Histoire de la pensée économique

Marx

La propriété privée est une évolution du système de droit de son époque ou les
bourgeois s’approprient les forces productives, a partir d’un stade de
développement de production la propriété privée devient inefficace car il entre en
collusion avec le système productif lui même. Ce qui matérialise la dialectique : on
produit toujours plus et mieux et a partir d’un certain stade se met en place la
concentration de la propriété. La propriété est de plus en plus concentré. Et donc
elle échappe de plus en plus aux gens. Cette situation n’est-elle pas antagoniste à
l’augmentation de la production. D’où une disparition de la propriété dans les faits.
Il y a un clivage entre liberté formelle et réelle (négative et positive??). La propriété
privée qui a servit à faire démarrer le capitalisme va le détruire puisqu’elle est de
plus en plus concentrée. La propriété devient un obstacle aux forces productives il
faut changer de système. Et donc de droit.
«à un certain stade......alors s’ouvre une époque de révolution sociale» préface à la
critique de l’économie politique (1859)
La propriété disparait par la loi de la concentration du capital croissant. Cette
concentration du capital est garantie par la concurrence. Et la baisse tendancielle
du taux de profit. Valeur travail reprend l’hypothèse classique avec le résultat
inverse. Le prix est la somme des facteurs de production (le prix de marché est
attiré a son prix de production car concurrence). Prix est évalué en quantité de
travail. A long terme plus de marge bénéficiaire. On ne peut pas faire de profit avec
le capital (travail mort ancien). Le seul moyen d’avoir du profit c’est le travail. Or le
travail n’est pas payé avec la quantité de travail effectif.

Ferdinand de Lassale.
Loi d’érain. EX : il fait travailler 12h pour 6h de salaire. Ou est le profit si la valeur
est le travail?
Le travail le seul service qui ne seul pait pas en quantité de travail.
Le taux de profit ???
Le taux de profit peut être décroissant même si les travailleur sont exploités. On ne
peut faire un profit sur les produits seul les salaires font le profit or les salaires sont
les seuls débouchés.
Marx observe l’exode rurale la misère : paupérisation, population exploité,
Le capitalisme est nécessairement condamné par sa baisse des taux de profit et la
propriété aussi est destiné à disparaitre.
Il faut attendre que le capitalisme soit arrivé à son dernier stade pour passer au
communisme libéré de l’entrave de la propriété.
Marx a décrit l’écroulement du capitalisme mais pas l’après car il n’avait pas les
outils.
 Les lacunes classiques de l’analyse de Marx

- Mauvaise théorie de la valeur. La subjectivité de la valeur. La valeur n’existe que dans

l’échange.

- Le rôle du progrès technique :

- Le rôle de la croissance économique. Elle est impulsé par un certain nombre
d’innovations qui n’exercent pas encore leur influence statistique en 1870.

- Le rôle du marché. L’offre et la demande fixent les prix. Le marché transmet de

l’information par l’intermédiaire des prix relatifs entre les producteurs et les
consommateur.

La révolution marginaliste.
C’est l’usage de la technique des dérivée qui a profondément modifié l’analyse
économique. Quand on raisonne en terme optimum sur les relations fonctionnelles
considérés. Il se sont mis à trouver une certaine modélisation de la rationnalité.
Leibniz mal et bien on prend l’ensemble des possible et on choisit ce qui est
meilleur. On ne peut plus déterminer que la solution optimal pouvait être améliorer.

Pourquoi les gens produisent et comment.

Choix d’un ensemble des possibles, et chercher ce qui est optimum d’une variable.
Et cette variable qui va définir la rationalité de la théorie économique.
Karl Popper théorie de falsification.....
la rationalité est considéré comme vraie a priori.

Gossen herman :
Il est le premier à utiliser le concept central de l’utilité marginale pour déterminer ce
que sont les lois de l’individu lorsque l’individu est une consommateur. Un individu
lorsqu’il consomme de comporte universellement de la même manière. «L’homme
est la mesure de toute chose». (protacoras)

C’est un précurseur de Jevons. c’est un des inventeurs de l’hédonisme en

économie. Ou alors qu’il poursuit l’oeuvre de Jérémie Bentam en cherchant à
quantifier les plaisir et les peines. En 1850 17 ans la publication du capital propose
comme programme de recherche l’idée que notre relation au monde passe que par
la jouissance qu’il nous procure. «Le monde n’a de valeur.... qu’il nous procure.»

La première loi de Gossen :

L’utilité marginale d’un produit diminue au fur et à mesure qu’on le consomme. (sauf
la drogue augmentation des qt consommé pour un meme niveau d’utilité)

La 2eme loi de Gossen : lorsqu’on arbitre entre plusieurs produit je le fais de

manière à ce que la dernière unité de monnaie consacré à ces produits m’apporte
la même utilité marginale. (d’ou les desserts en quantité sont plus cher).

équilibre individuel: ......

tms = rapport des utilité marginales= rapport des prix.

1871,

DUPUIS
MENGER
JEVONS
EDGEWORTH
COURNOT
WALRAS français école de Lausanne.
MARSHALL

Herman Gossen

Jules Dupuis
Ancien élève de l’école de polytechnique.
Ingénieur et savant de son époque.

1er concept intéressant : courbe d’utilité marginale décroissante.

Application au droit eco. En concurrence le prix est défini par la marginalité du coût.
Loi concurrence ; pas de dumping (prix en dessous, prix prédateur du Cm ou
d’abus au dessus du Cm blablabla).
EN entreprise on ne peut pas calculer le Cm car on connaître pas la fct de prod
mais on calcule le cout variable moyen. (Kelda vern????)

2eme On trouve aussi chez Dupuis la réflexion sur le taux d’imposition optimal.
= courbe de Laffer mais avant.

La courbe de Laffer est économiquement juste mais mathématiquement

indéterminable. (fraude évasion fiscale désincitation...)

3eme Le surplus du consommateur.

Si on observe le prix payé et le prix qu’ils accepterait de payer...
On peut segmenter le marché par âge ou par sexe qui discrimine le consommateur,

Carl Menger
Subjectivité de la valeur et de l’utilité. Chez les classiques on cherche à déterminer
la valeur par les biens. Menger va proposer ne va pas proposer la valeur travail
mais la valeur d’échange nécessairement une valeur subjective. (et donc non
calculable).Or Menger par la subjectivité va discréditer les mathématiques alors
que paradoxalement elles vont monter en puissance.
Dans la première école de Vienne il ne va pas y avoir un rejet de l’Etat.
La critique autrichienne de l’Etat est venue principalement du communisme avec
Hayek. Et ensuite du fait de la compétition permanente des idées entre Hayek et
Keynes. Menger va introduire l’intensité des besoins dont il tire l’utilité marginale. Il
a été amené à défendre des positions proche de Gossen.

L’autre apport de Menger a été la querelle des méthodes.

Elle va opposer l’école historiciste allemande et l’école autrichienne.
Menger défendre l’universalité des lois économiques. l’objet de la science n’est
d’élaborer à partir de l’étude des lois historiques contingentes à leur époque mais
de partir de l’individu pour élaborer par une démarche d’individualiste
méthodologique un corps de loi universel.
Méthode hypothético-déductive qui s’oppose à l’induction historique.
Le postulat qui consiste à partir de l’individu n’est pas celle de l’époque qui
dépasse l’économie mais qui va aller jusqu’à la sociologie. Werber, chef de l’école
de sociologie allemande, va définir comme modèle d’idéal type. L’homo
economicus de Menger.
Opposition entre l’individualisme et le holisme. approche déductive logique et
inductive.

Jevons Williams Stanley.

Paradoxe en l’eau et des diamants.
Faux car il ne faut pas mesure le produit mais les besoins!
Quand on est dans un désert la valeur de l’utilité marginale augmente car les
quantités diminuent.
C’est la valeur qui est déterminé par le besoin et non l’inverse.

TMS.........Umx/Umy = Px/Py
Equilibre du conso entre plusieurs biens et pas un seul. (en supprimant l’axe de)
l’utilité

De l’utilité totale à deux biens.

Utilité (y,x)----> plusieurs courbes d’indifférence...

Francis Ysidro Edgeworth

Ouvrage majeur «mathematical psychics» (1881)

Il applique les mathématiques au psychisme.
Boite d’edgeworth...
Utilité totale à 2 biens-> courbe d’indifférence-> boite d’edgeworth

C’est chez pareto que la boite va devenir interressante. (courbe des contrats)

Leon Walras.
Fondateur de l’école de Lausanne.
Parfois son résultat, l’équilibre général est considéré comme le coeur de la théorie
économique (néoclassiques).
Cet équilibre est simultanément un équilibre individuel. (maximise leur profits et
minimisent leurs couts.
C’est un équilibre de tous les acteurs sur un marché. et sur tous les marchés.
Equilibre : situation où les contrats passés sont de sorte que plus personne n’a
intérêt de modifier leur et la demande.
C’est une notion statique.
L’objectif de Walras est de montrer qu’il est possible d’avoir un équilibre individuel et
partiel et de tous les acteurs sur tous les marché (équilibre partiel) c’est l’équilibre
général.
Une économie décentralisé peut aboutir à la meilleur situation qui existe.
formule blablablablabla......
loi de say.....
La solution sera déterminé plus tard au 20eme siècle...Solution du point
fixe....arrow et debreu.......
Il démontre qu’il existe bien un point d’équilibre général dans toute économie
concurrentielle.
1ere critique tâtonnements des prix n’existe pas.
2eme le tâtonnement de ne montre pas ce qu’est le processu de marché (neo
autrichiens 2eme école de vienne) c’est un processus de découverte car c’est une
processus d’essais et d’erreurs. Les autrichiens ne ensent pas que l’équilibre
général n’est pas l’objectif d’une économie.
Même si cet état serai atteint il ne durerait pas (plus de transactions).
LE Marché est un processus de découverte pas un moyen de définir des offres et
des demandes. Le marché peut me faire découvrir mes préférences donc elles ne
peuvent pas être définis comme des données.
Pour les néoclassiques le processus de marché c’est un résultat., l’équilibre
général. Et ce qui se passe avant (chez Walras le tâtonnement) c’est une
procédure impure qui conduit au résultat.
Pour les économistes autrichiens c’est l’inverse. Pour certains l’équilibre général
peut être atteint à un moment mais tous nient l’intérêt.
L’important c’est la processus du marché et non l’équilibre car c’est le processus
qui révèle l’information. C’est un processus d’essais et d’erreur des agents qui
pourrait conduire à l’équilibre.
3eme critique : Pour démontrer l’existence d’un équilibre général il faut faire une
hypothèse technique. C’est l’hypothèse de complétude du système des marchés
contingents. C’est LA faille principale du résultat néoclassique. C’est le système
des marchés d’assurance. Or tous les marchés d’assurance n’existent.
Il y a des des marchés d'assurance qui n’existe pas.

Augustin Cournot.

«Recherches sur les principes mathématiques de la théorie des richesses.» (1838)

C’est l’homme du duopole tant il est vrai que le résultat qu’il propose va gagner une
prospérité jusqu’à nous.
Equilibre de Nash-Cournot. John Nash va redémontrer en théorie des jeux
l’existence d’un équilibre décrit par Cournot. Pour une fois l’économie va intégré la
dimension stratégique, quand un individu prend des décisions et non pas en
prenant en compte l’incertitude mais en fonction des décisions des autres....

Modélisation de Cournot.

Pi cpp= p.Q-(C(Q)+CF)

La CPP : transparence de l’information, atomicité, homogénéité, libre entrée libre

sortie.

Pi monopole = p(Q).Q- (C(Q)+CF)

(recette totale- cout total)

Duopole.

Q = Q1+Q2

Pi duo 1 = p(Q1+Q2).Q1-C(Q1)
Pi duo 2 = p (Q1+Q2).Q2-C(Q2)

Chaque entreprise doit choisir sa quantité en fonction ce celle de l’autre.

tu dérives .....

Fonction de réaction......

Cournot a également une production philosophique sur le hasard. La place : les

choses arrivent par hasard car on manque d’information. (relativité vs quantique)
Pour Cournot ce n’est pas l’absence de la connaissance des causes mais c’est
l’imprédictibliité. Certains évènements arrivent parce que on ne peu pas les prévoir.
seance loupé.....
Von Thünen a développé les bases mathématiques de la théorie marginale.

Modèle spatiale de Von Thünen.

Vilfredo Pareto.

Optimum de Pareto.
Redistribution intolérante don non monétaire donc on impose notre structure de
préférence (ex SDF).

L’utilité est dite cardinale si elle a un sens absolu cad la valeur qui est donné par
l’utilité cardinale représente la mesure absolu de l’intensité de la préférence.

Depuis Pareto l’économie s’est émancipé des jugement de valeur devenant ordinal
car elle s'intéresse aux ordres et non à la nature des utilités.

Critique du critère de Pareto :

Il permet de définir les état efficace aux états inefficaces de l’économie mais
comment discriminer entre les états efficaces?

C’est un critère qui n’est pas un critère absolu de choix, lequel choisir?

Le critère de Pareto est considéré comme un critère conservateur si on laisse les

choses en l’état.

Critère de compensation...

Ce critère n’a de sens que dans un droit déjà défini.

Pareto au-delà de l’optimum

Pareto c’est aussi la loi de 80-20.

Circulation des élites.

Enrico Barone
Les penseurs communistes n’ont pas défini comment va fonctionner l’économie post
révolutionnaire. Ces questions ne sont pas traités par Marx et sa bande de débiles.
Barone est un militaire, historien, appréciant les mathématiques et défendant la théorie de
l’équilibre générale. C’est un néoclassique walrasien collaborateur de Vilfredo Pareto.
Il est le fondateur de la théorie pure de l’économie socialiste. Il est le premier à présenter
un modèle mathématique dans lequel l’équilibre général de Walras sont atteints dans
l’hypothèse de l’existence d’un planificateur central.
Au prix de quelques hypothèse. Possible à grande échelle par la récolte massive de
données.
Le modèle socialistes ne sort donc pas de Marx mais de «Walras le père du libéralisme»
(et de pareto, barone...).

Tous ces auteurs qui vont défendre l’économie sociale de marché vont trouvé une
opposition dans l’école du cercle de vienne.

Le travail de barone préfigure le travail de Samuelson ...

L’école de Vienne.
Dans ‘l’école autrichienne on distingue 2 périodes. On considère que cette école de
Vienne est issue de Carl Menger. Mais elle est de trois auteurs : Carl Menger, Friedrich
von wieser et Eugen bohm Bawerk.

Dans cette première école e vienne après une 30aine d’année les résultats de l’école sont
très homogènes il va y avoir une divergence. Parmi les origines de l’école autrichienne il y
a l’école de Salamanque. est à la base de la redécouverte thomistes. Et notamment les
justes naturaliste et les théoriciens du droit naturel. Il n’y a pas de différences
fondamentales entre 2 êtres comparables sont dans une situation d’égalité. Cette école de
Salamanque va insister sur la subjectivité de la valeur et l’appréciation de la valeur. C’est
ce qu’on va trouver dans l’évolution entre la première et la 2eme école de Vienne.

Menger, le père de l’école de Vienne.

Classification des biens par rang : elle considère des ordres différents de biens. Cela
cnsiste à ordonner les biens entre eux. Avec des biens de rang élevé (d’ordres supérieur)
sont les biens nécessaires à la production et des biens d’ordre faible (d’ordre premier) qui
sont les biens de consommation. Cette classification par ordre conduit à l’utilité des biens
de conso par rapport aux biens de production. Toute la valeur des biens supérieurs ne
vient que de l’utilité des biens qu’ils vont produire. L’ordre dans lequel se situ chaque bien
ne vient pas du bien lui-même mais de sa relation de causalité avec le besoin qu’il va
permettre de satisfaire plus tard. C’est qui fait que Menger admet que des biens sont
économiques ou non. Lorsque l’utilité finale disparait tous les autres biens devient ???
économiques.
Elle confère aux biens d’ordre supérieurs une spécificité liée à la causalité, au temps, et
donc à l'irréversibilité du processus de production. (d’ou les crises...Hayek). Le mauvais
capital ne peut plus être utilisé ou recyclé puisque les biens d’ordre premier qui ne
trouvent plus de débouchés. L'irréversibilité vient du temps incompressible du temps de
production de capital. C’est ce délais qui engendre une partie de l’incertitude. Lorsque les
biens qui sont dans les rangs les plus élevés acquièrent leur valeur peuvent le perdre si
les premiers biens le perdent. Un bien premier acquièrent sa valeur en fonction de la
prévision de sa demande puisqu’il n’est pas produit.
Le progrès économique n’est pas du qu’à la division du travail (Smith) mais également et
principalement à la connaissance humaine et au contrôle humain des relations causales
entre les biens d’ordre supérieurs et la satisfaction des besoins.
Friedrich Von Wieser

C’est un des premiers membre de l’école autrichienne. Son explication de théorie utilitaire
marginale était décisive du moins terminologiquement c’est son terme «Grenznutzen»
«utilité marginale» qui a été retenueLes prix sont les éléments les plus centraux.

Les besoins sont recensés et collectés par le planificateur central, pour définir les besoins
de biens intermédiaires.
Dans ce système ce qui l’a fait échouer c’est qu’il n’y a pas de prix monétaires stables.
Dans le système soviétique on ne peut pas mesurer l’utilité via les processus de marché
Le traitement du recensement prend plus de temps que le processus de production.

Il va développer à la fois la théorie de l’utilité marginale (relation entre l’utilité marginale et

l’utilité totale), théorie de l’imputation (a partir des biens de consommation on peut définir
les biens de productions) Les prix des biens des biens de consommation ne dépend donc
pas des coûts.

Eugen von Böhm-Bawerk.

Le détour de production. Pour lui ce qui est central c’est le rôle du temps dans la
production. La valeur de l’investissement dépend du temps affecté à la production du
capital. Exemple de l’irrigation. C’est le temps de production qui défini la productivité du
capital. C’est le détour de production. Plus il est long plus la production de biens est
importante.

Kun Wicksell.

Au début de sa carrière c’est un néoclassique, fasciné par walras, bohm-bawerk et ricardo.

Il veut une théorie économique synthétique qui lui vaut le surnom d’économiste des
économistes.
Il va mettre en relation le taux d’intérêt et la rentabilité espéré du capital.
Pour lui il y a 2 types d’économies : une économie de crédit pur ou provient de la collecte
d’information et de la monnaie par les agents décentralisés. Et une économie de crédit
monétaire ou interviennent les banques.
Dans l’économie de crédit pur il ne peut exister de grandes différences entre le taux
d’intérêt issu de la confrontation du besoin de et de la capacité de financement et la
rentabilité espéré du capital. Pourquoi? En raison de la concurrence des prêteurs. Si dans
une économie donnée le taux d’intérêt définie par le marché des fonds prétables. Les
entreprises qui vont emprunter à un niveau toujours inférieur à la rentabilité espéré du
capital; Donc le taux d’intérêt sera toujours légèrement inférieur au taux d’intérêt espéré
du capital. Dans une économie de crédit pur le taux d’intérêt évolue en fonction de la
rentabilité espéré du capital. Or il peut exister un problème et il vient des banques. En effet
lorsque les banques fixent le taux d’intérêt de la création monétaire elles ne se fondent
pas nécessairement sur la rentabilité du capital., elles ne sont pas nécessairement en
concurrence pour offrir la meilleure adéquation entre fonds prétables et rentabilité espéré
du capital. Si elles offrent trop d’argent un cycle de surproduction va apparaitre et avant
que les biens soient produit les entreprises vont distribuer des salaires et donc de
l’inflation va apparaitre et diminuer le taux d’intérêt réel va diminuer qui va alimenter
encore plus l’investissement et l’inflation. Jusqu’à la barrière de la crise.
Il explique comment une crise de surproduction peut survenir. Avant Wicksell crise de
surproduction = critique de Say.
Si la monnaie n’est qu’un voile il ne peut pas y avoir de crise de surproduction. Pour
Malthus ce n’est pas le cas donc si la monnaie sort du circuit cela va faire diminuer les
débouchés.
A partir de WIcksell apparait un mécanisme de crise s'appuie sur une nouveauté :
l’effet Wicksell. Beaucoup de succès, on va le rencontrer dans toute les théories des
crises. (hautray???) Crise de surcapitalisation qu’on retrouve chez les autrichiens ou la
dette déflation chez Fisher (c’est l’inverse). L’effet Wicksell c’est ce qui se passe dans une
économie de crédit monétaire où la quantité de monnaie de crédit en circulation ne
provient plus uniquement de l’épargne collectée.
Il disait à la base résonnons dans une économie pure (sans création monétaire). Les
banques collectent de l’épargne et les individus renoncent provisoirement à consommer
en échange du taux d’intérêt qu’il leur est versé. Dans un tel système il ne peut pas y avoir
de crise de surproduction. Il y a toujours coïncidence entre le taux d’intérêt de l’épargne
(taux naturel confrontation O épargne et D épargne) et la rentabilité espéré du
capital. ???En raison de la concurrence qui existe entre emprunteurs et prêteurs.
La concurrence entre les prêteurs a tendance à rapprocher le taux d’intérêt de l’épargne
de la rentabilité espéré du capital et du coté de la concurrence entre les emprunteurs elle
rapproche la rentabilité espéré du capital au taux d’épargne.

Tout change lorsque les banques créent de la monnaie. Il n’y a plus autant d’incitation à la
correspondance entre le taux d’intérêt naturel et la rentabilité espéré du capital.
Si les banques fixent le taux d’intérêt trop bas cela n’aura pas d’effet immédiat. Rien ne va
les détromper immédiatement puisque la concurrence entre les banques est limité dans la
création monétaire seulement si la banque centrale intervient en relevant ses taux. Dans
une économie pure si le taux est trop bas la demande augmenter mais va être limité par le
stock limité d’épargne jusqu’à l’égalisation des taux.
Les effets de cette situation sont :
Les entreprises empruntent trop facilement et vont investir trop de capital.
Elles vont distribuer des salaires et fabriquer des biens de consommation.
Dans un premier temps l’impact sur les prix sera à la hausse. Cette inflation va faire
encore diminuer le taux d’intérêt monétaire réel. Ce qui va encore encourager la
production donc de l’inflation. C’est donc un mécanisme cumulatif qui se met en place et
abouti à une surproduction tant que le taux d’intérêt monétaire est fixé arbitrairement à un
niveau faible.
Sa explique des crises de suremploi ou des crises de sous-emploi.
La 2eme école de vienne.

Ludwig von Mises.

Auteur autrichien il migre aux Etats-Unis. Dans l’action humaine il décrit une science qui
s’appelle la praxéologie. C’est individualiste méthodologique. La praxéologie de Mises se
veut aprioriste. Elle déduit des loi de postulat considéré comme vraie a priori. Ses
postulats ces postulats cette connaissance dite vrai apodictiquement vraie ne relève pas
de l’approche scientifique, ils n’ont donc pas à être analysé. C’est le postulat «l’homme
agit». D’où la critique du holisme, la société agit n’existe pas. Le rejet du holisme
méthodologique est la conséquence de l’approche praxéologique.
voir le rasoir d’okam.

L’individu agit donc il a des préférence subjective non quantifiable non comparable d’où la
subjectivité de la valeur. Le coût de production dépend des choix subjectifs des facteurs
donc le coût des facteurs ne peut être objectif (rejet cout de production néoclassique)
Protagoras «l’homme est la mesure de toute chose» il n’y a pas de mesure de la valeur
sans l’homme.
Mises va montrer que les politiques de taux d’intérêt va engendrer des cycles de
surproduction. Il est partisan de l’étalon or. Mises critique les dépenses de transfère, la
tentation de la spécialisation scientifique conduit à une simplification des phénomènes
économiques qui finissent par devenir partiel. ex l’utilisation des mathématiques en
économie, le rejet de l’approche historique. Le sujet de l’économie c’est d’analyser les
actions humaines et non les biens.....

Friedrich Hayek.

Prix Nobel 1974 : prix et production.

3eme Hayek droit législation et liberté. Darwinisme social... Le groupes humains

sélectionnent des règles ET SONT eux-même sélectionnés par un processus d’élimination
naturel auquel les ordres spontanés participent. Certains ordres sociaux relèvent d’une
émergence spontané. (le marché ou la monnaie ne doivent leur création à personne). On
peut créer les conditions de l’échange du marché et de la catallaxie.
La différence entre le droit et le législation c’est que le droit est le processus de
reconnaissance par les individus de règles qui fonctionnent bien. Le droit tue le droit...

Von mises socialisme.....

La révolution keynésienne.

Cette révolution est intervenue dans la macroéconomie.

Avant macroéconomie néoclassique. Leur macroéconomie était en cohérence avec leur
microéconomie. via l’agent représentatif. C’était une macroéconomie de la non
intervention de l’Etat. Car dans la macroéconomie classique on considère qu’il y a un effet
d’éviction.
Différence entre la macro néoclassique (conso déterminer par le taux d'intérêt)
et la macro keynésienne (de la propension à consommer constante).
Il n’y pas de bridge en la micro et la macro.
Ce qui parait une révolution n’est qu’une contre théorie néoclassique qui utilise les
hypothèses fortes pour arriver aux conclusion inversent.

Pourquoi cette révolution à-t-elle disparue aussi vite?

C’est une contre révolution néoclassique dont l’originalité tenait sur un système
d’hypothèses choisit pour produire l’effet inverse de l’économie néoclassique.

A la suite de keynes tous les auteurs n’ont eu de cesse de découvrir les fondement
microéconomiques de cette macro-économie là où keynes disait qu’il n’y avait pas de
«bridge», or ils n’ont rien trouvé.

Ces même auteurs qui avaient reçu un enseignement néoclassique = mouvement de la

synthèse néoclassico-keynésienne. ISLM. Modèle d’équilibre général. qui est une
synthèse entre la micro (pas la macro) néoclassique et la macro keynésien.

On vit dans monde éco de domination néoclassique non pas parce que les anticipations
rationnelles produisent de bons résultats mais parce que la théorie keynésienne n’explique
rien.