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Mesurage Statique Du Volume Des Liquides: Pierre AUBERT
Mesurage Statique Du Volume Des Liquides: Pierre AUBERT
Ce texte est une actualisation de l’article précédemment écrit par Jacques COET,
Anne FERRY et Raymond MARMY, article dont il reprend des extraits.
du 6 mai 1988.
Antérieurement à cette ordonnance, les seules mesures de capacité légales
alors en usage ne répondaient plus aux besoins et il était fait appel à des
récipients tels que bouteilles, citernes de camion, de wagon ou de navire, bacs
de stockages pour la détermination des volumes.
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1. Mesures de capacité sur ses parois. La différence entre le volume du liquide contenu dans
la mesure et le volume du liquide qui en sort s’appelle le mouillage.
pour liquides Le mouillage dépend du matériau qui constitue la mesure, du
liquide utilisé et de la température qui fait varier la viscosité du
liquide.
1.1 Classes de précision Afin de pouvoir utiliser plusieurs fois de suite une mesure sans
être obligé d’en assécher les parois, on définit généralement sa
Les mesures de capacité pour liquides sont réglementées par le capacité par le volume de l’eau qui en sort et que l’on calcule par
décret no 46-25 du 2 janvier 1946 (JO du 5 janvier 1946) ; celui-ci pré- la méthode pondérale. Cette eau est recueillie dans un ballon sec,
voit trois classes de précision : précision courante, précision fine et que l’on bouche pour limiter les effets de l’évaporation, et dont la
précision spéciale. capacité est un peu supérieure à celle de la mesure. La masse de
Pour les mesures d’une capacité supérieure au décalitre, par l’eau est alors déterminée par double pesée, en tenant compte de
exemple, les erreurs maximales tolérées en service sont les suivantes : la poussée de l’air. On calcule ensuite son volume à la température
— précision courante : 1/100 ; de l’expérience et l’on en déduit la capacité utile de la mesure
— précision fine : 2/1 000 ; à 20 oC. Une série de déterminations analogues permet d’obtenir la
valeur moyenne de cette capacité.
— précision spéciale : 4/10 000.
■ Les capacités des étalons primaires sont en verre et s’échelonnent
Les mesures de capacité à usage commercial sont, en règle géné-
de 50 litres à 0,5 décilitre ; elles comprennent les multiples décimaux
rale, classées en précision courante. Leur utilisation lors de transac-
du litre, leur double et leur moitié (figure 1).
tions commerciales étant tombée en désuétude, ces mesures ne
seront pas traitées dans le présent article.
En revanche, les mesures de précision fine ou spéciale gardent
tout leur intérêt, car elles constituent les étalons de capacité.
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La capacité de ces étalons a été déterminée par pesée de l’eau ● Jauges pour contrôles utilisées pour vérifier l’exactitude des
distillée qui s’en déverse. Les mesures ont été effectuées avec une compteurs de liquides (figure 3) :
incertitude de l’ordre de 1 × 10 –5. Mais l’erreur de fidélité, due — jauges pour contrôle sans vanne de vidange ; leur capacité est
principalement aux variations de mouillage, varie de 0,5 × 10 – 4 pour de 1,5, 10 ou 20 dm 3 ; leur col est terminé par un bec de versement
le décalitre à 3 × 10 – 4 pour le décilitre, ce qui entraîne une incertitude et muni de deux fenêtres de visée garnies d’une matière transpa-
d’emploi du même ordre pour l’ensemble des étalons. rente ; elles comportent une échelle d’au moins trois traits princi-
Pour éliminer cette cause d’erreur, des étalons fixes ont été mis paux correspondant à la capacité nominale et à celle-ci augmentée
en service, fonctionnant suivant le même principe que les étalons ou diminuée d’un pourcentage de son volume ; les dimensions du
en verre, mais fabriqués en acier inoxydable revêtu intérieurement col sont choisies afin que les effets de capillarité ou de ménisque
de résine fluorocarbonée (figure 2). Le mouillage devient alors soient négligeables ;
pratiquement nul, et il est possible de déterminer la capacité utile — jauges pour contrôle avec vanne de vidange ; le col supérieur
avec une incertitude avoisinant quelque 10–5. est équipé de deux fenêtres de visée comportant au moins trois
Les étalons primaires sont utilisés pour ajuster les étalons de traits principaux correspondant à la capacité nominale augmentée
travail et les jauges. ou diminuée d’un pourcentage de son volume ; dans le cas où ces
jauges sont susceptibles d’être déplacées, leur installation stable et
■ Les étalons de travail, mobiles, en verre, utilisés dans l’industrie leur mise à niveau doivent être facilement assurées ; le contrôle du
et le commerce doivent être conformes à la classe A définie par la niveau doit être aisé ; leur capacité excède rarement 10 000 dm 3 ;
recommandation internationale no 43 de l’OIML (Organisation inter- des moyens de prise de température doivent être aménagés
nationale de métrologie légale). Ils doivent être remplis de telle façon suivant les règles de l’art (profondeur d’immersion, inclinaison...).
que la partie inférieure du ménisque soit tangente au plan contenant
le trait circulaire blanc marqué « zéro ».
■ Les jauges métalliques sont en acier inoxydable. Leur forme varie
suivant l’usage qui doit en être fait.
Figure 2 – Étalon primaire de 2 litres en acier inoxydable Figure 3 – Jauges étalons métalliques pour contrôle
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● Jauges pour jaugeages (figure 4). Leur capacité nominale varie 2.2 Bouteilles normalisées
de 50 à 1 000 dm 3. Elles se remplissent par débordement grâce à
deux créneaux diamétralement opposés découpés dans le col après
étalonnage. Elles sont essentiellement utilisées pour le jaugeage Le décret du 6 avril 1976 précise, dans son article 7, que des arrêtés
des camions et des wagons-citernes. du ministre de l’Industrie peuvent prévoir, après avis du Commis-
saire à la normalisation, la normalisation de certains modèles de bou-
teilles récipients-mesures.
Un certain nombre de types de bouteilles ont ainsi fait l’objet de
2. Bouteilles normes AFNOR qui définissent exactement la forme et les
dimensions de la bouteille. Il s’agit de bouteilles récipients-mesures
récipients-mesures réutilisables (norme NF H 35-000 et suivantes).
En sus des indications obligatoires communes à toutes les bou-
teilles récipients-mesures, les bouteilles normalisées doivent porter
2.1 Définitions une référence à la norme correspondante.
On appelle bouteilles récipients-mesures (BRM) des récipients,
communément appelés bouteilles, réalisés en verre ou en toute autre
matière présentant des qualités de rigidité et de stabilité donnant
les mêmes garanties métrologiques que le verre, et qui : 3. Récipients-mesures
— sont destinés au stockage, au transport ou à la livraison de
liquides en récipients bouchés ou conçus pour être bouchés ;
de grande capacité
— ont une capacité nominale comprise entre 0,05 litre et 5 litres ;
— ont des qualités métrologiques (caractéristiques de construc- Conformément à l’ordonnance du 18 octobre 1945, modifiée par
tion et régularité de fabrication) telles qu’ils peuvent être utilisés le décret no 88682 du 6 mai 1988, chaque récipient présentant les
comme récipients-mesures au sens de l’ordonnance du 18 octobre caractéristiques requises peut faire l’objet d’un jaugeage, qui est
1945 et permettre, lorsqu’ils sont remplis jusqu’à un niveau déter- l’ensemble des opérations effectuées en vue de déterminer la
miné ou jusqu’à un pourcentage déterminé de leur capacité ras-bord, capacité d’un récipient jusqu’à un ou plusieurs niveaux de remplis-
le mesurage du volume de leur contenu. sage. Le jaugeage est sanctionné par un document appelé certifi-
Ces bouteilles sont réglementées par le décret no 76-342 du 6 cat de jaugeage auquel est annexé un barème ; celui-ci permet de
avril 1976 et par les arrêtés d’application (du 22 février et du 7 octobre reconnaître les volumes contenus à partir des hauteurs atteintes
1977, modifié par l’arrêté du 28 août 1987). Ces textes reprennent, par le liquide.
dans le droit national français, les prescriptions de la directive
communautaire 75/107/CEE du 19 décembre 1974.
3.1 Classification des récipients-mesures
On définit, pour une bouteille récipient-mesure :
— la capacité nominale, quantité censée être contenue dans
la bouteille lorsqu’elle est remplie à un niveau déterminé ; Il est possible de classer les récipients-mesures selon deux
— la capacité ras-bord ; critères.
— la capacité effective, quantité effectivement contenue
■ Selon la nature de l’utilisation
dans la bouteille lorsqu’elle est remplie au niveau prévu.
— récipients-mesures de transport par voie maritime ou fluviale:
ce sont les citernes coques ou rapportées des bateaux, chalands,
On donne également les erreurs maximales tolérées qui sont les barges, caboteurs ;
écarts permis, en plus ou en moins, entre la capacité nominale Vn — récipients-mesures de transport par route ou voie ferrée :
et la capacité effective Va . Par exemple, pour une capacité nominale • camions-citernes,
comprise entre 50 et 100 cl, l’écart maximal toléré est de 1 cl en plus • wagons-citernes,
ou en moins, et, pour une capacité nominale comprise entre 30 • conteneurs : ce sont des citernes amovibles ;
et 50 cl, cet écart est de 2 % de Vn . — récipients-mesures de stockage.
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■ Selon la nature des produits contenus 3.2.4.3 Constitution des dispositifs de repérage des niveaux
— transport ou stockage des hydrocarbures ; On distingue les trois types de dispositifs ci-après.
— transport ou stockage des produits alcoolisés ;
— stockage du lait à la ferme ; ■ Verticale de pige
— transport ou stockage de produits alimentaires (autres que les — un ruban gradué lesté permet de mesurer la hauteur du niveau
vins et alcools) ; de liquide soit à partir du plan de référence inférieur, c’est alors une
— transport et stockage de produits chimiques. mesure de plein, soit à partir d’un plan de référence supérieur, il
Remarque : en dehors des transactions commerciales effectuées à l’aide des récipients- s’agit alors d’une mesure de creux (figure 5) ;
mesures, l’Administration des douanes et le Service des droits indirects effectuent des — la hauteur peut aussi être prise à l’aide d’un sabre rigide mesu-
reconnaissances à l’aide de ces récipients-mesures. Les produits contenus sont taxés au
volume reconnu. rant une distance de creux à partir d’un plan de référence supérieur.
Les caractéristiques des différentes catégories de récipients-
mesures énumérées ci-dessus sont soumises à des contraintes liées
tant à l’utilisation du récipient qu’à la nature du produit stocké ; il
faut chaque fois tenir compte de celles-ci afin d’obtenir un
compromis avec les propriétés essentielles qu’un récipient-mesure
doit avoir pour garantir une bonne qualité métrologique.
3.2.4.1 Centrage
Dans le cas des récipients-mesures de transport, les dispositifs
doivent être positionnés de telle manière que la mesure de hauteur
de niveau se fasse aussi près que possible du centre de gravité de
la surface libre du liquide, pour éviter les erreurs dues aux variations
d’assiette et de gîte du récipient.
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Figure 6 – Dispositif de repérage comportant un tube de niveau Figure 7 – Jaugeur avec indicateur au sommet d’une sphère
(installé sur une cuve de chais)
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Il s’agit ensuite de corriger ces volumes en fonction de ρ t et de t Jusqu’à une époque récente, la détermination des caractéris-
pour les ramener à un volume commercial qui est souvent à 15 oC. tiques géométriques internes des réservoirs jaugés était effectuée
Le schéma de la mesure et de la détermination du volume commer- au moyen de rubans d’acier étalonnés et, éventuellement, de
cial est indiqué sur la figure 11a. lasers d’alignement. Cette méthode, simple du point de vue
La reconnaissance des volumes à l’aide de barèmes nécessite la métrologique, comportait cependant deux inconvénients majeurs :
plupart du temps : — la mise en place d’échafaudages très coûteux pour atteindre
— un relevé manuel (ou automatique) des niveaux de liquide ; des points répartis sur toute la hauteur des parois du réservoir et
— une lecture dans le barème ; pouvant aller jusqu’à une trentaine de mètres ;
— un calcul de coefficient de correction ; — l’accomplissement de dangereuses acrobaties rendues obliga-
— un calcul pour arriver au volume net. toires par la nécessité de tendre le ruban entre des points particu-
liers dont la position dépend de la seule géométrie du réservoir.
Ces opérations peuvent être automatisées (figure 11b ). Dans ce
cas, on a un ensemble aussi automatisé que peut l’être un système Ces raisons ont conduit à rechercher des méthodes de jaugeage
de comptage auquel est associé un correcteur de température et qui permettraient, avec une précision au moins équivalente, de remé-
de pression ou un calculateur effectuant les corrections. dier aux inconvénients décrits ci-dessus en offrant la possibilité
d’effectuer les mesures depuis le fond du réservoir. C’est naturel-
lement les procédés optiques qui furent pressentis pour répondre
à cette préoccupation.
3.7 Exemple complexe de jaugeage :
les navires
3.7.1 Prises de cotes
Si les problèmes techniques posés par le jaugeage de certains
récipients-mesures sont faciles à résoudre, il n’en est pas de même La figure 12 décrit la forme d’une citerne latérale avant d’un
pour les navires, et tout particulièrement pour les citernes latérales pétrolier ainsi que les sections verticales S1 à S5 dans lesquelles
avant des navires pétroliers, citernes qui épousent la forme sont effectuées les prises de cotes. La partie basse des citernes étant
complexe de l’étrave. parfois encombrée de nombreux corps intérieurs (renforts,
réchauffeurs), un empotement peut être effectué afin de déterminer
le volume du fond.
Les navires transporteurs de gaz naturel liquéfié ont générale-
ment leurs citernes délimitées par des faces planes. La figure 13
décrit une citerne de ce type ; les principales cotes relevées sur
différentes coupes longitudinales et transversales sont les
longueurs L i , les largeurs i et ′i , et les hauteurs Hi et H i′ .
Les navires transporteurs de gaz de pétrole liquéfié ont leurs cuves
composées d’éléments géométriques simples, cylindres ou troncs
de cône, comportant à leurs extrémités une calotte sphérique, un
demi-ellipsoïde ou un fond en anse de panier ; la figure 14 repré-
sente une double cuve avant, constituée de deux assemblages hori-
zontaux accolés : fond en anse de panier, trois cylindres se rejoignant
vers l’avant pour se terminer par une calotte sphérique commune ;
les principales cotes relevées sont les longueurs i , ′i , i″ , les lar-
geurs di et les hauteurs h i et h i′ .
À ces prises de cotes viennent notamment s’ajouter :
— le nivellement au théodolite destiné à déterminer l’inclinaison
de la cuve par rapport à l’axe longitudinal du navire ;
— la localisation du jaugeur ou de la verticale de pige ;
— la localisation et le volume des corps intérieurs.
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points B, C et D), il suffit alors de calculer par intégration la surface On applique ensuite la formule aux surfaces A 3 , A 4 et A 5 situées
de la section Ai sur chacun des quatre intervalles (surfaces bleues à des hauteurs H 3 , H 4 et H 5 , on obtient V2 que l’on ajoute à V1 , et
de la figure 17). ainsi de suite jusqu’au calcul de Vn (figure 18), volume compris
Remarque : Les fonctions splines sont étudiées dans l’article Polynômes Étude entre les hauteurs H 2n – 1 et H 2n + 1 , telles que, si l’on appelle z la
algébrique [AF 37] (rubrique Mathématiques du traité Sciences fondamentales des Tech- hauteur à laquelle on désire connaître le volume Vz , on ait :
niques de l’Ingénieur).
Au dernier stade, le volume est calculé grâce à la formule des trois H 2n – 1 z H 2n + 1
niveaux, également appelée formule de Simpson ; soit A1 , A 2 et A 3
les trois surfaces situées au bas de la cuve aux niveaux H 1 , H 2 et H 3 La somme des Vi , 1 i n , donne la valeur du volume compris
et distantes entre elles de h /2 ; le volume V1 compris entre A1 et A 3 entre H 1 et H 2n + 1 auquel il faut retrancher le volume compris
est égal à : entre z et H 2n + 1 dont la valeur approximative est :
h H2 n + 1 – z
V 1 = ----- ( A 1 + 4 A 2 + A 3 ) Vn ------------------------------------------
6 H 2 n + 1 – H 2n – 1
Figure 14 – Prises de cotes sur une cuve avant de navire Figure 16 – Cylindre terminé à chaque extrémité
transporteur de gaz de pétrole liquéfié par une anse de panier
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3.7.3.2 Citernes formées d’éléments géométriques simples 3.7.4 Répertoire et emploi des tables de jaugeage
Pour ces citernes, les calculs aboutissant à l’établissement du et des tables de correction
barème sont généralement facilités par le fait que les formes peuvent
être représentées par des modèles mathématiques simples. Dans certains cas, tout particulièrement dans le domaine du gaz
Le volume V à une hauteur quelconque (devant cependant liquéfié, différentes tables de correction sont annexées au barème
correspondre à un nombre entier de centimètres) est la somme des de jaugeage, afin de permettre la prise en compte des phénomènes
volumes Vcm des tranches centimétriques inférieures ; le volume Vcm suivants :
est calculé par la formule des quatre niveaux, quatre surfaces équi- — variation de l’enfoncement du flotteur du jaugeur en fonction
distantes A1 à A 4 étant calculées pour chaque tranche : de la densité du produit transporté ;
— influence de la gîte et de l’assiette du navire sur le repérage
A 1 + 3A 2 + 3A 3 + A 4 du niveau du liquide ;
V cm = ---------------------------------------------------------
8 — contraction du ruban du jaugeur placé dans la phase gazeuse ;
— variation du volume de la partie de la cuve contenant la phase
(l’emploi de la formule des quatre niveaux correspond à une approxi- liquide en fonction de la température de cette dernière.
mation par une courbe polynomiale du troisième degré).
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P
O
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N
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Ingénieur général des Mines
S
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V
Normalisation
Normes internationales : International Organization ISO 8309 1991 Hydrocarbures légers réfrigérés – Mesurage du niveau de
O
for Standardization ISO liquide dans les réservoirs contenant des gaz liquéfiés –
ISO 7507-1 1993 Pétrole et produits pétroliers liquides – Étalonnage des
réservoirs cylindriques verticaux – Partie 1 : Méthode par ISO 8311 1989
Jauges à effet capacitif.
Hydrocarbures légers réfrigérés – Étalonnage des
I
ISO 7507-2 1993
ceinturage.
Pétrole et produits pétroliers liquides – Étalonnage des
réservoirs cylindriques verticaux – Partie 2 : Méthode par
réservoirs à membrane et réservoirs pyramidaux –
Mesurage physique. R
ISO 9091-1 1991 Hydrocarbures légers réfrigérés – Jaugeage des réser-
ligne de référence optique. voirs sphériques à bord des navires – Partie 1 : Stéréo-
ISO 7507-3 1993 Pétrole et produits pétroliers liquides – Étalonnage des photogrammétrie.
Organismes
Doc. R 1 440