Vous êtes sur la page 1sur 3

Nom : DABIRE

Prénom : Winéphaon Wilfried

Les différents modèles de cycle de vie de développement logiciel (SDLC)

Pendant le processus de développement logiciel, les experts se chargent du


suivi des modèles de cycle de vie de SDLC conçus. Chacun de ces modèles
passe par différentes phases, s’adaptant à son type. Ceci permet d’assurer le
succès du processus de développement logiciel en sa globalité.
Voici les modèles SDLC les plus connus :

1. Modèle de cascade

Considéré comme le modèle, à la fois le plus ancien et le plus simple de tous, ce


modèle se divise en plusieurs phases. Chaque phase a son propre plan et
commence après la précédente. Le résultat de la première phase représentera le
point d’entrée de la phase d’après. Ce modèle nécessite beaucoup de
documentation qu’on peut trouver facilement, à chaque phase, au niveau de la
phase antérieure. Seulement il faut faire attention à un point. Tous les détails,
même les plus petits, doivent être complétés. Le cas échéant, l’ensemble du
processus sera retardé.

2. Modèle itératif

Ici, c’est la répétition qui est à l’honneur. En effet, lors de ce modèle SDLC, les
concepteurs développent une version rapide et pas chère pour, ensuite,
l’améliorer au fur et à mesure des tests, par d’autres versions, elles aussi rapides
et successives. Ce modèle a un principal inconvénient est qu’il peut consommer
rapidement des ressources s’il n’est pas contrôlé.

3. Modèle en spirale
C’est le modèle le plus flexible parmi les modèles SDLC. Il est similaire
au modèle itératif en mettant l’accent sur la répétition. Au départ, les
développeurs planifient les différentes étapes, conçoivent le logiciel et le
construisent, avant de le tester, au final. À chaque passage, de nouvelles
améliorations sont apportées. On peut considérer que le modèle en spirale est
une combinaison réussie des avantages des modèles de prototypage et celui en
cascade (rapidité et simultanéité dans les activités de conception et de
développement).

4. Modèle -V

Dans ce type de modèle SDLC, les différentes phases sont planifiées en


parallèle. Les phases de vérification du logiciel et de sa validation se font
parallèlement, en simultané.

5. Modèle Big Bang

Il s’agit d’un modèle à haut risque. Sans avoir nécessairement besoin de


planification au préalable, ce modèle SDLC concentre toutes ses ressources au
développement. Cependant, l’étape de définition approfondie des exigences ne
s’y trouve pas, contrairement aux autres méthodes. Les exigences sont mises en
œuvre lorsqu’elles se présentent et fonctionnent mieux pour les petits projets
mais aussi ceux académiques. L’équipe de développement doit être de petite
taille même si dans ce modèle, les exigences sont inconnues tout comme la date
de sortie finale.

6. Modèle incrémentiel

Il s’agit de plusieurs cycles, révisés en cascade, avec des exigences partagées


en groupes dès le début du projet, tout en suivant le développement planifié du
logiciel. Le processus de cycle de vie SDLC se répète, et à chaque répétition
s’ajoutent de nouvelles fonctionnalités jusqu’à ce que toutes les exigences soient
remplies. Dès que le modèle incrémental est modifié, les cycles de
développement se chevauchent automatiquement. En effet, il est tout à fait
possible qu’un cycle commence avec que le précédent ne soit terminé.

Vous aimerez peut-être aussi