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Pour la première fois, L’Observatoire de la Petite Entreprise FCGA/Banque
De plus, les chefs d’entreprise se sont rapidement
familiarisés à la nouvelle monnaie. Populaire donne la parole à une personnalité du monde économique
La principale inquiétude portait sur leur
approvisionnement en euros. Au final, seules 2,7 %
pour réagir sur les indicateurs et les résultats du baromètre.
des petites entreprises interrogées estiment que leur Vous retrouverez désormais cette rubrique à chaque parution.
fond de caisse était insuffisant. Les règlements en
monnaie scripturale se sont relativement bien passés Jean-François FCGA/Banque Populaire font état d’une
et seuls 6 % des commerçants ont finalement rencontré Bernardin, président certaine frilosité en matière d’investisse-
quelques difficultés avec les terminaux de paiement de l’Assemblée des ment. Pour l’essentiel, les petites entre-
électronique. Enfin, seul point noir au tableau, Chambres Françaises prises envisagent d’investir dans des
66,2 % des entrepreneurs déclarent consacrer de Commerce et équipements, du matériel, c’est-à-dire
beaucoup plus de temps à la gestion de leur recette d’Industrie (ACFCI) l’outil de production dont on ne peut pas
quotidienne. depuis mars 2001. toujours différer l’achat.
En ce qui concerne les recrutements et les
Fond de caisse suffisant 97,3 % L’Observatoire de la Petite Entreprise (OPE) : licenciements, la situation est plutôt à
Quel est le rôle de l’ACFCI ? l’attentisme. Elle peut s’expliquer par les
Chèque sans problème 98,0 % Jean-François Bernardin : L’ACFCI est l’éta- incertitudes liées à la conjoncture euro-
Terminal de paiement
électronique eurocompatible 94,0 % blissement national fédérateur et anima- péenne, le contrecoup des événements du
Conversion sans problèmes 93,6% teur des 160 chambres de commerce loca- 11 septembre encore perceptible au 1er tri-
les et des 20 chambres régionales. Elle mestre 2002, tous les indicateurs n’étant
Délais d'attente identique 75,5 %
représente et défend les intérêts des pas revenus au beau fixe. Cette situation
Gestion recette identique 33,8% 1,8 million d’entreprises, pour la plupart est encore plus difficile à vivre pour les
Acceptation euro par client 88,5 % des TPE, très petites entreprises, inscrites petites entreprises sous-traitantes de
Préférence paiement euro 86,9 % au registre du commerce et des services. grands groupes industriels.
Il existe en France tout un tissu productif A ces incertitudes économiques
Familiarisation TPE à l'euro 91,4% et dynamique dans lequel nombre d’en- s’ajoutent, chez nos entrepreneurs, des
treprises adhérentes à la FCGA se recon- incertitudes politiques, a fortiori en
naîtront. Avec la perspective des élec- période pré-électorale. Côté emploi, il
Les conditions du passage à l’euro
tions, c’est le moment de réaffirmer que apparaît clairement que les 35 heures
ces TPE ont des atouts incontestables liés n’ont pas l’effet escompté en termes
à leur souplesse et à leur réactivité. de recrutement. Certaines petites
entreprises espèrent encore un nouvel
OPE : Des atouts qui ont facilité leur pas- assouplissement de la loi. Quoi qu’il en
sage à l’euro ? soit, c’est la croissance qui tirera l’emploi
J.-F. B. : L’Observatoire de la Petite et non le passage aux 35 heures.
Partenariat Entreprise FCGA/Banque Populaire montre Promouvoir l’investissement et l’emploi,
que les TPE ont relevé le défi du passage à c’est un chantier auquel les pouvoirs
l’euro avec succès et qu’elles ont facilité publics devront s’atteler. Rénover le sta-
La Fédération des Centres de Gestion Agréés (FCGA), créée en 1978, regroupe
114 Centres de Gestion Agréés (CGA) répartis sur tout le territoire national.
celui des consommateurs. Et ce, alors tut fiscal et social du créateur, favoriser la
Au total, 400 000 petites entreprises sont adhérentes à l’un de ces Centres. même qu’on leur faisait des procès d’in- transmission d’entreprise : autant de pro-
Le Groupe Banques Populaires, fondé il y a plus d’un siècle par et pour tention sur leurs tentations inflationnis- positions en faveur du développement
des entrepreneurs, est la banque de référence de la petite entreprise, tes ou leur incapacité à s’équiper. des petites entreprises. C’est pourquoi à
avec un artisan sur trois, un commerçant sur quatre aujourd’hui clients l’ACFCI, nous suivons avec la plus grande
des Banques Populaires et 543 000 clients professionnels. OPE : Comment vont se comporter les attention les discussions sur le projet de
La FCGA et le Groupe Banques Populaires s’associent pour publier chaque petites entreprises au cours des pro- loi en faveur des petites entreprises et de
trimestre l’évolution des chiffres d’affaires des principaux métiers de chains mois ? l’artisanat, projet qui sera vraisem-
l’Artisanat, du Commerce et des Services. Les chiffres publiés proviennent
J.-F. B. : Les résultats de l’enquête menée blablement repris par le Parlement
de l’exploitation, par la FCGA, de données communiquées volontairement
par les adhérents des CGA répartis sur l’ensemble du territoire. Ces
par L’Observatoire de la Petite Entreprise après les échéances électorales.
indicateurs sont complétés par une enquête permettant de connaître
l’opinion des chefs de petites entreprises sur des sujets d’actualité.

Co-éditeurs : FCGA - 2, rue Meissonier 75017 PARIS et Banque Fédérale des Banques Populaires - Le Ponant de Paris -
Pour toute demande d'information sur les indicateurs, 5, rue Leblanc 75015 PARIS • Directeur de la publication : Georges RYVOL • Directeur de rédaction : Claude FORGET •
contactez à la FCGA : Elise LAMONTAGNE Rédaction : Elise LAMONTAGNE et Christian AUBERT • Conception-réalisation : OCREA communication • Tirage 25 000
exemplaires • Périodicité trimestrielle • Cible : acteurs économiques, organisations professionnelles et consulaires,
tél. : 01.42.67.80.62 - E-mail : elamontagne@fcga.fr
collectivités territoriales, presse professionnelle, économique et financière, nationale et régionale • Dépôt légal en cours.
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l bservatoire
DE L A PETITE E NTREPRISE
4
Fédération des Centres de Gestion Agréés • Banque Populaire Mars 2002 N0
ETUDE RÉALISÉE AUPRÈS DES PETITES ENTREPRISES ADHÉRENTES DES CENTRES DE GESTION AGRÉÉS, MEMBRES DE LA FCGA

Plus de 60 Centres de Gestion Agréés collectent les chiffres d’affaires mensuels de leurs adhérents. La FCGA analyse, chaque
trimestre, ces données qui permettent de dégager l’évolution globale de l’activité de près de 20 000 petites entreprises du
commerce, de l’artisanat et des services. Pour le 4ème trimestre 2001, l’étude porte sur 47 professions réparties dans 11 secteurs
d’activité. L’occasion de dresser un bilan sur l’ensemble de l’année 2001.

La tendance L’activité
Net rebond en fin d’année Evolution des chiffres d'affaires des
Après une croissance au ralenti sur les trois premiers trimestres, l’année 4 principaux secteurs au 4ème trimestre 2001
2001 se termine finalement sur une bonne note grâce au 4ème trimestre.
4 ème trimestre 2001 / Janvier 2001-Décembre 2001 /
Les petites entreprises enregistrent une augmentation de leur chiffre 4 ème trimestre 2000 Janvier 2000-Décembre 2000
d’affaires de + 3,1 % par rapport au 4ème trimestre 2000. Cette tendance
positive permet de dégager un bilan satisfaisant sur 2001 avec
une évolution de l’activité globale de + 2,8 % par rapport à 2000. Alimentaire Alimentaire
+4% +4%
L’indice global TPE *
Services Services

* Réalisé +3,5% +3,4%

3,1 %
en collaboration
avec les services
de la Direction
des Entreprises,
du Commerce,
3,1%
Quatrième trimestre
Bâtiment Bâtiment

de l’Artisanat
+2,4% +1,1%
et des Services,
( labellisation
INSEE en
cours ).
,8%
22,8%
12 derniers mois
Equipt. de la maison
et de la personne
+2,3%
Equipt. de la maison
et de la personne
+2,6%
zOom
Retour de la croissance pour le bâtiment
Après un début d’année marqué par un recul d’activité, le secteur du bâtiment retrouve un niveau de croissance significatif : + 2,4 % par rapport
au 4ème trimestre 2000. Ce résultat permet au secteur d’afficher une évolution positive de son activité sur l’ensemble de l’année 2001 par rapport à 2000,
+ 1,9 %. Une performance d’autant plus honorable que le niveau d’activité avait atteint un niveau record en 2000. Ce retournement de tendance du
bâtiment participe du redémarrage de la croissance globale. Mais toutes les professions du secteur ne sont pas concernées. Les peintres, les menuisiers,
les carreleurs et les maçons enregistrent, en 2001, une augmentation de leur chiffre d’affaires de respectivement + 5,9 %, + 5 %, + 5 % et + 2,2 %
par rapport à 2000. Paradoxalement, les plâtriers et les couvreurs connaissent une forte détérioration de leur activité en 2001 : - 9,2 % et - 5,8 %.
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DE L A PETITE E NTREPRISE Palmarès trimestriel
Fédération des Centres de Gestion Agréés • Banque Populaire
Tous les secteurs d’activité affichent, au
4ème trimestre 2001, une amélioration de leurs
Taux d’accroissement du chiffre d’affaires résultats. Le secteur de la santé enregistre la plus
rappel forte évolution (+ 5,4 %), suivi des services (+ 4,9 %).
4ème trimestre 2001 / 4ème trimestre 2000 2001/2000 2000/1999 La croissance des métiers de bouche s’accentue
avec les performances de l’alimentation générale
Automobile - moto dont : (+ 6,1 %) et de la boucherie-charcuterie (+ 5,5 %)
4,0% Carrosserie automobile 4,6% 1,2% 0,1% 5,7% qui compensent la baisse de l’activité des
Auto, vente et réparation 4,2% 2,2% poissonniers (- 2,2 %). La reprise du secteur
Bar - Hôtellerie - Restauration dont : automobile, déjà amorcée le trimestre dernier, se
2,6% Hôtel - Restaurant 2,7% 3,1% 1,7% 3,6% confirme (+ de 4 %). Enfin, l’équipement de la
Restauration 3,0% 3,8%
personne présente la plus faible croissance (+ 1,4 %).
Café 0,4% 3,6%
Bâtiment dont :
2,4% Terrassements - Travaux publics 2,3% 1,9% -0,2% 9,1% Palmarès annuel 2001
Couverture -4,8% -5,8%
Maçonnerie 10,7% 2,2%
Tous secteurs confondus, l’indice global
Electricité -1,8% 0,2%
d’évolution 2001 atteint + 2,8 %, et ce,
Plomberie-Chauffage-Sanitaire -7,0% -0,5%
dans un contexte d’inflation contenue de + 1,4%.
Plâtrerie-Staff-Décoration -15,5% -9,2%
Menuiserie 11,6% 5,0% L’ensemble des secteurs affiche des évolutions
Carrelage, faïence -2,2% 5,0% positives, notamment la santé ( + 5,8 % ), les
Peinture bâtiment 2,3% 5,9% transports ( + 5 % ), la culture et les loisirs (+ 4,2 %).
Beauté - Esthétique dont : Le commerce de détail alimentaire progresse
(+ 4 % ), en partie grâce à la boucherie-charcuterie.
2,6% Parfumerie 5,9% 2,4% 4,6% 1,8% Les secteurs de l’équipement de la personne et de
Coiffure 2,1% 2,1%
Esthétique 7,9% 6,4% la maison ainsi que le secteur beauté, bien qu’en
Commerce de détail alimentaire dont : retrait, enregistrent des taux de croissance
encourageants, respectivement + 2,9 %, + 2,2 % et
4,0% Charcuterie 1,9% 4,0% 4,3% 3,4%
Boulangerie - Pâtisserie 1,7% 1,2% + 2,4 %. Enfin, la progression timide de + 1,2 % du
Pâtisserie 0,7% 1,6% secteur de l’automobile s’explique essentiellement
Alimentation générale 6,1% 4,7% par les mauvais résultats du 1 er semestre.
Fruits et Légumes 4,0% 4,9%
Boucherie - Charcuterie 5,5% 6,2%
Poissonnerie - Primeurs -2,2% 5,3% Comparaison 2001 / 2000
Crèmerie 7,5% 6,3%
Culture & loisirs dont : La croissance moyenne observée sur 2000 et
2001 pour l’ensemble des métiers traduit un
3,5% Tabac, journaux, jeux 7,3% 4,2% 7,1% 4,2% bon dynamisme global. La croissance la plus faible
Librairie, papeterie, presse -3,5% 2,4%
Photos, vidéos 5,0% -2,9% sur deux ans concerne les secteurs de la beauté
Articles de sport, pêche et chasse 9,5% 8,4% (+ 2,1 %) et l’équipement de la personne (+ 2,65 %).
Equipement de la maison dont : Les secteurs à plus forte progression sont les
transports (+ 7,95 %) et la santé (+ 6,65 %). Tous les
3,3% Vaisselle, verrerie, faïence, luminaires -1,3% 2,2% -1,1%
5,0% secteurs enregistrent une croissance supérieure à
Electroménager - TV - HIFI 4,4% 2,9%
Magasins de bricolage -1,7% -2,0% l’inflation moyennne sur ces deux années.
Fleuriste 0,9% 1,3%
Equipement de la personne dont :
Plus de détails sur
1,4% Mercerie - Lingerie - Laine 4,5% 2,9% 3,0% 2,4%
Vêtements enfants -1,0% 3,0% L’indice de la TPE
Prêt-à-porter 1,0% 3,0%
Chaussures
Maroquinerie, articles de voyage 8,7%
Horlogerie - Bijouterie
Santé dont :
5,4% Prothésiste dentaire
-1,3%

4,5%

1 3,1%
5,8% 13,6%
3,9%
9,4%
0,4% > Tous les mois, une
cinquantaine de Centres
de Gestion Agréés (CGA)
répartis sur le territoire
national transmettent
à partir des chiffres
d’affaires d’un
échantillon constant
de près de 20 000 petites
entreprises de l’artisanat,
7,5%
Pharmacie 5,4% 5,8% les chiffres d’affaires, du commerce et
Optique, lunetterie 4,0% 5,0% rendus anonymes, des services.
Transports dont : de leurs adhérents à la L’évolution de chaque
3,5% Taxis - Ambulances 2,2% 5,0% 3,4% 10,9% Fédération. Une analyse profession est pondérée
Transport de marchandises 4,3% 6,0% nationale est alors par le nombre
Divers dont :
réalisée trimestriel- d’entreprises recensées
4,9% Agence immobilière 3,1% 3,8% 5,2% 4,1% lement. L’étude est par l’INSEE dans chaque
Entreprise de nettoyage 4,0% 3,0%
déterminée secteur considéré.
Laverie pressing 2,1% 2,6%
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En février 2002, 1 150 petites entreprises ont été interrogées par leur Centre de Gestion Agréé. Cette enquête permet
d’évaluer l’état d’esprit des entrepreneurs et de connaître leurs projets à court terme en matière d’investissement et de
recrutement. En ce début d’année 2002, l’Observatoire de la Petite Entreprise fait également le bilan des conditions du
passage à l’euro.

Selon les résultats de l’enquête pour les trois prochains mois :


66,2 % des petites entreprises se déclarent optimistes ;
33,1 % ont l’intention d’investir ;
10,7 % affirment vouloir recruter.

3 7 , 9 % d e s investissements des petites entreprises seraient


Le moral des TPE au beau fixe consacrés à la rénovation du point de vente et 34,9 % aux travaux
Avec 66,2% de chefs d’aménagement.
d’entreprise confiants dans La mise aux normes ne concerne plus que
Octobre 2001 Janvier 2002 12,8 % des investissements ( c o n t r e
l’avenir de leur activité, la
majorité des petites 1 8 % a u 1 e r t r i m e s t r e 2 0 0 1 ) . Enfin,
entreprises attaque l’année 66,4 66,2 6,5 % des chefs d’entreprise projet-
2002 avec le même niveau tent d’investir afin d’améliorer la
d’optimisme que celui sécurité de leur entreprise et de se
affiché fin 2001. protéger contre le vol.
De plus, le pourcentage
de pessimistes a diminué
avec 25,4 % contre 28,1 % 25,8 25,4
fin 2001. Depuis le
1 er t r i m e s t r e 2 0 0 1 5,5 8,4
Les intentions de recrutement
( 61 % d’optimistes ),
l’indice de confiance a Près de neuf chefs d’entreprise sur dix
Optimistes Pessimistes NSP
progressé de 5 points. ( en % ) (89,3 %) déclarent ne pas avoir l’inten-
tion d’embaucher de personnel
supplémentaire dans les prochains
mois. Le phénomène s’accentue
puisqu’ils n’étaient que huit sur dix
Les intentions d’investissement au p r e m i e r t r i m e s t r e 2 0 0 1 .
Par ailleurs, 19,8 % des entrepreneurs
En ce début d’année 2002, les intentions d’investissement
qui envisagent de recruter ce trimestre
d e s entreprises du
précisent que cette embauche est
commerce, de l’artisanat
34,9 % directement liée au passage aux 35 heures.
et des services ont Aménagement
Seulement 4 % des entreprises projettent de licencier
diminué. En effet,
Rénovation 37,9 % du personnel, contre 5,5 % au 4ème trimestre.
33,1 % d’entre elles
Il est bon de rappeler qu’un tiers des entreprises ne compte
affirment vouloir Équipement, 41,4 % aucun salarié et 80 % d’entre elles en ont moins de quatre.
investir dans les Matériels

prochains mois, contre Informatique 28,1 %


39 % au 4ème trimestre 2001.
41,4 % des projets Mise aux normes 12,8 %
portent sur l’acquisition Le passage à l’euro : défi relevé
de matériel et de Sécurité, vol 6,5 %
nouveaux équipements. Comme le laissaient présager les résultats du précédent baromètre
Le matériel informa- Autres 5,2 % concernant la préparation des petites entreprises à l’euro, le cap a été
tique c o n c e r n e à l u i franchi dans d’excellentes conditions. Dans l’ensemble, leurs clients
seul 28,1 % des ont bien accepté le changement de monnaie. Dès les premiers jours,
i n t e n t i o n s d’achat. Projets d’investissement la grande majorité des clients réglaient déjà leurs achats en euros.

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