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(http://perso.club-internet.fr/farzeno/dat.htm)
Entrées:
Analogique: XLR Mic/Line In w/+48v, 20dB Pad & Limiter
RCA asymétrique
Digital: SPDIF coaxial
Sorties:
Analogique: RCA asymétrique
Digital: SPDIF coaxial
(http://www.son-video.com)
Audio Performance
Number of channels Stereo and Mono
Frequency range 5-20,000 Hz
Dynamic range 105dB
Wow and flutter Quartz crystal precision
Signal Format
Sampling frequency 44.1 KHz
Coding ATRAC (Adaptive TRansform Coding)
Modulation EFM
Error correction system ACIRC
La protection anti-copies
Si vous réalisez des copies de supports gravés en numérique, la copie en série est interdite par le
procédé SCMS. Cela veut dire que vous pourrez recopier une source numérique mais qu'une copie
de copie est impossible. Si vous avez déjà recopié un CD pour vous fabriquer un MiniDisc, celui-ci
(http://www.magma.fr/static/french/technique/)
2. Permettre, sur le PC, la conversion directe de ces données compressées vers des fichiers
au format "CD audio" (c'est à dire 16 bit, 44.1kHz PCM). Ensuite, les utilisateurs sont
libres de faire ce qu'ils souhaitent avec ce format CD audio (faire un CD, convertir en
MP3, faire du montage audio, etc.)
Il n'est pas nécessaire que les fichiers ATRAC sont stockés sur le PC
pour effectuer cette opération. Il suffirait que l'audio compressé soit
converti au format CD en même temps qu'il est transféré.
(http://www.minidisc.org/netmd_upload_proposal_fr.html)
(http://www.dicofr.com/mp3/mp3-1.html#format)
Le MP3 "MPEG Audio layer 3" est un format de compression de données audio par destruction de
données audio développée par l'organisation de standardisation internationale (ISO). Ce format
permet de compresser à un taux de 1:12 les formats audio habituels (WAV ou CD audio). Il
permet de faire tenir l'équivalent en fichiers de douze albums de musique sur un seul CD-ROM.
De plus, le format mp3 n'altère que faiblement le son pour l'oreille humaine.
Le contexte
En fait la compression MPEG layer 3 consiste à retirer des données audio les fréquences
inaudibles inaudibles pour l'auditeur moyen dans des conditions habituelles d'écoute. La
compression vise donc à analyser les composantes spectrométriques d'un signal audio, et de leur
appliquer un modèle psycho-accoustique pour ne conserver que les sons "audibles". L'oreille
humaine est capable de discerner, en moyenne, des sons entre 0.02kHz et 20kHz, sachant que sa
sensibilité est maximale pour des fréquences entre 2 et 5kHz (la voix humaine est entre 0.5 et
2kHz), suivant une courbe donnée par la loi de Fletcher et Munson.
La compression consiste à déterminer les sons que nous n'entendons pas et à les supprimer, il
s'agit donc d'une compression destructive, c'est-à-dire avec une perte d'information.
Les procédés
L'effet de masque
Gabriel Bouvigne explique:
"Lorsque vous regardez le soleil et qu'un oiseau passe dans son axe, vous ne le voyez pas car la
lumière provenant du soleil est trop importante. En acoustique, c'est similaire. Lorsqu'il y a des
sons de fort volume sonore, vous n'entendez pas les sons faibles. Prenez l'exemple d'un orgue:
lorsqu'un organiste ne joue pas, vous entendez le souffle dans les tuyaux, et quand il joue, vous
ne l'entendez plus car il est masqué.
Il n'est donc pas essentiel d'enregistrer tous les sons, c'est la première propriété utilisée par le
format MP3 pour gagner de la place."
Le réservoir de bytes
Souvent, certains passages d'une musique ne peuvent pas être encodés sans altérer la qualité. Le
mp3 utilise donc un petit réservoir de bytes qui agit en utilisant des passages qui peuvent être
encodés à un taux inférieur au reste des données.
Le code Huffman
La technique de l'algorithme Huffman est un algorithme de codage (et non de compression), qui
agit à la fin de la compression, en créant des codes de longueurs variables sur un grand nombre
de bits. Les codes ont l'avantage d'avoir un préfixe unique, ils peuvent toutefois être décodés
correctement malgré leur longueur variable , et rapidement grâce à une correspondance de
tables. Ce type d'encodage permet de gagner en moyenne un peu moins de 20% d'espace.
Lorsque les sons sont "purs" (lorsqu'il n'y a pas de masquage) l'algorithme Huffman est très
efficace car le son digitalisé contient de nombreux sons redondants.
Les résultats
Ainsi, une minute d'un CD-audio (à une fréquence de 44.1 kHz, 16 bits, stéréo) ne prendra qu'un
seul Mo.
Une chanson fait donc en moyenne 3 ou 4 Mo, ce qui rend son téléchargement possible même avec
un modem.
La décompression d'un fichier MP3 (c'est-à-dire la lecture) se fait en temps réel avec un P166,
mais monopolise une grande partie des ressources sytème, c'est pourquoi il est déconseillé (à
moins d'avoir une bête de course) de lancer une autre application gourmande en mémoire pendant
la lecture.
(http://www.commentcamarche.net/audio/mp3.php3)
Le DV
Le format de cassette principalement utilisé pour
les caméscopes numériques est le MiniDV. La
cassette étant très compacte, les caméscopes le
sont aussi. Et la durée d'enregistrement en
vitesse lente, sans perte de qualité, atteint 2
heures sur une cassette ! (en vitesse lente, le
doublage son sera impossible).
SONY et HITACHI proposent en plus un format numérique appelé Digital 8, qui a l'avantage de
pouvoir utiliser en lecture, les cassettes 8mm et Hi-8 des caméscopes analogiques.
La qualité du Digital 8 est tout à fait comparable à celle du Mini-DV, la compacité en moins. Les
cassettes 8mm et Hi-8 sont disponibles en 30, 60, 90, ou 120 minutes, mais leur durée est
légèrement réduite sur les caméscopes Digital 8. L'autre avantage est également le coût moins
élevé des cassettes 8mm et Hi8 par rapport aux cassettes MiniDV.
La compression DV
Elle est basée sur un nouvel algorithme de compression très performant, le "Discrete Cosine
Transform", qui apporte entre autres une plus grande finesse des couleurs. Le signal vidéo est
compressé (trame par trame) de telle manière qu'il ne nécessite "plus que" 25Mbits/s (= environ
3,2Mo/s), sans compter les informations son et time-code. C'est un débit constant, qui
correspond à un taux de compression de 5:1. Il faut donc environ 11GB pour stocker 1 heure de
vidéo.
Le traitement numérique autorise une correction d'erreurs à l'enregistrement qui minimise
considérablement ce qui dans les enregistrements analogiques se présentait comme des "drop
out", des défauts visibles dans l'image.
La qualité d'image du DV peuit se comparer à celle du Betacam SP, format d'enregistrement
analogique broadcast, qui fut le plus utilisé sur les chaînes de télévision.
Betacam Betacam
Format DV
UVW BVW/PVW
Bande passante vidéo L: 5.75MHz L: 4.0MHz L: 4.5MHz
C: >52dB C: >53dB
La créativité
Le "plus" du format DV est, en dehors de sa compacité, la créativité. Il est en effet possible de
faire du montage vidéo en qualité numérique. Pour les "accrocs", l'entrée "DV-in" est
indispensable si l'on souhaite ré-enregistrer en numérique le montage réalisé sur un PC par
exemple. Attention : cette entrée est encore assez rare.
Le mode photo
En ce qui concerne le mode photo, tous les caméscopes numériques en possèdent un, la différence
se situe dans la résolution du capteur et le support de stockage. Certains modèles stockent les
photos sur la cassette alors que d'autres les stockent sur des cartes mémoires amovibles et
réutilisables sur d'autres appareils. Plusieurs formats de cartes mémoire se partagent le marché
: les MMC (Multimedia Card) de Panasonic, JVC et Canon d'un côté et le Memory Stick de Sony
de l'autre. Les MMC sont appelées à être remplacées par les SD Card qui offrent une capacité de
stockage supérieure et une vitesse de transfert deux fois plus importante.
Vérifiez la résolution des photos : les photos stockées sur cassette sont limitées à la résolution
DV, c'est à dire : 720 x 576 points. Les photos stockées sur carte mémoire vont de la résolution
VGA à UXGA (640x480 à 1600x1200), cette résolution photo est définie par la finesse du
capteur CCD (500.000 pixels, 800.000 pixels, 1 millions de pixels). Quoi qu'il en soit, la qualité
des photos numérisées sera toujours inférieure à celle obtenue sur un bon appareil photo
numérique.
L'écran
La quasi-totalité des caméscopes numériques disposent d'un écran LCD. Ce petit écran couleur
offre un très grand confort de prise de vue car il permet de filmer sans avoir besoin de coller
l'œil sur le viseur. Il permet également de visionner son film immédiatement et en faire profiter
plusieurs personnes à la fois. Attention, l'utilisation de celui-ci réduit l'autonomie de votre
batterie. Vérifiez la définition de cet écran par le nombre de pixels. Plus il y en a, mieux c'est !
5) La connectique
Tous les camescopes numériques sont équipés d'un sortie numérique DV, également appelée "IEE
1394". C'est par cette prise que se fait le branchement sur un PC équipé d'une carte FireWire ou
bien sur un magnétoscope numérique. La principale différence entre les modèles se situe dans la
présence d'une entrée DV, sans laquelle il est impossible d'enregistrer son montage fait sur PC
vers une cassette DV. Certains sont même équipés d'une entée analogique, ce qui les
transforment en véritables magnétoscopes analogiques/numériques.
6) L'autonomie
Depuis l'apparition des batteries à technologie Lithium-Ion, l'autonomie des caméscopes s'est
sensiblement améliorée. Mais ce n'est pas l'unique avantage, en effet les batteries Lithium-Ion
sont insensibles à l'effet mémoire qui réduisait les capacités à chaque recharge. La plupart des
caméscopes actuels indiquent l'état de charge de la batterie mais c'est Sony qui possède le
système le plus performant avec le technologie "InfoLithium" qui indique le temps restant (en
minutes) sur la batterie. Avec des batteries optionnelles, il est possible d'obtenir jusqu'à 10
heures d'autonomie en enregistrement !
Attention aux valeurs d'autonomie des batteries fournies par les fabricants, celles-ci
correspondent à un usage passif (caméscope allumé seulement). Il faut donc réduire cette valeur
de 30 à 50 % pour obtenir une donnée plus réaliste.
Effectuer le montage
A la fin de l'acquisition vidéo, vous disposez d'une série de "plans" (en général symbolisés sous
forme d'imagettes dans le logiciel de montage) qu'il vous reste à couper et associer pour créer
des "séquences". Entre chaque scène, vous pouvez insérer des transisitions, des fondus ... Il est
bien sûr possible d'insérer pour chaque séquence des titres et des sous-titres. Enfin pour finir, il
est possible d'enregistrer ses propres commentaires via l'entrée micro de sa carte son, de
rajouter des musiques d'ambiance (au format wav) ...
Ce montage se fait grâce à des logiciels spécialisés qui sont parfois fournis avec le caméscope ou
avec la carte d'acquisition vidéo. Le montage vidéo nécessite une configuration machine assez
musclée. De plus, le prix des logiciels est très variable selon les fonctionnalités.
MPEG1
Ce format de fichier permet de graver environ 1 heure de vidéo sur un CD. La qualité est un peu
meilleure que celle des cassettes VHS standards. Le CD ainsi crée est lisible sur la plupart des
platines DVD de salon.
MPEG2
Inutilisable avec un CD : ce format permettrait d'enregistrer à peine 15 minutes de vidéo. Il est
donc à réserver pour l'usage des DVD-RAM ou DVD+Rw, sur lesquels on peut alors mettre 2h30
de vidéo. La qualité obtenue ici est bien meilleure que les standards Hi-8 ou S-VHS, par contre,
ils ne sont pas lisibles sur des platines de salon... pour le moment en attendant un vrai standard
de DVD enregistrable...
MPEG4
Plus connu sous le nom de DivX, c'est un format encore peu connu, mais qui est déjà pour les DVD
ce qu'est le MP3 pour les CD audio (...).
Si vous souhaitez malgré tout enregistrer les montages en analogique, il faut tenir compte de
certaines contraintes techniques. En effet, bien que certaines cartes d'acquisition soient
pourvues de sorties vidéos analogiques pour enregistrer les montages sur un caméscope de salon,
il est préférable d'utiliser une sortie S-Vidéo (alias Y/C), qui est de meilleure qualité que la
composite. Mais cela suppose que vous disposiez d'un magnétoscope S-VHS.