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Les droits de la femme

Cheikh Sou'ôud Ach-Chouraïm


Vendredi 23/4/1425 (11/6/2004)

O Hommes !

Je vous recommande, ainsi qu'à moi-même, la crainte d'Allah (qu'Il soit glorifié) ; sachez
qu'Il vous voit en secret et en public, accrochez-vous à Sa législation, et soyez
bienfaisants car Allah aime les bienfaisants.

O Musulmans !

Allah (qu'Il soit glorifié) a fait que l'origine de l'humanité soit deux époux, un mâle et une
femelle, l'un ne peut se passer de l'autre, sinon les descendances se couperaient et la
succession [sur terre] s'arrêterait ; et c'est la raison pour laquelle Allah a mentionné ce
bienfait en exposant les bienfaits qu'Il a accordés à Ses créatures (qu'Il soit glorifié) :

{C'est Lui qui vous a créés d'un seul être dont il a tiré son épouse, pour qu'il
trouve de la tranquillité auprès d'elle}.

C'est la femme qui est la tranquillité de l'homme, de la famille et leur stabilité ; sans
parler du fait qu'elle est la moitié de la société, puis elle enfante l'autre moitié ; donc,
c'est comme si elle représentait toute la société.
Le discours au sujet de la femme est un discours compliqué dont la société musulmane
contemporaine a besoin, et il est en même temps un discours entouré de dangers,
exposé aux erreurs à cause des passions, de la force de l'effet de l'environnement, de
l'attaque envahissante et de la différence d'objectivité concernant la femme. Le fait de
parler de la question de la femme de tous les côtés d'une façon concise et rapide
comme dans ce petit sermon ou autres, n'est pas possible ; mais on n'abandonne pas
tout ce que l'on ne peut pas obtenir complètement.

Nous disons cela à un moment où la question de la femme est devenue la


préoccupation de beaucoup de gens, et le premier souci au moment où la communauté
est témoin de beaucoup d'injustice, de domination, de chômage, de pauvreté, de
déviation du droit chemin, de duperie, et de l'attaque des ennemis de l'Islam de
l'intérieur et de l'extérieur, et nous ne trouvons pas d'analyses pour ces choses dans ce
que nous voyons, entendons et lisons sauf ce qu'Allah nous a fait comprendre. Et nous
disons à tous ceux qui veulent discuter de la question de la femme, de faire attention
aux points suivants dans leur chemin, afin qu'ils ne commettent pas d'erreurs et ne
tombent pas dans l'abîme du préjudice et de la dépréciation, et afin qu'ils ne fassent pas
ce qu'Allah n'a pas permis et n'accomplissent pas des actes que les premiers parmi les
pieux prédécesseurs de la communauté n'ont pas accomplis.

Le premier point est :

La croyance ferme que l'unique source pour limiter l'entité des deux sexes - le mâle et la
femelle -, pour limiter les critères de chacun d'eux, et pour exposer les points communs
et les différences entre eux en ce qui concerne la création et les devoirs à accomplir, est
le Livre d'Allah et la Sounnah de Son messager (qu'Allah prie sur lui et le salue), et non les
opinions des hommes et leurs passions, tout comme s'opposer à quoi que ce soit de
cela est une opposition au Législateur qui a dit :

{Est-ce donc le jugement du temps de l'Ignorance qu'ils cherchent ?

Qu'y a-t-il de meilleur qu'Allah, en matière de jugement pour des gens qui ont
une foi ferme}.

Donc, il ne faut pas prendre en compte le renversement des critères religieux en ce qui
concerne les noms des choses et lorsque les significations sont renversées comme
lorsque l'on dit que la pudeur de la femme, sa timidité et son voile, est une frustration qui
n'a aucune justification et une coutume transmise par héritage qui a disparu avec le
temps.
Le deuxième point - serviteurs d'Allah - :

Chaque conseiller, chaque personne sincère, et chaque personne dévouée à la


communauté de l'Islam, doit s'opposer à tout écrivain qui veut altérer les éléments de la
communauté, ou qui veut qu'elle soit comme une gomme à mâcher qui est collée aux
chaussures des adorateurs des envies bestiales, ou de ceux qui détestent ce qu'Allah a
fait descendre, ou qui essaye avec sa plume de percer le bateau de la communauté ; et
ils écrivent avec leurs plumes que nous ne pouvons obtenir aucun progrès dans la
science, l'industrialisation et la civilisation qu'en suivant les expériences des pays
occidentaux, dans leurs plans et le chemin qu'ils suivent concernant la femme. Et la
vérité dans cela est que les pays qui veulent l'émancipation de la femme - dans les pays
non musulmans ou dans les pays qui les imitent -, nous trouvons que ces pays, malgré
le bruit qu'ils font à propos de ce qu'ils prétendent de l'émancipation de la femme, n'ont
pas atteint le niveau qui est satisfaisant par rapport à la publicité qui a été faite pour son
émancipation ; et nous ne trouvons dans leurs valises ministérielles que des petites
promesses, et dans leurs parlements et leurs ministères, nous ne trouvons qu'une ou
deux femmes ; et ceci prouve que ce n'est qu'un symbole avec lequel ils veulent
convaincre la personne naïve que la femme a atteint un rang important chez eux.

Et ce qui est encore plus étonnant - serviteurs d'Allah -, le fait que certains pays
industrialisés qui incitent à l'émancipation de la femme, ont mentionné dans leurs
constitutions que la femme ne peut pas être à la présidence du pays ; est-ce qu'après
cela ces pays sont considérés comme modèles qui appellent à l'émancipation de la
femme ? Et cela n'est pas étonnant - serviteurs d'Allah - car il se peut que ces pays
mécréants ont mieux compris le hadith du messager d'Allah (qu'Allah prie sur lui et le salue)
que certaines personnes parmi les musulmans qui appellent à l'émancipation de la
femme : lorsque le prophète (qu'Allah prie sur lui et le salue) su qu'un pays mécréant
nomma une femme à la présidence du pays, le messager d'Allah (qu'Allah prie sur lui et le
salue) dit :

(Un pays qui est gouverné par une femme, n'obtiendra jamais le succès)

Rapporté par Al-Boukhari ; et dans une version d'Ahmed dans son "Mousnad" : le prophète
(qu'Allah prie sur lui et le salue) a dit :

(Maintenant, les hommes périront s'ils obéissent aux femmes).

Et la réalité montre - serviteurs d'Allah - que ce qui a été réalisé par ces pays
concernant l'émancipation de la femme n'est que le fait qu'ils ont fait d'elle une
marchandise méprisée dans les maisons de prostitution et de débauche, ou des images
banales dans des programmes musicaux, ou des corps pour inciter à la vente des
produits, et d'autres choses à travers des slogans publicitaires qui ne sont propagés que
par le moyen du corps de la femme.
Le troisième point - serviteurs d'Allah - :

Parler de la liberté et de l'émancipation de la femme pour chaque affaire concernant la


femme est un moyen utilisé par ceux qui sont ignorants et orgueilleux, ou ceux qui
veulent embrouiller les choses afin de produire une brèche dans le développement de la
société dans les pays musulmans, et les problèmes viennent de cette fenêtre, et plus
exactement, c'est la porte que le diable utilise car le mot "liberté" a un effet magique
pour tromper la majorité des gens, surtout les adolescents et les adolescentes.

Et - serviteurs d'Allah -, trois étapes sont suivies par ceux qui appellent à l'émancipation
de la femme, et au fait de la faire sortir de sa prison psychologique qui est représentée
par l'attachement à la religion et à la législation d'Allah - comme ils prétendent ; et ces
étapes sont :

La première étape pour eux est qu'ils sont responsables [ils sont chargés] de tous les
problèmes qui se produisent dans le milieu islamique, et ils n'acceptent aucune pensée
[idée] sauf lorsque la raison l'accepte, et leur argument à propos de cela est la
différence de science et de culture entre eux et l'homme simple de la rue.

Puis, vient la deuxième étape : Ils disent qu'avec leurs analyses, ils sont sincères et
compatissants envers la situation de la communauté, et ils recherchent la vérité et la
science, mais ils confirment que la science est le résultat de la liberté ; donc, s'ils ne se
libèrent pas de toute pensée antérieure, ils ne pourront pas parvenir au but recherché.

Puis, vient la calamité dans la troisième étape dans laquelle ils attestent que toute chose
doit être soumise à la recherche libre ; et le mot "toute chose" n'exempte rien pour eux,
même nos croyances, nos enseignements, et les bonnes qualités morales transmises
par héritage chez nous.

Et il n'y a aucun doute que dans ces étapes, se trouvent des choses étonnantes qui
incitent à la naïveté et qui sont suffisantes pour mettre les grains du doute dans toute
chose, et à plus forte raison, la question de la femme ; et comment ces gens naïfs des
sociétés musulmanes peuvent ils comprendre que ceci est comme le voile de fumée
que les soldats lancent généralement afin de cacher l'attaque.

Le quatrième point :

Lorsqu'une société touche à la question de la femme et l'altère ainsi que ses


composantes, et doute de la législation islamique qui a été mise comme un mur qui la
protège, et doute aussi des choses qui l'a différencient de l'homme et qui différencient
l'homme d'elle, Allah les mettra dans une situation plus difficile que celle dont ils se sont
enfuis, et ils s'attireront des malheurs et des préjudices dont ils ne se méfiaient pas, et le
messager d'Allah (qu'Allah prie sur lui et le salue) a dit vrai en disant :
(Je n'ai pas laissé après moi une tentation plus dangereuse pour ma communauté
que les femmes) rapporté par Al-Boukhari et Mouslim.

Et Mouslim a rapporté :

(Donc, craignez ce monde, et craignez les femmes, car la première tentation des
fils d'Israël fut les femmes).

Et nous connaissons - serviteurs d'Allah - ce que l'Histoire nous a dévoilés concernant la


bataille célèbre de "Dhi Quaar", et elle fut parmi les guerres les plus dures de l'époque
de l'ignorance préislamique, et elle commença à cause d'une femme que Chosroès
désirait, et An-Nôur'mane refusa de lui donner cette femme. Et aussi, le complot que les
juifs firent pour enlever le voile d'une femme musulmane et dévoiler ses parties
génitales dans le marché des banis Quaïnouquaâ à l'époque du prophète (qu'Allah prie
sur lui et le salue).

Le cinquième point - serviteurs d'Allah - :

La législation islamique refuse le chemin de l'excès en ce qui la femme de telle sorte


qu'elle soit rabaissée, méprisée, et qu'elle soit éloignée de la réalité de la vie ; et en
même temps, la législation islamique n'accepte pas le chemin de l'émancipation et de
l'aliénation. Et la communauté ne doit pas écouter les défaitistes qui suivent le chemin
de l'excès, et elle ne doit pas suivre les imprudents qui sont débauchés, car la
communauté ne doit pas être influencée par ceux qui font de l'excès en privant la
femme de ses droits en apportant des justificatifs contre elle, même s'ils mélangent avec
ces justificatifs des hadiths inventés et mensongers comme le hadith : "Obéir à la
femme est un regret". Et la communauté ne doit pas être influencée non plus par ceux
qui sont négligents et qui font sortir la femme du droit chemin, même s'ils apportent des
justificatifs falsifiés et des hadiths mensongers pour soutenir leurs fausses pensées,
comme le hadith : "Prenez les textes de votre religion de cette 'Houmaïrah'", ils parlent
ainsi d'Aïcha (qu'Allah soit satisfait d'elle), et c'est un hadith inventé et mensonger.

Et la réalité dans cela est le juste milieu qui est la justice, le choix et l'équité ; donc, ce
qui est confirmé par une preuve provenant des textes de la religion, est la vérité même
si c'est un seul homme qui la suit ; et ce qui s'oppose à la preuve provenant des textes
de la religion, est faux même si tout le monde le suit. Et c'est une erreur d'essayer de
rassembler ceux qui s'opposent au sujet de la question de la femme, ils veulent réunir
ceux qui appellent au voile parfait et ceux qui appellent à la débauche de la femme et au
dévoilement de ses charmes, en enlevant le voile, la pudeur et la timidité, ils deviennent
ainsi :

{Ils sont indécis (entre les croyants et les mécréants), n'appartenant ni aux uns ni
aux autres.

Or, quiconque Allah égare, jamais tu ne trouveras de chemin pour lui}.


Donc, craignez Allah - ô musulmans - ; et méfiez-vous des choses inventées [nouvelles],
car chaque chose inventée est une innovation dans la religion, et chaque innovation est
un égarement :

{O vous qui avez cru !

Préservez vos personnes et vos familles d'un Feu dont le combustible sera les
gens et les pierres, surveillé par des Anges rudes, durs, ne désobéissant jamais à
Allah en ce qu'il leur commande, et faisant strictement ce qu'on leur ordonne}.

Deuxième sermon :

O Musulmans !

Craignez Allah et sachez qu'il y a un sixième point concernant la femme :

C'est que son rôle dans la vie et la société n'est pas basé sur la servitude, ni sur
l'utilisation de son corps, mais au contraire, la femme a des droits dans la société et la
famille ; elle a le droit d'aller accomplir les prières dans les mosquées sans qu'elle soit
une cause de tentation, elle a le droit d'étudier, elle peut participer au conseil, à
l'orientation, à l'éducation, à l'enseignement, à la prescription du bien et à la prescription
du mal, et elle a aussi le droit de rechercher une meilleure situation lorsque se
présentent des occasions de travail qui conviennent à sa disposition naturelle et qui ne
s'opposent pas la législation islamique dans les domaines de la science, les bonnes
oeuvres et l'appel vers le bien. La communauté islamique a un grand besoin de
l'éducatrice musulmane, de l'enseignante musulmane, de l'infirmière musulmane, de la
doctoresse musulmane, et de la femme de lettres musulmane.

Et la femme a besoin de remplir sa tête avec la science et la connaissance utile, elle ne


doit pas découvrir sa tête et son corps, et elle ne doit pas se renfrogner contre sa
religion. Et le rôle de la femme dans la société restera dangereux et sensible, et nous ne
devons pas accepter de négligence, ni d'expériences amères en ce qui concerne son
rôle ; et toute la société doit protéger l'honneur des gens, et doit empêcher toute
violation de leur honneur. Et la communauté qui obtient la réussite est celle qui peut
joindre entre ces buts nobles pour la femme et les besoins de la société tout en la
protégeant et en la préservant du mal ; ainsi, cette communauté ne la met pas dans la
cage des accusations, et elle ne la laisse pas non plus complètement libre afin qu'elle
soit la proie des mauvaises actions et de l'insolence.
Et le dernier point - serviteurs d'Allah - :

C’est ce qu'il faut éclaircir concernant le fait que l'appel à l'égalité entre les deux sexes -
le mâle et la femelle -, dans tous les points de vue, est comme l'appel à la possibilité de
réunir deux grains d'orge ; le vrai musulman ne doit pas douter qu'Allah (le Puissant et le
Haut) a accordé à chaque sexe des particularités, et Il a ajouté un degré aux homme par
rapport aux femmes, Il a dit (qu'Il soit glorifié) :

{Quant à elles, elles ont des droits équivalents à leurs obligations, conformément
à la bienséance.

Mais les hommes ont cependant une prédominance sur elles.

Et Allah est Puissant et Sage}.

Allah a donné à l'homme la prédominance avec la prophétie, le gouvernement du pays,


la juridiction, la direction de la prière et le commandement du combat dans le chemin
d'Allah ; l'homme peut aussi se marier sans tuteur, le divorce est dans la main de
l'homme, il prend le double de la part de la femme dans l'héritage dans beaucoup de
cas, l'enfant porte le nom de son père, l'homme peut se marier avec quatre femmes, il
peut avoir des esclaves femmes [des servantes], le témoignage de deux femmes est
équivalent à celui d'un seul homme, et bien d'autres choses ; et l'imam Ahmed a
rapporté dans son "Mousnad" qu'Oum Salamah (qu'Allah soit satisfait d'elle) a dit :

- "O Messager d'Allah ! Les hommes participent à la guerre sainte et nous n'y
participons pas, et nous avons la moitié de l'héritage ?", Allah (qu'Il soit exalté) révéla
alors :

{Aux hommes revient une part de ce qu'ont laissé les père et mère ainsi que les
proches ; et aux femmes une part de ce qu'ont laissé les père et mère ainsi que
les proches, que ce soit peu ou beaucoup : une part fixée}.

Al-Quourtoubi (qu'Allah lui fasse miséricorde) a dit :

- "Celui qui est doué de raison connaît le mérite des hommes sur les femmes, même si
ce n'était que le fait que la femme fut créée à partir de l'homme, et il est l'origine de la
femme ; et il peut l'empêcher de faire quoi que ce soit sauf avec sa permission".

Mais cette particularité et ce mérite - serviteurs d'Allah - ne signifient pas qu'il faut
mépriser la femme, ni être raciste envers elle, et cela ne signifie pas non plus que tous
les hommes sont mieux que toutes les femmes, car la règle est que : donner plus de
mérite à une chose n'exige pas de mépriser l'autre chose ou de l'abandonner ; et le
Coran en entier est la parole d'Allah et malgré cela il a été rapporté par Mouslim que le
prophète (qu'Allah prie sur lui et le salue) a mentionné que "Le verset du Trône" [Aayatoul
Koursi] est le meilleur verset dans le Livre d'Allah. Et parmi les prophètes et les
messagers, certains ont plus de mérite que d'autres, comme Allah (qu'Il soit exalté) a dit :
{Et parmi les prophètes, Nous avons donné à certains plus de faveurs
qu'à d'autres}.

Et cela ne signifie absolument pas qu'il faut rabaisser les mérites des autres versets et
des autres prophètes et messagers.

Serviteurs d'Allah !

Et malgré cette prééminence, nous devons confirmer avec la preuve de la législation


islamique que les femmes sont les soeurs des hommes, et qu'elles sont semblables aux
hommes en ce qui concerne les croyances et les bonnes qualités [la morale], de même
qu'elles sont semblables à eux en ce qui concerne le mérite de la récompense et du
châtiment en compensation de l'application des enseignements de l'Islam négativement
ou affirmativement ; tout comme ce que l'on prétend en disant que la masculinité fait
passer l'homme en premier lors du jugement et que la féminité fait passer la femme en
dernier le jour du jugement, n'est qu'un mensonge et une injustice, car Allah (le Puissant
et le Haut) a dit :

{Le plus noble d'entre vous, auprès d'Allah, est le plus pieux.

Allah est certes Omniscient et Grand Connaisseur}.

Et la réalité montre que la femme peut surpasser beaucoup d'hommes comme cela le
fut pour les mères des croyants [les femmes du prophète (qu'Allah prie sur lui et le salue)] et
celles qui les succédèrent.

Et la masculinité et la féminité ne sont pas les critères du jugement le jour de la


résurrection, et il est dit dans le proverbe :

"La lionne dans ses forêts est meilleure et plus forte que le coq parmi les poules".

Et la base générale dans la façon de voir les choses, et la règle générale dans cette
affaire est la parole d'Allah (qu'Il soit exalté) :

{Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde
à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs biens.

Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit
être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah}.

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