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FACULTÉ DE MÉDECINE
DÉPARTEMENT DE CHIRURGIE DENTAIRE
LE BRUXISME
&
LE DAM
-usure dentaire
DYSFONCTION DE L’APPAREIL
MANDUCATEUR
Etymologie:
Apparatus = préparatif
Manducare = manger
Facteurs Facteurs
déclenchan prédispos
ts ants
Facteurs
d’entretiens
DAM
a- Les troubles de l’occlusion
b- L’hyperlaxité ligamentaire
e- Facteurs physiopathologiques
2- Facteurs déclenchants : ils perturbent brutalement
a- Choc émotionnel
c- Modification comportementale
d- Les traumatismes
3- Facteurs d’entretiens : ils pérennisent la pathologie par
neuropsychiques secondaires ;
- Remodelages alvéolaires.
- Remodelage articulaire.
- Occlusoconscience.
- Fragilité psychologique.
EN RESUME
suivants :
- Sexe (femme)
- Age (jeune)
- Hyperlaxité ligamentaire
- Para fonctions
guide antirétroposition.
4- Symptomatologie :
extrême
1- Manifestations musculaires :
d’évitement.
Cliniquement :
- Faiblesse musculaire
- Palpation douloureuse
c- Spasme :
Il survient après :
e- Douleurs myofaciales :
Spasme
Inflammation
Douleur myofaciale
Maladie dégénérative
(point gâchettes)
Myosite (inflammation)
Contracture
- Myostatique (isométrique)
- Fibreux
7-Le traitement :
Le traitement du DAM a pour buts : la sédation des phénomènes
douloureux, la suppression des bruits et la restauration de la fonction.
Le traitement, qui comprend 3 volets (volet symptomatique, volet
étiologique et volet physique),
Thérapeutique occlusale :
Le traitement occlusal lui-même a pour but de rétablir un
affrontement occlusal non conflictuel entre dents antagonistes,
assurant une posture mandibulaire équilibrée, permettant fonction et
repos de l’appareil manducateur.
CONCLUSION
Plus que chez l’adulte, la prise en charge thérapeutique doit
s’appuyer sur des méthodes conservatrices et non irréversibles
(explications, conseils, contrôle des parafonctions, gouttières
occlusales dans les cas de bruxisme sévère).
La réalisation d’une gouttière occlusale chez l’enfant est délicate
en denture mixte, afin de ne pas interférer avec la chute des
dents lactéales et l’éruption des dents définitives.
En l’absence de malocclusions évidentes, les meulages dentaires,
pratiqués bien souvent de façon aléatoire et sans indication
rationnelle, sont à proscrire.