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1.2.1. Dénomination :
« SNTF : Société National des Transports Ferroviaires ».
• Date de création :
Le 20 juin 1860 : création de la compagnie des chemins de fer Algérien
(CFA),
• Mission
La SNTF est en vertu des dispositions des articles 4, 44 à 47 de la Loi
N°88-01 du 12 janvier 1988 transformée en établissement public à
caractère industriel et commercial (EPIC), placée sous la tutelle du
ministère des transports, elle est chargée du développement,
exploitation, l’entretien et l’extension du réseau des chemins de fer
Algérien.
• Organisation
La SNTF est organisée par régions ferroviaires (DRF) et par fonctions. Les
DRF ont une indépendance de gestion dans le cadre d’un budget propre et
objectifs annuels et de plan de transport.
Les fonctions principales de la SNTF sont :
- La Fonction Matériel : son rôle l’entretien du matériel moteur et
remorqué, ainsi la gestion du personnel de conduite.
- La Fonction Clientèle : son rôle est géré les mouvements des
circulations et du commercial.
- La Fonction Infrastructures : chargée de la maintenance des voies,
et la construction des ouvrages d’arts, installations de sécurité et de
télécommunications, bâtiments et de la traction électrique.
- La Fonction Finances et Comptabilité
DIRECTEUR
GENERAL
service financier
service brigade
est securite
service
personnel
departement departement
departement logistique et
traction maintenance distribution
division division
movement division appro
maintenance
1.4. La fonction maintenance
Cette terminologie utilisée communément dans la profession, est révélatrice du
fait que la maintenance occupe une place déterminante dans le fonctionnement
d’une entreprise, Il s’agit même d’une fonction vitale puisque, sans
maintenance, tout processus industriel cesse, généralement à brève échéance,
de produire les biens ou les services pour lesquels il a été conçu ; la
dénomination de « fonction de maintenance » est notamment le titre du
fascicule de documentation X60 – 000 édité par AFNOR des normes françaises
de maintenance industrielle .
En bleu, celle qui s’appuient sur les données de base à caractère « générique »
établies en principe une fois pour toutes comme l’identification des matériels,
les analyses de fonctionnement et de dysfonctionnement, l’organisation des
ressources etc.
En vert, celles qui appartiennent au domaine du « soutien logistique », comme
la fonction d’approvisionnement qui sert à commander et à distribuer les pièces
de rechanges et les matières nécessaires aux interventions ainsi qu’à négocier
présentations extérieures, en lien avec l’approvisionnement, la gestion
technique et budgétaire permet de fournir et de surveiller les ressources
requises. Enfin, une fonction de « management » orchestre l’ensemble et
détermine la politique et la stratégie de maintenance. Cette représentation est
illustrée sur la figure
Constitution de
Organiser le retour
d'experience
Etudes
Realisation
Préparation et ordonnancement
Approvisionnement des
matières récolte de données
1.7. Problématique :
C’est d’accompagné les équipes de maintenance de l’unit traction Alger sur le
suivie de la maintenance des locomotives avec un service optimiser full web.
• Objectif :
➢ le suivie administrative : cette partie prend en charge l’ensemble des
points suivant :
• L’inventaire des locomotives entrante à l’atelier pour maintenance.
• La création des fiches d’intervention après diagnostique.
• Le traitement des statistique et la détermination des indicateurs de
performance des brigades.
Chef division
Chef atelier maintenance
4 1
13
Chef magasin
centrale
11
1 6
12 Chef parc
3
7
9
3 5 6
Fichiste
Distributeur
6 5
7
14
9
3
Fournisseur
7
6
Ouvriers
Magasin local
Description du graphe de flux
10
d’information :
N° DESCRIPTION
1 Fiche des travaux effectuer
2 Usure de bord de rue
3 Demande fourniture
4 Liste des machine libre
5 Rapporte de stock
6 Fourniture de resu
7 Bon de respections
8 Liste des tache
9 Bon de consommation
10 Fiche de demande de pièce unique
11 Liste des machine libre
12 Bon provisoire
13 Programme visite hebdomadaire
14 Demande de réparation
2.4.1. Introduction :
A partir de l’étude de poste de travail j’ai les documents circulant dans le
domaine d’étude.
Avec l’étude des documents en va recenser toutes les donner manipuler par le
poste de travail pour élaborer le dictionnaire des donner pour utiliser dans
l’étude conceptuel.
2.4.2. listes des documents :
- Code document :
- Désignations du document : liste des machines libre
- Nature du document : interne
- Rôle : savoir les machines
- Désignation : LML
- Couleur : non utilise
- Nombre exemplaire utilise : 2 utilise par poste
- Périodique : hebdomadaire
2.5.1. Introduction
Dans cette partie de l’étude nous allons présenter les différentes procédures de
travail d’une manière successive.
Une procédure est de travail est représentée par une suite d’action déclenche
par un ou plusieurs événement la procédure de travail est l’organe moteur Dun
système informatique elle englobe un ensemble de taches exécutes par un ou
plusieurs postes et concourant a la réalisation d’un objectif connu l’étude des
procédures.
Il permet de cerner au mieux le système existant apparaitre
-l’acheminement des informations.
-les détailles de Transfer des informations.
Les opérations effectuées au niveau de chaque poste
2.5.2. listes des procédures :
• Demande pièce
• Entrer pièce rechange magasin locale
• Entrer pièce rechange magasin central
• La maintenance des locomotives
Symbole Désignation
Document
Archivage
Virification
Séance de circulation
2.5.4. ETUDE DES procédure
2.5.4.1. Procédure 1 : DEMENDE DE PIECE
TEMPS Distributeur Fichiste Chef par Acteur
externe
Ouvriers
BP
1 -établissement
-envoi
BP
DF
BP DF
2 - ENREGISREMENT
-ARCHIVAGE
BP DF
BP
DF
3
-CONTROLE
non oui
SI
Envoi
ETABLISEMENT
BR
RS
Ouvriers
Description de la procédure 1 : DEMENDE DE PIECE
Opération Description
1 -réception BP
-établissement DF
2 - réception BP plus DF
- envoi BP plus DF
3 - réception BP plus DF
-vitrification DF
-si oui, établissement BR et envoi BR avec pièce a l’ouvrier, sinon
Envoi RS renvoi a mutilateur
BDC
1
- envoi
- établissement
DF
Fournisseur
FRS
2 -enregistrement
-envoi
-Etablir
FRS RS
FRS RS
3 -enregistrement
-analyse
Non Oui
SI
4 -envoi
-enregistrement
5 -ETABLISEMENT
-envoi
DF
6
-Ordonner DF
7 -envoi
-
ENREGSTEREMen
t
DF
Fournisseur
Description de la procédure 2 : entre pièce rechange magasin locale
Opération Description
1 - réception BDC
- établissement DF
- envoi DF
2 - réception FRS plus pièce
-Etablir RS
5 -établissement DF
-envoi DF
6 -ordonner pièce
BDC
1 -enregistrement
-envoi
BDC
BDC
2 -ETABLISEMENT
-établissement
-envoi
-
-
DF
Fournisseur
FRS
3 -enregistrement
-archivage
-envoi
4 -ordonner
-établissement
-ETABLISEMENT
RS
Description de la procédure 3 : entre pièce rechange magasin centrale
Opération Description
1 -réception BDC
-envoi BDC
2 -réception BDC
- établissement DF
-envoi DF
3 - réception FRS plus pièce
- archivage FRS
-envoi pièce
4 - réception pièce
-ordonner pièce
-établissement FS
PVH
1 -analyse
-establishment
LDT
LDT
2 -Etablissement
LME
FTE
FTE LME
3 -enregistrement
-envoi
1.1. présentations :
La conception d’un système d’information n’est pas évidente car il faut réfléchir
à l’ensemble De l’organisation que l’on doit mettre en place.
Pour notre cas, nous avons utilisé la méthode MERIS pour développer notre
application
1.2. Définition
- Designation_piece =2=8=14=18=27=34=39
- Type_modale =9=35
- Num_machine =10=52=54=61=64=67
- Date_validions 68=66
- Symbole 3=26=38
- Numero_demande 5=31
- Pu =29=40=46
Synonyme :
- 4=10
- Véhicule= num + machine
- 24 = 20
- Date commande =date_de_four
- 5=22
- Numéro demande =num_de_four
- 20=30
- Date_defour=date_demande
- 33=15=7=42
- Nemero_piece_demande=cet_p_dem=nombre=cet_demande
Donner calculer :
- 41= montant
3. Dictionnaire de données épure :
4.1. ntroduction :
Le modèle conceptuel de données (mcd) a pour but de décrire de façon formelle
les données qui seront utilisées par le système d’information .il s’agit donc
d’une représentation des données, facilement compréhensible, permettant de
décrire le système d’information.
4.2.Concepts de base :
La construction d’un MCD est base sur un ensemble de concepts qui sont
principalement :
L’entité, la relation (ou l’association), la propriété (ou l’attribut), la cardinalité,
l’identifiant.
4.3. Entités :
L’entité est un objet ou un individu du système d’information pourvu dune
existence propre porteuse de propriétés en d’autres termes c’est représentation
dans le système d’information d’un objet matériel ou immatériel du réel perçu.
4.4. Relations :
Une relation entre entités est une association perçue dans le réel entre deux ou
plusieurs entités. Une relation n’a pas d’existence propre mais elle peut
porteuse de propriétés.
4.5. Propriétés :
Une propriété (ou attribut) est une donnée (une information) élémentaire qui
caractérise un objet (entité) ou une relation pour prendre sa signification, une
propriété doit obligatoirement être rattachée a un objet ou une relation.
4.6.. L’identifiant :
Une occurrence d’une relation individualisée relie une et une seule occurrence
de chacun des objets participants a la relation.
4.6.5. Les cardinalités :
Les cardinalités d’un objet par rapport ont une relation s’expriment par deux
nombres
Appelés : cardinalité minimale et cardinalité maximale.
4.6.6. Cardinalité minimale :
Egale a 0 ou 1, c’est le nombre minimum de fois qu’un participe aux
occurrences de relation.
4.6.7. Formalisme adopte :
Entité 1 Entité 2
Identifiant Identifiant
Propriété Propriété
7.1. Introduction :
7.3. Le formalisme :
Période Enchainement phase Nateur Poste de travaille
Evènement 1
Evènement 1
Synchronisation
Résultat 1 Résultat 2
P1
To= après 5 -réception de bon provisoire
minute de - établissement DF Manuelle Che
l’arrive Toujours
Demande
fournitures
P2
- ENREGISREMENT
- ARCHIVAGE
T1=T0+10minute
Toujours Auto Fich
DF
Envoyé
P3
- contrôle
-archivage rapport de stock
T2=T2+a0minute Ok OK
Manuelle Dist
Rapport Bon
de stock Réception
T3=T2+10minute P3 Manuelle
- réception et archivage de la Chef parc
décharge signe
-envoi pièce
-établir fourniture reçue
Toujours
Piece
Envoyé
7.5. Processus 2 : entre pièce rechange magasin locale
Temps Phase Nature Poste de travaille
BDC
To= après 10
minute de P1 Manuelle Mg_locale
l’arrive - analyse
- envoi
- établissement
Toujours
Demande
fourniture
reçu
P2
-établissement
-envoi
Manuelle Mg_locale
T1=T0 +2 jours
Toujours
Bonne
réception
établie
P3
-enregistrement
-établissement
-contrôle pièce reçu
Auto Fichiste
T3=T2+20 ko ok
minutes
Piece
renvoyer ou Piece
fournisseur accepter
T4=T3+30 P4 Manuelle Distributeur
minutes - Ordonner des pièce reçu
Toujours
7.6. Processus 3 : entre pièce rechange magasin centrale
Temps Phase Nature Poste de travaille
BDC
P1
To= après 5 -établissement
minute de -analyse Auto Chef de magasin
l’arrive CENTRALE
Toujours
BDC
T1=T0 +2
jours P2
-enregistrement
-archivage
-Envoi pièce
Toujours
7.7. Processus 5 : la maintenance des locomotives
Programme
des visites
Toujours
Liste des
taches
est bord
P2
T1=T0+4 jours
- maintenance des locomotives
Manuelle Chef atelier
- Etablissement des fiches des travaux
effectuer
- Etablissement liste des machines
empanne
Toujours
Envoi des
fiches
T2=T1+10 P3
minutes Manuelle Chef devisions
-établissement liste des machines libre
maintenance
- réception des fiches de travaux
effecteur
-envoi au service concerne
-établissement user de bourse de Rous
Toujours
Chapitre 4 : Réalisation
1. Réalisation :
La réalisation du nouveau système portera sur la réalisation d’un système du
suivi du gestion est d’une suite de présider de maintenance vais un site web.
Les étapes sur lesquelles passera la réalisation sont comme suit :
2. Implémentions de la base de données :
C’est la création des fichiers de données.
4. Teste de système :
Il s’agira dans cette étape de mettre au point des teste d’essai aux quel devront
être soumis dans les programmes précédemment écrit.
Les teste devront un reflet des réalités quotidiennes.
5. Présentations du langage de programmation :
Afin de concrétiser mon étude j’ai conçu un une application à l’aide de :
5.1. Javas script :
JavaScript est un langage de programmation de scripts principalement employé dans
les pages web interactives mais aussi pour les serveurs2 avec l'utilisation (par
exemple) de Node.js3. C'est un langage orienté objet à prototype, c'est-à-dire que les
bases du langage et ses principales interfaces sont fournies par des objets qui ne
sont pas des instances de classes, mais qui sont chacun équipés
de constructeurs permettant de créer leurs propriétés, et notamment une propriété
de prototypage qui permet d'en créer des objets héritiers personnalisés. En outre,
les fonctions sont des objets de première classe. Le langage supporte le paradigme objet,
impératif et fonctionnel. JavaScript est le langage possédant le plus large
écosystème grâce à son gestionnaire de dépendances.
6. Le modèle physique de données MPD
6.1. Définition
Le modèle physique de donnes (MPD) est le dernier modèle pour les données
avant la programmation, il prend en compte les ressourcées physique (SGBD)
Permet aussi d’implémenter en machine l’ensemble des données MLD.
Le MPD est développe en parallèle avec le model opérationnel des traitements
MOPT, qui représente la procédure de programmation.
En fait il permet à la description d la base de données il est note que le passage
du modale physique des données s’affecte en remplacent les relations par les
fichiers
Les règles des passages du MLD au MPD :
-chaque table devient un fichier
-chaque clé de table devient le code du fichier
-chaque table devient un enregistrement
-chaque attribut de la table devient un champ
6.2. Présentations du modèle physique :
1-Table Piece rechange
➢ cle primaries Num_PR
2-Table Demande
4-Table bon_consom
6-table Bor_roue
8-Table Sous_fam_tache
➢ cle prem
10-Table type_visi
12-Table visite
PostgreSQL fonctionne sur Solaris, SunOS, Mac OS X, HP-UX, AIX, Linux, IRIX,
Digital Unix, BSD, NetBSD, FreeBSD, OpenBSD, SCO unix, NeXTSTEP, UnixWare et
toutes sortes d'Unix. Depuis la version 8.0, PostgreSQL fonctionne également
nativement sur Windows. Avant la version 8, il fallait une couche de
compatibilité POSIX (par exemple cygwin) pour faire fonctionner PostgreSQL
sur ce système d'exploitation.
PostgreSQL est largement reconnu pour son comportement stable, proche de
Oracle, mais aussi pour ses possibilités de programmation étendues,
directement dans le moteur de la base de données, via PL/pgSQL. Le traitement
interne des données peut aussi être couplé à d'autres modules externes
compilés dans d'autres langages.
7.2. Outils d'administration
• Interfaces utilisateurs
• psql est une interface en ligne de commande permettant la saisie de requêtes
SQL, directement ou par l'utilisation de procédures stockées.
• pgAdmin14 est un outil d'administration graphique pour PostgreSQL
distribué selon les termes de la licence PostgreSQL15.
• phpPgAdmin est une interface web d’administration pour PostgreSQL.
L'outil d'administration est écrit en PHP et supporte les différentes branches
de PostgreSQL depuis sa version 7. L'interface s'appuie sur des scripts
PHP et sur la base de données PostgreSQL pour favoriser les diverses
tâches d'administration via le World Wide Web. La dernière version a été
réalisée le 14 avril 201316.
• Adminer est une interface web légère d’administration pour plusieurs
SGBD do
8. Architecture trois tiers
9. Définition et concepts
• Avantages :
1. Gestion des données et des traitements centralisée.
2. Maintenance matériel minime.
3. Grande vélocité sur des grands volumes de données et de treatments.
• Inconvénients :
1. interface homme-machine minimaliste.
2. Utilisation de langages de programmation anciens.
3. Calcul scientifique complexe impossible
Environnement client–serveur
• Architecture à N niveaux
Une architecture à N niveaux ou architecture N tiers (N-tier architecture
en anglais) n'ajoute pas encore des niveaux supplémentaires à
l'architecture à 3 niveaux, mais introduit la notion des objets qui offre la
possibilité de distribuer les services entre les 3 niveaux selon N couches,
permettant ainsi de spécialiser les serveurs davantage.
9.7. Types de client
• Client léger
Un client léger est une application où le traitement des requêtes du client
(applications Web n'utilisant pas ou peu de JavaScript côté client,
terminaux Terminal Services, Secure Shell, Apple Remote Desktop, Citrix
XenApp, TeamViewer, etc.) est entièrement effectué par le serveur, le
client recevant les réponses « toutes faites ».
• Client lourd
Un client lourd est une application où le traitement des requêtes du client
(applications de bureau, applications mobile) est partagé entre le serveur
et le client.
• Client riche
Un client riche est une application où le traitement des requêtes du client
(applications Web utilisant beaucoup de JavaScript côté client) est
effectué majoritairement par le serveur, le client recevant les réponses
« semi-finies » et les finalisant. C'est un client léger plus évolué permettant
de mettre en œuvre des fonctionnalités comparables à celles d'un client
lourd.
10. Comparaison des architectures centralisées et
distribuées
10.1. Avantages des architectures centralisées
• Toutes les données sont centralisées sur un seul serveur, physique
ou virtuel, ce qui simplifie les contrôles de sécurité, l'administration,
la mise à jour des données et des logiciels.
• La complexité du traitement et la puissance de calculs sont à la
charge du ou des serveurs, les utilisateurs utilisant simplement un
client léger sur un ordinateur terminal qui peut être simplifié au
maximum.
• Recherche d'information : les serveurs étant centralisés, cette
architecture est particulièrement adaptée et véloce pour retrouver et
comparer de vastes quantités d'informations (moteur de recherche
sur le Web), par rapport à l'architecture distribuée beaucoup plus
lente, à l'image de Freenet.
10.2. Inconvénients des architectures centralisées
• Si trop de clients veulent communiquer avec le serveur au même
moment, ce dernier risque de ne pas supporter la charge (alors que
les architectures distribuées fonctionnent mieux en ajoutant de
nouveaux participants).
• Si le serveur n'est plus disponible, plus aucun des clients ne
fonctionne (les architectures distribuées continuent à fonctionner,
même si plusieurs participants quittent le réseau).
• Les coûts de mise en place et de maintenance peuvent être élevés.
• En aucun cas les clients ne peuvent communiquer entre eux,
entrainant une asymétrie de l'information au profit des serveurs.
➢ Exemples
• La consultation de pages sur un site Web fonctionne sur une
architecture client–serveur. Un internaute connecté au réseau via
son ordinateur et un navigateur Web est le client, le serveur est
constitué par le ou les ordinateurs contenant les applications qui
fournissent les pages demandées. C'est le protocole de
communication HTTP ou XML socket qui est utilisé.
• Les courriels sont envoyés et reçus par des clients et gérés par un
serveur de messagerie. C'est le protocole de communication SMTP,
POP ou IMAP qui est utilisé.
• Le système X Window fonctionne sur une architecture client–
serveur. En général le client (une application graphique, xeyes par
exemple) tourne sur la même machine que le serveur mais peut être
aussi bien lancé sur un autre ordinateur faisant partie du réseau.
• L'organisation en client léger, façon terminal-serveur, a donné
naissance à des projets innovants comme le projet LTSP ou la
technologie NX.
•
➢ Notes
• Ce type de fonctionnement est proche de celui du Minitel.
• Tout sur les systèmes d'information, Jean François Pillou, Dunod
1996