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Faculté de Technologie
Spécialité : « Electrotechnique »
Option : « Commandes électriques »
et présenté par
Intitulé du mémoire
[lines=1]Avec l’aide de Dieu tout puissant, nous avons achevé ce modeste travail que
je dédie :
- à mes trés chérs parents, pour leur soutient matériel et moral, en espérant que je
puisse leur rendre le minimum de bonheur qu’ils m’ont offert ;
- à ma chére femme qui m’a toujours soutenue et aidée en faisant de nombreux sacri-
fices, en espérant que je puisse lui apporter une vie pleine de bonheur ;
- à mes trés chers fréres Abbelkader et Soufiane, ainsi qu’à et ma cherre sœur, son
époux Fethallah et leurs enfants ;
- à mes trés chers amis : Choukri, Boumediene, Amine, Reda, Tahar, Abd Elhafid, les
deux fréres Taleb ;
- à mes trés chers amis de longue date : Kamel, Khaled, Said, Fethi, Sid Ahmed et
Youssef ;
Prénom(s) Nom
Tlemcen, le xx Juillet 2021
Dedicaces 2
[lines=1]Je dédie ce modeste travail á tout ceux qui ont contribué de prés ou de loin à
la réalisation de ce présent projet, ainsi je le dédie á :
- celle qui m’a élevé, m’a nourrit, m’a éduqué, ma mére et celui qui m’a toujours
soutenu et aidé dans toute ma vie, mon pére ;
- á mes trés chers amis : Mourad, Ali, Ismail, Houssam, Benamer , Hamada ;
Prénom(s) Nom
Tlemcen, le xx Juillet 2021
Remerciements
[lines=1]Ce document présente les travaux effectués dans le cadre de notre projet
de fin d’étude de Master au Département de Génie Électrique et Électronique de la
Faculté de Technologie de l’Université Abou Bekr Belkaïd de Tlemcen.
En premier lieu, nous tenons à exprimer notre gratitude à nos encadrants, les
Docteurs Abdelkader MECHERNENE et Mourad LOUCIF, tout deux Maitre de
Conférences á l’Université Abou Bekr Belkaïd de Tlemcen, pour nous avoir proposé
et dirigé ce travail, nous les remercions pour nous avoir fait profité de leur expérience,
pour orientations qui nous ont permis de mener à bien ce travail.
Nous sommes sensibles à l’honneur que nous a fait monsieur Abdelmadjid BOU-
MEDIENNE, Professeur á l’Université Abou Bekr Belkaïd, pour avoir accepté de
présider et de nous honorer de sa présence au sein du jury de soutenance du prśent
mémoire ; qu’il trouve ici l’expression de notre reconnaissance et de notre respect.
Enfin, nous tenons également à adresser nos vifs remerciements au Docteur Sidi
Mohamed MELIANI, Maitre de Conférences á l’Université Abou Bekr Belkaïd, nous
le remercions chaleureusement pour avoir accepté d’examiner le présent mémoire et
pour ses observations et remarques pertinentes et constructives.
Merci enfin à tous ceux qui, de près ou de loin, nous ont aidé et donc ont contribué
au succès de ce travail.
Dedicaces 1 1
Dedicaces 2 3
Remerciements 4
Nomenclature 11
Glossaire 13
Introduction générale 1
III.7.4 . . . . . . . . . . . . . . . . .
Synthèse des différents régulateurs 31
III.7.4-a Régulateur de courant Id . . . . . . . . . . . . . . . . 31
III.7.4-b Régulateur de courant Iq . . . . . . . . . . . . . . . . 32
III.7.4-c Régulateur de la vitesse . . . . . . . . . . . . . . . . 33
III.7.4-d Limitation de courant . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
III.8 Résultats de simulation de la commande vectorielle de la
MSAP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
III.9 la commande Backstepping . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
III.10Principe de la commande Backstepping . . . . . . . . . . . . . 37
III.11Fonctions de Lyapunov . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
III.12Exemple d’application . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38
III.13Application de la commande par Backstepping à la MSAP 39
III.14Résultats de simulation de la commande par Backstepping 43
Conclusion générale 66
Bibliographie 68
[lines=1]Les principales notations et abréviations utilisées dans cette thèse sont ex-
plicitées ci-dessous, sous leur forme la plus couramment employée dans le domaine
du génie électrique.
Indices et exposants
Symbole Signification
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
Constantes
Paramètres
Acronyme Signification
MPP Moteur pas a pas
MPPAP Moteur pas à pas à aimant permanent
MPPH Moteur pas a pas hybride
MRV Moteur pas à pas à réluctance variable
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
...... .........................................................
Introduction générale
[lines=1]Blabla blabla blabla blabla blabla blabla blabla blabla blabla blabla blabla
bla. Blabla blabla blabla blabla blabla blabla blabla blabla blabla blabla blabla bla-
bla blabla blabla blabla blabla.
Contexte de l’étude
Babla blabla blabla.
Problématique
Babla blabla blabla.
Objectif
Babla blabla blabla.
Méthodologie
Babla blabla blabla.
Organisation du mémoire
Babla blabla blabla.
Chapitre I
Présentation et modélisation de la machine
synchrone à aimants permanents
Chapitre I. Présentation et modélisation de la machine synchrone à aimants
permanents 3
Résumé
dddddddddddddddddddddddsadfadDDDDDDDDDDDDDDDDD
Chapitre I. Présentation et modélisation de la machine synchrone à aimants
permanents 4
I.1 Introduction
Les moteurs synchrones jouent un rôle essentiel dans l’industrie. Leur domaine de travail
comprend la conversion de l’énergie mécanique en énergie électrique et vice versa. C’est
une machine dont la vitesse de rotation est synchronisée avec la fréquence du réseau [3].
Cette série de machines se compose en fait de plusieurs sous-séries :
• Machines synchrone à double excitation (MSDE)
• Machines synchrone à rotor bobiné (MSRB).
• Machines synchrones à réluctance variable (MSR).
• Machines synchrone à aimant permanent (MSAP).
Dans ce chapitre, nous présenterons les moteurs synchrones à aimants permanents et Carac-
téristiques des aimants permanents utilisés dans sa structure et leurs principes fonctionne
Pour ce type de machines, les aimants sont placés sur la surface du rotor, comme
illustré sur la figure (I.3). Cette configuration du rotor est la plus couramment utilisée.
Le principal avantage de la machine avec des aimants en surface est sa simplicité et son
faible coût de fabrication. Cependant, un inconvénient est que les aimants sont soumis à
des forces centrifuges qui peuvent entraîner leur détachement du rotor. Parfois, un cylindre
externe non ferromagnétique de haute conductivité est utilisé pour protéger les aimants
permanents contre la démagnétisation et les forces centrifuges. [20].
Chapitre I. Présentation et modélisation de la machine synchrone à aimants
permanents 6
Tout comme les machines avec des aimants en surface, les aimants de type insérés sont
également montés sur la surface du rotor. Cependant, dans ce cas, les espaces entre les
aimants permanents sont partiellement remplis de fer, comme indiqué sur la figure (I.4).
La présence de fer entre les aimants permanents rend ces derniers plus stables face aux
forces centrifuges.[20].
Les machines à aimants enterrés sont des machines dont les aimants sont intégrés au
rotor, comme le montre la figure (I.5). La surface des aimants étant plus petite que celle du
rotor, l’induction dans l’entrefer est plus faible que dans l’aimant lui-même. Les aimants
dans cette configuration bénéficient d’une excellente protection contre les forces centrifuges.
Cette disposition du rotor est particulièrement recommandée pour les applications à grande
vitesse.[20]
Une autre méthode de disposition des aimants dans le rotor consiste à les enterrer
profondément à l’intérieur de celui-ci, comme illustré sur la figure (I.6). L’avantage de
Chapitre I. Présentation et modélisation de la machine synchrone à aimants
permanents 7
cette configuration par rapport aux autres est la capacité à concentrer le flux généré par
les aimants permanents dans le rotor, permettant ainsi d’obtenir une induction plus forte
dans l’entrefer. les aimants permanents de cette configuration bénéficient également d’une
bonne protection contre la démagnétisation et les forces centrifuges.[20]
I.7.3-b Ferrites
Les terres rares sont considérées comme les meilleurs matériaux pour les aimants per-
formants et semblent particulièrement adaptées aux machines électriques. Cependant, leur
coût élevé limite encore leur utilisation généralisée. Néanmoins, des solutions intermédiaires
émergent avec les aimants en Plasto-Néodyme. Ceux-ci sont constitués d’un mélange de
Chapitre I. Présentation et modélisation de la machine synchrone à aimants
permanents 12
Néodyme, de Fer et de Bore, avec un liant plastique. Cette composition permet la fabrica-
tion de pièces moulées, simplifiant ainsi l’assemblage et réduisant le nombre de composants
mécaniques nécessaires.[3]
Les équations triphasées des tensions et des flux statoriques sont respectivement écrites
comme suit[8] :
Chapitre I. Présentation et modélisation de la machine synchrone à aimants
permanents 13
d
[Vs ] = [Rs ] · [Is ] + [φs ] (I.1)
dt
[φs ] = [Ls ] · [Is ] + [Φsf ] (I.2)
En définissant les vecteurs suivants :
h iT h iT h i h iT
[Vs ] = va vb vc [Is ] = ia ib ic φs = φa φb φc
Rs 0 0 La Mab Mac
[Rs ] = 0 Rs 0 [Ls ] = Mab Lb Mbc
0 0 Rs Mac Mbc Lc
— [Vs ] : Vecteur tension statorique
— [Is ] : Vecteur courant statorique
— [φs ] : Vecteur fleux statorique
— [Rs ] : Matrice résistance du stator
— [Ls ] : Matrice inductance du stator
— [Φsf ] : Vecteur flux engendré par l’aimant définie par :
cos(θ)
2π
(I.3)
[Φsf ] = cos θ −
3
2π
cos θ + 3
ω = P Ωr (I.5)
— ω : Pulsation électrique.
— Ωr : La vitesse de rotor.
— P : Nombre de paire de pôle.
dΩr 1
= (Cem − Cr − f.Ωr ) (I.6)
dt J
— J : Moment d’inertie.
— Cem : Couple électromagnétique.
— Cr : Couple résistant.
— f : Coefficient de frottement.
Chapitre I. Présentation et modélisation de la machine synchrone à aimants
permanents 14
Dans ce nouveau référentiel à deux axes - l’axe direct (d) et l’axe de quadrature arrière
(q), perpendiculaires l’un à l’autre - les variables et les paramètres sont représentés. L’angle
θ entre les deux repères est appelé angle Park[8].
La figure I. 12 montre le principe de la transformation de Park
cos(θ) sin(θ) 1
−1 2π 2π
[T (θ)] = cos θ − 3 sin θ − 3 1 (I.10)
cos θ + 2π 2π
3 sin θ + 3 1
La transformation directe de Clarck est déterminée par une matrice [C], elle correspond
les vecteurs des axes (a,b,c) aux vecteurs des axes (α, β, o),elle est appliquée aux tensions,
aux courants, et aux flux,[Vabc ] , [Iabc ] , [φabc ] aux [Vαβ0 ] , [Iαβ0 ] , [φαβ0 ] respectivement
Le vecteur X0 , représente la composante homopolaire.
La transformation de Clarck est définie par :
(
[Vαβ0 ] = [C] [Vabc ]
(I.11)
[Vabc ] = [C]−1 [Vαβ0 ]
[C] et [C]−1 sont les matrices de passage directe et inverse de Clark, qui sont données
par :
−1 −1
1 √ 2 2
√
2
[C] = 0 23 −2 3 (I.12)
3 1 1 1
2 2 2
1 0
√
1
2
[C]−1 = −1 3
1 (I.13)
3
2 2
√
−1 − 3
2 2 1
On a choisi le coefficient pour les matrices de Park et Clarck afin de conserver l’ampli-
tude pendant le passage entre les deux référentiels.
Chapitre I. Présentation et modélisation de la machine synchrone à aimants
permanents 16
Le passage des composantes (α, β) aux composantes (d, q) est donné par une matrice
de rotation déterminer par :
Avec :
— vd : Tension statorique sur l’axe d
— vq : Tension statorique sur l’axe q
— id : Courant statorique sur l’axe d
— iq : Courant statorique sur l’axe q
— LdE Inductance statorique sur l’axe d
— Lq : Inductance statorique sur l’axe q
dΩr 1
= (Cem − Cr − f · Ωr ) (I.17)
dt J
Pa = Va Ia + Vb Ib + Vc Ic (I.18)
Dans le plan de Park cette puissance s’écrit :
3
Pe = (Vd Id + Vq Iq ) (I.19)
2
Chapitre I. Présentation et modélisation de la machine synchrone à aimants
permanents 17
3 dId dIq
Pe = Rs Id + Ld − P ΩLq Iq Id + Rs Iq + Lq + P ωLd Id + P ΩΦf Iq
2 dt dt
(I.20)
3 dId dIq
2 2
(I.21)
Pe = P Ω [(Ld − Lq ) Id Iq + Φf Iq ] + Rs Id + Iq Ld Id + Lq Iq Id
2 dt dt
Pem 3
Cem = ⇒ Cem = P [(Ld − Lq ) id iq + Φf iq ] (I.22)
Ω 2
did
−Rs ωLq 1
dt Ld id + Ld iq Ld 0 0 Vd
diq −Rs ωLd ωΦf 1
= Lq iq − Lq id − Lq + 0 0 Vq
dt Lq
dΩr 3 P Φf P (Lq −Ld ) −1
dt 2 J iq − J id iq − Jf Ω 0 0 J
Cr
(I.23)
Après transformation de Laplace on obtient le schéma bloc suivant :
Chapitre I. Présentation et modélisation de la machine synchrone à aimants
permanents 18
I.9 Conclusion
Dans ce segment, nous avons introduit les machines synchrones à aimants permanents,
exposant leurs avantages, leurs inconvénients et leurs domaines d’application. Ensuite,
nous avons procédé à la modélisation de la machine synchrone à aimants permanents en
utilisant le modèle de Park, ce qui simplifie considérablement la structure et atténue les
non-linéarités. Ce modèle simplifié facilite la mise en œuvre de stratégies de commande
avancées.
Chapitre II
Identification des paramètres de
la machine synchrone à aimants permanents à partir
des essais dynamiques
Chapitre II. Identification des paramètres de la machine synchrone à aimants
permanents à partir des essais dynamiques 20
II.1 Introduction
Dans le schéma de la figure II.1, l’estimateur est chargé de définir la fonction coût à
minimiser. Les estimateurs qui permettent de mieux évaluer ce critère J sont énumérés plus
bas :
— Les moindres carrés simples (MCS)
— Les moindres carrés pondérés (MCP)
— Les moindres carrées généralisées (MCG)
Avec :
ε(k, θ) = ym (k) − yp (k, θ) (II.2)
h i
Wp = diag w1 w2 . . . wnw (II.3)
— Nk : est le nombre d’observations considérés.
— Wp est appelé matrice de pondération, elle est définie positive et symétrique.
La pondération ici permet d’attribuer un poids à chaque sorties. Elle corrige toute
différence marquée des facteurs d’échelles . Dans le cas de sorties multiples, la fonction
coût (II.1) devient :
Nk
Ns X
1 X
J= (ε(k, θ))T Wp (ε(k, θ))
Ns Nk
j=1 k=1
(II.4)
Nk
Ns X
1 X
= [ymj (k) − ypj (k, θ)]T Wp [ymj (k) − ypj (k, θ)]
Ns Nk
j=1 k=1
III.1 Introduction
Les systèmes d’entraînement électriques, utilisés dans de nombreuses applications in-
dustrielles, nécessitent des dispositifs de commande sophistiqués pour assurer des perfor-
mances optimales en termes de régulation de vitesse, de couple et de robustesse face aux
perturbations. Dans ce chapitre, nous nous pencherons sur le système d’entraînement basé
sur un moteur synchrone à aimants permanents (MSAP).
Nous débuterons par une discussion sur l’onduleur de tension, un élément clé du système
d’entraînement électrique, et nous présenterons la modélisation de l’onduleur de tension à
deux niveaux. Nous aborderons ensuite les objectifs principaux de la modulation de largeur
d’impulsion (MLI) pour un onduleur triphasé.
Ensuite, nous nous plongerons dans la stratégie de la commande vectorielle à orien-
tation du flux du MSAP. Nous détaillerons les objectifs et le principe de la commande
vectorielle, ainsi que le principe de l’orientation du flux dans le contexte de la commande
vectorielle de la MSAP alimentée en tension. Nous présenterons également la description
du système global, compris le découplage des différentes grandeurs à contrôler, nous explo-
rerons la synthèse des différents régulateurs proportionnels-intégrateurs (PI) utilisés dans
cette stratégie.
Enfin, nous introduirons la commande par Backstepping, une approche innovante de
commande non linéaire, et nous l’appliquerons au système d’entraînement basé sur la
MSAP. Nous détaillerons le principe de la commande Backstepping, , ainsi qu’une simu-
lation de la commande par Backstepping de la MSAP pour évaluer ses performances en
termes de poursuite, de régulation et de robustesse et nous comparons ses performances
avec celles de la commande vectorielle à orientation du flux et des régulateurs PI.
U0
Vin0 = Si U0 − (III.1)
2
Soit" n " le point neutre du coté alternatif (MASP), les tensions composées sont obte-
nues à partir des sorties de l’onduleur :
Uab = Van − Vbn
Ubc = Vbn − Vcn (III.2)
U =V −V
ca cn an
La charge constituée par la machine est équilibrée, les tensions simples des phases de
la charge issues des tensions composées ont une somme nulle (Van + Vbn + Vcn = 0), donc :
1
Van = 3 [Uab − Uca ]
Vbn = 13 [Ubc − Uab ] (III.3)
V = 1 [U − U ]
cn 3 ca bc
En faisant apparaître le point « n0 ˇ, les tensions entre phases peuvent aussi s’écrire :
Uab = Van0 − Vbn0
Ubc = Vbn0 − Vcn0 (III.4)
U =V −V
ca cn0 an0
Chapitre III. Système d’entrainement basé sur un moteur synchrone à
aimants permanents 26
1
Vnn0 = (Van0 + Vbn0 + Vcn0 ) (III.8)
3
En remplaçant (III.7) dans (III.5), on obtient :
(
Van = 13 [2.Van0 − Vbn0 − Vcn0 ] Vbn = 13 [−Van0 + 2.Vbn0 − Vcn0 ]
(III.9)
Vcn = 13 [−Van0 − Vbn0 + 2.Vcn0 ]
L’utilisation de l’expression (III.1) permet d’établir les équations instantanées des ten-
sions simples en fonction des grandeurs de commande :
1
Van = 3 U0 [2.Sa − Sb − Sc ]
1
Vbn = 3 U0 [−Sa + 2.Sb − Sc ] (III.10)
V = 1 U [−S − S + 2.S ]
cn 3 0 a b c
Id = 0 ⇒ Iq = Is
3
Cem = pφf iq
2
Comme le flux φf est constant, le couple électromagnétique est directement proportionnel
à Iq donc :
3
Cem = kIq , k = pφf
2
Chapitre III. Système d’entrainement basé sur un moteur synchrone à
aimants permanents 29
En parallèle avec cette boucle interne, on trouve une boucle de régulation de Ids . Le
courant Ids de référence est maintenu à zéro.
Les sorties des régulateurs de courant Ids et Iqs sont appliquées à un bloc de découplage
qui donnent les tensions de référence Vds ∗ et V ∗ et par la transformation de Park inverse,
qs
on obtient les tensions Vas ∗ V ∗ , V ∗ , qui sont les tensions de la commande de l’onduleur à
bs cs
commande MLI.
Chapitre III. Système d’entrainement basé sur un moteur synchrone à
aimants permanents 30
III.7.2 Découplage
Le modèle de la machine synchrone dans le référentiel de Park conduit à un système
d’équations différentielles où les courants ne sont pas indépendants l’un de l’autre, ils sont
reliés par des termes ou des coefficients non linéaires ωr Iq , ωr Id et Id Iq .
Vd = Ld dId + Rs Id − ωr Lq Iq
dt (III.6)
Vq = Rs Iq + Lq dIq + ωr (Ld Id + φf )
dt
Ce couplage est éliminé par une méthode de compensation, cette dernière méthode
consiste à faire ajouter des termes afin de rendre les axes d et q complètements indépen-
dants.
et (
Femd = ωr Lq Iq
(III.14)
Femq = ωr (Ld Id + φf )
Alors
Id
1
Vd1 = Rs +sLd
(III.15)
Iq 1
Vq1 = Rs +sLq
Le schéma suivant représente le découplage par compensation Les actions sur les axes
et d et q sont donc découplées.
Ki
F (s) = Kp + (III.16)
s
Le rôle des régulateurs est de maintenir une grandeur de sortie égale à la grandeur
de référence imposé. Les régulateurs de courant et de vitesse peuvent être synthétisés ici
au moyen des techniques classiques développées pour les systèmes linéaires. Le schéma
fonctionnel de la boucle du courant ( Id = RsV+sL
d1
d
) est représenté par la figure (III.5).
Chapitre III. Système d’entrainement basé sur un moteur synchrone à
aimants permanents 32
1
Kid 1 Kid Kpd · s
Fdod (s) = Kpd + = 1+ Rs
s sLd + Rs s Kid Ld
1+ R ·s
!
s
(III.17)
1
Kid Kpd · s Rs Ld
Fdod (s) = 1+ Avec Td =
s Kid 1 + Td · s Rs
Fbod (s)
Fdf d (s) = (III.18)
Fbod (s) + 1
τd = KRids Est la constante de temps, on suppose que le temps de réponse tr sera égale
à : << tr = 3.τd >>, les gains du régulateur PI pour un temps de réponse donné seront
calculés comme suit :
(
tr = 3 · KRids ⇒ Kid = 3·R s
Kpd Ld
tr
3·Ld (III.20)
Kid = Rs ⇒ Kpd = tr
( Rs 3·Rs
tr = 3 · Kiq ⇒ Kiq = tr
Kpq Lq 3·Lq (III.21)
Kiq = Rs ⇒ Kpq = tr
Ki 1 Ki KpΩ · s 1/f
FboΩ (s) = KpΩ + = 1+ (III.22)
s J ·s+f s KiΩ 1 + (J/f ) · s
KiΩ KpΩ · s 1/f J
FboΩ (s) = 1+ Avec Td = (III.23)
s KiΩ 1 + Td · s f
- La fonction de transfert en boucle fermée (FTBF) est donnée par :
FboΩ (s)
Fdf Ω (s) = (III.24)
FboΩ (s) + 1
KpΩ
En posant ≪ KiΩ = J
f ≫, la fonction de transfert en boucle ouverte et fermer seront :
FboΩ (s) = KiΩ
f ·s
F (s) = 1 (III.25)
bf Ω f
·s+1
KiΩ
τΩ = KfiΩ Est le constant de temps, on suppose que le temps de réponse tr sera égale à :
<< tr = 3.τΩ >>, les gains du régulateur PI pour un temps de réponse donné seront
calculés comme suit :
Chapitre III. Système d’entrainement basé sur un moteur synchrone à
aimants permanents 34
( f 3·f
tr = 3 · KiΩ ⇒ KiΩ = tr
KpΩ J 3.J
KiΩ = f ⇒ KpΩ = tr
Ces limitations peuvent causer des problèmes lors de grands phénomènes transitoires
sous formes d’un dépassement élevé de la grandeur à régler, voir même d’un comportement
instable du réglage. La caractéristique non linéaire de la limitation ne permet plus l’appli-
cation de la théorie linéaire afin d’analyser précisément le comportement dynamique dès
que la sortie du régulateur est saturée. La saturation perturbe également le fonctionnement
des régulateurs comportant une action intégrale. En effet, la composante intégrale continue
à croitre, bien que la sortie du régulateur soit limitée.
2 éme étape
Soit z1 l’expression de l’erreur définie par : z1 = x2 + x23 − x1 ref
Pour stabiliser x1 et z1 sur l’origine, il faut que la dérivé de la fonction de Lyapunov soit
négative et donc :
1 1 1
v (x1 , z1 , x3 ) = x21 + z12 + x23 (III.37)
2 2 2
L’expression de sa dérivée est définie par :
Le modèle de machine synchrone a aimant permanent peut être réécrit sous la forme
suivante :
did L
= −R 1
q
Ld id + P Ω Ld iq + Ld vd
s
dt
Φ
diq Ld
dt = −R f
Lq iq − P Ω Lq id − P Ω Lq +
s 1
Lq vq (III.42)
P (Ld −Lq ) P Φf
dΩ
iq − Jf Ω − J1 Cr
dt = J id + J
A partir de ces variables on calcule ainsi les commandes en tension (vd , vq ) nécessaire
pour assurer la commande en vitesse du MSAP ainsi la stabilité du système global.
Chapitre III. Système d’entrainement basé sur un moteur synchrone à
aimants permanents 41
e1 = idref − id (III.44)
A partir des équations (III.44) et (III.42), les équations dynamiques de l’erreur sont :
1
v1 = e21 (III.46)
2
La dérivée de la fonction s’écrit à partir des équations (III.44), (III.38) comme suit :
v̇1 = e1 ė1
(III.47)
Rs Lq 1
v˙1 = e1 i̇dref + id − P Ω iq − vd
Ld Ld Ld
Afin que la dérivée du critère soit toujours négative, il faut que la dérivée de v1 prenne la
forme v̇1 = −k1 e21 introduit par la méthode du Backstepping, d’où :
Rs Lq 1
v̇1 = e1 k1 e1 + id − P Ω iq − vd = −k1 e21 (III.48)
Ld Ld Ld
Chapitre III. Système d’entrainement basé sur un moteur synchrone à
aimants permanents 42
Cette équation nous permet de définir la commande en tension vd du sous système afin
d’assurer la stabilité de Lyapunov et de forcer le courant id de suivre sa référence idref = 0
On obtient la tension de référence vdref :
Rs Lq
vdref = Ld k1 e1 + id − P Ω iq (III.49)
Ld Ld
e2 = Ωref − Ω
ė2 = Ω̇ref − Ω̇
(III.50)
3 P (Ld − Lq ) P Φf f 1
ė2 = Ω̇ref − id + iq + Ω + Cr
2 J J J J
Notre objectif exige que l’erreur e2 converge vers zéro, ce qui est satisfait en choisissant
iq comme commande virtuelle dans l’équation (III.50).
La fonction de Lyapunov étendue sera définie comme suite :
1
v2 = v1 + e22
2
1 2
e1 + e22
v2 =
2
En choisissant v2 Semi défini négative tel que :
e3 = iqref − iq (III.54)
Chapitre III. Système d’entrainement basé sur un moteur synchrone à
aimants permanents 43
1
v3 = v1 + v2 + e23 (III.56)
2
1 2
e1 + e22 + e23 (III.57)
v3 =
2
La dérivée de la fonction s’écrit comme suit :
h i
−P Φf Φf
k3 e3 + P JΦf k2 − Jf J i q + f
J Ω + 1
J C r + k2 Ω̇ ref + Ω̈ Rs Ld
ref + Lq iq +P Ω Lq id +P Ω Lq −
1
Lq vq = 0 (III.60)
h h i i
−P Φf Φ
vqref = Lq k3 e3 + J
P Φf k2 − Jf J i q + f
J Ω + 1
C
J r + k Ω̇
2 ref + Ω̈ ref +
Rs
Lq iq + PΩL f
Lq id + P Ω Lq
d
(III.61)
Dans cette partie, nous avons définie à partir de la commande par Backstepping, les
variables de références vdref et vqref nécessaires à la commande de la vitesse du MSAP,
tout en exigeant une stabilité des sous systèmes en cascade afin d’assurer une stabilité
asymptotique du système globale.
IV.1 Introduction
Les énergies renouvelables désignent un ensemble de moyens qui produit de l’énergie
à partir de sources ou de ressources théoriquement illimitées, disponibles sans limite de
temps ou reconstituables plus rapidement qu’elles ne sont consommées (hydraulique, so-
laire, éolienne, géothermique,.).
Dans ce chapitre, on s’intéresse essentiellement aux différents types d’éoliennes avec
leurs constitutions et leurs principes de fonctionnement et la Conversion de l’énergie , ainsi
la Modélisation du système éolien.
L’énergie éolienne est une énergie "renouvelable" non dégradée, géographiquement dif-
fusée, de plus, c’est une énergie qui ne produit aucun rejet atmosphérique ni déchetradioac-
tif. Elle est toutefois aléatoire dans le temps et son captage reste assez complexe,nécessitant
des mâts et des pales de grandes dimensions (jusqu’à 60 m pour des éoliennes deplu-
sieurs mégawatts) dans des zones géographiquement dégagées pour éviter les phénomènesde
turbulences[17].
Chapitre IV. Conversion de l’énergie éolienne dans un système aérogénérateur
47
IV.7.1 Avantages
• L’énergie éolienne est une énergie propre, écologique, économique qui respecte l’en-
vironnement et na aucun impact néfaste sur l’environnement. Elle contribue effica-
cement dans la réduction des émissions de CO2.
• L’énergie éolienne est une énergie renouvelable qui ne nécessite aucun carburant,
étant donné que son fonctionnement est basé sur la puissance du vent.
Chapitre IV. Conversion de l’énergie éolienne dans un système aérogénérateur
50
IV.7.2 Inconvénients
• Lénergie éolienne est une énergie dépendante de mouvement des masses dairs donc
elle est irrégulière (intermittente).
• Léolienne à des effets sur le paysage (au niveau de lesthétique).
• Léolienne nécessite un entretien régulier et très couteux, surtout si elle est en pleine
mer.
• La pollution visuelle et sonore, léolienne produit de bruit à 500 mètres de distance
et le volume sonore denviron 35 décibels.
• Les éoliennes peuvent construire des obstacles mortels face à la migration des oiseaux.
• La perturbation des ondes électromagnétiques (télévision, radio, portable) sont des
obstacles à l’installation chez les particuliers et cela oblige l’installation des éoliennes
loin des habitations.
• Darrieus
• rotor de Musgrove prennent une forme [H]
1
dEC = ρSdxv 2 (IV.1)
2
dEc 1
Pm = = ρS0 V 3 (IV.2)
dt 2
— ρ : masse volumique de l’air (en Kg/m ).
3
m0 V12 − V22
Pm = (IV.4)
2
En remplaçant m0 par son expression dans (2-4), la puissance devient :
ρSV13
Pmt = (IV.6)
2
Ωt Rt
λ= (IV.7)
V
−c7
c2 c5 − c
Cp (λ, β) = c1 λi − c3 β − c4 β 6 e λi
1
= 1
− c9 (IV.8)
λi λ+c8 β 1+β 3
RΩt
λ=
Vv
16
Cp−max =≈ 59.26% (IV.9)
27
La Figure( IV.10) illustre le coefficient de puissance en fonction de la vitesse relative
pour différents angles d’orientation des pales. Il est évident que le coefficient de puis-
sance passe par un maximum, pour une valeur de la vitesse relative optimale opt. Nous
remarquons également que opt varie lorsque nous changeons l’angle d’orientation des pales.
pm Rt pm Cp 1
Tt = = = ρπRt3 v 2 (IV.12)
Ωt λv λ 2
La valeur du coefficient de couple est déterminée par la formule suivante :
Cp Tt
Cm = = 1 2
(IV.13)
λ 2 ρSt Rt V
Tt : couple de la turbine éolienne.
En général, les turbines disposent d’un système d’orientation des pales destiné limiter
la vitesse de rotation. Les allures de coefficient Cp et Cm changent donc pour chaque angle
de calage comme représenté à (la figure IV.11) [?].
Au regard de la courbe noire pointillé, qui joint les points de puissances maximales, il
apparaît que pour pouvoir optimiser le transfert de puissance pour chaque vitesse de vent,
la machine devra pouvoir fonctionner à vitesses variables.
Caer
Cg = (IV.14)
G
Ωmec
Ωturbine = (IV.15)
G
La puissance stockée sous forme d’énergie cinétique dans le vent (puissance du vent)
passant à une vitesse Vv pour une surface S, est exprimée par :
1
Pv = ρSVv3 (IV.16)
2
La turbine éolienne ne peut récupérer qu’une partie de cette puissance, qui est donnée
comme suit :
1
Pt = ρπR2 Vv3 Cp (IV.17)
2
À partir de cette expression et connaissant la vitesse de rotation de la turbine, le couple
mécanique disponible sur l’arbre de la turbine s’exprime comme suit :
Pt
Ct = (IV.18)
Ωt
Le système de transmission de puissance est constitué par les pales liées au moyeu,
couplées à l’arbre qui est lent, lui-même relié au réducteur, qui va permettre de multiplier
la vitesse de rotation de l’arbre qui est cette fois ci rapide relié au générateur. L’équation qui
Chapitre IV. Conversion de l’énergie éolienne dans un système aérogénérateur
59
décrit le modèle de l’arbre de transmission après avoir négligé les coefficients de frottement
est donnée comme suit :
(
Jt dΩdttur = Ct − Cat
dΩ (IV.19)
Jg dtg = Car − Cem
Le multiplicateur transforme la vitesse de la turbine en vitesse du générateur et le
couple de l’arbre lent en couple de l’arbre rapide selon l’équation suivante :
Cal Ωg
G= = (IV.20)
Car Ωι
La dynamique de couplage peut être déplacée vers l’arbre lent (côté turbine) ou vers
l’arbre rapide (côté machine). Par conséquence, le système de transmission peut être repré-
senté par une seule masse ayant une incrtie équivalente à l’ensemble (turbine et machine).
Afin de synthétiser le contrôle de la vitesse de rotation de l’éolienne, le modèle ramené à
l’arbre rapide sera utilisé dans ce travail :
J dΩs = Ct − Ccm
dt
J
G (IV.21)
J = t + Js
G2
Chapitre IV. Conversion de l’énergie éolienne dans un système aérogénérateur
60
1
[H]Popt = ρSCpopt (λopt )Vv3 (IV.22)
2
Généralement, le système d’orientation des pales est approché par une fonction de
transfert de 1er ordre avec une constante de temps Tβ . Lors de la modélisation de ce système,
il est très important de modéliser la vitesse de variation de l’angle β qui doit être limitée
aux environs de 10◦ /s lors d’un fonctionnement normal et aux environs de 20◦ /s pour des
cas d’urgence
http ://dspace.univ-tlemcen.dz/bitstream/112/11430/1/Ms.ELN.BENHADDA
Chapitre V. Système éolien basé sur une génératrice synchrone à aimants
permanents 65
V.1 Introduction
Bla bla bla bla
Conclusion générale
Conditions de simulations
Les différentes simulations réaliées lors de ce travail ont été faites à l’aide du logiciel
MATLAB (version 2014) et son outil de simulation SIMULINK.
Les conditions adoptées lors des simulations sont les suivantes :
Titre subsection 2
[Insérer] ................................................................
- .................................................................
- .................................................................
- .................................................................
Annexe B 3
Titre subsection 2
[Insérer] ................................................................
Titre subsection 3
[Insérer] ................................................................
Annexe B 4
Composant 2
[Insérer] ................................................................
Composant 3
[Insérer] ................................................................
Annexe C : Titre annexe C
hello
Titre subsection 1
..................................................................................
..................................................................................
..................................................................................
..................................................................................
Titre subsection 2
..................................................................................
..................................................................................
..................................................................................
..................................................................................
Titre subsection 3
..................................................................................
..................................................................................
..................................................................................
..................................................................................
Annexe C 6
Titre section 2
Titre subsection 1
..................................................................................
..................................................................................
..................................................................................
..................................................................................
Titre subsection 2
..................................................................................
..................................................................................
..................................................................................
..................................................................................
Titre subsection 3
..................................................................................
..................................................................................
..................................................................................
..................................................................................
Intitulé du mémoire (en français)
Résumé
La machine asynchrone est largement utilisée dans les applications industrielles, notam-
ment pour des applications à vitesse constante ou à vitesse variable. Cependant, elle est
soumise à différents types de contraintes (chaleur, humidité, efforts mécaniques, variations
brusques de charge, vieillissement, ) qui vont au cours du temps altérer ses qualités et
détériorer ses performances. Par conséquent, si la commande du moteur est conçue avec
des valeurs de paramètre erronées, le comportement du système ne répondra plus au cahier
des charges initial et ne fonctionnera pas efficacement. C’est pourquoi, l’identification de
ses paramètres joue un rôle central en vue de sa commande. Dans ce projet de fin d’étude,
il s’agit de déterminer les paramètres électriques, électromagnétiques et mécaniques d’un
moteur asynchrone triphasé, à l’aide de différentes méthodes d’identification et de plusieurs
essais expérimentaux. L’objectif étant d’adapter ultérieurement, la commande du moteur
pour garantir des performances identiques au cours de sa vie en prenant en compte l’évo-
lution de ses paramètres. Trois méthodes d’identification seront considérées à partir des
modèles statique et dynamique de la machine asynchrone : une méthode classique basée
sur les essais de la machine, une méthode statistique basée sur les moindres carrés et une
méthode intelligente basée sur l’optimisation par essaims de particules (PSO). Dans ce
projet on a utilisé les résultats simulés pour tourner l’algorithme de PSO.
Mots clés
Moteur asynchrone ; Modèles statique et dynamique ; Paramètres électriques et mécaniques ;
Identification ; Estimation ; Moindres carrés ;L’optimisation par essaims particulaires(OEP
ou PSO)
Abstract
The asynchronous machine is widely used in the industrial applications, particularly for
constant speed or variable speed applications. However, it is submitted to several types of
constraints ( temperature, humidity, mechanical forces, abrupt load variations, ageing...)
which over time will alter its qualities and deteriorate its performance. Thus, if the motor
control is designed with a wrong parameter values, the system behavior will not entirely
meet the initial specifications and will not operate efficiently. For this reason, the identifi-
cation of its parameters play a vital role towards its control.
In this graduation project, it is a study of determining the electrical parameters, electroma-
gnetic and mechanical of a three-phase asynchronous motor, using different identification
methods and various experimental tests. Subsequently, the target that should be adapted,
the motor control in order to guarantee identical performance over its lifetime, taking into
consideration changes in its parameters. Three identification methods will be considered
from the static and dynamic models of the asynchronous machine : a classical method based
on machine testing, a statistical method based on least squares and an intelligent method
based on optimization by particles swarms (PSO). In this project we used the stimulated
results in order to run the (PSO) algorithm.
Keywords
Asynchronous motor ; Static and dynamic models ; Electrical and mechanical parameters ;
Identification ; Estimate ; Least squares ; Particle Swarm Optimization (PSO)