q- Oq- %P
. / ,p 1 0
'
u x › y› xR › y›
R Ä
D’après la relation de Chasles, on a :
8
7
Or x y š 5 par définition et
R
celui de p 1
'
8
xR › y› Q xR Æ › y› d’après
Ä Ä
p 1102 10
'
8
D’où … Q ž X xX È Ÿ Ÿ
PARTIE B 4a)
. / ; ∞; 0=, 7 90
Ã
Par conséquent :
. / ;0; ∞=, 7
10
Â Q v et sur =Â; v;,
D’autres parts :
dessus de l’axe = Sur ; ∞; 0=, est décroissante

est au On en déduit que :

Alors xÃ È Ÿ Ÿ 4 ( car c’est une aire
†
xR Æ › y› xR Æ › y› xÄ Æ › y› ∞ 0 ∞
{ Ä {
Déduction
7
2 xR Æ › y› 4 xR Æ › y›
{ Ä
0 ∞
0
Car xÄ Æ › y› 4 0
{
1
š 5 xR Æ › y› Q š 5 xR Æ › y›
Ä {
On a alors :
Or u Q š 5 xR Æ › y›
Ä
(
D’où … Q ž X Ÿ Ÿ - xX È
†
lim p 0
3. Les inégalités 1 et 2 montrent Car }
lim p 8 0
'
ž X Q…Qž X xX È Ÿ Ÿ
que
†
lim lim p 8 Op 8 2P
' '
# #
Car š Â x › y› u
Ä
8 ∞ car q- ∞
= ln 5 4 ;R
# #
xR Æ › y› 2
{ 5 8– JK 8
0 2 p 8 Op 8 2P 0
' '
xR Æ › y› 25 ln 5 30
{ M
2.
2 p £ 0 et p 2
' '
5 €• R
š 5 25 ln 5
8 8
W
J 2 2 ln 2
Alors Á coupe l’axe des abscisses
-X l X
%%‡
Q…Q
U -‡ au point de coordonnées - l - ; (
Donc on a :
K - lX K
0 1
Par ailleurs :
Alors Á coupe l’axe des ordonnées

%, X‡ Q … Q %, X à %( -
Ce qui donne :
près au point de coordonnées (; %
- 162 -
3. Tracer de Á
12p p8 1 0
PARTIE B
'
7
2f ¡ p 10
1.
'
8
¡5 ¡ 1 0
∆ 5
¡ 9 0 ; ¡5 10
√R #√R
5 5
p8 2 2 ln O P
' #√R #√R
5 5
Donc Ã - lO P est l’unique

%#√X
-
solution de l’équation 7
%
5
Â O P 2O P
#√R #√R
5 5
Ã
% √X
4. Soit v 9 0
-
D’où on a :
a. u v @w e x{ y
Z
a. r ;
2.
©
' Z
y L p 4p N r Â Â Â 2 ln O P
#√R
x{
Z √R
8
{ 5 5
9 0 et
L √R
x{ y 4 p{ 4p 8
Z
5
@w 4 ƒ„² #√R
1 1 2 ln O
#√R
P10
† 5 5
… † U îU q† Uq- ï ˆ‰² 2 2 ln O
#√R
P90
5
2 2 ln O P90
√R #√R
lim p { 0
Déduction
5 5
}
{ On en déduit que : Š Ã 9 (
r 1
L
lim p 8 0 7 7
{
… † %‡
r7 02 Â
D’après la question 1)
†
Alors
b. — v @| e ß x{ y
Z 5
. / ; ∞; Â=, r7 90
Par conséquent :
x{ y
Z 5
;
. / Â; ∞ , r = 7
10
x{ Op 5 4p 8 4p P y
Z Ñ'
Sur ; ∞; Â=, r est décroissante

On en déduit que :
Z
x{ y L p5 p 4p N
Ñ'
Sur ;Â; ∞=, r est croissante
Z 5 ˜
8
5 J
b. Sur ; ∞; Â=, r est continue car
{
x{ y
Z 5
O p5 p8 4p P
˜ Ñ'

J 5 J
décroissante.
à † áLK O- q - q- Uq PN ø
K
%% % ™
K ; ∞; Â= sur ;r Â ; ∞= et 0 /
; r Â ; ∞=
o{ lim p 0 5{
¿ Donc l’équation Š ( admet une

lim p 8 0
ÑL
dans ; ∞; Ã=
n{ Š ( %9Š (2 9(
¿ lim p { 0
unique solution
m{
à †
%%á Sur ;Â; ∞=, r est continue car
Par ailleurs :
† K
Alors
croissante.
- 163 -
Alors r réalise une bijection de 5. Z Â et ]# ] .[ /\
;Â; ∞= sur ;r Â ; ∞= et
0 / ; r Â ; ∞= . / ; ∞; 0;, / ; 1 ; 0;
a. D’après PARTIE A,
Donc l’équation Š ( admet une Or ; 1 ; 0; “ ; ∞; 0;

dans ;Ã; ∞= D’où . / ; ∞; (;, / ; ∞ ; (;
Š Ã 90 r 2Ã9ë
unique solution
Déduction
Â Q0
√R
Z 5
Les équations Š ( et Supposons que . [ 4 1, ] Q 0 et
Conclusion :
étant équivalentes, alors l’équation montrons que ]# Q 0
solutions et avec 9 0 9 Ã 9 ] Q 0 ^ ] Q 0
admet exactement deux En effet :
3. Dérivée seconde Car . / ; ∞; 0;, / ; ∞ ; 0;

q q- q- Oq- P
77 % % Or ]# ] par définition
- - D’où ]# Q 0 si ] Q 0
. / , p8 1 0
'
77
. _ 4 %, _ Q (
On peut donc conclure que :
celui de p b. On sait que . / ; ∞; 0;,

'
8
| 7 | Q ; w 9 0 et . [ 4 1, ] Q 0
5
p 1 0 2 1 2 ln 2
'
8 M
5 Alors d’après l’inégalité de la
. / ; ∞; 2 ln 2=, 77 90
Par conséquent :
. [ 4 1, Éx ® 7 › y› É Q | ] w|
moyenne on a :
. / ; 2 ln 2 ; ∞=, 77
10 M
^ É= › ; ÉQ |®
] w|
Sur ; ∞; 2 ln 2=,
M
On en déduit que :
7 ^| ] w |Q | ] w|
M
Sur ; 2 ln 2 ; ∞=, Or w w et
est décroissante
] ]#
7 D’où . _ 4 %,
| _#% •| Q | _ •|
%
Tableau de variation de 7
est croissante
U
∞ 2 ln 2 ∞
Déduction
77
[ 1^ | 5 w| Q | w|
0 ∞
0
M
[ 2^ | J w| Q | 5 w|
M
7
[ 3^ | M w| Q | J w|
M
M c
[ [ 1 ^ | ] w| Q | ] w|
M
précédent, 7 atteint son minimum

4. D’après le tableau
membre de ces [ 1 inégalités.
2 ln 2 et 7 2 ln 2
M
pour
Donc . / , 4
% ]
| w| Q O P | w|
7
U ] M
Déduction √R
5
. / ; ∞; 0;, 7 Q0 w90
D’après PARTIE A,
2 w10
. / ; ∞; (;, Q Q( 2 9 w90
On en déduit que :
% 7 √R
U 5
- 164 -
2| w| 9 a a
√R PROBLEME 41
5
2| w| Q
√R
ln O P 10
PARTIE A
#5
5 M 5
Donc . _ 4 %,
pour
0 ; =0; ∞=
% _ % % _ % 5
| |Q OUP | % |Q · O P
√X %
et
1. r ln 2 ln ;
_ 5
- U
] #5 M
c. . [ 4 1, | w| Q ·O P ;0; ∞=
√R
] 5 M ©
]
lim ·O P 0 car 0 9 9 1
√R
Š7 90. / ;(; ∞=
a. Dérivée
] # 5 M M U
Donc la suite | _ | converge #- -

vers 0 et par conséquent, la suite On en déduit que :
b. lim r
_ converge vers
#
lim ln O1 P ln
5 5
# #5 M
lim r ln O1 P
5 5
# #5 M
Š
%
# U
lim 0
5
Car } #
lim 0
5
# #5
c. r ;0; ∞= N lim r ; limjr L

# Z
Š ;(; ∞= N ; ∞L
%
U
. / ;(; ∞=, Š 10
Par conséquent :
d. r =2; 3; =r 3 ; r 2 ;
r =2; 3; =0,36; 0,44;
Par conséquent : . / =2; 3;,
0,36 Q r Q 0,44
Or 0,44 9
5
D’où . / =-; K;, Š 9
%
-
a. limj ln O P limj ln O1 P
2.
#5 5
Z Z
Posons ¡
5
0# , ¡ ∞ et
lim ln 1 ¡
5
Si
¢ # ¢
lim · 0
5 ¢# €• #¢
¢ # ¢ #¢
- 165 -
lim
5 ¢#
2 * (
Car } ¢ # ¢ #
Car lim ln O P 2
#5
lim 0
€• #¢
¢ # #¢ #
Alors la droite ∆ est une
lO P (
#-
(j asymptote oblique à Á au
On conclut que
voisinage de ∞
4. Tracer de k
On en déduit que :
%
(j - Tableau de variation de
( 0 ∞
Et par suite :
(j
est continue en ( 7
∞
Alors
b. limj limj ln O P
Z #5
Z Z Z M
∞
(
(j ( 5
limj ∞
#5
Z
lim ln ¡ ∞
Car
¢ #
Alors n’est pas dérivable en (
La courbe k de admet au point

O ; 0P une demi-tangente dirigée

5
ln O P L N
vers le haut
#5 5
c. 7
#5 M
7
Š 1 0 . / ;(; ∞=
Sur ;0; ∞=, est croissante : =2; 3;

On en déduit que : PARTIE B
a. Æ ; :
1.
lim ln O P lim ln O1 P
3.
#5 5 Ç
# # È
7 7
% Š %
a.
Posons ¡
5
r
7
∞, ¡ 0 et On sait que : . / =2; 3;, r 9

Car
5
lim ln 1 ¡ lim 2 2
Si
5 €• #¢
¢ # ¢ ¢ # ¢
. / =-; K;, È7 9 90
%
Car lim 1
Par conséquent :
€• #¢
¢ # ¢ -
lO P -
#-
Sur =2; 3;, Æ est décroissante
#
On conclut que
Æ étant continue car dérivable et
∞
b. On en déduit que
Æ 2 eÆ 3 0,08 9 0
#
strictement décroissante telle que
lim ln O P 2
#5
Car } #
lim ∞ une unique solution • dans Ž
# M 5
a. On sait que . / =2; 3;, 0 9 r 9

2.
c. ∆ : >
R
5
M 5
Or 7 r
lim > lim ln O P 2
#5
D’où . / Ž, ( 9 9
7 %
# #
-
- 166 -
b. On sait que . / :, | 7 | Q et
]
5 c. On sait que |Y] ‹| Q O P
5
‹/: ]
Donc O P Q 10 J
^ |Y] ‹| Q 10 J
5
]
moyenne on a : . / :, Or O P Q 10 2 [ ln 2 Q 3 ln 10
J
5
Éx¤ 7 › y›É Q | ‹|
2[4
J €• Z
5
^ |= › ;¤ | Q | ‹|
€• 5
5 2 [ 4 9,96
^| ‹ |Q | ‹| D’où on a |`_ •| Q %( K . _ 4 %(
5
Or ‹ ‹ d’après 1b)
D’où . / Ž, `_( est une valeur approchée de
| •| Q |
%
•| • à %( K près pour _( %( par
-
3. YZ 2 et Y]# Y] . [ / \
exemple
a. Par hypothèse, Y] / : . [ / \
Prenons . [ / \, Y] dans
On a : | Y] ‹ | Q |Y] ‹ |
l’inégalité précédente
5
Or Y]# Y]
. _ / \, |`_#% •| Q |`_ •| %
%
D’où
-
[ 0^ |Y ‹ | Q |YZ ‹ |
5
[ 1^ |Y5 ‹ | Q |Y ‹|
5
[ 2^ |YJ ‹ | Q |Y5 ‹|
5
c
[ [ 1 ^ |Y] ‹ | Q |Y] ‹|
5

]
|Y] ‹ | Q O P |YZ ‹|
5
2Q‹Q3
^ 1Q2 ‹Q0
^ |2 ‹| Q 1
] ]
^ |Y] ‹| Q O5P |YZ ‹| Q O5P e 1
% _
naturel _, |`_ •| Q O P
-
-
]
b. lim O P 0 car 0 9 9 1
] # 5 5
Alors la suite |`_ •| converge
vers ( et par conséquent, la suite
`_ _/\ converge vers •
- 167 -
3. ñ
p 1; a. lim ñ
PROBLEME 42
#
PARTIE A lim p p p p
#
q % 1(. / ó ∞
1. Dérivée
7
#
lim p ∞
#
Sur , est croissante
Car ) lim p 0
On en déduit que :
#
lim p 0
#
∞ ∞ b. ó7 q % %
7
p 1102 11
∞
. / ; ∞; 1=, ñ7 90
Par conséquent :
. / ;1; ∞=, ñ 7
10
1
Sur ; ∞; 1=, ñ est décroissante
On en déduit que :
% car q %
( Sur ;1; ∞=, ñ est croissante
Tableau de variation de ó
∞ car q %
∞
# #
∞ 1 ∞
Tracer de la courbe Á de ñ 7
∞ ∞
0
Sur , ñ est continue car dérivable

D’après ce tableau :
chacun des intervalles; ∞; 1= et

et est strictement monotone sur
;1; ∞=
Alors ñ réalise une bijection de
; 1; ∞= et 0 / ; 1; ∞=
chacun de ces deux intervalles sur
Donc l’équation ó ( admet

a. Sur , est continue car dérivable et
2.
/ ; ∞; %= et / ;%; ∞=.
deux solutions telles que
On a bien 9 ë
est strictement croissante.
sur Õ ; %; ∞=
c. Déduction
b. . > / ; 1; ∞=, >
Les deux équations ó ( et
2p > 1
2 1 ln > 1 >
étant équivalentes, on
%
% l % ; 1 %
déduit de ce qui précède que et
c. Tracer la courbe Γ de
Donc
sont les seules solutions de
) et Á sont symétriques par
l’équation
*
rapport à la droite d’équation
(Voir le graphique)
- 168 -
ñ 2 0,28 9 0
^ |=r › ;F | Q | ë|
H 5
ñO P 0,98 1 0
R
5 ^ |r r ë |Q | ë|
5
On a ó - e ó O P 9 0 donc - 9 ë 9
X X
Or r ë ë d’après 1)
D’où . / Ž,
- -
F
4. u @w e x ! $ y ou
|Š |Q | |
%
F
encore u 2@w e x ! $y à -
3. MZ 2 et M]# r M] . [ 4 0
a. MZ 2 / :
rapport à la droite d’équation >
cause de la symétrie du domaine par
F . [ 4 0, supposons que M] / : et
montrons que M]# / :
F
x ! $y L
5
5
p N
F
x ! $y M] / : ^ r M] / :
En effet :
ë5 w5 ë w p pF Car . / :, r /:
Or M]# r M] par définition
5
w w
Or f 2 fp F w 1
D’où M]# / : si M] / :
ë ë p ë 1
D’où x ! $
% - -
. _ 4 (, N_ / Ž
On peut donc conclure que
-
@w 4 ƒ„²
M] . [ 4 0 dans
… U - -
ˆ‰²
b. Prenons
On a : |r M] ë| Q |M] ë|
l’inégalité 2c)
5
Or M]# r M]
r ln 1 1; /: L2; N
PARTIE B
R
5 D’où . _ 4 (,
1. . / :,
|N_#% | Q |N_ |
%
2p 1 K
2 ln 1 1
2r
c. En partant de l’inégalité précédente,
Alors sur Ž, l’équation [ 0^ |M ë| Q |MZ ë|

on a :
J
équivaut à l’équation Š [ 1^ |M5 ë| Q |M ë|
J
[ 2^ |MJ ë| Q |M5 ë|
a. 2 Q Q 2 3 Q 1Q
R ×
2.
J
5 5
c
2 1,09 Q ln 1 Q 1,25
2 2,09 Q r Q 2,25 [ [ 1 ^ |M] ë| Q |M] ë|
J
Or =2,09; 2,25; “ L2; N
R
5
D’où . / Ž, Š /Ž
b. . / :, r7 |M] ë| Q O P |MZ
]
ë|
#
J
2Q Q 23Q 1Q
R ×
2QëQ et MZ 2
R
5 5
5
20Q Qr Q
5
Q MZ
7
× J 2 ëQ0
5
Donc . / Ž, ( Q Š7 Q
%
K 2 |MZ ë| Q
5
c. On sait que . / :, |r | Q et 7 ] ]
J 2 |M] ë| Q OJP |MZ ë| Q OJP e 5
ë/: Donc . _ 4 (,
% _
|N_ |Q ·O P
%
moyenne on a : . / :,
- K
ÉxF r7 › y›É Q | ë|
5
- 169 -
]
d. lim O P 0 car 0 9 9 1 PROBLEME 43
] # J J
Alors la suite |N_ | converge : > 7 2>
5
PARTIE A
vers ( et par conséquent la suite #z –8'
N_ _/\ converge vers > 7 2> 0

N_ 2 > 7 2>
1.
_ # 2 > ôp 5 ; ô /
O
e. On sait que ÉMO ëÉ Q · O P et par > 0 12ô 1
5 J
*7 -* ( qui prend la valeur 1

Donc la solution de l’équation
O
conséquent :
· O P Q 10 5
^ ÉMO ëÉ Q 10 5
5 J
par : * q-
O
en 0 est la fonction définie sur
Or · O P Q 10 5
5 J
p5 r ;
2 ln 2 P ln 3 Q 2 ln 10
et 0 ln 2
2.
2P4
5 €• Z#€• 5
€• J r p 5
2 P 4 4,82 Š ( ( l-
a.
D’où ÉN É Q %( - . 4X 7
2p r5
p r
5 7
- = 7
q Š -Š ;
b.
7
X, N est
Donc
une valeur approchée de à %(

Par exemple pour
2 7 2
- 5
c. est solution de
#z –8'
5 = 7
2p r 2r ; 2p 5 r
près
5
#z –8'
2p r 5 7 5
#z –8'
2 r7
5z –8'
#z –8'
Alors est solution de si, et
seulement si Š7
-q–-
%#q–-
r7
d. Déduction
5z –8' ¥Þ
#z –8' ¥
Avec @ 1 p 5
r ln 1 p 5 ¬; ¬ /
Par conséquent :
r 0 ln 2 2 ¬ 0
Et donc r ln 1 p 5
p5 r
D’autres parts :
Alors q- l % q -
p 5 ln 1 p 5
;
PARTIE B
1. Æ ln 1 p 5
z –8'
#z –8'
a. Limite en ∞
È ( car q -
(
# #
- 170 -
b. Dérivée 5. Représentation de k
È7 90. /
-q–U
C :* - l- % l-
Tangente à l’origine du repère
-
!%#q–- $
Sur , Æ est décroissante

On en déduit que :
c. On déduit du sens de variation Æ

Æ N lim Æ ; lim Æ L
#
È N(; È L
. / ,È 10
Par conséquent :
2p 5 Lln 1 p N
7 5 z –8'
#z –8'
2.
7
-q- È
. / , 2p 5 1 0 PARTIE C
7
Æ e
1. On remarque que :
z 8' ¥Þ
Alors est du même signe que
#z –8' z –8' #z –8' #z 8' 5 ¥
Avec @ 1 p 5
. / , 7 10
Par conséquent :
D’où une primitive sur , de la
lim lim
€•! #z –8' $
fonction ³
%
# # z –8'
3.
%#q–-
Posons ¡ p 5
est par
∞, ¡ 0 et par ³ l % q-
%
exemple la fonction définie sur
lim 1
Si
€• #¢ -
¢ Z ¢
% u @w e x
Z
y
#
On conclut donc que
2
7 5
p 5 ln 1 p 5 #z –8'
D’autres parts : On sait que
7
p 5 ln p 5 p 5 1 Donc
5 #z –8'
5 =
p ln p 5
ln p 5 1 ;
- =
q - l % q- ;
Z
Par conséquent :
x y L5 ln 1 p5 N
Z
5
x y 1 1 p ln 1 p5
Z 5
lim
Déduction
5
@w 25 ƒ„²
lim 2 p5 p 5 ln 1 p5
… -X L% % q l % q- N ˆ‰²
% -
( -
lim 2 p 5 0
YZ 0 et Y]# Y] . [ / \
PARTIE D
lim p 5 0
=0; 1; = 0 ; 1 ; =ln 2 ; 0,93;
Car
1.
Sur , est croissante . / =0; 1;, / =ln 2 ; 0,93;

4. Tableau de variation de Par conséquent :
Or =ln 2 ; 0,93; “ =0; 1;

∞ ∞ D’où . / =(; %;, / =(; %;
7
- 171 -
YZ 0 / =0; 1; et r
Déduction PROBLEME 44
. [ 4 0, supposons que Y] / =0; 1; #z #z –'

'
et montrons que Y]# / =0; 1; ©

PARTIE A
Y] / =0; 1; ^ Y] / =0; 1;
On déduit de ce qui précède que :
1.
Or Y] Y]#
a. Dérivée
90. /
q
D’où Y]# / =0; 1; si Y] / =0; 1;
7
%#q -
. _ 4 (, `_ / =(; %; Sur , est décroissante

On peut donc conclure que : On en déduit que :
b. lim lim –'

z –'
YZ 0 et Y YZ ln 2
# # z #
On a donc Y 1 YZ ( car q (
# #
. [ 4 0, supposons que Y]# 1 Y] % car q (
et montrons que Y]#5 1 Y]#
On déduit du sens de variation de
Y]# 1 Y] ^ Y]# 1 Y] Á admet deux asymptotes

que : On déduit de ces résultats que :
Or Y]# Y]#5 et Y] Y]# horizontales d’équation * ( au

D’où Y]#5 1 Y]# si Y]# 1 Y] voisinage de ∞ et d’équation
* % au voisinage de ∞
. _ 4 (, `_#% 1 `_ et que la suite c. Ω O0; P
5
`_ est croissante 2e0
1
z'
On sait que . [ 4 0, Y] / =0; 1;
Déduction
#z –' #z ' z '# #z '
Y] étant croissante et majorée, par
-e( -e
%
3. Soit ‹ lim Y]
-
exemple par 1, alors elle converge
Alors Q O(; P est un centre de
%
] #
-
symétrie de Á
‹ O lim Y] P lim Y]
On a :
] # ] #
d. On note A la tangente à k au
Donc ‹ lim Y]# point Ω O0; P
Car est continue sur
] # 5
Or lim Y]# lim Y] ‹ Le coefficient directeur de C est
] # ] #
D’où • • (
7 %
U
. [ 4 0, 0 Q Y] Q 1
D’autres parts :
(Q `_ Q %
_ #
C’est-à-dire que • / =(; %;
- 172 -
e. Tracer de A et k
On note : xZ › y› et
PARTIE B
Ô xZ r › y›
∞ ∞
7 1. : Ô xZ › y› xZ r › y›
1 : Ô xZ ! › r › $ xZ y›
Donc on a : Ž Õ %
0
a. . › /
2.
&
#z –B z –B O –B# P
,
p œ d’où
zB
z –B #z –B z B#
Or
zB ¥Þ œ
#z –B z B# ¥ œ
b.
Avec @ › p 1 œ
de Š sur , est par exemple la

On en déduit qu’une primitive
fonction « définie sur par

« Ÿ l qŸ %
a. r Ô xZ r › y› =ln p œ 1 ;Z
2. Par conséquent :
#z –' #z –'
et
Donc Š Õ lO
q#%
P
-
3. On sait que : Ô 1
D’où Ž % lO P
q#%
La courbe ) de Š est l’image de
On en déduit que :
-
la courbe Á de par rapport à la
symétrie orthogonale d’axe Û; Üt a. . / =0; ∞=, Q0Q
4.
r 1 2p Qp
2091 p Q1 p
b.
2 Q
#©
d’après 1c)
5 5 ' #z
–' #z
/ =(; ∞= ,
On a :
Alors la courbe ) de Š est Donc . QŠ
l’image de la courbe Á de par b. u @w e xZ !r $y
xZ !r $y
droite d’équation *
%
la symétrie orthogonale d’axe la
xZ r y xZ y
-
c. A′ est la tangente à Γ au point
Ω O0; P xZ !r $y Ô :
5
@w 16 ƒ„²
On a r7 7
Donc … %‡ Õ Ž ˆ‰²
C′ est : Š7 ( (
%
Donc le coefficient directeur de
7
… %‡ L % - l O PN ˆ‰²
On en déduit que :
q#%
U
d. Représentation de A′ et Γ -
(Voir la figure)
- 173 -
Æ p ln 1 p
PARTIE C PROBLEME 45
xZ Æ › y› 1; ;0; ∞=
€•
PARTIE A
²
=0; ∞= 1. r 2 ln 1; ;0; ∞=
et
J
Ç < ©
est la primitive de È sur =(; ∞=

1. a. Dérivée
Š7 K - - K K -
qui s’annule en (
a.
. / ;0; ∞=, 1 0
È Alors le signe de r7
7
. / =0; ∞=, p 1 0 et celui de 3 J 2

dépend de
1 p 1 1 2 ln 1 p 10 3 J
2102 1
Ñ 5
J
. / =0; ∞=, 7 Æ 10
Par conséquent :
Par conséquent :
. / R0; S , r7 90
Ñ 5
Alors sur =0; ∞=, est croissante

On en déduit que :
J
. /R ; ∞ S , r7 10
Ñ 5
a. Æ7 p ln 1 p p e
2.
z –'
J
–' #z
Æ7 Æ Æ r
#z –'
On en déduit que :
Donc È È7 Š Sur R0; S , r est décroissante
Ñ 5
J
xZ Æ › y›
Sur R ; ∞ S , r est croissante
Ñ 5
xZ !Æ7 › r › $y›
b.
J
=Æ › ¨ › ;Z b. On déduit de ce qui précède que r
Ñ 5
q % l q % q - l-
Don on a :
J
atteint son minimum pour
Par conséquent :
. / ;0; ∞= , r 4r
Ñ 5
J
Or r O1 ln P 110
Ñ 5 5 5
J J J
D’où . / ;(; ∞= , Š 10
2.
&
e 8 5 €•
a. 7 '
Ð
1
K - l #%
7
K
©
On a donc 7 Ñ
. / ;0; ∞=, 1 0J
Alors 7 et r sont de même

signe
- 174 -
3. Tracer de C et ∆ puis Á
∞
(j
o limZj 8
∞
Car limj ln ∞
n Z
m lim
Zj
1 1
∞
#
lim 0
€•
8
#
lim 1 ∞
Car
#
D’après 1), . / ;0; ∞=, 7 10


On en déduit que :
0 ∞
7
∆ :> 1
Soit v 1 1
PARTIE B
* (
c.
l
1. u v @w e x > y
² {
# #
Alors la droite ∆ : * % est
x > y x ² y
{ { €•
une asymptote oblique à Á au
voisinage de ∞
Position de Á et ∆ ln
@ @7
>
€• H 1 2}
² |7 |
²
. / 0; ∞=, ² 1 0
; {
> dépend x > y L N x y
{ €• {
²
de celui de ln
Alors le signe de
1 {
x > y L N
{ €•
ln 1 0 2 1 1
x > y 1
{ €• { 1
. / ;0; 1 =, > 90
Par conséquent :
{ {
. / ;1; ∞ =, >10 … † O%
l† %
Pø
† †
lim 0
€• {
Sur ;(; % =,
On en déduit que :
2. }{ # {
Á est en dessous de ∆ lim
1
0
Sur ;%; ∞ =, { # {
Á est au dessus de ∆ … † %
† #
Et donc ;
Alors
%
d. A : > 7
1 1 1 3. u v U1
T €• { 1 1
5 { { 2
U 2v 2 ln v 2 v
D’où A : > 2 2
U 2 ln v v 2 0
U 2 ln v v 2 0
- 175 -
Donc l’équation : … †
;
YZ 5 et .[ / \,Y]# ñ Y] où
PARTIE C
-
est
ñ 2 ln 2; ò ;0; ∞=
4. Soit Æ la fonction définie sur =1; ∞=
équivalente à l’équation
par : Æ v 2 ln v v 2 a. YZ 5 / =5; 6;
1.
È7 † %
- - †
† † . [ / \, supposons que Y] / =5; 6;
. v / =1; ∞=, v 1 0 et montrons que Y]# / =5; 6;
Alors le signe de Æ7 v dépend de Y] / =5; 6; ^ 5 Q Y] Q 6
celui de 2 v ^ 2 ln 5 2 Q 2 ln Y] 2 Q 2 ln 6 2
2 v102v92 ^ 5,21 Q ñ Y] Q 5,58
Or ñ Y] Y]# et
. v / =1; 2=, Æ7 v 1 0 =5,21; 5,58; “ =5; 6;
Par conséquent :
. v / ;2; ∞=, Æ7 v 9 0 D’où Y]# / =5; 6; si Y] / =5; 6;
Sur =1; 2=, Æ est croissante . _ / \, `_ / =X; ‡;

On en déduit que : On conclut donc que :
Sur ;2; ∞=, Æ est décroissante
b. ó7 1 0 . / ;(; ∞=
-
v 1 2 ∞ Sur ;0; ∞=, ñ est croissante

On en déduit que :
Æ v 7 YZ 5; Y ñ YZ 5,21
2 ln 2 On a donc Y 1 YZ
0
Æ v . [ / \, supposons que Y]# 1 Y]

et montrons que Y]#5 1 Y]#
1 ∞ Y]# 1 Y] ^ ñ Y]# 1 ñ Y]
Or ñ Y]# Y]#5 et ñ Y] Y]#
D’où Y]#5 1 Y]# si Y]# 1 Y]
lim Æ v lim v O2 1 P
€• { 5
{ # { # { {
È † ∞
† #
Sur =1; 2;, Æ v / =1; 2 ln 2; donc . _ / \, `_#% 1 `_ et par
Æ v £0 conséquent la suite `_ est

Sur ;2; ∞=, Æ est continue car croissante
c. La suite `_ étant croissante et

Alors Æ réalise une bijection de

décroissante.
;2; ∞= sur ; ∞; 2 ln 2= et
majorée par exemple par 6, alors
0 / ; ∞; 2 ln 2=
elle est convergente
a. . / =5; 6;, Q Q
5 5 5
Donc l’équation È † ( admet
2.
W R
2 Qñ Q
7 5
;-; ∞= J R
une unique solution dans
. / =5; 6;, |ñ7 | Q

5
Par conséquent :
l’unique solution sur =%; ∞= de
On conclut alors que est
R
b. On sait que w / =5; 6; et
Æ 5 0,21 1 0 . [ / \, Y] / =5; 6;
l’équation
f
Æ 6 0,41 9 0
On a È X e È ‡ 9 0
Alors X 9 w 9 6 . [ / \, ax ® ñ7 › y›a Q |Y] w|

moyenne on a :
5
R
^ É=ñ › ; ® É Q |Y] w|
5
R
^ |ñ Y] ñ w | Q |Y] w|
5
R
- 176 -
Or ñ w w car les équations
ñ
PROBLEME 46
ñ Y] Y]# 2 1 ln pour 1 0
et sont équivalentes et PARTIE A
f
D’où . _ / \, 0 0
|`_#% | Q |`_
-
| =0; ∞=
X
1. Continuité en (
limj ln 0
[ 0^ |Y w| Q |YZ w|
5
limj 0 car
Z
R Z limj2 0
[ 1^ |Y5 w | Q |Y w|
5 Z
R (
[ 2^ |YJ w| Q |Y5 w|
5 (j
R Alors est continue en (
c Dérivabilité en (
[ [ 1 ^ |Y] w| Q |Y] w|
5
∞
(
R
(j (
membre de ces [ inégalités. Car limj ln ∞

Z
Alors n’est pas dérivable en (
5 ]
|Y] w| Q O P |YZ w|
R
A l’origine = du repère, k admet
5QwQ6
^ 1 Q YZ w Q 0
une demi-tangente verticale dirigée
^ |YZ w| Q 1
vers le haut
5 ] 5 ]
^ |Y] ‹| Q ORP |YZ w| Q ORP e 1
2.
7
ln
a. Dérivée
- _ . / ;0; ∞=, ln 1 0
naturel _, |`_ |QO P
X 209 91
5 ]
d. lim O P 0 car 0 9 9 1
5
. / ;0; 1=, 7 10
Par conséquent :
] # R R
Alors la suite |`_ | converge ;
. / 1; ∞ , = 7
90
vers ( et par conséquent, la suite
`_ _/\ converge vers Sur ;0; 1=, est croissante
On en déduit que :
3. On sait que |Y] w| Q O P

5 ] Sur ;1; ∞=, est décroissante
R lim 2 ∞
b. H #
5 ] lim ln ∞
^ |Y] w| Q 10
Donc
O P Q 10 J J #
∞
R
5 ]
Or O P Q 10 J #
Alors
R
2 [ ln O P Q 3 ln 10
R
c. Tableau de variation de
5
2[4
J €• Z 0 1 ∞
8 7
€•O P
8
2 [ 4 7,53 2
0
D’où on a |`_ | Q %( K
._4™
`_ est une valeur approchée de 0 ∞

à %( K près pour _ %( par
a. Coordonnées de X
exemple 3.
Y 1; >Y 1 2
- 177 -
Donc X %; - et la tangente à Á
b. ÁE et la partie de Á
au point X a pour coefficient correspondant à =%; ∞= sont
directeur 7 % (
droite d’équation *
symétriques par rapport à la
Coordonnée de Z
0 2. r 2 ln 1 ; © =0; ∞=
(Voir le graphique)
2 0 ou ln 1 r ©
2 0 ou p Alors ) et Á sont symétriques
et
Donc Z q; ( et la tangente à Á
au point Z a pour coefficient
par rapport à l’axe des abscisses
directeur 7 q %
(Voir le graphique)
Coordonnées de [ 1. Soit v / ;0; p=

PARTIE C
! \$ 2 : v x{ ln y
7 z
2 ln \ 2
2 \ p 5 et >\ 6p 5 @7
@ ln
Donc [ q - ; ‡q - et la tangente à 2
|7 | 5
Á au point [ a pour coefficient z
5
directeur 7 q - - : v L ln N x{ y
5 z
5 { 5
z
b. Tracer de Á : v L 5
ln 5
N
5 M {
Ž † †- l †
q- †- %
U U -
2. Déduisons u v x{ y
z
u v 2 x{ y 2 x{ ln y
z z
u v = 5 ;z{ 2:
… † †- †- l †
q- K
- -
u v représente l’aire en unité d’aire

Interprétation géométrique

du domaine plan délimité par la
w et
p
3. lim u v
z8
Z 5
limjw ln w 5
0
1. ñ ; ò =1; ∞=
PARTIE B
Z
a. D’après les variations de : limjw5 0

Car
Z
Sur =1; ∞=, ñ est continue car
Donc …
q-
dérivable et est strictement -
Alors ó réalise une bijection de k et Γ étant symétrique, on a :

décroissante. 4. Déduction
=%; ∞= sur Õ ; ∞; -; u uE en unité d’aire

Or @w 4 ƒ„²
D’où …7 -q- ˆ‰²
- 178 -
PROBLEME 47 2. D’après le tableau de variation de r,
1. r ln 1 ; . / =(; • =, Š 10
PARTIE A on a :
5 8 5
. / =•; ∞ =, Š 9(
8#
©=0; ∞=
a. Dérivée
Š7
- %# %
si £0
PARTIE B
€• ²#
H
²#% -
. / =0; ∞=, 2 4 0; ² 1 1 0 5
0 0
et 1 10
1. lim lim
Z €• ²#
celui de 1
dépend de
Z Z Z
1 102 91 (
%
²
( (
. / =0; 1=, r7 10 lim ² 0

Par conséquent :
Z
. / ;1; ∞=, r7 90
lim 1
Car €• ¢#
Z ¢
Sur =0; 1=, r est croissante Alors est dérivable en ( et
On en déduit que :

7
( %
A l’origine = du repère, k admet
0 1 ∞
r coefficient directeur 7 0 1 et
une tangente d’équation de
7
1 ln 2 d’équation >
0
r 2. . /
0 ∞
Alors est une fonction impaire
La courbe Á de est symétrique

Déduction
Š ∞
3. . / =0; ∞=,
par rapport à l’origine du repère
#
o lim 2
5 ²
si £ 0 et 7 0 1
7 ©
¿ # 8
lim 1 ∞5
. / ;0; ∞=, 5 1 0
²#
n #
Car
¿ lim ln ¡ ∞ Alors le signe de 7
m ¢ # celui de r
dépend de
b. Sur =1; ∞=, r est continue car

. / =0; ‹ =, 7 10
Par conséquent :
. / =‹; ∞ =, 90
7
décroissante.
=1; ∞= sur ; ∞; 1 ln 2; et Sur =0; ‹ =, est croissante

On en déduit que :
0 / ; ∞; 1 ln 2; Sur =‹; ∞ =, est décroissante

une solution unique • dans
l’intervalle =%; ∞= 0 ‹ ∞
rO P 0,105 1 0
× 7
H M
‹
0
r 2 0,009 9 0
On a : Š O P e Š - 9 0
U
Alors Q • Q - 0 0
U
- 179 -
&
€• ²O # P
lim lim '²
ñ atteint son maximum en 0 et
b. On déduit de ce qui précède que :
# #
lim 2 e
€•
e ln O1 P ñ 0 0
#
Donc . / ; %; ∞=, ó Q(
²
(
. 1 %, l % Q
Ceci montre bien que :
#
o lim
€•
0 c. La tangente en 0 a pour équation
¿ # >
lim 0
>
€• ²#
n #
Car
¿ lim
²
m # 0 . / , ²401 1
Alors ln 1 ² Q ² d’après 4b)
²
4. ñ ln 1 ;
; 1; ∞= . / ; ∞; 0=, >10
Par conséquent :
;
. / 0; ∞ , = >90
ò
a. ó7
#%
. / ; 1; ∞=, 110 Sur ; ∞; 0=, k est au dessus de
On en déduit que :
Alors le signe de ñ 7
sa tangente en 0
celui de – Sur ;0; ∞=, k est en dessous de
dépend de
sa tangente en 0
. / ; 1; 0=, ñ7 10 5. Tracer de Á
Par conséquent :
;
. / 0; ∞ , ñ = 7
90
Sur ; 1; 0=, ñ est croissante

On en déduit que :
Sur ;0; ∞=, ñ est décroissante

Tableau de variations de ó
1 0 ∞
ñ 7
0
0
∞ ∞ š xZ › y› ; •
PARTIE C
1. Soit 4 1 0
ó ∞ š 4
]
xZ › y› est l’aire en unité
%j
lim j 1 0#
d’aire du domaine plan limité par la
limj ln ¡ ∞
0 et 4
Car
¢ Z
ó ∞
š 4
# ]
xZ › y› x ] › y›
Z
Par ailleurs :
lim ∞
Car
la courbe k , l’axe des abscisses et

#
est l’aire du domaine plan limité par
lim lim e 0
€• # # €• #
# # # 4 et
0
- 180 -
Or ces deux domaines sont D’où on a . Ÿ 4 %,
x% ŸQž ž % Q x% Ÿ
symétriques par rapport à l’origine l Ÿ² l -Ÿ²
Ÿ Ÿ
D’où ž et ž
du repère
y@ 2›y› 2√@ y›
f@ ›5^f
Posons
5
sont les aires de
| 2› y| 4›y› 2√2√| y›
domaines isométriques du plan
y›
½¥
Déduction
^}
5√¥
Deux domaines isométriques du
y›
√5½^
D’où ž ž
plan ont même aire.
5√^
On en déduit que ž est une On en déduit que :
x y› x y@ ln
€• œ² √ €• ¥ 5
2. š est la primitive de sur qui
fonction paire
œ 5 ¥ W
y› y| ln
√ €• ^
s’annule en 0 Et x x
€• 5œ² 5
œ ^ ˜
Et par conséquent : . 4 %,
. / , š7
Par conséquent :
ž % l Q ž Qž % l
% - % -
Et d’après les variations de : %‡ ™
. / ; ∞; 0=, š 7 90 lim ln ∞ et 0 Q š 1 Q
5
. / ;0; ∞=, š 7
#
10 ž ∞
#
Alors
Sur ; ∞; 0=, š est décroissante 4 1,

On en déduit que :
Sur ;0; ∞=, š est croissante

5 5
D’autres parts :.
O P Q Q O P
• €• • • €•
W √ ˜ √
lim 0 et lim 0
€• •
a. . / =0; 1;, 0 Q Q
3.
# √ #
2 0 Q xZ y Q xZ y ž
(
#
Or xZ y š 1 et
Alors
xZ y L ²N
La courbe de š admet une branche
5 Z 5
D’où on a bien : ( Q ž % Q
%
abscisses au voisinage de ∞
-
parabolique de direction l’axe des
b. . › 4 1, on a : › 4 1et donc : 5
›5 Q ›5 1 Q ›5 ›5 4. Tableau de variations de ž
2 › 5 Q › 5 1 Q 2› 5
2 ln › 5 Q ln › 5 1 Q ln 2› 5 0 ∞
š 7
Donc . Ÿ 4 %, Q Q
l Ÿ² l Ÿ²#% l -Ÿ²
Ÿ Ÿ Ÿ ∞
c. . 4 1, x
€• œ
y› L ln › 5 N š
œ 5
x%
l Ÿ
Ÿ
%
l - 0
š étant une fonction paire, sa courbe
Ÿ -
Déduction : . › 4 1,
est symétrique par rapport à l’axe
x y› Q x y› Q x y›
€• œ² €• œ²# €• 5œ² des ordonnées
œ œ œ
2x y› Q x › y› Q x y›
€• œ² €• 5œ²
œ œ
Or x › y› x › y› xZ › y›
Z
xZ › y› xZ › y›
š š 1
- 181 -
& &
e√ e€•
7 ' 8√'
PROBLEME 48
5√ 5
2.
r 1 ; ;0; ∞=
€•
PARTIE A
JK '
5 5#€• #
© 7 8
5
M √ 5 √
Or r 1
€•
Š7 % 10. / ;(; ∞=
1. Dérivée
%
5
- 7 Š
- √
D’où
3. . / ;0; ∞=, 2 √ 1 0
On en déduit que :
Tableau de variation de Š Alors le signe de 7

celui de r
dépend de
0 ∞
r 7
. / ;0; 1=, 7 90
Par conséquent :
∞ . / ;1; ∞=, 7
10
r
Sur ;0; 1=, est croissante
On en déduit que :
∞ Sur ;1; ∞=, est décroissante
Š ∞
0 1 ∞
(j
limj 1 1
Z 7
0
limj ln ∞ ∞ ∞
Car
Z
Š ∞
#
lim 1 ∞
Car H # 1
lim ln ∞
#
• √ ‚ (
l
2. r 1 0 # # -√
4.
Au voisinage de ∞, Á et Á(
Déduction
r étant croissante et r 1 0 alors :
Déduction :
. / ;(; %=, Š 9(
sont asymptotes
√
€•
. / ;%; ∞=, Š 1( 5.
5√
. / ;0; ∞=, 2√ 1 0
√ dépend
√
€•
; ;0; ∞= de celui de ln .
PARTIE B Alors le signe de
ln 1 0 2 9 1
5√
1. limj limj√ e ln
Z Z 5√
∞ . / ;0; 1=, √ 10
Par conséquent :
. / ;1; ∞=,
(j
limj√ 0 √ 90
o
¿ Z
limj ∞ Sur ;0; 1=, k est au dessus de kZ
On en déduit que :
n Z √
Sur ;1; ∞=, k est en dessous de
Car
¿ limj ln ∞
m Z kZ
∞
#
lim √ ∞
Car }
#
lim 0
€•
# √
- 182 -
6. Tracer de Á et Á( . [ 1 0, supposons que . ô,
0 Q ô Q [ 1,
O1 PQx y Q O1 P
_ 5 _#
] ]
et montrons que . ô, 0 Q ô Q [
_ _#
O1 PQx y Q O1 P
5
]# ]#
En effet : . ô, 0 Q ô Q [
Si 0 Q ô Q [ 1, on a par hypothèse
O1 PQx y Q O1 P
_ 5 _#
] ]
Or 1 Q 1 Q1
_ _
]# ]
D’où l’inégalité % :
O1 P Q O1 PQx y
_ _ 5
]# ]
Y] ∑]_¹ O1 P;[ 1 0
_
PARTIE C
Si 1 Q ô Q [, alors 0 Q ô 1 Q [ 1
D’autres parts :
] ]
1. Ô x y
5
O1 PQx y Q O1 P
_ 5 _
et on a par hypothèse
Ô est l’aire en unité d’aire du

] ]
a. Interprétation géométrique
Or 1 Q 1 Q1
_ _#
] ]#
k , l’axe des abscisses et les D’où l’inégalité - :
domaine plan limité par la courbe
1 et 2 x
5
y Q O1
_
PQ O1
_#
P
] ]#
b. Calcul de x y
5 €•
5√ Les inégalités % et - montrent
@ ln @7 . ô, 0 Q ô Q [,
Intégration par parties que
H 7 ^H O1
_
PQx
5
y Q O1
_#
P
| |
5√ √ ]# ]#
Si . ô, 0 Q ô Q [ 1,
x 5 y •√ ln ‚ y
5
x
5 €• 5
O1 PQx y Q O1 P
_ 5 _#
√ √
y •√ ln 2√ ‚
5
x
5 €• ] ]
5√
x% -
- l
- -√- √- l - . _ 1 0 et . ö, ( Q ö Q _ %,
O% P Q x% Q O% P
√ ö - ö#%
c. Ô x y x √ y x y
5 5 5 €•
_ _
5√
Ñ 5
Ô L N x y
5 5 €• _ _#
O1 ]P Q ] x y Q ] O1 P
5
3. On déduit de ce qui précède que :
8
J 5√ ] ]
2 ∑[ô 01 [ O1 Q[e y Q
1 ô 1 2
P x
Õ √- l -
%(√- ™
[ [ 1
O1
K
∑[ô 01
1 ô 1
P
[ [
Or Y] ∑]_¹Z O1 P
_
Soit ô / \, 0 Q ô Q [ 1 ] ]
O1 P ;x y Ô et
] 5
] ]
=1; ∞=
On sait que est croissante sur
Y] O1 P ∑]_¹Z O1 P
Z _#
Vérifions la propriété au rang 1 ] ] ] ]
Pour [ 1, ô 0 et on a :
. / =1; 2;, 1 Q Q 2 `_ Q Õ Q `_
D’où on a bien :
- %
_ _
a: 1 Qx y Q 2
5
Et d’après l’inégalité de la moyenne on
0
O1 1P Q x y Q O1 P
5
Par conséquent :
- 183 -
4. Y] Q Ô Q Y]
5
] ]
PROBLEME 49
QÔ Y[ Q 1 p ,
2 1
2
PARTIE A
[ [
2 Ô
2
Q Y[ Q Ô
1
5 p ,
[ [
J 1 p
Donc Õ Q `_ Q Õ
% -
_ _ 1 2 3
lim lim 0
Déduction 1.
5
7
q
a. Dérivée
] # ] ] # ] %
. / ,p 1 0
Ô Q lim Y] Q Ô
Alors en passant à la limite, on a :
7
] #
`_ Õ celui de – .
_ #
On en déduit que :
. / ; ∞; 0=, 7 10
Par conséquent :
. / ;0; ∞=, 7
90
Sur ; ∞; 0=,
On en déduit que :

est croissante
∞
%
lim 1 ∞
lim p ∞
Car
% (
#
lim p 0
#
lim p 0
Car
#
c. Tableau de variations de %
∞ 0 ∞
7
0
1
∞ 0
7
1 p
2. Dérivée
5
. ,p 1 0
/
7
5
1.
celui de
. / ; ∞; 1=, 57 90
Par conséquent :
. / ;1; ∞=, 5 7
10
Sur ; ∞; 1=, 5 est décroissante

On en déduit que :
Sur ;1; ∞=, 5 est croissante
- 184 -
- 5
dépend de celui de 2 1.
Tableau de variation de Alors le signe de
∞ 1 ∞
7
0 . / N ∞; L, 90
Par conséquent :
5 1 2
∞ 0
5
. /N ; ∞L , 1 2
10
5
5
p Sur N ∞; -L,
%
On en déduit que :
% ∞ SurN - ; ∞L,
%
lim ∞ Á% est au dessus de ÁK

lim p ∞
Positions de Á% et ÁK
Car
% ( car q ( 2p 1 0 . /
# # J
Alors sur ,
Á% est au dessus de ÁK
3.
- q
a. Dérivée
7
K
. ,p 1 0
/ Positions de Á- et ÁK
7
5 J 1 2 p
celui de 2– . . / ,p 1 0
Alors le signe de 5 J
. / ; ∞; 2=, J7 10 dépend de celui de 1 2 .
Par conséquent :
. / ;2; ∞=, J7
90
. / N ∞; 5L , 10
Par conséquent :
Sur ; ∞; 2=, J est croissante
On en déduit que :
2 3
Sur ;2; ∞=, J est décroissante . / N5 ; ∞L , 2 3
90
∞
Sur N ∞; -L,
%
On en déduit que :
K
lim 1 ∞ Á- est au dessus de ÁK

lim p ∞ SurN- ; ∞L,
Car %
K ( Á- est en dessous de ÁK
#
lim p 0
# 5. Tracer de Á% , Á- et ÁK
lim p 0
Car
#
c. Tableau de variation de K
∞ 2 ∞
J
7
0
p 5
J
∞ 0
4. Position de Á% et Á-
5 2 1 p
. / ,p 1 0
- 185 -
Soit v 1 1 lim p { 0
PARTIE B Déduction
7
p 1p { #
1 lim vp {
0
q
1.
7 { #
% %
a † ™q
%
Alors % est une solution de -
† #
Alors
*7 * q
l’équation différentielle
2p . /
PARTIE C
p J
Déduction
7
1. Y] x] €• 5 y
]# €• 5
Y] = 2p ;]]# €• 5
On en déduit qu’une primitive de sur
€• 5
est par exemple la fonction définie
ž% q - q
sur par :
`_
% %
2. u v @w e x y
{ -_
x y = 2 p ;{ 2. ¶] Y Y5 â Y]
{
y p v 2 p {
&
x
{
¶] â e 8®
&
@w 4 ƒ„²
5 58 5® 5
8
¾_ %
%
Donc … † U =q † - q † ; ˆ‰² -_
lim p { 0 lim ¶] 1
Déduction En passant à la limite, on a :
{ # ] #
lim vp {
0 Car 0 9 9 1 et lim 0
{ # 5 ] # 5®
… † Uq Alors la suite ¾_ converge vers %
† #
Alors
3. ` v @w e x& ! J $y
{
5
8
x& ! $y
{
J 5
8
x& 2 1 p y
{
8
@ 2 1 @7 2
f 7 ^f
| p | p
x& ! J $y
{
5
8
= 2 1 p ;&{ 2 x& p y
{
8 8
= 2 1 p ;&{
8
x& ! $y
{
J 5
8
2p 8 2v 1 p
&
{
@w 4 ƒ„²
a †
Donc
U L-q -† % q † N ˆ‰²
%
-
- 186 -
Tangente à Á en ( et -á
p sin ; C( : *
PROBLEME 50
PARTIE A C-á : * q -á -á
a. Points de rencontre de Á et Á%
1. 2.
7
p cos sin k k
a. Dérivée
2 sin 1
√2p O cos sin P 2ôß, ô / (
Vérification
2
7 √5 √5 ê
5 5 5
√2p Ocos cos
ê
sin sin P
ê
Alors sur l’intervalle =(; -á;, Á
rencontre Á% aux points
M M
√-q çèé O P
7 á
á
U
Donc
-
/ =0; 2ß; 2 O P/L ; N
ê ê Vê
d’abscisse
M M M
Points de rencontre de Á et Á-
b.
cos O
ê
P 0 k k5
Par conséquent :
M 2 sin 1
2
ê ê ê Jê
2 2ôß, ô / (
ê
M 5 M 5 5
ou
2
ê Rê
M M Alors sur l’intervalle =(; -á;, Á
rencontre Á- au point
ou
á á Xá
çèé O P 1 ( . / L(; N Í Ê ; -áË Ká
U U U
-
d’abscisse
O P √2p cos p
ê í Jê í
7
. / =0; 2ß;, √2p 1 0
Déduction
8 8
5 M
b. et
Alors le signe de 7 O P p sin p
ê í ê í
8 8
celui de cos O P
5 5
dépend de
ê
O P q O P q
á á á á
M 7 - -
- -
Alors Á et Á% ont une même
et
. / L0; N , 7 10
ê
á
M
. /L ; N, 90
ê Rê 7 -
tangente au point d’abscisse
M M
. /L ; 2ßN , 10
Rê 7
M
D’autres parts
O P √2p cos p
Jê Ñí ×ê Ñí
c. Tableau de variation de sur =(; -á;
7 8 8
5 M
et
Sur L0; N et sur L ; 2ßN,
ê Rê
O P p sin p
Jê Ñí Jê Ñí
8 8
M M 5 5
O P
q - et O P q -
Ká Ká Ká Ká
7
Sur L ; N , est décroissante
est croissante
ê Rê
- -
M M
Alors Á et Á- ont une même
Tableau de variation de Ká
-
tangente au point d’abscisse
0 2ß
ê Rê
M M
7
0 0
p 0
í
√5
Ð
5
8í
0 p
√5
Ð
5
-
- 187 -
c. Représentons Á , Á% et Á- b. Une primitive sur de est par
par : ³ !- $
%
exemple la fonction définie sur
7
-
c. š xZ › y›
š L !2 › 7
› $N
5 Z
š L cos › sin › N
z –B
5 Z
ž çèé él
% q–
- -
2. 3_
_# ê
x_ê › y› ; ô / \
Soit ¶] 3Z 3 â 3]
a. ¶] xZ › y› xê › y› â
ê 5ê
x]ê › y›
]# ê
¶] xZ › y›
]# ê
D’après la relation de Chasles :
Or xZ › y› š
D’où ¾_ ž! _ % á$
e 2ß ; Φ
b. Déduction
5ê
¶] cos [ 1 ß sin [ 1 ß
z – ®j& í
5ê =
e p sin 2ß ;
#5ê 5 5
3. Φ
2 ¶] 1 ] z – ®j& í
e sin 2ß 5 5
e sin Car cos [ 1 ß 1 ]#
1 ]
Car sin 2ôß sin . ô / ( 2 a¶[

Φ
1 p [ 1ß
a
On a donc ‘ et Ï‘ Ï
2 2
2 a¶[
1 p [ß
a Q
Alors les courbes Á et Á′ 2 2
lim 0 car 0 9 p 91
z –®í ê
] # 5
coïncident
Alors la suite ¾_ admet une
¾_
PARTIE B %
_ # -
1. limite et
77
2p cos › p œ sin ›
a. On sait que : 3.
7
p cos sin . › / ,p œ 1 0
a.
p sin Alors le signe de › dépend de

celui de sin ›
77
2 7 2 0 sin › 4 0
Par conséquent :
2 › / =2ôß; 2ô 1 ß;, ô / (
sin › Q 0
On conclut donc que est
différentielle : *77 -*7 -* ( 2 › / = 2ô 1 ß; 2 ô 1 ß;, ô / (

. › / =ôß; ô 1 ß;
Par conséquent :
2 2 7 77 On a : › 4 0 si ô est pair
Déduction
_# ê
%
!- 7 77
$ ^ x_ê › y› 4 0
^ 3_ 4 0
-
D’où
- 188 -
Et on a : › Q 0 si ô est impair
_# ê
^ x_ê › y› Q 0
^ 3_ Q 0
-ö 4 (, si ö est pair
-ö Q (, si ö est impair
b. 3Z xZ › y› š ß
ê
% q á
-(
-
3_ x_ê
_# ê
› y›
_# ê _ê
xZ › y› xZ › y›
š! ô 1 ß$ š ôß
1 1
– bj& í
_z _z
–bí
5 5
3_ 1 p O P
_ _ê # z –í
5
On a bien : -ö % öq öá
-(
c. A] |3Z | |3 | â |3] |
|3_ | p _ê 3Z car | 1 _ | 1
On sait que :
A] 3Z p ê 3Z â p ]ê
3Z
Par conséquent :
3Z 1 p ê â p ]_ê
3Z e
z – ®j& í
z –í
C_ !% q $
-(
Donc
_#% á
% q –á
lim p ]# ê
0 car 0 9 p ê
91
] #
Alors C_ admet une limite lorsque
_ tend vers l’infini et on a :
C_
-( % # q–á
_ # –á –á% q - % q
d. ¶ lim ¶] et A lim A]
] # ] #
2
5 z –í M
Vérification
c d # z –í # z –í
Or 3Z
# z –í
5
% % -
D’où on a bien :
¾ C -(
- 189 -

50 Problemes Du Moment Corrigé-1

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50 Problemes Du Moment Corrigé-1

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50 Problèmes Type BAC + Corrigés LOVI Yawo Mawulolo

a. lim lim 1 1 c. lim 2 0.

∞ Alors ) admet une asymptote

Sur , est strictement décroissante

- ( c. est dérivable sur donc continue

D’où . / ,√ 5 11 Soit > / :,

remarquera que ΓE et Γ sont R √ ²# 5√R

Au point 0; 1 la courbe k admet

Sur ;0; 1=, est décroissante

Sur ;1; ∞=, est croissante

lim lim Oln 1 P

u représente l’aire en cm² du

courbes k et Γ et les droites

Sur =0; p=, k est en dessous de Γ

Sur =p; ∞=, k est au dessus de Γ 1 ∞

translation du vecteur 2st

Φ membre de ces [ inégalités. On

Or =3,49 ; 3,79; “ =3; 4; ^ |Y]

. / =3; 4;, Φ / =3; 4;

Or par définition, Y]# Φ Y]

horizontale d’équation > 0 au

1. lim lim ep ∞ car voisinage de ∞

La courbe k admet à l’origine O

du repère une demi-tangente

Sur N0; L, est croissante — v 16•1 2v 1 p 5{ ‚ƒ„J

Sur ;0; ∞=, r est croissante ™

∞ Y] / =0,4; 0,5; et montrons que

lim r ∞ car limj ln ∞ Or par définition, Y]# Y]

Alors r réalise une bijection de

r 0,4 0,12 9 0 |`_#% •| Q |`_ •|

Alors • / =(, U; (, X; [ 0^ |Y ‹ | Q |YZ ‹ |

2. ‹ étant aussi solution de l’équation ˜

, alors ‹ est l’abscisse du [ 1^ |Y5 ‹ | Q |Y ‹|

. / =0,4; 0,5;, membre de ces [ inégalités. On

Or =0,42; 0,43; “ =0,4; 0,5; ˜

1. š est la primitive de qui s’annule

On en déduit que š est croissante

Sur ;0; ∞=, 7 est strictement

@7 Supposons que . / ;0; ∞=,

lim u ‹ 2 est l’aire en unité

a. lim Z lim ' lim

c. I O0; P ³p 1 sont dérivables sur et

Sur , ] est strictement décroissante

Y] est l’aire en unité d’aire du

. [ 4 1, [´]# Q [Y] Q [´]

1. Étude d’une suite auxiliaire ´] a. . º 4 1, Q 1 ^ 0 Q Qp

3. Sur ; ∞; 0=, r est continue car

. / ; ∞; 1=, >90 On en déduit que – Â est solution de

. / ; 1; ∞=, >10 0 sur L ; 1N

Sur ; ∞; %=, Á est en dessous

Sur ; ∞; ‹=, est croissante

Sur ;‹; ∞=, est décroissante

›1 1 . / L1; N , 1,12 Q Æ Q 1,27

D’où . / L%; N , È / L%; N

: L1; N D’où . / L%; N,

Â étant l’unique solution de

Sur L1; N , Æ est décroissante

Sur © , g est décroissante

Sur Ç , Æ est strictement croissante Signe de Æ

Des limites des fonctions g et ln, on . / ;(; % =, È 90

Montrons que 0 9 919 92 limj 1

4. Allure de Γ domaine limité par ) , l’axe des

Sur N ∞; L, est croissante ;0; ∞= sur ; ∞ ; ∞= et