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c S.

Boukaddid Puissance-Travail sup TSI

Puissance et travail d’une force-Théorème de l’énergie cinétique

Table des matières


1 Puissance et travail d’une force 2
1.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
1.2 Exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
1.2.1 Taravail d’une force constante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
1.2.2 Travail d’une force de frottement . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
1.2.3 Travail de la force magnétique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

2 Enérgie cinétique-Théorème de l’énergie cinétique 4


2.1 Energie cinétique - Théorème de la puissance cinétique . . . . . . . . . 4
2.2 Théorème de l’énergie cinétique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
2.3 Application : pendule simple . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

3 Forces conservatives-Energie potentielle 5


3.1 Notion d’une force conservative-Energie potentielle . . . . . . . . . . . 5
3.2 Exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
3.2.1 Particule dans un champ de pesanteur uniforme . . . . . . . . . 6
3.2.2 Force de frottement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
3.2.3 Force de rappel élastique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
3.2.4 Champ de force newtonienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

4 Energie mécanique 8
4.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
4.2 Théorème de l’énergie mécanique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
4.3 Intégrale première de l’énergie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

5 Equilibre d’un point matériel dans un champ de forces conservatives 9


5.1 Problème à un degré de liberté . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
5.2 Condition d’équilibre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
5.3 Condition de stabilité d’équilibre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
5.4 Exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
5.5 Etat lié-Etat de diffusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
5.5.1 Barrière de l’énergie potentielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
5.5.2 Cuvette de l’énergie potentielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
5.5.3 Cas général . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

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1 Puissance et travail d’une force


1.1 Définition


Définition : On définit la puissance P d’une force F appliquée à un point matériel M de


masse m et de vitesse V (M/R) par rapport à un référentiel R comme :

− →−
P = F . V (M/R) : unité : watt (w)

• P > 0 : puissance motrice


• P < 0 : puissance résistance
−−→
• le point M effectue un déplacement élémentaire dOM pendant l’intervalle du temps


dt sous l’action d’une force F ,on définit le travail élémentaire par :

− −−→
δW = F .dOM : unité joule (J)

− −−→ → − →−
I δW = F .dOM = F . V (M/R)dt = P.dt
δW
P =
dt
I en coordonnées
cartésiennes

− fx −−→ dx
F = dOM =
R fy ;et R dy
fz dz

δW = fx dx + fy dy + fz dz
I en coordonnées polaire (mouvement plan)

− −−→
F = fr
dOM = dr
;et
R fθ R rdθ

δW = fr dr + fθ .rdθ


I le travail de F le long de (C) : le point matériel passe de M1 à M2
Z M2
−→
→ −
W = F dr
M1


− −−→
avec dr = dOM

1.2 Exemples
1.2.1 Taravail d’une force constante


• la force F est constante en module et en sens
Z M2

− −−→ → − −−−→ −−−→ →
− −−−−→
• W = F dOM = F (OM2 − OM1 ) = F .M1 M2
M1


− −−−−→
W = F .M1 M2

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Conclusion : le travail d’une force constante ne dépend pas du chemin suivi



− −−−−→
W = F .M1 M2

• Cas de la force de pesanteur


Z
z1 M1


P = m→
−g est une force constante

− −−−−→
W = m g .M1 M2
z2 M2
W = mg(z1 − z2 )


WM1 →M2 ( P ) = mg(z1 − z2 )
Y

X
• Remarque

I si W > 0 : travail moteur


I si W < 0 : travail résistant

1.2.2 Travail d’une force de frottement


Considérons un point matériel qui se déplace sur ox avec une vitesse initiale →

v 0 ,il
rebondit sur une paroi verticale et repasse par le point A .


RN


− →
− →

ex RT v
X
O A B

− →

I P.F.D : R T + R N + m→

g = m→

a
• projection sur oy : 0 + RN − mg = 0 donc RN = mg
• projection sur ox : −RT + 0 + 0 = ma
• RT = f RN avec f : coefficient de frottement donc RT = f mg


I le travail W1 de la force de frottement R T au cours du trajet directe entre O et
A Z A
− →
→ − →

W1 = R T dr avec : dr = dx→−ex
OZ
xA
W1 = − f.mgdx = −f mg(xA − xO ) = −f mg.OA
xO

W1 = −f mg.OA

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I le travail
Z W2 de R T lors du trajet OBA
Z B Z A xB xB
− →
→ − − →
→ − − →
→ −
Z Z
W2 = R T .dr = R T .dr + R T .dr = − f mgdx − f mgdx
(OBA) O B xO xA
W2 = −f mgOB − f mgBA
W2 = −f mg(OA + 2AB)
W1 6= W2 car RT n’est pas une force constante elle change le sens

Conclusion : le travail du force de frottement dépend du chemin suivi .

1.2.3 Travail de la force magnétique


I la force magnétique

− →

F = q→

v ∧B
• q : charge de la particule
• →
−v : vitesse de la particule


• B : champ magnétique
I le travail
Z de la forceZmagnétique

− −−→ →

W = F .dOM = → −
v dt.→
−v ∧B =0

2 Enérgie cinétique-Théorème de l’énergie cinétique


2.1 Energie cinétique - Théorème de la puissance cinétique
Considérons un point matériel de masse m qui se déplace avec une vitesse →

v par rap-
port à un référentiel galiléen .

Définition : on définit l’énergie cinétique du point matériel de masse m et ed vitesse →



v
par

1 −2
Ec = m→
v
2



− dV
• P.F.D F = m
dt→
−  

− →
− →
− dV d 1 → −2 dEc
P = F .V = mV = mV =
dt dt 2 dt

Théorème de puissance cinétique : Par rapport à un référentiel galiléen la dérivée par


rapport au temps dt de l’énergie cinétique Ec d’un point matériel égale à la puissance de
la résultante des forces appliquées sur ce point matériel .

dEc
P =
dt

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2.2 Théorème de l’énergie cinétique


dEc
•P = ⇒ dEc = P dt = δW
dt


∆Ec = W ( F )

Enoncé : Dans un référentiel galiléen ,la variation de l’énergie cinétique d’un point matériel
entre deux instants t1 et t2 égale au travail de la résultante des forces appliquées sur ce
point matériel entre ces deux instants


∆Ec = W ( F )

2.3 Application : pendule simple


• à t = 0 le pendule est repéré par θ0 O
y
• à t le pendule est repéré par θ
1
• Ec = mv 2 →


2 θ0 →

−−→ θ T

− dOM d(l→
−e r)
• v = = = lθ̇→
−eθ
dt dt h →
− →

1 P er
• Ec = ml2 θ̇2
2
1
• Ec (t = 0) = Ec0 = ml2 θ̇02
2 x


• W ( P ) = −mgh = −mgl(cos θ0 − cos θ0 )


• W(T ) = 0

− →
− 2g
• théorème de l’énergie cinétique ∆Ec = W ( P )+W ( T ) ⇒ θ̇2 = (cos θ−cos θ0 )
l
• l’équation du mouvement
g
θ̈2 + sin θ = 0
l
• pour les θ faibles : sin θ ≈ θ
g
θ̈ + θ = 0
l

3 Forces conservatives-Energie potentielle


3.1 Notion d’une force conservative-Energie potentielle


Définition : la force F est dite conservative s’elle existe une fonction d’état Ep appelée
énergie potentielle ne dépend pas du chemin suivi tel que :

− →
− −−→
δW ( F ) = F dOM = −dEp

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∂Ep ∂Ep ∂Ep


• dEp = dx + dy + dz
∂x ∂y ∂z
−−→ ∂Ep →
− ∂Ep →
− ∂Ep →

• gradEp = i + j + k
∂x ∂y ∂z
−−→ →
− →
− →

• dOM = dx i + dy j + dz k
−−→ −−→ ∂Ep ∂Ep ∂Ep
• gradEp .dOM = dx + dy + dz
∂x ∂y ∂z
−−→ −−→
gradEp .dOM = dEp

− →
− −−→ −−→ −−→
• δW ( F ) = F dOM = −dEp = −gradEp .dOM

− −−→
F = −gradEp

Conclusion : une force est dite conservative s’elle existe une fonction d’état Ep ne
dépend pas du chemin suivi tel que

− −−→
F = −gradEp

3.2 Exemples
3.2.1 Particule dans un champ de pesanteur uniforme
z

m→

g


− →

• δW ( P ) = m→ −
g dr


• dr = dx→−e x + dy →

e y + dz →

e z ; et →

g = −g →

ez
• δW = −mgdz = −d(mgz + cte) = −dEp
δW = −dEp
l’énergie potentielle de pesanteur
Ep = mgz + cte

Conclusion


• la force de pesanteur P = m→

g est une force conservative
• l’énergie potentielle de pesanteur
Ep = mgz + cte

3.2.2 Force de frottement


le travail de la force de frottement dépend du chemin suivi donc il s’agit d’une force
non conservative

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3.2.3 Force de rappel élastique


−−→
• OM = (l − l0 )→
−e x = x→

ex
−−→ →
− l0
• dOM = dr = dx→ −ex


• force de rappel : F = −kx→

ex O x
− →
→ −
• δW = F .dr = −kxdx
1 M
δW = −d( kx2 + cte) = −dEp x
2
1 l
Ep = kx2 + cte
2

1 1
Ep = kx2 + cte = k(l − l0 )2 + cte
2 2

Conclusion :
• la force de rappel élastique est une force conservative
• l’énergie potentielle élastique
1 1
Ep = kx2 + cte = k(l − l0 )2 + cte
2 2

3.2.4 Champ de force newtonienne


I Force gravitatinnelle

− →
− mA mB →
− →

• F = F A→B = −G er F A→B
r 2

− − → →
− B
r = AB er


• α = GmA mB F B→A

− α−
F = − 2→
er
r A


• En coordonnées sphériques : dr = dr→ −
e r + rdθ→

e θ + r sin θdϕ→


−→
→ − α α
• δW = F dr = − 2 dr = −d(− + cte) = −dEp
r r
α
Ep = − + cte
r
I Force colombienne : interaction entre deux charges q1 et q2 ,la distance entre les
deux charges r

− q 1 q2 →−
er α−
F = 2
= − 2→ er
4πε0 r r
q1 q 2
avec α = −
4πε0

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Conclusion :
• la force newtonienne est conservative
• l’énergie potentielle newtonienne
α
Ep = − + cte
r

4 Energie mécanique
4.1 Définition

Définition : On appelle énergie mécanique Em d’un point matériel M(m) la somme de son
énergie cinétique Ec et son énergie potentielle Ep

Em = Ec + Ep

4.2 Théorème de l’énergie mécanique



− →
− →

I la résultante des forces appliquées à un point matériel s’écrit : F = F c + F nc


• F c : la résultante des forces conservatives


• F nc : la résultante des forces non conservatives


I W ( F c ) = −∆Ep

− →
− →

I théorème de l’énergie cinétique : ∆Ec = W ( F c ) + W ( F nc ) = −∆Ep + W ( F nc )

− →

donc ∆(Ec + Ep ) = W ( F nc ) ⇒ ∆Em = W ( F nc )


∆Em = W ( F nc )

Enoncé : Dans un référentiel galiléen,la variation de l’énergie mécanique entre deux ins-
tants égale au travail de la résultante des forces non conservatives entre ces instants


∆Em = W ( F nc )

dEm →

• = P ( F nc ) : puissance des forces non conservatives
dt

4.3 Intégrale première de l’énergie




• si W ( F nc ) = 0 alors ∆Em = 0
Em = cte : intégrale première de l’énergie
• dans ce cas on dit que l’énergie mécanique se conserve : l’énergie cinetique se
transforme en énergie potentielle et inversement
• l’évolution du point matériel est dite conservative

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Conclusion : Dans un référentiel galiléen l’énergie mécanique d’un point mtériel en


évolution conservative reste constante . Cette constante représente l’intégrale première
de l’énergie

Em = cte

• Remarque : L’énergie mécanique est non conservative d’où le premier principe qui
introduit l’énergie totele qui est conservative


∆Etotale = W ( F nc ) + Q

avec Etotale = Em + U ; U représente l’énergie interne

5 Equilibre d’un point matériel dans un champ de


forces conservatives
5.1 Problème à un degré de liberté
I Le problème à un degré de liberté ne fait intervenir qu’une seule variable de
position dans les grandeurs physiques mises en jeu .
I Considérons un point matériel M en mouvement rectiligne selon l’axe ox de vec-
−−→
teur de position OM = x→−e x ,soumis à l’action d’un champ des forces de la forme

− →

F = f (M ) = f (x)→ −
ex


O fM
x


ex M

− →

I la force f est conservative donc f dérive de l’énergie potentielle

− →−
δW = f .dr = f (x)dx = −dEp
dEp = −f (x)dx

5.2 Condition d’équilibre

Condition d’équilibre : On dit qu’il y a équilibre en x = xe si


 
dEp
= −f (xe ) = 0
dx x=xe

5.3 Condition de stabilité d’équilibre


I On se limite à un petit déplacement algébrique (x − xe ) à partir de la position
d’équilibre xe .

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I développement limité à l’ordre


 2 au voisinage de xede Ep (x)
(x − xe )2 d2 Ep

dEp
Ep (x) ≈ Ep (xe ) + (x − xe ) + + ...
dx x=xe 2 dx2 x=xe
 
dEp
or = 0 donc
dx x=xe
 2 
1 2 d Ep
Ep (x) ≈ Ep (xe ) + (x − xe )
2 dx2 x=xe

d2 Ep
 
dEp
f (x) = − = −(x − xe )
dx dx2 x=xe



I position d’équilibre stable : la force F a tendance de ramener le point matériel
vers sa position d’équilibre donc
→− −−→
F .dOM <0
x=xe


I position d’équilibre instable : la force F a tendance d’éloigner le point matériel
de sa position d’équilibre donc
→− −−→
F .dOM >0
x=xe

O M2 Me M1
x

− →

f2 f1
équilibre stable

− →

f2 f1
équilibre instable

I au voisinage d’équilibre stable xe


• supposons que le point matériel M se déplace dans le sens négative donc
xe > x ⇒ x − xe > 0
−−→ −−−→
• dOM = Me M2 = −dx→ −e x avec : dx = xMe − xM2 > 0
 2 

− →
− d Ep →

• F = f (x) e x = −(x − xe ) ex
dx2 x=xe
 2 

− −−→ d Ep
• F .dOM = (x − xe ) dx
dx2 x=xe
 2 

− −−→ d Ep
F .dOM > 0 ⇒ >0
dx2 x=xe
 2 
d Ep
>0
dx2 x=xe
I au voisinage de l’équilibre instable : on montre que
 2 
d Ep
<0
dx2 x=xe

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Conclusion
d2 E p
 
• xe position d’équilibre stable : >0
dx2 x=xe
 2 
d Ep
• xe position d’équilibre instable : <0
dx2 x=xe

5.4 Exemples
I Barrière d’énergie potentielle
Ep

• Ep (x) = a(x − xe )2 + b ; a < 0


 2 
d Ep
• = 2a < 0 position
dx2 x=xe
d’équilibre instable

x
xe
I Puit (cuvette) de potentielle
Ep

• Ep (x) = a(x − xe )2 + b ; a > 0


 2 
d Ep xe
• = 2a > 0 position x
dx2 x=xe
d’équilibre stable

Conclusion
• si xe est la position d’équilibre stable ,l’énergie potentielle est minimale en xe
• si xe est la position d’équilibre instable,l’énergie potentielle est maximale en xe

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5.5 Etat lié-Etat de diffusion


5.5.1 Barrière de l’énergie potentielle
Ep
• Em = Ec + Ep avec :Ec > 0 donc
Em > Ep
Em
• le domaine permis à la particule est
x 6 x1 ; x > x2
x
x1 x2
I si à t = 0,x0 < x1 le point matériel ne peut franchir la barrière potentielle
I si à t = 0,x0 > x2 le point matériele peut s’éloigner à l’infini , on dit qu’on a un
état de diffusion .

5.5.2 Cuvette de l’énergie potentielle


Ep

Domaine permis est [x1 , x2 ] : la particule ef-


fectue un mouvement périodique (en absence
Em
des frottements) ,on dit que la prticule se
trouve dans l’état lié

x
x1 x2

5.5.3 Cas général


Ep

E4

E3
x3 x4
x
x1 x2 x5 x6

E2

E1

suivant les conditions initiales on peut prévoir :


• Em = E1 : mouvement impossible (Ec < 0)
• Em = E2 :mouvement possible dans x ∈ [x3 , x4 ] : état lié

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• Em = E3 : mouvement possible dans x ∈ [x2 , x5 ] ∪ [x6 , ∞[


I si x ∈ [x2 , x5 ] : état lié
I x ∈ [x6 , ∞[ : état de diffusion
• Em = E4 : mouvement possible x ∈ [x1 , ∞[ : état de diffusion

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