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K3030 – CP2 – TP

INTRODUCTION AU TP
❖ L’environnement du patient
Fonction du Bavu :
Quoi ? c’est un ballon auto-remplisseur à valve unidirectionnelle.
Pourquoi l’utiliser ? on l’utilise lorsqu’on va sédater un patient, que celui-ci va à un moment
donné arrêter de respi, et le bavu va reprendre le relai avant de pouvoir intuber le patient.
Comment l’utiliser ? 1 main place le masque naso-bucal, bien posé de façon hermétique sur
le visage du patient et l’autre vient ventiler le patient.
Comment ventiler ? serrer le ballon d’une main, lorsque nos doigts se touche on relâche.
Une fois le ballon regonflé, on rouvre.
Que faire lorsque le patient est en train d’être sédaté ? la langue est un muscle qui va
également se relâcher et tomber dans le fond de la bouche du patient, on va devoir
introduire avant de balloné une canule de Guédel.

- Ballon
- Réserve d’O2
- Tuyau d’alimentation en O2
- Masque
- Filtre
- Valve unidirectionnelle

Canules de Guedel – mise en place


Comment la placer ? on ne l’introduit pas anse vers le bas ⌠ mais anse vers le haut⌡. Une
fois qu’elle est placé dans le bouche du patient, qu’elle à passer l’arcade dentaire, faire
demi-tour et simultanément la descendre dans la gorge. Le bout de la canule doit effleurer
les lèvres.
Pourquoi ? cette canule permet de maintenir la langue dans la mâchoire inférieure du
patient, et permet ainsi de ventiler en sachant que les voies aériennes sup sont bien
dégagées.
Placer le patient ? le placer en CD et parfois la tête un peu plus basse que le reste du corps.
Ceci permet au médecin d’avoir une meilleure vue lors de l’intubation.
Comment la retirer et pourquoi ? remplacer par un laryngoscope qui va servir au médecin à
intuber le patient.

BAVU & Canule de Guedel


Description ? Il y a ≠ taille de canule de Guedel, reconnaissable grâce à un code couleur, ainsi
que des formes et longueur différente.
Rôle des tailles ? donne une indication sur son but, sa fonction. En effet, la anse de la canule
une fois placée permet de caler la langue dans la mâchoire inférieure. Cela empêche la
langue de tomber lorsque le patient est en train d’être sédaté.
Pousse -seringue
Objectif ? donner des doses infinitésimales (propofol = sédatif). Les doses
doivent être proportionnel au poids du patient et que donc il va y avoir un
certain nombre de ml/min ou heure qui vont être administré.
Comment  ? raccorder tuyau de la machine sur la rampe de médicament, sur la
voie centrale.

Autres objets retrouver dans la chambre


- Monitoring : Indique la TA, la FC, la FR et la SpO² en temps réel. 
- Kit d’aspiration
- Respirateur qui permet une ventilation mécanique (VM) ou invasive (VI)

❖ L’équipement du patient
Observation du patient
Comment ? retirer le drap après autorisation du patient.
1. Regarder ce que l’on voit sans retirer les vêtements
 Visage : O2 ?
 Bras : brassard pour la TA ?
 Main : saturomètre ?
 Autre bras :
i. si tuyau sur artère radial =  cathéter artériel
ii. si tuyau sur les veines au niveau de l’avant-bras, coude, bras ou main =
entrée par voie veineuse qui permet de mettre des médicaments.
2. Retirer les vêtements du patient
 Électrodes ? permet de prendre un ECG en continu
 Voie centrale : voie d’entrée veineuse qui est multiple
3. Déshabiller le patient par en bas
 Sonde urinaire ? connecté à un sac

Sonde naso-gastrique
Explication ? Sonde qui passe par le nez, pour comprendre son utilité, suivre le tuyau pour
retrouver le bout de ce tuyau. La tuyauterie peut être relié à quelque chose qui va pouvoir
être dispensé (eau, liquide pour nourrir).
Localisation ? va du nez jusqu’à l’estomac.
Comment la placer ?
1. introduire la sonde dans le nez du patient
2. Demander au patient d’avaler quand il va sentir la ‘spaghetti’ dans le fond de la gorge
3. Rentrer dans l’œsophage jusqu’à l’estomac
Attention : au préalable avoir pris une mesure pour savoir jusqu’ou l’introduire selon
l’anatomie du patient
Quand ? elle reste tant que c’est nécessaire
Pourquoi ? elle sert à plusieurs chose : hydrater (eau)/nourrir (liquide), introduction de
médicament, décharge de l’estomac. (vider estomac dans des cas spécifiques, lors d’une
intubation dans USI, expl).
En effet lors d’une intubation, on donne des drogue pour relâcher les muscles et donc risque
que l’estomac se vide, que le patient ‘vomisse’ et qu’il y ai un retour des liquides suite à la
pesanteur, qu’il inhale le liquide et fasse une pneumonie d’inhalation.
Procédure d’injection de médoc ? Les infirmières écrase dans un bol en verre les
médicaments, les dilue à l’eau et les injecte à l’aide d’une seringue dans la sonde gastrique,
ensuite elles s’assurent que le médicament arrive bien à l’estomac en ajoutant de l’eau.
Décharge de l’estomac ? même sans manger, l’estomac produit et continue de produire des
sucs gastriques. Donc chez les patientes qui sont en post-opératoire de chirurgie abdominale
ont un système digestif qui doit être mis au repos. On laisse la sonde naso-gastrique et on
peut parfois voir un liquide verdâtre (épinard) qui ressort. A ce moment-là, au bout de la
sonde on place un petit sac, plus bas que l’estomac du patient, pour que par vase
communicant le liquide sorte de l’estomac et soit évacué dans le petit sac que l’on vide
régulièrement.

Tensiomètre
Outils ?
1. Brassard avec un cable qui le relie au monitoring. Sur ce monitoring on règle le
nombre de fois où l’on va prendre la tension du patient dans la journée, ou l’on peut
prendre la tension lorsqu’on en a besoin
2. Cathéter artériel : mesure la tension du patient, il est également relié au monitoring
et prend la tension à chaque seconde comme le saturomètre, c’est une prise de
mesure continue.
Comment faire ? le brassard se gonfle, puis se dégonfle et la prise d’info de mesure est faite
automatiquement. La seule chose à noter est que si le brassard est du côté du saturomètre,
lorsque le brassard est gonflé au max, le sang ne passe plus jusqu’à la main et donc le
saturomètre ne peux plus capter la Fc et mesurer le taux d’O2 dans le sang, ce qui engendre
une ‘alarme’. Ce qui faut donc essayer de faire, c’est de placer le brassard du côté opposé du
saturomètre.
Procédure de prise de TA ? elle se fait avec un brassard au bout duquel on a un manomètre
et un stéthoscope.
1. Gonfler le brassard en réalisant une pression de manière régulière sur la poire,
jusqu’à ce que la pression indiquée sur le manomètre soit de 180à200mmHG.
Attention bien placer le stéthoscope au creux du coude. Une fois le brassard gonflé
au max, on n’entend plus les pulsations cardiaques dans le stéthoscope.
2. A ce moment, là on prend le manomètre, regarder l’écran et dégonfler le brassard en
ouvrant la clé d’alimentation d’air. Quand la valeur de la tension systolique est
atteinte, le sang recommence à circuler et vous pouvez écouter un bruit à travers le
stéthoscope. La donnée affichée à ce moment-là sur le manomètre correspond à la
tension systolique du patient.
3. Puis, vous aboutissez à la tension diastolique, quand le sang circule librement et que
plus aucun bruit n’est audible avec le stéthoscope. Vous pouvez alors noter la valeur
indiquée sur le manomètre.

Electrodes thoraciques – ECG


Localisation ? la rouge en sous-claviculaire droit, la jaune en sous-claviculaire gauche, la
verte presque sur le flanc gauche, la noir presque sur le flanc droit et la blanche sur le bas du
sternum (chez les femmes /e/ les 2 seins).
Utilité ? avoir un ECG en continu sur le monitoring en USI, mais à l’étage les patients peuvent
avoir un petit monitoring de 24h pour enregistrer l’ECG, souvent en gériatrie ou en cardio.

Sonde d’intubation
Au préalable ? avant d’intuber un patient il faut s’assurer que
le ballonnet (= petit sac) est bien imperméable, pas de fuite !
Comment ? pour gonfler le ballonnet témoin (bleu), on met
de l’air dans une seringue et on va tout simplement le gonfler
et par vase communicant, cela gonfle le ballonnet dans la
trachée du patient.

Constitution ?
1. ≠ diamètre
2. Données cm = REPERE : de manière générale il faut noter lorsqu’on place la sonde à
quel cm nous l’avons placer (regarder chiffre avant arcade dentaire), ce qui permet
aux infirmières de vérifier si elle à bouger. Risque de ne plus ventiler correctement le
patient.
3. Ballonnet du bas sert à rendre la ventilation hermétique. Càd que le respirateur
pousse de l’air à l’intérieur du tube, jusque dans les poumons. Pour éviter que l’air ne
ressorte le ballonnet T doit être gonflé.
4. Vérifier, avec un manomètre, la pression d’air qui est dans le ballonnet T.
 Si il est trop gonflé : peut provoquer la nécrose de la muqueuse de la trachée
 Si il est trop peu gonflé : présence de fuites et donc mauvaise ventilation.
Facilement décelable car le respirateur va détecter ces flux d’air et va sonner.
Remarques : la sonde d’intubation est biseautée et présente un trou. La coupe en biseau
permet de diminuer le risque d’obstruction et le trou/porte est une sortie de secours. Par
expl si la sonde venait contre la trachée se boucher, le trou est toujours présent et permet la
ventilation du patient.
5. Ligne noire : repère visuel pour les médecins doit être aligné avec les cordes vocales.
Si on ne respecte pas l’alignement, la bronche souche droite étant + verticale, la
sonde d’intubation va aller dans cette bronche souche, ne ventilant que son poumon
droit.

Flextube
C’est un tube assez flexible que l’on attache à la partie extérieure de la sonde d’intubation et
qui relie au respirateur.
Avantages ?
1. Ne pas être dans le chemin (360°), car on peut le mettre à droite ou à gauche sans
qu’il y ait de torsion sur la sonde d’intubation.
2. Permet d’introduire une sonde d’aspiration pour aller chercher les sécrétions
pulmonaires des patients.

Sonde d’intubation - Fixation


Comment ?
1. Collant : utilisé pour intuber un patient pour une courte
durée (expl salle d’op) 
2. Fixtube : permet de tenir la sonde d’intubation sur le patient. En effet, le ballonnet T
rend juste la ventilation hermétique, elle ne tient pas la sonde d’intubation en place.
Il faut absolument bien le fixer pour éviter que le patient puisse s’auto-extuber.
 Placement ?: passer le fix tube autour de la sonde, faire le tour du cou du
patient, ensuite faire le tour de la sonde d’intubation et enfin couper le bout
excédentaire et scratché.

Guedel & sonde d’intubation


Pour qui ? : patients réveillés et nerveux et qui ont le réflexe de mordre sur la sonde
d’intubation. Cette sonde est insécable mais ils peuvent toutefois empêcher la ventilation.
Que faire ? : à côté de la sonde d’intubation, dans la bouche, on introduit la canule de
Guedel qui permet peu importe si le patient mort ou non, une ventilation correcte.
Rôles ?
1. Maintenir langue dans mâchoire inférieure lors de l’intubation
2. Aspirer un patient que l’on ne peut aspirer par le nez
3. Empêcher l’écrasement de la sonde d’intubation et donc permettre une ventilation
continu et fluide grâce à la canule.

Voies veineuses centrale et périphérique


Comment administrer médoc ou hydrater le patient par voie veineuse ? 
1. Perfusion qui rentre soit sur le dos de la main, l’avant-bras ou dans le
creux du coude
 Voie d’entrée, dite voie veineuse simple
2. Rampe de médicaments sur une perfusion, cette rampe permet de relier un sac de
glucose ou NaCl 0,9% (base), on peut également ajouter via la rampe, d’autres
perfusion. Généralement les voies veineuses périphériques sont des voies qui sont
fragiles car les veines sont souvent de petit diamètres.
Localisation ? Les voies centrales se trouvent souvent en USI, elle se place dans la
sous-clavière (ou la jugulaire).
Comment ? : endormir le patient pour introduire la voie centrale qui comprend 3
voies. Sur chaque voie on peut mettre des rampes de médicaments qui amène à un
pousse-seringue, pour mettre des doses extrêmement précises à administrer au
patient.
Rôles ? hydrater le patient, nourrir (liq couleur lait)
Comment le nourrir ? poche contenant un composé laiteux avec des électrolytes et
un composé huileux avec des AA, glucose et autres oligo-éléments. Il faut péter la
poche pour que tout se mélange et puisse être administré via la voie veineuse du
patient.

Saturomètre
Fonction ? prendre la saturation en O2 du patient + Fc
Le saturomètre est connecté au monitoring, qui donne les informations en temps réel. Si la
saturation n’est pas bonne, le monitoring sonnera pour prévenir le personnel médical.
A savoir ?
Si le patient à les mains froids, les extrémités du MS marbré, l’appareil aura du mal à capter,
donc on n’aura pas une donnée toujours objective et le monitoring montrera une ligne quasi
plate et sonnera. Pourtant pas besoin de se faire de soucis, ce cas la arrive lorsque le patient
n’est pas bien et donc le sang reste au niveau central, au niveau des organes vitaux, pour les
O2 et faire fonctionner le corps.
Comment faire ? : placer le saturomètre sur l’index du patient, lumière rouge vers le haut !
Autres saturomètres ?
- Saturomètre portable si la lumière est verte tout est ok, elle deviendra orange ou
rouge si ça capte pas ou capte mal.
- En USI on retrouve des pinces que l’on place sur le lobe de l’oreille du patient.
Pourquoi sur l’oreille ? car les organes vitaux reste mieux O2 que les autres membres
quand le patient va mal. Comme le cerveau est bien vascularisé, bien oxygéné, les
oreilles le sont également.

Sonde urinaire 1
Pourquoi ? placer chez un patient qui généralement ne peut pas se lever, ou qui est
incontinent.
Comment ? la sonde est placée jusque dans la vessie, on va gonfler d’air (ou d’eau, moins
utilisé car pèse sur la vessie et stimuler le réflexe d’uriner) le ballon.
Attention !: lorsque le patient présente une sonde urinaire et qu’elle doit se déplacer ne pas
oublier de prendre la poche avec ou sinon cela va tirer sur la vessie d’autant plus que le
ballon est gonflé et donc engendrera une traction.
Constitution ?
1. Tuyau/ sonde
2. Au bout on retrouve un sachet qui se remplit d’urine et qui est vidé régulièrement
par les infirmières.
3. Boitier spécifique qui permet de mesurer heure par heure le débit du patient. Au
soins intensif, le bilan in/out est très précis. On mesure tout ce qui est introduit dans
le patient (perfusion, eau, …) et tout ce qui sors ce qui permet d’évaluer si la fonction
rénale reste correcte. Toutes les 2, 4, 6h, selon le patient, l’infirmière regardera la
quantité d’urine qui a été accumulée dans le boitier. Une fois la mesure prise, en
twistant le haut, elle pourra vider l’urine dans le sac et recalculer pour les heures
suivantes.
 INTERDIT nous en tant que kiné de toucher à ce boitier, attendre que l’infirmière
ait pris les mesures nécessaires.
❖ La mobilisation du patient

Voies veineuses précautions lors des mobilisations


Quels types de perfusion le patient, peu avoir ? La ≠ entre les deux ?
1. NaCL 0,9% : solution dans laquelle l’infirmière peut introduire avec une seringue des
médicaments, généralement lorsque des médicaments sont ajoutés une étiquette est
collé sur le sac de perfusion avec le nom et la quantité introduite.
La perfusion est généralement accroché à un pied à perfusion, plus haut que le patient, plus
haut que le point d’entrée. Si le point d’entrée est juste une voie d’entrée veineuse simple
au niveau du bras elle sera connecté à la perfusion.
La perfusion peut également être connecté au niveau de la voie centrale.
2. Glucose x% : rarement retrouvé chez les diabétiques. Idem qu’au-dessus, ce sera relié
avec le petit robinet sur la voie veineuse simple ou soit sur la voie centrale.
Mobiliser ? Faire attention que les sacs de perfusion reste bien au-dessus de la voie d’entrée.
Monter des escaliers ? difficile de prendre le pied à perfusion, mais simplement décrocher la
perfusion tout en gardant celle-ci au-dessus de la voie d’entrée.
 Si le patient est + grand et à une voie central sous-clavière, il faudra étendre
le bras.
 Si on le fait mal ça se voit de suite car il y a du sang qui va refluer dans les
tubulures des voies. Embêtant car le sang va coaguler. Que faire ?
o Théoriquement, bien relever la perfusion en espérant que assez
rapidement le sang rentre à l’intérieur et donc le sens de déplacement
des fluides se refasse dans le bon sens et rince bien la tubulure.
o Si ça ne fonctionne pas, il est indispensable de prévenir une infirmière
pour qu’elle puisse venir chipoter au débit de la perfusion pour la
rincer et que le sang ne la bouche pas.
 Boucher une voie centrale ou une voie veineuse périphérique, il faudra la
remplacer. Or voie centrale ce fait en salle d’op ou en USI et voie veineuse
périphérique se fait par les infirmières, pas besoin de doubler leur travail.
Constitution ?
On observe petit embout mauve avec une roulette, lorsqu’on l’ouvre un goutte à goutte se
produit. Il ne faut pas y toucher car l’infirmière aura préalablement réglé la vitesse avec
laquelle le contenu de la poche va se vider dans le patient, via cette roulette.
A retenir : La perfusion doit toujours être au-dessus de la voie d’entrée.

Sonde urinaire – mobilisation du patient


Lorsque le patient reste au lit, le sac et le boitier si il y a, doit être mis en déclive = plus bas
p/r à la vessie du patient ! Principe du vase communicant.
Se promener avec un patient ? Quand on se promène, on va effectivement défaire le boitier
du lit et lors de la promenade de bien tenir le sac en-dessous de la vessie. Si le sachet est
plus haut que la vessie, l’urine va faire le sens inverse et revenir dans la vessie.
❖ L’équipement du patient – Oxygénation

Oxygénation - interfaces
1. Lunette nasale à O2 ; utilisé lorsqu’on va donner 0 à 5L d’O2 par minute au patient.
Au-dessus de ce débit trop d’O2 qui sort, plus qu’il n’est administré. Cela ne sert donc
à rien de laisser des lunettes nasale à O2, passer à un masque
2. Laisser rentrer l’O2 directement dans le masque (5à10L/min), sans sachet
3. Ventile masque : présente un sachet, l’O2 arrive en premier dans le sac, le gonfler et
ainsi provoquer une réserve en O2. Avec une quantité d’O2 plus importante que dans
l’air ambiant, car pour rappel dans l’air ambiant (21% d’O2 et 59% d’azote). Utilisé
chez les patients qui ont plus de 10L/min de débit d’O2
 Inspiration : la petite valve va se lever et l’O2, qui est plus condensée que
dans l’air ambiant, va pouvoir rentrer dans les VA du patient.
 Expiration : les petites valves sur les côtés se lèvent et le CO2 sort.
4. Lunette nasale à haut débit (USI++) : permet de mettre O2 à haut débit, les lunettes
sont relier à une machine.
5. Sonde nasale à O2 : placer lorsque le patient respire par la bouche et pas par le nez.
6. Chez patients trachéotomisés : placer ≠ filtres ou l’on peut ou non introduire de l’O2

Lunettes nasales O2 – mise en place


Observation ? Présence de 2 petites cornes qu’on place dans les narines
Placement ? Faire passer les 2 morceaux de tuyau derrière les oreilles. Puis ajuster l’embout
au niveau du cou du patient pour que la lunette nasale tiennent bien. Si les lunettes ne sont
pas bien ajusté, il suffit que le patient bouge pour qu’elle tombe.
Pq le faire par devant ? Si le patient n’est pas habitué, qu’il se lève, les lunettes peuvent
tomber. Si on les plaçaient autour de la tête, et que le patient se lève, il va recevoir un coup
du plastique -> DANGER ! Education thérapeutique.

Masque avec réservoir – mise en place


Observation ? masque + sachet
Placement ? placer le masque autour de la tête du patient correctement. Le masque est
naso-buccal, il recouvre donc le nez et la bouche. L’arrête métallique sur le nez permet de
pincer ou de l’ouvrir un peu pour l’adapter à la physionomie du patient. Possibilité de serrer
ou desserrer les élastiques, toujours être vigilant que ceux-ci soit au-dessus des oreilles.
Attention la peau au-dessus des oreilles est assez fragile et ça peut vite faire des escarres. Il
faut donc être vigilant chez certains patients qui seront avec ce type de masque, sont
généralement pas très bien et donc on peut se permettre de mettre le cordon au niveau du
cou et de serrer plus au niveau des élastiques.

Sonde nasale O2 – mise en place


Observation ? tuyau
Placement ?
1. Mesurer la distance entre le bout du nez et le tragus de l’oreille (exterieur). Retenir
la distance.
2. Insérer la sonde jusqu’à notre point de repère, de préférence une narine libre, càd
pas celle avec une sonde naso-gastrique.
3. Fixer avec un pansement
Spécificité ? au bout de cette sonde on retrouve des perforations sur le côté et sur le bout.
Ceci permet d’administrer, de diffuser l’O2 par ces différents trous. Dans le nez il y a toujours
un écoulement nasal, continu qui se fait. Cette sonde va progressivement se boucher, raison
pour laquelle on retrouve ces perforations.
Si un patient désature ? vérifier la perméabilité de cette sonde nasale à O2.
Ou ? si le patient ouvre la bouche, dans le fond on retrouve le bout de la sonde.
Objectif de la sonde ? amener l’O2 dans le fond de la bouche pour que quand le patient
inspire il amène l’O2 dans ces poumons.
Relier ? cette sonde est relié au débimètre qui est dans le mur, pour lui administrer l’O2
nécessaire. Malheureusement elle se bouche assez régulièrement et donc il faut la changer
au moins 2x/jour.

Lunettes nasales haut débit – mise en place


Ou ? lunette retrouvée que chez les patients en soins intensifs. Ces patients sont alité et qui
ne se ballade pas.
Placement ?
1. Placer les cornes dans les narines
2. La sangle passe à l’arrière de la tête du patient contrairement au lunette nasale O2

❖ Matériel
Laryngoscope L’intubation est un acte médical !
Utilité ? sert à avoir une vue sur le larynx et à aider, permettre au Dr d’intuber le patient.
Constitution ? Il y a toujours un manche, des lames de longueurs et courbures ≠ en fonction
de l’anatomie du patient on en choisi une. Présence d’une lampe qui permet au moment où
le Dr introduit le laryngoscope du patient, de bien voir.
Placement ?
1. Préalablement à l’intubation réalisée par le médecin est de placer qqch sous les
épaules pour que la tête vienne bien en hyperextension.
2. Le patient ouvre grand la bouche pour pouvoir placer le laryngoscope.
3. Introduire la sonde d’intubation dans le patient
4. Retirer le laryngoscope.
5. Gonfler le ballonnet témoin et puis relié le patient au respirateur.

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