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CORRIGE EXERCICE 3
EXERCICE 4
Corrigé
1 ; 𝑂𝑛 𝑎: ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵(1 ; -1 ; -1) et ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 (2 ; -5 ; -3).
On vérifie que ces deux vecteurs sont non colinéaires. Les points A, B et C sont donc non alignés et
par conséquent définissent un plan.
2.a) ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵. 𝑢 ⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 . 𝑢
⃗ = 0 : alors 𝑢
⃗ est orthogonal aux deux vecteurs de base du plan (ABC). Par
conséquent, 𝑢 ⃗ est un vecteur normal au plan (ABC) et par suite la droite (△) est donc orthogonale
au plan (ABC).
b) 𝑢 ⃗ (2 ; -1 ; 3) étant un vecteur normal au plan (ABC), une équation cartésienne du plan (ABC)
est de la forme 2𝑥 − 𝑦 + 3𝑧 +𝒰 =0 où 𝒰 est une constante réelle à déterminer.
Le point B appartient au plan (ABC) donc ses coordonnées vérifient l’équation de ce plan. Donc
2 – 3 + 0 + 𝒰 =0. Donc 𝒰 = 1
Une équation cartésienne du plan (ABC) est donc 2𝑥 − 𝑦 + 3𝑧 +1 = 0.
𝑥 = 2𝑡 + 7
c) Une représentation graphique de la droite (△) est : {𝑦 = −𝑡 − 1 ,
𝑧 = 3𝑡 + 4
(t∈ ℝ )
d) Les coordonnées (x ; y ; z) du point H, intersection de la droite (△) et du
plan (ABC) vérifient 2𝑥 − 𝑦 + 3𝑧 +1 =0 pour une valeur de t à déterminer.
2𝑥 − 𝑦 + 3𝑧 +1 =0⟺ 2(2𝑡 + 7) − (−𝑡 − 1) + 3(3𝑡 + 4)+1= 0
⟺ 14𝑡 + 28 = 0
⟺𝑡= −2
Et pour t= −2, 𝑜𝑛 𝑎 𝑥 = 3; 𝑦 = 1 𝑒𝑡 𝑧 = −2. D’où H (3 ; 1 ; −2).
3.a) Les vecteurs 𝑉 ⃗ (1 ; 1 ; 1) et 𝑊
⃗⃗⃗⃗⃗ (1 ; 4 ; 0) sont des vecteurs normaux
respectifs des plans P et Q.
⃗ et 𝑊
𝑉 ⃗⃗⃗ sont visiblement non colinéaires (les élèves doivent le démontrer). Par
conséquent les plans P et Q sont non parallèles. Ils sont donc sécants suivant
une droite (D).
b) La droite (D), intersection des plans P et Q est l’ensemble des points M(x ;
y ; z) vérifiant :
𝑥+𝑦+𝑧 =0
{
𝑥 + 4𝑦 + 2 = 0
𝑥 + 4𝑦 + 2 = 0 ⟺ 𝑥 = −4𝑦 − 2
et 𝑥 + 𝑦 + 𝑧 = 0 ⟺ −4𝑦 − 2 + 𝑦 + 𝑧 = 0 ⟺ 𝑧 = 3𝑦 + 2
𝑥 = −4𝑦 − 2
Le système donne donc pour solution :{ 𝑦∈ℝ ou encore
𝑧 = 3𝑦 + 2
𝑥 = −4𝑡 − 2
{ 𝑦=𝑡 t∈ ℝ
𝑧 = 3𝑡 + 2
Ce qui est bien une représentation paramétrique recherchée.
𝑥 = −4𝑡 − 2
{ 𝑦=𝑡 , (t∈ ℝ )
𝑧 = 3𝑡 + 2
PARTIE B
1. g(x)= (1+x)𝑒 −2𝑥 ⇒ g’(x) = (-1-2x)𝑒 −2𝑥 = −(1+2x)𝑒 −2𝑥
On remarque que ∀𝑥 ≥ 1, 𝑔′ (𝑥) < 0. Donc g est strictement décroissante sur [1 ; +∞[.
lim 𝑔(𝑥) =1 et g(1) =2𝑒 −2 +1. g étant décroissante, on a : ∀ 𝑥 ∈ [1; +∞[,
𝑋→+∞
1<g(x)≤ 2𝑒 −2 + 1. or ]1 ; 2𝑒 −2 +1]⊂ [1 ; +∞[. Donc g ([1 ; +∞[)⊂ [1; +∞[.
:
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2.a)Justifions que │g’(x)│≤ 𝑒 2
𝑔’’(𝑥) = 2𝑥𝑒 −2𝑥 et 2𝑥𝑒 −2𝑥 > 0 ∀ 𝑥 ∈ [1 ; +∞[. D’où g’ est strictement croissante sur
[1 ; +∞[.
x∈ [ 1; +∞[ ⇒ x≥ 1 ⇒ g’(x) ≥ g(1)⇒ 𝑔′(𝑥) ≥ −3𝑒 −2
g’(x) étant négatif, on en déduit que │𝑔’(𝑥)│ ≤ 3𝑒 −2 . Ce qui revient au même de dire
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│𝑔’(𝑥)│ ≤ 𝑒²
b) En utilisant l’inégalité des accroissements finis à tout intervalle [𝛼 ; 𝑥]: on obtient :
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∀𝑥 ∈ [𝛼; 𝑥], │𝑔(𝑥) − 𝑔(𝛼)│≤ 𝑒²│𝑥 − 𝛼│
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3.a)Montrons que ∀𝑛 ∈ ℕ│𝑔(𝑈𝑛 ) − 𝑔(𝛼)│≤ 𝑒² │𝑈𝑛 − 𝛼│
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𝑈0 = 1 et pour tout x appartenant à [1 ; +∞[, │g(x) − g(α│ ≤ 𝑒²│𝑥 − 𝛼│. En particulier
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pour tout entier n, │𝑔(𝑈𝑛 ) − 𝑔(𝛼)│≤ 𝑒² │𝑈𝑛 − 𝛼│puisque les 𝑈𝑛 sont des x particuliers de
l’intervalle [1 ; +∞[. Or g(𝛼) − 𝛼 = 𝑓(𝛼)=0. Donc g (𝛼) = 𝛼.
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D’où ∀𝑛 ∈ ℕ,│𝑔(𝑈𝑛 ) − 𝑔(𝛼)│≤ 𝑒² │𝑈𝑛 − 𝛼││
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b) Comme 𝑔(𝑈𝑛 ) = 𝑈𝑛+1 et g(𝛼) = 𝛼, alors , on a : ∀𝑛 ∈ ℕ,│𝑈𝑛+1 − 𝛼│≤ 𝑒² │𝑈𝑛 − 𝛼│
En écrivant les n inégalités, de 1 à n, puis en procédant par des simplifications successives,
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on obtient ,│𝑈𝑛 − 𝛼│ ≤ ( 𝑒²)𝑛 │𝑈0 − 𝛼│. Or 𝛼 ∈ [1; 2] 𝑒𝑡 𝑈0 =1 ; donc
│𝑈0 − 𝛼│≤ 1.
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Conclusion :∀ 𝑛 ∈ ℕ,,│𝑈𝑛 − 𝛼│ ≤ ( 𝑒²)𝑛
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( 𝑒²)𝑛 tend vers 0 qd n⟶+∞. 𝐷′ 𝑜ù lim 𝑈𝑛 =0.
𝑛→+∞
d) pour déterminer le plus petit entier naturel k tel que │𝑈𝑘 − 𝛼│ ≤ 10−3 , il suffit de
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résoudre l’inéquation : ( 𝑒 2 )𝑛 ≤ 10−3
On trouve n≥ 7,66 Donc on prend n=8
Grille critériée
EXERCICE 5, SERIE C