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Géographie économique

La géographie économique est la prise en compte du territoire dans l'économie. La géographie


physique, loalisation des acteurs, etc... Elle souligne que l'économie n'est pas qu'une affaire
d'équilibre mais une affaire de territoires. Les territoires ne sont pas homogènes et structurés.
Chaque territoire porte une histoire, une géographie, une économie. La géographie physique est une
constante, la géographie humaine est variable et dynamique comme la géographie économique.
La géographie du territoire est une variable clé du développement économique. Malgré la
mondialisation, l'accroissement des échanges, de la mobilités, une économie mondiale qui se
structure, il y a encore des territoires vécus.

On va étudier la diversité territoriale de la France ; les populations de la France ; les mutations de


l'économie française. Par la suite les grandes régions françaises : le bassin parisien, les régions du
Nord et l'Est, Rhône-Alpes, les Suds, l'Ouest-Atlantique, les Antilles. Mais aussi la géographie
française par rapport à l'Europe.

Le monde va mal et nous sommes en quête d'un nouveau modèle de développement économique. Il
y a la dimension objective des ressources et la dimension subjective des pouvoirs. La
décentralisation a libéré les moyens juridiques des territoires.

Problèmes : crise financière, croissance économique en berne, montée des inégalités, la qualité de
l'environnement, la métropolisation.
Performance, excellence, compétitivité considérées comme des valeurs fortes mais des exclusions
aussi.
La dimension géographique et territoriale des politiques publiques sont encore embryonnaires. Les
CT n'agissent qu'à la marge et les régions qui sont les collectivités d'avenir n'ont moyens très
limitées. Nous n'avons pas voulu prendre en compte la richesse de la géographie, la
complémentarité des territoires.
Vaiables importantes : la révolution technologique de l'information, les mutations de l'espace
(l'éclatement des territoires), les espaces économiques évoluent à une vitesse inégalées, la
transformation des modes de vie.

Les territoires infra-nationaux sont les échelles pertinentes pour repenser le développement
économique et imaginer les réponses aux problèmes économiques et répondre aux « défis de la
transition ». Les services de haute valeur ajoutée sont essentiel. La création de valeurs, les créations
d'emplois mais aussi les entrainements que cela entraine sont importants. Tous les territoires n'ont
pas les mêmes facilités pour résoudre ces défis. Le développement endogène disparaît peu à peu, un
territoire est ouvert. Il y a 2 stratégies : endogène et exogène. Les institutions territoriales n'arrivent
pas à remplir toutes ces fonctions de transition. Chaque territoire doit développer son propre mode
de développement. Il n'existe plus d'économie régionale, il y a une spécialité régionale. Toute
économie locale est économie mondiale, il n'y a plus d'économie fermée. Il peut y avoir des
expérimentations intéressantes. Un territoire peut avoir une politique différente de ses voisins.
Il y a le problème de l'autonomie des personnes, la mutualisation des compétences et des capacités,
la dimension économique, environementale et sociétale sont les plus importantes, promotion de la
démocratie et de la participation. Ces mouvements ne vont pas de soi.
Il y a beaucoup trop de territoires politiques qui sont en situation de concurrence que de
complémentarité. Il faut simplifier le débat local. Les territoires économiques (qui s 'élargissent) ne
se reconnaissent plus dans les territoires politiques. Il faut trouver un système de territoire aux
géographies variables. Le premier facteur de production d'aujourd'hui est la confiance. On passe de
l'économie de biens à l'économie de liens.

Comment s'est construit l'ensemble des territoires durant l'histoire pour faire la France ?

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