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Ce mémoire est issu d’une recherche que j’ai commencée en 2017 concernant le

master 1. Pour le travail rendu et soutenu en septembre 2018 je me suis occupé des
représentations du narcotrafiquant dans la littérature mexicaine contemporaine. Dans
le texte que vous avez sous les yeux, j’ai voulu élargir l’objet de l’étude donc j’ai
décidé de traiter la violence, également, dans la littérature mexicaine de nos jours.
Pour cela, j’ai pris le roman, Tabajos del Reino, de Yuri Herrera, et La muerte me da,
écrit par Cristina Rivera Garza.
J’ai choisi la vision de la chercheuse argentine Rita Laura Segato comme
positionnement théorique et prisme de lecture. Ce choix s’explique grâce au travail
sur la violence, effectué par Segato, à la lecture de quelques-unes de ses œuvres
dans le cadre du master et aussi et à un intérêt personnel pour faire appel surtout à
des auteurs latinoaméricains. En resumé, elle considère que la violence est un
mécanisme inhérent à une structure fonctionnelle hiérarchiquement disposée par un
mandat de masculinité.
J’ai exposé une typification des violences, celle qui est acceptée par Segato (et
Reguillo). Elles envisagent plusieurs types de violences puisqu’elles considèrent
insuffisant de parler de la violence au singulier :
Il existe la violence structurelle (violences liées aux conséquences et aux effets
des systèmes qui opèrent sur les exclus. La violence historique (celle qui frappe les
groupes considérés anormaux) qui a ses racines dans une justification de longue
date. La violence disciplinante, celle qui s’exerce pour soumettre, moyennant, la
punition exemplaire aux autres. La violence diffuse, il s’agit de cette violence
gazeuse issue d’entités fantasmagoriques et qui ne suit pas un patron
compréhensible. De ces quatre formes de violence ressortent la violence utilitaire ou
instrumentale et la violence expressive. Cette dernière fait référence à l’exercice de
ces violences dont le sens semble centré dans l’exhibition d’un pouvoir total et
incontestable. La violence utilitaire, au contraire, a des fins lisibles et
appréhensibles depuis l’expérience.
Nonobstant, je mets un question cette typification car arbitraire. Pourquoi classer la
violence en 6 catégories. Ces catégories pourraient s’appliquer à n’importe quel
comportement humain. Ces typologies se révèlent peu satisfaisantes puisqu’elles se
constatent et se rachètent à travers de la théorie qu’elles-mêmes soutiennent. Ici, je
trouve une constante dans les sciences humaines au présent. La pullulation de
théories invérifiables mais acceptés en fonction des applaudissements et citations
récoltés par la théorie d’origine.
Ceci fait partie des difficultés que j’ai rencontrées. Je dirais qu’il s’agit plutôt des
questionnements de caractère ontologique. Ce qui ne m’a pas aidé au moment
d’établir une méthodologie tout à fait structurée. Surtout, je sais que la formulation
de ma problématique n’est pas évidente. Je souhaitais mettre en évidence la
manière dont la littérature mexicaine saisie la violence médiatisée et la transforme.
C’est-à-dire, la manière dont la littérature représente la violence. Une difficulté très
spécifique, pourtant, essentielle, a été l’abordage du roman de Cristina Rivera Garza.
Malgré le peu d’empathie que j’ai pu avoir pour cet œuvre, j’ai voulu l’analyser en
raison de sa construction et ses intentions qui servaient à développer l’analyse sur la
violence.
Alors, la problématique est, dans quelle mesure la littérature se nourit-elle des
représenations médiatiques de la violence ?
Mon travail a consiste à developper

qu’essaie de dérouler ce travail est cet le du traitement de la violence dans la


littérature mexicaine de nos jours.
Comme conclusion, je considère que la plus visible est qu’il y a certes une
représentation répandue de la violence par les médias et les secteurs officiels. Même
si les écrivains ont voulu se détacher des constructions institutionnelles, ils les ont
pris en compte. Ce qui contribue à perpétuer le paradigme, de ce paradigme.

Quand ils essaient de les éviter,

Malgré les difficultés

C’est un roman abstru qui n’est pas abordable pour

Son abord est….

est-ce que vous savez comment se passe la soutenance?


Vous vous souvenez de l'année dernière, c'est la même chose :
1) vous dites comment vous êtes arrivés au sujet et les difficultés rencontrés.
2) vous reposez votre problématique et ses conclusions
3) vous parlez des imperfections de votre travail : ici clairement, on vous dira que la problématique manque de
clarté et que l'analyse littéraire n'est pas assez poussée. Donc ayez la réponse.
4) vous annoncez ce que vous voulez faire de votre m2, c'est à dire ce que vous vous faire par la suite : il y a un
volet qu'on appelle "valorisation de la recherche". Vous devez nous rendre (au jury) le jour de la soutenance, 2
pages qui indiquent comment vous voulez valoriser votre travail (un article, un thèse, un débouché professionnel,
une intervention type conférenc egrand public, etc)

je vous invite à soigner cette soutenance car si vous envisagez une thèse, il ne faut pas que vous ayez moins de
m14 au mémoire et la soutenance peut faire remonter la note.

Arrivez avec le mémoire en main, une présentation rédigée, en français, mais que vous ne lirez pas. Faites un
effort de clarté et de structuration, vous en êtes capable.

Mais il faut : 1) préciser la problématique. Que voulez vous démontrer des rapports entre littérature et violence
avec les deux romans choisis? Vous ne pouvez pas vous contentez d'un travail descripitif style "ces deux romans
représentent différemment la vioelcne" et point. Ce n'est pas ce que l'on demande.

Donc, vous avez choisi Segato comme positionnement théorique et prisme de lecture. OK? Donc ce que vous allez
chercher dans ces romans c'est quoi? C'est le fait que la vision de la violence de Segato et celle représentée dans
les romans est la même? Donc c'est quoi votre problématique? Que la violence est issue de relations hiérarchique
entre hommes et femmes? Ok. ET donc les romans que font -ils de cela?

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