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ISMEO

CENTRE AFRICAIN D’ETUDES


SUPERIEURES EN GESTION

PROJET PROFESSIONNEL :
LPGEO 3 CREATION D’ENTREPRISE ET GESTION DES
PROJETS

Présenté par : Encadré par :


Mme DIOUF Thérèse Marcelle M. FALL I. MBoulé
INTRODUCTION

I- PRESENTATION DES ETUDES PREALABLES A LA FERME


1.1 Contexte Général du projet
1.2 Justification du projet
1.3 Les promoteurs
1.4 Etude du Marché

II – ETUDE TECHNIQUE
2.1 Fiche descriptif du projet
2.2 Présentation du projet
2.3 Processus de production
2.4 Besoins en infrastructures et équipement
2.5 Les ressources humaines
2.6 Le planning de production

III - ANALYSE FINANCIERE


3.1. Les investissements
3.1.1. Les frais de premier établissement
3.1.2. Les équipements
3.1.3. Matériel d’exploitation
3.1.4. Le Fonds de roulement
3.2. Le plan de financement
3.2.1 Les dépenses d’exploitation
3.2.2 Le chiffre d’affaires prévisionnel
3.2.3 Les tableaux financiers
a- amortissement techniques
b- amortissement de l’emprunt
c- comptes de résultats prévisionnels
d- Trésorerie
e- Echéancier des Flux Financier et TRI

CONCLUSION

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I - PRESENTATION DES ETUDES PREALABLES A LA FERME

1.1- Contexte général du projet

L’Afrique est une puissance démographique et qui le sera davantage dans les
années à venir. Donc, pour que le poids démographique ne soit une bombe qui lui
retombe dessus, l’Afrique doit, ce qui paraît une évidence, consacrer ses ressources
à créer les moyens et mécanismes qui permettent à sa population de satisfaire ses
besoins. C’est dans cet optique d’autosuffisance et pour un souci d’auto emploi que
nous sommes déterminés, dans le cadre de la politique de croissance de la
production des cultures céréalières et vivrières, à participer au programme dénommé
Grande Offensive pour l’Agriculture, la Nourriture et l’Abondance (GOANA) du
Gouvernement du Sénégal lancé depuis 2008. En effet, la GOANA articule 3 ²
<BGVcomposantes permettant d`assurer la mobilisation massive des acteurs
du secteur agricole et leur approvisionnement adéquat en facteurs s de production :

 Mise en synergie et amplification des programmes spéciaux et sectoriels


(maïs, riz, manioc, mil, sorgho, etc...)

 Appui à l`équipement et l`approvisionnement en intrants des exploitations


agricoles.
 Aménagement de Domaines Agricoles Partagés pour la mise à disposition
d`un foncier agricole suffisant et accessible.

A cela, il faut ajouter un environnement économique international difficile qui


engendré dans les pays, des problèmes économiques et sociaux sans précédent, à
tel enseigne que l’Etat jusqu’ici principal employer éprouve de plus en plus du mal à
faire face aux multiples demandes d’emploi.

1.2- But
C’est fort de tout ce qui a été mentionné ci-dessus que nous nous sommes résolus à
un retour à la terre par la mise en place d’une ferme agro-pastorale qui nous
permettra d’approvisionner le marché de la grande consommation à moindre coût et

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à temps mais aussi apporter notre contribution au redressement de l’économie de
notre pays.

1.3- Objectifs
 Changer de trajectoire en devenant acteur de notre vie pour la vivre telle
qu’on la perçoit de façon à valoriser nos talents et potentiels pour la
réalisation de nos aspirations et de nos rêves ;
 S’octroyer un revenu additionnel pour les membres du projet ;
 Valoriser la fonction de d’agriculteur et d’éleveur ;
 Améliorer la qualité de vie des populations
Par ailleurs, le projet se veut l’illustration parfaite de ce que les populations de la
localité en particulier et la jeunesse africaine en général peuvent tirer du travail de
la terre.

1.4- Les promoteurs :


Ce projet est constitué par trois étudiants qui ont voulu mettre en synergie leur
connaissance pour atteindre leurs objectifs. Il s’agit de :
 DIOUF Thérèse Marcelle
Formation : Licence professionnelle en gestion des projets
Poste : Coordinateur du projet
Responsable de la gestion et de la coordination des activités du projet, elle
veille, à ce titre, à ce que les moyens du projet soient utilisés avec le
maximum d’efficacité pour atteindre les objectifs en terme de résultats.

 DIOUF Philippe Joseph


Formation : BTS en Commerce International
Poste : Responsable Marketing
Il est l’autorité du Coordinateur du projet, il rend compte de toutes ses activités
soumises à sa responsabilité hiérarchique. Le Responsable de faire l’étude du
marché pour permettre à la hiérarchie de définir le plan d’action sur le marché
qui s’article autour du produit, de la communication, de la distribution et du
prix.

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DIOUF Michel Louis
Formation : Ingénieur Agronome
Poste : Agronome et Pastoraliste
L’Expert spécialisé en agronomie dépend du Coordinateur du projet et est
chargé de développer des modules de formation technique aux opérationnels
dans le domaine de la production agro-pastoral.

Les promoteurs conduiront eux-mêmes le projet. Chaque membre apportera sa


contribution pour l’ensemble des volets du projet. Le projet emploiera dont 4
techniciens d’appuis
pastorale

1.4 – Etude du marché

L'analyse du marché du projet agro-pastorale est faite à partir des sources


secondaires portant sur les études de la demande et de l'offre du marché de la
consommation de viande et fruits au Sénégal.

1.4.1 La demande nationale et les importations des produits d’élevage

En Afrique de l’Ouest, les habitudes alimentaires des populations sont en pleine


mutation, surtout en zone urbaine.

Dans la mégalopole de Dakar où le marché de la viande est en pleine explosion, on


assiste depuis quelques années à un changement dans les modes de consommation
des produits d’origine animale.

1.4.1.1 - L'analyse quantitative de la demande

Ces dernières années, la consommation de poulet augmente régulièrement, passant


de 19,5% à 27% entre 2000 et 2007, au détriment de la viande de boeuf dont la part
est passée de 49% en 2000 à 37% en 2007. Comme dans la plupart des pays, la
part des viandes blanches est en hausse, et au Sénégal, la population étant à 90%
musulmane, c’est la consommation de volaille qui progresse.

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Le porc et le poulet sont aussi les viandes les moins chères suivies du boeuf, le
mouton étant la viande la plus chère.

En somme, le niveau de consommation de viande à Dakar est encore très bas avec
à peine 13 kg/habitant/an contre une moyenne mondiale de 35 kg. Ce marché
semble cependant être dans une bonne dynamique si l’on considère l’accroissement
continu de la population, qui devrait entraîner un accroissement du niveau de la
demande.

1.4.2 - La demande nationale des fruits au Sénégal

Le Sénégal dispose d’atouts climatiques certains tel que la douceur du climat qui
permet un plus grand étalement de la production dans le temps comparativement
aux autres pays du Sahel. De plus, le pays bénéficie d’une bonne infrastructure
portuaire à Dakar.

La demande des fruits est constituée normalement par la consommation nationale et


les exportations. Compte tenu du fait que le Sénégal est importateur de fruits, alors
la composante exportation est presque nulle. Ainsi, la demande nationale peut être
assimiler à la consommation nationale.

1.4.2.1 - Analyse quantitative de la demande de fruits

L’essentiel de la production fruitière est assuré dans la région naturelle de la


Casamance et la région de Thiès. Cette zone du sud du pays est caractérisée par
une importante production de banane, d’agrumes et de mangue qui constitue 80 à 90
% de la production nationale.

En effet, deux groupes d’espèces se dégagent à ce niveau : les agrumes et les fruits
dits tropicaux (mangue, ananas, papaye, banane etc). Les fruits sont essentiellement
destinés au marché local mais occupent de plus en plus la place leader dans les
exportations avec un créneau de production très favorable pour la mangue.

Selon les statistiques de la Direction de l’horticulture, 1999 et 2000 les moyennes


annuelles de production se chiffraient à 145 000 tonnes de fruits dont 86 450 de
mangues, 35 500 d’agrumes et 16 250 de bananes.

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1.4.2.2- Analyse qualitative de la demande de viande

a) La nature de la clientèle

La rentabilité de toute activité commerciale est étroitement liée à l'abondance et à la


permanence de la clientèle. Les producteurs de viande ont une clientèle très variée
et essentiellement composée des :

- hôtels et restaurants ;

- magasins d'alimentation ;

- vendeurs de thé ou de café ;

- particuliers.

Cependant, les grands centres urbains de consommation sont d’une part les localités
de Dakar et Mbour du fait de la présence des fonctionnaires (nationaux et expatriés)
et des touristes européens en transit et d’autre part à Tambacounda où la viande est
plus accessible que le poisson.

1.4.2.3 - Analyse qualitative de la demande de fruits

a) La nature de la clientèle

La rentabilité de toute activité commerciale est étroitement liée à l'abondance et à la


permanence de la clientèle. Les producteurs de fruits ont une clientèle très variée et
essentiellement composée des :

- hôtels et restaurants ;

- magasins d'alimentation ;

- particuliers.

Cependant, face à l’importance de l’importation des fruits, la clientèle est très


exigeante et pousse les producteurs à mettre sur le marché local et international
mais aussi pour la transformation des fruits de qualité.

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1.4.3 - L'offre nationale de la viande et des produits fruitiers

Aussi bien à Dakar que dans les autres principaux centres urbains, la place de
l’élevage informel est très importante. Les quantités des produits ainsi
commercialisées sont difficiles à évaluer. Toutefois, l'offre des produits agropastoraux
comporte deux (2) principales composantes :

- l'offre extérieure ou importation;

- l'offre nationale ou production locale.

1.4.3.1 - L'analyse quantitative de l'offre

Au Sénégal, les activités de la filière viande sont principalement tournées vers


l’approvisionnement de Dakar, où se situe le plus grand centre d’abattage du pays.
En 2008, l’offre de viande à Dakar était constituée pour près de 2⁄3 de viande de
ruminants : 37% de boeuf, 27% de petits ruminants, 27% de poulet et 9% de
porc. Ainsi, en juin 2009, le prix moyen du kilogramme de poulet est de 1500 FCFA,
celui de boeuf de 2000 FCFA et celui de mouton de 2500 FCFA.

a ) Les importations et production locale de la viande

Depuis 2000, la part des importations de viande dans la consommation totale n’a
cessé de croître, jusqu’à l’apparition de la grippe aviaire qui a contraint le
gouvernement sénégalais à interdire les importations des viandes de volailles dès
novembre 2005. Aujourd’hui, l’essentiel de la viande est produite localement
(Sénégal et pays de la sous-région), les importations représentant moins de 10% de
l’offre totale.
D’autres produits ont pourtant échappé à cette concurrence : c’est le cas des œufs,
de la viande rouge, pour lesquels la production locale est au premier plan pour
l’approvisionnement des villes.

b) Les importations et production locale des fruits

La production nationale de fruit ne suffit pas à subvenir à la demande du Sénégal. Le


pays importe principalement la mangue, la banane, l’orange, la noix de cola et la
noix de coco en provenance des pays de la sous - région.

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II - ETUDE TECHNIQUE

2.1. Fiche descriptif du projet

Domaine d’activités : Secteur primaire : Verger combiné à l’élevage

Promoteurs du Projet : Thérèse Marcelle Diouf, Philippe Joseph Diouf, Michel Louis
Diouf

Localisation : Ndoffane dans la Communauté Rurale de Nguèniène

Pays/Région : République du Sénégal/ Région de Fatick

Coût du projet : 8.000.000 de FCFA

Différents apports Montant


Emprunt 5.000.000
Thérèse Diouf 1.000.000
Philippe Diouf 1.000.000
Michel Louis Diouf 1.000.000

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2.2. Choix du site et Présentation du projet

D’une superficie de 4 hectares, la ferme se situe dans la Communauté Rurale de

Ndoffane (région de Fatick) à 10 km de la route nationale n° 2. Dans cette localité, la

nappe phréatique est à moins de 5 mètres d’où l’accessibilité facile à l’eau qui est

indispensable pour la réalisation de ce projet.

C’est ainsi que les 4 hectares des terres seront répartis comme suit :

 3 hectares pour les quinze mille (15.000) plants des différentes espèces

fruitières qui ont été choisis pour leurs vertus mais sont des plantes cultivé

dans les régions chaudes du globe ;

 1 hectare pour les 100 volailles, les 50 cochons, les 50 ovins, les puits et une

maison de trois chambres pour le personnel opérationnel qui sera basé à la

ferme.

Il s’agira pour les promoteurs d’exploiter un verger d’espèces fruitières. L’exploitation


se fera dans une zone de 3 hectares, située à une dizaine de kilomètres de Fadiouth.
Toutes les espèces fruitières sont des arbres qui sont cultivés dans les régions
tropicales et regorgent de vertus thérapeutiques.
- Le papayer est un arbre fruitier, originaire d’Amériques centrale, qui s’est
propagé par la culture dans la plupart des régions tropicales. Son fruit, la
papaye est une baie ovale, grosse comme un melon ; Ses graines sont
utilisées pour soigner les éruptions d’urticaires et les problèmes de peau.
- L’anacardier a été découvert au Brésil par les portugais puis introduit dans
leurs colonies d’Afrique et d’Asie. Son bois est utilisé comme combustible, ses
cendres comme engrais et ses fruits pour l’alimentation. Les vertus
thérapeutiques des nombreux dérivés de cet arbre, la noix, les feuilles,
l’écorce sont nombreuses et figurent dans les pharmacopées africaine et
amazonienne.
- Après la banane, la mangue est le fruit tropical le plus consommé dans le
monde. Les consommateurs apprécient son goût sucré de même que sa chair
orangée juteuse. Dans plusieurs pays du globe, on a recours à la mangue en
médecine traditionnelle. En Occident, les scientifiques lui consacrent de plus

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en plus d’attention en raison de son haut potentiel antioxydant. Les
antioxydants sont des composés ayant la capacité de protéger les cellules du
corps des dommages causés par les radicaux libres. Ces molécules très
réactives sont fabriquées naturellement par l’organisme d’autant plus lorsqu’il
est exposé de façon prolongée au soleil, à la pollution et à la fumée du tabac.

2.3. Processus de production


2.3.1 – Volet verger
a) Le système de production
La superficie totale des terres emblavées est de 3 hectares. Les variétés ciblées sont
le manguier, l’anacardier, le papayer. L’occupation du terrain est de 360 jours.
Les rendements varient entre 7 à 8 tonnes par hectare.
Ainsi pour une exploitation de 3 hectares, le projet devrait produire en moyenne 22,5
tonnes de fruits. Ce niveau de production pourra être atteint si et seulement si, les
techniques d’exploitation d’un verger sont respectées.

b) Les Techniques d’exploitation


 Plants
Le repiquage des plants peut se faire tout au long de l’année et il faudra repiquer
5000 plants par hectare qui seront espacés de 1 à 2 mètres.
 Entretien
En guise de fumure d’entretien, il faudra pour 1 ha de plants, 100kg d’engrais
minéral.
 Cueillette
Elle se fera à partir de la troisième année après le repiquage en tenant compte de la
période de ramassage de chaque espèce.

2.3.2 – Volet élevage


La croissance démographique du Sénégal est très forte particulièrement dans les
zones urbaines et semi urbaines. Cela se traduit par une augmentation des besoins
alimentaires.
La structure de consommation des ménages révèle qu’une grande majorité d’entre
eux mange très peu de viande. Les raisons invoquées tiennent généralement à la
faiblesse de l’offre et du pouvoir d’achat. Dès lors, il importe de produire cette denrée

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dans des conditions qui permettent de l’offrir sur le marché à des prix acceptables.
Cela passe par une augmentation importante des quantités mises sur le marché.

a) Achat du bétail et de la volaille


Les promoteurs se proposent de d’acheter 50 ovins et 50 porcs par an d’au moins 2
ans dans les marchés hebdomadaires de la zone du projet et devront au bout de la
troisième année d’alimentation améliorée, gagner suffisamment de poids pour être
vendus sur le marché à un prix qui équivaut au moins 2 fois leur coût d’acquisition et
100 volailles qui seront renouvelées selon les besoins du marché.

b) Alimentation
Pour obtenir un bon niveau de prix, le promoteur veillera à assurer aux animaux une
bonne alimentation. Celle-ci devra être à base de son blé et de fourrage.
Le son est disponible aux grands moulins de Dakar à raison de 5200 F le sac de 40
kg. Les besoins sont estimés à 1 kg par tête et par jour pour les ovins et porcs et 500
grammes pour la volaille.

c) Suivi vétérinaire
Les promoteurs devront non seulement soigner les sujets malades mais également
les entretenir et les protéger contre les intempéries. Pour se faire, nous utiliserons
des déparasitants, des vitamines, des antibiotiques, des vaccins.

2.4 – Besoins en infrastructures et équipement


En effet, la réalisation de ce projet nécessite beaucoup de ressources financières,
matérielles, et humaines qui sont résumées ci-après.

2.2.1- Volet exploitation d’un verger


Les activités à mener en terme de production agricole dans ce projet, conçu sur une
superficie de trois hectares, seront diverses. Nous allons développer avec l’appui de
deux techniciens certaines espèces fruitières telles que le papayer, le manguier,
l’anacardier, agrumes qui sont très prisées par la population sénégalaise pour leurs
vertus nutritives et médicinales.
Il sera donc nécessaire de recourir à l'arrosage pendant la période sèche, donc avoir
un puits et un système d’irrigation aux gouttes aux gouttes.

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Intrants
Pour promouvoir de telles activités, il est nécessaire de disposer :
 de plants de qualité;
 de matériels de jardinage pour l'entretien, la protection des plants et la clôture de
la ferme ;
 Des produits phytosanitaires.

Extrants
 Des variétés de fruits ;
 revenus substantiels pour compléter ceux obtenus de nos activités principales ;
 des compléments nutritionnels pour les populations mais aussi créer un réseau
de distribution pour les grandes surfaces et restaurations (hôtellerie &
restaurants).

Cibles
Il s’agira de travailler avec deux techniciens d’appuis, que l’on formera pour leur
permettre plus tard d’avoir leurs propres parcelles et de développer l’expérience de
petit fermier.
Les différentes productions peuvent être commercialisées grâce aux études de
marché réalisées par le Responsable Marketing.

Budget d'investissement pour le verger

Poste de dépenses Montant de la dépense Coût Total (FCFA)


par an (FCFA) sur 5 ans

Plants 100 000

Achats de produits
phytosanitaires 100 000 500 000

matériel de jardinage, dont le kit 1 000 000 1 000 000


pour le goutte à goutte

Développement d’un compost 300 000 1.500 000

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Clôture de protection (grillage 300 000 300 000
ou barbelés) forfait

Forage des puits 300.000 300.000

Salaires pour deux techniciens 600 000 3 000 000


d’appuis

Total 2 200 000 FCFA 6 700 000

2.2- Volet élevage


Parallèlement à l'activité horticole, nous introduirons l’élevage. Il sera
spécifiquement orienté vers un type de bétail particulier (ovine, porcine et volaille) qui
seront engraissés dans le but d'en faire de la viande (embouche).

Intrants
Les intrants du projet sont assez limités .Il s'agira de bêtes à engraisser (moutons,
porcs et volailles), de petits matériels d'entretien comme (les seaux, les mangeoires,
et les abreuvoirs), des enclos, poulaillers et au besoin de quelques médicaments et
compléments alimentaires.

Extrants
Disposer de bêtes suffisantes, nourries et destinées à la vente à la fin de chaque
cycle.
Créer un réseau de distribution dans les grandes surfaces et restaurations (hôtellerie
& restaurants).

Processus de production
L’acquisition des ovins, des porcins, des volailles sera en fonction de la période
favorable (saison sèche). La vente de ceux ci dépendra du niveau du prix et du
marché. Cependant la préférence serait la période des fêtes religieuses.

Cibles
Il s'agira de faire travailler avec 2 personnes pour un meilleur rendement de
l’engraissage, un technicien pour la logistique technique et d'un vétérinaire pour un

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suivi médical.

Budget d’investissement pour l’élevage

Postes de dépenses Montant de la dépense Total FCFA / 5 ans


par an
a) Embouche ovine
- Acquisition d’ovins (50) 1.000.000 5.000.000

- Compléments alimentaires et soins


vétérinaires (forfait) 200.000 1.000.000

- techniciens 600.000 3.000.000

S/Total 1.800.000 9.000.000

b) Embouche porcine
- Acquisition de porcs (50) 250.000 1.250.000

- Aliments (forfait) 600.000 3.000.000

- Soins vétérinaires (forfait) 100.000 500.000

S/Total 950.000 3.750.000


c) Volailles
- Acquisition de volailles 40.000 200.000

- Aliments (forfait) 720.000 3.600.000

- Vaccins (forfait) 25.000 100.000

S/Total 785.000 3.900.000

Salaires de deux techniciens d’appuis 600.000 3.000.000

Budget Total 4.135 .000 19.650.000

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2.5 – Les ressources Humaines
Le projet compte recruter le personnel suivant :
Désignation Nombre Formation
Coordinateur du Projet 1 Licence en gestion des projets
Responsable Marketing 1 BTS en Commerce
international
Agronome et pastoraliste 1 Diplôme d’ingénieur agricole
Ouvriers permanents 4 néant
saisonniers 10 néant

III – ANALYSE FINANCIERE DU PROJET


Les besoins de financement du projet couvriront les frais de premier établissement,

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les équipements, le matériel d’exploitation et le fonds de roulement pour l’ensemble
des volets du projet.
3.1 – Les investissements
3.1.1 – Les frais de premier établissement
Il s’agit de dépenses consenties à la mise sur pied du projet. Elles s’élèvent à
50.000 F CFA.
3.1.2 – Les équipements
Il s’agit de dépenses consenties :
 à la construction de 3 abris pour le personnel opérationnel
 au fonçage de deux puits de 8 m de profondeur
 à la construction de trois étables de 100 m²
 à la construction d’une clôture de protection
 à l’acquisition d’un kit pour le goutte à goutte
 à l’achat du matériel d’exploitation
 à la constitution d’un fonds de roulement
 à la construction d’un bassin d’eau de 65 m 3

Coûts des équipements

Désignation Quantité Coût en F CFA


Abri pour personnel opérationnel 3 200.000
Puits 2 150.000
Etables 3 150.000
Clôture de protection 1 300.000
Kit pour le goutte à goutte 1 500.000
Bassin d’eau 1 75.000
Sous total 1.375.000

4.1.3 – Matériel d’exploitation


Le projet se dotera de petit matériel d’exploitation. Le projet prévoit aussi l’acquisition
de quelques arrosoirs afin de se prémunir contre d’éventuelles défaillances du
système de goutte à goutte. Le matériel sera ainsi composé :

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Coût du matériel d’exploitation

Désignation Quantité P.U Coût en FCFA


Pelle 2 4 000 8 000
Fourche 2 3 000 6 000
Couteau 4 1 500 6 000
Brouettes 3 14 000 42.000
Bidon 25 L 4 1 000 4 000
Abreuvoir 10 5 000 50 000
Mangeoire 10 5 000 50 000
Torche 3 1 000 3 000
Seaux 10 700 7 000
Sous Total 176 000

4.1.4 – Le Fonds de roulement


Le fonds de roulement est l’ensemble des coûts variables permettant aux promoteurs
de conduire les activités du projet.
Il s’établit ainsi qu’il suit :

A) Volet verger

Poste de dépenses Montant de la dépense Coût Total (FCFA)


par an (FCFA) sur 5 ans
Plants 100 000 100 000
Achats de produits 100 000 500 000
phytosanitaires
Développement d’un compost 100 000 500 000
Salaires pour deux techniciens 300 000 1.500 000
d’appuis

Total 800 000 2.600 000


B) Volet élevage

Postes de dépenses Montant de la dépense Total FCFA / 5 ans


par an

a) Embouche ovine
- Acquisition d’ovins (50) 1.000.000 5.000.000

- Compléments alimentaires et soins


vétérinaires (forfait) 200.000 1.000.000

- techniciens 300.000 1.500.000

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S/Total 1.500.000 7.500.000

b) Embouche porcine
- Acquisition de porcs (50) 250.000 1.250.000

- Aliments (forfait) 400.000 2.000.000

- Soins vétérinaires (forfait) 50.000 250.000

S/Total 700.000 3.500.000

c) Volailles
- Acquisition de volailles 40.000 200.000

- Aliments (forfait) 720.000 3.600.000

- Vaccins (forfait) 5.000 25.000

S/Total 765.000 3.575.000


Salaires de deux techniciens d’appuis 300.000 1.500.000

Total 3.265.000 16.075.000

Total fonds de roulement …………………………………18. 675.000 FCFA

+Synthèse des besoins d’investissements


Désignation Coût en FCFA
Frais de premier établissement 50.000
Equipements 1.375.000
Matériel d’exploitation 176.000
Fonds de roulement 18.075.000
Total 19.676.000

4.2. Le plan de financement


Le schéma du financement s’établit ainsi qu’il suit :

19
 Coût du projet : 19.676.000 FCFA
 Emprunt : 5 000 000 FCFA
Durée : 5 ans
Différé : 1 an
Taux d’intérêt : 5%
 Fonds propres : 3 000 000 FCFA

4.3 – Détermination des recettes et charges d’exploitation


4.3.1 – Recettes
A) Volet verger
- Mangues
400 F x 8000 kg = 3 200 000 FCFA
- Anacardes
400 F x 8000 kg = 3 200 000 FCFA
- Papayes
600 F x 8000 kg = 4 800 000 FCFA
B) Volet élevage
- recettes ovins
50 000 F x 50 = 2 500 000 FCFA
- recettes volailles
3000 F x 90 x 2 rotations = 360.000 FCFA
- recettes porcs
20.000 F x 50 = 1.000.000 FCFA
Total recettes d’exploitation………………………… 15.060.000 FCFA
4.3.2 – Charges
A) Volet Verger

Poste de dépenses Montant de la dépense par an


(FCFA)
Plants 100 000
Achats de produits phytosanitaires 100 000
Développement d’un compost 100 000
Salaires pour deux techniciens d’appuis 300 000

Total 600 000

B) Volet élevage

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Postes de dépenses Montant de la dépense /an

b) Embouche ovine
- Acquisition d’ovins (50) 1.000.000

- Compléments alimentaires et soins


vétérinaires (forfait) 200.000

- techniciens 300.000

S/Total 1.500.000
b) Embouche porcine
- Acquisition de porcs (50) 250.000

- Aliments (forfait) 400.000

- Soins vétérinaires (forfait) 50.000

S/Total 700.000

c) Volailles
- Acquisition de volailles 60.000

- Aliments (forfait) 720.000

- Vaccins (forfait) 5.000

S/Total 785.000
Salaires de deux techniciens d’appuis 300.000

Total 3.285 .000


Provisions pour charges diverses 200.000 FCFA
Total des charges d’exploitation……………………….3.885 000 FCFA

4.4- Tableau d’amortissement de l’emprunt


Années Capital dû Intérêt 5% Amortissement Annuité
restant
1 5 000 000 0 0 0
2 5 000 000 250 000 1 000 000 1 250 000
3 4 000 000 200 000 1 000 000 1 200 000
4 3 000 000 150 000 1 000 000 1 150 000
5 2 000 000 100 000 1 000 000 1 100 000
6 1 000 000 50 000 1 000 000 1 050 000

4.5- Amortissement des investissements

21
Désignation Coût en Fcfa Durée de Coût
vie (an) amortissement
Abri pour personnel opérationnel 300.000 10 30 000
Puits 150.000 10 15 000
Etables 150.000 10 15 000
Clôture de protection 300.000 5 60 000
Kit pour le goutte à goutte 1.000.000 5 200 000
Bassin d’eau 100.000 10 10 000
Matériel d’exploitation 176.000 5 35 400
Total 365. 400

22
4.6 – Comptes de résultat prévisionnels

Libellés Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5 Année 6

Recettes Mangues 0 0 3 200 000 3 200 000 3 200 000 3 200 000

Recettes Anacardes 0 0 3 200 000 3 200 000 3 200 000 3 200 000

Recettes Papayes 0 0 4 800 000 4 800 000 4 800 000 4 800 000

Recettes ovins 2 500 000 2 500 000 2 500 000 2 500 000 2 500 000 2 500 000

Recettes volailles 360 000 360 000 360 000 360 000 360 000 360 000

recettes porcs 1 000 000 1 000 000 1 000 000 1 000 000 1 000 000 1 000 000

Recettes d'exploitation 3 860 000 3 860 000 15 060 000 15 060 000 15 060 000 15 060 000

Plants 100 000 20 000 20 000 0 0 0


Achats de produits 100 000 100 000 100 000 100 000 100 000 100 000
phytosanitaires
Développement d'un 100 000 100 000 100 000 100 000 100 000 100 000
compost
Achats d'ovins 1 000 000 1 000 000 1 000 000 1 000 000 1 000 000 1 000 000
compléments alimentaires 200 000 200 000 200 000 200 000 200 000 200 000
et soins
Achats de porcs 250 000 250 000 250 000 250 000 250 000 250 000
Aliments 400 000 400 000 400 000 400 000 400 000 400 000
Soins vétérinaires 50 000 50 000 50 000 50 000 50 000 50 000
Achats de volailles 80 000 80 000 80 000 80 000 80 000 80 000
Aliments 720 000 720 000 720 000 720 000 720 000 720 000
Vaccins 5 000 5 000 5 000 5 000 5 000 5 000
provisions pour charges 200 000 200 000 200 000 200 000 200 000 200 000
diverses
Charges d'exploitation 3 205 000 3 125 000 3 125 000 3 105 000 3 105 000 3 105 000
Valeur Ajoutée 655 000 735 000 11 935 000 11 955 000 11 955 11 955
000 000
Charges personnel 300 000 300 000 300 000 300 000 300 000 300 000
Excédent brut 355 000 435 000 11 635 000 11 655 000 11 655 000 11 655 000
d'exploitation
Amortissement matériel 35 400 35 400 35 400 35 400 35 400 35 400
(1)
Résultat d'exploitation 319 600 399 600 11 599 600 11 619 600 11 619 600 11 619 600
Frais financier 0 250 000 200 000 150 000 100 000 50 000
Amortissement emprunt 0 1 000 000 1 000 000 1 000 000 1 000 000 1 000 000

Résultat Financier 319 600 -850 400 10 399 600 10 469 600 10 519 600 10 569 600
Impôt sur le revenu (17%) 54 332 -144 568 1 767 932 1 779 832 1 788 332 1 796 832
Résultat net (2) 265 268 -705 832 8 631 668 8 689 768 8 731 268 8 772 768
Cash Flow (1) +(2) 300 668 -670 432 8 667 068 8 725 168 8 766 668 8 808 168

4.7 – Plan de trésorerie


Années
Rubrique 1 2 3 4 5
Ressources
Capital 3 000 000
Emprunts 5 000 000
Cash flow 300 668 -670 432 8 667 068 8 725 168 8 766 668
Total ressources 8 300 668 - 670 432 8 667 068 8 725 168 8 766 668
Emplois
Investissements 2 176 000 176 000 176 000 176 000 176 000
Fonds de roulement 4 065 000 - - - -
Remboursement
emprunt - 1 250 000 1 200 000 1 150 000 1 100 000
Total Emplois 6 241 000 1 426 000 1 376 000 1 326 000 1 276 000

Trésorerie
disponible 2 059 668 - 2 096 432 7 291 068 7 399 168 7 490 668
Trésorerie cumulée 2 059 668 - 36 764 7 254 304 14 653 472 22 144 140

4.8 – Analyse de la rentabilité


Les comptes d’exploitation prévisionnels ont été établis sur une période de six (6) ans
avec les hypothèses suivantes :
 superficie constante ;
 mêmes espèces fruitières les années suivantes ;
 prix constants ;
 rendements moyens ;
 charges maximales.

10 399 600 x 100 = 53 %


19 676 000

Taux de rentabilité de la 3ème année d’exploitation atteste de la viabilité du projet et


de la capacité des promoteurs à rembourser le crédit octroyé.

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Calcul des valeurs résiduelles
Valeur
Rubriques Montant Durée (an)
Résiduelle
Abri pour personnel
opérationnel 300 000 10 150 000
Puits 150 000 10 75 000
matériel d'exploitation 176 000 5 0
Etables 150 000 10 75 000
Clôture de protection 300 000 5 0
Kit pour le goutte à goutte 1 000 000 5 0
Bassin d'eau 100 000 10 50 000
TOTAL 2 176 000 350 000

Calcul du Fonds de Roulement

Année 1 Année 3
Rubriques Montant initial (50%) Année 2 (50%) (100%)
Plants (6mois) 100 000 25 000 25 000 50 000
Acquisition de 50 porcs (4 250 000
mois) 41 667 41 667 83 333

Acquisition de volailles (4 60 000


mois) 10 000 10 000 20 000

Acquisation de 50 ovins (4 166 667


mois) 1 000 000 166 667 333 333
Salaires (3 mois) 1 600 000 200 000 200 000 400 000
Total besoins 3 010 000 443 333 443 333,33 886 667
Dotation FDR 443 333 - 443 333

Fonds de Roulement 886 667 FCFA


Coût du projet 3 062 667 FCFA

Calcul du Chiffre d'affaire Globale


Intitulés Quantité (kg) Prix (fcfa) Total
Mangues 8 000 400 3 200 000
Anacardes 8 000 400 3 200 000
Papayes 8 000 600 4 800 000
Sous total 11 200 000
Intiulés Nombres Prix Total
ovins 50 50 000 2 500 000
volailles 200 3 000 600 000
Porcs 50 20 000 1 000 000
Sous total 4 100 000
TOTAL 15 300 000

ECHEANCIER DES FLUX FINANCIERS

ANNEES 0 1 2 3 4 5

25
INTITULES
Dépenses d'exploitation
Acquisition de volailles 0 30 000 30 000 60 000 60 000 60 000
Acquisition d'ovins 0 500 000 500 000 1 000 000 1 000 000 1 000 000
Acquisition de porcs 0 125 000 125 000 250 000 250 000 250 000

Coompléments alimentaires
et soins vétérinaires 0 685 000 685 000 1 370 000 1 370 000 1 370 000
Vaccins (forfait) 0 2 500 2 500 5 000 5 000 5 000
Salaires 0 800 000 800 000 1 600 000 1 600 000 1 600 000

Sous total dépenses


d'exploitation 0 2 142 500 2 142 500 4 285 000 4 285 000 4 285 000

Immobilisations et
Renouvellement 2 176 000
Dotation en FDR 443 333 443 333
Total Dépenses 2 619 333 2 142 500 2 585 833 4 285 000 4 285 000 4 285 000
Recettes d'exploitation
Chiffres d'affaires 7 650 000 7 650 000 15 300 000 15 300 000 15 300 000
Reprise/FDR 886 667
Valeur Résiduelle 350 000
Total recettes - 7 650 000 7 650 000 15 300 000 15 300 000 16 536 667
-
Flux financiers annuels 2 619 333 5 507 500 5 064 167 11 015 000 11 015 000 12 251 667

Flux financiers annuels -


cumulés 2 619 333 2 888 167 7 952 333 18 967 333 29 982 333 42 234 000

Coefficient d'actualisation
(20%) 1 1,2 1,44 1,728 2,07 2,49

Flux financiers annuels -


actualisés à 20% 2 619 333 4 589 583 3 516 782 6 374 421 5 312 018 4 923 670

F.F.A. actualisé à 20% -


cumulé VAN 20% 2 619 333 1 970 250 5 487 032 11 861 454 17 173 471 22 097 142

Coefficient d'actualisation
(30%) 1 1,3 1,69 2,197 2,86 3,71
-
FFA actualisé à 30% 2 619 333 4 236 538 2 996 548 5 013 655 3 856 658 3 299 730

FFA actualisé à 30% -


cumulés VAN 30 % 2 619 333 1 617 205 4 613 753 9 627 408 13 484 066 - 16 783 796

V – ANALYSE ECONOMIQUE

Au terme de l’étude, les différents résultats dégagés par l’analyse financière paraissent

26
satisfaisants.

Les comptes d’exploitation prévisionnels tout comme les autres résultats (résultats
financiers et résultats net) font apparaître des résultats positifs dès la 3 ème année. A cet
effet, le projet pourra accroître voire diversifier ses activités après la phase de
remboursement.

Les avantages sont également d’ordre social avec la création d’emplois et l’amélioration
du niveau de vie des populations des localités d’approvisionnement

27

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