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Socioculturels : Sensibiliser les élèves aux dangers de la violence scolaires et ses conséquences.
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Critère de réussite :
Participation massive.
Le compte rendu objectif à la fin de la séance.
Activité 1 :
Autrefois, la justice a condamné un bon nombre de personnes à la peine de mort, assassinant ainsi
plusieurs malfaiteurs sous prétexte que la mort était la meilleure façon de maîtriser la bête et son venir.
De nos jours, avec les actes criminels de plus en plus violents et atroces, la question que l’on peut se poser
est la suivante : « Devrait-on rétablir la peine de mort? « . Selon moi, il est évident que de répondre à la
violence par la violence n’est pas la solution au problème.
En premier lieu, selon moi, je crois que le système judiciaire est défaillant et qu’il peut
s’y glisser quelques erreurs. Dans le passé, il y eut beaucoup trop d’erreurs condamnant
des accusés à une mort qu’ils ne méritaient point. Il est arrivé quelquefois qu’après
l’exécution du prétendu coupable, le réel meurtrier venait se livrer et avouer son ignoble
geste sur l’ordre de sa mauvaise conscience. Comme notre système ne doit condamner
un individu que lorsqu’il est reconnu coupable, il faut peut – être s’interroger. Donc, je
pense que, bien souvent, le système judiciaire éprouve de sérieux problèmes à juger
adéquatement un individu coupable ou non.
En deuxième lieu, j’ai la conviction qu’ici-bas sur terre, il n’y a pas d’humain assez
parfait pour juger du comportement d’un autre et encore moins de décider de sa mort.
On peut se rappeler les paroles de Jésus qui disait : « Qui êtes-vous pour juger de la vie
des autres? « . Par ces paroles, il voulait nous faire comprendre qu’on ne pouvait porter
un jugement sur aucun acte commis par une personne. Il est évident qu’aucun être
humain ne peut se vanter de n’avoir commis aucune faute et de ce fait, personne ne peut
décider du droit de vivre ou non d’un autre.
En troisième lieu, il est certain que la peine de mort ne fait pas peur aux assassins,
tueurs en série, etc. Selon Monsieur Albert, psychologue, lorsque l’homme en arrive à
vouloir commettre un crime, dans la plupart des cas, sa lucidité est absente de sa pensée.
Si toutefois il est lucide, la seule chose qui l’obsède est de parvenir à ses fins : la passion
l’emporte alors sur la raison. Pendant que le crime s’effectue, rien ne peut dissuader le
meurtrier ou le criminel de s’arrêter. À mon point de vue, même la peine de mort ne peut
empêcher un criminel de perpétrer un crime grave.
Projet 2 : mettre en scène un procès pour défendre des valeurs humanistes.
Objectif :
Matériels : copies
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Critère de réussite :
Objectif : Amener les apprenants à reconnaitre le théme du texte avant la distribution des textes.
Objectif : Amener les apprenants à dégager l’image du texte et y proposer une hypothèse du sens.
Consigne 1 :
Activité 1 :
Consigne 1 :
Consigne 2 : la question que l’on peut se poser est la suivante : « Devrait-on rétablir la peine de mort? »
……………………………………………………….
Synthèse :
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………..
Activité 2 :
a) Un unissant
b) Un assassin, tueur en série c) Un juge.
Cosigne 2 : Selon monsieur Albert lorsque l’homme en arrive à vouloir commettre un crime,
dans la plupart des cas, sa lucidité est absente de sa pensée.
Consigne 3 : a) quel est le point de vue de l’auteur par rapport à la peine de
mort ?....................................................................................................................................
Synthèse :
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………
Activité 1
Consigne 1 :
Activité 1 :
Consigne 1 :
Consigne 2 : la question que l’on peut se poser est la suivante : « Devrait-on rétablir la peine de mort? »
……………………………………………………….
Synthèse :
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………..
Activité 2 :
c) Un unissant
d) Un assassin, tueur en série c) Un juge.
Cosigne 2 : Selon monsieur Albert lorsque l’homme en arrive à vouloir commettre un crime,
dans la plupart des cas, sa lucidité est absente de sa pensée.
Consigne 3 : a) quel est le point de vue de l’auteur par rapport à la peine de
mort ?....................................................................................................................................
Synthèse :
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
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Activité 1
c) Argumentative.
d) Explicative.
-Choisissez la bonne réponse.
Autrefois, la justice a condamné un bon nombre de personnes à la peine de mort, assassinant ainsi
plusieurs malfaiteurs sous prétexte que la mort était la meilleure façon de maîtriser la bête et son venir.
De nos jours, avec les actes criminels de plus en plus violents et atroces, la question que l’on peut se poser
est la suivante : « Devrait-on rétablir la peine de mort? « . Selon moi, il est évident que de répondre à la
violence par la violence n’est pas la solution au problème.
En premier lieu, selon moi, je crois que le système judiciaire est défaillant et qu’il peut
s’y glisser quelques erreurs. Dans le passé, il y eut beaucoup trop d’erreurs condamnant
des accusés à une mort qu’ils ne méritaient point. Il est arrivé quelquefois qu’après
l’exécution du prétendu coupable, le réel meurtrier venait se livrer et avouer son ignoble
geste sur l’ordre de sa mauvaise conscience. Comme notre système ne doit condamner
un individu que lorsqu’il est reconnu coupable, il faut peut – être s’interroger. Donc, je
pense que, bien souvent, le système judiciaire éprouve de sérieux problèmes à juger
adéquatement un individu coupable ou non.
En deuxième lieu, j’ai la conviction qu’ici-bas sur terre, il n’y a pas d’humain assez
parfait pour juger du comportement d’un autre et encore moins de décider de sa mort.
On peut se rappeler les paroles de Jésus qui disait : « Qui êtes-vous pour juger de la vie
des autres? « . Par ces paroles, il voulait nous faire comprendre qu’on ne pouvait porter
un jugement sur aucun acte commis par une personne. Il est évident qu’aucun être
humain ne peut se vanter de n’avoir commis aucune faute et de ce fait, personne ne peut
décider du droit de vivre ou non d’un autre.
En troisième lieu, il est certain que la peine de mort ne fait pas peur aux assassins,
tueurs en série, etc. Selon Monsieur Albert, psychologue, lorsque l’homme en arrive à
vouloir commettre un crime, dans la plupart des cas, sa lucidité est absente de sa pensée.
Si toutefois il est lucide, la seule chose qui l’obsède est de parvenir à ses fins : la passion
l’emporte alors sur la raison. Pendant que le crime s’effectue, rien ne peut dissuader le
meurtrier ou le criminel de s’arrêter. À mon point de vue, même la peine de mort ne peut
empêcher un criminel de perpétrer un crime grave.
Objectif :
Matériels : copies
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Critère de réussite :