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Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique

Ecole nationale polytechnique d’Alger

Département : Génie chimique

DEVOIRE MAISON

O.P.U :adsorption dynamique

Rédiger par :AOUAM ZAKARIA

Encadrer par : Dr :Haddoum

Année universitaire : 2017/2018


GENERALITES SUR L’ADSORPTION
Définition
L’adsorption par un solide peut être définie comme étant le phénomène de fixation des
molécules d’une phase fluide sur la surface du solide .
Selon la nature des forces qui retiennent la molécule adsorbée à la surface du solide, on
distingue deux types d’adsorption, une adsorption physique due à des forces d’attraction
physique faible de type Vander Waals, où les molécules restent entièrement sur la surface de
l’adsorbant . L’énergie mise en jeu dans ce cas est faible, elle est de l’ordre de 2 à 10 kcal/mole .
L’adsorption chimique est due à une liaison chimique forte de type covalente entre atomes
superficiels du solide et molécules adsorbées, ce type d’adsorption met en jeu des énergies
supérieures à celles de la physisorption, entre 20 et 100 kcal/mole
L’équilibre d’adsorption entre un adsorbant et un adsorbât, dépend de nombreux facteurs dont
les principaux sont le pH, la porosité, la température, la pression ou la concentration, la nature
de l’adsorbant ( Composition, structure, porosité et état granulométrique ) et de la nature de
l’adsorbât .
L’examen d’un grand nombre de résultats publiés par divers chercheurs a permis à Brunauer,
Eming et Teller (1940) de reconnaître qu’aux températures inférieures à la température critique
du gaz, les courbes d’adsorption appelées « isothermes » se divisent en cinq types; ces
isothermes indiquent le volume de liquide adsorbé par gramme d’adsorbant en fonction de la
concentration à une température constante.

CINETIQUE D’ADSORPTION
La connaissance de la cinétique d’adsorption dans des opérations fondées sur les phénomènes
d’adsorption présente un intérêt pratique considérable pour la mise en oeuvre optimale d’un
adsorbant ainsi que pour connaître les facteurs qu’il faut optimiser pour fabriquer ou améliorer
un adsorbant conduisant à la cinétique la plus rapide possible.
Le processus d’adsorption se produit selon une succession d’étapes qui déterminent la vitesse
globale du processus :
- Le transfert de masse externe, impliquant le transfert et la diffusion de l’adsorbât au travers
du film liquide vers la surface de l’adsorbant;
- Le transfert de masse interne, qui implique la pénétration de l’adsorbât dans le système
poreux de l’adsorbant;
- L’adsorption proprement dite.

Si l’adsorbant n’est pas poreux, c’est l’étape du transfert de masse externe qui contrôle la
vitesse d’adsorption, cependant, si l’adsorbant est poreux, ce qui est le cas le plus souvent,
c’est l’étape de transfert de masse interne qui limite la vitesse d’adsorption
(1) : le soluté diffuse vers le charbon actif
(2) : le soluté diffuse dans les pores du charbon actif
(2’) : le soluté diffuse à la surface du charbon actif
(3) : l’adsorption à lieu

Figure: Etapes de la diffusion d’une molécule lors de son adsorption.

L’ADSORPTION EN MODE DYNAMIQUE

Les essais dynamiques sont réalisés dans des colonnes d’adsorption à hauteur et section
connues. Le lit fixe d’adsorbant d’une certaine hauteur est traversé par un courant d’adsorbat
en continu avec un débit connu; au cours du passage le soluté est retenu progressivement par
l’adsorbant.
Ces essais permettent le tracé des courbes de fuite montrant la saturation du solide adsorbant.
Bohart et adams, en 1920, était les premiers chercheurs qui ont exploité ces courbes, mais par
la suite beaucoup d’autres scientifiques se sont inspirés de leurs équations en proposant à leur
tour d’autres modèles tels que le modèle de Dole et Klotz en 1946, Hutchins en 1973, Clark en
1987, Wolborska en 1989. l’exploitation de ces modèles a permis de faire l’étude cinétique,
l’étude des capacités d’adsorption et du déplacement des fronts d’adsorption en fonction des
vitesses de passage

MODELES D’ADSORPTION EN MODE DYNAMIQUE


MODELE DE BOHART ET ADAMS (1920)

L’étude de l’adsorption par différents chercheurs a débuté par l’étude de l’adsorption des gaz
sur des solides, mais par la suite, l’étude a été développée pour les liquides.
Bohart et Adams, ont développé un modèle d’adsorption du chlore gazeux sur le charbon actif ;
ils ont établi des équations en supposant que l’on a une courbe de fuite d’adsorption
symétrique c’est à dire que l’équilibre est réalisé sur chaque grain ou tranche dz d’adsorbant
La baisse de la capacité d’adsorption résiduelle (a) du charbon actif en fonction du temps est
donnée par l’équation :

(əa/ət) = - K .a .C

La concentration du soluté dans le liquide à une distance quelconque x du film diminue selon
l’équation :

(əC/əZ) = - K/U .a .C

Où :
a : capacité d’adsorption résiduelle
K : constante de vitesse d’adsorption
U : vitesse d’écoulement du fluide.

L’intégration de la dernière équation conduit à l’équation de Bohart et Adams :


Ln(C* N0/ C0*a)=K* C0*t-K* N0*(z /u)
Avec :
N0 : capacité maximum d’adsorption
z : hauteur du lit adsorbant. : capacité maximum d’adsorption
En réalité, le terme (a) n’est pas connu; c’est ce qui rend cette équation inutilisable, mais
si on considère que C0 >> C, en aura a = N0 ,donc l’équation se simplifie et devient :
Ln(C / C0)=K* C0*t-K* N0*(z /u)

En portant Ln C/C0 = f (t), on calcule la constante de vitesse K et la capacité d’adsorption


maximale N0 .
Autre expression de Bohart-Adams
C K 1∗q 0∗m
Ln( −1)= –K1*C0*(V /Q)
C0 Q

-C0 concentration à l’entrée de la colonne (ex: mg/L)


- C concentrations en sortie (ex: mg/L)
- Q débit (L/h.)
- V volume total d’effluent écoulé dans la colonne = (débit) x
(Durée) (Ex: L) => V/Q = t=temps d’utilisation
-m masse d’adsorbant dans la colonne (ex: g)
- k1 constante (vitesse du transfert de matière)
- q0 concentration maximale de soluté sur l’adsorbant en
Masse de soluté par masse d’adsorbant (ex: g/g) (équilibre
thermodynamique)
Au lieu d'utiliser la masse de charbon et le volume d'effluent écoulé, on peut utiliser le
temps d'opération de la colonne et la hauteur du lit de charbon actif
C K∗N 0∗X
Ln( −1)= –K*C0*t
C0 U
-X, hauteur de charbon (m)
- U, vitesse superficielle du liquide (Q/A) (m/h)
- K constante (m3 /kg.hr) (L/g.hr)
-N0 capacité d'adsorption (kg/m3) (g/L)
- t, temps d'utilisation (h)
- C0, concentration de l'affluent (kg/m3) (g/L)
MODELE DE CLARK (1987)
Le modèle de Clark est un modèle basé sur l’équation de transfert de masse ainsi que
sur la relation de Freundlich pour le calcul des paramètres KF et 1/n . L’équation qui en
résulte est la suivante :
(əC/əx) = - K*T/U *(C- C0 )

U : vitesse d’écoulement du fluide.


KT : coefficient de transfert de masse .
De la relation de Freundlich
x
=K∗F∗Ce1 /n
m
x : nombre de grammes de substances adsorbées;
m : nombre de grammes de substances adsorbantes;
(x/m): quantité adsorbée par gramme de solide en (mg/g);
Ce: concentration à l’équilibre en mg/l;
KF et n : paramètres de Freundlich, caractéristique de la solution et de l’adsorbant
déterminées expérimentalement.
on tire Ce et on la remplace dans l’équation de transfert de masse, l’équation obtenue est :
dC
C−¿ ¿
La vitesse de migration du front d’adsorption s’écrit : v = dx/dt, l’équation devient :

dC
C−¿ ¿
Avec:
L C
=
U x
( )
m
e

Où :
L : hauteur du lit adsorbant.
U : vitesse d’écoulement du fluide.
Cette équation provient du bilan massique sur l’ensemble de la colonne.
L’intégration de cette équation conduit à :
1/ K
C n−1=
1−¿ ¿
Avec
KT
r=
U
Et K=(1/ KF )n∗(U / L)n
n−1 1 n−1
Quand t +∞limC = =C 0
K

C 0n−1
Avec A= [
Cb n−1 ]
−1 ¿ erbt

K F et n sont les paramétres de Frendlich , déterminés en réacteur discontinu, r et A sont


les paramètres de Clark

logarithmique deviant
ln[¿-1]=lnA-rt
en portant ln[¿-1]=lnA-rt en fonction du temps, on peut déterminer r et LnA qui
représentent respectivement la pente et l’ordonnée à l’origine.

MODELE DE DOLE ET KLOTZ « BDST »


A partir de l’équation de Bohart et Adams combinée à celle de Thomas, on a la
formule suivante
ln(C0/C)-1=ln(e ¿¿ K∗Z∗N 0 /U −1)¿-K*C0*t
généralement :¿ ¿>>>1 l’equatioin devient ;

ln(C0/C)-1=ln(Z/U)-K*C0*t
donc :t=(N0/C0*U)[Z-((U/K)*N0)*ln[(C0/C)-1]
en posant Z0=(U/(K*N0)*ln[(C0/C)-1] et t b le temps de fuite pour une concentration Cb
donc l’équation finale est :
N0
tb = *(Z-Z0)
C 0∗U
avec :
z : hauteur du lit (m)
U : vitesse d’écoulement du fluide en (m/h)
C0 concentration du soluté dans l’eau brute , en (mg/l)
Cb: concentration du soluté dans l’effluent, en (mg/l)
N0 efficacité d’adsorption (mg/g)
K : constante
Z0 : hauteur du front d’adsorption.
Hutchins a utilisé par la suite cette relation sous le nom de « Bed Depth ServiceTime »
en faisant appel à la notion de durée d’utilisation d’une couche de lit filtrant En tracent
tb = f(z), on peut calculer la capacité maximum d’adsorption N 0 à partir de la pente de
cette droite et de l’ordonnée à l’origine on tire z0.
MODELE DE WOLBORSKA (1989)
En partant de l’équation générale de transfert de masse, on peut obtenir la relation de
Wolborska
∂c ∂C ∂ N ∂2 C
+U + =D 2
∂t ∂z ∂t ∂z
Avec

∂c ∂C
=−v =β (C−Ci)
∂t ∂z

U∗C 0
Et v=
N 0+C 0
v : vitesse de migration du front d’adsorption
β: coefficient cinétique de transfert de masse
D : coefficient de diffusion axiale
Ci : concentration du soluté à l’interface solide liquide
Si on suppose que Ci <<< C ,V = U–v, N0 >>>C0, β=β0 quand t→0 et en utilisant le
paramètre n de Freundlich, on obtient l’équation finale de Wolborska :

C β a∗C 0 β a∗z
ln = ∗t−
C0 N0 U
Avec
β a =¿

La représentation de Ln C/C0 = f(t) est une droite dont la pente et l’ordonnée à l’origine
permettent la détermination du coefficient cinétique de transfert de masse βa, et la capacité
d’adsorption N0. Le calcul du coefficient de diffusion axial D et de β0 est possible seulement
dans le cas où l’on fait varier le débit, mais le calcul de la vitesse de déplacement du front
d’adsorption V est possible .

CONCLUSION

Cette travaille nous a permis de connaître des données du phénomène d’adsorption, de


comprendre les phénomènes qui se déroulent lors d’une adsorption en régime statique et lors
d’une adsorption en régime dynamique.
Les modèles d’isothermes d’adsorption les plus utilisés ont été exposés pour le mode
dynamique afin d’être appliqués ultérieurement

Application du modèle de thomas


Tableau des vvaleurs
t (h) 20 ml/min 10ml/min 5ml/min
0 0,09562232 0,07268 0,03466
1 0,17691296 0,14696 0,07015
2 2,21597143 0,2782 0,10567
3 6,27373322 0,66917 0,13685
4 16,3169354 1,88097 0,18367
5 32,3320917 3,29485 0,2591
6 42,8392071 4,93257 0,35498
7 46,0329227 6,73808 0,45579
8 47,4398258 10,54506 0,52191
9 48,47135 15,72123 0,67066
10 48,47135 21,22511 0,73192
11 28,63985 0,87029
12 34,23737 1,09858
13 41,62648 1,30955
14 46,58037 1,84312
15 48,03198 2,37897
16 48,95822 3,01959
17 49,35174 3,66928
18 49,64127 5,06429
19 49,78882 6,49288
20 49,81904 8,15171
21 49,82944 10,54905
22 14,36402
23 16,91324
24 20,79242
25 23,99251
26 29,17258
27 34,23296
28 38,81421
29 40,72129
30 44,04058
31 46,41788
32 47,54821
33 48,53115
34 48,96331
35 48,95033

Application du modèle de thomas


Le modèle de Thomas est :
ln ( CC0 −1)= KthQQ 0 −Kth C 0 t
Avec :
C0 : concentration initiale en mg/L
C : concentration à l’instant t en sortie de colonne en mg/L
M : masse de l’adsorbant en g
Kth : constante de Thomas en L/mg h
Q : débit de l’alimentation en L/h
Q0 : capacité d’adsorption maximale du soluté sur l’adsorbant en mg/g

- On applique ce modèle pour ces valeurs avec


Q = 5 mL/min
M = 10g

t (h) 20 ml/min 10ml/min 5ml/min


C0 C0 C0
ln(C
−1 ) ln (C
−1 ) (
ln
C
−1 )
0 3.91066417 6.53100779 7.25253211
1 5.88007611 6.13497686 7.00761472
2 5.61418782 5.82542286 6.54675698
3 3.92359261 5.53740564 6.3235689
4 3.04347083 5.1846037 6.13634501
5 2.59201665 4.76700032 5.97076768
6 1.91145406 4.29900167 5.87714222
7 1.18353479 3.64379424 5.74758159
8 0.68550633 3.24059355 5.58192762
9 -0.06513904 2.94537633 5.41634065
10 -0.6805874 2.65015793 5.23630667
11 2.46293336 5.07071665
12 2.21091522 4.92034039
13 2.03808836 4.78265777
14 1.85805552 4.66744194
15 1.56279298 4.60262173
16 1.31792022 4.53061494
17 0.95778737 4.49461445
18 0.77769362 4.37849068
19 0.48230072 4.21761219
20 0.30210799 4.18809411
21 -0.0005707 4.09129305
22 4.01206584
23 3.88962002
24 3.77436047
25 3.72354258
26 3.59427797
27 3.44297971
28 3.24124178
29 3.0971142
30 2.97459681
31 2.84484715
32 2.72229611
33 2.61414275
34 2.51317978
35 2.28234831
Pour le débit 20ml/min

6
f(x) = − 1.04 x + 5.46
4
ln(C0 /C -1)

0
0 2 4 6 8 10 12
-2

-4
t (h)

On a l’équation de graph se forme de ln ( CC0 −1)=5.4612−1 .0384 tLa pente = 1.2338 h -1

Ordonnée à l’origine = 5.6039

Donc par identification :

Kth C0 = 1.0384 …….(1)

Kt hQ 0 M
=5.4612…….(2)
Q
De la 1ere équation on tire Kth on le remplace dans la 2eme et on calcule la capacité maximale
de l’adsorption

Donc : Kth = 0.025 L/mg. h d’où


Q 0=7.80 mg/ g

Pour le débit 10ml/min


6
5
f(x) = − 0.83 x + 5.85
4
3
ln(C0 /C -1)

2
1
0
0 5 10 15 20 25
-1
-2
t (h)

D’après le graphe : l’équation de la droite :

ln ( CC0 −1)=5.0187−0.8344 t
La pente = - 0.8344 h-1

Ordonnée à l’origine = 5.0187

Donc par identification :

Kth C0 = 0.8344 …….(1)

Kt hQ 0 M
=5.0187…….(2)
Q

De la 1ere équation on tire Kth on le remplace dans la 2eme et on calcule la capacité


maximale de l’adsorption
Donc : Kth = 0.083 L/mg h d’où :Q0 = 1.81 mg/g

Pour le débit 5ml/min


6
5
4 f(x) = − 0.3 x + 4.89

3
ln(C0 /C -1)

2
1
0
0 5 10 15 20 25 30 35 40
-1
-2
t (h)

D’après le graphe : l’équation de la droite :

ln ( CC0 −1)=4.5915−0.3016 t
La pente = - 0.3016 h-1

Ordonnée à l’origine = 4.5915

Donc par identification :

Kth C0 = 0.3016 …….(1)

Kt hQ 0 M
=4.5915 …….(2)
Q

De la 1ere équation on tire Kth on le remplace dans la 2eme et on calcule la capacité maximale
de l’adsorption

Donc : Kth = 0.060 L/mg h d’où : Q0 = 2.29 mg/g

Application de la méthode la ZTM :


On trace pour les trois cas la concentration en fonction du temps C = f(t)

courbes de percée
55 60
50
45 50
40
40
35
concentration

30
30
25
20
20
15
10 10
5
0 0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 101112131415161718192021222324252627282930313233343536
temp (h)

tp = 2% et ts = 95%
On calcule l’aire sous la courbe et l’aire totale pour trouver l’aire qui donne la capacité
d’adsorption maximale du soluté sur l’adsorbant

Pour le débit 20ml/min


Surface totale : 333.55 mg h /L

Surface sous la courbe : 181.86 mg h /L

Donc on trouve la surface adsorbé 151.69 mg h /L

151.69× Q 151.69 ×0.3


D’où Q0 = =
M 10

Q0 = 4.55 mg/g

Pour le débit 10ml/min


Surface totale : 47.85 mg h /L

Surface sous la courbe : 19.28 mg h /L

Donc on trouve la surface adsorbé 28.57 mg h /L

28.57 ×Q 28.57× 0.3


D’où Q0 = =
M 10

Q0 = 0.86 mg/g

Pour le débit 5ml/min


Surface totale : 56.59 mg h /L

Surface sous la courbe : 22.71 mg h /L

Donc on trouve la surface adsorbé 33.88 mg h /L

33.88× Q 33.88 × 0.3


D’où Q0 = =
M 10

Q0 = 1.02 mg/g
CONCLUSION

Cette travaille nous a permis de connaître des données du phénomène d’adsorption, de


comprendre les phénomènes qui se déroulent lors d’une adsorption en régime dynamique.
On conclue de ce travail que l’adsorption diminue avec la diminution de la concentration et on a
conclue aussi que l’adsorption dynamique est utilisée en milieu gazeux.

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