Lewal Jean-Sébastien & Goethals Arnaud 6C Cours de Français de B.

Hambursin

Art et littérature de Belgique  : Synthése sur Geluck et son

«  Chat  »

Biographie  :
Philippe Geluck naquit à Bruxelles le 7 mai de l’an 1954. Il commence déjà à l’âge de 16-17 ans à
gribouiller de petits gags sur les murs de toilettes.
Philippe rentre à 18 ans à l’Institut National Supérieur des Arts du Spectacle (Insas).
Une fois sorti de l’Insas, Geluck fait beaucoup de théâtre et c’est notammen,t là qu’il rencontre sa
femme, Dany, avec laquelle il s’est marié (en 1980) et avec laquelle il eut deux enfants (Antoine en
1983 et Lila en 1985).
Publié dans le quotidien « Le Soir » le 22 mars 1983, « Le Chat » est enfin connu de tout le monde.
En 1986, Casterman publie son œuvre. Françoise Procureur devient sa première coloriste. La réussite
de « Le Chat », nom du premier album, est immédiate en Belgique et en Suisse.
En 1990, le fameux « Docteur G » sort en vente.
Le virtuose change de coloriste en 1990, c’est ainsi que Serge Dehaes le devient et l’est toujours.
En 1998, avec deux coups de mains de Serge Dehaes, Geluck réalise une nouvelle série de recueils :
« Le fils du Chat ».
Depuis déjà longtemps, notre humoriste anime des émissions radios ainsi que des émissions
télévisuelles. Il a déjà réalisé quelques expositions Notre fameux dessinateur demeure à Bousval en
Belgique mais passe un partie de son temps en France pour ses émissions de télévision et de radio.
Analyse de l’œuvre  :
« Le chat » de Geluck est une œuvre basée sur l’humour. Il s’associe au courant du Loufoque.
Loufoque : courant caractéristique du XXè siècle, combinant l’absurde et le ludique, le comique et la
fantaisie. C’est donc le courant de la dérision, de l’incongru, du nonsense et de l’extravagance.
a) Eléments récurrents
Nous constatons que plusieurs éléments reviennent souvent dans « Le Chat » et ses dérivés, les plus
important sont :
Le sexe, La vénus de Milo, Dieu, Le muscadet de Roger.
Il existe par ailleurs d’autres sujets récurrents, tels que le thermomètre, le tutu, les excréments, les
vaches, le trapèze,…
b) Les « différents chats »
Nous constatons plusieurs types de chats : Le chat philosophe ; Le chat jouant avec les règles de la
BD ; Le chat bête, simplet ; Le chat « centre du monde », supérieur ; Le chat jouant sur les mots
 analyse de certaines planches.
c) Rattachement à la Belgique
Tout d’abord, Philippe Geluck est né et réside en Belgique, à Bousval. Ses œuvres sont aussi éditées
chez Casterman, un éditeur Belge.
Dans ses oeuvres, il emploie souvent la Belgique comme toile de fond : quand un drapeau apparaît,
c’est neuf fois sur dix celui de la Belgique et quand il parle d’un pays quelconque (pays qui n’a pas de
caractéristique spécifique qui pourrait faire rire dans ce cas là), il prend la Belgique
On remarque aussi qu’il se permet de railler les belges, par leur accent ou tics de langage, chose qu’il
ne ferait pas s’il ne connaissait pas un minimum les belges.
Enfin, il affirme que le chat est belge sur plusieurs de ses planches et ses adresses de correspondance
sont toutes basées, soit en Belgique, soit sur des serveurs belges.