Albert Camus

La biographie
Albert Camus est un dramaturge, essayiste,
écrivain et philosophe français, qui est né le
7 novembre 1913 à Mondovi/Algérie.

Son père, Lucien August Camus, travaille

comme caviste pour un marchand de vin
d’Alger. Il est mort de ses blessures qu’il a
contracté à la Première Guerre mondiale
quand son petit fils Albert a seulement un
an. Albert ne connaîtra jamais des photos de son père. La mère d’Albert ne peut ni lire ni écrire, en
plus elle est presque sourde. Après le mort du père, elle s’installe avec Albert et son grand frère
Lucien chez la grand-mère à Alger. Donc, elle travaille pour la survie de la famille parce qu’elle est
très pauvre. En 1930, Albert fait le premier part de son bac à Alger. Puis, les medicins diagnostiquent
une tuberculose, alors Camus doit aller au France où son oncle lui herberge pour qu’il peut faire un
séjour à l’hôpital là-bas. Puis, Camus finit son bac et fait ses études de philosophie. En 1934, il époule
Simone Hié et en 1940, il a divorcé d’avec sa femme. Camus s’engage au parti communiste dont il est
met au ban quelque temps plus tard, parce qu’il n‘est pas contente de les changements du
programme parti. Après l’interdit du journal pour quel il a travaillé, Camus se marie à Francine Faure.
Les deux s’installent à Paris où il travaille comme journaliste.

Les années suivantes il écrit beaucoup des piéces et romans. Dans ses travails Camus toujours
assimile ses expériences et ses pensées philosophes sur l‘existentialisme. Comme Sartre il essaye de
non seulement écrire mais aussi exercer l’influence sur la politique.

En 1957, il reçoit le prix Nobel du litterature.

Le 4 janvier 1960, Albert Camus trouve le mort dans un accident de voiture près de La Champelle
Champigny.

Travailles

 Révolte dans les Asturies (1936), essai de création collective

 L'Envers et l'Endroit (1937), essai
 Caligula (première version en 1938), pièce en 4 actes
 Noces (1939), recueil d'essais et d'impressions
 Le Mythe de Sisyphe (1942), essai sur l'absurde
 L'Étranger (1942), roman
 Le Malentendu (1944), pièce en 3 actes
 La Peste (1947 ; Prix de la critique en 1948), récit
 L'État de siège (1948) Spectacle en 3 parties.
 Les Justes (1949), pièce en 5 actes
 Actuelles I, Chroniques 1944-1948 (1950)
 L'Homme révolté (1951), essai
 Actuelles II, Chroniques 1948-1953
  L'Été (1954), essai
 La Chute (1956), récit
 L'Exil et le Royaume (Gallimard, 1957), nouvelles (La Femme adultère, Le Renégat,
Les Muets, L'Hôte, Jonas, La Pierre qui pousse)
 Réflexions sur la peine capitale (1957), en collaboration avec Arthur Koestler,
Réflexions sur la Guillotine de Camus
 Actuelles III, Chroniques algériennes, 1939-1958 (1958)

La philosophie
L’absurde, c’est le point de départ de la philosophie du Camus. D’après Albert Camus, l’absurde, c’est
la connaissance de l’homme que la douleur sera absurde. C’est pourquoi la douleur n’est pas
explicable, alors l’homme doiverait être athée. Le sentiment d’absurde, c’est la désunion de l’homme
qui ambitionne pour le sens de la vie et du monde sans raison. Quand même, Camus appelle pour
l’existentialisme. L’homme doiverait developper une conscience del’opposition et de la révolté.

Vocabulaire:
un caviste – Weinhändler
contracter qc. – sich etwas zuziehen
sourd(e) – schwerhörig, taub
épouser qn. – jemanden heiraten
le parti – Partei
mettre qn. au ban du parti – jemanden aus der Partei ausschließen
assimiler – verdauen, verarbeiten
essayer de faire qc. – versuchen, etwas zu tun
l’absurde (m.) – das Absurde
absurde m/f – sinnlos
l‘athée m/f – Atheist(in
le point de départ – Ausgangspunkt
la désunion – Entzweiung
l’existentialisme (m.) - Existenzialismus
une conscience – Bewusstsein
l’opposition (f.) – Widerspruch
la révolté – der Aufstand