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Avant-propos

Depuis 1982, je recours à la transmission de pensée pour relayer le


message de certains esprits illustres. Je leur avais promis d’être leur
collaborateur terrestre avant mon incarnation, conformément à la volonté
divine. Au cours de ces 25 dernières années, j’ai donc transmis une foule de
connaissances issues du monde des esprits, dont les éléments spirituels
souhaitaient m’ouvrir les portes, et ce avec le dessein suivant : sur la base
de ma propre compréhension et en utilisant mes propres mots, fournir à
mes frères humains des explications quant à des questions qui, jusqu’ici, se
sont inscrites dans un processus de compréhension laborieux, voire de
totale incompréhension auprès du monde terrestre.
Pour accomplir cette mission, j’ai été épaulé par mon épouse, Anne Lise,
qui m’a accompagné avec intérêt dans ce cheminement. Elle a fait appel à
ses propres dons personnels pour me venir en aide lorsque j’en avais
besoin.

Parmi les nombreux messages véhiculés, l’un se distingue de la masse en


ce sens que la personnalité qui me l’a transmis a souhaité que je révèle ce
qu’elle avait à cœur « en temps voulu ».
Le fait de savoir si l’heure est venue dépendra probablement de l’opinion
de chacun, et la révélation suivante soulèvera indubitablement une féroce
résistance et d’acerbes critiques chez ceux qui préféreraient que ce message
reste secret à jamais. Comme il m’apparaît évident que ma sœur souhait-
erait ardemment que son message soit délivré par mon entremise, je n’ai
pas hésité à le divulguer dès à présent afin que d’autres puissent également
découvrir ses pensées et se forger une idée à ce sujet.

Le 9 septembre 2007

Jan Erhardt Jensen.


Question : Ce matin, Anne Lise a ressenti la présence d’un esprit désireux
d’entrer en contact avec moi.
Elle a découvert qu’il s’agissait de l’une de nos sœurs spiritu-
elles qui a vécu en même temps que moi dans cette incarna-
tion, sans que nous ne nous soyons rencontrés, et qui a lu
certains de mes écrits.
Le monde des esprits peut-il nous aider à découvrir son
identité et ce qu’elle attend de moi ?

« Oui frère, c’est possible. Sachez que nous serions ravis de servir
d’intermédiaire pour vous mettre en contact avec cette personne désireuse
de communiquer avec vous, ce qui est désormais chose faite. »

« Mon cher frère. Moi, votre sœur, ai profondément souhaité entrer en


contact avec vous afin de vous expliquer certaines des pensées que j’ai
ressenties après ma mort.
Face à votre désir de bien me comprendre, je peux vous dire que, dans
ma dernière vie, j’étais connue sous le nom de Mère Térésa. Étant donné
que de nombreuses personnes se sont penchées sur mon cas après ma mort,
sachez que je suis en profond désaccord avec bon nombre de ceux qui ont
profité de mon travail pour promouvoir la position de l’Église catholique.

Ceci, mon frère, n’a jamais été mon intention. Toute ma vie durant, je
me suis employée à aider les pauvres et les nécessiteux. Cette démarche ne
repose nullement sur une perspective ecclésiastique, mais bien sur l’écoute
de ma propre intuition, qui m’a poussée à apporter mon aide autant que
possible. Le cadre que j’ai trouvé à cette fin était celui que l’Église catho-
lique m’a permis d’occuper, ce que j’ai fait à ma manière.
Mon œuvre ayant servi d’exemple à de nombreuses personnes, il m’im-
porte de préciser qu’une telle attitude ne doit aucunement être reliée à une
identité chrétienne. En effet, je ne vois aucune relation entre le fait d’aider
les autres et l’appartenance à une quelconque pensée religieuse. Selon moi,
une attitude purement philanthropique, pas forcément tributaire d’une
orientation religieuse, est bien plus en accord avec l’enseignement de Dieu
notre Père. Il nous a appris que notre but était d’aider, sur la base d’une
attitude altruiste non pas guidée par une appartenance religieuse, mais bien
animée par la volonté d’agir par amour pour son prochain.

Depuis mon départ du monde terrestre, j’ai vécu avec douleur la


manière dont de nombreuses personnes considèrent mon œuvre, à savoir
qu’elle doit forcément soutenir l’Église catholique. À cet égard, d’un point
de vue spirituel, je réprouve fortement la sanctification et j’espère de tout
cœur que mes anciens condisciples vont cesser d’agir de la sorte.
Moi, votre sœur, ai longtemps réfléchi à la manière dont je pouvais
transmettre ces pensées au monde terrestre de telle sorte que les gens, à
l’avenir, puissent entrevoir ma conception des choses dans le monde
spirituel.
Ceci étant dit, je souhaite ajouter qu’ici, dans le monde spirituel, j’ai une
bien meilleure vision de nombre d’éléments auxquels j’ai été confrontée
dans le monde terrestre. Sur la base de mon point de vue spirituel, je sou-
haite me dissocier de nombre des implications associées à mon apparte-
nance à l’Église catholique. Si j’étais dans le monde terrestre aujourd’hui,
avec toutes les connaissances dont je dispose dans le monde spirituel, je
travaillerais pour les pauvres et les nécessiteux avec bien plus de liberté, et
ma motivation résiderait dans l’amour désintéressé, la force motrice de
mon œuvre, libre de tout lien avec un quelconque mouvement religieux.
Voici, mon frère, ce que j’aimerais vous voir transmettre, de telle sorte
qu’une fois le temps venu, ceci puisse être révélé et contribue, je l’espère, à
façonner une approche différente à l’égard de ma personne et de mon
œuvre.
Moi, votre sœur, vous envoie tout mon amour.
Au nom de notre Père. Amen. »

Reçu le 1er septembre 2007


(9 h 08 – 9 h 29)

N° 1817

Jan Erhardt Jensen.


Question : Je me souviens que, vers 1982-1983, feu ma sœur Elisabeth
Kübler-Ross s’était entretenue avec Mère Térésa et qu’en cette
occasion, elle lui avait soumis une copie de ‘Towards the Light’
(l’ouvrage danois ‘Vandrer mod Lyset’ 1), qui avait été traduit
en anglais quelques années auparavant). À l’époque, sa lecture
n’intéressait pas Mère Térésa.
J’imagine que nos deux sœurs, « Elisabeth » et « Térésa », ont
pu à nouveau converser ensemble depuis que Mère Térésa a
été rappelée dans le monde des esprits et qu’Elisabeth lui a sans
doute suggéré d’essayer de relayer ses pensées au monde
terrestre par mon entremise.
Je présume que Mère Térésa sait que son message a été diffusé
sur Internet voici une semaine et qu’elle suit, bien entendu, avec
intérêt, la manière dont il sera reçu par les gens qui le découvri-
ront.
Je vous serais très reconnaissant si vous, mes frères et sœurs,
pouviez transmettre à mes deux sœurs mes pensées les plus
affectueuses et leur dire que, chacune à leur manière, elles
m’ont apporté beaucoup de joie.
Pourriez-vous, mes frères et sœurs, leur faire part de mes
amitiés ?

« Oui, frère. Sachez également que vos suppositions sont tout à fait
correctes et qu’elles reposent sur votre connaissance de la manière d’agir et
de penser de notre sœur “Elisabeth”.
Sœur “Elisabeth” s’est en effet longuement entretenue avec sœur
“Térésa” depuis que cette dernière a rejoint le monde des esprits. C’est
“Elisabeth” qui, régulièrement, suggérait à “Térésa” de communiquer avec
vous, avec l’accord de notre Père, et de vous demander de relayer ses
pensées du monde spirituel au monde terrestre. Notre sœur “Térésa” n’était
pas tout à fait sûre d’avoir l’autorisation d’utiliser un tel canal de communi-
cation, mais lorsque notre Père, lui-même, l’a encouragée à transmettre ses
réflexions au monde terrestre par votre intermédiaire, elle n’a plus eu aucun
doute quant à la pertinence de la méthode, d’autant plus qu’elle avait pu
entrevoir les ébauches de vos écrits pour votre site Internet, au moment où
celui-ci était presque terminé.
Notre sœur a naturellement suivi avec beaucoup d’attention la manière
dont ces pages ont été accueillies. Elle constate que ses explications
suscitent un profond intérêt et un certain étonnement chez ceux qui en ont
eu connaissance. Cette première expérience visant à clarifier sa position au
moyen d’un canal choisi s’est avérée, du point de vue de notre sœur, un
grand succès.
Sachez qu’elle a longuement débattu avec sœur “Elisabeth” de la mani-
ère d’exprimer ses pensées et que les mots utilisés ont été soigneusement
choisis par nos deux sœurs.
Enfin, nous aimerions ajouter que notre sœur “Elisabeth” a aussi beau-
coup pensé à vous depuis qu’elle a regagné le monde des esprits. Elle a
réalisé qu’ouvrir la voie aux réflexions sur lesquelles vous vous êtes penché
pourrait susciter une tendance à laquelle elle a longuement aspiré. Sachez
qu’elle a beaucoup de respect pour l’œuvre à laquelle vous vous attelez.
Notre sœur ne doute pas un instant que l’action que vous poursuivez
engendrera une pensée nouvelle qui, à l’avenir, favorisera la transmission
de connaissances sur la manière de résoudre les problèmes psychologiques
par un contact étroit avec le monde spirituel (où l’esprit gardien de chacun
pourra apporter son aide plus facilement) lorsque le monde terrestre aura
enfin pris conscience qu’une telle opportunité est pertinente et bien réelle,
et non un pur produit de l’imagination.

Nous, vos frères et sœurs, sommes ravis de vous faire part de tout ceci,
tout comme nous avons l’intime conviction que notre coopération portera
de précieux fruits à l’avenir.
Nous sommes également heureux de pouvoir transmettre vos pensées
affectueuses à nos deux sœurs qui, nous en sommes certains, seront
enchantées de recevoir vos amitiés.
Nous, vos frères et sœurs, vous faisons également part de nos sentiments
dévoués.
Au nom de notre Père. Amen. »

Reçu le 15 décembre 2007


(7 h 40 – 7 h 54)

N° 1854

Jan Erhardt Jensen.

1) connu en français sous le titre ‘Vers la lumière’


Question : Ce matin, Anne Lise a de nouveau pressenti que le monde
des esprits souhaitait me transmettre un message qui n’était
pas sans rapport avec Mère Térésa.
Les esprits sont-ils à même de nous révéler ce dont il s’agit ?

« Oui, frère. À cet égard, sachez que nous souhaiterions vivement


établir un nouveau contact entre vous et notre sœur Térésa. Celle-ci a suivi
avec intérêt l’accueil reçu par sa prière auprès de ceux avec qui elle avait
souhaité partager ses réflexions. Nous allons maintenant établir le lien avec
notre sœur. »

« Mon cher frère. Moi, votre sœur, autrefois connue sous le nom de
Mère Térésa, ai suivi de près la manière dont ma prière a été perçue par
l’humanité. J’ai vu combien de ses représentants ont déjà pris connaissance
de mon message et que celui-ci a soulevé des questions chez ceux qui ont
réalisé que, d’un point de vue spirituel, ma pensée est autre que ce qu’ils
avaient imaginé.
J’aimerais qu’ils sachent que, dans le monde spirituel, j’ai une compré-
hension de nombre d’éléments auxquels je n’avais pas accès lorsque je
n’étais que Mère Térésa. Ces connaissances ô combien supérieures ont fait
de moi une bien meilleure personne dans le monde des esprits que ne l’était
Mère Térésa sur terre.
Cette différence est telle que de nombreux humains auront du mal à
admettre que je puisse considérer ma vie sur terre de la manière dont je l’ai
expliquée lors de notre premier contact. Si ces gens souhaitent me com-
prendre telle que je suis, maintenant, dans le monde des esprits, ils devront
se réconcilier avec cette idée.

Que ceux qui s’y refusent sachent que cela m’attriste profondément. Il
me tient en effet à cœur que de nombreuses personnes réalisent que, dans
ma vie antérieure, sur terre, j’étais prisonnière du carcan de mon éducation
religieuse, qu’il m’était alors impossible de percevoir sous le même éclai-
rage que maintenant, dans le monde des esprits.
Ceux qui ne peuvent comprendre mon attitude dans le monde
spirituel sont pareils à moi lorsque j’étais Mère Térésa car, eux aussi, ont
été éduqués selon des dogmes chrétiens. Des dogmes qui empruntent des
voies dont je préfère me détourner maintenant que j’ai atteint ce niveau de
connaissance supérieur dans le monde des esprits.
Voici, mon très cher frère, le message que je souhaite que vous diffusiez
afin de dissiper tout doute sur la transcription fidèle de mes paroles, telles
que je les avais formulées lors de notre premier contact, où je me demand-
ais moi-même si mes explications seraient divulguées par votre
intermédiaire.
Moi, votre sœur, souhaite transmettre ces réflexions par votre entremise
afin que l’on comprenne mieux quel était mon dessein lorsque je me suis
adressée à vous.
Moi, votre sœur, vous remercie du fond du cœur d’avoir accepté de
défendre ma prière auprès de l’humanité.
Moi, votre sœur, vous envoie toute mon affection.
Au nom de notre Père. Amen. »

Reçu le 8 janvier 2008


(8 h 41 – 8 h 55)

N° 1870

Jan Erhardt Jensen.


Question: Je crois comprendre que Mère Térésa souhaite m’entretenir à
propos de l’ouvrage à son sujet, « Viens, sois ma lumière ».
Est-ce exact ?

« Oui, frère. Nous pouvons même ajouter que notre sœur "Mère Teresa"
souhaite vous faire part de quelque chose qui la préoccupe grandement. »

« Mon cher frère. Moi, votre sœur, ai vu ce qui se passe sur terre, parmi
ceux qui avaient manifesté certaines inquiétudes concernant les derniers
jours de ma vie matérielle, lorsque j’étais assaillie de doutes et ne pouvais
voir la lumière à cause de ma perception religieuse de Jésus.
Je me suis penchée sur nombre de ceux qui avaient marqué un intérêt
pour mon existence, et je me suis aperçue que beaucoup d’entre eux avaient
été incapables de se libérer de ces mêmes perceptions qui avaient entravé
mon discernement. Cela m’a énormément attristée, car je souhaite de tout
mon cœur que mes partisans sur la Terre empruntent un chemin différent
de celui que nombre d’entre eux ont décidé de suivre, se basant sur la vie
terrestre que j’ai laissée derrière moi.
Lorsque je regarde en arrière, je comprends pourquoi de nombreuses
personnes – tout comme moi – éprouvent des difficultés à abandonner une
conception qui glorifie Jésus et lui accorde un statut divin dans lequel ni lui
ni d’autres y trouvent leur compte.
À la lumière de la compréhension acquise dans le monde spirituel, je sais
que le temps leur enseignera qu’il n’y a qu’un seul Dieu, notre Créateur,
lequel a créé chacun de nous comme son enfant ; et que Jésus n’est autre
qu’un de ses innombrables enfants qui, comme d’autres et moi, doit
apprendre à rejeter toutes les tentations des Ténèbres avant de pouvoir
devenir des personnalités spirituelles, comme Dieu Notre Père l’a prévu.
Voici, mon très cher frère, ce que je voulais vous révéler, car je me suis
aperçue que vous aussi, êtes attristé de voir combien de personnes sur la
Terre sont contraintes par le culte qu’elles vouent à Jésus, qui s’avère loin
du statut qu’elles lui confèrent.
Moi, votre sœur, vous envoie mes pensées les plus affectueuses.
Au nom de notre Père. Amen. »

Reçu le 20 septembre 2008


(8 h 34 – 8 h 44)

N° 1932

Jan Erhardt Jensen.


Question : Il me semble que Mère Teresa, ma sœur, a des choses à me dire.
Ai-je raison ?

« Oui, mon frère. Votre sœur a suivi les réflexions dont vous avez fait
part au grand public sur les sites Web, par le biais des médias électro-
niques. Permettez-moi de vous dire qu'il est très encourageant pour moi de
voir que certains de mes disciples ont étudié mes paroles et que ces vues les
ont fait réfléchir.
Je voudrais leur dire : « Même s’il vous est difficile de croire que je
puisse, moi que vous avez connue lorsque je marchais sur la Terre, avoir
une autre vision des choses dans le monde des esprits, je puis vous assurer
que tout ce que j’ai obtenu après avoir pris le temps, dans le monde des
esprits, de passer ma vie en tant que Mère Teresa en revue ainsi que le fait
d’avoir pu faire usage de toutes les connaissances dont je dispose dans le
monde des esprits m’ont permis de voir en quoi j’avais tort. »
Je voudrais aussi dire à ces disciples : « Vous ferez la même expérience
lorsque vous serez revenus dans le monde des esprits. Vous serez en
mesure, comme moi-même, de voir en quoi vous avez eu tort et comment
vos convictions religieuses vous ont causé des problèmes et vous ont
empêché de voir Dieu, notre Père, dans la lumière dans laquelle nous
devrions tous voir notre cher Créateur, qui ne se détourne d’aucun d’entre
nous, mais nous aide à surmonter nos épreuves et nos tribulations dans les
nombreuses vies qui nous attendent et qui nous sont nécessaires afin de
pouvoir évoluer vers des personnalités pleinement épanouies. »
Ces pensées vont à ceux que j’ai suivis dans leur lecture des écrits que
vous, mon frère, avez publiés, et j’espère qu’ils comprendront que je suis
ce que je dis être ici, dans le monde des esprits.
Voilà, mon frère, ce que je voulais que vous sachiez.
Votre sœur vous envoie toute son affection.
Au nom de notre Père. Amen. »

Reçu le 12 novembre 2008


(8 h 35 – 8 h 45)

N° 1941

Jan Erhardt Jensen.


Question : On m'a dit que Mère Teresa avait quelque chose à me commu-
niquer. Est-ce exact ?

« Oui, mon frère. Moi, votre sœur, dont le nom sur terre était Mère
Teresa, je voudrais vous dire que je suis très heureuse de suivre les
pensées des personnes qui ont compris le message que je leur ai fait
passer par votre entremise.
Je puis vous dire que le scepticisme, si virulent au début, a été remplacé
par une ouverture qui me réjouit. Si je tiens tellement à vous en faire part,
c’est parce que cela montre que mes messages ont éveillé chez ces
personnes des pensées qui, j’en suis convaincue, peuvent les aider à aller de
l’avant et à se rendre compte que certaines de leurs perceptions dans le
monde terrestre ne tiendront plus la route lorsqu’ils auront rejoint le monde
spirituel, où ils résident entre leurs nombreuses vies.
La prise de conscience que je vois émerger peut dont les aider à
progresser davantage que je n'ai moi-même pu le faire lors de la dernière
vie terrestre. L’ouverture qui a remplacé le scepticisme du début prépare
la voie à une autre perception, de sorte que les aspects religieux devront
davantage céder la place au sens réel de nos nombreuses vies sur terre,
afin que le développement de la personnalité de chaque individu revête
davantage d’importance, comme Dieu, notre père, le veut depuis le tout
début, lorsqu’il a fait s’incarner ses enfants spirituels dans des corps
humains pour qu’ils soient confrontés à l’Obscurité sur terre et, par leurs
propres efforts et leur volonté propre, évoluent pour devenir les
personnalités spirituelles parfaites qu’il se réjouit de voir dans son
royaume spirituel lorsqu’ils auront atteint l’objectif ambitieux qu’il leur a
fixé. C’est là une conception que beaucoup de personnes ont du mal
partager, parce qu’elles se réfugient dans la religion au lieu de chercher à
surmonter leurs propres faiblesses. Ces faiblesses, il n’est pas possible de
les surmonter par la foi religieuse, qui paralyse tout effort actif visant à
rejeter l’obscurité et à se réconcilier avec toutes les personnes avec
lesquelles ils ont coupé les ponts.
Voilà, mon frère, les réflexions qui me sont venues à l’esprit en suivant
les personnes qui ont lu mes messages et les ont médité.
Moi, votre sœur, vous envoie toute mon amitié.
Au nom de notre Père. Amen. »

Reçu le 4 janvier 2009


(10 h 22 – 10 h 35)

No 1962

Jan Erhardt Jensen.


Question : Je crois comprendre que « Mère Teresa » a quelque chose à me
dire. Est-ce exact ?

« Oui, mon frère, moi, votre sœur, qui suis connue sous le nom de "Mère
Teresa", voudrais vous dire que je suis très heureuse de voir que les
messages que je vous ai transmis et que vous avez publiés sur Internet sont
lus par de plus en plus de monde.
La réaction initiale à ceux-ci a changé, et de plus en plus nombreux sont
ceux qui commencent à s’interroger sur les raisons pour lesquelles je tiens
à faire connaître mon changement d’attitude ici, dans le monde spirituel, et
se demandent pourquoi ce que je leur ai dit par votre intermédiaire change
l’image que j’ai donnée de moi pendant ma vie sur Terre.
De nombreuses personnes pensent qu'il est dans mes intentions de leur
faire comprendre qu’il y a un sens beaucoup plus profond à la vie qu’elles
mènent sur Terre et que celui-ci n'est pas en lien avec la foi en Jésus ou
dans l’Église. En effet, le sens de la vie est que chacun doit s’épanouir dans
le cadre d’une vie active et relever les défis auxquels il est confronté dans
ses activités quotidiennes. Il incombe à chacun de s’approprier ses
réalisations personnelles, renforçant ainsi sa position à l’égard des choses
qu’il a fuies ou a eu peur d'affronter. Cette première compréhension de mon
objectif dans l’utilisation d’un canal terrestre a été pour moi un plaisir tel
que les mots me manquent pour le décrire. Permettez-moi ici d’insister sur
le fait que je n’ai jamais entendu blâmer celles et ceux qui ont pris refuge
dans la foi de l’Église et dans la religion qu’elle représente, mais bien les
aider à comprendre le sens de la vie comme je le comprends moi-même
aujourd’hui dans le monde spirituel.
Je voudrais partager cette compréhension naissante de ce que j’ai voulu
exprimer quant à ma propre perception de ma vie terrestre en tant que
« Mère Teresa » et de ma vie ici, dans le monde spirituel, avec tous ceux
qui ont fait preuve d’ouverture à l’égard de mes messages. Qu’ils sachent
que j’ai exprimé l’opinion que j’ai réellement ici, dans le monde spirituel,
où nous voyons la vie sur Terre sous un angle radicalement différent, bien
loin de ce que peuvent imaginer de nombreuses personnes sur Terre.
Moi, votre sœur, vous remercie de votre aide et vous envoie mes amitiés
les plus sincères.
Au nom de notre Père, Amen. »

Reçu le 14 juin 2009


(9 h 38 – 9 h 47)

No 2034

Jan Erhardt Jensen.


Question : Je sens que « Mère Teresa » a quelque chose à me dire.
Est-ce exact ?

« Oui, mon frère. Moi, votre sœur, ai suivi les débats avec grand intérêt et
ai noté que de plus en plus de personnes réagissent aux messages que vous
avez publiés en ligne pour moi.
Je suis frappée de voir que ces messages ont divisé mes lecteurs en deux
groupes : le premier est très intéressé par les perspectives que leur ont
ouvertes mes réflexions, et l’autre est très inquiet des conséquences de ces
réflexions.
J’ai constaté que certaines des personnes qui se montrent ouvertes aux
nouvelles idées portées à leur connaissance ont contacté des hommes
d'Église et que cela a suscité de vives inquiétudes chez un grand nombre de
ces hommes à qui ont été posées les questions que soulèvent mes messages.
Cela m’a aussi beaucoup interpelée, car l’Église s’est montrée très
réticente : elle a cherché à étouffer toutes ces interrogations adressées aux
ministres du culte et s’est efforcée d’éviter toute confrontation publique
avec les questions posées après ma mort et ma prise de position en faveur
d’une vision du christianisme différente de celle qui m'a été attribuée.
Mes pensées ont touché quelques aspects clés de la foi de certains de ces
ministres à un point tel qu'ils ont refusé tout débat sur une approche
différente des enseignements de l'Église, d’une part parce qu’ils sont
soucieux de leur propre position dans l’éventualité où les fondements de
ces enseignements seraient ébranlés et d’autre part parce qu’ils ne savent
plus que croire.
Cette attitude n’a pas aidé les personnes qui se sont adressées à eux,
raison pour laquelle plusieurs d’entre elles ont commencé à se réunir en
petits groupes afin de discuter de mes messages. Ces personnes
commencent à comprendre qu’il y a une autre façon de vivre encourageant
un développement personnel de chaque individu. Cette prise de conscience
crée une distance par rapport aux croyances diffusées par l’Église.
Beaucoup de personnes commencent donc à nourrir une autre attitude à
l’égard d’une église qui reste passive face à cette nouvelle compréhension
naissante. Leurs réflexions s’écartent dès lors de plus en plus de celles
défendues depuis nombre de siècles par l'Église.

Toutefois, certains ministres du culte ont également commencé à réfléchir


au sens du message que j’adresse à mes disciples. Certains d’entre eux ont
commencé à remettre en cause le dogme de l’Église selon laquelle Jésus est
notre seul salut. Ceci ouvre une brèche pour une autre foi, selon laquelle il
n’y a pas de brebis égarée, puisque nous sommes tous inclus dans l’amour
infini de Dieu et avons donc une chance de parvenir au Royaume des Cieux
en tant qu’individus pleinement développés.
Voilà, mon frère, ce que je voulais ajouter aux messages que j’ai déjà
délivrés à mes disciples par votre intermédiaire.
Recevez, mon frère, toute mon amitié.
Au nom de notre Père. Amen. »

Reçu le 29 novembre 2009


(10 h 17 – 10 h 36)

N° 2096

Jan Erhardt Jensen.


Question : Il me semble que « Mère Teresa » voudrait partager quelques
réflexions avec nous.
Est-ce exact ?

« Oui, mon cher frère. Moi, votre sœur, ai suivi de très près le débat qu’a
suscité mon dernier message dans le monde terrestre. J’ai vu que nombreux
sont ceux qui vous ont critiqué, vous, mon frère, pour avoir fait passer mes
messages, et que ces attaques vous visaient personnellement.
Ces critiques m’ont attristée, parce que je n’avais aucune intention de
vous exposer à de telles attaques simplement pour avoir transmis mes
réflexions aux personnes désireuses de comprendre les connaissances que
j’ai acquises depuis que je séjourne dans le monde spirituel.
Les personnes qui vous ont critiqué ont fait des allégations sans rapport
avec la réalité que j’expérimente dans le monde spirituel. Ces affirmations
reposent sur des perceptions terrestres de nature religieuse, et non sur des
expériences personnelles telles que celles que j’ai eues dans le monde
spirituel après mon décès. Les personnes qui tiennent de tels propos
s’appuient sur des perceptions acquises dans le monde terrestre, alors que
je parle en me fondant sur ma propre expérience dans le monde spirituel,
où beaucoup de choses sont très différentes de ce que les gens s’imaginent
dans le monde terrestre, où les perceptions générées par l’esprit des
hommes en influencent beaucoup d’autres.
Vu sous ce jour, ces personnes auront les mêmes expériences que celles
que j’ai eues lorsqu’elles quitteront le monde terrestre après leur mort, et il
leur faudra alors admettre ce que j’ai moi-même dû admettre depuis mon
décès en tant que « Mère Teresa ».
Il s’agit d’un éveil dans un monde spirituel où nous voyons Dieu Notre
Père sous un autre jour, un jour où Son amour est infini et Son affectation
pour tous Ses enfants est tellement grande qu’elle est au-delà de la
compréhension de ces personnes.
Cela m’attriste beaucoup que certaines personnes aient voulu aller à
l’encontre de mes messages en essayant de s’écarter de l’amour infini qui
se cache derrière toutes les actions de Dieu Notre Père et des très ambitieux
desseins qu’il nourrit pour tous ses enfants. Son amour, tel que nous en
faisons l’expérience dans le monde spirituel après notre mort, rend la
religion terrestre terne en comparaison.
Voilà, mon cher frère, ce que je voulais expliquer aux personnes qui se
sont efforcées de détourner autrui de l’intention véritable de mes messages.
Recevez, mon frère, toute mon amitié.
Au nom de notre Père. Amen. »

Reçu le 24 janvier 2010


(10 h 31 – 10 h 46)

N° 2113 Jan Erhardt Jensen.


Question : On me dit que « Mère Teresa » veut me parler.
Est-ce exact ?

« Oui, mon frère. Moi, votre sœur, je voudrais vous faire part de ce que
j’ai observé depuis mon précédent message. Je suis heureuse que plusieurs
des personnes auxquelles je me suis adressée aient entendu ma prière et
qu’elles se soient ravisées quant à votre rôle, à vous qui m’aidez à me faire
comprendre dans le monde terrestre.
Je vois que de plus en plus de personnes changent d’opinion sur moi
après que j’ai pu leur expliquer qui je suis devenue dans le monde spirituel,
avec toutes les connaissances auxquelles j’ai accès ici. Ces personnes ont
désormais une autre perception de la vie dans le monde spirituel où nous
nous rendons quand nous mourons et quittons nos enveloppes charnelles.
Cette philosophie prend pied et met à mal certaines de leurs conceptions
chrétiennes, de sorte que ces personnes commencent à voir la vie sur terre
sous un angle bien plus large, la foi aveugle étant remplacée par une
démarche active visant à surmonter les faiblesses terrestres auxquelles ils
ont succombé.
Cette tendance me réjouit beaucoup, car je vois s’ouvrir des perspectives
très importantes pour les personnes qui ont transcendé les limitations
religieuses qui leur ont été imposées. Je suis très heureuse d’avoir pu aider
ces personnes, que je vois comme les pionniers d’un mouvement chrétien
en pleine révolution. Je suis convaincue que ces hommes et ces femmes
auront de plus en plus d’influence à mesure qu’ils uniront leurs forces,
s’appuyant sur les nouvelles attitudes et approches qui résulteront des
nombreuses réflexions qu’ils auront menées concernant ma vie dans le
monde spirituel, qu’eux aussi découvriront après leur mort. Je trouve cette
reconnaissance très importante si l’on entend progresser vers les objectifs
que Dieu Notre Père a fixés pour tous Ses enfants, afin qu’ils développent
leur personnalité en surmontant activement les difficultés terrestres de
manière positive et compassionnée.
Voici, mon cher frère, ce que je souhaitais vous dire à propos des
observations que j’ai formulées depuis le monde spirituel où je me suis
établie entre mes incarnations.
Moi, votre sœur, vous envoie toute mon amitié.
Au nom de notre Père. Amen. »

Reçu le 19 mai 2010


(7 h 52 – 8 h 05)

N° 2147

Jan Erhardt Jensen.

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