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Plan international :
Plan européen :
Commission Européenne
o Règlements
Plan national :
Elle donne un avis sur toute disposition législative ou règlementaire contenant des
mesures de nature comptable applicables aux personnes visées au 1°, élaborée par les
autorités nationales ;
Objectif des états financiers est de fournir une information sur la situation financière, la
performance, et les variations de la situation financière d’une entreprise, qui soit utile à un
large éventail d’utilisateurs pour prendre des décisions économiques.
Comptabilité d’engagement
o Transactions et évènements enregistrés lorsqu’ils se produisent.
Continuité d’exploitation
o L’entreprise est censée poursuivre ses activités dans un avenir prévisible.
Caractéristiques qualitatives :
Intelligibilité
o L’information fournie dans les états financiers doit être compréhensible
immédiatement par les utilisateurs.
Pertinence
o Une information pertinente influence les décisions économiques des
utilisateurs
o La pertinence est liée au principe de l’importance relative.
o Image fidèle : L’information doit présenter une image fidèle des transactions
et autres évènements affectant l’entreprise.
o Exhaustivité
Comparabilité
Du patrimoine
De la situation financière
Et du résultat de l’entité à la date de clôture.
Principes comptables :
Actif : Élément identifiable du patrimoine ayant une valeur économique positive pour
l’entité. Élément générant une ressource que l’entité contrôle du fait d’évènements passés
et dont elle attend des avantages économiques futurs.
Passif : Élément du patrimoine ayant une valeur économique négative pour l’entité.
Obligation de l’entité à l’égard d’un tiers. Provoquera une sortie de ressources au bénéfice
de ce tiers sans contrepartie équivalente attendue de celui-ci.
Missions d’audit
Audit : Examen mené par un professionnel indépendant en vue de donner, sur l’objet
examiné, une opinion / un avis sur la concordance de cet objet avec le référentiel.
Méthodologie d’audit
Pour contrôler les comptes, auditeur va chercher à valider les assertions d’audit :
Existence (Existence)/Occurrence : Les actifs et les passifs existent à la date de clôture. Les
transactions enregistrées au compte de résultat correspondent à des évènements
économiques qui se sont produits pendant la période.
Séparation des exercices (Cutoff) : Les transactions ont été enregistrées dans la bonne
période.
Droits et Obligations (Rights & Obligations) : Les actifs et les passifs de l'entreprise
correspondent respectivement aux droits et obligations de l'entreprise à la date de clôture.
Contrôle interne (CI) :
Contrôle interne : Ensemble des politiques et procédures mis en œuvre par la direction
d’une entité en vue d’assurer, dans la mesure du possible, la gestion rigoureuse et efficace
de ses activités. Destiné à fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation des
objectifs suivants :
1. Environnement de contrôle
Ø Fixer des objectifs est une étape clef dans la conduite des affaires est une condition
préalable à l'évaluation des risques.
3. Activités de contrôle
4. Information et communication
Ø L'information pertinente doit être identifiée, recueillie et diffusée sous une forme et
dans des délais qui permettent à chacun d'assumer ses responsabilités.
Ø Flux ascendants, descendants et transverse qui permettent au management de
transmettre des instructions et au personnel de comprendre l'importance de ses
responsabilités et de remonter les informations importantes.
5. Pilotage
Loi PACTE : Création de seuils différents pour les petits groupes de sociétés. Le
commissaire aux comptes est obligatoire dans les groupes de sociétés qui dépassent les
seuils précités.
Obligatoires dans les filiales qui dépassent deux des trois seuils suivants :
Le commissaire aux comptes cesse d'être obligatoire lorsque les seuils ne sont plus atteints
au cours des deux exercices qui précèdent l'expiration de son mandat.
Code de déontologie
Ø Intégrité
Ø Impartialité
Ø Indépendance
Ø Conflit d’intérêts
Ø Compétence
Ø Discrétion
o Secret professionnel :
Étendue :
Limites :
Ø Obligation d’information
Ø Devoir d’alerte
Ø Attitude active
Ø Refus de complaisance
Conscience professionnelle : donner à chaque question examinée tout le soin et le temps
qu’elle nécessite, de manière à acquérir une certitude suffisante avant de faire toute
proposition.
Civile
Les CAC sont responsables, tant à l’égard de la personne ou de l’entité que des tiers, des
conséquences dommageables des fautes et négligences par eux commises dans l’exercice de
leurs fonctions.
Ø Faute
Ø Préjudice
Ø Lien de causalité
Pénale
Disciplinaire
Sanctions :
CAC/ Personnes Morales : Les sanctions sont plafonnées à 1 million d’euros ou la moyenne
annuelle des honoraires facturés au titre de l’exercice durant lequel le manquement a été
commis et des deux exercices précédant celui-ci.
Pour les entreprises : Les sanctions du dirigeant de PME existent uniquement en cas de délit
d’entrave aux procédures de contrôle du H3C.
Mission d’auditeur :
Évaluation des risques
Risque d’audit : possibilité pour l’auditeur de formuler une opinion inappropriée eu égard
aux circonstances : par exemple, formuler une opinion sans réserve alors que les comptes
présentent une anomalie significative.
Ø Systèmes d'information
Risque de non-contrôle (lié au contrôle) : Risque de non-contrôle c.-à-d. qu'il n'y ait pas de
contrôle interne ou que celui-ci ne soit pas suffisamment efficient pour déceler des
anomalies / irrégularités importantes :
Risque de non-détection : Risque que les procédures d'audit mises en œuvre par l'auditeur
ne lui permettent pas de détecter à temps des erreurs ou anomalies significatives
Risque Inhérent x Risque lié au contrôle interne x risque de non-détection = Risque d’audit
L’auditeur se fixe un risque d’audit acceptable : il ne lui reste plus qu’à évaluer chacune
des composantes.
Il doit exister une relation inversement proportionnelle entre le degré combiné du risque
inhérent et du risque lié au contrôle interne et celui du risque de non-détection fixé par
l’auditeur.
Seuil de matérialité : Degré d’information que l’auditeur doit obtenir pour atteindre un
certain niveau de confiance lié au fait que les états financiers ne contiennent pas d’erreurs
importantes.
Opinion
Rapport Général
Conventions Libres
Les conventions courantes sont également appelées conventions libres, car elles ne sont
soumises à aucune procédure particulière.
On appelle convention courante toutes les conventions passées avec la société qui porte sur
des opérations courantes et qui sont conclues à des conditions normales, c’est-à-dire les
conventions que la société passe habituellement dans le cadre de son activité.
Conventions interdites
Les conventions interdites sont clairement identifiées et visées par une interdiction de
conclusion.
Ainsi, il est interdit aux personnes mentionnées dans le paragraphe 1 :
Conventions règlementées
Les conventions réglementées sont toutes les conventions qui ne sont pas qualifiées de
courantes et qui ne sont pas interdites par la loi.
Pour les SA, les SE et les SCA, une information et une autorisation préalable du conseil est
nécessaire, ainsi qu’une information du commissaire aux comptes. Ensuite, le commissaire
aux comptes établit un rapport spécial et une validation de l’assemblée générale à posteriori
est effectuée ;
Pour les SARL : Information du commissaire aux comptes, rédaction d’un rapport spécial par
le gérant ou le commissaire aux comptes s’il en existe un, approbation par l’assemblée
générale annuelle. Une procédure ultra simplifiée est prévue pour les EURL.
Pour les SAS : Les mêmes obligations que pour les SA s’appliquent, sauf en ce qui concerne
l’autorisation préalable, mais les statuts peuvent en prévoir une. Pour les SASU, une
procédure ultra simplifiée est prévue (comme pour l’EURL).