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L'expression réforme de l'État désigne les actions de type législatif ou réglementaire qui doivent entraîner une
transformation substantielle de l'organisation, du périmètre d'action, ou des méthodes de fonctionnement de
l'État, c'est-à-dire des administrations publiques. L'objectif proclamé de ce type de réforme structurelle, inspiré
par la nouvelle gestion publique, est généralement de réduire les coûts de fonctionnement, éventuellement par
des hausses de productivité, d'améliorer le service rendu aux citoyens, de diminuer l'impôt papier, ou encore de
réduire l'emprise de l'État sur l'économie.
Dans les pays développés, au cours des années 1980, 1990 et 2000, des réformes importantes des États ont eu
lieu à la faveur de l'informatisation et de l'application des principes de bonne gouvernance.
Sommaire
Présentation
L'État n'est pas le pays
Tendances générales
En France
La spécificité de l'État en France
Les réformes de l'État de 1930 à 1958
Historique récent
Actuellement
Moyens de mise en œuvre
Objectifs officiels
La Loi organique relative aux Lois de Finances du 1er août 2001 (LOLF)
Poursuite de la décentralisation
Révolution informatique et internet
Services aux citoyens
Évaluation
Autres pays
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Bibliographie
Présentation
Selon l'OCDE, la réforme de l'État est nécessaire pour accroître la performance de celui-ci. Elle consiste
généralement à faire passer l'État d'un fonctionnement administratif à un fonctionnement gestionnaire, d'un
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système bureaucratique à un ensemble de mécanismes inspirés de la nouvelle gestion publique .
y q p g p q
Réformer c'est, littéralement, faire changer de forme. Ce type de changement est toujours un effort, et ne peut
être motivé que par le sentiment que les choses méritent un changement important, donc une situation perçue
comme difficile. Le redressement de la situation des finances publiques est la plupart du temps un aiguillon
important. Ce critère est invoqué dans la quasi-totalité des pays ayant entamé un processus de réforme de
l'État.
La réforme de l'État est souvent associée à d'autres changements, qui touchent le pays, l'exemple typique étant
l'application des préceptes du libéralisme économique au Royaume-Uni (gouvernement de Margaret Thatcher)
et aux États-Unis (Ronald Reagan). Il est bien évident qu'un projet politique consistant en une réduction
sensible des interventions de l'État se traduit aussi par sa nécessaire réorganisation. Mais la confusion doit
cependant être évitée : la réforme de l'État d'une part, la transformation de la société d'autre part, sont deux
choses distinctes. Transformer une administration en entreprise de droit commun (exemple en France : la
DCN, GIAT, ou France Telecom), ou supprimer le statut de fonctionnaire pour les passer sous le droit
commun du travail relève bien d'une réforme, mais cela n'affecte principalement que l'État et ses agents ;
inversement, libéraliser le marché de l'électricité a une forte influence sur la société sans nécessiter de réforme
de l'État. Il reste évidemment que, en pratique, on observe quand même « une nette corrélation entre la
réduction du format et des missions de l'État et une réforme de celui-ci susceptible d'obtenir quelque succès
2
significatif » .
Dérégulation et libéralisation de nombreux secteurs économiques, privatisation des entreprises publiques sont
donc en général au programme, mais cela n'est en rien obligatoire : il peut s'agir seulement de réorganisation de
la fonction publique dans une logique de résultats, d'efficacité, et d'efficience de l'État (Scandinavie, Royaume-
Uni). Parallèlement, les forces politiques ayant ce type de programme peuvent également supprimer des
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« privilèges » de certaines « corporations » , constituant à leurs yeux autant d'« inégalités » injustifiées entre
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les différents groupes d'une même société , même si d'autres forces politiques les considèrent comme des
« acquis sociaux » injustement « attaqués », ou des « avancées sociales » qu'il faudrait plutôt généraliser à
tous.
Tendances générales
Dans un premier temps, la mondialisation de l'économie, a poussé les États à rendre plus attractifs leurs
territoires, notamment en agissant sur la fiscalité. Ces tentatives de réduction de la fiscalité ont poussé ces États
à diminuer leurs dépenses malgré l'aspiration des populations à de meilleurs services publics. C'est pourquoi la
voie choisie fut le plus souvent la recherche de productivité au sein des services publics, plutôt que leur
suppression.
Par la suite, en Europe, les déficits des finances publiques de nombreux pays ont créé une nouvelle pression à
la réforme des l'État, contraints de revenir à l'équilibre budgétaire sous la contrainte du traité de Maastricht.
Dans ce cadre, deux stratégies non exclusives ont pu être adoptées, la hausse des recettes fiscales et la baisse
des dépenses publiques, rendue possible par des réformes structurelles des États.
Enfin, certaines réformes ont été impulsées par l'opinion publique, exaspérée par les mauvaises performances
de leur administration. C'est notamment le cas du Japon, où les réformes ont eu lieu à la suite de la vague
d'indignation populaire face à la mauvaise gestion de l'éclatement de la bulle économique au début des années
5
1990, puis à la gestion considérée comme désastreuse du séisme de 1995 à Kobe .
Les réformes récentes des États s'inspirent de travaux menés dans les années 1970 et 1980 dans les pays anglo-
l d bl ( ) ô l d
saxons par les tenants du New Public Management (NPM). Ceux-ci prônent la remise en cause de
l'organisation concentrée traditionnelle de l'État au profit d'une séparation entre le pouvoir politique, qui fixe la
Cette recherche de la performance au sein de l'administration s'est traduite par un recours plus fréquent à des
agences publiques autonomes ayant à rendre des comptes aux pouvoir exécutif et aux citoyens, les ministères
devenant les lieux de contrôle de ces agences.
En France
La réforme de l'État en France n’est pas une idée nouvelle. On peut même considérer que c'est une constante
permanente, si on compare l'histoire institutionnelle de la France et celle du Royaume-uni depuis 1815.
Même si l'État a toujours eu comme le montre la citation ci-dessus une forte composante administrative, il est
possible de s'interroger sur la raison pour laquelle de nos jours la réforme de l'État est devenue synonyme de
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réforme de l'administration et pourquoi s'il en est vraiment ainsi on parle de réforme de l'État qui a un sens
plus large comme le montrent les réformes de l'État de 1946 et 1958 qui n'étaient pas qu'administratives mais
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touchaient à l'équilibre des pouvoirs entre l'exécutif, le parlement, la haute fonction publique et à la façon
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d'introduire l'expertise notamment économique, dans le débat public
La réforme de l'État, à partir de 1970, a été prônée par Michel Crozier et le Centre de sociologie des
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organisations non seulement en raison du poids d'une bureaucratie centralisée mais aussi, plus largement, en
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raison d'une emprise de l'État sur toutes les composantes de la société , emprise grandissante sous l'effet d'un
"cercle vicieux" de la bureaucratie.
Dans l'entre-deux-guerres de nombreux projets de réforme de l'État ont été avancés, par exemple par Henri
12
Fayol, l'un des précurseurs du management , les conseillers d'État Henri Chardon (L’Organisation de la
République pour la paix, 1926), René Favareille (Réforme administrative par l’autonomie et la responsabilité
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des fonctions (self-administration), 1919) ou encore Léon Blum (La Réforme gouvernementale, 1936) .
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Pour Nicolas Roussellier , certains de ces projets s'articulaient autour de quatre axes :
Renforcer l'exécutif
Rationaliser le travail parlementaire
Introduire une « représentation des intérêts » dans les organes de l'État
Modifier l'exercice du suffrage électoral.
Une réforme de l'État inspirée de ces projets a failli aboutir en 1934 sous le gouvernement de Gaston
15 16
Doumergue . Pour Nicolas Roussellier , les deux réformes de l'État réalisées en 1946 et en 1958 se placent
Dou e gue . ou co as ousse e , es deu é o es de tat éa sées e 9 6 et e 958 se p ace t
tant au niveau des thèmes que de certains inspirateurs René Capitant ou Michel Debré dans la continuité des
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projets des années 1930 .
Historique récent
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Avec l'avènement de la Ve République , le terme réforme de l'État prend un tour plus limité et plus
gestionnaire et est appliqué par exemple pour désigner :
On voit donc qu'il n'y a pas que des échecs dans cette longue histoire, mais qu'il y en a quand même
beaucoup. La dégradation des finances publiques fournit un aiguillon de plus en plus pressant, et le processus
semble de plus en plus actif.
Actuellement
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Selon l'OCDE , la réforme devrait consister à (pour la France) :
La fonction publique a souvent été présentée comme l'archétype du non-réformable, et la réforme de l'État
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comme une « chimère » inatteignable .
Pour réussir, la réforme de l'État doit être un processus continu, qui se déroule sur le long terme, et qui
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nécessite l'implication des hommes politiques et des haut fonctionnaires . Or le politique demande plutôt des
résultats immédiats et visibles.
Le gouvernement présente la réforme de l'État comme un chantier important. Selon ses estimations, le secteur
public en France dépense trop, les niveaux des dépenses publiques et des prélèvements obligatoires sont trop
élevés et posent des difficultés à la France dans le cadre de la mondialisation économique et de la mise en
concurrence des économies, par exemple dans le domaine des investissements étrangers. Les adeptes du
libéralisme mettent en avant les problèmes que posent la fuite des cerveaux et l'expatriation fiscale.
L'économiste libéral Jacques Marseille écrit que « les onze pays développés qui ont le plus diminué leur taux
de chômage sont ceux qui ont le plus baissé leurs dépenses publiques en faisant travailler moins de
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fonctionnaires mais plus efficacement »
La période actuelle est vue comme une occasion historique de diminuer le nombre de fonctionnaires : avec le
départ à la retraite de la génération du baby boom le non-remplacement d'une partie des agents permettrait de
départ à la retraite de la génération du baby boom, le non remplacement d une partie des agents permettrait de
réduire le nombre total d'agents sans rompre le « contrat » (purement moral) « d'emploi à vie » .
La question que met en avant la réforme de l'État est celle de l'efficience du système de gestion publique,
extrêmement difficile à mesurer : la rationalisation des choix budgétaires (RCB) dans les années 1970 ayant
échoué sur l'insuffisance des informations relatives aux administrations publiques.
Les objectifs affichés par l'État ne reprennent pas certaines recommandations, par exemple celle de l'OCDE de
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diminuer le nombre de communes .
La réforme de l'État français n'a jusqu'à présent pas bénéficié de l'appui politique et, surtout, de la continuité
d'action qui lui serait nécessaire.
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En 1995, il avait été créé le CIRE .
Le but affiché est de rendre l'administration plus efficace et moins coûteuse. « Dépenser mieux », c'est-à-dire
optimiser l'utilisation des crédits pour atteindre des objectifs fixés pour chaque programme en répondant aux
attentes des citoyens, des usagers et des contribuables.
Il s'agit aussi de sensibiliser les fonctionnaires aux résultats de l'administration par la « responsabilisation » et la
recherche de l'efficacité.
Objectifs officiels
Selon le Projet du ministre de la fonction publique français (novembre 2005), chaque ministère devra :
élaborer d’un plan de gestion prévisionnelle des emplois, des effectifs et des compétences
(GPEEC)
(par exemple permettre à des enseignants de se reconvertir dans des ministères ou des collectivités locales).
La Loi organique relative aux Lois de Finances du 1er août 2001 (LOLF)
La réforme des finances publiques s'appuie sur la Loi organique relative aux lois de finances (ou LOLF) du
1er août 2001.
Poursuite de la décentralisation
La réforme de l'État passe par un redéploiement des fonctionnaires qui seraient devenus excédentaires dans
l'administration centrale à la suite des transferts de compétences vers les régions.
De nombreux départs à la retraite dans l'administration centrale ne devraient pas être remplacés, par contre les
collectivités territoriales devraient embaucher au fur et à mesure du transfert de nouvelles compétences
(exemple : transfert futur éventuel de la gestion des prisons).
Les méthodes de travail peuvent être améliorées grâce à l'informatisation. On parle de « cyberadministration ».
La déclaration de revenu par internet aurait connu un succès considérable : 9,7 millions d'internautes français
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ont déclaré leurs impôts par internet en 2009 . Il est prévu qu'en 2012 toutes les démarches administratives
puissent se faire par Internet.
D'autres démarches administratives doivent être simplifiées via l'électronique. Le grand nombre de papiers à
remplir ont souvent été montrés du doigt comme des freins à la création d'entreprise. Lancé au début 2009
Mon.service-public.fr est un portail internet de l'administration française visant à permettre à tout citoyen
d'effectuer ses démarches administratives en ligne, en particulier celles liées à Création d'entreprise ou à la
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création d'association .
Pour autant, cette « dématérialisation » des procédures n'est pas synonyme de transformation des
administrations en profondeur. Certaines réformes réclament pourtant un virage numérique destiné à replacer
les citoyens au centre plutôt que lui imposer la logique en silo qui structure encore l'organisation
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administrative. De telles organisations ouvertes peuvent émerger d'expérimentations radicales , par exemple
utilisées dans les startups d’État (http://beta.gouv.fr).
Services aux citoyens
Un des arguments de promotion de la réforme de l'État est d'améliorer le service rendu aux citoyens.
Dès le second trimestre 2006, des bureaux de La Poste et de la Sécurité sociale seront ouverts jusqu'à 20
heures une fois par semaine et le samedi matin sur la base du volontariat.
La sémantique utilisée dans la fonction publique évolue également : remplacement du terme d'usager par celui
de client.
Évaluation
La Cour des comptes en est chargée dans le cadre de la LOLF, par son contrôle administratif
(L.111-3 CJF) et la publication d'un rapport rendu public depuis 1932.
De nouveaux indicateurs sur la perception qu’ont les usagers des services rendus par la
Sécurité sociale, l’ANPE, les recettes fiscales et les préfectures sont développés ou en cours
de développement.
Les indicateurs de performance annexés en lois de finances via les projets annuels de
performance, reflétés par les rapports annuels de performance en lois de règlement,
permettent une évaluation des politiques publiques. Trois types d'indicateurs, "utiles, solides
et vérifiables" permettent de définir les priorités de l'action publique. Le Parlement est ainsi
en mesure d'effectuer un contrôle budgétaire sur la conformité de l'action publique à la lettre
de la loi de finances initiale.
Autres pays
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Des réformes de l'État ont eu lieu :
en Italie afin de respecter les critères du pacte de convergence et d'entrer dans l'Euro
en Allemagne, à la suite de la réunification
en Suède et au Danemark, pour préserver le modèle social
au Japon dont les fondements de l'administration n'avaient pas évolué depuis l'ère Meiji
aux États-Unis dont l'administration était discréditée : en 1993 seuls 21 % des Américains
faisaient confiance au gouvernement
en Belgique, lors de la transformation en un État fédéral
Notes et références
1. [PDF] OCDE 1997 : En quête de résultats : Pratiques de gestion des performances, page 12 (htt
p://www.oecd.org/dataoecd/17/53/36144729.pdf)
2. Réforme de l'État : étude comparative, Sénat, mai 2001 (http://www.senat.fr/rap/r00-348/r00-34
8.html)
3. Différences dans l'âge de départ en retraite (Régimes spéciaux de retraite en France) ;
différences dans le niveau de protection de l'emploi (contrats « à vie », CDI, CDD) ; ...
4. Voir pour la France, Marché du travail en France#Une forte segmentation à la Doeringer et
Piore.
5. Sénat Français - Étude comparative portant sur la réforme de l'État à l'étranger (http://www.sena
t.fr/rap/r00-348/r00-3481.html)
6. cité in Lucien Jaume, "Aux origines du libéralisme politique en France" Esprit, Juin 1998, p.44
7. voir la revue parlementaire Lire en ligne (http://www.larevueparlementaire.fr/pages/RP-901/RP9
01-debats-mordacq.htm)
8. Paxton, 1972, pp.390-391
9. Clavé Urbain Francis, 2006, Réforme de l'État et expertise : que peuvent nous apprendre
Abbott Lawrence Lowell, Walter Lippmann et Graham Wallas, Document de travail Irgéi,pp.14-
20Lire en ligne (http://www.irgei.org/recherche_article_rtf.php?ID_res=10&ID=309)
10. Où va l'administration française ?, avec Erhard Friedberg, Catherine Grémion et al., Paris, éd.
d'Organisation.
11. Michel Crozier, État moderne, État modeste. Stratégies pour un autre changement, Paris,
Fayard, 1986
12. Alain Chatriot, « Fayol, les fayoliens et l’impossible réforme de l’administration durant l’entre-
deux-guerres (http://www.cairn.info/revue-entreprises-et-histoire-2003-3-p-84.htm) »,
Entreprises et Histoire, n° 34, 2003, p. 84-97
13. Emilien Ruiz, Réformer l’État pour gouverner la société (http://www.laviedesidees.fr/Reformer-l-
Etat-pour-gouverner-la.html), recension de Philippe Bezes, Réinventer l’État. Les réformes de
l’administration française (1962-2008), Paris, PUF, coll. « Le lien social », 2009, 519 p., sur La
vie des idées, 2 novembre 2009
14. Nicolas Roussellier, 1992, p.319
15. Nicolas Roussellier, 1992, pp.330-332
16. Nicolas Roussellier, p.319
17. voir par exemple La réforme de l'État en quelques dates (http://www.ladocumentationfrancaise.f
r/dossiers/modernisation-etat/chronologie.shtml), Documentation française
18. Rapport n° 413 (2000-2001) de M. Alain Lambert (http://www.senat.fr/rap/l00-413/l00-4130.html
#toc0) : « l'accord historique [...] est à portée de main après 35 échecs »
Voir aussi
Articles connexes
Réforme structurelle
Réforme économique
Nouvelle gestion publique
État (France)
État
Bureaucratie
France
France
« Chaque ministre devra fournir avant le 1er février 2006 des propositions chiffrées de
redéploiement des effectifs et de non-remplacement des départs en retraite » (http://www.mair
e-info.com/article.asp?param=6323&PARAM2=PLUS), Projet du ministre de la fonction
publique français (novembre 2005), site du quotidien en ligne Maire Info
« Villepin annonce une réforme de l’État tous azimuts (http://www.acteurspublics.com/lme/act
u/20/evenement.php) », article de la revue Acteurspublics, n° 20, rubrique la modernisation
de l’État (http://www.acteurspublics.com/lme.php) (France)
Étude comparative portant sur la réforme de l'État à l'étranger (http://www.senat.fr/rap/r00-34
8/r00-348.html), Sénat français, mai 2001.
Bernard Spitz, « Pour une réforme de l'État : un État plus agile » (http://www.debat2007.fr/blo
g/index.php?2007/04/05/426-pour-un-etat-plus-agile).
Site de la DGME (http://www.thematiques.modernisation.gouv.fr/) (France)
Forum de la performance publique (http://www.performance-publique.gouv.fr/) (France)
Les Rencontres de la modernisation de l’État (http://www.rmde.fr/) (France)
Observgo, bulletin de veille en gestion publique et politiques publiques (http://www.observato
ire.enap.ca/Observatoire/17/Observgo.enap)
Bibliographie
Nicolas Roussellier, La Contestation du modèle républicain dans les années 30 : La réforme
de l'État in Serge Berstein, Odile Rudelle (eds.), 1992, Le modèle républicain, Puf.
Robert Paxton, 1972, La France sous Vichy, Le Seuil (édition utilisée, 1997)
Eric Gristi, La Réforme de l'État, Vuibert, 2007, 530 p.
Stéphane Goubet, Laurence Deffieux, Redéfinir sa stratégie et ses modèles économiques
quand on est une structure publique ou para-publique dans un contexte de crise, Paris, Les
Editions du Net, 2012 (ISBN 978-2-312-00457-0)
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