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« J’ai souvent envie de demander aux femmes par

Citations / recommandations
• « Il n’y a que dans les courts instants où la femme
ne pense plus du tout à ce qu’elle dit, qu’on peut
être sûr qu’elle dit vraiment ce qu’elle pense. » -
Georges Feydeau (1862-1921)
• « Une bonne affaire : acheter toutes les femmes au
prix qu’elles valent et les revendre au prix qu’elles
s’estiment. » - Jules Renard (1864-1910)
quoi elles remplacent l’intelligence. » - Alain (1868-
1951)
• « La femme est une surface qui mime la profon-
deur. » - Friedrich Nietzsche (1844-1900)
• L’homme subjugué, livre d’Esther Vilar
Préambule
#LogiqueFII
Fiche de résumé
✦✦Réservée aux participants au séminaire Hommes
d’Influence Logique des femmes II du 28 nov. 2015
✦✦Séminaires complémentaires : Logique
femmes I ; Langage des femmes I et II.
des

• « Les femmes ressemblent aux girouettes, elles se ✤✤Je serai un des trois experts d’une nouvelle émis-
fixent quand elles se rouillent. » - Voltaire sion qui sera diffusée sur M6 en prime time et qui Enregistrements disponibles ici :
aura pour thématiques la rencontre et le couple. https://mat-consulting.fr
• « Aimer les femmes intelligentes est un plaisir de
pédéraste.  » ✤✤Ce séminaire contiendra des remarques étonnam-
ment et surprenamment, je n’allais pas dire enjô-
« J’ai toujours été étonné qu’on laissât les femmes leuse, mais en tout cas soulignera des traits très in-
entrer dans les églises. Quelle conversation téressants de la personnalité et de l’essence de
peuvent-elles tenir avec Dieu ? » F. Également, des défauts à la limite du rédhibitoire.

Charles Baudelaire (1821-1867) ✤✤Ce contenu n’a aucun intérêt pratique immédiat.

• « Les femmes forment un sexe purement décoratif.
Elles n’ont jamais rien à dire, mais elles le disent
d’une façon charmante. » - O. Wilde (1856-1900)
• « Les femmes ne sont que des organes génitaux
articulés et doués de la faculté de dépenser tout
l’argent qu’on possède. » - W. Faulkner (1897-1962)
✤✤La compréhension globale (ou quasi) du système
logique de Fpure vous fait passer par trois phases :
✤✤le dégoût ;
✤✤son acceptation forcée (on ne peut pas vivre
tout seul, c’est trop dur) ;
✤✤le détachement.

• « Toute femme a sa fortune entre ses jambes. » -

Honoré de Balzac (1799-1850)

• « La femme rend lâche. C’est elle qui conseille au

gréviste de rentrer à l’usine, à l’artiste de faire du
commerce, au soldat de plier le dos. Elle ne pense
qu’à la pâtée, parce qu’elle a un pot-au-feu dans le
coeur. » - Roland Dorgelès (1885-1973)

• « Une femme, si elle ne parle pas d’elle, n’a guère

que deux sujets de conversation : les gens pour en
médire, l’argent pour en réclamer. » - G. Wolfromm
✤✤Les intérêts de ce séminaire :
✤✤comprendre et distinguer, dans ce qui est exas-
pérant chez une femme, ce qui est de sa faute « mo-
rale » de « ce qu’elle ne peut pas contrôler » ;
✤✤survivre dans un univers pro féminin ;
✤✤surtout : moins vous allez en attendre des
femmes, plus ça va marcher (la connexion reste
indispensable). H attend toujours d’une rencontre
sérieuse qu’elle le sorte de lui. Plus vous allez être
en phase et avoir à l’esprit cette espèce de, pas de
désillusion, mais de complicité et de connaissance
de cette permanente − parce que c’est permanent
− fourberie entre le faire et le non faire plus vous
allez être oserait-on dire charismatique et plus vous
allez dégager d’aura.
✤✤La femme adulte :
✤✤l’âge du maximum de responsabilité (respect du
bien collectif et de la décence commune) et de liberté
s’appelle le stage adulte ;
✤✤cette phase est facultative chez la femme, elle
peut sauter de femme-enfant à femme-mère ;
✤✤une femme ne deviendra adulte que dans la
confrontation avec des difficultés, des chalenges.
✤✤les aventures/relations intéressantes se vivent
avec des femmes-femmes.
✤✤Rappel du vol. 1 : les hommes aiment les femmes,
pas F pure. Les femmes aiment les hommes et H
pur. Le logiciel féminin est insupportable.
✤✤Définition de H et F :
✤✤Le dénominateur commun de toutes les femmes
c’est F, le dénominateur de tous les hommes c’est H.
✤✤L’agrégation de personnes de même sexe
crée un substrat qui est proche de l’essence pure/
du dénominateur commun (Vidéo : Fans are having a
blast taking some selfies).
✤✤Observation des points communs du plus
grand nombre de personnes du même sexe.
✤✤La petite élite de stars est composée des per-
sonnes qui portent les plus proches du dénominateur
commun de tout le monde (à une époque donnée).
I. Difficultés à créer
✤✤Les dix plus grandes inventions féminines :
✤✤La vidéo surveillance pour surveiller les enfants ;
✤✤Le lave-vaisselle ;
✤✤Le kevlar ;
✤✤Le Monopoly ;
✤✤Les escaliers de secours à l’arrière des immeubles
new-yorkais ;
✤✤La sorbetière ;
✤✤Le réfrigérateur électrique ;
✤✤Le radeau de sauvetage ;
✤✤La seringue médicale utilisable d’une seule main ;
✤✤Et le chauffage de voiture.
✤✤On trouve très peu de femmes dans la liste des ga-
gnants du Concours Lépine (clic).
✤✤Ce n’est pas une infériorité congénitale, mais F est réti-
cente à créer, car :
✤✤Explication biologique : l’intelligence se déve-
loppe par confrontation active à des chalenges
(portes qui ne s’ouvrent pas, adaptation/combat pour
survivre et/ou transmettre ses gènes…). Or H s’y
confronte quasiment toujours pour F.
✤✤Explication psychologique : surdétermination de F
par la peur de perdre en liberté, en confort et en sécu-
rité, d’où une réticence à transgresser, et pour créer il
faut transgresser.
✤✤La sécurité individuelle d’une femme passe tou-
jours par la sécurité du groupe. Elle refusera quasiment
systématiquement de mettre en oeuvre les moyens
d’optimiser ou d’augmenter sa sécurité individuelle seule.
✤✤Seconde explication psychologique : pour créer il
faut être seul, or pour F seul = solitude, et solitude =
mort sociale = mort globale.
✤✤Mon prof de boxe : « Notre degré d’attention et de sur-
veillance est en général binaire. Il est soit nul, soit en
alerte maximum (suite à un attentat, une agression
précédente, ou le fait qu’un jour particulier, on se balade
avec toute sa paye en liquide). Ce degré 0 ne devrait
plus exister, c’est-à-dire que tu dois toujours avant d’ou-
vrir ta porte, de sortir un bien qui t’es cher, ou quoi que
ce soit, − ce n’est pas être en alerte, ce n’est pas avoir
peur, c’est en dessous de la peur − c’est juste être à 5,
10, 15 %. C’est-à-dire tu vas traverser un grand groupe
de gens, ils ne te seront probablement pas hostiles, et il
ne t’arrivera rien 99,999 fois sur 100. Néanmoins, balaye
ces gens du regard, regarde s’il n’y a pas un tordu, un
mec aviné, ou quelqu’un qui a cette espèce de regard
belliqueux. Regarde. Tu ne le verras peut-être pas,
mais au moins regardes. Et si tu le vois, évite-le. »
✤✤Grande tolérance de F à la coercition et aux systèmes
coercitifs, totalitaristes, etc., ou à vocation, cheminement
totalitaire, tant qu’ils sont présentés comme avisés,
défensifs devant un danger. Danger qui doit être iden-
tifié et incarné, F étant complètement imperméable au
concept, et donc complètement perméable à une cer-
taine forme de violence qui s’appelle la violence sociale,
car elle n’arrive pas à incarner et à personnifier dans un
visage et un nom et un prénom cette violence-là.
✤✤La peur comme argument mobilisable : « Si je me per-
suade que ce type m’héberge ou me propose un toit
pour de mauvaises raisons, alors ça légitime que je
puisse le voler et transgresser la morale. »
II. La difficulté à penser
Je ne parle pas forcément de pensées abstraites, je ne
parle pas d’algèbre ou d’astrophysique.
✤✤Constats suite à mon installation à Rome :
✤✤dans ma tranche d’âge on rencontre beaucoup
plus facilement des femmes que des hommes ;
 ✤✤incapacité des relations féminines amicales à
me faire découvrir la région, car il faut arriver à pen-
ser, avoir le sens de l’orientation, et une certaine
forme d’empathie, ce qu’elles n’ont pas.
✤✤Le prérequis pour penser un sujet correctement est
de poser la bonne question, la problématique. Or
elles éprouvent des difficultés à le faire, voire n’en ont
pas compris l’utilité, voire posent une question incom-
préhensible, puis à vous de comprendre (les timides
également). Et dans certains cas, poser la question
est déjà une réponse « Comment en est-on arrivé
là ? » n’appelle pas de réponse supplémentaire.
✤✤Trois biais quand F pense :
✤✤La pensée par catégorie, ce qu’on appelle
dans le langage courant des idées toutes faites.
✤✤La pensée par opinions : quand elles sont
entre elles, elles en ont beaucoup ; avec nous, pas
beaucoup, car H leur fait courir un énorme risque,
celui de leur demander de se justifier, ce qui va leur
demander de penser. Penser demande qu’on formule
des questions de façon cohérente, structurée et fonc-
tionnelle, et en plus qu’on identifie ses catégories
pour arriver à accepter que l’opinion qu’on a expri-
mée n’est pas une réalité générale, mais que c’est
simplement la façon dont on voit le monde par les
catégories que l’on a tout progressivement et toute sa
vie, développées et crées. C’est compliqué tout ça,
c’est ambitieux. Mais attention, les hommes qui en
sont capables sont une infime minorité.
✤✤À défaut de penser, on pense par son mec,
ou son mari, et on pense par le rang social de la
personne qui a exprimé une pensée. Exceptions :
sujets politiques et religieux, dont leurs opinions sont
biaisées par la prise en compte des facteurs pré-
pondérants que sont la liberté et de la condition des
femmes.
✤✤Création des catégories mentales individuelles
depuis l’enfance :
✤✤1) Exposition à un choix aléatoire et arbitraire
d’activités et de jouets.
✤✤2) En fonction de ses prédispositions person-
nelles et de sa hiérarchie cognitive et sensorielle,
c’est-à-dire si on est plutôt un manuel, auditif, visuel,
kinesthésique, intellectuel pur, on valorise une activité
avec la création d’un intérêt initial.
✤✤3) Ennui par surexploitation de cette activité ou
de cet objet, et volonté d’avoir des objets, des jouets,
des outils plus performants.
✤✤4) Utilisation d’objets plus performants, donc aug-
mentation de la difficulté de préhension et création
d’un chalenge.
✤✤5) Augmentation de l’investissement en res-
sources pour dépasser le chalenge.
✤✤6) Volonté d’optimiser l’investissement en res-
sources afin d’améliorer son résultat, en résulte une
augmentation du sens de l’observation dans ce
domaine.
✤✤7) Création d’une catégorie mentale, qui n’est plus
une espèce de réminiscence de votre souvenir d’enfance
(sauf exception), mais ce par quoi on regarde le monde.
✤✤Le patron, c’est l’image symbolique du père. Et son
père, c’est son conjoint en mieux.
✤✤Symboliquement, il est impossible d’être au dessus de
son patron, ce n’est pas une compétition verticale, vous
serez à côté, éventuellement non comparable.
✤✤Conclusion : quand une idéologie, qui est une école de
pensée, ne sait pas penser, mais qu’elle veut conserver
son pouvoir, son emprise, son intérêt, voire sa subju-
gation, pour échapper à la remise en question per-
manente doit s’avérer soit inattaquable intellectuelle-
ment, soit baigner dans une inextricable confusion
(intellectuelle, affective, sentimentale). La confusion
d’une relation avec une femme est une stratégie fonc-
tionnelle, non pas individuelle, mais de groupe, qui a
survécu aux générations pour échapper à l’analyse, la
rigueur, la logique et la remise en question, et le démon-
tage de la machine. Et face à cette confusion, l’homme
peut finir pas atteindre le point de non-retour  : com-
prendre qu’il n’y a rien à comprendre, et capituler.
III. Or le monde a besoin des
femmes, pourquoi ?
✤✤Elles font travailler les hommes (presque à leur insu) :
✤✤volonté de créer et accumuler de la calorie de H
pour conquérir F ;
✤✤petits services (voire gros) pour résoudre des pro-
blèmes techniques et logistiques ;
✤✤quand une fille a besoin d’avoir un avis sur un bou-
quin, elle vous l’offre, elle vous le fait lire, parce qu’en
fait elle ne l’a pas lu, comme ça vous lui expliquez.
✤✤quand une fille vous écrit un mail trop long, ce
n’est pas elle qui l’a écrit.
✤✤Elles calment les hommes, sans femmes les hommes :
✤✤ deviennent lourds et agressifs ;
✤✤se lancent à leur conquête ou font tout pour les
conserver (et toute interaction masculine ou toute es-
quisse de solidarité est considérée comme parasite ou
dangereuse) ;
✤✤voire présentent les symptômes physiques que
l’on associe généralement à une drogue dure ;
✤✤ont des pratiques sexuelles déviantes ;
✤✤voire deviennent fous.
✤✤D’où les stratégies de privations de femmes dans
les sociétés guerrières (Grecs anciens, samouraïs…).
✤✤Elles poussent les hommes à devenir meilleurs/
adultes afin de devenir des prétendants potentiels.
✤✤F est l’amie de la consommation et du capitalisme :
✤✤Elle surpondère et est très sensible au facteur
nouveauté, H accepte la nouveauté quand elle intègre
l’innovation.
✤✤Elle marche aux labels (bio, médailles…).
✤✤Elles s’émulent entre elles et se copient (réu-
nions commerciales Tupperware, maquillage…).
 ✤✤Elle préfère changer que réparer.
✤✤Une des définitions du capitalisme colle quasi-
ment comme une robe fuseau à F : tout doit être
objet, et rien ne doit être symbole. « Il n’y a pas
d’amour, il n’y a que des preuves d’amour (alors, al-
longe la monnaie). »
✤✤Elle achète plus, plus souvent, avec un pou-
voir d’achat double (le sien plus celui de son mari),
sans aucune considération technique et éthique.
L’homogénéité de la bourgeoise de gauche à être li-
bérale et pro immigration de masse ne viendrait-il pas
du fait qu’elles adorent trouver facilement des baby-
sitters, des femmes de ménage, des femmes pour re-
passer leur linge et les payer le moins cher possible ?
✤✤Elle se montre comme une marchandise au-
tant que possible (maquillage, lingerie, mode et tout
l’apprêtement). C’est un travail quotidien inconscient
de se présenter comme une marchandise disponible
avec un coût, avec un mode d’emploi, et avec des
disponibilités, des indisponibilités.
✤✤Les femmes boostent les résultats scolaires, car :
✤✤F peut apprendre des grandes quantités d’in-
fos par coeur, sans les comprendre.
✤✤F utilise la peur comme argument mobili-
sable : peur de l’invalidation, de la critique, du juge-
ment, et en gros de se faire gronder devant tout le
monde, par l’enseignent, qui est en plus la figure sym-
bolique de son futur patron, son futur patron est la
figure symbolique de son père.
✤✤F est l’agent de propagande le plus ardant, le plus
amoral, le plus efficace, et le plus insensible au bien
collectif, et qui sacrifiera la force de ses bras, son
temps, et quasiment 100 % de ses ressources, hors
peut-être ses gamins, à la stabilité d’un système.
Déstabilisation du système = insécurité de groupe =
insécurité individuelle. Ce qui explique en partie que
les femmes battues restent dans leur foyer. En plus,
aller vers le vrai contre l’opinion commune comporte
toujours le risque de l’exclusion, de la marginalité,
et de perdre son emploi.
✤✤Les femmes ont une appétence pour l’enseignement,
car elles ne sont intelligentes que lorsque l’on juge
par des critères créés par elles.
✤✤Elles sont inoffensives :
✤✤elles n’ont aucun égo ;
✤✤elles ne se révolteront jamais, sauf contre une
chose : une restriction de leurs libertés individuelles.
✤✤F pèse inconsciemment à la baisse sur le coup du tra-
vail en sous-payant très souvent sa main-d’oeuvre.
IV. Survivre comme femme
✤✤La nécessaire double empathie :
✤✤F n’est pas sensible au sort du prochain qui ne
serait pas leur foyer et leur barycentre directs.
✤✤Pour F pure il n’y a aucune vérité absolue, il suffit
d’être sincère, d’où la création d’un surempathie com-
municationnelle, car elle déduit que quelque chose est
vrai ou pas, bien ou pas, beau ou pas, au fait que vous
la croyiez ou que vous la validiez. « En communication
pure, on est sincère quand l’autre y croit. » Goffman.
✤✤Relisez Les stars d’Edgar Morin, les groupies qui
cultivent une relation unilatérale avec une célébrité, à
un moment elles ne savent sincèrement plus si cette
célébrité fait ou pas partie de leur monde.
✤✤Apprendre à demander : du moment qu’elles obtiennent
que le problème soit traité par quelqu’un d’autre, il
n’existe plus. Et donc elles modèlent la réalité en fonc-
tion de ce que les autres font pour elles (ex. fille qui
vivait au 6e sans ascenseur avec des hommes qui lui
portaient les courses).
✤✤Apprendre à négocier, notamment en utilisant l’argu-
ment de l’incompétence, ce qui marche très bien avec
leurs relations affectives, mais pas du tout au travail.
✤✤Un pouvoir d’achat indirect :
✤✤multiples services rendus gratuitement ;
✤✤l’homme est une ressource valorisante trans-
portée avec soi pour acquérir de la valeur auprès des
autres femmes.
V. Il est vraiment plus difficile
d’être une femme
✤✤Elles manquent tellement de clés de compréhension
qu’objectivement elles souffrent.
✤✤Elles sont assaillies d’informations, d’opinions contra-
dictoires, et toutes se valent, et elles ne peuvent se
hiérarchiser entre elles que par le rang et le statut de
celui qui émet l’avis.
✤✤Sentiment permanent d’inadaptation, car l’immense
majorité des outils actuels n’ont pas été créés par des
femmes. À cela s’ajoute le fait qu’elles sont inadap-
tables volontairement (elles ne cherchent pas à com-
prendre) dans une stratégie d’appel à la compensa-
tion et à la protection.
✤✤Elles doivent supporter sans discontinuité les réfé-
rences au centre d’intérêt de leur H, tout en donnant
le change et en faisant comme si elles s’y intéressaient
afin de maintenir son niveau d’intérêt.
✤✤Je n’ai jamais vu de femmes avoir un intérêt sin-
cère pour une activité sauf si elle avait pour but et pour
conséquence d’optimiser leur capital santé et beau-
 té, ou leur réseau.
✤✤Elles sont contraintes de suivre les tendances ali-
mentaires, santés, mode et beauté, en ayant en-
tièrement conscience qu’elles sont moches, pour la
plupart, et de la duperie et de l’artifice du maquillage
Pub d’une grande marque de téléphonie :
et de l’apprêtement.
✤✤Elles fonctionnent par symboles et par simplifica-
tions, à défaut de pouvoir raisonner, et se retrouvent
ainsi dans des situations aberrantes, et dans l’impos-
sibilité d’en sortir.
✤✤Succès de tous les objets de travail masqué
(smartphones, tablettes…).
✤✤Organisation, communication, coups de fil, rendez-
vous, synchro… présentés comme un travail productif.
c’est que tout ce qui n’est pas interdit devant la loi
devient autorisé, cf. Jean-Claude Michéa.
✤✤D’après Esther Vilar, l’amour inconditionnel de la mère
vient du fait que la femme sait que son petit garçon aura
pour rôle de travailler pour lui, et pour F, et donc elle
le gave pour qu’il ait confiance en lui.
✤✤Cercle vicieux  : le temps passé à faire semblant finit
par devenir majoritaire, du coup le temps passé à com-
prendre vraiment se réduit, au point qu’au bout d’un
certain âge la compréhension devient impossible.

✤✤Pas de punition pour leurs mauvais comportements, VI. La presse féminine

donc elles n’ont pas de repères et de retours pour
savoir si elles ont fait bien ou mal. Un H qui a un ✤✤Les articles de la presse féminine rentrent tous dans
peu d’honnêteté et de caractère, normalement aime l’une des dix catégories mentales des femmes :
bien avoir la sanction de ses fautes (la beauté de la
boxe, c’est qu’on paye immédiatement ses erreurs).

✤✤Sont fortes uniquement par le groupe.

✤✤F femme-enfant ne cherche pas tant à séduire le père

qu’à s’y référer. Choix d’étude que la jeune fille fait
d’abord et avant tout en fonction du choix du père.
Elle veut mettre la main sur un homme qui gagnera
suffisamment pour maintenir son niveau de vie ini-
tial offert par son père, auquel il sera toujours com-
paré. Pour F, la dégradation du niveau de vie est un
scénario insupportable.
✤✤L’attention de H étant trop facile à obtenir, le vrai
chalenge c’est l’approbation et l’admiration des
autres F. Les femmes cherchent d’abord à se plaire
entre elles. Le fait que l’homosexualité passagère,
contextuelle, féminine est beaucoup plus marquée
que chez les hommes en est une démonstration.
✤✤Faire comme si et se créer des obstacles imaginaires
devient un travail à plein temps :
✤✤On publie sur ses réseaux sociaux pleins de
citations, d’extraits, de moments, d’images laissant
supposer qu’on est dans des dilemmes extrêmes.
Plus il y en a, moins elles en font.
✤✤À vivre dans une duperie permanente, la crainte d’être
découverte, de laisser découvrir l’abysse infini de sa
connerie, deviendrait à quelqu’un de rationnel parfaite-
ment insupportable. Pour vivre avec les observations
que nous avons faites, elles :
✤✤se persuadent qu’elles sont occupées ;
✤✤syndrome permanent de l’imposteur ;
✤✤se placent en victimes d’un acharnement irra-
tionnel des hommes contre les femmes, contre leur
liberté, leur sensibilité, leur beauté et leur spontanéité,
donc d’une misogynie globale, généralisée, et contre la-
quelle il n’y a qu’une solution : le progressisme libé-
ralo-libertaire. Et la boucle est bouclée.
✤✤L’application de leur Liberté, qui est celle du ca- Tout ce qui sort de ces dix catégories mentales ne re-
pitalisme anglo-saxon, c’est de ne plus avoir en soi le présente aucun intérêt pour F.
bon sens commun et cette espèce de boussole te per-
mettant de savoir ce qui devrait être interdit et autorisé,