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nombre représente

précisément la valeur numérique (1 + 10 + 10

+ 30) des lettres 6 que

nous avons déjà signalée comme étant au dire d’El Boûni

la terminaison caractéristique des noms d’anges : l’alîf

a donc un caractère sacré tout à fait accentué puisqu’il,

contient le radical commun à tout ces êtres sacrés.

Si maintenant nous reprenons le nombre 111,

somme des valeurs numériques des lettres du mot alîf, 1 nous pouvons remarquer que 111 est égal à
deux

fois 40, plus une fois 10, une fois 20 et une unité. Or 40

est le 7 ces quatre lettres font 8mikâ, mot qui rapproché de âïl 9

se fond avec ce dernier en 10 ou Mîkâïl, nom d’un des

quatre archanges. D’autre part, le nombre des lettres

données par le bast’ de l’alîf est comme on peut le voir

par le tableau ci-dessus de 89. Supposons que nous en

retranchions 20, valeur du 11première lettre du nom

de Dieu 12 kâfi , qui comme nous l’avons vu plus haut

correspond à l’alîf il reste 19. Formons le carré de ce

nombre, c’est 361 . or les trois chiffres de ce nombre sont

les premiers des nombres 80, 60 et 10, qui correspondent

respectivement à. 13.png si on rapproche ces lettres

de la terminaison 14.png âïl on obtient Lesiâ’ïl, nom

qui d’après El Boûni est celui de l’ange spécialement préposé, sous l’autorité de Mîkâïl, à la lettre alif.
Chaque lettre a ainsi ses vertus particulières et,
combinée avec des nombres qui sont en rapports avec

elle, sert à fabriquer des djedouel spéciaux : les livres

de magie consacrent à ce sujet de longs chapitres. Par

exemple, voici deux djedouel relatifs à la lettre chîn,

d’après El Boûni :

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