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MATIERE:ECOLOGIE

GENERALE

Domaine: SNV
Filière: Écologie et Environnement crédits:8 coefficient:4

Filières: Sciences Biologiques Sciences agronomiques, Hydrologie continentale et marine


crédits:2 coefficient:2

M. ABOURA Rédda

ANNEE 2019--2020
Cours du mois de Mai
L’ÉCOSYSTÈME
1. SA STRUCTURE
TROPHIQUE
2. SON FLUX D’ÉNERGIE
3. SON FLUX DE MATIÈRE
4. SA RÉGULATION ET SES
DÉSÉQUILIBRES
1. Niveaux trophiques de l’écosystème
Un niveau trophique est l’ensemble des organismes qui
obtiennent leur énergie à partir du même étage alimentaire.
Un niveau trophique = un étage alimentaire

Quatrième
CARNIVORE DE 2 ORDRE e
niveau
(Consommateurs tertiaires )
trophique
Transfert
Troisième
CARNIVORE DE 1e ORDRE niveau
(Consommateurs secondaires )
trophique
Transfert Deuxième
HERBIVORE niveau
(Consommateurs primaires )
trophique
Transfert
PRODUCTEURS Premier niveau
Énergie et nutriments de trophique
l’environnement
4 niveaux trophiques, en général, dans un écosystème
Parfois, un cinquième niveau trophique
s’ajoute : les consommateurs quaternaires
Les OMNIVORES, les
«mangeurs» de viande et de
plantes, font partie de divers
niveaux trophiques car ils se
nourrissent de divers étages
alimentaires.
Les DÉTRITIVORES, les mangeurs des détritus végétaux et
animaux, font partie de tous les niveaux trophiques.

Scarabé Lombric Bactéries Mycètes


2. Chaîne alimentaire Une chaîne alimentaire de la forêt
boréale

Transfert «en ligne Le loup mange


le lièvre.
droite» de l’énergie
et des nutriments
d’un niveau Le lièvre mange
trophique à l’autre, le feuillage du
sapin baumier.
depuis les
producteurs
jusqu’aux Le sapin
détritivores, en Beaumier puise
passant par les les éléments
minéraux
consommateurs. restitués par les
Ensemble des êtres détritivores afin
Déchets
vivants qui se organiques :
de mener sa excréments,
nourrissent photosynthèse. urines,
«directement» les Transformation des cadavres,
uns des autres. débris en éléments détritus
minéraux Détritivores végétaux…
3. Structure trophique de l’écosystème 4, 5, 6 et
Une
7 communauté de
Un réseau Humains l'Antarctique
trophique est 4, 5 et 6
constitué de 3 Cétacés Petits cétacés 4, 5 et 6
à fanons
multiples chaînes à dents Cachalot
alimentaires reliées
4 et 5
les unes aux autres 4 et 5 Éléphant
de diverses façons. 3
Phoques
Léopard de
mer (phoque)
de mer
= structure trophique crabiers
= réseau trophique
= réseau alimentaire 3 et 4 3 Poisson 3 et 4
Oiseau Calmar
Sur ce schéma, tous les no 3
(carnivores de 1e ordre) se 3
nourrissent de l’étage no 2 Zooplancton
(herbivores). carnivore
2 Zooplancton
2 et 3 herbivore
(krill)
Les éléphants de mer font partie du (copépode)
niveau 4 car ils mangent du poisson
(niveau 3) et du niveau 5 car ils 1 Phytoplancton
mangent des calmars (niveau 4).
4. Les producteurs des chaînes alimentaires

Milieu Source d’énergie Type de chaîne Producteurs


alimentaire
Terrestre Énergie Chaîne Végétaux
lumineuse photosynthétique

Aquatique Énergie Chaîne Cyanobactéries, algues


lumineuse photosynthétique microscopiques du
plancton, grandes algues
et végétaux aquatiques
Zone Énergie tirée de Chaîne Bactéries hébergées par
abyssale l’oxydation du chimiosynthétique les vers tubicoles des
H2S (sulfure cheminées chaudes et
d’hydrogène) et par les moules des
du CH4 suintements froids
(méthane)
Les algues microscopiques
Algues microscopiques (Règne
des protistes)

Les grandes algues, Algues


par exemple Spirogyre vertes
des laminaires !
(Règne des protistes) Chlorella
Les cyanobactéries «algues bleu vert» (3) espèces
sont minuscules car ce sont des cellules de Volvox
de type bactérien. (Domaine des Desmidiés
Procaryotes)
Agmenellum Algues dorées (90% du
phytoplancton)

Anabaena
Rivularia (3) espèces
Nostoc de Diatomés
Les paramètres du flux d’énergie dans l’écosystème

A- Le flux d’énergie est le transfert de l'énergie d'un


niveau trophique à l'autre dans l’écosystème.
B- Le rôle de l'énergie est de
transformer la matière
minérale en matière organique
en fournissant l’énergie des
liaisons chimiques entre les
atomes. Glucose
C- La source d’énergie des écosystèmes
est généralement la lumière solaire.

Une exception
Les écosystèmes marins
des grands fonds sont
alimentés par l’énergie
tirée de l’oxydation de
certaines substances
minérales
Source
(chimiosynthèse).
D- L’énergie lumineuse qui alimente les
écosystèmes est le bleu violet et le rouge
(captée par la chlorophylle des
chloroplastes). Comme le vert n’est pas
capté (donc réfléchi), les végétaux paraissent
verts.
Campbell (3e éd.) — Figure 10.1 :
193
L’expérience d’Engelman prouve que la photosynthèse est
maximum dans le bleu violet et le rouge • Spirogyre est éclairée par
Une algue «Spirogyre» Bactéries une lumière décomposée
par un prisme.
• La croissance bactérienne
est maximum autour des
zones bleues et rouges car
la photosynthèse plus
intense libère plus de
400 500 600 700 nm dioxygène.
Campbell (3e éd.) — Figure 10.9 :
E- L'énergie circule des producteurs aux détritivores. Le flux
de l’énergie est unidirectionnel.

F- Environ 1 % de l'énergie lumineuse pénètre dans les


écosystèmes et y maintient les niveaux trophiques.

Consommateurs
tertiaires
Consommateurs
secondaires
Consommateurs
primaires

10 000 J Producteurs

1 000 000 J d’énergie solaire x 1 % =


G- Environ 10% de l'énergie contenue dans un niveau
trophique s'incorpore à la biomasse (masse biologique des
organismes) du niveau suivant. La différence de 90% est
perdue de multiples façons.
10 J d’énergie accumulée
dans les carnivores
secondaires
100 J d’énergie accumulée
dans les carnivores primaires

1 000 J d’énergie
accumulée dans les
herbivores
10 000 J d’énergie accumulée dans
les producteurs

1 000 000 J d’énergie solaire x 1 %


FLUX D’ÉNERGIE DANS LES ÉCOSYSTÈMES
PYRAMIDES

Pyramides écologiques
1. Pyramide de nombre
 Nombre d’individus qui occupent chaque niveau
trophique et disponible pour le niveau suivant.
2. Pyramide de biomasse
 Masse des organismes présents aux divers niveaux
trophiques et disponible pour le niveau suivant.
3. Pyramide de la productivité (d’énergie)
 Quantité d’énergie disponible de chaque niveau
trophique et disponible pour le niveau suivant.
FLUX D’ÉNERGIE DANS LES ÉCOSYSTÈMES

PYRAMIDES

Pyramides écologiques
Pyramide de nombre
FLUX D’ÉNERGIE DANS LES ÉCOSYSTÈMES

PYRAMIDES

Pyramides écologiques
Pyramide de biomasse
FLUX D’ÉNERGIE DANS LES ÉCOSYSTÈMES

PYRAMIDES

Pyramides écologiques
Pyramide de la productivité (d’énergie)
FLUX D’ÉNERGIE DANS LES ÉCOSYSTÈMES

PYRAMIDES

Rendement ou efficacité écologique


Þ Productivité nette d’un niveau trophique donné et
celle du niveau inférieur.

Sur le 100% d’énergie disponible d’un niveau


trophique, 10%, en moyenne, est effectivement
converti en biomasse dans le niveau suivant.

Énergie d’un niveau trophique (KJ) X 100


Énergie du niveau trophique précédent (KJ)
H- Toute l'énergie qui entre dans l’écosystème finit par se
perdre en chaleur. Cette énergie perdue «dans l’espace»
n’est pas recyclable.

I- L'énergie perdue est continuellement renouvelée car le


soleil continue d'éclairer la Terre. L’énergie est
renouvelable.
J- La quantité d’énergie qui entre dans un écosystème
détermine le nombre maximal de niveaux trophiques qu’il
contient. Quand il n'y a plus assez d'énergie pour
maintenir un niveau trophique supérieur, la chaîne
alimentaire s'arrête. Pour cette raison, il y a rarement plus
de 4 niveaux trophiques.
K- Chaque chaîne alimentaire correspond à un seul circuit au
sein du flux énergétique.
5. Les causes des pertes d’énergie de l’écosystème
A- Ce qui est mangé
Seule, une fraction de la
proie végétale ou animale
est effectivement prélevée
et dévorée par le niveau
supérieur.

Source

Grande sauterelle verte Source


B- Ce qui est assimilé
Seule une partie des aliments
ingérés est digérée puis
absorbée vers le sang
(assimilée).

Ce qui n'est pas digéré sort du


tube digestif à l'état de déchets.

C- L'efficacité relative de la respiration cellulaire

La respiration cellulaire ne récupère qu’environ 40% de


l’énergie enmagasinée dans les liens chimiques du
glucose.
Explications sur l’efficacité relative de la respiration
cellulaire
La dégradation du glucose par respiration cellulaire libère l’énergie des
liens chimiques ainsi que les atomes constitutifs. Des 100% d’énergie
potentielle contenue dans les liens du glucose, 40% seulement est
transféré à de l’ATP et, 60% est perdu en chaleur. Cette chaleur perdue
est tout de même utile car elle contribue à maintenir la température
corporelle des organismes.
Équation générale de la respiration cellulaire 60%
Glucose + 6O2  6 CO2 + 6 H2O + Chaleur
Énergie 40%
• L’ATP est la réserve
d’énergie qui permet
la plupart du travail
+
cellulaire.
• Une fois le travail
cellulaire effectué,
36 ATP 36 ADP + 36 Pi
l’énergie de l’ATP se Adénosine Adénosine
dissipe en chaleur. triphosphate diphosphate
Démonstration de la perte de 60 % de LIRE
l’énergie du glucose lors de la respiration
cellulaire
1. L'énergie potentielle d'une molécule de glucose
est d’environ 2 870 kJ par mole de glucose.
2. La respiration cellulaire produit 36 ATP
(eucaryotes) ou 38 ATP (procaryotes) à partir
d'une mole de glucose.
3. Dans la cellule, la phosphorylation de l’ADP (en
ATP) emprisonne 30,5 kJ/mol.
4. Le rendement de la respiration cellulaire chez les
cellules eucaryotes est de :
[ 36 ATP x 30,5 kJ/mol ] x 100 = ± 40 %
2 870 kJ/ mol
D- L’efficacité relative du transfert de l’énergie de l’ATP.
Une part de l'énergie de l'ATP n'est pas récupérée lors d'une
réaction chimique et se perd en chaleur.
Campbell (3 éd.)
e

— Figure 8.10 :
157
14,2 kJ/ mol
30,5 kJ/ mol

+ +  + + -16,3 kJ/ mol

Énergie
perdue en
Acide Ammoniac ATP Glutamine chaleur lors
ADP de la
glutamique réaction

E- L’énergie dépensée pour maintenir la vie


Une part de l'énergie des molécules d'ATP maintient le
métabolisme basal de l'animal et ses diverses activités
(reproduction, recherche de nourriture, toilettage…).
Qu’est-ce qu’un biome?

 Climat
Température
Précipitations Biomes
Lumière ® Faune
Vents
® Flore
 Géographie
 Perturbations
périodiques

Julie Fontaine, EDU7492, aut.02


Distribution des biomes terrestres

Tiré de Campbell,1995
Julie Fontaine, EDU7492, aut.02
 Ensemble d’écosystèmes
caractéristiques d'une aire
biogéographique et nommé à partir de
la végétation et des espèces animales
qui y prédominent
 Définition à l’échelle du globe
terrestre. Classification très large
 L’expression des conditions
écologiques à l'échelle régionale:
le climat, le sol…
28
Liste indicative
 Deux grands types de biomes
Terrestres Aquatiques
Forêt tropicale humide Lacs
Forêt tropicale sèche Rivières
Savane Côtes rocheuses
Forêt tempérée Côtes sableuses
Prairie tempérée Récifs coralliens
Forêt boréale Continental benthique
Toundra Surfaces pélagiques
Déserts Profondeurs pélagiques
29
La végétation comme déterminant principal
du fonctionnement et des propriétés des
écosystèmes
 Les facteurs influençant la vie des
végétaux
Température Précipitations Saisonnalité

 En retour ces facteurs influencent la


formation des sols
 Corrélation type de sol-type de biome
30
Localisation des biomes terrestres
Gradients de température

Hausse des températures des pôles à l’équateur


31
Toundra

32
Caractéristiques de la toundra
observation La toundra Nom
inexistant au pôle sud Autour du pôle nord Situation géographique

 
  Climat sec peu de pluviosité climat

  250-600 mm/an pluviométrie


  m = - 26°c T°C

M = + 11°c
  Sec et froid(Le blizzard) vent
Marrais Sol congelé, peu de lessivage sol

  Quelques lichen végétation


  Alopex lagopus )Renard Faune

ours blanc(Ursus maritimus) (Ovibos


moschatus)bovin

  Cycle biologique très court adaptations

Reproduction hivernale
  1 à 5 Tonne à l’hectare dans l’Année Biomasse
Taïga, forêt boréale

34
Caractéristiques de La taiga
Nom La taiga observation
Au-dessous de la toundra
Situation géographique Elle n’existe pas au pôle sud

 
climat sec
250-700 mm/an Faible est durant toute l’année
pluviosité

températures m= -3°c  

M = + 15°c

vent - Pas de vent particulier

sol Peu épais, acide et lessivé Glacé en hivers

végétation Pinus sp ,Abies sp,Larix sp ‫أشجار طويلة من المخروطيات‬

faune Ursus americana ours Peu abondant

(Ales ales) élan


adaptations Courbe de biomasse décroissante Milieu pauvre

 
Biomasse 200 à 10 T/Ha/A
Forêt tempérée

36
Caractéristiques des forets tempérés
Nom Forêts tempérés Observations

Situation géographique Sud de la taïga, e, Amérique Europe Inexistante au sud de l’equateur


et Asie

climat tempréré  

pluviosité 700-1200 mm/an Répartition annuelle

températures 7-16°c Hivers très froid

- -
vent
sol Sol forestier riche en fer Peu lessivé

végétation Arbre de plus de 40m Etages de végétation

Fagus, Quercus, Juniperus, Taxus, Juglans, Castania

faune Lynx, Felis, Cervus, Sus, Lepus, Phasianus Riche en espèces

adaptations Immigration Fuir l’hiver

Biomasse De 15 à 300 T/H/A  


Prairies tempérées

38
Caractéristiques des prairies
Nom Les steppes observations
Situation géographique (la steppe) Asie Régions tempérés
la prairie Amerique du Nord
(la pampa) Amerique du sud

 
climat Semi-aride , hiver froid

 
pluviosité - /
250 500 mm an
températures (-2°c à 18°c)  

- -
vent
sol Sol fertile, riche MO 1,5m d épaisseur

végétation poacées = graminées ) Pas d’arbres pour cause peu


, ,
Poa Stipa Festuca de pluies

faune , ,
Gazella Equus Bison Herbivores

adaptations  
Racines profondes

 
Biomasse De 6 à 20T/H/A
Déserts

40
Caractéristiques du désert
Nom sahara observations
Situation géographique intertropicale  

climat Aride, très sec  


humidité 50% -15%
pluviosité 200mm/a , irrégulières (-100à 200mm/an ) 50mm/an

températures Moyenne de 30c  


Amplitude thermique de plus de 35c
vent 100km/h, permanente Erosion , déplacement des grains
de sables
sol Sol instable, érodé, pauvre, peu profond  

végétation cactées , poacées, astéracées Peu de diversité , végétation


pauvre
faune Fennecus, Camelus,Addax Peu de mammifères

adaptations Peu de feuilles  


Plantes grasses
Racines superficielles
Dormance accentuée
Floraison après les pluies
Peu d’évapotranspiration
Vie nocturne
Adaptation aux déplacements
 
Biomasse à 0.9 t/H/A 7  
Végétation méditerranéenne

42
Ecosystème méditerranéen
Nom Forêts méditerranéennes Observation
Situation géographique Pourtour méditerranéen Tempéré chaude
Sud australien
Afrique du sud
Californie
ouest du Chilie
climat Périodes de sècheresse de plus de 3 mois  

pluviosité Saisonnières irrégulières

températures De 12 à 18 °c  

vent - -

sol Terra rose rouge riche en fer Sols rubéfiés


végétation Olea, Seratonia, Arbutus, Pinus, Cedrus, Arbres Sempervirents Sclerophylles
Cistus,Erica, Quercus

faune Cervus, Sus, Macaca, Lepus Peu de grands mammifères

adaptations Arbres à hauteurs moyennes, arbres anti feux,  


feuilles anti sècheresses

Biomasse 6 à 60T/H/A  
Savane

44
Carracteristiques de la savane
Nom savanes observations
Situation géographique Régions tropicales Entre le sahara et l’equateur

climat longue Période sèche  

pluviosité 250-1200 mm/an  


températures 26°c-30°c m=4°c

vent - -
sol Pauvre en période sèche, et inondé en hivers  

végétation Poacés de plus de 1m, quelques arbres  

faune Equus(zébre) Gazella, Loxodonta (elephant)  


Girafa, rhinoceros,
Acinonyx(guepard) Struthio(autruche)
Panthera leo (lion)

adaptations Recherche de l’eau  

Biomasse à40t/h/a 9.7  


Forêt équatoriale

46
Foret équatoriale
Nom Foret équatoriale observations

Situation géographique Le long de l’equateur amazonie

Cameroun,Congo Kenya

Malaisie,Indonesie,Borneo
climat Pluvieux, chaud Jour et nuit identique
Energie solaire maximale

pluviosité 1500-8000mm/an  

températures 24°c – 28°c m=4°c

vent - -
sol Riche en MO, peu profond lessivé

végétation sciaphiles Pas de strate herbacée

arbres de 40m

épiphytes,grandes arbres,

biodiversité maximale

 
faune arboricoles  

python

riche en espèces
adaptations Adaptation à l’ombre  

Biomasse 24à500t/h/a  

 
Les biomes dulcicoles
Les cours d’eau

Les lacs et les étangs

Julie Fontaine, EDU7492, aut.02


Les biomes marins

Les zones intertidales

Les récifs de coraux

Les estuaires

Julie Fontaine, EDU7492, aut.02


La zone pélagique

Le benthos
Julie Fontaine, EDU7492, aut.02
Bon courage

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