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La Presse (Paris.

1836)
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France
La Presse (Paris. 1836). 1836-1952.

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Lundi soir .x7 avï~'1~
~i~ avril*
r~Trrad|MBîr
tjanBR b^tibam. 6 cent par exemplaire, «pft par an
•.1886fr;
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ramais » MaT– V> ceat. P*r «semiilaire,
soit par sa

£» «wv JBrats de cinq ccrçnpositions, dé rédaction et d'administration


? prés de 40Q,«x> frfces par ao.
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ADMINISTRATION:
11, I I i IM^–
<" S'ABONNE A RUE 123. 3$ /A^ X
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REDACTION: /c: Adresser fe M.ROUY toutes les demandes
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relatives ailgsonkTftûléi
TArêdaetiei s. Le port se paie j?aur Lêssatyhnemens dutnoit.
rendus;
r
rnulii- risé Je vol Ses dépêches, et que MM. de Gerlaei§||Bkj
et dates. que noas pourriOBS
i usage des nations modernt-s Ces exemples,
r.' h.
gotis positif tout fait une iastrOCHp^
j^aris, lundi soir 7 avril. /nous Les les principes rationnels da imadaf se modifiei>t p\'urà montrent quelle est l'importance du prin^
Niebuhr avaient pour provoquer
L'agence Havas transmet dépèches tion judiciaire.
don- fait remoaterla force obligatoire du traité T
s
suivantes en cette circonstance^etles pleias pouvoirs cipequi » Une s'est engagée à ca «Jjet. I»
et non à celui de sa ralili- polémiqua
BULLETIN DU JOUR. « Marseille, dimanche soir. "'•. nés parlemandaat, mèm^quaBd ils ontété sérè- au jour de sa sîgbatarê Feuille hêpiômaiairè prussienne, organe; da eentw»
La paqoebef le Tage, qui a quitté CoBstantino- ï » Le Ta'ge apporte des nouvelles reme.nl respectés par le mandataire, do créent, cfation, principe qrii ne peut plus étiré contesté. gauche, a fait remarquer que là Nouvelle Gazette Hé
de Cpnstantinople dès bien
pïe le 27 mars, apporte là nouvelle assez fâcheuse du ZTmars. " > -j pour le premier, que l'obligation inorale de ne re- Ainsi, la paix est faite à présent, qu'elle Prusse, d« son propre avetï, n'avait pas été autorisas
villes d'Asie des ne soit pas revêtue delà sanction définitive et né- à émettre ce vient frapper en face l'af-
.que des manifestations hostiles aux chrétiens ont » II s'était produit dans plusieurs fuser sa ratification que pour les. raisons les plus démenti, qui
hostiles aux réformes dé-, motifs de cessaire des ratifications. La paix est complète et firmation faite sous la foi du serment par M*. Seiffart*
éclaté dans quelques villes de la Turquie. Nous manifestations
r récemment graves, et non point pour de simples était de la dignité dé
ccrétées. A. Aïdin, notamment, les chrétiens ont été dès aujourd'hui toutes ses conséquences Le journal libéral ajoutait'qu'il
manquons encore de détails, et nous aimons à caprice ou <le convenance (2). Aussi, les exemples emporte
M. de Manteuffel.de ne pas se lnisser couvrir et défea*
r
maltraité». et privées. Tous les droits qu'elle consa-
penser que ces manifestations n'ont ,nas eu d'im- de traités non ratifies, quoique conclus dans la ri- publiques
dre>ainsi d'une manière indirecte.
» Onassure que là cavalerie anglaise a réprimé une secret
portance sériease. gueur des termes des pleins pouvoirs, ne sont- cre sont acquis, comme si les voiles du qui
»~Sur ce3 entrefaites eut lieu la visite domiciliaire
&
é
émeute de la population turque à Ismid. 1 étaient levés pour les peuples
Le Journal des Dèhats se croit en mesure d'à- ijs pas rares dans l'histoire diplomatique des Etats J* les couvre .encore chez un membre de la gauche, M. Molinàri. Cetta
» On -a reçu à Marseille des nouvelles de Tunis, en
dans les temps modernes, la comme pour les gouvernemens. l'auteur de 1*.
jouter quelque chose à ses premières révélations d
date du 28 "mars*, le général français Perigot était Qa cite notamment, mesure avait pour but de découvrir
sur le traité du 30 mars. Voici le résumé à Tunis, chargé d'une mission. au- convention de Lalïaye du 10 décembre 1790 en- J.-B. LABICHE. lettre anonyme. Elle amena la déclaration • que l'oij:
de ses arrivé d'Algérie
dé tre l'Autriche, la Prusse et lu Holîan-' sait de M. Molinàri, à la .tribune de la Chambre.
nouvel! 'S indications le principe Jâ neutrali-; p
près du beyyq'oi devait envoyer l'un de ses grands l'Angleterre,
» Mais, aujourdui, il y a plus. Une
SJUons'applique,dJuuemanièreabsôlu^àNicplaïeff ddignitaires en missitin auprès de l'empereur Napo- de, les traités entre la France et la Russie du 20 intërpellâtioa,'
On écrit de Berlin, 3 avril, à V Indépendance de le frère de la vie*
le signée de. MM. Bei-g, deGeriach,
et à la mer d'Azoff, aussi, bien qu'à la mer Noire. li
léon. juillet 1806, entre l'Autriche et la Bavière du 25
belge timeduvol, et d'autres membres de la droite et âff
Tous les forts russes construits sûr le littoral » Dans l'île de Metelin, un tremblement de terre a avril 1815, et nous ajouterons, comme exemple
l'extrême droite' a été dépesée. Elle *st ainsi conçue s
f
failli une partie des habitations; » l'affaire du vol des dépêches vient d'être
asiatique de la mer Noire seront détruits et ne détruire récent et célèbre, le traité du 20 décembre 4841 a Enfin,
formellement introduite dans la Chambré des députés « Qae la Chambre des députés: décide de demanâèr
Il a?ait « Vienne, 1 avril. entre la France et l'Angleterre, au sujet du droit du roi de faire savoir à la Chàm»
pourront. être. remplacés. été question, des membres » au gouvernement
de la destruction dès noirs. • par uné interpellation qu'ont déposée
également des forteresses » On assure que l'armée autrichienne qui occupe devisite et de la traite delà droite" et de l'extrême droite. ¥ne commission a- b bre ce qui a été fait par le gouvernement relative»
va quitter ces et que la avec \éclat
élevées pa» les fusses sur le versant méridional 1
les Principautés provinces, La ratification est donc nécessaire pour îa va- été nommée, et un débat public est imminent.^
» ment à l'accusation portée contre ua
la mer la mer T
mouvement deretraito- des troupes serait déjà corn-1- lidité des traités, et cela est vrai surtout » Pour comprendre » membre de la Chambrée, M- Seiffart,
du Caucase, depuis Noire jusqu'à quand, la discussion qui va s'ouvrir, il est vice-président
ont mencé. »• • au nombre des puissances setroûveat de résumer un Mémoire » de la ceur des comptes, pour avoir pris part à ug,
Caspienne mais les plénipotentiaires russes signataires, nécessaire brièvement dont
» vol de lettres. » .
fait observer ta portée des Etats sqh »is à des coEstitutions intérieures M. Seiffart; de la cour des comptes et
que cette exigence dépassait vice-président
» Motifs l'honneur de la Chambre et du pays, v
du cinquième peint, puisqu'elle ne reposait pas sur LeTimes h' soulevé et les journatix discutent
qui partagent la souveraineté entre des pouvoirs membre de la seconde CÉambre.eat notoirement l'au-
tu. ik cômtk SCHWERW, memîire delà gauche, s'esfc
uniiitérèt direct européen. Ils ont eu gain de cause. faprès lui, en France et en Angleterre, une ques- comme dans.ies circonstances teur. Le travail a reçu une publieitô considérable sàna
différons, actuplleg, de
que M. Seiffart, qui y avait un intérêt majeur, i eût levé aussitôt après le dépôt cette interpellation et
L'engagetueut d« ne point fortifier les îles d'Aland tion qui n'est pas sans importance dans les cir- la Sardaignc et l'Angleterre. Le traité du 50 mars a dit du vol dèa dépêches a étôpor-
songé à le démentir: Voici les faits. Puisque l'affaire
est absolu. Une demande d'indemnité a été adres- «
constances 'actuelles,. parce qu'elle implique des ne sera donc complétemeEt valable et exécutoire-
M. Bittcher, téa à la' tribune, et ces Messieurs savent bien pour
être » L9 président de la cour des comptes,
Kée par la Turquie à la Russie. Il n'a pas encore 1
principes et des .coBséquéaces qui doivent ratifications en auront été échangées il me semble nécessaire que l'afiaire soit
que quaadles a demandé à M. Seiffart, vice -président' de cette cour, quel motif,
<êié_staluésur ceite réclamalion, que les pléaipô- 1
~=pris en sériftnse considéra tion. Le traité dn,30 mars entre les plénipotentiaires des six puissantes. Celte ancien et sécrète sous examinée à fond et sous toutes ses faces. Je proposât
employé à là police supérieure
tentiaires russes ont repoussëe. J reçevra-t-il son exécution tout de suite à partir ratification n'est pas doutease assurément, et l'i-l l9_,dernier règ-nè, ancien consul -g-énêrâl as ;'Prus§e au donc dé charger une commission spéciale d'un rap»
dit, coBirairement
au Timès>, de la date de sa signature, ©U; ne sera-t il exécu- porter l'interpellation. -•
L'Opinione avait HiagiEation la plus iBquiëteWne= saurait epacevoi* Mexique il y a quelques années* sie se jastiflisr dev ses
l'échange des ratîficatioHs?. Le 7ï- nul souci à ct'i égard mais il y a une » ai. i>ET3ERtACH a répondu que les motifs se trsu>
yie je tF»«é' renfermait aoenne clause spéciale toire qu'après aajourtfkm relations avec un nommé Teehen, l'agent principal
vaient au bas dé la motion.
au Piémont. Le Risorgiménto s&utient l'existence im$ prétend qne la question a été résolue dans le sont graves, dans l'affaire du vol des dépêches de .Potsdàm, et de indiqués
autre question dont le» conséquences
sens parle de et nous donner des éclaircissemens sur les communications dm. ie comte scHWERiN a riposté que ces motifs lufc
de cette clause, mais il dit qu'elle se trpuve dans premier Congrès Paris, etquo l&Times a sans doute confondueayec la pre-
à cet égard sans informations Il qu'il aurait reçues de cet individu. suffisent complètement.
le préambule, et non dans le traité lui-même. sommes spéciales. Baière; et c'est pour cela que nous avons cru devoir et la motion-renvôyê»
Répondant à cette' invitation, ,M. Seiffart rédigeïk » La proposition a été adoptée,
ées députés de Piémont vient de faut avouer circonstances rea- et les principes. Si le traité
Là Chaaibre cependant qi^les rappeler les préeédens un mémoire dans lequel, ses rap- à une commission de quatorze membres nomuiêa $
dent cette résolution La plupart après avoir expliqué
coosacrer quelques séances à uaé motioa de M. peu probable,. des n'est valable, en effet, qu'après la ratification^ il il prétendit,
ports avec l'agent de police Teehen, en cet effet. »
décisions adoptées par le Congrès, et consignées dès le principe, toute sa fore»
Brotfèiw, député de l'extrême gauche, coDtre Pap-
n'en a pas moins, résumé, ce qui suit
de ia peiBe de mort. Uu dans le traité du 50 mars, emportent la nécessité
plicalion trop fréqu^nie obligatoire" entra lés parties, quand plus tard les »- Teehen lui communiqua, soit en copie," soit en
de Bégocîatioas ou d'arrangemeès postérieurs, et sofit échangées» soumis BULLETES MARITIME.
ordre du jour motivé, proposé par en membre de ratifications Simple projet originaux, des lettres et dépêches parvenues à MM. de
ae sout pas susceptibles d'une exécution immé- dès Gerlach et Niebuhr, le premier lé
la majorité, et qui coustate l'engagemeat pris par à une cônditfon éveatuelle, il se transforme adjudant général, Nous continuons nos.renseignemens snr là gràadé
diate. Pour 1^ des Principautés, pour condition La ratification second secrétaire intime du roi, ou des écrits adressés en disant
le ministère de Mettre la législation pénale" du pays constitution que cette s'accomplit. pêche maritime, que le mot générique
en harmoaie avec ses institutions libérales; a mis la neutralisation de la îner Noire, pour le règle- moment môme de la signature, par ces messieurs à d'autres personnes. IL donna bien-
morue à Terre-Neuve parce qu» 1*
rétroagit jusqu'au poisson signifie
ment de la navigation duDaaube, pour l'émanei- et la convention à moins de stipulations tôt à entendre qu'il tenait ces pièces des domestiques fait la base du coBamerce do.cett»
fin aux débats. oblige, pêche àe ce poisson
de là Turquie, de MM. de G-erlach et Mèbuhr. Teeben ajouta qu'il
races sujettes il faut, su de sa conclusion île.. Lorsqu'il s'agit d'une autre espèce!, om la design*
Nous avons annoncé que la Chambre des com- patioades coatraires, à dater du.joïir par était aux gage* de M. de Manteuffel, président du fasss pas cofifugioâ
d'Angleterre & été saisie d'un bill pour la des traités particuliers, ou des actes qui sont en- les plénipotentiaires qui l'ont préparée, et non du francs
par son: nom, pour Çu'onne p#
munes conseil, moyennant à "peu près, cent par mois; dont on veut parler.
core à formuler. Il n'y a, d'ailleurs, aucuiae rai- lanature du poisson
réforme de l'organisation municipale de la Cité jour de sa ratification par les souverains qui la il lui faisait des rapports sur Ie3 hommes et lea éyé-
" La-pêche de la morue s'effectue soit dans des nav3||
dé Londres, La corporation se composera, comme son particulière d'urgence qui exige que les puist «onsacrent ••• mens de Potsdam. M. Seiffart dit, dans son mémoire,
(5). res sur le grand banc dé Terre-Neuve, ?qit dàw de*
d'un lord-maire1, d'aldermen H d'im •.sances se mettent ainsi au-dessus des grands prin- C'est là ce qui donne une importance réelle à là que ce fait lui arétè confirmé par M. dô Mantèûffél et
par le passé, chaloupés sur les côtes de l'île..L'a première ce dési*
cipes. Le la conveatioa du 15 juillet en France et en par son caissier. Plus tard, ïe^ehen dit qu'il avait
coaseil eommunal, mai» le Hdmbre de quartiers précédent de coaHroverse aujourd'hui soulevée
gne sous le nom de pêche du banc, et l'autre s«ub c«^
4840 ne peut avoir aucune" application dans les conimimiqué les lettres et dépêches dérobées à -MM.
sera réduit de 2€ à 16, chaque quartier élisaBtun Angleterre, car- les conséquences de ce second lui de pécha à la côte. Le graad banc de Terr»-Neu^
circonstaaees actuelles. Le sangne coule plus; l'ar- da (Ssriach et Niebuhr non seulement à M. de 'Màn-
aldermaa et cinq conseillers, ensemble 96 au lieu priacipe peuvent être nombreuses et considéra- veestla plus étendue, des élévations SQâs-marine*
à tout. teuffel, mais encore à M. de Htïickeîdey. n'a moins de d««x
252 comme à présent. mistice prolongé pourvoit bles. De grands intérêts et privés peuvent qu'ofl connaisse elle pas cent*
de publics s>Parmi ces papiers se serait trouvé un rapport fait
au lieu d'être élu à vie, ne le sera La nouvelle donnée par le Times, et qui pro- se trouver dans le délai qui sépare ,1a lieuss ds long sur près de: cent lieuBs de large. L»
L'aldernian, compromis à M.- de &ôrlaqh sur les faits, et jrestes du prince de
fond est couvert do coquillages; trouve un«
six ans, et in corps des aidermea se voque aujourd'hui tant de .discussions,, a'a donc
signature du traiié dosa ratification. Dans les guer- Pxusse pendant son voyage par. Lin- il s'y
que pour en Westphalie, dont la plupart est.déT»»
'aucune multitude da petit^oissons
renouvellera par moitié tous les trois,ans. Les con- probabilité sérieuse. Elle ne repose à nos et en cas .de blocus. rédacteur d'un de l'extrême
res maritimes, par-exemple, denberg, journal droite
rée parla morue. •• ":•»::
seillers seront élus pour un an comme à présent, et" yeux que sur une confusion qu'il faut cependant "les questions relatives à la validité des-prisés doi- à Minden,lettre fort compromettante pour son auteur:,
• i La pêche la plus abondante ge fait où le fond est de
le cens dléligibilité est fixé à la possession d'un éclaircir, parce que le délai des ratifications sou- vent être résolues conformément à ce principe. au dire-de M. 'Seiffart.•
do l'eau, mesure
sable et 'cù la profondeur .environ;
bien avant uoe^aleur de 1,000 liv. ou au paiement' lève, en effet, une grave question de droit des gens -Daas les guerres continentales, il peut avoir nhe » M. Seiffart insinue qu'il n'a pas tout tu, et il ex- Les fonds bourbeux
trente brasses. sont bien ïaoina
dont la solution prime la conviction, qu'on ne lui a communiqué une
d'impôts à concurrence de 30 liv. par an. Chaque entraîne des conséquences ^prati- influesce décisive sur les questions relatives aux par- la morue que les fonds, sablonneux,
des pièces dans fréquentés
ques considérables. II importe donc de rappeler à ou aux réclamations partie que pour l'envelopper' ce pro-
individu réunissant les qualités réquiâes pour les conquêtes accomplies pour da C'-est entre le 45* et le 4ô«.nord.que se trouvent sur 1«
cès, afin de le faire apparaître comme complice
fonctions déconseiller pourra être élu lord-maire. ce sujet les vrais principes et les précédens diplo- iadeinnités particulières. Il peut influer même sur grand bané Ie3 parages les .plus, favorables ai c«ttç
Teehen, arrêté, en octobre dernier, lorsque le ;vol des
matiques généralement appliqués. la décision de certaines questions de droit inté- fut découvert» pêuhë,
usqu'à préseat, Ie3 aldermeH|seulgJétaieB!iéligibles. dépêches
En principe, un traité n'a de valeur qu'autaat qui règae dans ce*
Les priviléges aujourd'hui arriérés dont-jouis- rieur dont la solution dépend de la conclusion de » Tetle est ia substance des affirmations de. M. Seif- La "brume presque perpétuelle
et si funeste à la jaàvigatioa,
B3nt les membres de la corporation, en ce qui coa- qu'il a été ratifié dans les délais prescrits par la la paix. L'Angleterre en fournit en ce moment un fart, qu'il déclara faire sous la foi du serment de régions maritimes, ssfc
attribuée à la rancontrs qui se fait là entré l'eau
convention et dans lesformçs par le droit,
cerne l'exercice de certaines professions, seront- exigées exemple remarquable. L'acte de l'année dernière, fonctionnaire. Je passe sur, ce qu'il dit pour sa justi-
tiède que le courant amène du golfe du Mexique et
abolis de même quecertains péages ©t redevances international et par le droit particulier des Eiats:
qui établit l'impôt supplémentaire sur le revenu fication personnelle. Il y aura lieu d'y revenir lors-
Ce fut loBgtèmps une question l'eau glacée qu« leis vents du nord chassent «les m$vf
La police conserve son orga-. qui le cootractent. la durée de la guerre et pour un an dé que l'affaire sera portés devant la Chambra.
perçus actuellement. pour-toute » Ce Mémoire as- •'_-•''
très controversée que celle de savoir si le traité la conclusion fârait reçu une première publicité polaires.-
nisation, mais elle est raîtachée à celle de la mé- plus à partir du 6 avril qui suivra
contractantes dès qu'il est con- •. sez restreinte, par le fait dé^M. Seiffart lui-même, on La pêche de la morue sur le grand bane de Terra*
oblige les parties durant
tropole, de sorte que les attributions des alder- de la pàsx, peut recevoir soa application le croit du moins. Il parait l'avoircommuniqué à ses Kôure a commencé peu de temps après.la' décoTiverta
clu, indépendamment de toute ratification posté- un aa de plus ou un an de moins, selon
m«n se trouveront restreintes à leuîs devoirs mu- qu'il ré- amis -et à quelques. loges maçonniques.. de-cette Ile. En 1502, cette grande péché fat tenté»
< rieur?, toutes les fois que les miaistres plénipo- soit des termes de cet acte.soit
nicipaux. sultera, du princi- b Telle était là situation, lorsqu'un écrit anonyme par àes na-àres 'portugais. En 1517, quand les An- "'•_ 0-
des Etats duroyaums Se Hanovre tentiaires qui l'ont signé se sont strictement con-
pe que nous venons de, rappeler, que la cessation du n mars est venu répandre à des inillierâ d'exem- fflais allèrent, pour la, première fols, sar le grand
L'Assemblée
été ouverte le 2 avril parle ministre comte Kiel- formés aux instructions de leur gouvernement.
de la perception de cet impôt datera du jour de la plaires le Mémoire Seiffart, en la faisant précéder et banc pour se livrer à cette pêche, ils n'j trouvèrent
considérés soutienaent de réflexions à là fois contre M. de moins de 50 navires espagnols français et
imanhsegge, en qualité de commissaire royal. Après Despoblicistes encore que signature du traité ou du jour.de la ratification, suivre dirigées pas
à prendre de la ««rue. Mai*
la ratification n'est rfquise pour la validité du trai-. c'est à dire du 30 mars ou du 28 avril, le terme Manteuffel et contre M. da G-erlach. Il est évident que portugais employés
avoir rappelé les faits qui ont motivé la dissolution ce ne fut que rare Iêl8 que les Anglais cemprirent
té que quand elle a été réservée à moins que ee entre ces deux M. Saiffart n'est pour rien dans cette seconde publi-
de la précédente Assemblée; ie ministre annonce fatal du 6 avrjl se trouvant placé ce eommerce.
dont l'origine est demeurée jusqu'ici un mys- toute- l'importance de l.n«i vit-ea^
seront saisis de propositions traité su contieane <jue de simples promesses (i); cation,
que fesEtats portant, tère. : ' •. -• '-' anelquea années plus tard, plus de 150 navires sortir
de la Constitution, de la loi organique mais c'est une erreur que rendent évidente l'exa- Droit dtsgf.ns, liv. 2, § 156 MARTENS, friiis aller
mo&&>ation (2) vattel, » L'affaire, ne l'ignore, a fait un bruit desperts de FÀnglatarre pour faire la fjan«l«
personne
des Chambres, de la loi électorale, et enfin de men sérieux des conséquences de cette doctrine du, droit des gens, liv. 2, § 48.- ont publié le mémoire, Terre-Neuve. Dès-lors, l'ÀBgrleterie »è se
énorme. Beaucoup de journaux pêche de
loi des finances, en 1848, reâ- etson iiicompatibihté avec les règles du gouver- (3) V. Martens, Essai sur les armateurs et les prises. La elle-même des pred*its dei
la laquelle, publiée et je l'ai résumé d'après ces journaux, qui ont libre- borna pins à se pourvoir
nement intérieur Ses Etats-libres. Dans le droit des- plupart des traités conclus par la.République française elle veulat encore en alimea*
ferme égat<»niefit, a-t-il dit, des atteintes ment circulé.. cette poche abendaate,
et notamment la paix de Bàle, de 1795, art. 12, ne da- De sôn-côté,
autir •"> 'Xâ Nouvelle Gazette de Prusse axléclarê spontané- ter l'Epagna et l'Italie. la Franis»' ayant
fédérales à la prérogative royale. (1) "Voy. h.lueer, Droit dis gens inodernt de l'Muropt, taieat la f«rce obligatoire du traité que du jour de la ra- Tente morue sur Je* idarf
ment que M. de Manteuffel n'avait ni connu ni favo- • cru devoir disputer la de la
' A. KEÏTTZEB.
§143.- :- " • tification, mais c'était une exception. expresse,"

wmmmutHmimmmwmmamiiMf "ggg^

FEUILLETON pE LA PRESSE dire les princes ambitieux et la cour profondé- d c!d'Aubigné (t. 5., l. 5., ch. 2),. à '(opposer les bras les princes du sang, n'étaient pas gens à périr ainsi ] Le duc de Guise, au contraire, était regardé par
» aux bras, le fer au fer, -et à prendre d'une fu- tranqui|lem@nt, à se laisser tuer sans résistance; ils les
] prêtres catholiques comme leur patron et
ment corrompue, pour qui la religion ne fut qu'un
»« reur sans justice la contagion d'une juste fureur. » lancèrent le protestantisme dans la guerre civile. i
leur soutien. Il croyait fermement, ce qui était uns
i>0 iuNDi soir 7 avril 1856; masque et un instrument.
contre les protestans I y a là une anomalie
II di»nt,M. Micheleta dû être A quel sentiment obéirent-ils? Voilà la question. erreur, que la France était exaltée contre le prptes*.
La-persécution commença
Ier en 1523, et dura, sans c
certainement et il est étrange qu'il né. Càstelnau, dans ses Mémoires (liv. I, chap. 5 et tantisine; et il en conclut que, pour s'en rendre
so:us François presque frappé,
interruption, jusqu'à la deraière année du règae Y
l'ait pas expliquée. Si la religion a été la cau- 6), Mézerai (Ab. clir.t. V); Le Laboureur (t. I, liv. maître, il su ffisait de flatter les passions religieuses*
s
se de la guerre civile, une à En égorgeant saas provocation une assemblée qai
de Henri II, en 1559. En moins de vingt ans, principale pourquoi
2, en outre, la plupart priait Dieu
HISTOIRE
DEMMAUXVIeSIECLE. la Réforme avait gagné l'Ile de France, la Nor- aabuégationsr absolue a-t-elle précédé un acharne- la 3Seigaeurie de Venise,
et 6), le cardinal d'Ossat, dans son discours des dans une grange il voulut planter.
sou»
maadie la Picardie Ghainpagae la Bour- r
ment si implacable? Par le plus criminel abus historiens protestans, reconnaissent que la jalou- dans le saag des huguenots, le. drapeau
la
le Lyonnais, le Dauphiné, la c
de son autorité, le gouvernement avait mis les sie des grands seigneurs fut le vrai motif de la lequel il espérait voir se ranger les catholique^
gbgae, la Guienae,
GIÎEEEES DE BELIG1OM Saintonge, le Languedoc. L'étendue et la rapidité f
protestant hors la loi, il s'était
livré à des actes guerre civile, et que la religion ne fut que le pré- dont il aurait opposé la masse et l'influence
de ses progrèa sont prouvées par le nombre de ses ccontre la résistance a toujours été do texte dont se couvrirent les passions politiques. à la reine -mère, au prince de Condé, aux
lesquels
Les Guise avaient porté leur insolence jusqu'à un et à leurs On pHt voir
..'; Par J. SnCHEUET (1). martyrs, par l'organisation et par la consistance d
droit naturel. En s'armant pour se défendre, les Chatillon amis. ott
auraient fait non de si haut point de tyrannie que, déjà sous Henri II, il tendait, ïorsqu'après le massacre il marcha
qu'avait déjà le nouveau culte avant la in.oxt de f
protestans pas /une guerre
y rreligion-, mais la guerre de la liberté contre un soulèvement était devenu inévitable. Le prince sur Paris, dont il s'empara contre la volonté d»
' Henri IL A cette époque, les réformés comptaient l'op-
Ils avaient dé Condé s'était vu à la veille de perdre, la tète sur la reine, et où le maçéchal de Saint-André, son
T' deux mille cent cinquante églises, avec leurs mi- f
pression, guerre éternellement légitime.
et ils (
donné assez de gages de leur patience et de leur l'échafaud, le roi de Navarre, malgré ses tergiver- complice, lui fit faire par lés-échevins une récep*
eu en France, au seizième des nistres, leurs consistoires, leur discipline,
Y -a-t-il siècle, national où fut t ils pouvaient cesser d'être des martyrs sations qui en avaient fait un objëf-g'e mépris, avait tion royale. La reine, effrayée, écrivît quatre let-
tinrent à Paris-le premier synode fidélité;
guerres" qu'on puisse, d'une manière absolue, ap- d'être assassiné tous tres au prince de Condé, lui recommander;
composée la Confession de foi des églises réformées de ssans cesser d'être de bons citoyens. Pourquoi manqué aux Etats d'Orléans; pour
paler guerres de religion? Cette question, tranchée et si impu- les grands étaient également et » son fils, le rojaume et sa propre » le
France. avaient cdonc, après s'être laissé si longtemps seigneurs menacés, personne,
en apparence titre de n'est pas Presque tous les premiers pasteurs
par le ce. livre, inément livrer aux commissions, à l'échafàud et au les vieux oifiçiers, abandonnés et privés de tout conjurant, dit Mézerai, de venir à leur défense et
péri dans les flammes, et 'le troupeau, sans cesse `
même traitée psr M. Michelet; et il y a lieu de lors- ne soupiraient une «'lui
avait étonné le monde sa résignation 1bûcher, «e soat-iis mis en révolte ouverte, moyen d'existence, qu'après donnant.ainsixun juste sujet d'armè||? quand
s'en étonner. W. Michelet a une manière décimé, par
d'écrire Trente-six ans de le pouvoir semblait se relâcher à leur égard guerre civile qui leur donnerait de l'emploi. Dans » même il n'en eut pas envie. » Voilà I'prigiiiede
autant que par sein intrépidité. q
que 01
,1'histoire qu'on peut ne pas aimer, et dont je dirai les querelles n'a- la première la
affreux; loin d'abattre les protestans, les c
de sa violence et de sa cruauté? une telle situation, religieuses guerre ^civile, et, en même temps,
bientôt mon avis maison voit que, cette fois supplices
avaieut exaltés et multipliés. « Pour deux que l'on M. Michelet fait (p. 82) une remarque, qui met vaient plus
qu'une importance- secondaire sup- preuve que la religion n'en fut que le prétexte.;
plus que dans les deux volumes précédées, il n'exisiàt le massacre de Vassy qui eut lieu
» faisait mourir, dit Mézerai, il ea renaissait cent .iun instant le lecteur sur la voie, et à laquelle il né posez même que le protestantisme pas, Ea apprenant
est allé aux sources, a consulté les 1
qu'il piè- » autres de leurs cendres. » Ifs s'étaient laissé i manque, pour tout éclaircir, que d'être plus éten- la guerre éclatait également. Mais alors ses points le 1er mars 1562, les. protes tans ne s'insurgèrent
ces officielles, lu les Mémoires des contempor nulle part.
brûler, rouer, enterrer vifs, ex- c
due -et piusapprofondia. « Cette primitive Eglise, d'appui eussent été plus faibles, et, en cas dé suc- Un mois plus tard, le M àva|, le prin-
et les historiens modernes ont traité emprisonner,
rains qui toutes les manières sans murmurer, »> dit-il, était d'amant plus pacifique qu'elle ne eon- cès, ses résultats moins importans et moins heu- ce de Condé publia un acte de confédération au*
terminer de
le sujet dont il s'occupe. Rien. n'est plus con- reux. En se mêlant à la politique^ le protestantisme
sans se plaindre, une douceur que n'eurent » tenait aucun noble. » Voilà la vérité. Les protes- quel se rallièrent tous les grandsseigneursinécon^
en ces documens et ces- avec
fus, général, que ces t
taas étaient divisés sur la question delà légitimité donna au mouvement une grandeur que n'avaient tens, d,0Bt plusieurs étaient catholiques. Ces grand»
pas toujours les premiers chrétiens. Pendant
histoires. 11 ne paraît pas, cependant, que cette sur
aas, on ne trouve pas ua seul protestant c résistance.
de Calvin et ses disciples, éa soumet- pas les rivalités des princes du sang. Les protes- seigneurs, comptant l'indignation dé ceux
confusion ait n'en °quarante
frappé M. Michelet, puisqu'il se défendre d'autres armes ttant à là raisoa les objets de la foi, auraient'voulu, tans sauvèrent, à l'insu de léurâ chefs, la liberté dont on venait de massacrer les frère?,' se répaa-i
de son qui ait employé pour
parle pas. Malgré l'indépendance esprit, les gouvernemens, que la raison, humaine; maïs ils ne furent pas les auteurs de la dirent dans les provinces, et appelèrent les pro^
que la Bible, la patience et le martyre. pour rassurer
élevé depuis longtemps au-dessus de la routine et où ils ne-se jetèrent, la testans aux armes au nom de
Comment ces agaeaux devinrent-ils des lions? cquoique affranchie du joug de Rome, n'usât pas de guerre, à dernière extré- la majesté royale
a suivi le chemin battu, et1 attri- et leur vie. Condé "écrivit à Côligny
des préjugés, il comment la guerre sortit-elle à la fin de la perse- t
toute sa liberté, qu'elle limitât elle-même son em- mité, que pour défendre leur religion outragée. t Cés,ar n'a pas
bué aux passions religieuses les trente années de dix guerres, mais, en réalité, il » le mais déjà saisi Ro-;
cution ? Après le Colloque de Poissy, le gouverne- j1pire. Cette inconséquence, sans inconvénient peutr Anquetil compte seulement passé Rubicon
discordes qui ont marqué le règne des derniers » me. Arrivez avec tous vos amis et équipages.
ment avait aecorde aux réformés un édit de tolé- i
être alors dans les Etats où les princes avaient n'y en eut que huit, dont le massacre de Vassy fut le »]
Valois, depuis le massacre de Vassy, en 1562, jus- commencement se réunissent
rsnee qui fut enregistré par tous les pariemens du irompu avec le pape, était évidemment, £n Fran- et le signal. Le duc dé Guise,dont Cinq cents gentishommes à Meaux^j
qa'à j'avénement d'Henri IV. Cette façon de juger Pour com- ce massacre fut l'ouvrage, trouvait dans la reine- et marchent sur Fontainebleau, dit Lanoûe,
royaume. Tant que leurs personnes et leurs pro- ce, fatale à la Réforme.
< se sauver, t pour!
-les événemens doit troubler du lecteur et le de jffhopital, dans le prince » s'emparer
l'esprit livrées sans garantie à tousjes capri- ]
me le dit très bien M. Michelet; la Réforme de- mère, dans le chancelier de la coiu* et s'autoriser de la faveui;
jeter dans im grand embarras, car tous les rôles priétés sont » du roi. Le duc de Guise avait pris les devans j;
ces de la tyrannie, les huguenots sé résignent, 1vait, malgré ses.docteurs, • devenir une puissance de Condé, alors l'ami de Catherine de Médicis, dans
étant ainsi intervertis, rien ne peut s'expliquer et dans leurs adhérons, de puissans il avait enlevé et conduit à Paris la mère et le fils,'
leur obéissance inébranlable défie tous les suppli- » armée, prendre le glaive de bataille. » Très bien, les Chatillon
clairement. Le fanatisme a4 certainsmeat, joué un celte puissance et lui obstacles à la réalisation de ses desseins. malgré lears larmes et leur résistance. C'ëaJ; alpr*
ces. En 1581, leur état s'améliore grace à leur ]
mais, qui peuvait organiser Le prin-
graadïôle au seizième siècle mais présenter ce seuls. Tant qu'il n'y ,ce de Condé était une pauvre tête, et très indif- et lâche,]
et à leur fidélité, leur culte, reçoit donner un glaive? Les nobles que Catherine, comme toujours perfide
fanatisme comme la cause principale de la guerre patience les pr@-
le pouvoir férent sur la question Au fond, et Mi ses libérateurs. Pour désarmer
une sorte de consécration officielle c'est ajors i
eut que du peuplé" parmi les protestaas, religieuse. désavoua
ci vile, c'est épargner les premiers auteursd.es inal- le reconnaît, il n'était
cependant que leur yientla première idée de rébel- ne trouva point d'obstacle à ses violences, les ca- Michelet guère plus calvi- testans, elle leurpermit, par ua nouvel édit,l'exerJ
heurs de la France/lés vrais coupables, c'est-à-i
leurs adver- niste que catholique cependànt.bon gré, mal gré, cice de leur religion dans tout le royaume, exçép*
lion, qu'ils-songent pour la première fois à se dé- tholiques durent espérer d'exterminer
les énergiques saires jusqu'au dernier. Mais les grands seigneurs, les- protestans l'acceptaient comme chef da parti. té à Paris^ Lé prince deÇèndé, foreè d'ajqurneç
(1) 1 vol. in-8°, çliez Ciiamerot, libreire-éditeur. • ieadre, et, pour rappeler paroles dje
"' r-s^V
.?•
étrangers, il s'ensuivit une rivalité acharnée, pouif ,' sssi i t]bien .conniïpôur M mârç^dé 14 hfleudsl/8 dans Soft' sef
feîiésgrande pêcke,
4» entre notre pays daimes en feusâaiit dés crls'éf des pierres, » le»,
i, des ëachemifes français s6hi d'il» style enaf-
et l'Angleterre. MMPÀC~iMtMNS M~n<~ < ~Mt ~CC*. ,yiçe pour l'amù-àuté anglaise, dans la Méditerranée et la Bientôt arrivèrent d'autres (fo 'jetant
'Éàbilàns qui se montré- rpaaht.
L'importance de cette branche de commerce fut, déi Lignes-régulières dés Mers. du Sud. )
mer Noire. rent encore les'
plus exaltés et plus menaçana quô L'inaiïgià'ràtîèn de çë|'salp"nsVest 'fâîté mercredi att
cette époque reculée, prise en sérieuse considération DEparts du l~âvie à jeur dze. Plusieurs bateaux à vapeur, à roues et à hélice/depuis premiers. ;- i
milieu d'un concours
par le Parlement 'Considérable' de dames élégan-
> '&ngiàisi! qrti 'pâisa'f lùsleurS lois 100 jusqu'à 400 chevaux de force. A un signal se sur l'escorte et 1
tes, attirées.par la réputation de cette maison et "aussi
;'' p lV,. Kalpâraiso _ • donné, on précipita
Çpur fayoriserle dêTeloppement de ces opération» on lui arracha le prisonnier. Dans cette lutte, lesgen- le
Clipper dé "300 tonneaux, cap. Compayre, §0 Assurances Hiaritimes,– Affrétemens.– Expéditions. par ] parti que' la directioiî a pris :de: marquer ses ca-
Bjarltfeés.Desbâtimens de guerre accompagnaient ` ;riCalderâ; darmes furent de porter des coups de baïon- (
chemires en chiffres connus et de les vendre à piix
avril fixé.v v obligés
les navires ÉTOpRNEAU. .i
.fixe.
anglais sa rendant à la pêche, et croisaient nette pour se défendre contrôles assaillais,
,1 Panama, clipper de 700 tonrieâux, capit. Merlin, 10 mai- "Il
du banc ces M. le sous-préfet M. le procureur impé- Une dame aujourd'hui acheter son
dans les parages duraîrtlô;i«mpB;jqut fixe. rial et M. le juge
d'Argelès,
de
peut donc
çavires Faits divers. d'instruction près le tribunal (
châle dés Ih'des/'comme elle achète ses robes, avec la
pécheurs s« livraient a lèwsfopéraiti^^u.îi
Départs sui van» -•! Lourdes, se sont dans- la; commune' de certitude.de ne payer- que la valeur réelle et sans
< transportés
\Enl676,.il.y ay^ait.dWBavireapôçhtijriiiiglais-^r- L'Institut da France se réunira On a opéré de nombreuses arrestations. >.. i
avoirs besoin de marchander.
aaés d« 20 pièces èô mai, ÔOjuiH, 10 juillet, SÔ juillet. extraordinaire- Barlest. C'est unprogrôs qui se-
de canonjî*y»Bt;\tS chaloupes «ilêO ment en>ssemblê@ générale, mercredi prochain, pour Un petit rue des ra apprécié. r'y. •,{
> • sur le mo.de d'exécution, drame vient de se dérouler
• domines àîéguigagiç. ,0» ;d4i>ltà«ment de -force tl§ la , Lima-; délibérer de.l'art. 4 du décret i- .•:: ;•• ••• Tsur tensles faits dlfèrgnoiàsi^ék i; i;! ••
part de la position du 14 mai 1855, relatif Deux-Ecus./
des pêcheur» anglais provenait Quito, clipper de 700 tx, cap. Loir, 10 avril fixe. au prix triennal. Le secrétaire de la rédaction, P. YINÇAWfc
Ua ouvrier tailleur en chambre, après avoir, dans
hostile que prenaient d» plus en plus lès pêchews de 700 tx, cap. Mérel, 30 avril fixe. La-réunion des cinq Académies sera présidée par
Eamarang, clipper les plus pénibles la soirée et
envers" M. Bérenger, de l'Académie des sciences mo- angoisses, passé toute
fraaçaig leurs rivaux d'outr«-Ma»che. Les Départs suivans i délégué toute la nuit à attendre
et politiques. le retour de sa femme, avait
les Anglais rales MINISTÈRE BB L'AGRICULTURE, Dtl COMHERÇB ET DK3
Français ne cessaient, en effet, dt» tracasser 20 mai, 10 juin, 80 juin, 20 juillet. été vu, dès l'aube du jour, montant et descendant à
Le bureau de l'Institut,
à l'égard de la grande pêche, pour pouvoir arriver à pour l'année 1856, est ainsi TRAVAUX PDBLIG3.
Arica et Islay: MM. plusieurs reprises de son logement, attendre long-
composé Bê'renger, président Tillemain, délé-
/monopoliser ce commerce maritime» ,' temps chaque fois sur le seuil de la porte.
v Ouverture du service. gué de l'Académie française Laboulaye, délégué de' Avis.
La priae d'encouragement que les pêcheurs fran- de 550 tx, cap. Qsutreau, 1 Académie Ters sept heures du matin, un habitait de la mai-
Garthagène clipper lSïJuia des inscriptions et belles-lettres Binet, Il sera procédé,
son. voulant-descendre à la cave, éprouve une certai- aux enchères publiques, le 3 mal
fais recevaient de l'État ayant cessé, par suite de la fixe. " délégué de l'Académie des sciences; à
Lemaire, délégué ne résistance à ouvrir avec plus prochain, midi et demi, à l'Ecole impériale vétéri-
causée la porte,, la pousse
confusion par la Révolution de 89, la France Départs suivàns :' de l'Académie des beaux-arts, vics-présideut. M. Mi- naire dîAlfort près Paris, à la vente de béliers Dish-
dé force, et s'aperçoit que ce qui lui fait obstacle .est
perdit alers sa prépondérance dans cette branche de 15 août, 15 octobre, 15 décembre. gnet, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences et
le corps du malheureux ley South-Dowa anglo-mérinos le
Les ch'argemens morales et politiques, de secré- tailleur suspendu par derriè- Mauchatnp et
«emmarce. Elle qui ne comptait pas meins de 20,000 sont clos trois jours avant le départ. remplira les fonctions re. A ses cris, toute la maison on arrive 5 du môme mois, à trois heures et demie, à
est en émoi la. berge-
I taire. 1
«aatelota employés à la grande pêche en TO7, vit ce Tous ces clippers sont parfaitement installés pour les Le lendemain* avec des couteaux, des ciseaux; mais la corde, trop rie impériale de Montcavrel, prè3 Montre,uil-3ur-mer
•• 10 avril, l'Académie française procé- de béliers
aeaabre descendre à 3,000 environ en 1793. passagers de 1' et 2»« classe. grosse, résiste à ces .(Pas-de-Calais), Dishley, New-Kent et au-
dera à la nomination de deux académiciens, en rem- faibles instrumens, quand un
D« 1793 à 1814, la grande pêche de Terre-Neuve fut 8'a.dresser, pour fret et passage '' tonnelier voisin, armé d'une bonne parvint glo-mérino3 Mauchamp.
placement de M. deLacretelle, élu le 22 août 1811, dé- serpette,
des plus prospère en Angleterre. Les prix de la mo- Au Havre, à MM. Th. Barbey et C» cédé le 26-mars enfin à trancher le lien fatal. Un médecin-, appelé eu
|j 1855; et de M. le comte Mole, élu le 20
rue étaient très élevés sur les marchés  Paris, au «iége de la compagnie, rue Drouot, 20. février toute hâte, pratiqua à chaque.bras une abondante sâi-
du continent 1840, décédé le 23 novembre 1855. CHEMIN DE FER DE PAMS A LYON P~R LB BOURBONNAIS.
•n estime que l'Angleterre a exporté de ce produit Parmi les candidats dont les noms ont été cités, gâtée, et le.pendu ressuscita.
Quelques heures après ce.t événement, l'épousé, Le Conseil d'administration de la Société du che-
peur plus de 80 millions en 1814. compagnie gékéhale MM. Henri Martin et Emile Augier sont les seuls qui
poissonneux de francs MARITIME, place Vendôme, 15, à tort à raison l'on rentre min de fer Paris à
n'ont" qu'à ou accuse d'infidélité, de Lyon par le Bourbonnais a
Mais aussitôt que la paix fut en Europe, la Paris. point encore fait connaître leurs intentions à
rétablie enfin au logis. Ses. larmes et ses supplications ne peu- 1 honneur- de prévenir le public,
l'Académie. -• qu'à partir da lundi
grande pèche anglaise vit baisser sen importâmes et Service régulier de bateaux à vapeur entre Rouen, le vent ramener la confiance dans du mari, il sera ouvert une souscription
L'élection en remplacement de M. de Lacretelle, l'âme qui, 7-avnl, à 186 000 obli-
«a prospérité, de
par suite de la concurrence française Portugal, l'Espagne* l'Algérie, Marseille, et retour, tou-
membre de l'Institut pourtant à la fin, rendu sans doute plus calme par gations 3 0/0, jouissance du 1« janvier 1856, dont
M. Biot, déjà et âgé de 82 ans,
.-«t. celle des Américains. ; ' ..< chant à Valence, Malaga, et- l'abondance du sang qu'on lui a tiré, finit par se lais- 86,000 représentent une partie du
Gibraltar, Cadix,vLisbonne ne paraît devoir donner lieu à aucune lutte sérieuse prix dea chemins
Plusieurs des négociant anglais de le Havre- au contraire, de M. Mêlé
ser vaincre à demi. On convient alors qu'on se sé- cédés par la Compagnie d'Orléans à la Société du
principaux l'élection en remplacement
les à parera à l'amiable; du modeste mobilier on fait deux Bourbonnais.
Terre-Meuve, ainsi qu'un grand nombre de maîtres Par steamers hélice de 850 tonneaux, le Danube, paraît devoir -être, assure un journal littéraire, l'ob-
ruinés d'une lutta très parts à peu près égales, et, le soir, les deux, époux Ces obligations portent 15 francs d'intérêt, et sont
pêekeurs, furent cemplétement par la rivalité capitaine Doullé la Reine-Mathilde, capitaine Jaouenî 1 jet vive entre les partisans de M. de
la maison remboursables
et clux de M. Emile Aug.ier. quittent pour chercher chacun de leur cô- à 500 francs en 97 années.
,d« la France et ceile des Etats-Unis dans ce genre la Vesta, capitaine Duchesne, partant de Marseille pour Falloux
té un nouveau domicile. Elles sont garaniias solidairement
La crise se fit tellement à cette C'est à ce journal que -nous .empruntons les chif- par les trois Com-
«L'entreprise. sentir, Valence, Malaga, Gibraltar, Cadix, Lisbonne, le Havre et de et du
fres suivans • Le Journal de Maine-et-Loire, pagnies Lyon, d'Orléans Grand-Central.
:parmi la population de Terre-Neuve, qu'oa Rouen. •- du 5, annonce que Le prix d'émission est fixé à 285 francs,
;époquej » Deux fauteu'ls l'acteur en rep.résentation à Angers, a été payables,
songea, pour y mettre un terme, à faire émigrer la A partir du mais de mai, les départs auront lieu de étant vacans, il reste, trente^huit vo- Hoffmann, Soit comptant en souscrivant,
tans, dont il faut soustraire atteint subitement, sur le. théâtre même de cette viîle, Soit en trois termes,
population de cette île, fui ne vit et ne peut vivre Marseille et de Rouen deux fois par mois. r` deux absent, MM. Victor savoir
Hugo et Ampère,– un élu non d'une affection cérébrale dont il avait déjà souffert, 1er en souscrivant
que de pftck«. .- S'adresser pour ;fret et passage: plus reçu, n'ayant pas voix f;Le 100 francs.
A au scrutin, et à la suite de laquelle un accès d'aliénation mentale
M. Ponsard. En tout trente cinq votans
La prime acceïdée à la grande pèche par la Fran- A Paris, la Compagnie générale maritime est survenu. Avee intérêt de -retard 55
que l'on partage -
ce à cette A Rouen, à M. F* de Loys ainsi j~iillet 1856:
époque était encore plus forte que celle .I*»,lel«Jniuetl858:l6af.(o/M*dàMidlai^oàJ
A Marseille, Pour M. de Falloux; Pour U. Augier, Turin est dans ce moment vivement impression- /cesdeux derniers Terseraens
ô'aujourd'kui,;et elle était combinée de manière à ex- à MM. Caussat et Vautier, rueMazade,80, être effectués
MM. 1 Pasquier. né par un événement ainsi rapporté vLe3e lAiernMnhrniRW-sÇf
le 1er octobre Jqui Pourront
elure les produits de la pêche des Marchés ou place Royale, 6. MM. 1 Mérimée. par le Moiiiteur imo ioO& g& r. l-^aranticipation après la déli-
anglaise savoisien: -•'
2 Guizot. 2Mignet. Wrance des titres provisoires.
français, espagnol» et italiens. Cette mesure a eu pour
3 Cousin.. STùiers. « Le marquis X. a tué son fils d'un coup de couteau. ne seront
-effet presque de faire cesser o SOCIÉTÉ GENEHALE DES CLIPPERS FRANÇAIS, -4 Montalembert. Les souscriptions pas- sujettes à réduc-
immédiat eomplétement 4 Rémusat. "••
Voici les détails que nous avons recueillis à cet égard: tion.
J*Kraft(i6 ïiôche de Terre-Neuve pour rAngleterre. Rue Neuve-des-Capucines, 20, à Paris. ..BBerrj'er. 5 Empis.
« » On était à table une discussion La clôture de la souscription aura Heu dés que les
6DeNoailles. fr Lebrun. s'engagea; elle de-
Ce genre d'entreprise» n'ayant jamais été encouragé Organisation, prochaine d'un service régulier entre le vint très vive; au point que le .marquis, 186,000 auront
7 Dupànloup. 7 De ségur. n'écoutant que obligations été Intégralement sous-
par des primes d« la part du gouvernement anglais, Havre et Calcutta,, touchant à Southampton, l'île de gviennet. sa colère, plongea son couteau dans le sein de son fils, crites, et, au.plus tard, le 21 avril.
là 8DeBaraiife.
est exploité concurremment aujourd'hui par la France SBriffaut. 9 Dupin. feeau jeune homme et capitaine d'artillerie. 1 Les souscriptions seront de 10 heures
Réunion, Maurice, Ceylan, Madras, et faisant les même* reçues à S
et les Etats-Unis, le monopole lOSalvandy. » La mort ne fut pas instantanée;
qui se disputent de ce escales au retour. 11 Vitet. il expira, dit-on, le heures
une - -[OScrihe.
-11-Nisard.. A la compagnie
-trafic avec éyale activité. Mais, en raison des a- sera fondée lendemain. On nous assure que le malheureux père s'est d'Orléans, rue de la Chaussée-d'ÀB-
Une autre ligne également entre le Havre 12 De Tocgueville. 12 De Musset.
yantages que lès pêcheurs; trouvent 13 enfui à Paris. Quoi nous ne savons pas tin, 11;
français dans, leg sur le Cap dé Flourens, 13 De Lamartine: qu'iUin résulte,
et Rio-de-Janeiro, avec, embranchement 14 De Brogle. si nous devons plus plaiMre la victime son A la compagnie de Lyon, rue de Provence,
changemens apportés à la prime par la nouvelle loi 14 de PoàgerviUe. que assassin, 47
Bsnne-Espérahc». 15 Légouvé, 15 De Vigny. car nous ne croyons pas qu'il ait voulu le blesser A la rùs Taitbout,
de 1851, la France semble destinée à exploiter seule mor- compagnie du-Boui'honnais, 57.
Ces lignes seront desservies par les huit Le secrétaire
sur le banc de Terre-
magnifiques tellement alors, quelle sera la torture de cet infanti- du censeil, Léon saï.
la"pôeherie, qu'elle poursuit steamers à.hélice dont les noms suivent 16
Douteux
Sainte-Beuve. cide !»
Neuve avec un plus grand développement ''chaque Le Jason; » MM. de Sacy, Villemain, Patin, Saint-Marc-Girardin.
année.• • On lit dans l'Echo du Nord On lit dans le Journal
•Le Golden-Fleece des
Chemins
Neua dirons une autre »On voit qu'à un suffrage près, dont l'avantage est at- de fer
fois en quoi consiste la su- «M.E. D. .membre du conseil municipal de Tem-
L'ïndiana; tribué au candidat littéraire, le sort io l'élection CHEMIN DU CENTRE (BELGE) DE MANAGË A EBQUELINNES.
périorité q^e donne cette prime aux pêcheurs fran- ' dépend avoir refusé
du courant qui entraînera les voix flottantes pleirse, est mort le il mars dernier, après
Le Calcutta; et indécises, de se confesser
çais sur ceux d.es Etats-Unis. -' pour une cause que l'on ignore. M. le « Le chemin du Centre s'embrattehs à Erquelinnes
L'Àrgo; puis, surtout, de cet élément considérable qui se'mani-
Du 24 au 30 mars, il est entré 98 navires dans le ..Curé de la commune crut devoir refuser son ministère sur la ligne du Nord, qui,, de Saint-Quentin, se rat-
Le Queen of thé Seutli feste après les scrutins balancés, la défection. » .
pour les funérailles et interdire au corps .l'entrée de l'é- tache par Charleroi aux chemins de -fer belges et al-
port du Havre, et il en est sorti 97. •
Lady-îocelyn On vient de découvrir, à laMaison-Neuve-Mon- glisè. M. le curé était dans son ârolb, et il en a rigou- lemands. Le public s'est peu préoccupé
D* 25 au 30 mars, il est en^ré 263 navires dans lé • jusqu'à- pré-
L'Hydaspes. tournais (Vendée), une grande partie des manuscrits reusement usé.. Ce n'est pas tout. M. le curé veulut en- sent d'une ligne dont les proportions paraissent peu
port de Marseille, et il «s est sorti 132. Ces huit bâtimêns un matériel naval payé â et de la correspondance de Duplessis-Mornay. core ;S'opposer à que la dépouille du défunt fût "enterrée considérables.
composent Ces
Du 2é au 29, il est entré 49 navires dans le port dd pièces sont actuellement des inhumations » Ce serait
bas prix 12,500,009 francs par la Société générale des déposées à la préfecture
delà
selon l'ordre il prétendait'ïaire dôpo- peu de chose, en effet, qu'un chemin-de
Nantes, et il en est sorti .61. à une Compagnie Vendée, où l'on s'occupe de mettre en ordre ettle ser le cercueil dans, une fosse creusée soit dans les al- trente-huit kilomètres s'il était isolé. Mais le chemin
Clippers français anglaise. les
Du24aû.30,il est entré 24 navires dans le port de les classer.. lées, soit dans un coin du cimetière. du Centre, placé entro deux puissantes Compagaieg
Bordeaux, et il en est sorti 46. Parmi ces pièces se trouvent divers traités de con-. .' » Cette prétention du curé outrepassant ses droits, fut au milieu, des plus riches et des plus abondantes
Le mouvement" agence générale des bateaux à vapeur de M. Château- troverse religieuse, les minutes d'une foule de lettres portée à la connaissance de M. le maire, et ce magistrat, houillères de la Belgique, touchant d'un côté, à nos
du port de Marseille l'emporte dis
aeuf jeune, boulevard Montmartre, 8, à Paris, de Duplessis, et plusieurs centaines de lettres origi- en vertu de la loi du 23 prairial an XII et des décisions frontières, et de l'autre au systèine des chemins
205 navires sur celui du Havre; et celui de Naates pour les de
services nales à lui adressées par les plus hauts personnages du ministre des, cultes des 8 mars; 2 et 20 août 1838, or- fer belges, sert de complément et de trait-d'union
d« 40 navires sur celui de Bordeaux. à vapeur ci-après à
remporte de son temps, Elisabeth Henri que le défunt serait •ces diverses mérite de fixer
d'Angleterre, IV, etc. donna placé immédiatement après la entreprises il l'attention
'[._• port d'Anvers.
ÇORT DU HAVRE. tombe de la dernière personne:inhuméè. Le jour fixé -des capitalistes sérieux et les préférences de ceux qui
Par arrêté de M. le préfet de l'Indre, M. Trodoux pour
Navires i' voiles iiourGalatz, ïhraïl.Valparaiso, Hava- l'enterrement, le corps.de M. E. D., porté parses anciens pressentent l'avenir.. •-
. ' Navigation transatlantique. '• ''" maire de la commune de Vicq-s^r-Nahon sus-
ne. •• ' '.• a été collègues du corps fut conduit à » Malgré les difficultés trois ans, ont
'•' fonctions. municipal, sa dernière qui, depuis
Compagnie franco-américaine. (Qauthier frères et C8.)– pendu deses demeure entravé la marche des les travaux
7 Pour Québec 'et Montréal, le navire- anglais .Emma par M. le maire, accompagné d'une foule nom- affaires, de cetta
Ouverture des services de New- York et du Brésil, paV Un accident est breuse ont été
le ao: avril. arrivé avant-hier dans les caves et recueillie aecQurue, pour protester par sa pré- lignn tousses avec assez d'activité -pour per-
les steamers suivans- Goodvria, cap. Halphens, partira
du Café Anglais, qui sont divisées en plusieurs com- sencecontre les prétentions de M. le curé. » mettre d'assurer qu'ils seront bientôt terminés. La li-
Le Jacquart. de 3,400 tpnneaux et 500ehevaux. BORT DE DUNKERQUE. partimens éclairés au gaz. Il paraît gne sera ouverte à -la fin d'août,
qu'on 'avait ou- On Ht dans un journal entre Erquelinnes' et
de 2,400 v blié de fermer le bée de éclaira de Turin Baume. ..
Le François- Arago. 500 Pour Sa'int-Pétersbourg, touchant à Elseneur etCopen- gaz qui- le comparti-
ment des vins de' Champagne. Vers six « Le palais monumental de IJarengo, élevé » Nous n'avons pas à récherchsr si catte ligne
L'Almà.v. de 2,000 500 ii8gue, ~et prenant du fret pour la Suéde et la Nonvég» h3urr-s, lors- par un est'
'quels, sommelier pôDétra dans avec propriétaire .d'Alexandrie, M. Baîavo, sur la destinée un jour à faire partie des grandes
Le Sébastopol. de 2,000 - 500 -i' en transbordement, les départs auront lieu les 1" et 15 cette" caye une plaine entrepri-
lumière, le gaz fit explosion. Le sommelier fut ren- célèbre qui fut 'le théâtre d'une des.plùs éclatantes ses qui contribuent si puissamment à la
Le Barcelone.» de 2,000, "-S00 mai par les vapeurs V esta' et Cérès.. vis-ifier*
versé et gravement contusionni5. Tputealea bouteilles victoires remportées les armées françaises, ainsi examinons seulement aujourd'hui si elle peut
Le Cadix. de 3,000 500 par dans
PORT DU HAVRE. contenues dans la cave ont été brisées. quels. plaine;: elle-même, vont, dit-ron, être mis en son isolement, offrir des résultats satisfaisans.
Le Lyonnais. de 2,000 600 les caves soient revêtues de voûtes vente aux. enchères publiques à Paris. » » D'Erquelinnes, où il se détache du chemin
Pour Constantinople directement, Odessa et les ports Quoique épais- du
Le Franc-Comtois. de 2,000 600 ses, la commotion a été assez forte Les le nom Nord de le tracé
Ae la mer Noire en transbordement* pour faire voler en souvenirs historiques qu'éveille- de Ma- (branche Saint-Quentin), pas"e par
îa^ne/Qe «ew-ïorj£ (par.ie sua;. Lp jeuar-. éclats les glaces du restaurant, situé au rez de-chaus- rengo, et la valeur territoriale de ce domaine, doi- Binche, traverse les riches plaines
v sie&mer • Pour Rotterdam,Hambourg. Départs
du Hainaut, coupe
4, 9, 14. 19,24, S9. à la maison vent donner à cette vente un intérêt a la Louvièrele chemin de Mons à Manag-e, et rejoint
çeîbne.partira le S mai fixe. sée, et pour imprimer uee violente s&- européen.
Pour'Londres. Départs 5, !&, 15, 20, 25, 39. eousse qui s'est fait sentir à Braine-lè-Cornta le chemin de l'Etat,
LiÉrne du Brésil, touchant à Lisbonne, Madère, Sainte- à' tous les étages. devenant ainsi
Pour Morlaix, Brest. Le nouvel opéra de M. Halsvy, qui se répète ac-"
Départs 15, 33, 25, 30. le chemin le plus direct de Paris à
Croix-de-Ténérifle, Pernambuco et Bahia. Le steamer la de Tarbes, tivemeat à l'Opéra-Comique, aura pour Bruxelles, et dirai-
Billets directs et à prix réduits 5,^0, Brest.
L'Ere impériale, rapporte que la com- titre Valen-- Huant en quelque sorte de 42
le 5 mai fburMoTlaix et mune de Barkst a été le théâtre Une d'Aubigny.LeB kilomètres la distance
Franc-Camtois partira fixe.. de manifestations qui rôles de cet ouvrage important, deux capitales.
Navires à voiles pour New- York,- la Nouvelle-Orléans '' qui sépare ces
Ces .steamers les plus beaux et les mieux aménagés ont eu de déplorables ce dont les paroles sont de MM. Michel Carré et Jules
et toutes les autres destinations. conséquences. -Voici, d'après » A ce premier avantage s'en ajoute un plus impor-
sortis du [ journal, comment les faits se seraient passés Barbier, seront joués par M"" Caroline et.Le-
qui, soient des chantiers célèbre, constructeur Duprez tant encore. Cette ligne établit une
PORT DE NANTES. .. Avertie qu'un charivari venait à febvre, MM. Battaille et MocKer.. communicatioa
Jdhn Luird, de Liyerpool, sont divisés en sept eemparti- d'être organisé directe 'entre le.? -houillères du bassin du
la gendarmerie Centre, et les
Barlfst, s'y est rendue, accompagnée^
mena, par six cloisons étanches. «lu! les rendent insub- Lisbonne, le vapeur Bretagne partira le 21 avril. •" de plusieurs –Les camélias du jardin d'hiver de M. H. Courtois, départemens français que la Belgique alimente de ce
PourPour gardes forestiers. A leur arrivée, ils trou-
. MT'iMe»»" ".•''• Bellé-Ile, Lorient, Brest, Paimbœuf, Saint-Nazai- •" rue de là Muette, 26, quartier sont produit indispensable à: leur industrie.
'- • vèrént la population en émoiV Des individus étaient. Popincourt, encore
JLa Ve^stâ, lors de sa rencontre avee le malheureux Are- re, Cfoisic, Psrnie, les départs ont lieu tous les en pleine floraison. Avis aux amateurs. » Jusqu'à ce jour, c'est à peine si ,cps charbons ont
jours. > montés sur un char que l'on avait recouvert de plan-
Eu arriver jusqu'à Paris, où leur qualité
tic, n'a dù;Son salut qu'à ce mode da construction. L'administration des paquebots fluviaux et maritimes s clies sur .lesquelles, on avait installé une sorte de tri- Un ouvrier du faubourg supérieure
Saint-Antoine, du nom les appelle à prendre une large part du
E'adre»str; pour fret et passage est rue Tartbout, n° 52, et le bureau central' éstboùle- bunal.: Juges et avocats étaient en tenue. de Blanchet, chargé de faire les meubles des nou- et
marché. Ega-
La famille lement. propres aux manufactures aux-usages- do-
A Paris, à MM. Gauthier frères et C», rue Grange-Ba- à laquelle s'adressait le charivari était veaux salons de vente de la Compagnie a il ne leur manque
• vard Montmartre, n» 8,: "'' Lyonnaise, mestiques, qu'un moyeu ^trans-
telière, 14; représentée sut le banc, des accusés par plusieurs jeu- fait preuve, en les établissant, de beaucoup de goût
Navires à voiles en .partant» pour Cayenne. port spécial destiné à les- exonérer dès frais ^-és
maritime nes gens, près desquels "on en apercevait un qui s'é- et ...•' que
A l'Agence des Messageries générales de 1 d'intelligence. leur imposent lès "détours de voies
PORT DE BAYONNB. fait dérisoirement revêtu du costume Ceux qui- n'ont pas été
ecclésiastique. di'S cachemires des Indes
France, Caillard et C«, boulevard des Italiens, 4 ont particulière- créées pour eux, et leur assure une communication
Peur parvinrent- à saisir d'abord celui ment un caractère local saisissant
A M. Ftrreae," agent r*e Notre-Dame-des- Saint-ScbastieH, Bilbao, Santander, départs tous, s o Les gendarmes bois d'ébèné, in- régulière.
maritiiae, qui était coupable de cet acte d'irrévérence, et voulu- têtes
les dimanches.. crustation d'ivoire, d'éléphant, figures fantasti- » Les créateurs de cette ©nt parfaitement
Viiteires, 40 La -foule, qui, au moment ligne
rent l'emmener. de l'arres- ques, rien n'y manque. son avenir.
à MU. Barbe compris Outre un matériel en rapport
Au K»vr«, et Morisse, et à toutes les m«i- Tentes de navires à voiles neufs, suédois et norvégiens, tation, s'était dispersée, ne tarda pas ii s'assembler de Cette maison compte aujourd'hui au moins vingt avec les produits ds la ligne, ils n'ont
A vendre de 440 chevaux, pas perdu da
sei» d'expidition du Havre. Steamer anglais Telegraph, nouveau, et, pendant un kilomètre, elle suivit les ger# salons de vente; parmi les nouveaux, ceux des dentei- vue que plusieurs débouchés importans les ratta-

ses projets contre les Guise, commit la f au te im- sacrifiés


I
à la jalousie inspirée au duc d'Anjou et ûué après
la" cpn^ersion d'Henri IY? raciner. On comprend comment, par le spectacle un homme
de laisser désarmer qui joignait une si grande
pardonnable son parti. à la reine-mère par l'influence que Coligny. eut Ceux qui youdrônt, l'histoire en main et sans des débordemens des grands des mau- Comment
seigneurs,* pénétration à une si longue expérience put-il ainsi
La seconde guerre eut les mêmes causes politi- un moment sur l'esprit de Charles IX. Mais il parti pris, peser et vaises mœurs
.approfondir ces eonsidéra- du haut clergé et des turpitudes de so sur la faveur
laisser surprendre compter de
ques que la première, c'est a dire la rivalité entre faut remarquer d'abord? que 4rente mille pro- tions, que je dois iei me borner à indiquer, se la cour, la nation en vint à partager leur haine ré- Charles IX et sur l'honaeur de la reine-mère ?2
Condé et Çoligny d'une part de l'aùtrei le epa- testans, rassemblés dans le Languedoc, se dis- convaincront, à coup sûr, que l'ambition et -l'intë-. ciproque et à les mépriser tous également. M. Mi- Malgré cette faute, Coligny n'en reste pas moins
Hétable, de Montmorency et le cardinal de Lor- persèrenf sans combattre, sur une simple promesse rêt des prjrices du sang et dès' grands seigneurs,
chelet applique d'une main très ferme le fer rouge l'un des plus grands cœurs et des plus nobles ca-
raine, qui, après la mort de François de Guise, da roi; ensuite^ que les Huguenots disparurent la corruption de la cour, l'abjection et rimbécilité de l'histoire sur ces Talois, la honte de la monar- ractères de son temps, i
avait conservé la faveur de la reine-mère. Les complètement dans cette guerre, devant ua tiers des Valois, ont été les causes principales des guerres xchie; il peint avec de vives couleurs la dissimula- J'ai dit ea cammençant que je parlerais de la
protestans étaient opprimés comme autrefois; parti qui s'était formé au milieu des discordes ci- civiles du seizième siècle. Substituez à ces causes les lâches
tion, la fourberie, l'insensibilité, cares- manière dont M. Michelet écrit l'histoire,' et j'a-
redit; qui assurait leur liberté était violé on viles, et- qui s'appela le parti des Politiques la rivalité des deux cultes,' tout s'embrouille dans ses etles noires trahisons de Catherine de Médicis. à
voue regret que cette 'maniè.cê. est: en général
les assassinait impunément. Si le priace de et des M. éconiens. A la tète de ce parti, dont l'histoire de ce triste temps,- tout est iaexpîica- Mais les meilleurs chapitres de son livre sont défectueuse. M. Miçhelet raconte avec
et ses amis eussent été sincèrement le duc d'Alençon, vivacité,
Çondé frère_ du roi, deviîit bientôt le ble. Quand la guerre s'est faite au nom de la reli- ceux qu'il consacre aux martyrs de la Réforme. mais avec confusion. Il ne s'arrête
la Réforme, c'était le moment de chef, se trouvaient de MQntmo- gion, comme en elle a pas toujours
déypujés.à les maréchaux Allemagne, par exemple, Il y a. -là un éclat, un entrain, un attendrissement assez sur les évéaeinens un fait non éclairci ust
reprendre les armes au Hom de la foi publique ou- rency etd'Amville, enfans du connétable, Cossé été générale, permanente, implacable, eile a em- dont il est impossible de n'être ua sen- souvent un autre
pas ému; -chassé-.par fait, et les person-
tiragiée. Les protestans murmuraient et demarf- et Bifon, tous catholiques, mais ennemis mortels porté deux générations, timent
parce qu'elle «'a trouvé d'admiration et de reeoBnaissance qu'on nages disparaissant avant d'être bien aperças. Ii y
déiënt justice. Que leur répondirent Cbndc et Ço- des Guise. Après la bataille de Langres^ où les^o- personne d'indifférent. En France, au contraire, est heureux Les du sa
départager. intrigues pape, a, dans narration, dtfs ciioses importantes
rlitLo Nonp. dont le on leur accorda la paix cé- les campagnes qui
iigpv?, .«T.ls.rppwsrp'rr^rt, liliques furent vaincus, n'y ont pris aucune part, et plu- les tergiversations des princes allemands, le dou- ne se voient pas 'distinctement.
>' témoignage et lu shietiulé iit suiil- pas saspë'cls, lèbre par laquelle sieura grandes et qui ce peuvent
on crut faire oublier la Saint Bar- villes en ont été exemptes. Et puis, ble jeu de l'Angleterre pourraient être, "je crois, guère ".se placer dans la mémoire. Les livres ainsi
• » qu'il fallait tout endurer plutôt que de reprendre thélémy et réhabiliter la mémoire à jamais flétrie, comment n'être pas frappé du petit nombre et dé mieux indiqués; mais la conduite II faits .np'So.nt p:is sans
» les armesj et que de '"seconds troubles de avaient conçu ceux
de. Philippe intérêt pour ceux qui con-
lesren- ceux qui et exécuté ce crime. la qualité 4e qui combattent dans les deux se détache aeitemeat. On saisit bien les deux rai- naissent l'histoire, mais ceux qui l'ignorent ne l'y
» draient l'horreur de toute là France et l'pbjet Cette cinquième guerre ne peut donc; pas plus que armées? Jamais, daçs l'espace de aas, dix
quarante sons que ce méchant homme avait d'entretenir apprendron't pas;, ils ne peut leur" rester d'une'
'» dë'iâ haine du' joi. Mais, bientôt être regardée exclusivement mille hommes ne se sont en et en-
après, les précédentes, comr trouvés face, la confusion où la France s'épuisaft. La première, lecture
des deux
pareille qae des notions ya'gaes et de fugi-
ïs 6n^ la preuve qu'il s'est tenu un conseil me une guerre de religion. Dans la sixième, qui tore, côtés, avait-onappelé le secours des la haine que lui inspirait le protestantisme la se- tives ifnprèss'ions-
secrëf où il à été décidé qu'on ferait cou- éclate après cinq mois de trêve, les apparences étrangers,, des Suisses et des Allemands. Les conde et la plus importaete, l'espoir d'alfâibUr les Los mêmes au sty!e
per la tête à le même de jrelfgion On voit le duc observations .s'appliquent
Coligny et qu'on jetterait prince disparaissent. -combattans se rapprochaient dans les trêves, et se Pays-Bas eu étouffant la de M. Michelet.
/de en prison. Réforma qui leur four- Gondillaca réduit l'art (ïénvïvà à
Cpndé Alors, ils changent de sen- d'Anjou, le roi de Navarre, le prince de Condéi ménageaient dans les combats. La bataille" de Jar- nissait dès officiers et des soldats; une seule
nac ne coûta que six cents règle « Lar plus grande liaison des
timent et tentent d'enlever le roi, un jour que. .d-'Amville,;Lesd!griières, Bellegarde, le duc dé hommes aux deux ar- Le héros de BI. Michelet, c'est Coligny, qu'il .idées. » Cette Jiais/Hi manque à M Michelet
la cour revenait de Monceaux a Paris. Le coup Giiisë et lé duc dé Mayenne la souve- mées, et dans celle deCondé les trois cents morts
se disputer trouve admirable et irréprochable d'un bout à dont les idées, sont souveat ea: mauvais ordre.'
manqué^ pour éviter un danger imminent ils raineté dans l'Abjou, -la Touraine, le Berry, la étaient des gentilshommes. Des guerres de reli- l'autre. Le Laboureur, résumant de fa; de tours elliptiques
aux armes et la guerre l'opinion Il a une continuité et de'mots
appellent recommence. Elle Guienae^ la Picardie, le Dauphiné, la Bourgogne, gion, dont la caractère est d'exciter des perturba- des historiens, a dit (addit. J. 1,
plupart p. 580.) .vioieris"qai détruisent, ou' affaiblissent l'ofi'ct des
'se termine par un'edit plus dérisoire encore que la Provence et le Laaguadoc. La France fut me- tions générales et d'âllûmer la rage du fanatis"me, « Hors l'intérêt delà religioa, c'était un des plus beaux morceaux qui ne sont pas rares dans son
sont sacrifiés de nou- auraient
le premier; les prôtëstaos nacée d'un démembrement, mais la religioa n'eut produit des armées plus nombreuses et » grands hommes que la France ait jamais livre. Ijya des pages,
veau. Maïs Condé avait mis ou cru mettre pro- par exemple
dans les clnipi
sa per- aucune part dans les malheurs- que lui causa alors des soldats plus acharnés. » duits. » L'éloge est- mérité cependant, il y a,' .très V et XI, consacrés/ Fug aux
sonne en sûreté. Il s'était retir4 à sa maison de des grands La Si la religion n'a pas été la cause principale des martyrs de la
la turbulente ambition seigneurs. je crois, quelques réserves à faire. Jii ne parle pas Réforme, l'autre au .«.terrorisme des Guises»,
où il espérait Ses ennemis fut suscitée la lâcheté où
Noyers, vivre tranquille. septième guerre par guerres civiles, elley a. cependant joué un grand de l'hésitation que Coiigny montra en 1562, cette éclate un admirable talenl;; mais ce talent n'est
envoyèrent secrètement des troupes chargées de d'Henri III accusa sa sjggur rôle, que M. Michelet, sauf les réserves pas
qui Marguerite que je hésitation était alors celle de tous les protestans; dans.sa marche. M. Miche'et
viens" de faire; décrit assuré montre, qu'il
renlèvér. Coligny, qui veillait à la conservation de vivre avec le vicomte de Turenne. Les amis du parfaitement. Une fois en 'mais, je trouve qu'il a un moment manqué de possède les plus rares-qualités de l'art d'éi;r;re,
du prineë, vint -le prendre avec cent cinquan tè roi de Navarre se soulevèrent pour tirer garde contre de trompeuses -apparences, suit
vengeance on prévoyance. Il avait formé de grands desseins et" ea mèmB les premières
temps ii en néglige
chevaux pour lé conduire à La Rochelle, La guerre de cette infamie. La guerre qu'ils firent s'appela
i)ien dans son livre, quoique souvent un peu con-
qu'ils/était près d'exécuter et qui. auraient fait conditions. Il a des phrases incorrectes et des tri-
recommença. Pourquoi? parce que Condé, qui « la guerre des amoureux. » L'histoire Ma con- fus, les évolutions des se 'battent et se
partis, qui repentir Philippe II du- mal qu'il avait causé à la vialités
avait personnellement la reine, qui rendent pénible la lecture du meil-
outrage aima mieux servé ce nom, le seul qui lui convienne. La hui- réconcilient sous le masque"; qui, au nom des France, était ainsi de la leur livre;
pendant qu'il occupé
sur un de comme il
périr champ bataille, y périt tième guerre ést-.cèllé de la Ligue. Elle fut excitée deux religions qu'ils profanent, qu'ils compromet- gloire de son pays, il fut enveloppé dans le massa- Je fais ces observations sans craindre
en effet, que de porter .-s'atète 6ur l'échafaud. Là par le duc de Guise, qui voulait monter sur le trô- tent ou qu'ils trahissent, font la guerre,: cre de la Saint-Barthélémy
négocient où l'ambition, .le vice M. Michelet,- parce qu'il est bon, la cause
eût donc les mêmes causes que des alliances, pour deblesser
troisième guerre ne à l'exclusion d'Henri IV, et entretenue par Phi- publient des édits, concluent des et la lâcheié triomphèrent de la vertu et du cou- qu'il défend depuis. longtemps avec .courage, qu'il
les précédente^. lippe II, qui cherchait à placer la couronne de pacifications. C'est là qu'on voit comment ces
rage désarmés. Après la troisième guerre, les pro- jnanitienne
son talent d'écrivak? 'à la hauteur de
La quatrième à pu tromper les historiens. Elle France sur la jôtè d.e l'infante. Si la religion eût été guerres intestines qui, pendant ans, mi-
quarante testans, toujours trompés, avaient démandé des sa réputation, et qu'il assure aiasi ù ses idées l'in-
éclata après la Salnt-Barthélemy, et il semblé na- la seule cause dé cette guerre, pourquoi les Guises rent les rois et la royauïé en péril, fureaf le sûretés. Coligny, séduit par les promesses de la tërét, nécesaaire les répandre..
feirel dé l'attribuer des se salut de la liberté, et donnèrent pour
à la légitime, exaspération seraient-ils armés contre Henri III, qui était aux principes mo-
cour, rendit les dites d'otage qu'il pouvait garder
protestans, dont soixante mille venaient d'être catholique, et pourquoi là révolte eût-elle conti- dernes le temps de croître, de s'étendre, de s'éû-
pendant deux ans c'était parti. A.PEYRAT,
désarmer .^on
spécial de thés de choix, .à prix très ma»
rantie résulte!? du défaut –Magasin
et h, Âuiienée du mèfcreâtè avril– Pïêàii. de M. BeMBIér' pour la casse qui pourrait a
feKaient k la France. D'abord- par les deux branches plusieurs Français ont été autorisés à accepter (
dérés.– Maison caron, 8, rue de la Bourse. Pans.
la Sambre cana- leur ont étécoaifr1' d'emballage.
de la Compagnie du Nord, puis par I porter plusieurs décorations qui Les chemins de'fer qui transportent des bestiaux sont
MM. Millardet ont fait sommation h la Compagnie La vogue des dentifrices Laroze s'explique parce
lisée. À. Erquélinnes, un bassin-est destiné à recevoir rées par des souverains étrangers. responsables de tout retard qui empêche les animaux les et calme les névral-
d'avoir à expédier leurs marchandises moyennant ,(
que l'éli^it' dentifrice prévient
tout ce que là navigation enlèvera au chemin du d'être vendus au marché pour lequel i.lsétaientdes- la poudre
ont assigné le chemin les maux de dents;
prix fixés aux tarifs. Puis, ils' ,{
gies dentaires-, guérit
Nord. Ces charbons, transportés par la voie la plus tinés.. • de fer pour s'entendre condamner à expédier et à leur (
dentifrice à basa de magnésie et de quinquina les
se répandront sur- tout le parcours de la Alimentation pttbliqnc.
économique, M. Chivert faisait transporter par lé chemin de fer et les conserve; donne du
et du canal, où l'industrie a acquis de si im- payer 150 fr. d'indemnité pour le retard. 1
blanchit l'opiat dentifrice^
Sambre On lit dans le Petit Courrier des Halles' et If arches: d'Orléans une bande dé porcs destinés à être vendus de h». Baudoin, la carie des premières
et avec raison le Après avoir entendu les plaidoiries ton aux gencives, prévient
portans développemens, car, pour sur sur le marché le jour même de leur arrivée. Le con- 1« actif à leur sain et facile dé-
«, dimanche. La baisse des blés a été générale, agréé des demandeurs, et de Me petitjean, pour (
dents par son concours
transport des marchandises lourdes et encombrantes, de nous ar- voi qui transportait les animaux éprouva un retard" la compa- Pharmacie Laroze, rue Neuve-des-'
teus les marchés ^dont les bulletins^viennent chemin de Lyon, le tribunal a condamné 1veloppement.
les chemins âè fer ne peuvent arriver à des Les porcs ne purent être vendus
tarifs river .sur. pluseiurs points, cette baisse n'avait point docinq heures. qu'au gnie « à transporter, aux prix de son tarif et sanscoa- j1Petits-Champs, 26, à Paris.
aussi avantageux que les canaux. encore été aussi significative. Le commerce s'abstient marché suivant, et, vu la baisse que subit cette mar- » ditions, les marbres objets de la demande, et et
» L.' avenir du chemin du Centre donc dou- il enrésulta une totale l'a L'huile do fore de morue naturelle, tixp. 1849
paraît les aohats n'ont lieu que chandise dans l'intervalle,' perte » condamnée aux dépens dommages-'inte-
toujours de, toute opération: pour tous l1855, se vend pi. de yhfoel-de-Vffle,r. Rivoli, à l'Olivier.
Vlement certain, car, soit qu'il reste isolé, soit qun de 464 francs. l>
d'une grande pour les nécessités :dé la consommation. »rôts. » ,-J
devienne plus tard partie intégrante Le tribunal ^.condamné le caemin de fer à payer •
l'immense
»
Partout, Ils apparences de la récolte en terre sont Même audience. v
ligne, son capital est également assuré par 464 fr. à M. Chivert, par ce motif que l'arrivée du du mardi soir 8 avril.
et par le "belles.*» II y a concurrencé déloyale dans le fait du commerçant Iliéâtres. Spectacles
trafic auquel il est appelé dès son ouverture, conyoi correspondant ordinairement avec l'heura du
qui, vendant le papier chimique tombé dang le domai- Régnier, Bressant, Le-
i cours- exceptionnel des titres des Compagnies qui t- Par -décret en date du 22 mars, inséré au' Bulle- marché, l'expéditeur et la Compagnie avaient eu peur sfrançais. La JocondeiGeBipy,
tin des Lois de ce jour, il est instituera Limoges, sous ne public en vertu de la loi de 1810, emploie pour cette roux Mme A.-Plessy), ilojntiii^.
l'absorberaient. '•'. commune intention que le transport fût effectué en JWanon Lescaut ^P.uget, Faure, Mme
une vente des enveloppes analogues par la forme et par la copéka-comioue.
» E~n effet, les chemins de fer voisins s empresse- la garantie de la ville et sous,l'autorité "du maire, temps utile, Marie Cabel).
des charbons du Centre caisse de service la boulangerie. couleur à celles dont se sert un autre commerçant qui- /)“ M,j..
ront de donner a l'expédition pour Plaidant m« agréé dufehemin de fer, con- -i
,ITALIENS. (Compagnie dramatique.) Pre~. de Dïedea
halïhe», a fait apprécier, précisément à l'aide de ces envelop-
toutes les facilités possible?, afin de diminuer l'effet Cette caisse sera chargée d'avancer aux boulangers tre partie. - '. Ad. Ristori). "
4u/ é sa fabrication: (Mme  T
de la Sambre^ -le résultat de cet-, le montant de la différence en moins; qui.pourra, en pes, le produit â: ôdéon. Michel Cervantes (Tisserant, Kime Laray,
de la concurrence
tant vertu des délibérations du conseil Même audience. Présidence de M. Gtrimotjlt. de MM. Fayard et Mmes Toscan), le Lièvre el ta Tortue.
te concurrence sera d'augmenterles débouchés, municipal, exister Mm<->-poupier, qui a été associée Bérengére,
la taxe et chi-* ithéâtre lvkiqce. La Fanchonnetle (Monjauze, Mme
du la des entré le du municipale Le syndic de la faillite d'un éditeur ne peut vendre au vend depuis bien long-temps le papier
par l'abaissement prix que par régularité prix pain réglé par Blayn,
le' prix résultant de la mercuriale. Miolan-Carvalho).
communications. - profit de la masse le droit de publier une nouvelle é- mique. VAUBKWLLE. Calino le s Mémoires du, Diable (Félix,
r» Plus de quinze concessions sont exploitées dans dition d'un livre lorsque là première édition, cédée an- M. Laurençon en vend, de son côté, avec des en-
'i– Le Sud-Est, journal qui se publie sous le patro- Mlle Luther). • •
le bassin du Centre. Les "seules extractions de Marie- a parlé le failli à un tiers, n'est pas encore semblables et pouvant faire- confusion biscornu (Ambroise), M. le Sac
de la Société d'agriculture de Grenoble, tërieurement'par veloppes avec `V4BrétÉs LTn Part
l'honorable M. four- ïiaga au tribunal de les Suites' d'un Feu a artifice.
par "Waroquié, celles de Mme Poupier, qui demande et Mil* la Braise,
mont, dirigées dernièrement en ces termes des ravages que conti- épuisée.
Mmes
nissent le faire cesser cette concurrence. (gymnase. (Berton, Dupuis, Lesueur,
par jour 2,500 tonneaux en supposant que Huait à faire l'emploi du seigle ergoté dansl'alimen- MM. Téhré et Ce ont acheté 'de M. Videcoq lalfè édl- Françoise
cheifiin transcorte seulement 500 tonnes sur la moitié Sur la plaidoirie de m« ret pour la demanderesse, Rosé Chéri, Lesueur).
tation tion du Dictionnaire de procédure et du Dictionnaire | et Mon-
de son parcours, ce chiffre assurerait un' dividende après avoir entendu m" frévillb, agréé de M. Lau- iPALAis-nOYAL. M. de Saint-Cadenas (Ravel),-un
recet- du à produire- de des juges de paix, de Bioche. Videcoq est tombé en
à Laurençon de se sieur, l'Homme de Robe,– Danses espagnoles,– Mon-
de plus de 15 0/0. Or, s'il est démontré, parles «L'usage seigle ergoté continue a letribunal a fait défense
Tournoa. faillite, et le syndic a cédé le droit de fairede nou- rençon, sieur va au Cercle, M. Guillaume.
tes du chemin de Mons à Manage (25 kilomètres), que- funestes résultats dans l'anondîssement de «servir d'enveloppes d'une forme et d'une couleur
ainsi se dé- Le Sang méle_ (Fechter, Vannoy,
"On ne saurait trop recommander aux maires d'exercer velles éditions: MM. Tenré et envoyant
se sert Mme Poupier; dit qua pouTE-ST-BiARTiN.
sur cette^section le rendement est plus considérable, » analogues à celles dont Valnay, Schey, Mmes Page, Alphon-
précier entre leurs mains les exemplaires qui leur Deshayes, Baron,
on a le droit de regarder comme minimum: le dirt- une surveillance active sur lés marchés et ehez les_
» Laurençon sera tenu de changer «es enveloppes
le restaient, ont assigrié le syndic pour qu'il eût à leur sïne, Ulricj:
facile
déadàque-lfs actionnaires auront à recevoir dès la boulangers^; rien n'est; plus que de_ purger » dans les trois jours delà signification du jugement. egaité! 'Henri III (Frederick Lemaître, Laferriére, Mme
et se distin- reprendre teus les exemplaires restant ou à-les in-
première campagne.•'• .• seigle de l'ergot, qui est cntièreinent noir ÉDOUAfiD BOVADET, OVOCat.
demniser. ' •" '•.
»-V'ers la fin d'août, les travaux seront cërtainer gue faeilement:au milieu du seigle. :• •" •-'
À
Naptal-Arnault).
ambigu.– Le Paradis perdu (Dumame, Castellano, Mau-
Le tribunal,' après avoir entendu ji» rey, agréé des rice Costë,
ment ils n'offrent, du reste, aucune diffi- » Un habitant de Cheminas, empoisonné par l'ergot, Mlle Périgat).
achevés; du syndic, a con- Nécrelogle~'
Nécrologie. impérial. Relâche pour les répétitions gêné-
affaire parait-elle estvsur le point de succomber à une gangrené générale.' demandeurs, et Me dillais, agréé fcirque
culté sérieuse. Aussi cette du petit fr. a Tenré à titre de l'Empire.
damné celui-ci a payer 2,100 et Ce, raies des M ar échaux
"nombre de celles- auxquelles on peut prédire un Une famille de la commune de Champis, canton de Saint- Viennent de monrir :JVIM.- George Dswson, oeau- parisiens. les Deux 4veu-
de dommages-intérêts. de bouffes Tromb-Âlcazar,
et légitime succès. P^ray, est cruellement atteinte par cet empoisonnement. rr frère de feu sir'Kobert Peel; ancien "sous-secrétaire
prompt ".VV glês, la.Paix, Elodie. •
et de en der-
» II importe d'ajouter que le gouvernement belge, La mère, au lit depuis six mois, a perdu l'usage de ses
Audience du vendredi 4. Présidence de m. houette. l'intérieur de la* trésorerie Tamirauté,fet,
lcaROCE napoléon. Tous les soirs, Exercices éques-
deux jambes, dont l'une est paralysée et estropiée son nier lieu, président du bureau des Douanes r M. le Scènes comiques, etc. Les Bêtes féroces,
attachant la plus haute importance à cette nouvelle des tres,
très malade, » Les tarifs pour1 le transport marchandises' publiés de Thunsen, vice-gouverneur delà,
communication, vient de la compléter, en accordant fils aîné a perdu un pied et.sa fille est général prussien
parles Compagnies de chemins de fer constituent une- fédérale de Mayence le Sang
à la Compagnie la faveur d'étendre son parcours jus- forteresse M. Rozmian, poète, porte-sawt-martin. Demain mardi, mêlé,
obligation étroite à la charge des Compagnies,- puis- auteur des GéergiqUes à l'âge de 83 ans. gsi bien joué par • Fechter, Deshayes, Valaay, Mmes Page
Ecaussines, où le. Chemin du Centre se reliera ; polonaises,
qu'aux
au chemin.de et favorisera, l'exploitation des Cours et Trlbnnaasv • qu'ils, règlent d'une manière absolue, après l'approba- ' « Alphonsine.
et
l'Etat, tion de l'autorité supérieure, les rapports des expédi- r- ,:< L'un des gérans, fi. Houy.- Une représentation extraordinaire aura lieu mer-
belles carrières dont les produits sont portés jusqu'à TRIBUNAL DE COMMERCE DE LA.SEINI. teurs arec les Compagnies.Celles-ci ne peuvent en con- ' >'' au théâtre de la Porte-Saint-Mar-
Paris et dans tout le nord de là France. Cette modifi- c
credi prochain, 9 avril,
ET DÉCISIONS DE LA SEHÀ1KB. séquence soumettre les expéditeurs à des conditions t
tin. Elle se composera
cation réduira delâkil. la distance AFFAIRES
qui sépare Bruxel- ou à la la garantie de casse Mme Marc de Molènes-M-Mahon est heureuse- Des trois actes de la Conscience joués par
élablissemens d'emballage décharge de premiers
les des nombreux et pntesans qui depuis Audience du mardi 1" avril.– -Présidence de M. forgeî. accouchée d'un garçon, dimanche 6, à 10 heu- Tisserant et les artistes de l'Ddéon
ou d'avaries, si ces conditions ne sont' littéralement ment ]
Laferriére,
plusleura années ont été créés a la Louvière. , Du et du cinquième actes de Maria Sluarda;
de- exprimées dans les tarifs. resdu matin.. troisième
Le jugement par défaut qui renvoie un commerçant
1 J G, D.EV1HA. »
des est susceptible Jioucs par Mme Ristofi et la troupe italienne
vant arbitres-juges d'opposition, MM. Millardet frères ont fait transporter à la gare Etablissement thermal du Mont-d'Or. Depuis le Du acte de VOrestie, joue par Mme Laurent et
premier
même lorsque le tribunal arbitral s'est constitué et a de fer de être mois de janvier 1856, les bouteilles d'eau minérale ]les artistes du théâtre ds la Porte-Saint Martin.
du chemin Lyon, pour expédiés par
rendu par défaut une sentence. Cette sentence ne sau- vitesse à M. à douze du Mont-d'Or sont recouvertes d'une capsule enétain Le spectacle commencera par un vaudeville.
Actes da gauvememeat.. la petite Guérin, Sens, tranches,
ràit constituer l'exécution du j ugement, aux termes de cheminées et de fin, portant en exergue f Etablissement thermal du bouffes parisiens. Ce soir, 5« représentation de
vingt plusieurs autres .morceaux
îtSTiCB,– Le Moniteur publie plusieurs nominations l'article. 159 du Code de procédure civile. Mont-d'Or, 1856. Les demandes d'eaux minérales 'doi- Tromb-Alcazar i cette désopilante bouffonnerie musicale
marbre.
de juges de paix. à M. E. Brosson, et Léonce s'élèvent au subliiae
de juges et de suppléans >
Ainsi dan$ une affaire Hédon contre Hédon.- Le chef des expéditions s'est refusé au transport, vent être adressées concessionnaire, dans laquelle Pradeau
jugé au Mont-d'Or du grotesque.
Par décret du'17 mars MMes Bertera et Cardozo, sans qu'il- lui fût donné par MM. Millardet une ga- (Puy-de-D&me).
ibgion d'honnedh. 1858, Plaidans, agréés.

•' avril courant, au siège social, rue Dauphine, 30, Revenu net, 22,000 fr. » fiïïiniFB les modèles et Tétablissement
Adiuiiicattons. • AYEC.COURET fondé
l
11MlitC-ATIT
l~dt~l~ HiUlSUll JARDIN, ET'!
"JARDIN, rilillS. 1
il PARIS. DA-DTC
à la
1
FEURAMS Constructions
ea la chambre
A.PAIIS.
des notaires, mê-
à midi précis.
La société entendra le rapport.de son gérant
50,000
courre
f r.
eontiguë
âe vieilles
à une
futaies,
forêt -de
chasse
1,500
à tir et à
hectares.
il UIIgpJCR
tl llHIllill
depuis 20 fins
les MODÈLES,et,
d'Appareils
par- M. LAURY,
de Chauffage,
Chaur(ape,
qui a obtenu
fondé
les
Adjudication (même sur une enchère), Adjudication à Tours. hautes aux uni-
en la de Paris, desno- rme sur notaire à et celui des membres du conseil de surveillan- S'adresser à m* sensier, notaire plus récompenses Expositions
une enchère, si0 gérîN,
AD~~IDICATI01~
tairesdeParis,lemar-
ferme dite Ferme
cI
chambre
D'une
des notaires,
MAISON
le 29 avril 1855
avec cojir et jardin à Paris, 1Paris, rue Montmartre,
par
103, le mardi 29 avril' ce. Elle aura à procéder au renouvellement
de surveillance
des
et a
vèrselles
la Médaille
de Paris et de Londres,
d'honneur
et notamment
et la Croix à celle de 1855.
di 15 avril 1856, d'une belle
rue
u de l'Arcade, n. 53. Superficie, 760-m. 549 c. 11850, â midi, membres de son conseil
lï ftiTPFT
ll\IIIiL contenance, 1350
de Blaise-sous-Hau- entre
sée-d'Antin,
cour et jardin, 51 rue de la Chaus- à Paris, 31, rue Tronchet.. »
du Château, sise commune
Mise à francs. De TERRAINS et CONSTRUCTIONS sis à Pa- statuer sur plusieurs propositions qui lui seront à vendre..
S'adresser
de Vitry-le-François prix 150,000 de la société. mètres,
teville arrondissement notaire rris, rue Ainelot, S4 et .36, et petite, rue .Saint- faites dans l'intérêt à Paris. »- de
Contenance, 188 S'adresser à Me Bertrand maillefeb, sont prévenus S'adresser à Me berceon, notaire 1 irtï a T d'actions et découpures d'actions
"(Marne), sur une grande route. 1 5, d'un actuel de 10,500 frr.. Messieurs les actionnaires que
et prés.– àd Paris rue du Havre, n° 10. » Pierre, produit séance s'il n'est liiïlii i Stolbergetdes usiDescentrales ds la
hectares environ en terres Produitpar En trois lots avant chacun façade sur les deux nul ne sera admis à cette por- à Paris, rue du Faub'St-Honoré, 8, «
fr.– If Guadeloupe. J.-B.Cailleux,faub.P»issonniére,9.«
bail notarié, 9,300 fr.– Mise 255,000 r
rues. teur de mille francs d'actions. Ik
jnillovli f C/flW à vendre, sur une enchère, chambre
On. adjugera sur une seule enchère.– à prix, et JA-HDIN ANGLAIS, avenue de
S'adresser 3 Ivüsea àâ prix.:
Mises des not., 29 avril 1856. Prod., 5,800 fr. Mise à prix, I>1P 1 ¥T 1.1 1 f I CTTW de broderits et confec-
broderies
U m« lefer, notaire, à Paris, r. St-Honoré, 290. j! if-lieÀlïT
juillovii
r,
(même sur une
Paris,
seule
33, à Versailles,
enchère) en la
à vendre
(chambre
1«. lot, de 438 mètres
de 395 mètres.
50,000 fr. V
AelïoSs et veistss d'ieaméables âe gié à (pé.
6.000 fr. S'.ad.à M»flURAHT,not.,r.
St-Honoré,352. h >MU JlAwASl!\ 1~ A AShi
tions pour .dames
-dames etet ;
2e lot, 40,000 enfans, faisant 100,000 ir. d'affaires, donnant
DE CAMPAGNE d
des notaires de Paris, par ai" persil, l'un d'eux, "»"
"ï>TïïtJ WftïCAmT
iD .nilloUnl à Orly (Seine).
(Seine): d
demeurant rue delà Paix, ï6, le .15. avril 1856,
3e lot.de 462 mètres. «0,O00. 9ÔO"dIns L'OME
terres
PROPRIÉTÉ i 16 à J.8 0/0. de bénéfices,
15,000 fr. net prix,: ^0,000
qui s'élèvent
fr. S'adresser,
de 12 à
à MM.
s
sur la mise' à .prix de- 40,000 fr. a vendre, consistant en château, labou^
-TERRAINS- A" BELLfiVULE.- A i/ENDfiE pounCAUSE§ SAiTÉ
EtudeBELLlii
dddde »ie gikacld, avoué, rue Neuve-4es- Ni Estibal et fils; place la Bourse, 12.
râbles et forêt. de
Bons-Enfans, 5.
du tribunal civil de la Sei- et pour entrer en jouissance de suite Faculté de défricher la forêt.
Vente aux criées rue des Amandiers et rue Elisa Borey. ri!S"B}fiU de COlfi4ISSAIRE-PRISEUR
de CÔMMISSAÏRE-PRISEUR âà
à Paris, le samedi 1" Un MOULIN à blé très bien achalandé, si- Chasse abondante, site.magnifique.
ne, au Palais-de-Justiee, 26 IAISOIS
Jj DE CAMPAGME ET ferme Adjudication, même sur une seule enchère, sur le ca- ~r~,q~
Jllillilîlj vendre. (Grande et belle ville.)
en un tué à Rosiéres-aux-Salines (Meurthe), Station de chemin de fera 2 kilomètres.
avril 18' 6, saul lot, A vendre, le-dimanche 20 avril 18E6; à midi, en la chambre des notaires de Paris; par Me Produit, 8,600 fr. Prix 75,000 fr. r
à Orly, nal- dérivant "de la Meurthe, entre Nancy et Lu- .S'adresser à Me richard, notaire à Alençon.
D'une belle Maison de campagne, près précis,
]J par m° deloison, notaire, à Brie. •
11 néville. MM.- Vauvardinet Loyer, r. Montmartre, 55.
de an spt, notaire, à 2 kilomètres de la station du chemin
Choisy-le-Roi (Seine), composée Maisons de campagne et ferme à Brie-Comte- Le mardi 15 avril 1856,
à t de fer de Paris à Strasbourg il comprend, outre
Grande et belle maison d'habitation, parc à lTieure 1/2 de Paris, entre 2 chemins De terrains propres à bâtir, en 8 lots, de diffé- Bibliographie.– PrablSeaîïons OiVerses. meublé et débit de liqueurs, rue
ferme et Robert, lamaison d'habitation, engrangemens, remises,
.l'anglaise, eaux vives, rivfére; terres de fer; station chemin de bien- contenances e't sur des mises à va- IJJWUI loyer 3,000; bail, 17
labourables
contenance toi 'aie, 53 hectares ex-
•' t
tôt à 3 quarts
de Brunoy
d'heure de Paris,
Lyon,
soit par le
rentes
pro- riant de 3,000 a 5,000 fr.
prix
écuries, trois paires de meules.
ïLA
l&1»1 IV If CO"»GRÈS*È
Al^THW PARIS
P'iltIs
liUlHL
ans;
Saint-
affaires,
Jacques,
15,590 fr.; "prix, 25,000 fr. S'adr. à
viron; dont 6 hectares environ
le
clos de murs.
de fer d'Or-
1longement du chemin de Vincennes projeté, S'ad. à Me Ahgot, not. à Paris, r. St-Martra, 88.«
est
2° Et DEUX CORPS DE BATIMENS,
élevé de deux étages en amont de
dont l'un
la vanne-
rAIÂ du HlUl\lilii 30 mars 1858. LA'P!IX 'DEcONGREs~DIE la sécurité, 61, rue Meslay.
A la porte de Paris, par chemin csoit
"• par l'enïbranchement de. Brunoy sur' Brie. loués à un effilo- Belle et grande gravure sur Chine, page his-
du moulin, avantageusement
léâns (station de Choisy-le^loi). Cette propriété 1» Le châtelet de Pamphou, nouvellement res- torique où les. sept' souverains réunis et d'une: collection de tableaux à vendre en
est remarquable .par ses beaux ombrages; ses ttauré, avec parc anglais, vastes dé- cheur. parfaite ressemblance, -concluent le traité de f W détail, rue de Lancry,
pièce d'eau, VENTE D'IIIEUBLPsenEis, attenant à là propriété. «I
ÏAÏ Vlil£i 22, au 1er.
rpendances, d'une contenance de 1 hec- Ensemble les jardins paix deTBurope. Se vend 4 fr. chez l'éditeur,
eaux vives. serres, Etade de m°jU!.es Tire" nv,!i voué à Senlis (Oise), Le-cours d'eau faisant mouvoir cesusines estde 5 fr.
Mise .à prix. £40,000 fr. t
tare environ 12, place delà Bourse à Paris, et expédiée de.-20 ans,
La ferme est louée 7,500 fr. et
'Vente judiciaire, .gui'eïu.io ot.par le ministère la forée de plus de quarante chevaux; il ne" ta- franco. Se trouvé Une jeune personne
2o La tour de Pamphou avec jardin dépen- de M-e Chartier, notaire à Senlis, commis à cet ch. touslësmarch. d'estampes. Hf ilHT'A-f 17 • d'un extérieur agréable, 'd'une
rit jamais, même dans les temps de sécheresse. fiilîliii.\llj
S'adresser pour les renseignemens dances, et un petit bois situé sur la rivière Yé- effet, le dimanche 27 avril 1856, heure de midi, excellente réputation, et très bonne santé, ayant;
1° Audit avoue poursuivant; S'adresser à MaGÉNiiV, notaire à Rosiéres-
MeGirauld, chasse et pêche, contenance de 30 ares 50
res

1° D'une belle maison de campagne, avec liSi I liHj I II? il Ll ilillli ET USUEL reçu une éducation supérieure, et appartenant à
£0 A Me Levesque, avoué colicitant,_rue Neu- £centiares;' aux-Salines.
écuries, bâtimens, cours et grand jardin en dé- participes présens "et des 8,000 participes une famille honorable, désire se marier à un
Te-des-Bons-Enfans, 1 3° Un petit corps da fermeavec parc entouré des B.OOO
rue pendant, letout situé, à Villemëtrie, faubourg passés de la langue-française, avec la solution de monsieur âgé de 70 à 85 ans, et possédant une
3o A M^Belaloge, fH~Vaj~IJ fT PAPifDESILLERY
Honoré, 19 1.
notaire,
• Grenelle-St- de murs
ou à un amateur
et d'espaliers, convenable
de culture. Contenance
à un fermier
10 hec-
de Senlis (Oise),
Saint-Leu
à 12 kilomètres-
(chemin de
des stations
fer du Nord)".
ET PARC
le
CHATEAU
^irT
tout.de 28. hec-
toutes les difficultés innérentes à chaque parti-
fort vol. in-
fortune
Mu« Alexandrine
de 40,' 00 fr. de rentes,
Zeftéire.poste
S'adr.,
restante,
franco,
à Caen,
à

4° A Me Fovart, rue Gaillon, deCreil etde Belles eaux vives, futaies, cipe, par beschereixe je, profr.Un
notaire, 1 20 tares 50 ares. Le bail expire cette année. Cette propriété, entourée de plusieurs jolies de Charaintru, com- r. delà Mon-
Et sur les lieux. » tares environ, au hameau 13. Franco, Tfr. 50. Chez l'auteur,
Le tout d'un revenu évalué 3,300 fr. maisons de campagne, offre un séjour et une
Six-départs
le chemin
par jour pour
de fer d'Orléans
Clioïsy-le-Roi,
même nombre
par
Mises à prix-
pour i s 3e lot, 50,000 f r. le tout 80,000 f
1« lot, 21,000 fr.; 2'° lot, 12,000 fr.; habitation des plus agréables. Son étendue su-
mune d'Epinay-sur-Orge
cinq minutes des stations
(Seine-et
de Savigny
Oise),
et
à vingt-
d'Epi-
naie, 21, et Dentu,libr., Palais-Royal, g. Vit",13.«
POUR CAUSEDE DÉPART VJ:
V~tn'RfttISIH'BYK'M'SMMT
un bonhôtel
r. 1 est de 3 hectares 18 ares. de fer d'Orléans). gèr, cfn désire vendre meublé ayant
le retour. Distanee.de la station à la propriété,- perficielle (chemin Compagnies d'Assurances. des maîtres
S'adresser à. M. Berdin, propriétaire, avenue Les stations deCreil' et de Saint-Leu corres- :.àsie notaire, 26 in03 et l'appartement de '4 pièces;
na-»-sur-Orge
S'adresser, à rParis lentaigne,
,2 kilomètres par les routes impériale et dépar- de Saint-Cloud, 16, barrière de l'Etoile, à partir avec Senlis, au moyen de services ré- bénéfices nets frais payés, 5 à 6,000 fr. par an; 1
pondent rue Neuve-Saint-Augustin, 60
tementale. r '•
'de 4 heures
Et à Brie, les dimanches et les lundis.
guliers
2° Et d'une
d'omnibus.
pièce de terre de la contenance;
^A M. Bouzemont,
#Et à Epinay-'sur-Orge,
avocat, r. de la' Victoire, -52;.
à Me.Lègros,,n6taire.
JCAISSE>DES.VEUVESCO^?E prix/
poste.–
17,000 fr., belle
M. Lemaire
position* près, la granda
Faubourg-Montmartrèi, 10
s ïs'ota.. Pour visiter la propriété, prendre le de 1 hectare 65 ares "49 centiares", 'longeant les Ce~ anonyaie l'impériale, 58, rue de Provence.
GRANDE'PIOPMIETÊaBEECY
- Adjudication en la chambre des notaires de ehemin de Lyon, billets" d'aller, et retour pour murs dujardin de ` la maison de campagne ci- Moyennant une prime minime, on paie à tou- nW-CTilTiB ftWT a .céder. Loyer.^OO fr.–

•Paris, par le ministère de ue seuert,


`
le mardi Brunoy, et correspondance
et II h. 10m. du matin; retour
pour
3
Brie
h. 30
à 8
m.
heures
et i h.
dessus désignée.
en deux lots et en-
•DOIAÎNE de la BRETOMMERl te femme,survivarït
décès de celui-ci, à
à son mari, dès le jour
survien-
du HEidlAUtlillltl
~ESTA~JRANT
Prix, 1,500 fr.
Affaires;80Affaires, 80
fc. fr. par
par jour.
22 avril 1856, à midi; La vente aura lieu d'abord près Coulommiei-s (Seine-et-Marne). Grande quelqu'époque qu'il
sur les mises à soit un capital déterminé, soit une M: Cerf, rue Croix-des-Petits-Champs, 25.
dite le pâté DE bkrcy, suite en masse, prix: maison' d'habitation, bâtimens d'exploitation, ne,
D'une grande propriété de. fr. rente Exemple Un mariage de. 30.
Pour la maison de campagne, 15,000 jardins, vergers, eaux vives, terres, prés-et bois. viagère.
sise à Bercy (Semé), sur le port et rue Grange- AVEC BATIMENS D'HABITATION ans assurer isafemme de. 20 ans dans
À vanves. Pour la pièce de terre, de 1,500 fr. Contenance, 54 hectares 60 centiares à' vendre. peut âgée
aux-Merciers. 4, contenant 10,500 mètres. tf
islilllillô
tu-IIS etd'exploitatsôn,
Saint- le cas où elle lui survivrait, une somme de Industries. Commerce. Inventions,
S'adresser pour les renseignemens S'adresser à Me lecomte, notaire, rue
Cette propriété est louée 15,000 fr. par an. La Etude de »ieBOissBL,-n.otàireà Paris, ru« Saint- le versement annuel de 19 fr.
résiliation du bail pourra avoir lieu six mois 1 Lazare, 93. lo A IIe Jules Themry, avoué poursuivant, Antoine, 214, et à Me Roy, avoué àCoulommiers.» 1,000 fr. par
rue du n. 16 c; Un mari âgé deyip ans, moyennant un
après l'adjudication, sans indemnité. Adjudication (même sar une seule enchère) demeurant
2° A M» Dufay,
à Senlis,
avoué
Ghâtel,
colicitant,
21;
demeurant versement annuel de 63 c, constituera au BOISSON ÉC0N0TOÏ]EB^TgÉ3
0MNBE s BELLE TERRE A
250,000 francs. le 22 avril 1856, en la chambre des notaires de autorisée du à
Mise à'prix
même sur une en deux au mêHie lieu, rue Saint-Hilaire, n. 10 profit de sa femme âgliKr. de 30 ans, pour le cas préfet de. police, admise l'Expo-
H y aura adjudication seule" Paris, par leministère duditMeBoissel, à lui de.,100 fr. sition universelle dé 1855.– Essence d'ê, Sprucefir
3o Et à M« Chartier, notaire audit Senlis, rue à à vendre â l'amiable. Cette terre est située 25 oùelle survivrait, une rente viagère
enchère. lots qui ne seront -pas réunis. de la sta- de Lecomte; pharmacien au Havre, pour préparer
Bsllon, dépositaire des titres et du cahier dès. kilomètres de Tours et à 8 kilomètres
S'adresser à Me Sebert, notaire à Paris, rue de De deux beaux Marais avec bâtimens d'habi- soi-même une Boisson saine, agréable," ne rève-
• et manè- charges.' tion du chemin de fer. Magnifique Château divers.
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complètement nulle leurs.
2%ures. Lgs affîûres étaient
92 75 75 5G fond» étransfara. de 13 10 a 8 heures. La Tente est restée de 78 .25 à 13 30. Les af-
ii ri. sur WSé/0 les cours se tenaient lourdement
«a ? -k :? « i:«i/9fl78 •* "(CDt e: -•-»-75 93..
937515 «.H
92 93.. 53 i ^S-i/2 0/0 français ancien. i^ • ^^S* | faires continuaient à se porter sur les actions de chemins
Caisses. 89
59.50 41j90iB.i. nov 91;1;9 97 tj2 1/2 73 20.
Hypothécaire. -.I.J. hausse. L'Orléans à 1325.
ISM Béchet îtg1 tio • •• ~.3 010. J. août 76
'« 1,'4li* • • •/• à peu la Rentaet t sese porte de fer, qui étaient en' forte
Bttt>;l«Emprimti855 ler Emprunt (çpt.. v -i »• •• • I" ••••••,•'•• Béchet ?0/0. J. aeflt. /• *78 La20 on délaisse peu
Dito.,
'J.Mmars .\finc. cgt '• •• ••:•• •• •• •••• spécu® ion de Chemins l'Ouest à 910. lo-Nord à 1040, Lyon à- 1855.
,i .ï -• • Banque de Barmstadt 4 730 21/20,0. ,· •/• |3 -•
~3 • •{• I .J. • •• avec une de frénésie sur .les actions
°* uatre-Canaux. lOBfl~·. =,spagne.Diff.30lAJ.jant .l. 73/R :é3~4 sô^e Les affaires ont été considérables sur toutes ces va-
~94~
passivenouvelle. ,••/• :,(
,1. toutes en forte hausse. Cependant, de-
Dfto.Se Empruntl8S5. (cpt.. •• •• •• .«• ..••••'0'" Jouissance
Jouissance 50.100 -100 f'% • • '•• de fer, qui éÉfflfet étaient recherchées à la
J. 22
1. 82 mars.flnc.
mars.. ftn c. Bon 3 passivenc 0103. Janvier cours.de la Rente se sont un peu leurs. Les actions d'Erquelinnes
ou.gogne
«3/* •
les
727°
•• 72 75 7i 65 ·
'« «i5 Jouissance ••
9M.
«5- • •• • •< Dette
30/Oj.janvier.
inter. J. janvier «1/2 puis,une den^neure clôture à 650..
TS90
799D 1890/8' (CDt ·I, ttt/2tl l· .j. repris de 15 à 18 39.
7310 13
x 35
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7320 J 99dé~ëmbre.lflnc,
15 ~'0/A
22
jept:.
485 Naples.Rec. Ri)tlisch.J.jan 113 '.o" II pàraSïifae la foule se portait ce matin
un c. 485
J. 18
.72'1.. 66 68 Centru
Centre Q~ ds 1- la
Su'ss' Suisse:
Suisse.. ~? ·, 485 Naptes.Rec.Rothsch,J.jan
Romain.Emp.J. p.J.décemb, décemb. ·I
91. 'Bf 1 'I. 113 l g
fer souscrire aux Pranefort, 211 1/4 à vue, £09 3/4 à 93 jours; Amsterdam,
pitp;1or Emprunt 1855 .)cpt:, Ouest Ouest de la
la Suisse.. de 1"
f010 5f5 1 gnie du de d'Orléans pour ooli-
J. 22
•• • · :· üaïti.Emu.fEl4.Imai.
"Romain.Em, cHîmin 211 3/4 à vue, 210 «/» à 90 j. Anvers, »»» à vue, »»» t
:r.~<SSS?")& 22 décembre.
décembre «. fin c:
{fine, c~ Grand'Combe ~E~ 790 ·
"fe^ônï î iinVie??f î". 1! 94 t9* • Bourbonnais, à 285 fr., rapportant
lationsuMavelles du à 90 Berlin, »»» »/» à 9G jouts; Hambourg, 188 »/»

88/0. J. janvier. «1 50 61 50
15 et remboursables â 500 fr.' tl jours;
TiU 10 Bito.Sfi Emprunt 1855. J cpt;. 4i 50 ixL B~ « 73 sn50
ï3 b0 nkb
73 80 r, MétaU«»rste. iiiih- · 470 à vue, 465 »/» à 90 j.
ï3 7380 ···~ · I 92:1· 1 à 1/2 à S@jours; Naples,
1371
7379 .10.IB J.93décembra
J.22décembre. .tflnc: \finc. i3 por g e,l. Ave Yron,· 5BAanglo-sarde:
Il frtf^BÈièt,
elilndent que togs 4e» capitaux qui choisissent ce vue, 185
7 Forges. Ave jrsn. *g» ..•••• • •• 5 810 anglo-sarde.y. 93 .
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3100
8700 900..ai» Bartquade
»^«*jm.K4ft>.w.I*°>- J: déa.-I cpt. 3969-- 555" 8~~ 899` 50 :-f: ::k de placement de la rente, pmsqu« 15 lr.
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Clâtillon · 555 iTi&^t.(!«892-5o
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M. ™ ^o Cavé. 70 99
92 IId l ré-
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i. janv.. duire cette se-maine le taux de son escompte.
t t 50 J.juiH.-50ef.-Libérés..taul5
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f.-Libér6s'. au 15 ).cpt. Mineo. Emprunt-Turc. J. avril.V- :(. 91 m • .J., -I- •/• r
de la Banque de France étaient demandées
H «i « >;()
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355.. 350
350. QbMgationa. Obligations.
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10Ï0 12 50 A'ôrdNora V
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I cpt.. c t lU25 }02» 1035
1035 f025
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770 77250 77A, 172.50 .Union des Gaz" '· 315.. uuën. J.janvier.·· 825'.
7A3 5A IA`. ~t~ .JcPt:. | harseiile, 5avril.-30/0àt- Jî 95 73 89 85
SB 8ii :ii Sp«; cherchées à 116 25. 821 25
AS f ;•: :{& J. sept. 935 r:; -Société autrichienne.. 5fl 25
jj«
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198 !J$ ~5 ~5 Havre 5 010
Les actions des Verreries ont varié de 111 25 a 113 75. -Lyon à, terme. 1330 -1300. 39 •
,880 90ü ~80' ·' Télé a P hie électri 4 ue 10 = A du. 985 Y85
88S 75 16 Oustt ..)cpt;, BBtj à 105, les Clippers à 82.50. 73 3» 45'
-Sî: 8:: 8:r«- «s au «75 la Stéarine se tenait français Boa»HAUi,.5avrU.-30/0àt. 73 75 43
mH 8-8 :o^vrù-5bSi:^éréà::iri5 g. •• |»j™ 7S x ::èïa • •• 1343 7o 1300 75.
. -• » mn œSE:
Palais de 1 Industrie 73 75 75 •-
125 ^feg/œ 30/O.J.janv «™
Le Gaz parisien a repris de 795 à 805. La Société atmos- Lyon.
763 75 7«3 75
Nord. J. j anv. 995 295 · -Midi à terme
890 drdennes, :) cpt.·. Comp. des Baux.J.janvier 240 a 110 et 111 25.. v 929
Paris à Lyon.'l. avril. 980 ..985985 : 5.. phérique '=' -.no Soeiétë autrich. à terme.
8:: -a:: :î»ôôf;^ô^éi{afi5 -2w f-1- au là «».«::
6n, Caisse«::«:: et JI des 'Uti. de fer.
g3ffiBasxAI.J3SS-a:: 585 585
8:: 925 .5
6w .~ev-Wf,~ ^.aJSffi:»:|" 28150 actions des Docks étaient calmes de 197 75 à 198.
Caisse centr. de l'Indust.. 142 50 14195 .i 2525 Id. 3 0j0.J.avi'tl. 2B15D · Les 93 93 1/8
îoo25 125 : p^'àsêJttïdéj: H? IS
Les chemins de fer autrichiens étaient lourds de 915 à 10RDM8, 5 avril. Cîonsôlidés 93 93 1/8
290 3 e/6 espagnol <6 45 1/2 1/2
6.%à
635 "g:'91675 rai.-I.
r^a«^.E.6.ï.révrier.icpt.• an 655 61i5.. 6G0
6611.. 655 ·. 6~ 75 Stecsràudrec[Indust"
.ompagnie des
de~ Omnibus.
Omnibus: 910
910..
li25° 910 Bcurbonnais.3 OJO.
de forts achats ont eu lieu à ces epurs. 85. 25/ ,/i
660 MO" S 6:5!« 917 50. Cependant, 3 0/0 différé.
651 b0 Graia5AA f:=95D C6nt payé8j v .)cpt·. au L5 65750
.1 50 661 65750 50 e g n. é des
C goitures de pl, .1t5 115 Strasbeur
6 àBàte, J, jaav. 4T5
excessivement 1015 1010 .5
9 5B. • Le marché de nos chemins de fer.était Ctom.de ter français. Nord.
compagnie des Omnibus. 9}Ô g» 50 i75 Ss 35 i* Est. 1605 16UO .a
.u," t gSyfflSSSŒSii:: -925ê 5 0 9107$:: .l, -iji- ^Vojo&iêf: animé. toutes les lignes ont pris
ȈG^w,jakvier,cpt.. au 15 655.. 8D0 805
655
8B0
658
»» 75
Ce ^&^lifâ]P/Oj"i^v'
3 010. 3. janvier janv..
475"
28U 2JU Presque part au. mou- nouv.. «35 .835
1'«S8.V'Sr75
80125 315
S75 ·: Cron*-C«ntraJ.-J.janv..lcpt..
b00 f.-350 payéa 669.. des Franco-Améncaine 588~ 580
de a été demandé a i350 et 1357 50. _• Orléans. 1325 1335
.H85. 25 Grand-éentral J, janv.. 290 75 290 •••,••; vement hausse Lyon
500I.-350 payés. i au 15 800.. 805.. 880.. «05 Comp.
Messageries Franco-Américaine
impena]ea.i~0 589' 588 a fait 129o 1309 1308
Bt5' :ï St-Aambert üGf·era e.j pt.. 50 `849 S0
9tA ·S Hh6ne. 38J0, J. )anvior. 2D0
4&5 Le Nord a montéàlOsO et 1035,, l'Orléans et Lyon
6q5 645 vienne, 5 avril. -5 0/8 86 7/8 86 3/4 ..1/8.
645
•«••l»- S J.ja<avier.·-5AOt~
J.ianvier.^f.-aoop.iauis ,?00 P· 1 au 15 645 650
650 «.,«• i G~ Avenir
^{
afrtcain:
|S?hèriciùe:
·r.'ue;
,«» 105 /ô 25 .M: 50J0.1. janvter
et il vient de monter tout à coup à 1325. Le Midi 2
545 « [««^W^ jm^ » 5A5*0 * «
290 » • I I! j2 «ô
50 1300, Mobilier autrichien 319. 329 1,2 10 1
540 ..l 3 8 )iéztm'a:J cpt.. 54Ù 545 540. ztéarine
stéarine (bougies)
(bougies) IOâ f05
105 Y à 660.
& eratowac 6rafs!er~ac 4 Béïï«r*{ cpt 540
545.. 515
550.. 540 545.. . M»., «g •• 105 ^^SSto^' -flmT «5 était à 775, le Yictor-Emmanuel Chemins autrichiens 259. 2«9.}/* .Il/*
545.. ».: J.wrUsOOf.-SiOt.pay.iaulS 285
985 2862525
98G 1 i'B !5 demandes considérables sont arrivées-des le de- Change BurPaiis. 119 JA« 119 1/4 i.
^«jg»^
«oiéte des deux "2.Cirques » «J £ gg I X KtoS^ô^llS!
v
Des sur Londres 10 03 10 02 01
917 50 917 50 915 1 de Manage à Er-
928.. : 5.. \ciumini autrichiens fppt..
50 820
|15
»20 •• • but sur les actions de la petite ligne
Berlin, 4 avrir. -i 1/2 113 1/8 113 1/8
923 5« 8 581 J .jaav.-500f. -225 payés au 15 917 ^15
''
REPORTS. auelinnes. TT
8 If»
1f8
Hontluçon à Moulins. cpt.. · PRIMES. avait fermé samedi à 580, on le demandait "•tfil:4 t/9. ?7?fS118
TT I ?if .(.
Ce chemin 5 3;8 98 3J8 J.
J. –250 payés.. au 15 77ZZ ~7 ï à à B00; et l'on a monté à Les ti- aamsu.ss, ayril.-d 1J9.
1 -13 5A à 73 i0 dt 50 73 05 'a 74 4 il\! un proch.. d'abord aujourd'hui 660. davsne; 5 avril:S i/9. 961l9 9B f;3 I
115
715,. 30)0 fln conrant. dt
•5 ,i.f;i:«,g.cpt* La lbste ·' o
Ë 1 ,350| 7370- » •• tres étaient très rares sur la place.. AMSïBBBÀM,4avril.-2 1/2. 63 5/8 63 5/16 ..5/18
30/Onn– 73 05 40-30 40 15 15.
15 1040 .= à 1035 au dt | g pg|
a
M>
Le Grand-Central est toujours lourd de 6d5 à 657 50, On KABRi9,3avril.38/0.
85 10
~Sceau». |cpt Nord. dt 15 au an 3131 à à Nord
Est,au au 15
f5 .a _' 3 8/0 différé. i. 85 10
15 aù 15 109G à f030 cette ligne.
e,a ueilftn c 620.. ^6«,
63A G50
650.. Strasbourg.dt
13T0 à 1:~8 au Si à craint un prochain appel de fonds sur
«. **g*»*»v&% «ïg de fer étaient calmes.
»;.». 375 ,«•• w*™
657 86 65T 50 660 dt15 au 15 1319 à 1335 au 31 i •• Lyea .au
tféditoranéo 15 15 à à
Les obligations 3 0> de chemins
«Mij»t SarO» yto#-B«manuel.[w.. 660.. Orléans
au 31 -670::
670 à 678 50 Orléans. au 15 .a la hausse de ces Paris. Imprimerie &BRR1ERE et C«, me MoBtnMrtre, ISS.
»7»1 J.i.150payés.aul5 ~75. 657 50 ~0. ï.
«60 ~6~6 25
656 657 50 Grand-Central
~ce~ dt la
15 auau 1515 680 à
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Les émissions nouvelles empêchent
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au 31 ..à. A Ouest.au
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