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DESCRIPTIONS : paysages, lieux, monuments

Décrire des lieux

1-Ma classe

Ma classe, située au rez-de-chausée, est vaste et de forme rectangulaire. Elle reçoit l'air et la lumière par
trois grandes baies. Ses murs, hauts de quatre mètres, sont peints en bleu. Face aux tableaux, la chaire du
maître se dresse dans un angle de la classe. Au-dessus se trouve une pendule et, à côté, le tableau noir à
feuillets.Vingt et une tables à deux places sont disposées sur quatre rangs. Entre chaque rangée, un
espace est aménagé pour la circulation des élèves et du maître. Aux murs sont suspendus des cartes
géographiques et des tableaux décoratifs. Une armoire-bibliothèque occupe le fond de la classe. J'aime ma
classe parce qu'elle est gaie et saine, et parce que j'y reçois une bonne instruction.

F.AMAND, Pratique du Vocabulaire et de la Composition française, Cours Moyen, Paris Fernand Nathan.

-Quelles parties de la classe sont décrites ?


-Quels sont les adjectifs employés pour caractériser chacune de ces parties ?

2-Une vieille ferme

C'était une vieille ferme, bâtie à l'ancienne mode, avec une grande cour carré entourée d'un petit mur de
pierres sèches; la fontaine au milieu de la cour, l'auge verdâtre; les étables et les écuries à droite; les
granges et le pigeonnier surmonté d'une tourelle à point, à gauche; le corps du logis au milieu.

ERCKMANN-CHATRIAN. (L'ami Fritz.)

-Relève les mots et les expressions qui nous permettent de préciser l’emplacement exact de chaque
bâtiment.
-Quelques traits suffisent à caractériser, à décrire la ferme, la cour, le mur, l’auge, le pigeonnier. Quels sont
ces traits ?

3-Cour de récréation

La cour de récréation est située derrière l’école. Très vaste et de forme rectangulaire, elle est entourée d’un
mur élevé de deux mètres.
Le sol, recouvert d’un galet rond très fin, est légèrement en pente pour faciliter l’écoulement des eaux
pluviales qui se fait par des caniveaux.
Deux  rangées  de tilleuls  protègent  les élèves  contre  les ardeurs du  soleil  d’été. En cas de  mauvais
temps, ils trouvent un abri sous le préau couvert.
Le long des murs, des urinoirs et des cabinets  en nombre suffisant  sont disposés, ainsi que des lavabos
où l’eau coule abondamment.
J’aime  la cour de l’école  parce qu’elle est confortable et  que j’y fais, pendant  les récréations, de bonnes
parties avec mes camarades.  

F. AMAND, Pratique du Vocabulaire et de la Composition française, Cours Moyen, Paris Fernand NATHAN

-La description s’achève par une courte réflexion finale qui résume les impressions ou les sensations de
l’auteur : relève cette courte réflexion.

4-Mon village

Il est tout petit, mon village. Avec ses toits rouges, qui émergent du milieu des arbres, on le prendrait de
loin pour une rose mousseuse  qui fait craquer son corset vert. Il se pelotonne frileusement sur le
penchant d’une colline qui se chauffe en plein midi.  A  ses pieds, une étroite vallée  où une ligne sinueuse
de saule et de peupliers révèle et cache une petite rivière ; sur sa tête, un vaste plateau où le regard file en
tous sens à perte de vue. 

G.RENARD, Croquis champêtre (Plon, édit.)

-Relève le passage de présentation d’ensemble du village.

5- La vieille ville
Elle est vraiment très pittoresque et très curieuse, cette petite ville. La Loire lèche paresseusement le pied
de la colline sur laquelle elle se dresse ; plus loin, la forêt s’étend ses masses sombres. La petite ville a,
depuis longtemps,  fait craquer  ses  remparts :  ses  maisons  neuves  s’égaillent joyeusement  dans les
vignes.  Les vieilles demeures  se serrent fraternellement  le long des ruelles tortueuses qui,  toutes,
conduisent à la place du marché. Elle s’enorgueillit  d’un glorieux passé.  On admire  encore aujourd’hui 
ses solides murailles moussues, son vieux château que le temps a respecté et sa très curieuse tour ronde
qui s’élève fièrement au-dessus des petits pointus.

L.DUMAS, Le livre unique de français. Edition HACHETTE).

-Ce texte est plein de métaphores, relève quelques-unes.

6- Ain El Fouara

Qui ne connaît pas cette fontaine monumentale à quatre goulots ? C’est aussi une superbe femme nue
portant une amphore et juchée sur son socle, au pied de laquelle coule une eau si fraîche aux vertus
magiques.
Ain El Fouara est la création  du sculpteur français de Saint Vidal en 1898. C’est Francissioni, un architecte
italien qui a proposé son emplacement actuel sur un site romain d’où jaillissent quatre fontaines.
Ain El Fouara est devenue une légende, un mythe et un symbole de la capitale des hauts plateaux.

Guide pratique d’Algérie, 48 Wilaya d’Algérie. Editeur  : Nounou Editions.

-Ain El Fouara est le symbole de quelle ville de l’est d’Algérie ?

7- Jet d’eau de Tizi-Ouzou

Le jet d’eau constitue la nouvelle attraction de la capitale du Djurdjura. En effet, de jour comme de nuit, cet
ouvrage d’art est devenu une curiosité, voire un centre d’intérêt  pour tous les badauds. Un engouement
qui fait le bonheur des photographes ambulants de la ville qui proposent leurs services pour une photo…
C’est durant la nuit  que le bassin brille de mille feux. Et ce grâce à un système avec un jeu de lumière et
cette eau projetée vers les cieux par un jet principal de 5 mètres de hauteur et cinq jets périphériques de 4
mètres sortant de cruches, sans compter ces innombrables petits jets qui couronnent le bassin. Cet
ouvrage est doté  d’un équipement  de pointe  avec cet anémomètre qui régule  les jets d’eau  en fonction
de la vitesse du vent. En effet, dès lors que le vent atteint une certaine vitesse et que l’eau est projetée en
dehors du bassin, cet anémomètre stoppe automatiquement les machines pour ne les redémarrer qu’une
fois le vent tombé..

Mohamed Rachid, Journal EL WATAN

-Peut-on dire que le jet d’eau de Tizi-Ouzou représente le symbole de cette ville ? 
-Quel lieu pourrait -à ton avis- servir de symbole le mieux représentatif de cette région d’Algérie ?

8-La maison abandonnée

Depuis  trente  ou  quarante ans  peut-être,  la maison  devait  être  inhabitée.  Les briques  des corniches
et des encadrements, sous les hivers, s’étaient disjointes. Des lézardes coupaient la façade, pareilles à des
rides précoces, sillonnant cette bâtisse encore solide, mais dont on prenait plus aucun soin.
En bas,  les marches du perron,  fendues par la gelée,  barrées par des orties et des ronces,  étaient là
comme un seuil de désolation et de mort. Et surtout l’affreuse tristesse venait des fenêtres sans rideaux,
dont les gamins avaient cassé les vitres ; toutes laissaient voir le vide des pièces, ainsi que des yeux
restés grands ouverts sur un corps sans âme.

Emile ZOLA

-Cette description veut dégager une impression dominante, peux-tu dire laquelle ?
-Montre que tous les détails descriptifs ont été choisis en fonction de cette impression.

Décrire des paysages

9-Lever de soleil sur les Alpes

Les Alpes étaient encore plongées dans la nuit ; mais cette nuit d’une pureté merveilleuse nous promettait
un lever de soleil splendide.  En effet,  après quelques minutes  d’attente,  une ligne pourprée  s’étendit à
l’orient,  et en même temps, au midi, on commença à distinguer la grande chaîne des Alpes, comme une
découpure d’argent sur le ciel bleu et étoilé,  tandis qu’au  couchant et au nord  l’œil  se perdait  dans le
brouillard  qui s’élevait de  la Suisse des prairies. Cependant, quoique le soleil ne parût point encore, les
ténèbres se dissipaient peu à peu, la ligne pourprée de l’orient devenait couleur de feu,  les neiges  de la
grande chaîne  des Alpes étincelaient  et le brouillard stationnait seulement 
au-dessus des lacs. Enfin, après dix minutes de crépuscule, l’orient sembla rouler des flots d’or, les
grandes Alpes se couvrirent d’une teinte orange. 

Alexandre DUMAS, Impression de voyage

-Ce texte décrit les diverses étapes du lever du jour. Indique-les brièvement.

10-Un paysage provençal

Un  immense paysage  en  demi-cercle  montait  devant  moi jusqu’au ciel :  de noires pinèdes,  séparées
par des vallons, allaient mourir comme des vagues au pied de trois sommets rocheux.
Autour des nous, des croupes  de collines plus basses  accompagnaient  notre chemin, qui serpentait sur
une crête entre deux vallons. Un grand oiseau noir, immobile, marquait le milieu du ciel, et de toutes parts,
comme d’une mer de musique, montait la rumeur cuivrée des cigales.  Elles étaient pressées de vivre, et
savait que la mort viendrait avec le soir.
Les terrasses… étaient couvertes  d’oliviers  à  quatre ou cinq troncs,  plantés en rond. Ils se penchaient
en arrière pour avoir  la place d’épanouir leurs feuillages  qui formaient un  seul bouquet. Il y avait aussi
des amandiers d’un vert tendre, et des abricotiers luisants.

Marcel PAGNOL

-Distingue les différentes étapes suivies par cette description et propose un titre pour chacune.

11- Un orage au Hoggar

Brusquement,  le vent  s’éleva,  un vent  formidable,  et presque  en même  temps le jour  sembla  s’éclipsa
du ravin.
Au-dessus  de nos têtes,  le ciel était devenu  en  un clin d’œil plus ténébreux  que les parois noires  du
couloir où nous dévalions…  Un éclair aveuglant  déchira l’obscurité.  Un coup de tonnerre  répercuté à
l’infini  par la muraille rocheuse retentit et, aussitôt, d’énormes gouttes tièdes se mirent à tomber. Nos
burnous…furent collés à nos corps ruisselants…
Et c’était,  sans interruption,  le fracas  du tonnerre  et celui,  plus fort encore,  de pans entiers  de
murailles rocheuses, sapées par l’inondation, qui s’écroulaient d’un seul coup et se dissolvaient au milieu
du flot déferlant. Tout le temps que dura ce déluge,  une heure,  deux peut-être,  Morhange  et moi
demeurâmes  sans un mot,  penchés  sur la vallée,  en contrebas, où les eaux se précipitaient… 
Enfin la pluie s’affaiblit, un rayon de soleil brilla. Alors seulement nous nous regardâmes.

Pierre BENOIT

-L’orage se déroule à travers une succession d’étapes : indique-les brièvement.

Décrire des monuments

12- Statue de la Liberté

La Liberté éclairant le monde, plus connue sous le nom de Statue de la Liberté, est un monument situé à
New York sur la petite île de Liberty Island, au sud-ouest de Manhattan.
Elle fut exécutée à Paris, dans les ateliers Gaget-Gauthier, en 1878, par le sculpteur Frédéric-Auguste
Bartholdi et l’ingénieur Gustave Eiffel (qui succéda à Viollet-le-Duc, décédé) pour la charpente métallique.
Celle-ci est, en effet, creuse, recouverte de plaque de cuivre rivetées. Son socle est en pierre de Kersanton.
La pierre composant le socle de la Statue de la Liberté provient d’un village de France, Euville dans la
Meuse, réputé pour la qualité de sa pierre et cette pierre avait été choisie pour ses qualités de faible
érosion à l’eau salée.
D’une hauteur de 46,56 m (92,99 m en coptant le socle), elle représente une femme drapée brandissant une
torche de la main droite. Dans sa main gauche, elle tient une tab lette sur laquelle on peut lire la date de
l’indépendance américaine : le 4 juillet 1776. Les 7 branches de sa couronne représentent les 7 continents.
Les 25 fenêtres symbolisent les 25 pierres gemmes. A ses pieds, se trouvent des chaînes brisées qui
symbolisent la paix.
On peut monter, par l’intérieur, jusqu’à la couronne par un escalier de 354 marches (visite interdite depuis
les attentats du 11 septembre 2001).
Située à l’entrée du port de New York, elle était le premier symbole américain pour les émigrants transitant
par Ellis Island en arrivant par bateau. Symbolisant la liberté éclairant le monde, elle est rapidement
devenue un emblème national des Etats-Unis et un des symboles les plus universels de la liberté et de la
démocratie.   

Sources : ENCARTA 2005

-Distingue les passages descriptifs des passages explicatifs puis réécris un autre texte pour ne garder que
les passages qui décrivent la statue.

13- Tour EIFFEL

La  tour Eiffel  est  une  tour  de  fer  puddlé  construite  par  Gustave Eiffel  et  ses  collaborateurs  pour
l’Exposition universelle de 1889. Situé à l’extrémité du Champ-de-Mars, en bordure de la Seine, ce
monument parisien, symbole de la France et de sa capitale est l’un des sites les plus visités du pays.
La tour s’appuie  sur quatre piliers  en arc fixés  sur quatre petites  structures maçonnées.  En s’élevant,
les arcs se redressent puis  se fondent  au deuxième étage  en un caisson unique et effilé. Il y a trois
plates-formes offrant chacune un belvédère. Elle possède un restaurant au tout premier étage et d’une
terrasse au dernier.
La tour  pèse environ  7300 tonnes  (en excluant les fondations et les aménagements),  ce qui donne  une
très faible charge (4kg) par cm2  de fondations.  Tout près du sommet sont installées une station
météorologique et une station de communication radio.  Pour accéder  au dernier étage,  il faut monter  par
un  ascenseur.  La tour  est très  belle  la nuit, lorsqu’elle illumine avec ses lumières qui brillent de mille
feux, quelle merveilleuse vue de Paris !
Construite en 2 ans, 2 mois et  5 jours, de 1887 à 1889, par 250 ouvriers, elle est officiellement inaugurée le
31 mars 1889. Sa fréquentation s’érode rapidement ;  la tour Eiffel  ne connaîtra véritablement un succès
massif et constant qu’à partir des années 1960,  avec l’essor du tourisme  international.  Elle accueille
maintenant plus de 6 millions de visiteurs chaque année.

Sources : ENCARTA 2005

-Cette description de la tour Eiffel suit un plan précis. Retrouve ses différentes étapes.

14-La Grande Muraille de Chine

La Grande Muraille de Chine est la plus grande construction du monde. Elle s’étend sur près de 3 000km,
de la mer Jaune à l’ouest jusqu’à la porte de Jade d’où partait, à travers le vaste désert d’Asie centrale,
l’ancienne route de la soie. 
La muraille fut commencée en 204 av. J.-C. sur l’ordre de Shih Huang-di, le premier grand empereur de
Chine, pour protéger l’empire des attaques des barbares. Des remparts déjà existants furent renforcés et
reliés pour former une fortification sinueuse et continue. La muraille est faite d’un mur de 6 à 18 m de haut
sur lequel passe une route. Tous les 60 m environ se trouve une tour de guet plus haute, d’où les gardes
allumaient des feux pour se transmettre des signaux. A d’autres endroits, la muraille n’est formée que d’un
talus de boue.
La construction de la Grande Muraille fut un travail gigantesque qui fut surtout effectué par des
prisonniers. Plus de 300 000 hommes y travaillèrent.

                                                                                                                                 MERVEILLES DE L’ARCHITECTURE,
page 22 Editions Gründ

15-Les châteaux

Des  forts apparurent dès l’âge de pierre au sommet des collines. Les Romains en construisirent beaucoup
ainsi que les Byzantins, qui édifièrent en Afrique du nord il y a environ 1 500 ans. La grande époque des
châteaux en Occident débuta vers l’an 1000. 
Les châteaux étaient à la fois des forteresses défensives et des positions d’attaque avancées. Les
remparts des châteaux médiévaux servaient d’abri pour certains, et de prison pour d’autres. En Europe, en
Inde, en Afrique, en Asie, les châteaux avaient autrefois de puissantes fortifications militaires. Aujourd’hui,
la plupart ont été transformés en musées.
L’INTERIEUR D’UN CHATEAU
Les châteaux des IXe et Xe siècles possédaient généralement une tour centrale appelée donjon, entourée
d’une cour et de murs d’enceinte en pierres. Du haut des murailles, les soldats pouvaient tirer sur les
ennemis qui se trouvaient en bas, leur jeter de l’huile bouillante et de grosses pierres. 
Plus tard les châteaux en Europe se doublèrent d’un mur circulaire à l’intérieur des murs d’enceinte, en
s’inspirant des châteaux orientaux. Si la première muraille tombait, les défenseurs se retranchaient
derrière la seconde. Pour prendre le château, les attaquants devaient enfoncer les portes, traverser les
ponts et éviter les pièges où les assiégés les attendaient. Les défenseurs pouvaient attaquer l’ennemi
depuis des positions spécialement aménagées. Un château de la taille du Krak des Chevaliers, en Syrie,
qui était la plus grande forteresse construite par les Croisés, pouvait soutenir un siège d’une année
entière. 

                                                                                                                MERVEILLES DE L’ARCHITECTURE, page 30 et


31 Editions Gründ       
-Pour quelles raisons les châteaux ont-ils été conçus ?
-Qu’est-ce qui caractérise un château sur le plan de l’architecture ?

Décrire   une ville

16- Dans un pays de lacs et de forêts, une capitale originale…HELSINKI

Helsinki est la capitale de la Finlande ; elle compte 528.000 habitants, environ, et elle est située sur une
presqu’île du golfe. Coupée d’avenues, de parcs, pénétrée de toutes parts par la mer, elle est sûrement
l’une des villes les plus originales des pays nordiques.
DES MONUMENTS A PEINE CENTENAIRES…
Fondée par le roi de Suède, Gustave Vasa, en 1550, elle fut reconstruite entièrement en 1809, après un
terrible incendie. Et c’est en 1829 qu’elle devient capitale de Finlande. C’est dire qu’elle n’a que quatre
cents ans d’existence
et que ses monuments ne datent que d’un siècle. Quant à la Finlande, elle-même, elle avait déjà son mot à
dire aux temps préhistoriques. 
     …D’AUTRES TRES MODERNES  !
Mais découvrez la ville, telle qu’elle est aujourd’hui. Vous irez d’étonnement en étonnement. D’abord,
saviez-vous que la gare centrale et la poste principale sont parmi les plus modernes et les mieux équipées
d’Europe ?
Le stade olympique est gigantesque. Il vous faudra voir la cité de l’Enfance, le musée des Sports, les
monuments néo-classiques, avec frontons, colonnades, dans le style de la Grèce antique. On visite le
palais de la Diète le premier dimanche de chaque mois. 
     UNE VILLE ANIMEE ET COLOREE
Puis, vous irez vous baigner à Kaïuopiuisto, l’une des plages au bord de la mer et, néanmoins, dans la
ville.
Offrez-vous un déjeuner à la terrasse de l’hôtel « Torni », d’où vous verrez la ville.
Vous rapporterez certainement des porcelaines artisanales, des chaussons de renne brodés, des bonnets
lapons en fourrure.
Puis, un beau jour, à partir d’Helsinki, vous irez à la découverte de la Finlande. Vous verrez les pêcheurs
en eau glacée, et les traîneaux que tirent les rennes…

Album  BD  MANDRAKE n°376 (page 19)

-Quels sentiments ou impressions peux-tu exprimer après la lecture de ce texte descriptif ? 

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