Vous êtes sur la page 1sur 3

 

 
​EDITION LIMITÉE VINTAGE

L'épopée de Li Wei  
 

   

  

20 Août 1915 

 
“Ce que mon pays a vécu , ce que j’ai vécu , ce que j’ai ressenti est inoubliable , 
je pense et j'écris ma vie dans ce récit.” 

 
 

​ Comme tous les jours , j’allais á l’usine pour travailler , sauf que 
ce jour la a changé ma vie pour toujours… 

Alors que je soulevais les sacs rempli de charbon, mes mains 


étaient noirs et mon visage sale, j’étais épuisé par le travail. J’avais 
aperçu un homme au loin. Il se portait bien, ses habits étaient noble 
ycomme je n’avais jamais vu auparavant. Sa présence me troublait. En 
effet, cela était fort inhabituelle de trouver un homme blanc d’une tel 
bourgeoisie dans un milieu comme le mien. Celui-ci s’est approché de 
moi et se présenta. Il s’appelait Victor Segalen et exerçait comme 
métier la médecine française, c'était l’un des plus réputé de son 
époque. L’homme s’approcha de moi et me demanda mon prénom,je 
ne lui ai pas donné, comment j’allais , ainsi que mes projets pour le 
futur proche. Le lendemain j’avais rendez vous avec Victor Segalen , 
j’avais l’impression que cet homme voulez absolument me parler. Il 
me proposer une offre , cette offre me paraissait bizarre , aller 
travailler en France alors que ma situation ici me poser aucun 
problème. il me laissa une journée pour réfléchir à la proposition qui 
m'avait faite. A la suite de cette offre je fus dans un chaos total, je ne 
savais pas quoi faire. La nuit fut tourmenté mais j’avais pris la décision 
de ma vie. Le lendemain je suis retourné voir ce monsieur , et j’ai 
accepté cette fameuse proposition de ce grand monsieur. Il me fit 
quelques controle medicale pour voir si j'étais en bonne forme. 
Quelques jours plus tard , c'était mon grand départ pour la france !   


 

Chap 1 : le voyage  

J’arrivais devant cet immense bateau , il y avait avec moi plein d’autres 
gens qui avait surement la même mission que moi. Je montais donc 
dans cet énorme bateau qui était rempli de conteneurs et d'ouvrier 
chinois comme moi qui voulait vivre une nouvelle aventure. Le bateau 
larguait les amarres et s'en alla du port , ce n'était que le début d'un 
long périple . J'étais dans une petite salle dans le bateau avec tous les 
autres ouvriers qui allaient en france. Nous étions entassé , l’air était 
extrêmement chaud et il n’y avait même pas d’endroits pour dormir. 
Jour après jour des ouvriers qui était devenu mes amis tombaient 
malade un par un. Les conditions de voyage devenaient de plus en plus 
dur et les maladies se propageait à cause du manque d'hygiène. La fin 
du voyage s’approcha petit à petit.   

Vous aimerez peut-être aussi