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Résumé Mathématiques CNEPD PDF
Résumé Mathématiques CNEPD PDF
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B → 16 ; S → 0-1-2-3-4-5-6-7-8-9-A-B-C-D-E-F; P → puissance de 16
(17)16 = 1×161 + 7×160 = (23)10
(AB)16 = A×161 + B×160 = 10×161 + 11×160 = (171)10
2. Conversion d’une base à la base 10
Développement en polynôme dans X puis la somme
(1101)2 = 1×23 + 1×22 + 0×21 + 1×20 = (13)10
(1A7)16 = 1×162 + 10×161 + 7×160 = (423)10
(43,2)5 = 4×51 + 3×50 + 2×5-1 = (23,4)10
Remarque : valeur de symbole < base X
3. Conversion entre bases
3.1. Conversion décimal-binaire
Division tant que le quotient est supérieur ou égal à la base 2
Prendre le dernier quotient et les restes (de la dernière vers la première)
(77)10 = (1001101)2
Partie entière (divisions)+Partie fractionnelle (multiplications→produit=1 ou<2)
0,625×2 = 1,25 → 0,25×2=0,5 → 0,5×2 =1,0 → 101 ≈ (0,625)10 = (0,101)2
0,6×2 = 1,2 → 0,2×2=0,4 → 0,4×2=0.8 → 0.8×2 =1.6 ≈ (0,6)10 = (0,1001)2
3.2. Conversion décimal-X
Division sur X tant que le quotient est supérieur ou égal à la base X
Prendre le dernier quotient et les restes (de la dernière vers la première)
(35)10 = (1022)3
(34)5 = (?)7 → b1 à 10 puis à 7
3.3. Conversion binaire – octal - hexadécimal
3.3.1. Octal - Binaire
Octal → symbole = 3 bits en binaire
Octal Binaire Octal Binaire Octal Binaire Octal Binaire
0 000 2 010 4 100 6 110
1 001 3 011 5 101 7 111
(345)8 = (011 100 101)2
(65,76)8 = (110 101, 111 110)2
Regrouper 3 bits = symbole en octal
De droite à gauche pour « entière » et de gauche à droite pour « fractionnelle »
Si besoin ajouter des « zéros »
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(11001010010110)2 = (011 001 010 010 110)2 = (31226)8
(35,34)2 = (011 101, 011 100)2
3.3.2. Hexadécimal - Binaire
Hexadécimal → symbole = 4 bits en binaire
Hex Bin Hex Bin Hex Bin Hex Bin
0 0000 4 0100 8 1000 C 1100
1 0001 5 0101 9 1001 D 1101
2 0010 6 0110 A 1010 E 1110
3 0011 7 0111 B 1011 F 1111
(345B)16 = (0011 0100 0101 1011)2
(AB3,4F6)16 = (1010 1011 0011, 0100 1111 0110)2
Regrouper 4 bits = symbole en hexadécimal
De droite à gauche pour « entière » et de gauche à droite pour « fractionnelle »
Si besoin ajouter des « zéros »
(11001010100110)2 = (0011 0010 1010 0110)2 = (32A6)16
(110010100,10101)2 = (0001 1001 0100,1010 1000)2 = (194,A8)16
4. Opérateurs arithmétiques en binaire
4.1. Addition
4.2. Soustraction
4.3. Multiplication
4.4. Division
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5. La complémentation
Le complément → coder des nombres négatifs → n bits → -(2n-1-1) à + (2n-1-1)
Le premier bit pour le signe (positif : 0 et négatif : 1) et (n-1) bits pour le nombre
Exemples : Sur 8 bits → -(28-1-1) à + (28-1-1) → -127 à 127
Sur 4 bits → -7 à 7
11101000 = -(2n-1-1) = -27 + 26 + 25 + 23 +1 = -23
5.1. Complément à un
En changeant tous les 1 à 0 et tous les 0 à 1
+5 = (0101)2 sur 4 bits → -5 = (1010)2 sur 4 bits
+8 = (001000)2 sur 6 bits → -8 = (110111)2 sur 6 bits
5.2. Complément à deux
Complément à 2 = (complément à 1) + 1
10110010 → 01001101 + 1 = 01001110
(01010110)2 = (86)10 (10101010)2 = (-86)10
5.3. Addition et soustraction par complément à deux
5.3.1. Addition
Cas1 : Les deux nombres sont positifs
Addition binaire classique
Cas2 : Le nombre positif est plus grand que le nombre négatif
Addition binaire classique
Oublie la dernière « R » à gauche → S positive
Cas3 : Le nombre négatif est plus grand que le nombre positif
Addition binaire classique, S négative
La somme est représentée directement dans le système complément à deux
Cas4 : Les deux nombres sont négatifs
Addition binaire classique
Oublie la dernière « R » la plus à gauche → S négatif
5.3.2. Soustraction
A – B = A + (-B)
- A – B = (-A) + (-B)
Prendre le système complément à deux pour représenter (-B)
(01100101) – (00101011) = (01100101) + (11010101) =(00111010)
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Module : Mathématiques
Série 02 : Notion de la logique binaire et la table de vérité
1. Conjonction
L’assertion « P et Q » aussi notée « P ˄ Q » s’appelle conjonction
« P*Q », « P×Q », « P.Q »
2. Disjonction
« P ou Q » aussi notée « P ˅ Q » s’appelle disjonction, « P+Q »
3. Négation d’une proposition
Négation de P notée « non P » ou « -P » ou « !P » ou « /P » ou « \P »
P Q -Q P˄Q P˅Q
Faux Faux Vrai Faux Faux
Faux Vrai Faux Faux Vrai
Vrai Faux Faux Vrai
Vraie Vrai Vrai Vrai
4. Proposition et table de vérité
Formules propositionnelles, on utilise => <= ( ) [ ]
Table de vérité: manière sémantique de représenter calcul propositionnel classique
5. Tautologies et des contradictions
Tautologie : (P ˅ -P) → affectations possibles sont « T »
Contradiction : (P ˄ -P) → affectations possibles sont « F »
6. Equivalence logique : algèbre de propositions
(P => Q) et (Q => P) ≡ P Q (P et Q ont même valeur de vérité)
P Q P => Q Q => P PQ
Vrai Vrai Vrai Vrai Vrai
Vrai Faux Faux Vrai Faux
Faux Vrai Vrai Faux Faux
Faux Faux Vrai Vrai Vrai
Non (P et Q) (non P ou non Q)
Non (P ou Q) (non p et non Q)
Non (P => Q) (P et non Q)
(P => Q) (non Q => non P)
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Module : Mathématiques
Série 03 : Portes logiques et circuits logiques
I. Algèbre de Boole
1. Définition algèbre de Boole : 1 → vrai, 0 → faux
2. Variable binaire
Exemple 1: Lampe off → s=0 Lampe on → s=1
Coupe ouvert au repos (a) Coupe fermée au repos ( a )
Sans influence (ouvert) →a=0 Sans influence (ouvert) →a=1 → a =0
Avec influence (ouvert) →a=1 Avec influence (ouvert) →a=0 → a =1
3. Fonctions logiques principales
نعم النفي ''الجمع ''أو ''الضرب ''و
OUI NON OU = OR ET = AND
3.1. Fonction « OUI » [sortie = entrée] → « Une » variable
Etats de lampe « S » en sortie Tableau de vérité Equation logique
Lampe brille appuyant « a » a = 0 → S=0 S=a
Lampe éteinte libérer « a » a = 1 → S=1
3.2. Fonction négation « NON » [sortie <> entrée] → « une » variable
Etats de lampe « S » en sortie Tableau de vérité Equation logique
Lampe éteinte appuyant « a » a = 0 → S=1 S= a
Lampe brille libérer « a » a = 0→ S=1
3.3. Fonction produit « ET = AND » → « deux » variables
Une lampe en série ave deux coupes en série
Etats de lampe « S » en sortie Tableau de vérité Equation logique
Lampe brille appuyant « a et b » a=0 b=0 → S=0
a=0 b=1 → S=0 S = a●b
Lampe éteinte libérer « a ou b ou les deux » a=1 b=0 → S=0
a=1 b=1 → S=1
3.4. Fonction addition « OU = OR »
Une lampe en série avec deux coupes en parallèle
Etats de lampe « S » en sortie Tableau de vérité Equation logique
Lampe brille appuyant « a ou b ou les deux » a=0 b=0 → S=0
a=0 b=1 → S=1 S = a+b
Lampe éteinte libérer « a et b » a=1 b=0 → S=1
a=1 b=1 → S=1
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Table de vérité à trois variables d’entrée
a b c S = a.b.c S = a+b+c
0 0 0 0 0
0 0 1 0 1
0 1 0 0 1
0 1 1 0 1
1 0 0 0 1
1 0 1 0 1
1 1 0 0 1
1 1 1 1 1
Propriétés des fonctions logique « ET » et « OU »
Propriétés ET OU
Commutativité A●B = B●A A+B = B+A
Associativité (A●B)●C = A●(B●C) (A+B)+C = A + (B+C)
Distributivité A●(B+C) = A●B+A●C A+(B●C)=(A+B)●(A+C)
Elément neutre A●1 = A A+0 = A
3.5. Relations essentiels dans Algèbre de Boole
Equation Représentation électrique Equation Représentation électrique
A+A=A 2 coupes (f/f ou o/o) en parallèle A+0=A 1 coupe o/f + fil coupé en parallèle
A●A=A 2 coupes (f/f ou o/o) en série A●0=0 1 coupe o/f + fil coupé en série
A A 1 2 coupes (f/o ou o/f) en parallèle A+1=1 1 coupe o/f + fil lié en parallèle
A A 0 2 coupes (f/o ou o/f) en série A●1=A 1 coupe o/f + fil lié en série
Théorème de De Morgan
a b a b
a b a b
a b c abc
a b a b
3.6. Fonction « NON ET = NAND » et « NON OU = NOR »
NON ET NON OU
A B S Equation logique A B S Equation logique
0 0 1 0 0 1
0 1 1 S a b 0 1 0 S a b
1 0 1 1 0 0
1 1 0 1 1 0
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4. Représentation des fonctions logiques
a. Table de vérité : tout état possible pour entrée et sortie
b. Relation algébrique de fonction logique f
A B C F A B C F A B F1 F2
0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1
0 0 1 0 0 0 1 0 0 1 1 0
0 1 0 0 0 1 0 1 1 0 0 0
0 1 1 1 0 1 1 0 1 1 0 1
1 0 0 0 1 0 0 1 f1 a b f2 a b a c
1 0 1 0 1 0 1 0
1 1 0 0 1 1 0 0
1 1 1 0 1 1 1 0
f a bc f a b a c
5. Simplification des équations logiques
a- Méthode algébrique
f1 a b a b f3 a a b f 2 ( a b) ( a b) f4 a a b
f1 a (b b) f 3 ( a a ) ( a b) f2 a a a b a b b b f 4 a (1 b)
f1 a 1 a f 3 1 ( a b) a b f 2 b (a a ) b f4 a 1 a
f 2 b (a a ) b b b b
b- Tableau de Karnaugh
22=4 (2entrées) 23 = 8 (3 entrées) 24 = 16 (4 entrées)
a\b 0 1 a\cb 00 01 11 10 ab\cd 00 01 11 10
0 a.b a.b 0 a.b.c a.b.c a.b.c a.b.c 00 a.b.c.d a.b.cd
. a.b.c.d a.b.c.d
11 a.b.c.d a.b.cd
. a.b.c.d a.b.c.d
10 a.b.c.d a.b.cd
. a.b.c.d a.b.c.d
A B C S a\b 00 01 11 10
0 0 0 0 0 0 1 0 0
0 0 1 1 1 0 1 1 0
0 1 0 0
f a.b.c a.b.c a.b.c
8
0 1 1 0
1 0 0 0
1 0 1 1
1 1 0 0
1 1 1 1
Exemples :
a\b 00 01 11 10 a\b 00 01 11 10 a\b 00 01 11 10
0 0 1 1 0 0 0 0 1 1 0 0 0 0 0
1 0 1 1 0 1 0 0 1 0 1 0 1 1 1
S c S bc ab S ac ab
ab\cd 00 01 11 10 ab\cd 00 01 11 10
00 1 0 0 1 00 0 1 0 0
01 1 1 1 1 01 1 0 1 1
11 1 1 0 0 11 0 1 0 1
10 0 0 0 0 10 1 1 1 1
S a.d a.b b.c S a.b c.d a.b.c a.b.d a.c.d b.c.d
Remarque :
1. Cas d’adition des « 1 » → équation sous forme somme de produits de variables
2. Cas d’adition des « 0 » → équation sous forme produit de somme de variables
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Module : Mathématiques
Série 04 : Repérage des coordonnées dans un plan
1. Définition
Un vecteur → flèche, représenter force, déplacement, vitesse
Vecteur : longueur – direction – sens
𝐴𝐵 𝑜𝑢 AB 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝐴 𝑒𝑡 𝐵
𝐴𝐵 𝑑𝑖𝑟𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝐴 𝑒𝑡 𝐵
𝑆𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝐴 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝐵
A : origine et B : extrémité
2. Opérations sur vecteurs
2.1. Egalité deux vecteurs
u et v sont égaux u v si même :
Longueur : u v , direction : droits portants parallèles, Sens : identique
Conséquences :
(1) AB CD → ABCD : parallélogramme
(2) ‘’I’’ milieu du segment [AB] → AI IB et BI IA
2.2. Somme deux vecteurs
Est le vecteur part de l’origine du premier et arrive à l’extrémité de l’autre
Relation de « Chasles » : AB BC AC
2.3. Différences deux vecteurs
C’est la somme du premier et l’opposé du second
Opposé vecteur u : même longueur, même direction, sens opposé
AB BA AB BC AB ( BC ) AB (CB)
2.4. Produit d’un vecteur par un réel
u × k → vecteur même direction → longueur multiple → sens *selon k(+/-)]
Remarque :
Si deux vecteurs → même direction → « colinéaires »
Impossible d’additionner ou de soustraire nombres avec vecteurs
AB, CD colinéaires → (AB)//(CD)
AB, AC Colinéaires → A, B, C sont alignés
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3. Repérage dans plan
(o, i, j ) Repère orthogonale, A(xA,yA) et B(xB,yB) deux points de ce repère
3.1. Longueur d’un vecteur
AB AB ( xB xA )2 ( yB y A )2
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Module : Mathématiques
Série 05 : Résolution d’un système d’équations linéaires
Méthodes directes : ‘’Cramer’’, ‘’Gauss’’, Jordan, Cholevsky
Méthodes itératives : Jacobi ; Gauss-Seidel, Relaxation
1. Equations linéaires à une inconnue
b
a.x b 0 x
a
b 0 R
a 0
b 0
2. Equations linéaires à deux inconnues
2.1. Equation homogène : a.x b. y 0
x b
a et b non nuls tous les deux →
y a
a = b = 0 → doubles infinité de solutions x et y
2.2. Equation affinée : a.x b. y c
a et b non nuls tous les deux → infinité de solutions
c 0 double _ inf inité _ solutions
a=b=0 →
c 0 Im possible
x x0 b
Remarque : si (x0,y0) solution particulière →
y y0 a
3. Systèmes d’équations linéaires
3.1. Définition
a11.x1 a12 .x2 ... a1 p .x p b1
a21.x1 a22 .x2 ... a2 p .x p b2
solution( x1 , x2 ,..., x p ) bi 0 Système _ hom ogéne
...............................................
a .x a .x ... a .x b
n1 1 n 2 2 np p n
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A, B → Matrices colonnes
« Rang » du système = rang de matrice (A) → r(1) = r[A] = r(f)
Rang = nombre maximum vecteurs colonnes de ‘A’ linéairement indépendants
3.3. Système de Cramer → p=n=r
a11.x1 a12 .x2 ... a1n .xn b1
a .x a .x ... a .x b
21 1 22 2 2n n 2
...............................................
an1.x1 an 2 .x2 ... ann .xn bn
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a11.x1 a12 .x2 ... a1n .xn b1 a11.x1 a12 .x2 ... a1n .xn b1'
a .x a .x ... a .x b
21 1 22 2 01 a22 .x2 ... a2 n .xn b2
'
2n n 2
AX B SX B '
............................................... ...............................................
an1.x1 an 2 .x2 ... ann .xn bn 0 0 0 ... a .x b'
nn n n
b. Elimination
a11 , a12 ,..., a1n b1
a11 , a12 ,..., a1n x1 b1 an1
an1 x1 a21
a , a ,..., a x b 0, a22 a12 ,..., a2 n a1n b2 b1
* ( III ) a a x a
21 22 2 n 2 2
11 11
*
2 11
..................... . . ..................... . .
n1 n 2
a , a ,..., ann n
x n
b a n b n1 b
x a
an1 , an 2 ,..., ann n 1
n1
a1n
a11 a11
1
x1 b1 a12 x2 ... a1n xn
a11
Exemple :
2, 4,8 34
A 4,11, 25 B 101
6,18, 46 180
1. Triangularisation
2, 4,8 34
x1 2, 4,8 x1 34
0,11 4 4, 25 4 8 x2 101 4 34 0,3,9 x2 33
2 2 2
x 78
3
6 3
x 0, 6, 22
6 6
0,18 4, 46 8 180 34
2 2 2
Après élimination x1 et x2
2, 4,8 x1 34 2, 4,8 x1 34
0,3,9 x2 33 0,3,9 x2 33
6 x 6 0, 0, 4 x3 12
0, 0, 22 9 3 78 33
3 3
2 x1 4 x2 8 x3 34 x1 1
3x2 9 x3 33 x2 2
4 x 12 x 3
3 3
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Module : Mathématiques
Série 06 : Fonctions – Continuité - Dérivabilité
1. Equation premier ordre
b x -Ѡ -b/a +Ѡ
a.x b 0 x
a signe Signe contraire « a » Même signe « a »
2. Equation deuxième ordre
' b
x
0 2.a Même « a » Contraire « a » Même « a »
x '' b
2.a
b Même « a » Même « a »
b 4.a.c 0 x
2
2.a
0
Même « a »
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6. Fonctions pair, impair
Pair : f ( x) f ( x) OY plan _ symétrie
Im pair : f ( x) f ( x) O Po int_ symétrie
7. Dérivabilité
f g ' f ' g ' k ' 0
f g ' f ' g g ' f x ' n x
n n 1
k f ' k f ' 1
n
n
' n 1
x x
f f ' g g ' f
'
g2
x
1
g 2x
f n f ' f n 1
n
1 f '
' 2 f ' 2f f'
f f
8. Fonction originaux
F’(x) F(x) F’(x) F(x) F’(x) F(x)
0 K xn x n 1 1 1
n 1 xn (n 1) x n 1
9. Asymptotes
x : lim f ( x) y0 horizontale
x : k (, ) lim f ( x) verticale
x : lim f ( x) (ax b) 0 incliné
11. Tangente
y f '( x xx ) f ( x0 )
12. Logarithme népérien, exponentielle
ln(a b) ln a ln b
e x e y e x y x lim(ln x)
a
ln ln a ln b e x
x 0 lim(ln x) 0
b e x y x lim(e x ) 0
ey ln x
ln x n n ln x x lim 0
( e x ) y e x y x x lim(e x )
ln1 0 e0 1 x 0 lim( x ln x) 0 ex
f' e
, e
0 ln x x lim
(ln f ) ' x 1 lim 1 x
f e f ' f ' e f x 1
ln( x 1)
ln(e f ) f eln f f x 0 lim 1
x
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