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1.

La différence entre CM en matière de l’IR et en matière de l’IS :


La CM en matière de l’IR est le minimum à payer d’impôt qui ne doit pas être moins de 1500dh
pour le personnes physiques et 3000dh pour les personnes morale et qui doit être versée et qui
constitue un acompte, tandis que la CM en matière de l’IS c’est le minimum à payer qui ne dois,
pas être inférieur à 3000dh
2. PER : Price Earning Ratio : il exprime à travers un multiple l’évaluation d’une entreprise par le
marché boursier, ce PER est mesuré par le rapport : cours/bénéfice par action
3. L’effet levier : c’est une technique financière qui consiste à moduler la rentabilité des fonds
propres en fonction d’un recours plus au moins grand à l’endettement, tout dépend de la
rentabilité de l’actif économique appelé rentabilité économique et le taux de rémunération des
dettes ainsi que le niveau d’endettement.
4. Factoring  ou affacturage : c’est une méthode de financement qui consiste à céder, moyennant
une décote ou commission, une créance à un organisme spécialisé appelé factor qui se charge du
recouvrement et qui assume le risque de non paiement du débiteur.
5. Agence de notation (Rating) : c’est un organisme spécialisé qui , après études approfondies sur
un émetteur de titre et su ses perspectives d’avenir , émit un jugement sur la cote de sa
solvabilité
6. Cash flow : il désigne le montant des ressources sécrétées par l’entreprise de manière interne, il
correspond à la capacité d’autofinancement, et il traduit aussi les flux de la trésorerie
d’exploitation de l’entreprise
7. PBR : Price To Book Ratio : il mesure le rapport entre la valeur boursière (Price) des fonds
propres et leur valeur comptable (Book) si la rentabilité des capitaux propres est supérieure à la
rentabilité requise par les actionnaires le PBR sera supérieur à 1
8. Ratio Cooke : c’est le coefficient de la solvabilité des banque selon lequel les fonds propres
doivent atteindre un certain pourcentage de la valeur d’actif et des engagements hors bilan
pondérés en fonction du risque, le niveau d’engagement des banques est donc limité par leur
propres solidité financière. La limite du ratio Cooke est qu’il ne prend pas en compte les risques
associés aux prêts accordés
9. Ratio Mc DONOUGH : ce ratio prend en compte, autre le risque crédit, le risque marché
(opération de taux, de change de matières premières….).
10. Tableau de bord financier : c’est un document qui reprend les principaux indicateurs d’activité et
de performance financiers de l’entreprise, (rentabilité, équilibre financier, sa croissance, sa
pérennité ….)
11. Lease Back  ou cession bail : c’est une technique qui consiste pour une société de leasing à
acheter à un utilisateur un bien et le mettre à sa disposition en vertu d’un contrat de crédit bail.
12. Ligne de crédit : les lignes de crédit traduit les concours bancaires ou autorisation de crédit
accordés à l’entreprise par sa banque (ligne d’escompte commercial, ligne de découvert
bancaires,…..) ces lignes sont renégociables annuellement en fonction des besoin et la situation
de l’entreprise.
13. Marché efficient : un marché financier lorsque les prix des actif financiers traduisent à tout
moment toute l’information disponible.
14. MEDAF : (modèle d’évaluation des actif financiers)  ou Capital Asset Pricing model (CAPM) :
permet d’évaluer les actifs financiers dans un marché financier en équilibre , dans un tel marché,
seul le risque de marché ou risque non diversifiable est rémunéré par les investisseurs et la
rentabilité requise par l’investisseur égal au coût de l’argent sans risque majoré d’une prime de
risque liée exclusivement au risque de marché de l’actif concerné.
15. MVA (Market Value Added) : c’est la valeur ajoutée de marché, il représente la valeur
actualisée au coût du capital des EVA futures
16. EVA (Economic value Added) : il constitue une mesure de performance relativement nouvelle
qui repose sur l’idée que la rentabilité additionnelle dégagées par l’entreprise au cours d’une
période donnée provient de l’écart entre la rentabilité réelle obtenue et la rentabilité
consommée (coût moyen pondéré du capital)
17. Goodwill : il traduit l’excédent du prix de vente possible de l’entreprise sur sa valeur
patrimoniale
18. Badwill : c’est lorsque la valeur de la revente de l’entreprise est inférieure à sa valeur
patrimoniale
19. Autofinancement : c’est le surplus monétaire (ressources) généré par l’entreprise et conservé
durablement pour assurer le financement de ses activité, l’autofinancement se calcule à partir de
la capacité de financement, de la quelle on déflaque les dividendes mis en paiement au cours de
l’exercice.
20. Avis de sort : c’est l’information que communique la banque cédant à la banque du tiré
concernant le paiement ou le non paiement d’un chèque ou d’un effet de commerce à son
échéance
21. Billet à ordre : c’est un engagement par lequel le souscripteur promet de payer une somme
déterminé à une échéance donnée.
22. Billet de trésorerie : c’est un titre de créance négociable introduite au Maroc en 1986, il s’agit
d’un billet nominatif ou au porteur émis par une entreprise (autre qu’un établissement
financier) en vue de se procurer des liquidités à court terme
23. Blocage de fonds : c’est le placement de l’’excédent de trésorerie dans des comptes à terme
rémunérés, c’est une politique adoptée par les entreprise pour éviter la oisiveté de l’argent et
optimiser la rentabilité de l’entreprise.
24. CAF : c’est les ressources de financement générées par l’activité de l’exercice, avant l’affectation
du résultat, la CAF mesure l’aptitude de l’entreprise à financer par ses propres ressources ses
besoin de financement pour assurer sa pérennité et sa croissance.
25. Crédit Scoring : c’est l’appréciation de la solvabilité d’un emprunteur à partir d’une fonction
discriminante bâtie sur une combinaison de ratios quantitatifs.
26. Fonds de roulement : c’est les ressources nettes stables de l’entreprise formées de l’excédent
des financements permanents sur l’actif immobilisé et susceptibles de financer une partie de
l’actif circulant.
27. Gestion de fonds : c’est la gestion de portefeuilles d’actions, d’obligations ou d’autres produits,
cette activité est exercée au sein des banques, des sociétés de bourses, des compagnies
d’assurances et les autres organismes financiers.
28. Holding : c’est une société qui détient des participations dans d’autres sociétés et qui en
contrôle la gestion, en rémunération de ses participations, le holding perçoit des dividendes
29. IASB (International Accounting Stadard Bord) : c’est un organisme crée en 1973 à l’initiative
d’instituts d’expert comptable de 9 pays dans l’objet est d’établir des normes comptables
reconnues au plan internationale et d’harmoniser les pratiques comptables et la présentation
des comptes.
30. IFRS (International Financial Reporting Standards): c’est les normes comptables élaborées par
l’ISAB)
31. Indice boursier : il permet de mesurer la performance d’un marché d’action, au Maroc il existe
deux indice le MASI et le MADEX
32. Mise en équivalence : c’est une méthode qui consiste à substituer à la valeur comptable des
titres détenus le quota part des capitaux propres.
33. Moratoire : c’est une méthode qui consiste pour les créanciers à consentir des délais de
paiement plus longs pour améliorer la situation financière de leur débiteur.
34. Pool bancaire : c’est un ensemble de banque consentant à une entreprise des crédits
consortiaux, il vise à mieux répartir le risque.
35. Point mort : il correspond au seuil de chiffre d’affaire ou de volume de production à partir
duquel l’entreprise couvre ses charges fixes et variables et commence à réaliser des bénéfices.
36. POR (Pay Out Ratio) : c’est le taux de distribution des dividendes, c’est le rapport du dividende
versé au titre d’un exercice donné au résultat bénéficiaire distribuable.
37. Trésorerie zéro : c’est une politique qui consiste pour une entreprise à maintenir aussi près que
possible de zéro les soldes en banque et en valeur en vue de minimiser les coûts de gestion de la
trésorerie
38. VAN : c’est la valeur des flux de trésorerie associés à l’investissement, actualisé au taux
d’actualisation qui représente le taux de rentabilité requise par l’investisseur en fonction du
risque de l’investissement ; cette VAN traduit la valeur créée ou détruite par l’investissement.
39. Volatilité de l’action : il traduit la propension d’une action à subir des variations à la hausse ou à
la baisse supérieures à la variation moyenne du marché.
40. Cotation boursière : c’est le produit du cours de bourse accordé par le marché financier par le
nombre d’actions constituant son capital d’une société.
41. Offre publique : c’est un engagement par une société à acquérir à un prix déterminé les actions
d’une autre société l’objectif recherché étant la plupart du temps la prise de contrôle.
L’opération peut porter sur tout ou partie des titres et le paiement se fait soit en numéraire (en
cas d’offre publique d’achat ou de vente) soit en titres lors d’offre publique d’échange
42. La performance non financière : il prend en considération l’aspect immatériel de la création des
richesses et permet une meilleure flexibilité et réactivité des entreprises face aux changements,
il mesure le niveau de la qualité des produits, le degré de satisfaction des clients, la motivation
des employés et le degré d’innovation dont l’entreprise fait preuve et qui affecte directement
sa rentabilité.
43. Capital risque : c’est investissement en argent dans la plus part des cas, apporté au profit d’une
entreprise jeune par des investisseurs, cette opération se réalise par la participation dans le
capital de la dite entreprise.
44. Ramassage en bourse : c’est une opération sur titres consistant pour un ou des investisseurs à se
porter acquéreurs d’actions en bourse à leur cours de cotation et en évitant de forte variation
haussières
45. La TVA rémanente : c’est la TVA perdue dans le temps suite à non déductibilité de cette TVA à
titre d’exemple en cas d’acquisition des voitures de tourisme, les opérations de déplacement et
mission, l’achat des cadeaux publicitaires
46. Les régularisations qui s’imposent en matière de la TVA : les régularisations de la TVA qui
s »’imposent en matière de la TVA sont ;
- En cas de variation du prorata de plus au moins cinq points et uniquement pour les
immobilisations
- En cas de cession des immobilisations avant la cinquième année suivant l’année d’acquisition
(actuellement 10ans selon la loi de finance 2017)
- Cas de vol non déclaré par procès verbal, disparition non justifiée, et prélèvement pour
propre compte
- La note d’avoir
47. L’imposition du pourboire en matière de la TVA : il existe deux cas ;
- Si les pourboires sont facturés dans ce cas ils sont taxables
- Sinon ils ne sont pas taxables

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