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Mr.

 Mankouri Hafid le 11- 07 - 2018


SBA - ORGM

A
Monsieur le Président Directeur Général

Objet : Lettre d’information

Monsieur ;

J’ai le regret de venir très respectueusement par la présente citée en


objet, d’attirer votre attention, sur ma situation administrative.

Effectivement j’ai repris le travail en date du 04-07-2018 à SBA


j’ai travaillé toute là journée. Aucune information écrite attestant mon
affectation m’a été remise. Je reconnais aussi que la reprise à été envoyé
le 05-07-2018 par email au chef de service ADM de SBA.

Monsieur, Je me suis présenté en date du 08-07-2018 au siège de


l’ORGM à Boumerdes de mes propres moyens afin de remettre au
DRHM une copie de ma reprise et solliciter un poste aménagé selon le
certificat médical du médecin.

Que fait l’employé sans administration ? nous ne saurions plus à


qui écrire ?

Monsieur, à ma connaissance dans cette situation actuelle la seule


personne qui a l’habilité a tranché sur mon cas et le médecin du travail.

À aucun moment je n’ai songé à agir comme syndicaliste, ni se


couvrir derrière, hamdoullilah un bon employé discipliné et respectueux
des lois de la république et de ses institutions.
J’ai toujours œuvrés dans l’équité et le bon sens et la sagesse, j’ai
de la considération et le respect pour tous mes responsables sans aucune
distinction.

Par dignité et amour propre à ma personne j’ai quitté le siège de


l’ORGM de Boumerdes car le hasard a fait que je sois « chasser » le soir
du 8-7-2018 de ma propre maison après 30 ans de service, la maison ou
j’ai passé ma jeunesse. Surpris par le responsable de la sécurité de l’office
qui m’à piqué non seulement pour voir ma réaction, mais il s’attendait
une protestation de ma part il me dit « Mr. Mankouri vous êtes en
maladie et vous n’avez pas le droit de rester » j’ai dit « oui vous avez
parfaitement raison ». Après une heure un autre agent me dit que je
pouvais passer la nuit en présence du SG et de monsieur Lamouchi, n’est-
ce pas là un trait d’union ?

Je vous laisse le soin de juger vous –même mon président vous êtes
« moumen » et quelqu’un de juste. Trouvez vous normal qu’un employé
distancé de son lieu de résidence, malade, venu dans le but de régulariser
sa situation avec son employeur soi traité ainsi ?

Voilà Monsieur le Président Directeur Général ce qui s’est produit


en réalité en votre absence. Un mal trop profond, mérite d’être entendu.

Pour votre information, Monsieur, depuis mon recrutement je fus et


je suis toujours productive je n’ai commis aucune faute ni administrative
ni professionnelle.

J’espère de tout cœur que cette exhortation aie l’écho qu’elle


mérite. Mes sincères respects mon Président.

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